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Sorties nocturnes et virées à la mer: Les Algérois à la recherche de détente

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:22

Epuisés par une année éprouvante, les Algérois n’ont pas attendu la fin du cycle scolaire pour investir les espaces de détente. Balades nocturnes, soirées dans les pizzérias ou salons de glace, chacun tente, selon ses moyens, de souffler en attendant souvent de prendre la route vers d’autres contrées pour des vacances bien remplies.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Il est plus de 21 heures. Sur les plages de la côte-est, les familles ne semblent pas pressées de quitter les lieux. Les tables et chaises louées à 500 DA par des groupes de jeunes sont boudées. Femmes et hommes sont assis sur de minces tapis amenés pour la circonstance.
En dépit de la fraîcheur du moment, les enfants refusent de sortir de l’eau. Des bébés barbotent, éternuent. Des repas légers sortent des couffins : œufs bouillis, fromage et poivrons frits sont à l’honneur. Sous les lumières des lampadaires allumés un peu plus tôt, Sirène I et II semblent féeriques.
Ces deux plages jumelles de Bordj-el-Kiffan faisaient la fierté du coin il y a quelques années. Aujourd’hui, deux embouchures d’eaux usées traversent les galets et se jettent dans la mer. Une odeur nauséabonde emplit les environs. Les habitués de la région n’y prennent plus garde. Le front de mer continue, au contraire, à attirer grand monde.
Dans cette ambiance, de petits marchands ont dressé des tables où s’empilent de petits jouets multicolores. D’autres ont dressé un immense trampoline gonflable à peine maîtrisé. Samedi au soir, l’immense masse s’est dégonflée s’affaissant sur une dizaine d’enfants. Les parents inquiets y ont vu le pire, mais les plus agiles ont réussi à retirer les petits en un temps record et les voilà repartis pour un second tour quinze minutes après que la situation eut été rétablie. «J’ai eu très peur, commente une vieille mamie en tremblant, mais regardez, elle est remontée (sa petite fille) impossible de les retenir ils n’ont rien d’autre, il faut bien qu’ils s’amusent ces enfants. Toute l’année il n’y a eu que l’école, ils ont besoin de respirer et nous aussi.»
Avides de détente, les lieux semblent surtout profiter aux adultes. «On tue l’ennui», lâche un père de famille, «mis à part la télévision, il n’y a rien, absolument rien à faire, alors on marche tout le long du front de mer, pour prendre l’air et se donner l’impression de faire quelque chose.» Il fait remarquer les tas d’ordures qui s’amassent dans les coins. «Ce n’est pas seulement un problème de ramassage, les restaurateurs d’en face se débarrassent de leurs déchets et les mettent ici.» Ici, c’est le front de mer. En face, des marchands de brochettes et des pizzérias affichent complet. Il y a aussi la queue chez les marchands de glace. Des jeunes vont et viennent. Les discussions tournent autour des coupures d’internet durant la période du bac.
Les critiques vont bon train. «On a rien à faire, on a tourné toute la journée en attendant la connexion. On attendait la soirée pour pouvoir discuter avec nos amis de là-bas, en Espagne. Les enfants du quartier qui ont immigré sont en contact permanent avec nous. On passe la soirée à discuter et faire des appels vidéo. C’est comme si nous étions là-bas nous aussi. Et peut-être qu’un jour on pourra les rejoindre.»
Le jeune homme qui s’exprime ainsi a raté son bac deux fois de suite. Les épreuves qui se déroulent cette semaine ne l’intéressent pas outre mesure. «Pour moi, c’est fini, j’ai tourné une page, j’étais incapable d’apprendre des pages entières d’histoire-géo, j’avais du mal à retenir les textes. C’est bête parce que j’ai eu une bonne note en arabe.» Aujourd’hui, poursuit-il, «je suis dans la vie active, j’essaie de me débrouiller comme je peux, les études pour moi, c’est fini. Le soir je viens ici avec mes amis pour passer le temps, je tue le temps comme je peux, comme tout le monde».
Un peu plus loin, aux Sablettes, les familles sont plongées dans une autre ambiance. Ici, un écran géant permet aux citoyens de suivre les matchs de la Coupe du monde. Des chaises disposées pour la circonstance permettent une organisation presque parfaite. Mais beaucoup de jeunes préfèrent rester debout.
Adossés à une barrière, ils commentent à haute voix les scènes qui se déroulent. «J’aime le foot, la Coupe du monde est un évènement, c’est tout, autrement je suis très déçu que l’Algérie n’y participe pas, cela me fait beaucoup de peine. Nous sommes tous frustrés, mais que voulez-vous, c’est ainsi», lâche un père de famille.
Des policiers surveillent les lieux. Ils tiennent à l’œil les marchands à la sauvette. Malgré l’heure tardive, les jeux continuent de fonctionner. Le bateau pirate qui tangue dans les airs fait fureur. «On se défoule, crient des jeunes filles étourdies à leur descente. On hurle pour enlever le stress de toute une année enfermées à étudier ou travailler. Ici, c’est le seul endroit où on peut respirer. Il n’y a rien d’autre ailleurs, pas de loisirs et on ne peut pas se payer des pizzas chaque jour. Avec nos familles, on amène le dîner et on reste dehors aussi tard qu’on le peut.» Il règne un air de vacances, prélude d’une longue période de détente mais aussi d’ennui que beaucoup d’Algériens ont décidé de rompre ailleurs.
Cette année encore, la Tunisie semble attirer beaucoup de monde. Les publicités pour les plages tunisiennes affichées sur les bus privés ces derniers mois, les spots diffusés sur les chaînes de radio algériennes vantant l’hospitalité tunisienne semblent avoir porté. «Des vacances en Tunisie ne nous reviennent pas plus cher que celles passées dans un complexe algérien. Il y en a pour toutes les bourses là-bas. C’est une affaire d’infrastructures mais aussi une question de dépaysement. Pour nous, ce sera la mi-juillet», claironne une jeune femme en annonçant que les réservations ont déjà été faites.
Abla Chérif

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Coopération policière entre pays de la Cédéao: les échanges de données au menu

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 06/26/2018 - 17:16
RFI - Les responsables de la coopération policière entre 16 Etats d’Afrique de l’Ouest étaient rassemblés, ce lundi, à Abidjan en Côte...
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The Long and Short of The Digital Revolution

Africa - INTER PRESS SERVICE - Tue, 06/26/2018 - 17:15

MARTIN MÜHLEISEN is director of the IMF’s Strategy, Policy, and Review Department.

By Martin Mühleisen
WASHINGTON DC, Jun 26 2018 (IPS)

Digital platforms are recasting the relationships between customers, workers, and employers as the silicon chip’s reach permeates almost everything we do—from buying groceries online to finding a partner on a dating website.

As computing power improves dramatically and more and more people around the world participate in the digital economy, we should think carefully about how to devise policies that will allow us to fully exploit the digital revolution’s benefits while minimizing job dislocation.

This digital transformation results from what economists who study scientific progress and technical change call a general-purpose technology—that is, one that has the power to continually transform itself, progressively branching out and boosting productivity across all sectors and industries.

Such transformations are rare. Only three previous technologies earned this distinction: the steam engine, the electricity generator, and the printing press. These changes bring enormous long-term benefits.

The steam engine, originally designed to pump water out of mines, gave rise to railroads and industry through the application of mechanical power. Benefits accrued as farmers and merchants delivered their goods from the interior of a country to the coasts, facilitating trade.

By their very nature, general-purpose technological revolutions are also highly disruptive. The Luddites of the early 19th century resisted and tried to destroy machines that rendered their weaving skills obsolete, even though the machines ushered in new skills and jobs. Such disruption occurs precisely because the new technology is so flexible and pervasive.

Consequently, many benefits come not simply from adopting the technology, but from adapting to the technology. The advent of electricity generation enabled power to be delivered precisely when and where needed, vastly improving manufacturing efficiency and paving the way for the modern production line. In the same vein, Uber is a taxi company using digital technology to deliver a better service.

An important component of a disruptive technology is that it must first be widely adopted before society adapts to it. Electricity delivery depended on generators. The current technological revolution depends on computers, the technical backbone of the Internet, search engines, and digital platforms.

Because of the lags involved in adapting to new processes, such as replacing traditional printing with online publishing, it takes time before output growth accelerates. In the early stages of such revolutions, more and more resources are devoted to innovation and reorganization whose benefits are realized only much later.

For example, while James Watt marketed a relatively efficient engine in 1774, it took until 1812 for the first commercially successful steam locomotive to appear. And it wasn’t until the 1830s that British output per capita clearly accelerated.

Perhaps it is no wonder that the digital revolution doesn’t show up in the productivity statistics quite yet—after all, the personal computer emerged only about 40 years ago.

But make no mistake—the digital revolution is well under way. In addition to transforming jobs and skills, it is also overhauling industries such as retailing and publishing and perhaps—in the not-too-distant future—trucking and banking.

In the United Kingdom, Internet transactions already account for almost one-fifth of retail sales, excluding gasoline, up from just one-twentieth in 2008. And e-commerce sites are applying their data skills to finance.

The Chinese e-commerce giant Alibaba already owns a bank and is using knowledge about its customers to provide small-scale loans to Chinese consumers. Amazon.com, the American e-commerce site, is moving in the same direction.

Meanwhile, anonymous cryptocurrencies such as Bitcoin are posing challenges to efforts to combat money laundering and other illicit activities. But what makes these assets appealing also makes them potentially dangerous. Cryptocurrencies can be used to trade in illegal drugs, firearms, hacking tools, and toxic chemicals.

On the other hand, the underlying technology behind these currencies (blockchain) will likely revolutionize finance by making transactions faster and more secure, while better information on potential clients can improve the pricing of loans through better assessment of the likelihood of repayment. Regulatory frameworks need to ensure financial integrity and protect consumers while still supporting efficiency and innovation.

Looking forward, we may see even more disruption from breakthroughs in quantum computing, which would facilitate calculations that are beyond the capabilities of traditional computers. While enabling exciting new products, these computers could undo even some new technologies.

For example, they could render current standards in cryptology obsolete, potentially affecting communication and privacy on a global level. And this is just one aspect of threats to cyber security, an issue that is becoming increasingly important, given that almost all essential public services and private information are now online.

Digitalization will also transform people’s jobs. The jobs of up to one-third of the US workforce, or about 50 million people, could be transformed by 2020, according to a report published last year by the McKinsey Global Institute.

The study also estimates that about half of all paid activities could be automated using existing robotics and artificial and machine learning technologies. For example, computers are learning not just to drive taxis but also to check for signs of cancer, a task currently performed by relatively well-paid radiologists.

While views vary, it is clear that there will be major potential job losses and transformations across all sectors and salary levels, including groups previously considered safe from automation.

As the McKinsey study underscores, after a slow start, the pace of transformation continues to accelerate. The ubiquitous smartphone was inconceivable to the average person at the turn of the 21st century.

Now, more than 4 billion people have access to handheld devices that possess more computing power than the US National Aeronautics and Space Administration used to send two people to the moon. And yet these tiny supercomputers are often used only as humble telephones, leaving vast computing resources idle.

One thing is certain: there’s no turning back now. Digital technology will spread further, and efforts to ignore it or legislate against it will likely fail. The question is “not whether you are ‘for’ or ‘against’ artificial intelligence—that’s like asking our ancestors if they were for or against fire,” said Max Tegmark, a professor at the Massachusetts Institute of Technology in a recent Washington Post interview.

But economic disruption and uncertainty can fuel social anxiety about the future, with political consequences. Current fears about job automation parallel John Maynard Keynes’s worries in 1930 about increasing technological unemployment. We know, of course, that humanity eventually adapted to using steam power and electricity, and chances are we will do so again with the digital revolution.

The answer lies not in denial but in devising smart policies that maximize the benefits of the new technology while minimizing the inevitable short-term disruptions. The key is to focus on policies that respond to the organizational changes driven by the digital revolution.

Electrification of US industry in the early 20th century benefited from a flexible educational system that gave people entering the labor force the skills needed to switch from farm work as well as training opportunities for existing workers to develop new skills.

In the same way, education and training should give today’s workers the wherewithal to thrive in a new economy in which repetitive cognitive tasks—from driving a truck to analyzing a medical scan—are replaced by new skills such as web engineering and protecting cyber security.

More generally, future jobs will probably emphasize human empathy and originality: the professionals deemed least likely to become obsolete include nursery school teachers, clergy, and artists.

One clear difference between the digital revolution and the steam and electricity revolutions is the speed at which the technology is being diffused across countries. While Germany and the United Kingdom followed the US take-up of electricity relatively quickly, the pace of diffusion across the globe was relatively slow.

In 1920, the United States was still producing half of the world’s electricity. By contrast, the workhorses of the digital revolution—computers, the Internet, and artificial intelligence backed by electrical power and big data—are widely available.

Indeed, it is striking that less-developed countries are leading technology in many areas, such as mobile payments (Kenya), digital land registration (India), and e-commerce (China). These countries facilitated the quick adoption of new technologies because, unlike many advanced economies, they weren’t bogged down in preexisting or antiquated infrastructure. This means tremendous opportunities for trial and error to find better policies, but also the risk of a competitive race to the bottom across countries.

While the digital revolution is global, the pace of adaptation and policy reactions will—rightly or wrongly—be largely national or regional, reflecting different economic structures and social preferences.

The revolution will clearly affect economies that are financial hubs, such as Singapore and Hong Kong SAR, differently than, for example, specialized oil producers such as Kuwait, Qatar, and Saudi Arabia. Equally, the response to automated production technologies will reflect possibly different societal views on employment protection.

Where preferences diverge, international cooperation will likely involve swapping experiences of which policies work best. Similar considerations apply to the policy response to rising inequality, which will probably continue to accompany the gradual discovery of the best way to organize firms around the new technology.

Inequality rises with the widening of the gap in efficiency and market value between firms with new business models and those that have not reorganized. These gaps close only once old processes have been largely replaced.

Education and competition policy will also need to be adapted. Schools and universities should provide coming generations with the skills they need to work in the emerging economy. But societies also will need to put a premium on retraining workers whose skills have been degraded.

Similarly, the reorganization of production puts new strains on competition policy to ensure that new techniques do not become the province of a few firms that come first in a winner-take-all lottery. In a sign that this is what is already happening, Oxfam International recently reported that eight individuals held more assets than the poorest 3.6 billion combined.

The railroad monopolies of the 19th century required trust busting. But competition policy is more difficult when future competitors are less likely to emerge from large existing firms than from small companies with innovative approaches that have the capacity for rapid growth. How can we ensure that the next Google or Facebook is not gobbled up by established firms?

Given the global reach of digital technology, and the risk of a race to the bottom, there is a need for policy cooperation similar to that of global financial markets and sea and air traffic. In the digital arena, such cooperation could include regulating the treatment of personal data, which is hard to oversee in a country-specific way, given the international nature of the Internet, as well as intangible assets, whose somewhat amorphous nature and location can complicate the taxation of digital companies.

And financial supervisory systems geared toward monitoring transactions between financial institutions will have trouble dealing with the growth of peer-to-peer payments, including when it comes to preventing the funding of crime.

The importance of cooperation also implies a role for global international organizations such as the World Bank and the International Monetary Fund. These institutions, with their broad membership, can provide a forum for addressing the challenges posed by the digital revolution, suggest effective policy solutions, and outline policy guidelines.

To be successful, policymakers will need to respond nimbly to changing circumstances, integrate experiences across countries and issues, and tailor advice effectively to countries’ needs.

The digital revolution should be accepted and improved rather than ignored and repressed. The history of earlier general-purpose technologies demonstrates that even with short-term dislocations, reorganizing the economy around revolutionary technologies generates huge long-term benefits.

This does not negate a role for public policies. On the contrary, it is precisely at times of great technological change that sensible policies are needed. The factories created by the age of steam also ushered in regulations on hours of work, juvenile labor, and factory conditions.

Similarly, the gig economy is causing a reconsideration of rules: for example, what does it mean to be self-employed in the age of Uber? To minimize disruptions and maximize benefits, we should adapt policies on digital data and international taxation, labor policies and inequality, and education and competition to emerging realities.

With good policies and a willingness to cooperate across borders, we can and should harness these exciting technologies to improve well-being without diminishing the energy and enthusiasm of the digital age.

The link to the original article: http://www.imf.org/external/pubs/ft/fandd/2018/06/impact-of-digital-technology-on-economic-growth/muhleisen.htm

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MARTIN MÜHLEISEN is director of the IMF’s Strategy, Policy, and Review Department.

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Un second désaveu pour Mihoubi

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:15

La nomination toute fraîche d’un nouveau commissaire à la tête du Festival de Timgad n’aura finalement pas duré longtemps. En effet, la décision du ministre de la Culture de nommer le chanteur Youcef Boukhentache en remplacement de Lakhdar Bentorki, directeur général de l’ONCI, n’a vraisemblablement pas obtenu l’aval des autorités supérieures du pays qui ont préféré maintenir le statu quo en reconduisant ce dernier dans ses missions de premier responsable de cette manifestation culturelle. Il est à rappeler que Bentorki officie à ce poste depuis la relance de ce festival et qu’il a contribué à sa réhabilitation avec l’invitation, par l’entremise de l’ONCI, de stars nationales, arabes et internationales. C’est, là, le second désaveu signifié à Azzedine Mihoubi, ministre de la Culture, quelques semaines seulement après sa tentative, tout aussi infructueuse, de limoger ce même Bentorki de sa fonction de DG de l’ONCI et de le remplacer par le responsable du théâtre de Batna.

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Ligue 1 « 2018-2019 »: Le nombre d’entraîneurs étrangers en hausse

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:13

Neuf des 16 formations de la Ligue 1 Mobilis de football ont choisi de recourir à des entraîneurs étrangers en vue de la saison 2018-2019, dont le coup d’envoi sera donné le week-end du 10 et 11 août, alors qu’ils étaient six sur le banc au début de la saison précédente.
A commencer par le MC Alger, qui a décidé de reconduire son entraîneur français Bernard Casoni. L’autre club de la capitale, l’USM Alger, a engagé cet été le Français Thierry Froger, dont c’est la première expérience en Algérie, en remplacement de Miloud Hamdi, parti rejoindre la formation koweïtienne d’Al-Salimiya SC. Le MC Oran, dirigé la saison dernière par le Suisso-Tunisien Moez Bouakaz, s’est attaché les services du Marocain Badou Zaki, qui avait offert au CR Belouizdad en 2017 son premier titre depuis 2009 en décrochant la Coupe d’Algérie.
L’USM Bel-Abbès, détenteur de la Coupe d’Algérie, a engagé Bouakaz, qui avait déjà eu à driver la formation de la Mekerra lors de la saison 2015-2016. L’ES Sétif sera dirigée sur le banc par le Marocain Rachid Taoussi, succédant à Abdelhak Benchikha. L’ancien sélectionneur du Maroc aura la mission de relancer l’Entente, qui a bouclé la saison dernière à une triste 8e place au classement. Le DRB Tadjenanet, qui a assuré son maintien sur le fil, a décidé de renouveler sa collaboration avec le Tunisien Hamadi Edhou. Chez les deux nouveaux promus, le MO Béjaïa et le CA Bordj Bou-Arréridj, la tendance est plutôt «étrangère», eux qui seront entraînés respectivement par le Français Alain Michel et l’Espagnol Josep-Maria Noguès. La JS Kabylie n’est pas en reste puisqu’elle devrait être dirigée sur le banc par le Français Franck Dumas ou son compatriote Denis Lavagne. A moins que le président Chérif Mellal ne décide de revenir à la charge pour Djamel Menad, un temps courtisé et qui vient d’être déchargé de sa mission en tant que sélectionneur-adjoint de l’équipe nationale. Le Paradou AC, qui a enregistré le départ de l’Espagnol Noguès, est toujours à la recherche d’un nouvel entraîneur et pourrait se rabattre sur un technicien étranger, ce qui porterait le nombre à 10. En revanche, trois clubs seulement ont décidé d’engager des entraîneurs locaux en cette période d’intersaison. Il s’agit du nouveau promu l’AS Aïn M’lila (Lakhdar Adjali), de l’Olympique Médéa (Saïd Hamouche) et du CR Belouizdad, qui a limogé dimanche Azedine Aït-Djoudi moins d’un mois après l’avoir recruté mais qui le remplacera par un Algérien. Les candidats sont Lyamine Bougherara, Si Tahar Chérif El-Ouazzani et Taoufik Rouabah. Autour de tout ce mouvement, cinq clubs ont opté pour la stabilité en décidant de reconduire leurs entraîneurs respectifs, en l’occurrence le champion en titre le CS Constantine (Abdelkader Amrani), la JS Saoura (Nabil Neghiz), le NA Husseïn-Dey (Dziri Billel), le MC Alger (Bernard Casoni) et le DRB Tadjenanet (Hamadi Edhou). Au total, 11 clubs donc ont apporté des changements au niveau de leur encadrement technique, soit deux de plus par rapport à la dernière saison.

Ligues 1 et 2
Pas de nouvelles licences pour les clubs endettés

Les clubs de football ayant une dette supérieure à 10 000 000 DA vis-à-vis de la Commission de résolution des litiges (CRL) n’auront droit à aucune licence pour leurs nouvelles recrues, a annoncé dimanche soir la Fédération algérienne de football (FAF). «Le bureau fédéral, dans sa réunion statutaire du dimanche 24 juin, a décidé de ne pas autoriser la délivrance de nouvelles licences aux clubs endettés vis-à-vis de la Commission de résolution des litiges (CRL)», a indiqué l’instance dans un communiqué, diffusé sur son site officiel, en précisant que le montant de la dette «doit être supérieur» à 10 000 000 DA. La FAF a indiqué par ailleurs que les clubs endettés seront «privés de l’encaissement des droits TV et de sponsoring» et ce, «jusqu’à l’assainissement de leurs situations financières» respectives.

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Un motard renverse un cycliste et s'enfuit

24heures.ch - Tue, 06/26/2018 - 17:12
Samedi 23 juin, peu avant 11 heures du matin, un motocycliste a heurté un homme de 59 ans sans lui porter secours.
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Une commission algérienne pour reconnaître les crânes d’Algériens conservés en France

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:10

SAIDA – Une commission algérienne pour reconnaître les crânes d’Algériens conservés en France a été créée, a annoncé lundi à Saida le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni.

Lors d’un point de presse organisé en marge de sa visite dans la wilaya, le ministre a souligné qu’une commission algérienne composée de représentants des ministères des Moudjahidine, des Affaires étrangères de de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et d’Algériens résidant à l’étranger a été créée à cet effet.

Tayeb Zitouni a indiqué à l’APS que les crânes de chouhada Algériens conservés en France seront restitués après leur identification définitive, affirmant que le dossier de récupération des crânes connait un avancement notable entre les parties algérienne et française.

Il a fait savoir que son département ministériel recense l’identification de 31 chouhada algériens reconnus par leurs crânes se trouvant en France, soulignant que 56 % des citoyens français ignorent l’histoire des crânes de martyrs algériens en France remontant à plus d’un siècle et demi.

Le ministre a ajouté que cette affaire a levé le voile sur la réalité du colonisateur français et ses crimes abominables, exprimant sa réprobation quant à la manière d’exécution de ces chouhada dont les têtes ont été coupées et leurs crânes déposés au musée de Paris.

Le traitement des dossiers de 2.200 Algériens disparus dans les casernes militaires françaises, la restitution de l’archive algérien et l’indemnisation des victimes des essais nucléaires dans le Sud algérien avance bien dans le cadre des négociations entre l’Algérie et la France, a souligné Tayeb Zitouni, ajoutant que « l’Etat algérien oeuvre, à travers des négociations permanentes, avec la partie française à traiter ces dossiers compliqués et sensibles ».

Par ailleurs, le ministre a affirmé que son département œuvre à améliorer les conditions sociales, psychologiques et sanitaires des moudjahidine et des ayants droit.

Dans ce cadre, il a cité les efforts de réalisation de centres de repos au profit des moudjahidine, en plus des pensions dont ils bénéficient.

Le ministre s’est rendu, dans le cadre de sa visite dans la wilaya, au carré des chouhada de Saida où il s’est recueilli à leur mémoire et a également inspecté les travaux de restauration et d’aménagement de 364 tombes, insistant sur leur accélération.

Tayeb Zitouni a également procédé à la dénomination de la cité de logements location-vente de la ville de Saida au nom de cité de l’ALN (Armée de libération nationale), après avoir écouté les explications du wali de Saida, Seif El Islam Louh, qui a annoncé l’attribution de 484 logements sur un total de 1.900 en cours de réalisation, le 5 juillet prochain, à leurs bénéficiaires.

Au centre de repos des moudjahidine de la commune d’Ouled Khaled, le ministre a reçu des explications sur le raccordement de cette structure à un forage permettant de fournir 700 mètres cubes d’eau/jour destinés à la cure. Cette opération a nécessité une enveloppe de 3 millions DA.

En outre, le ministre a présidé, au musée régional de Saida, une cérémonie de signature d’un accord de coopération entre les Directions des moudjahidine et de l’action sociale et de la solidarité portant sur le volet social et des visites aux sites historiques.

Tayeb Zitouni a tenu une réunion avec la famille révolutionnaire et la société civile et a suivi une conférence sur la bataille de Hassi Labiodh de Saida lors de la glorieuse guerre de libération nationale où 27 martyrs sont tombés au champ d’honneur.

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Croatie: Entre ambition et discrétion

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:10

Déjà qualifiée pour les 8es de finale et brillante face à l’Argentine, la Croatie ne peut plus se cacher à l’heure d’affronter l’Islande aujourd’hui à Rostov pour la première place du groupe D, même si elle aimerait sans doute se faire plus discrète. Formidable au premier tour, puis éliminée sans gloire en 8es de finale, la Croatie connaît déjà l’histoire pour l’avoir vécue lors de l’Euro-2016, quand le Portugal de Ronaldo l’avait sans scrupule ramenée sur terre (1-0 a.p.). Bien sûr, il n’est pas simple de se faire toute petite quand on vient de corriger l’Argentine 3-0. Mais le passé récent incite à la prudence, la Croatie n’ayant jamais brillé par sa constance. «Ils ont des joueurs de grand talent, mais c’est une équipe de fous. Ils peuvent gagner quatre matchs de suite et puis se mettre tout seuls dans le pétrin», expliquait ainsi avant le tournoi l’entraîneur de la Juventus Turin Massimiliano Allegri. Dit autrement, la Croatie est une équipe «fiable comme un ciel d’avril», selon la jolie formule de la Gazzetta dello Sport. Aujourd’hui face à l’Islande, qui a besoin d’une victoire pour se qualifier, le sélectionneur Zlatko Dalic pourrait, en outre, faire assez largement tourner son groupe, pour éviter à ses cadres suspensions et blessures. «C’est un petit désavantage, en fait, même si ça semble étrange. Ceux qui ont déjà joué auraient pu être moins motivés, ou avoir peur d’un jaune ou d’une blessure», a relativisé l’entraîneur islandais Heimir Hallgrimsson.

Le plus grand succès
«Ceux qui vont entrer sont des joueurs de haut niveau, qui évoluent à l’Inter ou au Real, et qui vont être motivés pour montrer qu’ils peuvent jouer les matchs qui arrivent. Qu’ils changent un joueur ou 10 joueurs, ça sera toujours une super équipe», a-t-il ajouté. De fait, le réservoir croate semble profond, derrière les indiscutables Mandzukic, Rakitic ou Modric, auteur d’un début de compétition de très haut niveau. Le résultat est là, la Croatie fait peur. Le Français Corentin Tolisso a ainsi expliqué que les Bleus voulaient finir premiers de leur groupe pour ne pas croiser l’équipe au damier dès les 8es de finale. L’Islande de son côté croit tout de même en ses chances, avec de bonnes raisons, puisqu’elle a battu la Croatie lors des éliminatoires et l’a devancée pour rejoindre directement la Russie, Modric et les autres passant par les barrages. L’idée d’une nouvelle qualification, après l’incroyable quart de finale de l’Euro-2016, n’est donc pas abandonnée malgré la défaite 2-0 contre le Nigeria, qui n’a pas permis de faire fructifier le bon point pris face à l’Argentine en ouverture (1-1). «Pour l’Argentine, l’Allemagne ou le Portugal, c’est un choc de ne pas se qualifier. A l’inverse, pour nous, une qualification serait le plus grand succès de l’histoire du football islandais», a prévenu Hallgrimsson.

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Equipe Nationale Algérienne: Quel entraîneur pour les Verts ?

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:09

En quatre années, soit depuis la fin du Mondial-2014, la sélection nationale aura connu la succession de pas moins de six techniciens depuis le départ de Vahid Halilhodzic, dont le dernier en date est le limogeage de Rabah Madjer.
Ils se sont succédé à la barre technique des Verts : Christian Gourcuff (19 juillet 2014-avril 2016), Nabil Neghiz (intérim avril-juin 2016), Milovan Rajevac (juin-octobre 2016), Georges Leekens (30 octobre 2016-janvier 2017), Lucas Alcaraz (avril-octobre 2017) et Rabah Madjer (octobre 2017-juin 2018). Hormis le technicien français, qui avait émis le vœu de mettre un terme à son contrat avec la FAF, les quatre autres sélectionneurs ont été remerciés pour mauvais résultats. Des sélectionneurs limogés en un temps record notamment le Belge Leekens, le Serbe Milovan Rajevac et l’Espagnole Alcaraz. Et la palme revient à Georges Leekens qui a pris en main les Verts moins de trois mois pour avoir échoué notamment en Coupe d’Afrique 2017… L’épisode Madjer, qui dure pratiquement depuis des mois, étant définitivement terminé, le président de la FAF devra désigner le nouveau patron des Verts rapidement pour poursuivre les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Cameroun-2019) avec le match face à la Gambie en septembre puis face au Bénin moins d’un mois plus tard. Au jeu des CV et des noms de techniciens, plusieurs propositions sont annoncées dont celui de Vahid, Gourcuff ou encore Hervé Renard, l’actuel coach du Maroc, et Queiroz, sélectionneur de l’Iran. Mais aucun de ces noms proposés ne sera en mesure de succéder à Rabah Madjer, du moins dans l’immédiat, pour une raison ou une autre. Le président de la FAF, Zetchi, qui confirme que «Halilhodzic et Renard sont tous les deux dans notre liste, Queiroz le coach de l’Iran, c’est un coach chevronné, il a une expérience avec l’Iran, il peut être dans notre liste», aura donc une délicate mission pour ne pas se tromper à nouveau dans ses choix. Sur ce point, Zetchi est clair : «On ne va pas se précipiter, on va attendre la fin de la Coupe du monde, ou même l’élimination de certaines sélections, je pense qu’il y aura des coachs qui vont quitter leurs sélections actuelles, et avec la DTN et le BF, on va étudier le dossier, j’espère qu’on va ramener un coach qui donnera une autre dimension à l’EN». Telles sont les déclarations du président de la FAF au terme de sa réunion avec Madjer dimanche qui aura duré 10h à l’issue de laquelle le limogeage du sélectionneur a été décidé. «On va choisir un coach et sans garantie écrite aucune de ce dernier, nous en tout cas, on souhaite opter pour le meilleur, mais le meilleur n’est pas forcément le plus cher, il faut juste trouver quelqu’un qui connaît le football algérien et africain aussi, et qui a réussi des résultats avec une sélection africaine ou à l’échelle internationale, on voudrait aussi que le sélectionneur parle au moins la langue française afin qu’il puisse communiquer», voici ainsi les premiers détails sur les qualités du futur sélectionneur national. Tout en reconnaissant avoir échoué dans les choix des sélectionneurs engagés (Alcaraz et Madjer), le président de la FAF affirme que l’Algérie aura son sélectionneur avant la Gambie. «La Coupe du monde prendra fin à la mi-juillet ; à partir de là, on peut se mettre une date butoir pour installer le nouveau sélectionneur au plus tard à la fin juillet, afin qu’il ait un peu plus d’un mois pour préparer le stage de septembre et le déplacement en Gambie», a-t-il déclaré en écartant l’idée d’intérimaire… Wait and see.
Ahmed A.

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Categories: Afrique

USM Alger: Le Camerounais NTouba Epoupa à l’essai

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:04

L’attaquant camerounais NTouba Epoupa a débarqué dimanche soir en Tunisie en vue de subir des essais avec le club de première division algérienne de football, l’USM Alger, qui effectue actuellement un stage de préparation d’avant-saison à Gammarth. Le finaliste de la Ligue des champions africaine de 2015 a perdu son meilleur attaquant à la fin de l’exercice écoulé, en l’occurrence Oussama Darfalou (24 ans/18 buts en Ligue 1 Mobilis), qui est allé monnayer son talent chez les Néerlandais de Vitesse Arnehm. Le club de Soustara avait donc besoin d’engager un autre buteur racé pour le remplacer. L’USMA a déjà réussi un recrutement qualitatif aux avant-postes, en engageant le meneur de jeu Mohamed Bentiba (MC Oran) et les attaquants Zakaria Benchaâ et Aymen Mahious, respectivement ex-MC Oran et ex-CA Batna, mais le fait de jouer les premiers rôles et sur plusieurs fronts semble avoir incité le club à vouloir se renforcer davantage, particulièrement au niveau de ce compartiment. Né le 21 juillet 1993 à Edea (Cameroun), NTouba Epoupa est un colosse (1.90m, 90 kg), qui grâce à sa polyvalence peut jouer également sur les deux flancs de l’attaque (à droite ou à gauche), suivant les besoins de l’équipe. Epoupa, ancien joueur de Foudre d’Akonolinga (Cameroun) devra cependant commencer par convaincre le nouvel entraîneur en chef des Rouge et Noir, le Français Thierry Froger.

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CR Belouizdad: Namani rejoint le club saoudien d’Al Fateh FC

Algérie 360 - Tue, 06/26/2018 - 17:01

Le défenseur international algérien du CR Belouizad, Mohamed Namani, s’est engagé pour deux ans en faveur d’Al Fateh, a annoncé hier le club saoudien de football de première division sur son compte twitter. «Grâce à la contribution de Turki El Cheikh, premier responsable du sport au pays, la direction du club d’Al Fateh FC est tombée d’accord pour engager officiellement le défenseur international algérien Mohamed Namani pour deux ans. Nous souhaitons beaucoup de succès au joueur algérien», a écrit le club saoudien sur twitter. Avant de rejoindre le CR Belouizdad, Namani avait porté les couleurs de l’OM Ruisseau (2009-2010), l’USM Blida (2010-2014) et l’ASO Chlef (2014-2016). Agé de 28 ans, Namani avait été convoqué par l’ex-sélectionneur national Rabah Madjer pour la première fois en équipe A à l’occasion du match amical perdu face à l’Arabie Saoudite (0-2), le 9 mai dernier au stade Ramon-Carranza de Cadix en Espagne. Il a été également dans le groupe retenu pour la rencontre amicale des Verts contre le Cap-Vert (2-3), le 1er juin au stade du 5-Juillet (Alger).

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Categories: Afrique

The Brief – Desperately seeking cohesion

Euractiv.com - Tue, 06/26/2018 - 16:59
In a non-legislative resolution, MEPs urged EU countries on Monday (25 June) to make sure that providing humanitarian help to migrants is not treated as a crime. The mere fact that they felt obliged to do so speaks volumes about where Europe is today.
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EU-Canada

Council lTV - Tue, 06/26/2018 - 16:58
https://tvnewsroom.consilium.europa.eu/uploads/council-images/thumbs/uploads/council-images/remote/http_c96321.r21.cf3.rackcdn.com/15448_169_full_129_97shar_c1.jpg

In 2013-2014, EU-Canada relations are being upgraded through negotiations on a Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA) and a Strategic Partnership Agreement (SPA).  CETA is a ground-breaking agreement which will provide for an ambitious liberalisation of trade and investment relations.

Download this video here.

Categories: European Union

US Supreme Court upholds Trump's travel ban

BBC Africa - Tue, 06/26/2018 - 16:57
The ban prevents people from Iran, Libya, Somalia, Syria and Yemen from entering the US.
Categories: Africa

Progress in Transdniestrian settlement leads way for conflict resolution in OSCE area, says PA President in Moldova

OSCE - Tue, 06/26/2018 - 16:57

CHISINAU, 26 June 2018 – Concluding his first visit to Moldova, OSCE Parliamentary Assembly President George Tsereteli (MP, Georgia) lauded recent achievements in the Transdniestrian settlement process and encouraged both Chisinau and Tiraspol to sustain the momentum of progress in the coming months to create the necessary conditions for a comprehensive and peaceful resolution of the conflict.

“In a period when European security and stability are threatened, Chisinau and Tiraspol are setting a positive example for the rest of the OSCE area, where conflict resolution has most often been characterized by lack of progress,” said President Tsereteli. “The local ownership and leadership demonstrated by Chisinau and Tiraspol in advancing the settlement process, which I have witnessed in my meetings, goes to show that dialogue and persistence produce concrete results and are the way forward.”

PA President Tsereteli and Secretary General Roberto Montella met in Chisinau on Monday with a range of officials, including President Igor Dodon, Deputy Prime Minister for Reintegration Cristina Lesnic, Secretary General of State for Foreign Affairs and European Integration Mihail Capatina and the Moldovan delegation to the OSCE PA led by Serghei Sirbu. Today, in Tiraspol, they held meetings with Transdniestrian leader Vadim Krasnoselsky and the Speaker of the Transdniestrian legislature, Alexander Shcherba.

To visit the left bank of the Dniester/Nistru River, the PA delegation travelled through the Gura Bicului – Bychok bridge, which reopened last November after being closed to traffic since the 1992 conflict. In Tiraspol, the PA delegation also visited a joint vehicle registration office, which will allow for the participation of vehicles from Transdniestria in international traffic starting on 1 September 2018. Three additional practical issues identified in the so-called “package of eight” – apostilization of Transdniestrian university diplomas, access to the Dubasari farmland, and the functioning of the Moldovan Latin-script schools on the left bank – were agreed to at the end of 2017 and are currently being implemented. Technical discussions continue on laying out the implementation steps and timeline for reconnecting the telecommunication networks between the two banks.

“As a result of these agreements, people on both sides of the Dniester/Nistru River can already notice tangible improvements to their daily lives and gradually realize that their futures are linked. These concrete results also demonstrate that both Chisinau and Tiraspol can mutually benefit from this process,” explained President Tsereteli. “In the coming months, I hope the Sides will continue to display such resolve to overcome remaining differences and ensure a long-term and comprehensive settlement.”

In visits to the premises of the OSCE Mission to Moldova in Chisinau and Tiraspol, the PA President praised the valuable work of its team led by Ambassador Michael Scanlan, as well as the constant engagement of successive OSCE Chairmanships, for moving the process forward. President Tsereteli expressed his desire to accelerate the Parliamentary Assembly’s engagement with Moldova and offered the political weight of the PA to highlight OSCE efforts in peacefully resolving conflicts, which are expected to feature prominently at the OSCE PA’s upcoming Annual Session in Berlin (7-11 July 2018).
 
The OSCE PA President also met the Governor of the Autonomous Territorial Unit of Gagauzia, Irina Vlah, to discuss the importance of promoting an inclusive Moldovan identity and society, as well as good governance and the rule of law, through a fully functioning autonomy in accordance with the 1994 Law on the Special Legal Status of Gagauzia. 

In meetings, President Tsereteli expressed concern over the nullification of the Chisinau mayoral race and its negative effect on the public’s trust in democratic institutions and processes, stressing the need to reinforce the rule of law and the independence of the judiciary. President Tsereteli and Secretary General Montella also addressed these issues with extra-parliamentary opposition leader Maia Sandu, as well as civil society representatives and members of the international community. 

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Categories: Central Europe

Fegyveresek őrizték a Stonehenge-nél ünneplő tömeget

Biztonságpiac - Tue, 06/26/2018 - 16:55
Ezrek ünnepelték csütörtökön a nyári napfordulót a délnyugat-angliai Stonehenge ősi köveinél.

A rendőrség által 9500 fősre becsült tömeg békésen, piknikhangulatban köszöntötte a hajnalt az év legrövidebb éjszakájának végén, dacolva a derült éjszakai égbolt alatt késő ősziesre hűlő hőmérséklettel és a Wiltshire megyei kopár fennsíkon mindig fújó erős széllel.

Az összegyűlteknek ezúttal szerencséjük volt, mivel láthatták az előbukkanó napot. A korábbi években sokszor bizonyult ünneprontónak a borult égbolt. A rendőrség csütörtöki beszámolója szerint ezúttal semmiféle rendbontás nem történt, nem kellett őrizetbe venni senkit.

A tömeg biztonságára az elmúlt években bevezetett gyakorlat alapján most is fegyveres rendőri egységek ügyeltek, és a helyszínt csak biztonsági átvizsgálás után lehetett megközelíteni. Nagy-Britanniában csaknem négy éve a második legmagasabb szintű terrorellenes készültség van érvényben, és a tömegrendezvények biztosítása mindig kiemelt rendőrségi feladat.

A napforduló köszöntése a London központjától 123 kilométerre délnyugatra fekvő Stonehenge mellett nem volt mindig olyan békés fesztivál, mint csütörtökön. A rendszeres kultikus összejövetelek 1974-ben kezdődtek, amikor néhány százan a tiltás ellenére átmásztak a köveket akkor övező drótkerítésen, és többen közülük – a kitoloncolásukat elrendelő bírósági végzéssel is dacolva – hat hónapig, a téli napfordulóig a helyszínen maradtak.

Az 1980-as években rendszeresen zavargások robbantak ki a jeles éjszakán a tömeg és a rendőrök között. A legsúlyosabb összecsapás 1985-ben volt, amikor tucatnyian szenvedtek súlyos sérüléseket.

A hatóságok akkor 15 évre teljesen betiltották a júniusi napfordulós szertartásokat, és 6,5 kilométeres tilalmi övezetet jelöltek ki minden év június 21-én az ősi történelmi emlék körül. Az intézkedést csak 2000-ben vonták vissza.

Sokan azok közül, akik évről évre összegyűlnek a legalább ötezer évesnek gondolt, 20-25 tonnás kőtömbökből épített kultikus emlékműnél június 21-ének hajnalán, ezt abban a meggyőződésben teszik, hogy a koncentrikus sziklaköröket egy ősi napimádó szekta építette a nyári napforduló tiszteletére.

A szakértők ezt a lehetőséget sem zárják ki, de az utóbbi évek kutatásai feltárták, hogy Stonehenge valószínűleg nem egyszeri építkezés eredménye, hanem évszázadokon át folyamatosan bővítették, és biztos, hogy hosszú időn át temetkezési helyszínül és zarándokhelyként is szolgált.

Categories: Biztonságpolitika

Wimbledon - Stollár Fanny búcsúzott

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 06/26/2018 - 16:55
Stollár Fanny három játszmában vereséget szenvedett a wimbledoni tenisztorna selejtezőjének első fordulójában, így kiesett.

Emploi: la préférence cantonale est imminente

24heures.ch - Tue, 06/26/2018 - 16:54
Les employeurs d'un secteur souffrant d'un taux de chômage de plus de 8% annonceront désormais obligatoirement les postes vacants aux ORP d'abord.
Categories: Swiss News

Aus Berner Tierpark Dählhölzli ausgebrochen: Polizist stellt ausgebüxten Flamingo

Blick.ch - Tue, 06/26/2018 - 16:52

Ein Flamingo entwischte am Montagabend aus dem Berner Tierpark Dählhölzli und machte einen Streifzug durch die Stadt. Zwei Polizisten fingen den rosa Vogel wieder ein.

Kurioser Polizeieinsatz in Bern: Am Montagabend machte eine Flamingo-Dame die Stadt unsicher. Zuerst flüchtete der rosa Ausreisser aus dem Tierpark Dählhölzli, dann ging es ab über die Aare vor das Casino Bern. Direkt vor das Auto einer BLICK-Leserin. «Wir mussten bremsen, sonst hätten wir ihn überfahren», sagt sie. 

Die Kapo Bern kann den Vogel wieder einfangen. Mit einer Jacke schnappen sie den Flamingo,önnen ihn so unversehrt in Sicherheit bringen. Warum die Flamingo-Dame namens tfu ausriss, weiss Dählhölzli-Direktor Bernd Schildger nicht. «tfu ist letztes Jahr im Februar vom Basler Zoo zum Berner Tierpark gekommen und noch nicht ausreichend sozialisiert», sagt Schildger zu BLICK.

Den merkwürdigen Namen verdankt die Flamingo-Dame ihrem Kennzeichnungs-Ring, den sie am Fuss trägt. Einen richtigen Namen haben die Flamingos nämlich nicht.

Stressempfindliche Tiere

Wieso tfu überhaupt aus dem Gehege fliehen konnte, ist schnell erklärt: Sie flog über den Zaun. Die Fotografin Tatjana Harnisch befand sich gerade an der Aare gegenüber vom Tierpark, als sie das Tier um 20.30 Uhr in der Luft bemerkte. «Ich hatte meine Kamera dabei, also habe ich ein Foto gemacht», sagt sie zu BLICK. Der Flamingo sei fast eine Stunde in der Nähe des Dälhölzli herumgeflogen. «Er hatte eine ziemliche Ausdauer», sagt Harnisch. Als er schliesslich in Richtung Stadt verschwand, informierte sie schliesslich den Tierpark.

Aber wieso konnte Flamingo-Dame tfu einfach so davon fliegen? Der Grund: Die Flügel der Flamingos werden nur einmal im Jahr gestutzt. «Wenn die Brutsaison beginnt, können wir nicht mehr zu den Vögeln. Ein zweites Mal Stutzen ist dann nicht mehr möglich», erklärt der Dählhölzli-Direktor. Denn Flamingos seien sehr stressempfindliche Tiere.

 

Trotzdem sei so eine Flucht seit Jahren nicht mehr passiert. Auch weil Flamingos in der Regel nicht alleine fliegen, sondern nur in der Gruppe.

Wollte tfu wieder zurück ins alte Gehege, um die alten Flamingo-Freunde wiederzusehen? Schildger lacht: «Das glaube ich nicht. Was genau dahintersteckt, weiss ich nicht.» Wichtig sei nur, dass es tfu gut gehe. Sie scheine den Nachtausflug gut überstanden zu haben, so der Dählhölzli-Direktor. (jmh/rey)

Categories: Swiss News

Aus Berner Tierpark Dählhölzli ausgebrochen: Polizist stellt ausgebüxten Flamingo

Blick.ch - Tue, 06/26/2018 - 16:52

Ein Flamingo entwischte am Montagabend aus dem Berner Tierpark Dählhölzli und machte einen Streifzug durch die Stadt. Zwei Polizisten fingen den rosa Vogel wieder ein.

Kurioser Polizeieinsatz in Bern: Am Montagabend machte eine Flamingo-Dame die Stadt unsicher. Zuerst flüchtete der rosa Ausreisser aus dem Tierpark Dählhölzli, dann ging es ab über die Aare vor das Casino Bern. Direkt vor das Auto einer BLICK-Leserin. «Wir mussten bremsen, sonst hätten wir ihn überfahren», sagt sie. 

Die Kapo Bern kann den Vogel wieder einfangen. Mit einer Jacke schnappen sie den Flamingo,önnen ihn so unversehrt in Sicherheit bringen. Warum die Flamingo-Dame namens tfu ausriss, weiss Dählhölzli-Direktor Bernd Schildger nicht. «tfu ist letztes Jahr im Februar vom Basler Zoo zum Berner Tierpark gekommen und noch nicht ausreichend sozialisiert», sagt Schildger zu BLICK.

Den merkwürdigen Namen verdankt die Flamingo-Dame ihrem Kennzeichnungs-Ring, den sie am Fuss trägt. Einen richtigen Namen haben die Flamingos nämlich nicht.

Stressempfindliche Tiere

Wieso tfu überhaupt aus dem Gehege fliehen konnte, ist schnell erklärt: Sie flog über den Zaun. Die Fotografin Tatjana Harnisch befand sich gerade an der Aare gegenüber vom Tierpark, als sie das Tier um 20.30 Uhr in der Luft bemerkte. «Ich hatte meine Kamera dabei, also habe ich ein Foto gemacht», sagt sie zu BLICK. Der Flamingo sei fast eine Stunde in der Nähe des Dälhölzli herumgeflogen. «Er hatte eine ziemliche Ausdauer», sagt Harnisch. Als er schliesslich in Richtung Stadt verschwand, informierte sie schliesslich den Tierpark.

Aber wieso konnte Flamingo-Dame tfu einfach so davon fliegen? Der Grund: Die Flügel der Flamingos werden nur einmal im Jahr gestutzt. «Wenn die Brutsaison beginnt, können wir nicht mehr zu den Vögeln. Ein zweites Mal Stutzen ist dann nicht mehr möglich», erklärt der Dählhölzli-Direktor. Denn Flamingos seien sehr stressempfindliche Tiere.

 

Trotzdem sei so eine Flucht seit Jahren nicht mehr passiert. Auch weil Flamingos in der Regel nicht alleine fliegen, sondern nur in der Gruppe.

Wollte tfu wieder zurück ins alte Gehege, um die alten Flamingo-Freunde wiederzusehen? Schildger lacht: «Das glaube ich nicht. Was genau dahintersteckt, weiss ich nicht.» Wichtig sei nur, dass es tfu gut gehe. Sie scheine den Nachtausflug gut überstanden zu haben, so der Dählhölzli-Direktor. (jmh/rey)

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