21 millió eurót kell visszafizessen Románia az EU költségvetésébe, derül ki az Európai Unió Csalás Elleni Hivatalának jelentéséből. Eszerint Romániában volt a legtöbb visszaélés a strukturális alapok felhasználásában. A romániai TelDrum példáját mutatják be az uniós források törvénytelen kezelésére. Romániában tavaly 11 csalási ügyet vizsgált a OLAF hatósága. Második helyen Magyarország és Lengyelország szerepel 10-10 vizsgálattal, harmadik pedig Görögország 9 csalásgyanús üggyel.
Leállította a román kormány azt az eljárást, amellyel Verespatakot felvehették volna az ENSZ Nevelésügyi, Tudományos és Kulturális Szervezete védett kulturális örökségeinek listájára, olvasható a G4media.ro hírportál oldalán belső forrásokra hivatkozva. Az online lap Adrian Cioroianutól, Románia UNESCO-nagykövetétől értesült arról, hogy a külügyminisztérium a bukaresti kulturális szaktárca kérésére leállította a folyamatot, és a jelölés visszavonását kérte. Cioroianu úgy tudja, hogy a kormány nem ért egyet a felterjesztéssel, amíg folyamatban van a román állam és a Verespatakon aranybányát nyitni szándékozó kanadai Gold Corporation közötti kártérítési per, amelyben a kanadai vállalat 4,4 milliárd dollár kártérítést követel a román államtól. Verespatak védett kulturális örökségi listára való felkerülését még 2016-ban kezdeményezte a Cioloș kormány és e hónap végén kellene tárgyalja az UNESCO Világörökség Bizottsága. A kormány eddig hivatalosan nem jelentette be a védetté nyilvánítási folyamat leállítását.
Certains vivent en Nouvelle-Calédonie. Ils sont les descendants des déportés des révoltes du XIXe siècle contre l’occupation française.
Sept cent quarante-cinq Algériens qui vivent dans les territoires français d’outre-mer sont immatriculés au consulat général à Paris. Ce chiffre non exhaustif ne comprend pas les compatriotes qui ne disposent pas de cartes consulaires ou les Français d’origine algérienne qui ne portent pas la nationalité de leurs aïeuls. Parmi ces derniers, figurent des descendants des déportés de Nouvelle-Calédonie. Cet archipel situé en Océanie (dans le Pacifique Sud) a accueilli il y a deux siècles (entre 1864 et 1897) environ 2 000 Algériens.
La plupart y ont été envoyés de force pour avoir mené une insurrection contre la présence française en Algérie. Les déportés les plus emblématiques sont Ameziane Ben Echeikh Aheddadh et Cheikh Mohamed El-Mokrani, chefs de la révolte de 1871. Ils ont été, avec leurs hommes, forcés à l’exil et réduits au statut de bagnards, à des milliers de kilomètres de chez eux. Depuis quelques années, des initiatives privées ont permis aux descendants des déportés de renouer avec l’Algérie, notamment à travers des voyages. Certains ont également effectué des démarches auprès des services consulaires, en vue d’une régularisation administrative.
Les Algériens de Nouvelle-Calédonie et des autres territoires d’outre-mer dépendent du consulat général d’Algérie à Paris. Compte tenu de la distance qui les sépare de l’Hexagone, des facilitations leur ont été accordées pour la délivrance de certaines pièces administratives. Il leur est aussi possible de recourir à des procurations pour certaines démarches. Mais il semble bien que ces mesures ne suffisent pas. Les descendants des Algériens de Nouvelle-Calédonie ont encore beaucoup de mal à obtenir un passeport algérien. Certains y renoncent tout simplement parce que le coût du voyage est onéreux jusqu’à Paris ou à Alger où ils doivent rassembler des pièces manquant à leurs dossiers. Tout dernièrement, une histoire a ému la Toile et a fait réagir l’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua. Elle concerne Lucette-Halima Benamar, une vieille dame, petite-fille de déporté qui vient de décéder sans avoir pu se rendre en Algérie, durant sa vie.
Cette femme apparue dans un documentaire diffusé, il y a quelques années, sur les Algériens de Nouvelle-Caledonie avait pourtant émis le souhait de renouer avec les siens. “Avant de mourir, j’aimerais bien recevoir ne serait-ce qu’un coup de fil d’un lointain petit-cousin. Cette voix va me permettre de partir en paix”, avait-elle confié en larmes. Dans un tweet, M. Mesdoua a affirmé avoir pris contact avec sa fille pour lui présenter ses condoléances. Il a saisi cette occasion aussi pour affirmer que des actions sont engagées pour renforcer les contacts entre le consulat d’Algérie à Paris et les Algériens des territoires d’Outre-mer de la France. Pour être plus à l’écoute des besoins de cette communauté, une rencontre est, par ailleurs, envisagée. Elle devra se tenir prochainement et vise à mettre en place un réseau d’entraide et de solidarité.
De Paris : Samia Lokmane-Khelil
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Par Walid AÏT SAÏD.
Le blocage des importations c’est fini, mais elles seront soumises à de très très fortes taxes. Leur taux n’a pas été communiqué, mais on parle de près de 200%.
Comme annoncé il y a quelques semaines, les produits importés seront surtaxés! En effet, le Conseil des ministres tenu, mardi dernier, sous la présidence du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adopté le projet de loi relatif aux nouvelles taxes sur les produits importés. «Le projet de loi de finances complémentaire 2018 propose l’instauration d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde en matière de commerce extérieur», a indiqué un communiqué du Conseil des ministres. Ce droit additionnel provisoire de sauvegarde sera appliqué aux importations de certains produits finis qui sont actuellement soumis à la suspension provisoire à l’importation.Ainsi, le blocage des importations c’est fini, mais elles seront soumises à de très très fortes taxes. Leur taux n’a pas été communiqué mais on parle de près de 200%. «Le projet de loi de finances complémentaire 2018 propose l’institution d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde (Daps) applicable aux importations de produits de luxe avec un taux variant entre 30% et 200%», a indiqué, il y a quelques semaines, le Premier ministère sur son site Web. Ce taux sera appliqué aux importations de produits de luxe, qui seront ainsi taxés au lieu d’être interdits, générant par cela des recettes pour le Trésor public. Cela offrira également une protection supplémentaire du marché national au profit des entreprises locales qui gagneront ainsi des parts de marché.
A ce propos, le président Bouteflika, lors de ce Conseil des ministres, a appelé les opérateurs économiques «à tirer profit de la démarche de sauvegarde temporaire que le pays a mis en place en matière de commerce extérieur pour accroître leurs investissements et augmenter la production de biens et de services afin de satisfaire la demande locale et de diversifier les exportations du pays». Pour rappel, de nouveaux mécanismes d’encadrement des importations de marchandises ont été mis en place en janvier 2018 dans le but de juguler l’effet des importations dont la facture a explosé durant ces dernières années et de promouvoir la production nationale, dans le contexte d’une situation financière délicate. Ainsi, il avait été décidé de la suspension provisoire d’importation, dès janvier 2018, de plusieurs centaines de produits composés essentiellement de biens alimentaires, de produits électroménagers et électroniques.
Il a aussi été procédé à l’élargissement de la liste des marchandises soumises à la taxe intérieure de consommation (TIC), au taux de 30%, pour 10 familles de produits finis, ainsi que le relèvement des droits de douanes, pouvant atteindre 60%, pour 32 familles de produits finis.
En parallèle, depuis 2017, la Banque d’Algérie a mis en place successivement plusieurs dispositifs d’encadrement du commerce extérieur pour contenir davantage la facture des importations.
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A Román Állami Vasúttársaság közleményéből kiderül, hogy június 11-e és június 29-e között több vonat meghosszabbított útvonalon közlekedik, így Nagybányáról, Kolozsvárról, Temesvárról és Resicabányáról közvetlen módon lehet eljutni a román tengerpartra.
Donato De Rosa, a Világbank vezető közgazdásza tegnap Bukarestben sajtóértekezleten egy elemzésre hivatkozva azt mondta, hogy az Unión belül Romániában él a legnagyobb számú szegény ember. Jelenleg a lakosság több mint egynegyede 22 lejnél kevesebb pénzből él naponta, havonta 660 lejből gazdálkodik. A közgazdász szerint óriási különbségek vannak a falu és a város között, ez észlelhető az egészségügy, infrastruktúra, oktatás és a gazdasági tőke terén is. A sajtóeseményen részt vett Tatiana Proskuryakova, Magyarország és Románia országmenedzsere is, aki elmondta, hogy Románia sokkal többet kell költsön az oktatásra a jövőben.
Brüssel – Der Verkauf und Konsum von Kokain hat in Europa zugenommen. Gemäss dem jüngsten EU-Drogenbericht bleibt aber Cannabis die meistkonsumierte Droge.
Die Reinheit des verkauften Kokains habe im Durchschnitt zugenommen. In vielen Städten wurden zuletzt mehr Kokainrückstände im Abwasser festgestellt als im Vorjahr, auch wurden häufiger Drogenfunde gemacht.
Zu diesem Ergebnis kommt der Jahresbericht der Beobachtungsstelle der Europäischen Union für Drogen und Drogensucht. Der Bericht wurde am Donnerstag in Brüssel von Behördenchef Alexis Goosdeel und EU-Innenkommissar Dimitris Avramopoulos vorgestellt.
Europa bekomme derzeit die Folgen einer erhöhten Kokainproduktion in Lateinamerika zu spüren, erklärte Goosdeel. Die Europäische Beobachtungsstelle für Drogen und Drogensucht (EMCDDA) geht davon aus, dass im vergangenen Jahr in den 28 EU-Ländern sowie in Norwegen und der Türkei rund 2,3 Millionen Menschen zwischen 15 und 34 Jahren Kokain konsumiert haben.
Trends beim Konsum liessen sich wegen mangelnder Daten in zahlreichen Ländern jedoch kaum feststellen. Die jüngsten verfügbaren Daten beziehen sich auf 2016.
In diesem Jahr wurden in der Europäischen Union etwa 98'000 Sicherstellungen von Kokain gemeldet, dies entsprach 70,9 Tonnen. Verglichen mit dem Vorjahr habe die Menge des 2016 beschlagnahmten Kokains geringfügig, die Anzahl der Beschlagnahmen hingegen deutlich zugenommen.
Sorgen bereitet den Experten auch das Auftauchen neuer synthetischer Opioide, die in den USA Auslöser für eine schwere Drogenkrise sind. Ausserdem gebe es Hinweise, dass die Herstellung von Drogen innerhalb Europas zunehme.
Die EMCDDA stellte ausserdem fest, dass Cannabis mit 17,2 Millionen Jugendlichen im Alter von 15 bis 34 Jahren nach wie vor die am meisten konsumierte Droge in Europa ist.
Die EU-Drogenbeobachtungsstelle mit Sitz in der portugiesischen Hauptstadt Lissabon liefert nur Daten und Statistiken - Prävention und Bekämpfung liegen in der Zuständigkeit der Mitgliedsstaaten der Union.
Par Moncef Wafi,
«Créer des problèmes puis offrir des solutions », A priori, telle est, en substance, la lecture qu’on pourrait faire de cette histoire de nouveaux tarifs de délivrance des documents administratifs électroniques induits par l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018. Le scénario était couru d’avance et le casting en place, les Algériens ont assisté à une mise en scène cousue de fil blanc. Un Premier ministre cynique, dans le rôle du méchant, prêt à saigner le peuple jusqu’à la dernière goutte, justifiant le droit à une nationalité payante par les besoins de trésorerie de l’Etat. Le président de la République, lui, est le chevalier blanc, qui vient au secours du peuple, effaçant d’un revers de la main, ces décisions impopulaires. Offrir au chef de l’Etat cette image de sauveur, participe à cette volonté consciente de manipuler les masses dont la stratégie manifeste comprend, entre autres, la multiplication des distractions pour mieux détourner l’attention; l’appel à l’émotion plutôt qu’à la réflexion; remplacer la révolte par la culpabilité ou encore le fichage systématique des individus. Une stratégie codifiée en Algérie et soutenue par l’absence d’une réelle prise en charge consciente des enjeux ainsi que par l’inconsistance des intellectuels et de la société civile, ou du moins ce qu’il en reste. Mais au-delà de ce synopsis aussi prévisible qu’incompréhensible, on est en droit de s’interroger sur ces pratiques douteuses indignes d’un pays de droit.En effet, que cachent ces manœuvres, mis à part de présenter Bouteflika sous ses meilleurs atours, sinon trahir le manque de clairvoyance de nos dirigeants qui continuent de tâtonner, proposant des solutions de replâtrage sur le seul dos du citoyen. Ce nouvel épisode des déconvenues de Ouyahia contribue également à discréditer un peu plus l’image, largement écornée, d’un commis d’Etat aux neuf vies.
Cette question des tarifs, qui a dû certainement consommer du temps et de l’énergie qu’on aurait pu dépenser à bon escient, s’inscrit en droite ligne des nombreux ratés enregistrés par les différents gouvernements qui se sont succédé à la tête du pays. Sinon, comment décemment expliquer ces incohérences qui se multiplient au sommet du pouvoir décisionnel, donnant l’impression que l’Algérie est gérée par à-coups, plongée dans la réaction à défaut de l’action réfléchie. L’autre piste de réflexion propose une mobilisation citoyenne forte qui aurait fait fléchir le gouvernement et fait des « fuites organisées » un ballon de sonde lâché pour jauger de l’accueil populaire de cette décision de taxer la citoyenneté. Enfin, il n’est pas encore interdit de rêver.
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Die Steuervorlage 17 wird mit der AHV-Sanierung verknüpft. Das hat der Ständerat am Donnerstag beschlossen. Das Vorgehen soll der Unternehmenssteuerreform zum Durchbruch verhelfen. Gleichzeitig wird die Altersvorsorge entlastet.
Den Deal hat die Wirtschaftskommission (WAK) des Ständerats aufgegleist. Finanzminister Ueli Maurer sprach von einem «kleinen Kunstwerk des politischen Kompromisses». Tatsächlich zeigten sich Linke und die bürgerliche Mitte geeint, wenn auch ohne Enthusiasmus.
Das Zweckbündnis ist unter Druck des Auslands zustande gekommen: Die Schweiz muss international nicht mehr akzeptierten Steuerprivilegien für Statusgesellschaften abschaffen. Diesen droht ein massiver Steueraufschlag. Damit die Firmen nicht abwandern, soll das Schweizer Steuerklima allgemein milder werden.
Mit der Unternehmenssteuerreform III machte das Parlament einen ersten Anlauf, lief aber beim Volk auf. In der Steuervorlage 17 hat der Bundesrat nachgebessert. Zudem sind nun die kantonalen Umsetzungspläne bekannt, was eine ungefähre Kostenschätzung erlaubt. Als sozialen Ausgleich schlug der Bundesrat höhere Familienzulagen vor.
Die WAK war jedoch der Ansicht, dass dies nicht ausreichen würde. Sie hat den Ständerat überzeugt, der AHV 2 Milliarden Franken als sozialen Ausgleich zukommen zu lassen. Das entspricht den geschätzten Kosten der Unternehmenssteuerreform bei Bund und Kantonen.
Zudem ist der Rat den Abstimmungssiegern mit einer höheren Dividendenbesteuerung und mit einer Limitierung der steuerfreien Rückzahlung von Kapitaleinlagereserven entgegengekommen. Hochsteuerkantone dürfen eine zinsbereinigte Gewinnsteuer zulassen. Davon profitiert voraussichtlich nur Zürich.
Das Grundkonzept der Steuervorlage hat der Ständerat unverändert gelassen. Die Kantone erhalten rund eine Milliarde Franken mehr aus der Bundeskasse. Das gibt ihnen Spielraum für eine allgemeine Senkung der Unternehmenssteuern. Zusätzlich können Unternehmen mit einer Patentbox, mit zusätzlichen Forschungsabzügen oder bei den stillen Reserven entlastet werden.
Richtig begeistert war niemand. Es sei keine gute Vorlage, sagte Martin Schmid (FDP/GR). Vor dem Hintergrund der abgelehnten Unternehmenssteuerreform III sei es aber die beste Lösung. Auch Peter Hegglin (CVP/ZG) stimmte zu, «weil wir für ein ernsthaftes Problem eine tragfähige Lösung brauchen». Anita Fetz (SP/BS) sprach von einem «vernünftigen Vorgehen». Ablehnend äusserten sich Vertreter der SVP. Auch Werner Luginbühl (BDP/BE) sprach von einer Bankrotterklärung.
Trotzdem stimmte der Ständerat dem von der WAK gezimmerten Kompromiss zu, mit 35 zu 5 Stimmen bei 5 Enthaltungen. Die Vorlage geht nun an den Nationalrat. Sie soll in der Herbstsession bereinigt werden. Eine allfällige Referendumsabstimmung würde spätestens Mai 2019 stattfinden.
PARIS/ZÜRICH - Die Schweizer Physikerin und Erfinderin Ursula Keller erhält den Europäischen Erfinderpreis 2018 für ihr Lebenswerk. Die ETH-Professorin wird damit als Wegbereiterin für neue Anwendungen von Laserlicht gewürdigt.
Im Laufe ihrer über 30 Jahre umfassenden Forschungskarriere erfand Keller die erste Methode zur Erzeugung ultraschneller Lichtpulse in Lasern, bekannt als Sesam (Semiconductor Saturable Absorber Mirror). Dies habe den Weg bereitet für neue, zuvor unvorstellbare Anwendungen, teilte das Europäische Patentamt (EPA) am Donnerstag mit. Keller setzte sich in der Kategorie «Lebenswerk» gegen zwei weitere Finalisten durch.
Sesam kommt etwa beim Schweissen und Schneiden in der herstellenden Industrie, in der optischen Kommunikation oder in der Medizintechnik als weltweiter Industriestandard zur Anwendung. «Mit ihrer Forschung hat Ursula Keller die Lasertechnik revolutioniert», sagte EPA-Präsident Benoît Battistelli anlässlich der Preisverleihung in Paris.
Damit habe sie auch einen wichtigen Beitrag dazu geleistet, dass Europa in der Forschung und beim Einsatz ultra-schneller Laser derzeit weltweit führend sei.
Den Grundstein für Sesam legte Keller in den frühen Neunzigerjahren in den Labors des Kommunikationskonzerns AT&T Bell in den USA. Sie löste ein Problem der Lasertechnologie, die zwar Materialien durch die Energie gebündelter Lichtstrahlen transformieren aber auch zu sehr aufheizen und beschädigen konnte. Die Stanford-Absolventin entwickelte eine Methode, welche kontinuierliche Lichtwellen zu ultra-kurzen Lichtpulsen komprimiert.
Dies gelang Keller durch den erstmaligen Einsatz von Halbleitern als Spiegel. Durch dieses Prinzip konnte ein damals in jedem Forschungslabor vorhandener Laser von der Erzeugung kontinuierlicher Lichtwellen auf «gepulstes» Laserlicht konfiguriert werden.
Als Professorin an der ETH Zürich entwickelte Keller das Sesam-Prinzip kontinuierlich weiter und befasste sich auch mit ungelösten Fragen der Quantenphysik. Dazu entwickelte sie eine der genausten Uhren der Welt, die Attoclock, mit Laserlicht als dem präzisesten Uhrzeiger der Welt.
Im Jahr 2017 erwirtschafteten Lasertechnologien wie das Sesam-Prinzip laut dem EPA weltweit 2,2 Milliarden Euro, was rund 20 Prozent des Gesamtmarkts für Laser entspricht. Bis zum Jahr 2023 sollen ultra-schnelle Laser jährlich 8,3 Milliarden einbringen.
Keller hat auch eine weitere bedeutende Grenze überwunden: Im Alter von 33 Jahren wurde sie als erste Frau auf einen naturwissenschaftlichen Lehrstuhl der ETH berufen, an der sie einst Physik studiert hatte. Als Mentorin macht sie sich für die nächste Generation von Laser-Forschenden stark, insbesondere ermuntert sie Frauen, eine Karriere in den Naturwissenschaften und technischen Berufen zu ergreifen, wie aus der EPA-Mitteilung hervorgeht.
In den anderen Kategorien wurden am Donnerstag sechs weitere Wissenschaftler ausgezeichnet. Angès Poulbot und Jacques Barraud aus Frankreich wurden für ihre Entwicklung eines sich selbst erneuernden Reifens für Lastwagen in der Kategorie «Industrie» geehrt. Die US-amerikanische Chemieingenieurin Esther Sans Takeuchi wurde in der Kategorie «Nicht-EPO-Staaten» für langlebige Batterien in implantierbaren Defibrillatoren ausgezeichnet.
Die irische Produktdesignerin Jane Ní Dhulchaointigh gewann in der Kategorie «KMU» für die Erfindung eines Mehrzweckklebstoffes für die Reparatur von Alltagsgegenständen. Der Publikumspreis ging an Erik Loopstra und Vadim Banine aus den Niederlanden für ein verbessertes Verfahren zur Mikrochip-Herstellung.
The further development of the Common Position 2008/944/CFSP on arms exports control
Tuesday 19/06/2018 - 9:30-10:30By WAM
ABU DHABI, Jun 7 2018 (WAM)
The end of 2017 has marked a new starting point in strengthening cooperation between the UAE and Saudi Arabia after the establishment of cooperation committees in the fields of trade, politics, economy and security, a move described by the international economic press as the beginning of a new phase on the GCC and Arab levels. It was also described as a vital platform and a cornerstone in rebuilding the regional system with a clearer and more coherent vision of the two largest Arab economies.
Following the formation of the Emirati-Saudi Cooperation Committees, the relations between the two countries have become a unique model of cooperation at various levels, supported by the firm will of both countries’ leaders to further strengthen these relations.
All expectations of global financial and economic institutions indicate that the ratio of actual GDP of the UAE and Saudi Arabia will exceed 46% of the actual GDP of the Arab countries for the years 2017 and 2018, compared with 41% on average for the previous period since 2000 - 2016. The two countries account for 53% of the total goods and services foreign trade of Arab countries by the end of 2017
According to economic experts in the two countries, the committees will work on achieving further growth by utilising their large development components being the two largest Arab economies and employing their huge commercial and investment potentials to promote sustainable development in both countries.
The experts further explained that the vast experience enjoyed by the two countries in the fields of economic development, trade and investment are key pillars for making joint cooperation committees a vital platform for the development of plans, strategies and initiatives that support their relentless efforts to achieve development and prosperity, especially through investment and joint ventures in priority sectors; such as industry, construction, reconstruction and others, as well as the development of a partnership between the private sectors in both countries, which is an integral part of the overall development process.
On the economic and commercial levels, the formation of the Emirati-Saudi Cooperation Committees has contributed to closer relations between the two countries and increased the volume of trade exchange between them during the past few months. Saudi Arabia has become the fourth most important trading partner in the UAE.
Saudi Arabia continued to rank first in the Gulf in terms of value of bilateral trade with the UAE with a share of AED58 billion ($ 15.7 billion) in 2017, accounting for 46 percent of the UAE’s total non-oil trade with GCC countries, according to statistics from the UAE Federal Customs Authority.
The value of non-oil trade between the two countries reached AED20 billion in 2016, accounting for 43% of the UAE’s total non-oil trade with the GCC countries and 27% of the UAE’s total non-oil trade with the Arab countries for the same year. These facts indicate the overall strength of the relationship between the two brotherly countries.
The Kingdom of Saudi Arabia was the second most important destination for re-exports from the UAE in 2016, accounting for 9% of the country’s total re-exports that year, meanwhile, the Kingdom was the first on the Arab level, accounting for 29% of the total re-exports to the Arab countries, and 47% on the GCC level. With regard to imports, 45% of UAE imports from the GCC are sourced from Saudi Arabia.
In contrast, the UAE ranked sixth globally as the largest trading partner of Saudi Arabia, accounting for 6.1% of Saudi Arabia’s total trade for 2016 and ranked first on the Arab and GCC level as Saudi Arabia’s largest trading partner, accounting for 56% of Saudi Arabia’s total trade with GCC countries for 2016.
In terms of investment, Saudi Arabia accounted for 4% of the total foreign direct investment in the UAE until the end of 2015, and is ranked first in the Arab world, accounting for nearly 30% of the Arab direct investment stock in the UAE, and 38% of the balance of GCC investments in the country.
It is noteworthy that all expectations of global financial and economic institutions indicate that the ratio of actual GDP of the UAE and Saudi Arabia will exceed 46% of the actual GDP of the Arab countries for the years 2017 and 2018, compared with 41% on average for the previous period since 2000 – 2016. The two countries account for 53% of the total goods and services foreign trade of Arab countries by the end of 2017.
WAM/Esraa Ismail/Rasha Abubaker
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Par Hasna YACOUB.
Toute personne aura le droit lors d`un procès, de dire que telle ou telle disposition, qui est envisagée de lui être appliquée, n’est pas conforme à la Constitution.
L’adoption, hier, par le Conseil des ministres du projet de loi relatif à la mise en oeuvre de l’exception d’inconstitutionnalité revêt une réelle importance, car ce projet de loi organique est un acquis pour le citoyen et contribue indéniablement à la consécration de la démocratie et de l’Etat de droit. En fait, ce texte législatif, une fois mis en vigueur, va permettre à tout justiciable de saisir le Conseil constitutionnel en cas d’atteinte à ses droits et à ses libertés, garantis par la Constitution. L’exception d’inconstitutionnalité est l’une des innovations majeures introduites par la révision constitutionnelle de 2016 à travers l’article 188 et dont le projet de loi vient en codifier la mise en oeuvre. De quoi s’agit-il exactement?
Il faut savoir qu’en Algérie, le Conseil constitutionnel qui est l’organe juridictionnel suprême du pays chargé de veiller au respect de la Loi fondamentale du pays, est saisi par le président de la République, le président du Conseil de la nation ou le président de l’Assemblée populaire nationale. Depuis la révision constitutionnelle de mars 2016, le Conseil peut être saisi également par le Premier ministre, par 50 députés ou 30 membres du Conseil de la nation. Il peut aussi être saisi par le simple citoyen dans le respect de l’article 188 qui stipule «le Conseil constitutionnel peut être saisi d’une exception d’inconstitutionnalité, sur renvoi de la Cour suprême ou du Conseil d’Etat, lorsque l’une des parties au procès soutient devant une juridiction que la disposition législative dont dépend l’issue du litige porte atteinte aux droits et libertés garantis par la Constitution». Simplement dit, tout justiciable, tout citoyen, toute personne physique ou morale, de droit public ou privé y compris une personne étrangère reconnue par le droit algérien, aura le droit lors d`un procès, de dire que telle ou telle disposition, qui est envisagée de lui être appliquée, n’est pas conforme à la Constitution. L’idée, au-delà des plus hautes autorités du pays et des parlementaires, est d’ouvrir le prétoire du Conseil constitutionnel à tous les justiciables et de leur permettre de contester la constitutionnalité de dispositions législatives déjà promulguées. Ce qui ne peut que renforcer la démocratie, l’Etat de droit, les droits de l’homme et l’approfondissement du contrôle constitutionnel. En fait, le recours d’un justiciable en inconstitutionnalité est examiné, tout d’abord par les juridictions inférieures, ensuite la juridiction suprême compétente qui peut décider soit du renvoi de ce recours au Conseil constitutionnel soit de son rejet et aucune autre juridiction ni personne physique ou morale ne pourra interférer dans cette décision. A souligner que les traités et les engagements internationaux ne peuvent pas faire l’objet d’une exception d’inconstitutionnalité du fait qu’ils ne revêtent pas un caractère législatif, tout comme les lois organiques ou toute loi déjà contrôlée par le Conseil constitutionnel ainsi que les ordonnances avant leur adoption par le Parlement et les décrets présidentiels et exécutifs. A ces différents textes, s’ajoutent les lois référendaires et constitutionnelles, expression de la volonté directe du peuple. Notons enfin que les dispositions de la Loi fondamentale du pays précisent que l’entrée en vigueur de ce nouveau mécanisme de contrôle constitutionnel est prévue en 2019.
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