You are here

Feed aggregator

Wie es ist, kann es nicht bleiben: Ein Debattenbeitrag zur Zukunft Europas

Euractiv.de - Wed, 06/27/2018 - 13:22
Deutschland und Frankreich schrauben an reformen der Euro-Zone. Unter anderem soll der Europäische Währungsfonds kommen. Die aktuellen Vorschläge sind allerdings nur begrenzt sinnvoll, meint Linken-Politiker Schirdewan.
Categories: Europäische Union

Professionnalisation des parcours universitaires de formation: La commission du programme AFEQ installée lundi à l’USTOMB

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 13:16

Par S. M.

La cérémonie d’installation de la commission du programme «Adéquation-Formation-Emploi-Qualification» (AFEQ) qui s’inscrit dans le cadre de la coopération, entre l’Algérie et l’Union européenne (politique européenne de voisinage) s’est déroulée, lundi matin, 25 juin en cours, à l’Université des Sciences et de la Technologie d’Oran ‘Mohamed Boudiaf’ (USTOMB) désignée, établissement universitaire pilote, dans la région ouest. L’installation de cette commission qui regroupe l’ensemble des intervenants dans ce programme visant l’adéquation des compétences aux besoins du marché de l’Emploi, à travers la professionnalisation des parcours d’études, a eu lieu, en présence de la rectrice de cet établissement et de l’ensemble des parties prenantes dans ce programme (Université, entreprises, associations, ANEM, ANSEJ…). L’USTOMB a été, en effet, choisie avec deux autres universités (Alger et Ouargla) pour la concrétisation de la 3ème composante de ce programme, avec pour objectif: le rapprochement de l’entreprise et les secteurs économiques du système de la Formation universitaire. La première composante de ce programme avait été confiée aux l’Université d’Alger et de Sétif et vise l’adaptation et l’insertion des jeunes diplômés, dans le monde du travail, alors que la deuxième composante, pilotée le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels, en partenariat avec les trois universités de Blida, Bejaïa et Boumerdès a pour objet l’adéquation Formation-Emploi pour la formation professionnelle et l’apprentissage. Ce programme d’une durée de 36 mois avait démarré, le 15 septembre 2017, et placé sous l’égide du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Il concerne, également, dans sa mise en œuvre, les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de la Formation et de l’Enseignement professionnels.

L’objectif général de ce programme est d’assurer une meilleure adéquation entre la Formation et l’Emploi, par une plus grande implication des entreprises et des secteurs économiques, dans la formation et l’insertion des jeunes. Il s’articule autour de trois objectifs spécifiques: assurer l’adaptation des qualifications aux exigences des offres d’emploi exprimées par les secteurs prioritaires, garantir l’adéquation structurelle entre la Formation et l’Emploi par le positionnement de l’entreprise et des secteurs économiques au cœur du système de la formation professionnelle et enfin permettre l’adéquation structurelle entre la Formation et l’Emploi par le rapprochement entre l’entreprise et le système de formation universitaire. «Ce programme est, donc, appelé à apporter une réponse, la plus efficiente possible, aux problèmes que rencontrent les jeunes dans leurs recherches d’emploi et dans l’insertion professionnelle, en visant à renforcer et à adapter leurs compétences et leurs acquis aux besoins des entreprises. Dans cet objectif, le programme a une approche territoriale forte, destinée à mobiliser, au niveau local, dans les bassins d’emploi des wilayas pilotes, les entreprises œuvrant dans les secteurs économiques prioritaires. Les wilayas d’Alger, Oran, Blida, Boumerdès, Béjaia, Sétif et Ouargla recevront les actions pilotes permettant de consolider les liens entre les entreprises et les acteurs du système éducatif. Une place forte sera accordée à la qualification et à l’emploi des femmes et de la population dite vulnérable».

The post Professionnalisation des parcours universitaires de formation: La commission du programme AFEQ installée lundi à l’USTOMB appeared first on .

Categories: Afrique

Geht Petkovic volles Risiko? Diesen Nati-Stars droht im Achtelfinal eine Sperre

Blick.ch - Wed, 06/27/2018 - 13:15

Lässt Nati-Coach Petkovic seine mit Gelb vorbelasteten Spieler draussen? Oder kämpft er mit der besten Elf um den Gruppensieg? Was denken Sie? Stellen Sie mit unserem interaktiven Tool Ihre Startaufstellung fürs letzte Gruppenspiel zusammen!

Es gäbe gute Gründe, heute im letzten Gruppenspiel gegen die bisher punktelosen Costaricaner zu taktieren. Denn mit Xherdan Shaqiri, Valon Behrami, Stephan Lichtsteiner und Fabian Schär sind vier Stammspieler mit einer Gelben Karte belastet. Bedeutet: Wenn sich einer dieses Quartetts heute gegen die Ticos nochmals eine Verwarnung abholt, wäre er im Achtelfinal gesperrt!

Ein Grund für Petkovic, gegen die Ticos seine Aufstellung zu überdenken?

Der Coach sagt gestern: «Überhaupt nicht. Wir wollen alles unternehmen, um die bestmögliche Effizienz auf de m Platz zu haben. Die Effizienz, die garantiert, dass wir drei Punkte holen werden.»

 

Auch Behrami rechnet damit, dass er in der Startelf steht – trotz einer Gelben Karte auf dem Konto. «Der Trainer stellt immer die beste Mannschaft auf. Ich will immer dabei sein. Ich habe im Spiel nicht immer im Hinterkopf, dass ich schon eine Gelbe kassiert habe. Wenn ich nochmals eine Gelbe bekommen sollte, wäre das aber sicher nicht ideal.»

Petkovics Marschroute ist wie gegen jeden Gegner. «Wir spielen auf Sieg, wollen, wenn möglich, den ersten Platz in der Gruppe.»

Bedeutet wohl, Petkovic bringt sein Stammpersonal: Den Gelb-Vorbelasteten Schär in der Innenverteidigung neben Akanji, Lichtsteiner als Rechtsverteidiger. Krieger Behrami im defensiven Mittelfeld neben Xhaka. Und Shaqiri auf dem rechten Flügel. Die Gelben Karten werden erst ab dem Viertelfinal gelöscht.

 

Ginge es nach den BLICK-Lesern würde die Schweizer Nati mit allen Gelb-Gefährdeten ins letzte Gruppenspiel steigen. Bei unsere Umfrage mit über 21'000 Teilnehmenden kristallisiert sich folgende Aufstellung heraus: Rodriguez, Akanji, Schär und Lichsteiner stellen die Abwehr. Behrami und Xhaka sollen die Verteidigung unterstützen und die Fäden im Mittelfeld ziehen. Die Offensive besteht aus Zuber, Embolo und Shaqiri.

Und die BLICK-User sind sich auch einig, wer als Knipser agieren soll: Mario Gavranovic. Dass Embolo tatsächlich zum Einsatz kommt, ist eher fraglich. Gavra dürften nach seiner tollen Leistung in der 2. Hälfte gegen Serbien nun im Duell mit Costa Rica zum Handkuss kommen. Es wäre die einzige Änderung gegenüber des Serbien-Spiels.

Categories: Swiss News

Albanie et Macédoine. Une ouverture des négociations en 2019 sous conditions

Bruxelles2 - Wed, 06/27/2018 - 13:15
(B2) Les ministres des Affaires européennes ont voulu, lors de la réunion du Conseil des Affaires générales à Luxembourg mardi (26 juin), envoyer un signal positif à l'Albanie et la Macédoine. Mais le feu vert est largement encadré. Ce qui le fait ressembler à un feu clignotant avertisseur d'un possible passage au feu rouge... Au […]

Cet article Albanie et Macédoine. Une ouverture des négociations en 2019 sous conditions est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

Hong Kong reaffirms UAE’s significant contribution to Belt & Road Initiative

Africa - INTER PRESS SERVICE - Wed, 06/27/2018 - 13:13

By WAM
Hong Kong, Jun 27 2018 (WAM)

By: Hatem Mohamed –  Abdullah Al Saleh, Under-Secretary for Foreign Trade Affairs at the UAE Ministry of Economy, has commended the robust relations between the UAE and Hong Kong, reaffirming the UAE’s continued contribution to the Belt & Road Initiative, aimed at promoting cooperation ties between countries of the region.

"The strategic position boasted by the UAE as a global transit route for international logistics and international trade between East and West, enables the country to bolster its contributions to the ambitious Belt & Road Initiative which is conducive to effecting significant changes and a new era in international trade,"
Abdullah Al Saleh, Under-Secretary for Foreign Trade Affairs at the UAE Ministry of Economy


“The strategic position boasted by the UAE as a global transit route for international logistics and international trade between East and West, enables the country to bolster its contributions to the ambitious Belt & Road Initiative which is conducive to effecting significant changes and a new era in international trade,” Al Saleh said during the Roundtable Lunch he had today with at the Chinese General Chamber of Commerce in Hong Kong, where he is leading the UAE delegation to the BnR Summit, opening tomorrow in Hong Kong.

“The UAE is now the second largest Arab economy and has secured great strides over the past years that earned the country a prestigious position on the global trade map thanks to its investment-friendly environment, application of best practices, and resilient logistics sector,” Al Saleh said during his meeting with the Vice Chairman of the Chinese General Chamber of Commerce, Brandon Liu.

“UAE and Hong Kong have several advantages in common, including the adoption of a liberal economic policy,” he added, underlining the robust re-export sector the two sides have.

The Belt and Road Summit, organised by the Government of the Hong Kong Special Administrative Region and Hong Kong Trade Development Council, brings together senior government officials, representatives of international institutions, business leaders and industry experts from countries along and beyond the Belt and Road to exchange views on multilateral co-operation and explore new business opportunities arising from the Belt and Road Initiative.

Al Saleh presented the key investment incentives provided by the UAE to accelerate FDI inflows into the country, including resilient legislation, strong infrastructure facilities, and advanced technologies across all fields.

He called on Hong Kong investors to benefit from the country’s coveted geographical position, which gives Hong Kong companies a streamlined access to the MENA region.

For his part, the Hong Kong senior official underscored the growing interest of Chinese investors in continuing to establish fruitful strategic relations with the UAE.

He reaffirmed the significant role assumed by the UAE in the BnR Initiative.

WAM/Hatem Mohamed/Tariq alfaham

The post Hong Kong reaffirms UAE’s significant contribution to Belt & Road Initiative appeared first on Inter Press Service.

Categories: Africa

Des lectures pour l'été 2018

Courrier des Balkans - Wed, 06/27/2018 - 13:12

Ne bouclez pas vos valises avant d'y glisser un ou deux livres !
Vous pouvez choisir d'emporter celui que vous avez toujours voulu lire, celui que vous devez lire absolument, celui que vous avez déjà lu mais que vous voulez relire, celui que vous avez perdu sans espoir de le retrouver, celui que vous avez prêté et qui vous est revenu tout corné avec une tache de café, et enfin celui que vous auriez voulu écrire et que quelqu'un d'autre a écrit bien mieux que vous ne l'auriez fait....
Commençons par (...)

Categories: Balkans Occidentaux

Braquage de l’agence Attijari Bank de Tensoueilim : Libération des 3 jeunes après 22 jours de garde à vue

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/27/2018 - 13:12
Le Calame - Après 22 jours de garde à vue, les 3 jeunes arrêtés suite au braquage de l’agence d’Attijari Bank de Tensousseilim (Dar...
Categories: Afrique

“Time is Brain”: How ERDF funds save lives in Berlin

Euractiv.com - Wed, 06/27/2018 - 13:07
The most comprehensive EU regional development instrument is the European Regional Development Fund (ERDF). But in most cases, its work remains largely unknown to the public. An example from Berlin shows how it literally saves lives. EURACTIV Germany reports.
Categories: European Union

Unnötig teure Medizin: «Warum soll es im Spital toller sein als zu Hause?»

Blick.ch - Wed, 06/27/2018 - 13:05

Das Gesundheitswesen in der Schweiz verschlingt pro Jahr 80 Milliarden Franken, doppelt so viel wie noch vor 20 Jahren. Das müsste nicht sein, sagt Brida von Castelberg, ehemalige Chefärztin für Gynäkologie im Triemlispital Zürich.

Beat Glogger : Frau von Castelberg , die Bevölkerungszahl steigt und die Menschen werden immer älter, müssen also länger gepflegt werden. Ist es nicht logisch, dass die Ausgaben im Gesundheitswesen steigen?

Brida von Castelberg: Die Menschen werden zwar älter, aber sie bleiben gleichzeitig länger gesund – gerade weil die Medizin so gut ist, weil die Ernährung und die Lebensumstände besser sind. Kostenintensiv sind vor allem die letzten zwei Lebensjahre, und die haben sich verschoben. Allerdings wird die Bevölkerung als Ganzes nicht nur älter, durch die Migration kommen junge Menschen ins Land und die Geburtenrate steigt wieder. Was unschön «Überalterung» genannt wird, ist nicht das Hauptproblem unserer Medizinkosten.

Was sind denn die wahren Kostentreiber?

Ein Teil ist mangelnde Effizienz. Man schätzt, dass allein durch Effizienzsteigerungen ungefähr 20 Prozent der Kosten einzusparen wären. Wenn man wie ich im Spital gearbeitet hat, weiss man, dass diese 20 Prozent noch tief gegriffen sind.

Wo genau ist man zu wenig effizient?

Zum Beispiel gibt es Doppelerfassungen und es werden Daten erhoben, die niemand braucht. Heute beschäftigen sich Assistenzärzte nur in 30 Prozent ihrer Arbeitszeit mit Patienten, der Rest geht für die Administration drauf. Und das ist einer guten Medizin nicht förderlich.

Wer treibt denn diese Bürokratisierung an, wenn es doch eine offensichtliche Fehlentwicklung ist?

Vieles fällt unter das Label Qualitätsverbesserung. Da werden enorm viele Daten gesammelt, in der Hoffnung, so die Qualität zu verbessern. Das mag zu einem gewissen Grad stimmen. Aber es wird auch vieles aufgezeichnet, was nichts bringt. Es ist schwierig zu kontrollieren, ob das was gemacht wird, überhaupt nötig ist.

Heute verfügt fast jedes Spital über modernste Geräte wie MRI oder PET-Scanner – treibt auch die Hightech-Medizin die Kosten in die Höhe?

Das muss man differenziert anschauen. Mit diesen Geräten lassen sich sehr gute Untersuchungen machen. Mit dem PET-CT etwa findet man kleinste Krebsableger im Körper. Wird die Methode gezielt angewendet, ist sie sehr effizient, denn so übersieht der Arzt nichts, das den Patienten am Schluss umbringen könnte. Ich glaube aber, dass zu vieles rein technisch abgeklärt wird. Patienten werden kaum noch von einem Arzt untersucht, sondern gleich in die Röhre geschoben.

Man hört, die Patienten verlangen solche Untersuchungen.

Es gibt nur wenige fordernde Patienten. Häufig ist es eine Frage der Kommunikation. Der Arzt muss mitteilen, warum er etwas macht, und eben auch, warum er etwas nicht macht. Das braucht zwar mehr Zeit, dafür kann man Geld sparen. Ausserdem: Wenn man alle Leute einfach in die Röhre schiebt, wird man bei jedem über 50-Jährigen irgendwas finden. Das kann aber völlig irrelevant sein. Trotzdem will der Arzt als nächstes vom entsprechenden Organ eine Probe nehmen. Und schon sind wir in der Kostenspirale.

Sie sagten auch schon, der Luxus in Spitälern sei «grotesk». Worin besteht dieser Luxus?

Fenster bis an den Boden, Einzelzimmer oder im Maximum Zweierzimmer, eine Speisekarte mit grosser Auswahl. Warum soll es im Spital toller sein als zu Hause? Wichtig ist doch, dass die Pflege und die Ärzte gut sind. Am Schluss sind es die Krankenkassen, die den Luxus bezahlen.

Zwei Drittel der Schweizer Bevölkerung sind aber mit dem Gesundheitssystem zufrieden.

Man muss der Bevölkerung eben sagen, was sie wirklich bezahlt. Da sind einerseits die Prämien – jedes Jahr vier Prozent mehr. Andererseits, und das weiss kaum jemand, ist rund ein Drittel der Prämien subventioniert, weil die Menschen sich diese nicht mehr leisten können. Das sind vier Milliarden Franken Steuergelder jährlich – gleich viel wie das gesamte Verteidigungsbudget.

Was schlagen Sie vor?

Eine staatlich definierte Obergrenze, wie viel das System kosten darf. Konkret: dass die Gesundheitskosten nicht stärker wachsen dürfen als das Bruttoinlandprodukt. Momentan steigen die Gesundheitskosten vier Prozent im Jahr, das BIP aber nur 2,1 Prozent. Diese Differenz muss irgendwo eingespart werden – zum Beispiel in der Bildung, im Umweltschutz oder beim Sozialen. Das darf nicht sein, so wichtig ist die Gesundheit auch wieder nicht.

Damit hätten Sie erst ein Kostenziel definiert, wie aber erreicht man dieses?

Der Bundesrat oder die Kantone könnte per Verordnung Massnahmen erlassen, etwa Zulassungsbeschränkungen von Ärzten.

Weniger Ärzte bedeutet doch nicht weniger Kranke.

Doch. In Regionen mit einer hohen Dichte bestimmter Spezialärzte sind entsprechende Operationen häufiger. Aber man kann mir doch nicht sagen, dass die Leute in einem Kanton mit vielen Orthopäden kaputtere Knie haben als in einem anderen. Es wird einfach zu schnell operiert, dabei könnte vielleicht eine Physiotherapie ein ebenso gutes Resultat erzielen. Man könnte also regionale Obergrenzen für Spezialärzte definieren und so die Kosten senken.

Ihr Bericht für den Bundesrat schlägt über 30 Massnahmen vor. Was ist sonst noch dabei?

Zum Beispiel der Experimentierartikel. Damit könnte man eine bestimmte Kostendämpfungsmassnahme testweise in einem Spital oder Kanton einführen, ohne gleich das Gesetz zu ändern. So könnte man schauen, ob sich die Massnahme bewährt, bevor man sich definitiv dafür oder dagegen entscheidet.

Wie heisst das für die Patienten?

Ein Spital bräuchte beispielsweise nicht mehr Hunderte Daten erfassen, sondern die Patienten einfach in Leicht-, Mittel- und Schwerkranke einteilen. Nach einem Jahr könnte man schauen, ob dank weniger Administration mehr Zeit für die Patienten blieb – und wer letztendlich zufriedener war.

Bringen denn die Daten nicht auch Vorteile, von denen die gesamte Bevölkerung profitiert?

Nur irgendwelche Daten zu sammeln, bringt nichts. Man müsste die richtigen erfassen. Zum Beispiel fehlen heute sogenannte Outcome-Daten, also wie das Endresultat und die Langzeiteffekte einer Behandlung aussehen.

Als unnötige Massnahmen prangern Sie auch Chemotherapien an.

Zuerst mal: Chemotherapien können extrem sinnvoll sein, denn sie können Tumore zum Verschwinden bringen, aber eben nicht alle. Eine Untersuchung aus den USA zeigt, dass die letzten 71 Krebsmedikamente, die neu auf den Markt kamen, das Leben der Patienten im Schnitt um zwei Monate verlängert haben. Diese zwei Monate können bis zu 100’000 Franken kosten.

Wenn ich Krebspatient wäre, wie würden Sie mir sagen, dass Sie mir ein Medikament nicht geben, weil es zu teuer ist?

Darum geht es nicht. Ich würde Ihnen sagen, dass ich Ihnen das Medikament nicht verabreichen will, weil es Ihnen nicht viel nützt und dazu noch starke Nebenwirkungen verursacht.

Sie selbst sind vor zwei Jahren schwer krank und nahe am Tod gewesen und durchliefen eine Chemotherapie. Wie haben Sie selbst dafür oder dagegen entschieden?

Der Fall war so klar, wenn man da keine Chemotherapie macht, ist man einfach blöd. Das war sicher keine unnötige Behandlung.

Zuvor waren Sie selbst lange Teil des Systems, jetzt kritisieren Sie es. Haben Sie nicht auch profitiert von dieser Medizinindustrie?

Ja, natürlich. Allerdings ist die Frauenheilkunde vergleichsweise wenig industrialisiert. Bei Geburten entscheidet meist die Natur. Deshalb bin jetzt immer wieder überrascht, wenn ich mich mit der Gesundheitspolitik auseinandersetze.

Das heisst, Sie wussten nicht, welche Kosten Sie verursachen?

Ich wusste relativ wenig, obwohl ich mich darum bemüht habe. Wir haben im Spital Wettbewerbe veranstaltet, bei denen man die Kosten von Behandlungen schätzen musste. Viele von uns hatten keine Ahnung. Das hat sich bis heute nicht geändert.

Viele Spitäler sind heute Aktiengesellschaften, selbst öffentliche Spitäler. Ist es nicht unsinnig, von einer AG zu verlangen, Kosten zu sparen? Man kann auch nicht von einem Bäcker verlangen, möglichst wenig Brot zu verkaufen.

Wenn die AG nicht gewinnbringend ist, geht das. Es ist sogar die bessere Organisationsform, denn man kann schneller reagieren, als ein staatliches Spital. Anders sieht es natürlich aus, wenn eine Investorengruppe dahinter steht. Die möchten Gewinn erzielen.

Sie haben sich schon früher unbeliebt gemacht, weil Sie das Brust-Screening für Frauen kritisierten.

Jeder Frau routinemässig die Brust zu röntgen bringt nichts. Wenn man 1000 Frauen zehn Jahre lang screent, sterben vier davon an Brustkrebs. Wenn man es nicht macht, sterben fünf von 1000. Dafür verunsichert man 1000 Frauen, es gibt falsche Alarme, das führt zu unnötigen Belastungen und Eingriffen. Auch medizinisch spricht einiges dagegen. In der Brust, wie auch in der Prostata, gibt es kleine Krebsgeschwüre, die die Person nie ernsthaft bedrohen werden, weil sie so langsam wachsen oder die Patientin so alt ist, dass sie nicht daran sterben wird. Mit dem Mammografie-Screening findet man vor allem diese Krebse, also letztlich jene, die nicht relevant sind.

Dann raten Sie Frauen also von der Mammografie ab.

Vom regelmässigen Screening schon. Aber man darf es nicht mit der Abklärungsuntersuchung verwechseln, die dann erfolgt, wenn ein Befund vorliegt. Dann sind Mammografien sehr sinnvoll.

Immer wieder in Diskussion sind auch die Löhne der Ärzte. Was läuft da falsch?

Es gibt falsche Anreize: etwa Boni, wenn Ärzte eine gewisse Anzahl Patienten oder Eingriffe erreichen. So wollen die Spitaldirektoren ihr Spital füllen. Und es gibt auch staatlich verordnete Anreize mit schlechten Folgen. Zum Beispiel dürfen gewisse Eingriffe nur in Spitälern durchgeführt werden, die eine genügende Zahl davon vornehmen. Nur diese haben genügend Erfahrung darin, so die Überlegung. Das stimmt zwar. Wenn aber im Dezember die vorgegebene Zahl einer Operation noch nicht erreicht ist und die Erlaubnis fürs nächste Jahr auf dem Spiel steht? Dann finden Sie die fehlenden Patienten mit Sicherheit – egal ob es für diese die medizinisch beste Lösung ist oder nicht.

Warum Brida von Castelberg sich hat frühpensionieren lassen, was sich in der Medizin in den letzten 35 Jahren verändert hat und wie Ärzte-Boni die Behandlung beeinflussen, lesen Sie in der Fortsetzung des Interviews auf higgs.

Categories: Swiss News

D’une capacité de 800 lits: Réception de 07 nouveaux établissements hôteliers, le mois prochain

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 12:58

Par J. Boukraâ.

Sept établissements hôteliers et touristiques, de différents niveaux de classification, seront mis en exploitation le mois de juillet, à Oran, a indiqué le directeur local du Tourisme et de l’Artisanat. D’une capacité de 800 lits, ces établissements vont permettre la création de 341 emplois. Parmi ces projets, le centre de thalassothérapie, au Complexe ‘Les Andalouses’ dans la commune d’El Ançor, l’Ecole d’hôtellerie, l’Aqua-parc de Kristel, dans la commune de Gdyel et des hôtels à l’USTO, Les Falaises. Ces lits s’ajoutent à plus de 13.000 lits disponibles au parc hôtelier d’Oran, qui compte actuellement 168 hôtels exploités. Le même responsable a ajouté que plus de 174 projets hôteliers et touristiques, d’une capacité de 27.000 lits, sont en cours de réalisation, à Oran. Ce sont près de 10.000 emplois qui sont prévus d’ici les Jeux méditerranéens de 2021, dans la wilaya d’Oran; un atout et un dynamisme qui devraient avoir un impact sur la croissance de toute la région et bien au-delà. Dans le cadre de la stratégie d’équilibre géographique entre les 26 communes de la wilaya, le secteur du Tourisme œuvre à ce que chaque commune puisse avoir, au moins, 4 hôtels, surtout les communes défavorisées afin d’attirer les investissements, notamment Misserghine, Boutlélis, Oued Tlélat, El Braya et Boufatis. Les perspectives d’investissements dans l’hôtellerie, soit plus d’une centaine d’hôtels, en cours de réalisation, ont poussé l’ensemble des partenaires à mettre en place un véritable plan d’action pour attirer des jeunes demandeurs d’emplois et les orienter vers la formation et l’apprentissage, une meilleure formule, en la circonstance. De même pour la formation professionnelle, l’enjeu est de taille : dispenser des formations de qualité, proposer des spécialités, en adéquation avec les besoins sur le marché du travail. Oran, qui prépare les JM 2021, est devenue un chantier ouvert aux projets de structures hôtelières, de restaurants nécessitant une main-d’œuvre qualifiée pour assurer une meilleure qualité de services. Le nombre de jeunes sans qualification et demandeurs d’emploi est grand. Il serait donc utile de les former et de les orienter vers les métiers de l’hôtellerie, un secteur où il y a beaucoup de visibilité. A Oran, des investisseurs dans le secteur de l’Hôtellerie sont confrontés à un manque de personnel qualifié dans ce domaine, d’où le souci d’informer les jeunes sur les possibilités de formation, dans le domaine de l’Hôtellerie. L’ANEM mise sur la formation de la catégorie des 16-20 ans ayant un niveau d’instruction faible ou sans niveau pour les former dans les métiers du Bâtiment et du Tourisme comme les réceptionnistes, les agents de restaurant, les manœuvres, les électriciens et autres métiers.

The post D’une capacité de 800 lits: Réception de 07 nouveaux établissements hôteliers, le mois prochain appeared first on .

Categories: Afrique

Saison estivale 2018: 21 plages interdites à la baignade à Alger (Responsable)

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 12:57

Quelque 66 plages ont été autorisées à la baignade par les services de la wilaya d’Alger qui ont interdit 21 plages à la baignade pour la saison estivale 2018 au niveau de la wilaya d’Alger,  a-t-on appris de la Direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger.

Le lieutenant Khaled Ben Khalfallah a déclaré à l’APS que « les autorités de la wilaya ont décidé d’interdire la baignade dans ces plages en raison du manque d’aménagement, de l’inexistence de voies d’accès aux plages, de la pollution et de la qualité des eaux non conformes aux normes de santé et d’hygiène publiques ».

« Il s’agit des plages Champs de tir (Zeralda), traitement par les eaux de mer (Staoueli), la Fayette, Belverde (Hammamet), Dominique (Ain Benian), Aouina Hosni 2, la plage des sports aquatiques (Rais Hammidou), la plage le petit Bassin, El-Djemiline, l’Olivier (Bologhine), Remila (Bab El-Oued),  Kaa Sour (Casbah), Sablettes (Belouizdad), Mazela, Lido (Mohammadia),  Stamboul (Bordj El Kiffan) et Coco plage (Bordj El Bahri) et Zerzouria (Ain Taya).

La protection civile mobilise environs 600 maitres-nageurs saisonniers  afin de sécuriser les plages d’Alger

M. Benkhelfallah a souligné que la Direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger a mobilisé cette année 685 agents de la Protection civile et  maitres-nageurs dont 574 saisonniers et plongeurs ainsi que des moyens  matériels englobant des équipements à l’image de bateaux de sauvetage et des ambulances.

Le responsable a saisi cette occasion pour appeler les estivants à la  vigilance pour éviter les cas de noyade et à surveiller les enfants,  notamment au niveau des plages qui connaissent une grande affluence.

La Direction générale de la protection civile lancera, la semaine  prochaine, comme chaque année, des compagnes de sensibilisation aux dangers  qui guettent la saison estivale, a souligné M. Benkhelfallah.

Le même responsable a rappelé le bilan de la saison estivale 2017, qui  avait enregistré plus de 3,5 millions d’estivants à travers les différentes  plages d’Alger où le nombre d`interventions de la protection civile était  de 2.865 interventions durant lesquels 671 personnes ont été sauvées dont  369 enfants et 1.679 personnes ont été secourues enregistrant 6 cas de noyade à travers les plages. APS

The post Saison estivale 2018: 21 plages interdites à la baignade à Alger (Responsable) appeared first on .

Categories: Afrique

EZB: Firmenkredite auf Langzeithoch

Euractiv.de - Wed, 06/27/2018 - 12:51
Gute Nachrichten für die Wirtschaft: dank des günstigen EZB-Geldes vergeben Banken in der EU so viele Kredite wie seit neun Jahren nicht mehr.
Categories: Europäische Union

Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP): La dépénalisation de l’acte de gestion, encore et toujours

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 12:51

 G. O.

Lakhdar Rekhroukh avait rappelé en mai dernier aux pouvoirs publics que «la dépénalisation de l’acte de gestion est restée au stade de l’approche sans toutefois aboutir à l’orthodoxie en la matière».

A cette date, Lakhdar Rekhrouk-en tant que président de l’organisation des gestionnaires publics-, réunissait le conseil national, (organe dirigeant de l’Union, après l’Assemblée générale). «Le règlement définitif de la question de la dépénalisation de l’acte de gestion demeure, bien évidemment, la dynamique essentielle visant la libération des énergies et des initiatives», a-t-il soutenu. «Les démarches entreprises, à ce propos, par les pouvoirs publics sont restées au stade de l’approche sans toutefois aboutir à l’orthodoxie en la matière». Il a souligné à cet effet, que «le dernier amendement du code de procédure pénale recentre le statut de l’entité économique en lui conférant les prérogatives pour l’initiation de l’action publique (le dépôt de plainte est désormais du ressort des organes sociaux de l’entreprise), mais le code pénal dans son article 119 bis en relation avec la loi relative à la prévention et à la lutte contre la corruption (06-01) dans son article 02 autorise l’interpellation des cadres gestionnaires en leur qualité d’agents publics dès lors qu’ils sont définis comme tels». L’UNEP a revendiqué «notamment lors des tripartites et à l’occasion des différents débats sur la question, d’extirper de l’article 02 de la loi en question, l’entreprise publique quel que soit son statut».

La mise en place d’une politique de rémunération de la responsabilité et la rétribution de l’effort économique «indispensable à la valorisation, au maintien et à la stabilité de l’encadrement et de la main-d’œuvre qualifiée» a aussi figuré parmi les revendications de l’UNEP. Elle a aussi appelé à la mise en place d’«un dispositif additif amendant la réglementation en vigueur relative à la mobilité de la main-d’œuvre qualifiée, la formation et l’utilisation permanente du personnel spécialisé».

Son président avait tout au début de son intervention regretté «les effets des réactions et opinions qui stigmatisent l’absence d’initiatives des entreprises publiques économiques (EPE), lesquelles se complairaient dans des situations de bénéficiaires exclusifs des apports et des actions d’assainissement de l’Etat».

Il a estimé alors que «ces mesures des pouvoirs publics doivent être restituées dans leur véritable contexte et être présentées dans leur portée d’exception par certains cas, ce qui ne veut en aucun cas dire que ces actions ponctuelles sont générales».

Comme pour rappeler que l’organisation publique a été interdite de siéger au niveau des tripartites pendant longtemps sur instruction de Ahmed Ouyahia alors 1er ministre, Rekhroukh a noté que «quand l’opportunité lui a été donnée, l’UNEP a milité pour l’organisation institutionnelle du secteur encadrant les capitaux marchands de l’Etat. «Cette revendication est de nature à clarifier les rapports entre l’Etat actionnaire et l’entité économique publique que la législation et la réglementation en vigueur conçoivent selon des concepts universels qui lui confèrent des statuts privés pour une appartenance au secteur concurrentiel à risque», a-t-il précisé.

Or, relève-t-il, «aujourd’hui les pratiques qui ont prévalu à l’époque de l’entreprise socialiste semblent reprendre du chemin avec le retour, de manière frontale, au concept de ministère chargé de la supervision pour lequel l’appellation de tutelle semble prévaloir».

Il s’est exclamé alors «chassons le naturel, il revient au galop !» L’UNEP avait proposé, a-t-il noté, «la création d’une entité ou d’une structure ayant un statut particulier qui soit chargée de la supervision du secteur public économique dont les prérogatives seraient encadrées par la législation et la réglementation en vigueur en matière de gestion des capitaux marchands de l’Etat où les actions seraient omniprésentes». Autres propositions, «les alternatives pour le financement des projets publics, dans le cadre du partenariat public/privé consacré par la règlementation sous l’initiative de délégation de service public». L’on note que l’UNEP a été la première organisation à exposer la problématique du PPP. C’était lors de la tripartite qui s’était tenue à Biskra en présence du directeur général du BIT.

Dans son discours de mai dernier, le président de l’UNEP avait mis en avant en même temps «la mise en place d’un dispositif pour l’exportation des activités des entreprises (…)». Rekhroukh avait souligné que «les procédures auxquelles l’EPE est soumise sont lourdes et ne lui permettent pas de s’acquitter des missions qui lui sont imparties dans cette perspective, avec le souci d’une conduite efficace des charges qui lui incombent».

The post Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP): La dépénalisation de l’acte de gestion, encore et toujours appeared first on .

Categories: Afrique

Sargentini nem tud leállni Magyarország szidásában, de jöttek a magyarok

EU Pályázati Portál - Wed, 06/27/2018 - 12:47
A brüsszeli bürokrata még ki sem heverte a tegnapi facebookos lebőgését, ma reggel ismét közösségi oldalán magyarországozott és jogállamiságozott. A magyarok ezúttal sem értékelték az akcióját, teljes támadást indítottak a bejegyzése alatt. Az eset tökéletes mintapéldánya annak, hogy a brüsszeli politikai elit nem hallja meg az átlagemberek kritikáit, nem is akarja, inkább izomból politizál. Erre való reakcióként egy új hungarikum született: a magyar Facebook-hadviselés. Sargentini kontra magyar emberek IV. rész.
Categories: Pályázatok

Marketing hôtelier: des journées pour s’informer

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 12:45

C’est aujourd’hui que s’ouvriront à l’hôtel El Aurassi, les 5èmes Journées internationales du marketing hôtelier. Elles se tiendront sous le parrainage du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, avec la participation active du Groupe HTT et de la Fnth. Des questions inhérentes à la formation occuperont une bonne partie du programme. Pour Les organisateurs «l’hôtellerie doit se préparer dès maintenant à repenser ses lieux publics pour permettre les rencontres professionnelles, les discussions et les échanges. Comment faire du client l’excellent ambassadeur, c’est la question qui sera au coeur de cet événement. Il est impossible d’aborder le thème de la gestion hôtelière sans aborder celui des services, les gestionnaires des établissements hôteliers anciens ou nouveaux relevant du groupe HTT ou pas saisiront cette opportunité pour s’informer des nouveautés qui caractérisent le marketing hôtelier, parce que selon des experts, l’hôtellerie et le marketing hôtelier font face à une révolution depuis plusieurs années: une révolution due à une évolution des modes de vie et modes de consommation, de nouvelles attentes des clients, mais également une évolution technologique entraînant de nouveaux moyens de recherche d’information, de comportement d’achat, de partage d’avis. De nombreux établissements indépendants ferment leurs portes alors que de nouveaux modes d’hébergements avec des concepts novateurs se développent et de grands enjeux pour le recrutement en hôtellerie, c’est l’analyse des professionnels qui évoquent avec insistance l’importance de cet outil de communication dans le développement de l’hôtellerie. Le Gabon sera présent à ces journées, il sera représenté par des experts du tourisme et du commerce, pour exposer leur expérience et bénéficier des échanges qui auront lieu lors de cet événement Les écoles de formation y prendront part notamment l’Eshra, l’Enst, l’Ecole nationale de formation du tourisme de Tizi Ouzou. On évoquera durant les 48h de débat, le système d’information et son rôle dans l’amélioration de la qualité de gestion, le phénomène foodies, une réelle tendance pour booster l’attractivité hôtelière, dualité tourisme hôtelier et tourisme, pays à l’épreuve des produits-concepts- la potentialité de l’Algérie. Pour enrichir ce programme, il était indispensable que l’on évoque «le revenu management» et sa relation avec le marketing. Le P-DG du Groupe Medialgeria, quant a lui évoquera pour la première fois l’impact des influencers ou encore Vision algérienne réalisation concrète: l’apport de l’Eshra, l’expérience gabonaise dans l’hôtellerie d’hier à aujourd’hui, le développement de l’hôtellerie dans le secteur touristique et bien d’autres thèmes.

The post Marketing hôtelier: des journées pour s’informer appeared first on .

Categories: Afrique

LIVE: Migration, eurozone test EU unity at fateful June Summit

Euractiv.com - Wed, 06/27/2018 - 12:45
EU leaders are meeting on 28-29 June to bash out a solution to the divisive issue of migration, which should help Chancellor Angela Merkel preserve her fragile government, and lay the groundwork for a scaled-down package of eurozone reforms wanted by French President Emmanuel Macron.
Categories: European Union

Paramètres de gestion et chiffres clés du groupe Cosider: Le redéploiement comme issue pour la survivance de l’entreprise

Algérie 360 - Wed, 06/27/2018 - 12:42

Par Ghania Oukazi.

«Durant l’exercice 2017, le cumul des contraintes a réduit considérablement le champ d’action des entreprises économiques du fait de la réduction des projets de développement rendue obligatoire par les restrictions des finances publiques».

C’est le directeur général de Cosider qui l’a affirmé lundi dernier lors d’une cérémonie organisée à l’hôtel El Aurassi en l’honneur de l’ensemble des travailleurs du groupe. «Un espace de reconnaissance à l’ensemble des travailleurs de notre entreprise(…) consacré chaque année à la présentation des principaux paramètres de gestion et les chiffres clés réalisés par le groupe Cosider», a souligné Lakhdar Rekhroukh.

Si 2016 était, selon lui, «une année ordinaire par la progression des performances de l’entreprise, et ce en relation avec un climat des affaires et un environnement favorable», 2017 a été marquée par «le cumul des contraintes» qui ont engendré la réduction du champ d’action des entreprises économiques «du fait de la réduction des projets de développement», conséquence «des restrictions des finances publiques.»

Rekhroukh fait part alors du « rétrécissement de la commande publique, du climat d’incertitude pesant sur la poursuite de certains projets déjà lancés, l’annulation ou le gel de projets en cours de lancement, les lenteurs dans la prise de décision liées aux expropriations nécessaires à la prise de possession des emprises de projets…» Avec ça, le DG assure que «durant cet exercice, Cosider a été parmi les entités qui ont réussi le maintien de leur croissance». Il avoue toutefois que ça a été fait «non sans des sacrifices consentis au détriment des équilibres de la trésorerie et de quelques principes au niveau de l’organisation.»

L’exercice 2017 a été marqué, souligne encore Rekhroukh, «par des contraintes économiques d’une tendance structurelle (qui) nous a obligé à plus de rigueur et de discipline.» Ceci étant, Cosider reste «forte», selon son DG, par «les marques de reconnaissance de notre environnement, la confiance de nos clients du fait de la qualité des prestations avec lesquelles nous mettons en exécution nos réalisations». Ces particularités, dit-il encore, sont aussi « le résultat d’un long parcours de pratique du marché, d’un apprentissage de la valeur et de la conduite cohérente d’un ensemble d’activités organisées et menées autour de métiers supplémentaires». Le groupe Cosider, assure-t-il, « a acquis dans le secteur du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique, des références que nous tenons à défendre et à promouvoir». Il estime que « Cosider devient ainsi de plus en plus un partenaire important, voire incontournable pour le secteur (de la réalisation), notamment pour le rôle qu’elle peut jouer et doit jouer dans la réduction des transferts, suscités par le recours à l’expertise étrangère». Rekhroukh rappelle que «l’option prise par les pouvoirs publics pour le recentrage de l’économie sur l’outil national et notamment la consolidation des grandes entreprises et des grands groupes économiques, constitue pour nous un choix qui nous met devant de grandes responsabilités». Il explique que « cette situation, bien qu’elle nous soit profitable, nous soumet à une pression permanente qui requiert de nous une amélioration soutenue de nos moyens de réalisation du fait que seuls les projets de développement stratégiques seront mis en vigueur». Il estime ainsi qu’ «un effort de redéploiement constituerait désormais l’issue pour la survivance de l’entreprise.»

Il prévient que «même si nous clôturons l’exercice avec un plan de charge de plus de 425 milliards de DA, représentant un peu plus de 30 mois d’activité, les difficultés économiques actuelles, si elles s’inscrivent dans la durée, un impact de déclin sera fatal pour tous les acquis de l’entreprise».

The post Paramètres de gestion et chiffres clés du groupe Cosider: Le redéploiement comme issue pour la survivance de l’entreprise appeared first on .

Categories: Afrique

Parlementaires : Nous avons visité Zeravia, et il y'a des villages qui vivent situation pire (Photos)

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/27/2018 - 12:39
Adrar - Des parlementaires du parti Rassemblement National pour la Réforme et le Développement "TAWASSOUL", ont visité la localité de...
Categories: Afrique

Debate: Trade war: Harley-Davidson wants to avoid tariffs

Eurotopics.net - Wed, 06/27/2018 - 12:38
Harley-Davidson wants to shift part of its motorbike production overseas to avoid having to raise prices for customers in Europe due to the EU's retaliatory tariffs on US goods. A bitter setback for Trump in the trade war with the EU?
Categories: European Union

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.