Traduction en Conseil de discipline des professeurs et élèves, auteurs de grossesses. C'est ce qu'a ordonné le Professeur Mahougnon Kakpo, dans sa lettre adressée ce mardi 05 juin, aux Directeurs Départementaux des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle.
« En attendant les conséquences pénales qu'encourt tout auteur de pareils actes, il est demandé aux chefs d'établissements d'engager sans délai contre les élèves et les professeurs, auteurs de grossesses sur des élèves filles, la procédure devant les conduire en conseil de discipline, conformément aux textes en vigueur », a déclaré Prof. Mahougnon Kakpo. Cette mesure est décrétée par le ministre, suite à l'analyse des fichiers statistiques que les directeurs départementaux lui ont envoyés et qui montrent que des professeurs et des élèves sont auteurs de grossesses en milieu scolaire. Pour lui, ce phénomène ne garantit pas l'égalité des chances à laquelle le Gouvernement est intimement attachée pour le développement harmonieux et durable du pays. Les directeurs sont tenus de lui rendre compte de leur diligence au plus tard le lundi 11 juin 2018.
« Les enseignants auteurs de grossesse en milieu scolaire, seront purement et simplement radiés de la fonction publique », avait déclaré le ministre, il y a quelques jours, lors de sa tournée dans les établissements de l'Ouémé et du Zou.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
L’ancien ministre des Transports et député, Boudjema Talai et son collègue parlementaire d’Annaba, Baha-Eddine Tliba, seraient sur le point d’enterrer la hache de guerre, eux qui, jusqu’il y a quelques jours, continuaient de s’échanger, par presse et réseaux sociaux interposés, des accusations d’une extrême gravité. Selon nos informations, c’est l’ex-directeur de cabinet d’Abdelmalek Sellal, Mustapha Karim Rehiel, ami commun des deux personnages, qui mènerait une action de bons offices pour les réconcilier. C’est dans ce cadre que le député d’Annaba a été vu récemment à la résidence d’Etat de Club des Pins en compagnie de Rehiel. Mais ce dernier va-t-il arriver à apaiser la tension entre les deux hommes ? Des observateurs parient que le clan va finir par se reformer.
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Le P-DG de Linde Algérie, Pierre Chevallier, a été démis de ses fonctions hier, apprend-on de sources sûres. Le directeur financier de l’entreprise ainsi que le directeur des ressources humaines ont été également licenciés. Pierre Chevallier dirigeait Linde Algérie depuis 2010. Sous sa houlette, l’entreprise a investi plus de 100 million d’euros en Algérie. Linde dispose, entre autres, de dix unités de production, de distribution et de commercialisation de gaz de l’air (oxygène, azote et argon), de l’acétylène, de l’anhydride carbonique, du protoxyde d’azote, de l’air comprimé et de mélanges gazeux.
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Alors qu’il devait accompagner son épouse au pèlerinage de La Mecque en tant que “mahram”, selon le langage usité dans le domaine, un citoyen de la commune d’El Achour s’est vu refuser par les services de la wilaya d’Alger l’octroi d’un passeport spécial hadj. La procédure veut en effet qu’une femme dont le nom est retenu suite au tirage au sort effectué dans ce cadre se fasse accompagner par un membre de sa famille.
Cela constitue une obligation. Mais le concerné n’a finalement pu retirer que le passeport hadj de sa femme. Il a saisi le ministère de l’Intérieur à deux reprises, mais en vain.
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Dans un ouvrage à paraître le 11 juin prochain, en France, Tassadit Yacine, anthropologue, spécialiste du monde, qui a travaillé durant de longues années avec l’auteur de la “Colline oubliée”, raconte Mouloud Mammeri. L’ouvrage, signé Hafid Adnani, agrégé de mathématiques, animateur télé et président de l’association Tamusni, et édité par les éditions Non-Lieu, est un recueil de textes publiés du vivant et après la disparition de l’écrivain en 1989. Dans ces textes, Tassadit Yacine révèle “sa connaissance profonde de l’œuvre de l’auteur de la Colline oubliée, tout en donnant à connaître sa propre sensibilité d’intellectuelle qui n’a cessé de s’affirmer comme un symbole de la réappropriation de la langue, de la culture (…) berbère”, comme on peut lire sur la 4e de couverture.
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Pour promouvoir le “foyer du cœur” et sensibiliser les citoyens sur le projet, le réseau Nada organise un gala samedi prochain à la salle Ibn-Khaldoun, à Alger. Il s’agit pour les organisateurs de partager un moment de convivialité avec tous ceux qui portent dans leur cœur et sur le terrain l’action caritative et humanitaire. Un geste à même de fédérer toutes les bonnes volontés pour contribuer, chacun à son niveau, à faire aboutir un projet à même de changer la vie de beaucoup d’enfants en difficulté en Algérie. Cela commence d’ailleurs par les artistes eux-mêmes à l’image de Hakim Salhi, Amel Zen, Zerrouk, Karim Bouras, Fella Ababsa qui vont se produire à titre gracieux. Le projet en question abritera un centre d’accueil, sis à la forêt de Bouchaoui, qui sera ouvert aux enfants de 5 à 18 ans qui sont sans famille, maltraités, orphelins, en danger ou tout simplement issus de familles ne pouvant pas assurer leur éducation. Une prise en charge psycho-affective et un soutien destiné aux familles en difficulté y sont aussi prévus.
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Le cinquième concept-car élaboré par des apprentis de l’école professionnelle de Skoda s’appelle Sunroq, un mélange entre SUN (Soleil) pour son côté cheveux aux vents et le SUV Karoq.
23 apprentis issus de sept professions ont travaillé près de 8 mois sur un concept décapotable basé sur le désormais populaire SUV compact. Une des dernières étapes du projet consistait en la recherche d’un nom approprié pour le concept-car.
Pour ce faire, les apprentis de Skoda ont invité les clients et les fans à envoyer leurs propositions de noms sur différents canaux de médias sociaux. Finalement, le nom de Sunroq a été retenu parmi plusieurs centaines d’idées de nom – les apprentis ont trouvé que Sunroq convenait d’autant mieux à leur Cabriolet que ce dernier est décapotable pour les journées ensoleillées et qu’il représente la voiture idéale pour partir en vacances d’été.
La personne ayant envoyé la proposition de nom qui a été retenue a été invitée à la présentation officielle du Sunroq. Elle y rencontrera les apprentis ainsi que leurs professeurs et pourra même faire un tour à bord du concept-car peint dans la couleur Velvet red
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Aujourd’hui, environ 14 mois avant que les normes Euro 6d-TEMP ne deviennent obligatoires en septembre 2019 pour toutes les voitures nouvellement immatriculées, 79 motorisations Opel répondent déjà aux nouvelles limites d’émission.
Opel se place donc à l’avant-garde pour la mise en œuvre de ces normes plus sévères, qui comprennent un cycle de conduite en conditions normales (RDE) mesuré sur route ouverte. Des moteurs essence et GPL conformes à Euro 6d-TEMP sont disponibles sur l’ensemble de la gamme Opel – ADAM, KARL, Corsa, Astra, Insignia, Mokka X, Crossland X, Grandland X – auxquels s’ajoutent des motorisations diesel elles aussi conformes.
« La transition rapide d’Opel vers Euro 6d-TEMP rentre dans notre ambition de nous placer dans le peloton de tête de la réduction des émissions automobiles, » explique Christian Müller, Managing Director Engineering. « Les futures étapes sont l’arrivée de quatre modèles électrifiés d’ici à 2020, dont la prochaine génération de Corsa qui sera une voiture tout électrique, et le Grandland X qui sera notre premier hybride rechargeable. En 2024, la gamme sera totalement électrifiée, et nous proposerons une version hybride ou tout-électrique de chacun de nos modèles VP ».
En dehors de cet essaim de motorisations de conception nouvelle, Opel travaille aussi sur les blocs actuels en les faisant techniquement évoluer, de manière à optimiser leur système de retraitement des gaz d’échappement pour qu’ils répondent à Euro 6d-TEMP.
Dans le cas des motorisations Diesel dotées d’un système SCR, de l’AdBlue est injecté dans les gaz d’échappement. La solution ainsi créée se décompose en ammoniaque. Les oxydes d’azote (NOx) pénètrent dans le catalyseur avec les gaz d’échappement et sont ensuite réduits sélectivement en azote et en eau. Les Opel répondant à la norme Euro 6d-TEMP ne seront pas affectées par l’interdiction en milieu urbain dont l’éventualité est actuellement envisagée en Allemagne.
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Contrairement aux années précédentes, cette année le blocage des réseaux sociaux ne sera pas permanent, et ce d’après ce qu’a déclaré La ministre de la poste, des télécommunications, des technologies et du numériques, Houda Feraoun, affirmant que le blocage ne se fera que durant la première heure de chaque épreuve « par mesure de précaution pour éviter la fuite des sujets ». Ainsi les réseaux sociaux ne seront bloqués que durant trois heures par jour, soit une heure pour chaque épreuve.
Plusieurs utilisateurs seront obligés de se tourner vers le VPN pour pouvoir accéder à ces réseaux, notamment Facebook qui est devenu indispensable et la ressource de plusieurs membres.
Les fuites des sujets connues cette année sur Facebook ne sont pas flagrantes. Quelques sujets de la cinquième et du BEM ont été publiés peu après leur distribution. Mais ils n’ont pas été répandus.
Et ce n’est pas la première fois que le ministère de l’éducation fait recours à la coupure des réseaux sociaux pour prévenir la triche et ce depuis 2016. On a même connu des sessions ou l’on a brouillé tout le réseau internet pour éliminer la triche. Mais ces efforts semblent ne pas être très efficaces vu qu’en 2017 on a du refaire toute l’épreuve du BAC puisque les sujets été fuités.
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In Griechenland haben tausende Menschen gegen die Pläne der Regierung zur Beilegung des Namensstreits mit Mazedonien demonstriert. In Pella, dem Zentrum des antiken Mazedonien und Geburtsort von Alexander dem Grossen, gingen 2000 Demonstranten auf die Strasse.
In Griechenland haben tausende Menschen gegen die Pläne der Regierung zur Beilegung des Namensstreits mit Mazedonien demonstriert. In Pella, dem Zentrum des antiken Mazedonien und Geburtsort von Alexander dem Grossen, gingen 2000 Demonstranten auf die Strasse.
«Wir laden unsere Nachbarn, die die Geschichte nicht kennen, ein, sich unsere Museen und archäologischen Stätten anzusehen, um festzustellen, dass Mazedonien griechisch ist», sagte der Bürgermeister des nahegelegenen Ortes Chalkidona, Giannis Tsouknidas, vor den Demonstranten. Auch in zahlreichen weiteren Orten der griechischen Region Mazedonien im Norden des Landes fanden am Mittwochabend Demonstrationen statt.
Kleinere Protestaktionen gab es auf den Inseln Kreta, Rhodos, Korfu und Kos. Die Polizei sprach von Kundgebungen in insgesamt 24 Orten mit 500 bis 1000 Teilnehmern.
Jahrelanger StreitDer Streit um den Namen Mazedonien belastet die Beziehungen zwischen Griechenland und seinem nördlichen Nachbarn schon seit mehr als 25 Jahren. Der Konflikt reicht ins Jahr 1991 zurück, als sich die bisherige jugoslawische Teilrepublik für unabhängig erklärte und sich den Namen Mazedonien gab.
1993 wurde das Land unter dem vorläufigen Namen Ehemalige Jugoslawische Republik Mazedonien, englisch abgekürzt FYROM, Mitglied der Uno. Griechenland blockiert wegen der ungeklärten Namensfrage Mazedoniens Bestrebungen, der EU und der Nato beizutreten.
Aus griechischer Sicht ist der Name Mazedonien Teil des Nationalerbes. Athen befürchtet, der Nachbar könnte mit der Landesbezeichnung Mazedonien Ansprüche auf die gleichnamige nordgriechische Provinz erheben.
Griechenland ist bereit für KompromissDer griechische Regierungschef Alexis Tsipras und sein mazedonischer Kollege Zoran Zaev haben sich in den vergangenen Monaten in dem Konflikt einander angenähert. Die griechische Regierung kann sich mittlerweile einen Namen für das Nachbarland vorstellen, in dem «Mazedonien» vorkommt.
Im Gespräch sind Republika Gorna Makedonija (Republik Ober-Mazedonien), Republika Severna Makedonija (Republik Nord-Mazedonien), Republika Makedonija-Skopje und zuletzt Makedonija-Ilinden nach dem Volksaufstand im Jahr 1903 in den damals zum Osmanischen Reich gehörenden Regionen Makedonien und Thrakien.
Sowohl Tsipras als auch Zaev haben aber im eigenen Land mit starkem Widerstand gegen eine Kompromisslösung zu kämpfen. In der mazedonischen Hauptstadt Skopje hatten am Samstag tausende Menschen gegen eine Umbenennung ihres Landes demonstriert. (SDA)
Washington – US-Aussenminister Mike Pompeo kritisiert die angekündigte Ausweitung der Uran-Anreicherung im Iran und warnt die Führung in Teheran vor Konsequenzen. «Wir werden es dem Iran nicht erlauben, Nuklearwaffen zu entwickeln», schrieb Pompeo am Mittwoch auf Twitter.
Dem Iran sei die Entschlossenheit der USA bekannt. In den vergangenen Tagen hatte die Führung in Teheran ihren Konfrontationskurs im Atomstreit verschärft und angekündigt, Vorbereitungen für eine Beschleunigung der Urananreicherung zu treffen.
Die USA haben den Atomvertrag von 2015 aufgekündigt. Sie wollen die Islamische Republik mit Sanktionen zu einer Abkehr sowohl von ihrem Atom- als auch dem Raketenprogramm bringen und eine Änderung des israelfeindlichen Kurses erzwingen. Die anderen Mitunterzeichner Grossbritannien, Frankreich, Deutschland, China und Russland wollen an dem Abkommen festhalten.
Selon L’organisation TRIAL International qui lutte contre l’impunité des crimes de guerre annonce que le Tribunal pénal fédéral (TPF) a annulé une ordonnance de classement du Ministère public de la Confédération (MPC) dans l’affaire concernant l’ancien ministre algérien Khaled Nezzar, soupçonné de crimes de guerre. Dans une décision de cinquante pages appelée à faire date, le TPF reconnaît qu’un conflit armé existait bel et bien en Algérie au début des années 1990 et que le Général Khaled Nezzar était conscient des crimes massifs commis sous ses ordres. L’affaire est renvoyée au MPC qui devra reprendre l’instruction.
Selon la même source la question qui se pose, « y avait-il un conflit armé en Algérie avant 1994 ? » C’est en répondant par la négative que le MPC avait clôt en janvier 2017 une instruction contre le Général Khaled Nezzar, ancien ministre de la Défense algérien, soupçonné de crimes de guerre alors qu’il était au pouvoir. Selon le MPC, sans conflit armé, pas de crimes de guerre ; sans crimes de guerre, pas de poursuites.
Le TPF renvoie donc sa copie au MPC. Suite à un raisonnement juridique longuement motivé, le Tribunal conclut en effet que « la condition du conflit armé non international en Algérie entre janvier 1992 et janvier 1994 est réalisée. » Il considère que les crimes commis l’ont bien été dans le cadre de ce conflit, et que l’ancien ministre pourrait donc faire face à des accusations de crimes de guerre, voire même de crimes contre l’humanité.
Pour Bénédict De Moerloose, avocat en charge des enquêtes chez TRIAL International, « cette décision historique oblige maintenant le MPC à se déterminer sur la responsabilité de Khaled Nezzar. D’autant que le TPF a affirmé qu’il ne pouvait ignorer les exactions commises par ses subordonnés. »
En effet, pour le TPF, « il ne fait aucun doute que [Khaled Nezzar] était conscient des actes commis sous ses ordres ». Exécutions extrajudiciaires, disparitions forcées et actes de torture, la liste des exactions est longue. Et la description de certains de ces actes fait froid dans le dos : coups de bâtons, de fils de fer, de ceintures, arrachage des ongles, brûlures de cigarettes…. Selon le TPF, des actes d’une telle ampleur et aussi systématiques peuvent même constituer des crimes contre l’humanité.
« Les arguments du MPC ont été battus en brèche », selon Me Pierre Bayenet, l’un des avocats des parties plaignantes qui a recouru contre la décision de classement. « En cinq ans d’enquête et après avoir entendu des dizaines de témoins sans jamais poser la question du conflit armé, la décision du MPC de classer l’affaire était incompréhensible. »
« C’est un immense soulagement pour les victimes qui voient enfin leurs souffrances reconnues », déclare pour sa part Me Damien Chervaz, l’autre avocat des parties plaignantes. « Le MPC doit maintenant faire face à ses obligations, reprendre immédiatement l’instruction et statuer rapidement sur son renvoi en jugement. »
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ETH-Präsident Lino Guzzella (60) freut sich: Seine Hochschule schaffte es als einziges nicht englischsprachiges Institut unter die Top 10 der weltbesten Universitäten.
Die ETH Zürich ist top! Im neusten internationalen QS-Universitäts-Ranking des britischen Schulrating-Unternehmens Quacquarella Symonds hat sie Platz sieben erreicht – drei Plätze besser als im Ranking 2017. Damit ist die Schweizer Super-Uni die einzige nicht englischsprachige Hochschule unter den Top 10 und die beste in Kontinentaleuropa. Besser schneiden nur die superteuren US-amerikanischen und englischen Elite-Hochschulen ab.
«Damit ist die ETH Zürich endgültig in der obersten Liga der Weltuniversitäten angekommen», freut sich der abtretende ETH-Präsident Lino Guzzella (60). Er hatte vor drei Wochen überraschend verkündet, er werde Ende Jahr zurücktreten und nicht für eine zweite Amtszeit kandidieren. Während seiner Präsidentschaft trat die Zürcher ETH einen Höhenflug in den internationalen Hochschulrankings an – gleichzeitig kamen auch Missstände wie Mobbing und Machtmissbrauch von Professoren ans Licht.
Noch besser geht nicht
Einen direkten Zusammenhang mit dem massiv steigenden Leistungsdruck in der Hochleistungsforschung sieht Guzzella nicht. «Wissenschaft auf diesem Top-Niveau ist immer höchst kompetitiv», sagt er. Doch gegenüber unlauteren wissenschaftlichen Methoden oder Mobbing gelte an der ETH eine Nulltoleranz. «Die ganz wenigen Fälle, die bei über 30'000 Menschen, die an der ETH studieren und arbeiten, unvermeidlich sind, werden mit aller Konsequenz, aber auch mit Sorgfalt und Augenmass angegangen.»
Guzzella verlässt eine ETH in Top-Form. Sie wird heute in einem Atemzug mit den US-Spitzen-Unis Stanford und MIT oder den englischen Elite-Unis Oxford und Cambridge genannt. Diese in internationalen Rankings zu überholen, hält Guzzella für unmöglich. «Platz 1 ist illusorisch» – nicht zuletzt weil diese über viel mehr Geld verfügen als die ETH. «Unser Ehrgeiz muss es sein, unter den besten zehn zu bleiben», sagt er. Auf welchem Platz, spiele keine Rolle, solange man in der Spitzengruppe sei.
Spitzenplatz braucht und bringt Geld
Denn ein guter Platz in der Rangliste zieht nicht nur die besten Professoren und Studierenden an. Auch finanziell kann sich das lohnen. «Das hilft, Kooperationen mit grossen Firmen und Donationen anzuziehen», erklärt der ETH-Präsident.
Sicher sei aber auch, dass man nur dann vorne dabei sein könne, wenn auch genügend Ressourcen zur Verfügung stünden. Sparen gefährde den Spitzenplatz. «Ich hoffe, dass die Schweizer Politik zur Kenntnis nimmt, was sie an der ETH hat», meint er mit Blick auf die Budgetkürzungen von 90,5 Millionen Franken jährlich, die Bundesrat und Parlament der gesamten ETH bis 2020 auferlegt haben.
ZÜRICH - Der Streit zwischen Datenschützer und Helsana eskaliert. Nun muss das Bundesverwaltungsgericht entscheiden, ob die Gesundheits-App von Helsana den hiesigen Datenschutzrichtlinien entspricht. Helsana-Chef Daniel Schmutz begrüsst die Klärung vor Gericht.
Der Krankenversicherer Helsana widersetzt sich weiterhin der Forderung des eidgenössischen Datenschützers Adrian Lobsiger (57), ihre umstrittene Gesundheits-App vom Markt zu nehmen. Diese steht seit der Lancierung massiv in der Kritik.
Mit der App Helsana Plus können Benutzer durch sportliche oder soziale Aktivitäten Punkte sammeln und erhalten dafür Geld oder Rabatte (BLICK berichtete). Im Gegenzug sammelt der Krankenversicherer massig Daten seiner Kunden.
Nun hat Helsana die dreissigtägige Frist, um verschiedene Auflagen des Datenschützers zu erfüllen, verstreichen lassen, wie Radio SRF berichtet. Lobsiger hatte bereits Ende April von Helsana verlangt, die Gesundheits-App den Grundversicherten nicht mehr anzubieten.
Für die Rückerstattung von Prämiengeldern gebe es in der Grundversicherung keine gesetzliche Grundlage, begründete Lobsiger seine Forderung. Zudem würden verschiedene Datenschutzrichtlinien verletzt. «Ich werde in den nächsten Tagen Klage beim Bundesverwaltungsgericht einreichen», sagt der Datenschützer zu BLICK.
Helsana begrüsst GerichtsverfahrenDazu nimmt Daniel Schmutz (52) erstmals Stellung. Der Helsana-Chef begrüsst eine Klärung vor Gericht. «Wir haben nichts zu verbergen», sagt er zu BLICK.
Konkret bemängelt der Datenschützer, dass die Zusatzversicherung bei der Registrierung der Benutzer abklärt, ob diese bei der Helsana grundversichert sind. Diese «Entgegennahme und Weiterbearbeitung der Daten» verstosse gegen das Datenschutzgesetz, sagt Lobsiger.
Schmutz hält dagegen, dass Helsana «sorgsam mit den Kundendaten umgehe». Es sei zudem niemand gezwungen, die App zu nutzen. Vielmehr wolle man damit einen Anreiz schaffen, gesund zu leben, so Schmutz.
Datenschützer Lobsiger kritisiert ausserdem, dass die bei der Helsana Grundversicherten mit dem Punktesystem finanziell bevorteilt würden. Dafür fehle die Rechtsgrundlage.
Über die juristischen Details müsse nun das Gericht entscheiden, kontert Helsana-Chef Schmutz: «Das Urteil wird richtungsweisend sein für die gesamte Branche. Ob nämlich auch Grundversicherte von solchen Bonusprogrammen profitieren dürfen.»
BERN - Kriminelle Ausländer, die gut integriert sind, eine geringe Strafe kassierten und schlechte Perspektiven im Ausland haben, sollen nicht ausgeschafft werden. Mit Bezug auf diese Kriterien lassen Staatsanwälte Milde walten.
Die Härtefallklausel soll gemäss Gesetz kriminelle Ausländer «ausnahmsweise» vor einem Landesverweis schützen. Nicht nur Gerichte, sondern auch Staatsanwälte können diese Notbremse ziehen. Via Strafbefehl. Und sie nutzen es rege, wie Zahlen des Bundesamts für Statistik (BFS) zeigen. Von den insgesamt 559 kriminellen Ausländern, welche 2017 nicht ausgeschafft wurden, verdanken das 440 Personen den Staatsanwälten.
Doch wie fällen diese ohne Gerichtsverfahren einen derart bedeutenden Entscheid? Aufschluss darüber geben die Empfehlungen der Staatsanwälte-Konferenz (SSK) unter Präsident Fabien Gasser (44) vom November 2016. Darin heisst es etwa: «Bei der Beurteilung, ob ein Härtefall vorliegt, orientiert sich die Staatsanwaltschaft an folgenden Kriterien: Integration, familiäre und finanzielle Situation, Arbeits- oder Ausbildungswille, Anwesenheitsdauer in der Schweiz, Gesundheitszustand und Wiedereingliederungsaussichten im Ursprungsland.»
Höhe der Strafe für Staatsanwälte entscheidendNicht nur die Situation in der Schweiz, sondern auch Perspektiven im Herkunftsland sind also für einen Entscheid ausschlaggebend. Ebenso die Höhe der Strafe – genau das, was die 2010 vom Volk angenommene Ausschaffungs-Initiative der SVP explizit nicht beinhaltete.
Die SSK schreibt in ihren Empfehlungen: Wenn der kriminelle Ausländer eine Aufenthaltsbewilligung besitzt und zu einer Freiheitsstrafe von weniger als sechs Monaten verurteilt wurde, dann sind die privaten Interessen des Ausländers am Verbleib in der Schweiz gegenüber den öffentlichen Interessen an der Landesverweisung «höher zu gewichten». Im Klartext: Wer nicht länger in den Knast wandert, soll die Schweiz in der Regel nicht verlassen müssen.
«Entscheid nicht im stillen Kämmerlein»Besondere Rücksicht empfiehlt die SSK zudem bei in der Schweiz geborenen Ausländern, welche den Grossteil ihres Lebens hier verbracht haben – und das auch bei schwereren Straftaten. «In solchen Fällen ist eine besonders detaillierte Interessenabwägung durchzuführen.»
Die Empfehlungen sind nicht unumstritten. So verbieten etwa die Kantone Baselland oder Aargau bei kriminellen Ausländern Ausweisungsentscheide per Strafbefehl aus rechtsstaatlichen Gründen und erheben in solchen Fällen immer eine Anklage. «Einen solch wichtigen Entscheid soll nicht ein Staatsanwalt im stillen Kämmerlein treffen», sagt der Aargauer Oberstaatsanwalt Daniel von Däniken (58).
Die Aargauer Staatsanwaltschaft vertritt die Auffassung, dass ein Entscheid von dieser Tragweite von einer richterlichen Behörde gefällt werden sollte.
SINGAPUR - Der Countdown zum wichtigsten Gipfel des Jahres läuft. Am 12. Juni treffen sich US-Präsident Donald Trump und Nordkorea-Diktator Kim Jong Un in Singapur zu Gesprächen. BLICK beantwortet zehn Fragen zum Gipfel der Hoffnung.
Zuerst war der Gipfel geplant, dann abgesagt, und man befürchtete schon eine neue Eskalation. Doch nun stehen die Zeichen zwischen den USA und Nordkorea wieder auf Gipfel-Diplomatie. Aktueller Stand: Am Dienstag, 12. Juni, treffen sich US-Präsident Donald Trump (71) und Nordkorea-Diktator Kim Jong Un (34) in Singapur zum geschichtsträchtigen Friedensgipfel. Die Gespräche beginnen dort um 3 Uhr Schweizer Zeit. BLICK erklärt die Hintergründe.
Worüber streiten sich Trump und Kim überhaupt?Nordkorea forscht eifrig an der Atombombe. Die USA befürchten, dass der unberechenbare Kim Jong Un nicht nur das Territorium von Verbündeten in der Region angreifen, sondern sogar US-Gebiet erreichen könnte. Der Westen hat daher den Handel mit Nordkorea unterbunden, um Kim in die Knie zu zwingen.
Welches sind die Wurzeln des Konflikts?Das 1910 durch Japan annektierte Kaiserreich Korea wurde nach Japans Niederlage im Zweiten Weltkrieg im Norden von den Sowjets und im Süden von den Amerikanern besetzt. 1950 überrannte der Norden den Süden. Die Uno schickte von den USA geleitete Truppen, um Südkorea zu befreien, während China Nordkorea unterstützte. In drei Jahren Stellungskrieg starben über vier Millionen Menschen. 1953 einigten sich beide Seiten auf einen Waffenstillstand und auf die Grenzlinie am 38. Breitengrad, schlossen aber keinen Friedensvertrag ab. Südkorea blühte wirtschaftlich auf und wurde zur Demokratie. Nordkorea, in dritter Generation vom Kim-Clan regiert, ist eine völlig verarmte stalinistische Diktatur.
Wer sind die wichtigsten Akteure?Nordkorea: Der abgeschottete kommunistische Staat hält Atomwaffen für seine einzige Überlebensgarantie. Südkorea: Das Schwesterland sehnt sich nach Versöhnung, fürchtet die Aggression des Nachbarn – aber auch dessen Zusammenbruch. USA: Schutzpatron des Südens, «Klassenfeind» für den Norden. China: Half Nordkorea im Krieg und ist sein grösster Handelspartner. Bei einem Kollaps Nordkoreas müsste auch China mit Millionen von Flüchtlingen rechnen. Japan: Steht mit Südkorea im Verteidigungsbündnis mit den USA. Mehrere Male liess Kim Jong Un Raketen bei Japan ins Meer schiessen. Russland: Hat Angst, bei den Verhandlungen ins Abseits zu geraten. Sucht den Kontakt zu Kim.
Warum will Kim nun reden?Kim ist dringend auf Handel angewiesen, denn mit konsequenten Sanktionen hat der Westen das Land ausgetrocknet. Manches deutet darauf hin, dass zudem seine Atomzentren in die Luft geflogen und wertlos geworden sind.
Wo findet der Gipfel statt?Im Luxushotel «Capella» auf der Singapur vorgelagerten Vergnügungsinsel Sentosa. Vielleicht ein gutes Omen, denn «Sentosa» bedeutet «Ruhe» oder «Frieden». Eine Zeitlang waren auch Schweden und die Schweiz im Gespräch. Doch Singapur ist für Kims Flugzeug besser erreichbar: Seine Iljuschin II-62m stammt noch aus der Sowjet-Zeit. Ein Zwischenstopp wäre peinlich, das Mieten einer modernen Maschine ebenso.
Welches sind die zentralen Punkte der Verhandlungen?Nordkorea solle auf Atomwaffen verzichten. Im Gegenzug dürften die USA keine mehr im Süden stationieren. Untereinander planen die beiden Koreas einen Friedensvertrag. Darüber wird Trump sicher auch sprechen wollen, vielleicht sogar über eine Wiedervereinigung, sicher aber über die Reduktion oder Aufhebung der Handelssanktionen.
Wie werden die Gespräche enden?Trump und Kim gelten beide als ziemlich unberechenbar. Und so ist alles möglich: ein völliger Fehlschlag mit neuer Eskalation – oder der Abschluss eines Abkommens.
Wie könnte ein Deal aussehen?Etwa so: Trump garantiert Kim «sehr starke Sicherheiten», wenn dieser der Denuklearisierung zustimmt. Der US-Präsident weiss, dass Kim die Folgen des Abrüstungs-Abkommens von 2003 für Libyens Ex-Diktator Muammar al-Gaddafi (†69) fürchtet: Der hatte auf Atom- und Chemiewaffen verzichtet – und wurde danach im Arabischen Frühling 2011 gestürzt und ermordet, mit Billigung des Westens.
Wer bezahlt das Treffen?Nordkorea ist bekannt dafür, dass es sich Auslandreisen seiner Vertreter bezahlen lässt. An den Kosten beteiligen sich unter anderem Singapur und die 2017 mit dem Friedensnobelpreis ausgezeichnete Internationale Kampagne zur Abschaffung von Atomwaffen (Ican). Diese will einen Teil ihres Nobelpreisgelds von 875'000 Euro spenden.
Wird der Korea-Krieg nach 68 Jahren beendet?Einem Friedensvertrag standen die beteiligten Länder jedenfalls noch nie so nahe. Sowohl Süd- als auch Nordkorea bekräftigen, dass sie die Wiedervereinigung anpeilten, wenn auch unter anderen politischen Vorzeichen. Aber nur schon die Öffnung der Grenze wäre für die Koreaner, die noch immer Verwandte auf der anderen Seite wissen, ein enormer Fortschritt.
Mike Tyson weiss, wie er Tyson Fury im Ring das Leben zur Hölle machen würde. Aber kann Sefer Seferi seine Tipps umsetzen?
Vor dem grossen Fight gibt es keine zwei Meinungen. Tyson Fury (29) ist am Samstag in Manchester gegen den Schweizer Sefer Seferi (39) der grosse Favorit. Auch nach zweieinhalb Jahren Pause, die er wegen Depressionen, Drogen und Doping-Sperre einlegen musste.
Dem schliesst sich auch einer der ganz Grossen in der Geschichte an. «Tyson Fury mag ich, nicht nur wegen seines Vornamens», sagt Schwergewichts-Champion Mike Tyson (51) zu BLICK. «Auch wenn ich deswegen etwas voreingenommen bin.»
Das Zeug, sich die Titel von WBA, IBF, WBO und IBO zurückzuholen, die er mit dem Coup gegen Wladimir Klitschko eroberte, habe der Brite allemal. «Oh ja, auf jeden Fall», sagt Tyson.
Der US-Amerikaner kennt sich aus. 16 Weltmeisterschaftskämpfe bestritt Tyson in seiner Karriere. Verlor seine Titel, holte sie wieder zurück. Mit Knast, Scheidungen, Schulden, Drogen und Sex-Eskapaden erlebte er ein Auf und Ab wie kaum ein Weltklasse-Boxer vor und nach ihm. Auch darum weiss er, wie schwierig es ist, nach langer Pause im Ring wieder zurückzukehren. Tyson zu BLICK über Fury: «Wenn er seinen Kopf wieder in den Griff bekommt, rechne ich mit ihm.»
Aber wie kann Seferi ihn schlagen? Tysons Rezept gegen Fury: «Man muss aggressiv bleiben, von Anfang an auf ihn draufgehen.» In dem Stil also auftreten, mit dem Tyson zum «baddest man on the planet» wurde, zum gefürchteten Schwergewichts-Profi seiner Zeit.
Wahrscheinlich keine schlechte Taktik, um dem 2,06-m-Mann mit dem klaren Grössen-, Gewichts- und Reichweiten-Vorteil das Leben im Ring schwer zu machen.
Ganz so einfach umzusetzen ist sie allerdings nicht. Schliesslich war Tyson auch darum einzigartig, weil er als relativ kleiner Schwergewichtler (1,78 m) den grossen Kollegen das Fürchten lehrte. Aber vielleicht kann sich Sefer Seferi ja bei seinem grossen Bruder Nuri (41) ein paar Tipps holen. Der hat sich schliesslich den Kampfnamen «The Albanian Tyson» gegeben.