Nachdem der Bundesrat nichts von einem Vaterschaftsurlaub wissen wollte, haben sich jetzt die Parteien positioniert. Nun wollen auch FDP und CVP einen Gegenvorschlag. Väter sollen mindestens zwei Wochen mit dem Baby bekommen. Doch der Streit geht in die nächste Runde.
Der Bundesrat schlägt dem Parlament vor, die Volksinitiative für vier Wochen Vaterschaftsurlaub ohne Gegenvorschlag abzulehnen (BLICK berichtete). Ein Tag frei für frischgebackene Väter müsse reichen. Das sehen die grossen Parteien anders. Wie BLICK finden sie diesen Entscheid windelweich.
Die SP hat am Dienstag beschlossen, die von über 160 Organisationen getragene Initiative zu unterstützen. «Der Vaterschaftsurlaub ist längst überfällig», so die Fraktion in einem Communiqué. Vier Wochen bezahlter Urlaub im ersten Lebensjahr des Kindes stellten eine erhebliche Verbesserung für das Wohl der Familie dar.
Jetzt wollen fast alle einen GegenvorschlagDoch auch auf der bürgerlichen Seite ist einiges in Bewegung geraten. Wie BLICK berichtete, will die FDP einen Gegenvorschlag erarbeiten. Dieser soll wie folgt aussehen und ist für die FDP nicht verhandelbar.
Just zur ersten Forderung der FDP aber gibt es schon Knatsch. CVP-Familienpolitiker Martin Candinas (37) schreibt auf Twitter, der Vorschlag sei «unbrauchbar»:
Grund: Gemäss dem Übereinkommen der Internationalen Arbeitsorganisation über den Mutterschutz, das die Schweiz unterzeichnet hat, haben Mütter Anrecht auf 14 Wochen Mutterschaftsurlaub. Der FDP-Vorschlag würde zur Kündigung des Abkommens führen, so Candinas.
CVP fordert, was sie noch vor Kurzem selbst ablehnteDie CVP will nun auch einen Gegenvorschlag für einen Vaterschaftsurlaub einbringen. «Eine moderne Familienpolitik muss diesen beruflichen Freiraum für Väter schaffen», schreibt die Partei auf Twitter.
Nach dem Willen der CVP sollen Väter einfach zwei Wochen bekommen. 14 Wochen sollen weiterhin der Mutter zustehen. Das internationale Abkommen würde so nicht verletzt.
Dennoch ist der Vorschlag nicht weniger pikant – denn er entspricht just einer Motion, die Candinas vor vier Jahren eingereicht hatte. Und die vor zwei Jahren ziemlich knapp - mit 97 zu 90 Stimmen – abgelehnt wurde. Auch aus der CVP stimmten drei Nationalräte dagegen und zwei enthielten sich.
SP-Wermuth stichelt gegen CVPHeisst: Wären diese fünf damals schon für «eine moderne Familienpolitik» eingestanden, wäre der Vaterschaftsurlaub heute schon einen Schritt weiter. Wie auch SP-Nationalrat Cédric Wermuth (32) genüsslich anmerkt:
Die SP hat sich daher gegen einen Gegenvorschlag entscheiden: Sie ist der Meinung, dass die Initiative selbst bereits ein Kompromiss ist und aus Sicht der SP eine Minimalvariante darstellt. «Daher wäre der Spielraum für einen allfälligen Gegenvorschlag sehr eng. Insbesondere wird die SP keinen Gegenvorschlag unterstützen, der den bestehenden Mutterschaftsurlaub in irgendeiner Form verschlechtert», schreibt die Partei. Heisst: Für die FDP-Idee sieht es schlecht aus.
(B2) L’initiative européenne d’intervention aurait dû être lancée le 4 juin. Délai reporté. Quelques détails encore à affiner, disent les officiels.
En fait de détail, il y a un gros problème qui s’appelle Berlin. Certes, dans son entretien au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, la chancelière Angela Merkel a semblé approuver l’initiative européenne d’intervention, de façon franche et claire (1). Mais elle y a posé une condition importante qui a été très peu commentée (lire : Initiative d’intervention, Asile, Zone euro… Le ‘Oui mais’ de Angela Merkel aux propositions d’Emmanuel Macron). Chacun préférant voir le « Ja » (oui) là où il y avait surtout un « Aber » (mais).
Un hic nommé Angela
Cette condition, c’est l’insertion de l’initiative européenne d’intervention (EI2 dans le jargon) dans la Coopération structurée permanente (PESCO). Certes, vu de loin, on pourrait inclure la proposition française dans la PESCO. A priori, rien d’impossible. Mais ce qui n’apparait que comme une simplification logique aboutit en fait à une remise en cause profonde. Un point auquel s’est toujours refusé Paris.
Une remise en cause des fondamentaux de la proposition
En effet, c’est l’essence même de la proposition faite par Emmanuel Macron en septembre dernier, lors du discours de la Sorbonne qui se retrouve ainsi mise en cause (Lire : « L’initiative européenne d’intervention » d’Emmanuel Macron ? Explications). Cette proposition avait été faite justement car les Français trouvaient la Coopération structurée permanente trop peu ambitieuse, pas assez tournée vers l’opérationnel, et trop inclusive. Si on veut agir, on doit le faire avec un petit groupe d’États, qui ont les capacités et la volonté d’intervenir, souligne-t-on à Paris. Et Florence Parly, la ministre de la Défense, l’a dit clairement encore tout récemment (Lire : L’initiative européenne d’intervention (EI2) sera « non inclusive », je l’assume (Florence Parly).
Berlin adepte du mou, Paris adepte du dur
De fait, la proposition d’Angela Merkel est une torpille lancée dans le pré carré français. Une manière de réintroduire de l’inclusif là où les Français voulaient de l’exclusif, du ‘mou’ là où Paris voulait du ‘dur’. Une position assez logique de la Chancelière obligée de composer avec une coalition peu encline à la chose militaire. En l’espèce, les propos de la Chancelière, quand on les examine mot par mot, sont étonnants, voire détonants, car ils sont à la limite de la réalité… et du droit. On a connu Angela Merkel plus rigoureuse et respectueuse des traités (notamment pour la Zone Euro).
Trois points où la Chancelière chancelle sur le droit
L’initiative européenne d’intervention associe en effet normalement le Danemark. Or, opt-out oblige, celui-ci ne peut faire partie d’aucun des projets militaires de l’UE. Seul un référendum pourrait revenir sur ce point.
Ensuite, associer la Grande-Bretagne comme le propose A. Merkel pourrait être possible, avec un peu de volonté. Mais, d’un commun accord, France et Allemagne ont convenu que tout ce qui avait trait à cette possibilité devrait être examiné plus tard, d’ici la fin de l’année, quand la négociation sur le Brexit aura abouti à quelques résultats. Inutile de donner un point aux Britanniques alors que la négociation tourne au véritable bras de fer.
Enfin, la Chancelière mentionne la possible intervention du Fonds européen de défense pour permettre un rééquipement de la Bundeswehr. La solidarité européenne venant au secours de la pauvre Allemagne qui répugne à mettre un peu plus d’argent dans son armée ? Une approximation pour le moins étonnante, à moins que Berlin ne souhaite ce qui serait une révolution : c’est-à-dire le financement en commun des équipements opérationnels par les Européens, en passant par-dessus bord l’interdiction précisée dans le Traité. On a rarement connu les Allemands aussi audacieux… On croit rêver !
Une manière de miner l’initiative ?
Sur le fond, la proposition allemande est aussi détonante. Il est un fait que la PESCO a une portée plus politique, capacitaire qu’opérationnelle… Inutile de le nier. La faute en partie à Berlin qui a voulu l’ouvrir au maximum à tous les pays (2). Or, aujourd’hui, l’Union européenne ne dispose d’aucun instrument opérationnel permettant de remplir ses objectifs minimaux sécuritaires : par exemple, monter rapidement une opération de secours pour des citoyens européens, ou une mission d’interposition en Afrique ou en Asie (3). Et les récentes avancées en matière de défense l’ont été surtout au niveau capacitaire et industrie, peu au niveau opérationnel. La défense européenne marche à cloche pied. Et l’autre pied, la Chancelière vient d’essayer de le flinguer.
Manger son chapeau, négocier ou faire du troc
Maintenant que va-t-il se passer ? Emmanuel Macron accepte-t-il de manger son chapeau… Difficile. Angela Merkel, mettra-t-elle de l’eau dans son vin de la défense, pour être plus dur sur l’économie et la Zone Euro. C’est plausible. Mais cela pourrait retarder l’agenda français qui voulait signer le MoU de l’initiative européenne d’intervention d’ici la fin juin. Dernière solution : se passer de l’Allemagne. D’un point de vue opérationnel, cela parait possible, du moins au niveau terrestre. En matière aéronautique ou de satellites, c’est beaucoup plus délicat. Et en matière politique, ce serait un aveu sérieux d’échec du couple franco-allemand. Difficile à afficher aujourd’hui en plein Brexit, alors que plusieurs États membres affichent clairement une force d’euroscepticisme assumé.
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) Elle l’avait déjà fait mais de manière plus détournée lors du salon aéronautique de Berlin.
(2) Un seul pays a choisi de rester en dehors : Malte. On ne peut pas dire que la défense européenne va en subir une perte énorme…
(3) Il existe bien les battlegroups, répondront les âmes charitables, mais leur inutilisation depuis plus de dix ans, malgré plusieurs demandes, les rend quasiment inopérants.
Cet article Initiative européenne d’intervention : entre Paris et Berlin, un crouton dans le potage est apparu en premier sur Bruxelles2.
Monténégro : ruinées, les montagnes du Nord se dépeuplent
Grand exode du nord du Monténégro : la Basse-Saxe, nouvelle terre promise
Chômage et exode : la grande misère du nord du Monténégro
Monténégro : exode obligé pour les jeunes diplômés
Nord du Monténégro : « Construisez la route ou nous partons tous en Amérique ! »
Monténégro : ruinées, les montagnes du Nord se dépeuplent
Grand exode du nord du Monténégro : la Basse-Saxe, nouvelle terre promise
Chômage et exode : la grande misère du nord du Monténégro
Monténégro : exode obligé pour les jeunes diplômés
Nord du Monténégro : « Construisez la route ou nous partons tous en Amérique ! »
Macédoine : le frère du Premier ministre se lance dans le cannabis médical
Croatie : dans le Međimurje, bientôt des soins thermaux au cannabis
Ces « trimmigrants » du Monténégro qui partent cultiver le cannabis en Californie
Albanie : cannabis, la ruée vers l'or vert
Drogues : la « route des Balkans », plus active que jamais
Macédoine : le frère du Premier ministre se lance dans le cannabis médical
Croatie : dans le Međimurje, bientôt des soins thermaux au cannabis
Ces « trimmigrants » du Monténégro qui partent cultiver le cannabis en Californie
Albanie : cannabis, la ruée vers l'or vert
Drogues : la « route des Balkans », plus active que jamais
HONGKONG - Die Hongkong-Tochter der Credit Suisse hat sich mit dem US-Justizministerium aussergerichtlich geeinigt.
Die Grossbank bezahlt im Rahmen dieses Abkommens 47 Millionen US-Dollar, wie sie am Mittwoch mitteilte. Diese Zahlung habe keine materiellen Auswirkungen auf die Zweitquartals-Zahlen, weil für den Fall schon Rückstellungen vorgenommen worden seien.
Beim Streit ging es um Einstellungspraktiken in Asien zwischen 2007 und 2013, wie die Bank weiter schrieb. Konkretere Angaben dazu wollte eine Firmensprecherin gegenüber AWP nicht machen. Laut der CS-Mitteilung wurden seit 2013 zahlreiche Verbesserungen bei den internen Kontrollfunktionen vorgenommen.
Jobs an Kinder ranghoher PolitikerIn ihrem letzten Geschäftsbericht berichtete die Credit Suisse über die US-Ermittlungen zur Einstellungspraxis in Asien. Laut den damaligen Angaben ging es darum, ob die Grossbank von Regierungsbehörden oder staatlichen Unternehmen «empfohlene Personen» einstellte - als Gegenleistung für Investment-Banking-Geschäfte oder für Genehmigungen von Aufsichtsbehörden.
Die US-Behörden hätten deswegen Untersuchungen wegen möglicher Verstösse gegen US-Korruptionsbestimmungen aufgenommen. Schon damals wurde betont, dass mit den Behörden zusammengearbeitet werde.
Laut Medienberichten waren schon diverse Banken mit ähnlichen Vorwürfen konfrontiert. Oft sollen dabei Jobs an Kinder von ranghohen chinesischen Politikern und Managern vergeben worden sein. (sda)
Traite des êtres humains : en Albanie, les enfants sont exploités
Albanie : 54 000 enfants contraints de travailler
Serbie : les enfants, principales victimes de la pauvreté
Macédoine : ces enfants qui travaillent plutôt que d'aller à l'école
Bosnie-Herzégovine : une première cantine publique pour les enfants pauvres
Traite des êtres humains : en Albanie, les enfants sont exploités
Albanie : 54 000 enfants contraints de travailler
Serbie : les enfants, principales victimes de la pauvreté
Macédoine : ces enfants qui travaillent plutôt que d'aller à l'école
Bosnie-Herzégovine : une première cantine publique pour les enfants pauvres
Studie untersucht auf Basis von Daten des Nationalen Bildungspanels Entwicklung der Schulnoten nach elterlichem Bildungshintergrund – Nach dem Wechsel auf das Gymnasium lassen gerade die Leistungen anfänglich guter SchülerInnen aus Elternhäusern mit niedrigem Bildungsniveau deutlich nach
Kinder, die auf ein Gymnasium gehen und Eltern mit einem niedrigen Bildungsniveau haben, fallen im Laufe ihrer Schulzeit im Vergleich zu anderen SchülerInnen leistungsmäßig zurück. Das gilt insbesondere dann, wenn sie zu Beginn der Gymnasialschulzeit in der fünften Klasse in den Fächern Deutsch und Mathematik noch EinserschülerInnen waren. Das geht aus einer Studie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin) hervor, für die der Bildungsökonom Felix Weinhardt gemeinsam mit Sophie Horneber Daten des Nationalen Bildungspanels (NEPS) ausgewertet hat. Als eine der ersten nimmt die Studie dabei die komplette Pflichtschulzeit von der ersten bis zur neunten Klasse unter die Lupe. „Die Ergebnisse zeigen, wie wichtig der Bildungshintergrund der Eltern für die Schulnoten ihrer Kinder noch immer ist“, erklärt Weinhardt. „Offenbar hängt nicht nur die Frage, ob man überhaupt auf ein Gymnasium geht, davon ab, sondern auch die Entwicklung der Noten im weiteren Verlauf der Schulzeit.“