Le nombre d’apprenants du Saint Livre, notamment chez les jeunes scolarisés, connait une forte augmentation durant la période estivale dans la wilaya d’El Bayadh, les parents veillant à ce que leurs enfants bénéficient d’une éducation religieuse appropriée.
Le nombre de jeunes apprenants du Coran passe du simple au double en cette période estivale, avec 14.000 enfants inscrits pour cet été contre 7.000 élèves scolarisés inscrits tout au long de l’année, a indiqué le chef du service d’enseignement coranique et de la culture islamique à la direction locale des Affaires religieuses et des Wakfs, Baghdadi Miloud.
Cet engouement, explique-t-il, est justifié par la période des vacances scolaires qui permet aux enfants de rejoindre des classes de récitation du Coran et d’apprendre les préceptes du Saint Livre.
Pour le responsable, les parents se font un « devoir » d’inscrire leurs enfants dans les écoles et classes coraniques pour leur inculquer une éducation religieuse, qui permettra « de les prémunir contre les maux sociaux qui gangrènent la société ».
La wilaya d’El Bayadh recense 11 écoles coran iques et 117 classes réservées à l’enseignement coranique fonctionnant à longueur d’année.
Durant l’été, 35 nouvelles classes sont ouvertes pour répondre à la forte demande et l’engouement pour ce genre d’enseignement malgré la chaleur caniculaire sévissant dans la région.
Pour assurer les bonnes conditions de déroulement de ces cycles de formation, la direction locale des Affaires religieuses et des Wakfs a mobilisé 85 enseignants du Coran, dont 35 bénévoles. Chacun d’entre eux s’occupe de plusieurs classes assurant un programme comportant plusieurs axes comme « Tajwid » (psalmodie du Coran), la syntaxe et l’explication des mots, a relevé M. Baghdadi.
— Supports technologiques contre « Louhate » en bois —
Les responsables des écoles et des classes d’enseignement du Coran adoptent deux méthodes en matière de récitation du Saint Livre. L’une moderne recourant à des supports technologiques.
L’autre traditionnelle, très appréciée par les enseignants, s’appuyant sur la dictée, la répétition de la lecture collective des sourates. La transcription des versets se fait sur des « louhate », des ardoises en bois et en utilisant de l’encre « Samgh » ou « Middad ».
L’argile blanche est utilisée pour effacer les ardoises et réécrire de nouveau sur le même support.
La méthode moderne utilisée permet de familiariser les enfants avec des méthodes d’enseignement modernes, telles que le recours à l’informatique et l’utilisation de diverses applications et logiciels. Ce modèle est appliqué notamment par l’école de l’Emir Abdelkader, du chef-lieu de wilaya.
Cheikh Boudia Abderrahmane, imam de mosquée et enseignant du Coran au niveau de cette école-pilote, ouverte dernièrement pour accueillir 160 élèves, a signalé que la méthode moderne se base sur les technologies informatiques, l’écoute collective des sourates et des versets diffusés par haut-parleur, l’apprentissage des règles de « Tajwid » sur CD et la récitation collective.
Il a souligné que cette méthode est très efficace et permet un suivi continu et régulier de l’apprenant.
Face à cet engouement pour l’enseignement du Coran, le chef-lieu de wilaya d’El Bayadh s’est renforcé d’une école-pilote d’enseignement du Saint Livre, qui sera ouverte avant la fin de l’année en cours, a annoncé Baghdadi Miloud. Cette infrastructure dont les travaux ont été achevés, n’attend que son équipement pour accueillir 1.000 apprenants.
Les responsables du secteur des Affaires religieuses ambitionnent de faire de cette école un espace de développement de méthodes d’enseignement de la récitation du Coran et ses préceptes dans la wilaya, afin de mieux préparer les récitants, qui participent, chaque année, aux concours de récitation et du Tajwid du Coran au niveau national et occupent des places honorables.
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Le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP), a présidé jeudi soir à Alger, au nom du président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelaziz Bouteflika, une cérémonie d’échange de vœux célébrant le 56e anniversaire de la fête de l’indépendance et du recouvrement de la souveraineté nationale.
La cérémonie a été organisée au Cercle national de l’Armée en l’honneur de hauts cadres de l’ANP, en activité ou à la retraite, et de hauts responsables de l’Etat.
Ont pris part à la cérémonie, qui s’inscrit dans le cadre des grandes traditions de l’ANP visant à valoriser les dates phares de la glorieuse histoire, le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci, le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le président de l’Assemblée populaire nationale, Saïd Bouhadja, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, des membres du gouvernement ainsi que des personnalités nationales et des moudjahidine.
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Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont arrêté 5 individus à Hussein Dey (Alger) pour formation d’une bande de malfaiteurs et falsification de dossiers afin de les déposer au niveau des différentes consulats selon les demandes des clients en vue de bénéficier d’un visa « régulier » et ce en échange d’une importante somme d’argents, a indiqué vendredi un communiqué de ces services.
L’enquête préliminaire avait conclu que ces actes étaient liés à « la formation d’une bande de malfaiteurs afin de commettre des délits relatifs à la falsification de documents officiels, à l’escroquerie, au faux et usage de faux, au chantage avec oblitération des preuves du crime, à la menace à l’arme blanche et à la non-facturation ».
Les mis en causes ont été présentés devant le procureur de la république territorialement compétent afin d’examiner leur dossier, a ajouté le communiqué.
Dans le cadre de cette affaire, il a été procédé à la saisie de « 33 téléphones portables, 3 micro-ordinateurs, une tablette, un appareil photo, une imprimante, 9 passeports biométriques, des sceaux, des cartes mémoires, des CD, un registre de commerce suspicieux et des photocopies de dossiers », a noté la source.
L’affaire s’était déclenchée suite à une plainte déposée par un citoyen se disant victime d’une escroquerie, de faux et usage de faux et de vole de son passeport biométrique puisque la victime était l’ami du mis en cause principal qui lui avait promis de lui procurer un visa en échange de la somme de 50millions Da.
Après quelques jours, tout les mis en causes ont été arrêtés en possession de différents faux documents.
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VIENNA, 6 July 2018 - OSCE Representative on the Freedom of the Media Harlem Désir voiced strong disapproval of today’s court decision to imprison Zaman journalists.
“Today’s sentences confirm the critical state of press freedom in Turkey. Terrorism charges for articles and news are unacceptable. Today’s sentences against Şahin Alpay and his colleagues are unjustified and exceptionally severe. I recall that the European Court of Human Rights emphasized that freedom of expressionalso applies to views that offend, shock or disturb the State or any sector of the population”, said Désir.
On 6 July, Istanbul 13thHigh Criminal Court has sentenced former Zaman journalists Şahin Alpay, Mustafa Ünal, İbrahim Karayeğen, Ahmet Turan Alkan, Mümtazer Türköne, Ali Bulaç to prison sentences ranging from 8 years 9 months to 10 years 6 months for “membership of a terrorist organization”. İhsan Dağı, Orhan Kemal Cengiz, Nuriye Akman, Mehmet Özdemir and Lale Sarıibrahimoğlu were acquitted.
Following the coup attempt in July 2016, Zaman newspaper was closed by a statutory decree and many of its employees were taken into custody.
Désir emphasized the severe health condition of journalist Şahin Alpay who has received a prison sentence of 8 years and 9 months. The Representative recalled that both the Constitutional Court of Turkey and the European Court of Human Rights ruled that his pre-trial detention was a violation of his right to freedom of expression and freedom of the media.
“I call on Turkey to release the arrested journalists and hope that this decision will be reversed on appeal. I have been following the Zaman trial from the very beginning. It highlights once again the urgent need to reform Turkey’s criminal legislation which allows for numerous ways to silence critical journalists” said Désir.
The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. He provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more atwww.osce.org/fom, Twitter:@OSCE_RFoMand onwww.facebook.com/osce.rfom
Le pugiliste algérien Ilyas Abbadi a battu, dans la soirée de jeudi à vendredi au complexe omnisport de Noumérate (sud de Ghardaïa), le malien Teme Cesar, lors d’un combat professionnel dans la catégorie des supers-moyens.
Cette deuxième consécration dans le monde de la boxe professionnelle d’Ilyas Abbadi, 26 ans, a été réalisée en battant son rival le malien Teme Cesar sur arrêt d’arbitre.
L’algérien Abbadi (1,85 m) a scellé le sort de la partie composée de quatre rounds en s’imposant au premier round devant un public acquis par arrêt de l’arbitre en plaçant plusieurs enchaînements qui semblaient ébranler le jeune malien dès le début du combat.
« Ce combat place notre jeune boxeur Abbadi sur la bonne voie, il est très doué et peut redonner un nouveau souffle à la boxe algérienne », a indiqué à l’APS Mohamed Benguesmia ancien champion de boxe et manager général du jeune boxeur Abbadi à l’issu de ce gala de boxe.
De son côté le malien a reconnu la supériorité de Abbadi auquel il souhaite une bonne continuation dans son aventure professionnelle.
Pour le jeune boxeur Abbadi, qui débute sa carrière chez les professionnels, rappelle à l’APS qu’il veut « devenir un champion dans sa catégorie super-moyens’’ pour rehausser la boxe algérienne ».
Dans un autre combat en catégorie léger, l’Algérien Abdelkader Chadi qui participe pour la première fois dans un combat international professionnel UBO , s’est montré expéditif face au Sénégalais Aziz M’Bao Abdoul en remportant la partie au milieu du premier round par abondant avant de recevoir la ceinture de champion.
Suivie par un large public, cette soirée Gala de boxe, intitulée « Soirée de l’indépendance », organisée sous l’égide du ministère de la Jeunesse et des Sports et de la direction de la Jeunesse et des Sports de Ghardaïa, à l’occasion de la célébration du 56e anniversaire de la fête de l’indépendance et de la jeunesse, a été également marquée par des combats amateurs destinés, essentiellement, à permettre aux jeunes pugilistes de Boufarik (Blida), d’Alger, Tipaza, de Tizi Ouzou, de Bejaia et de France de s’adapter aux conditions dans lesquelles se déroulent les combats de la boxe professionnelle.
Cet évènement marqué par la présence des icônes de la boxe Algérienne, comme Abdelkader Ouled Makhloufi et Mohamed Bengasmia, est organisé à Ghardaïa dans le but de contribuer au développement de cette discipline sportive dans la région du sud Algérien, ont souligné les organisateurs.
Par ailleurs, dans la catégorie de superléger féminin Fatma Zohra Zouak de Boufarik et Wiam Baghdoud de Tipaz ont fait match nul. Dans la catégorie de 52 kg , Hamid Chougrani de Tiaret a gagné au point son combat devant Soheib Saib de Tipaza. Dans la catégorie (léger) Salem Dali de Tizi Ouzou a gagné son combat aux points devant le français Konaté Siaka. Dans la catégorie (super moyen), Omar Belarbi d’Alger a remporté le combat devant le français Anthony Brard aux points. Dans la catégorie (lourd léger) Mimouh Khelifa de Tizi-ouzou a battu par arrêt d’arbitre au 3éme round son adversaire Rachid Korti de Tipaza.
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Die Henley Royal Regatta ist ein legendäres Rennen. Erstmals dabei ist unsere Weltmeisterin Jeannine Gmelin.
Traditionen werden in England gepflegt. Das ist derzeit besonders gut in Wimbledon sichtbar. Doch das Tennis-Turnier ist nichts im Vergleich zur Henley Royal Regatta! Der Ruderwettbewerb 50 km östlich von London trieft vor Tradition. Erstmals ausgetragen wurde er 1839. Zum Vergleich: In Wimbledon spielt man seit 1877.
Auf der Themse erstmals dabei ist Skiff-Weltmeisterin Jeannine Gmelin. Sie ist beeindruckt: «So etwas habe ich noch nie erlebt. Hier gibt es nicht nur Kleidervorschriften für die Athleten, sondern auch für die Zuschauer», so die Zürcherin aus Uster. Tatsächlich ist der Dresscode für Ruder-Fans äusserst strikt. Männer müssen Krawatte oder Fliege tragen, Jeans und Shorts sind nicht erlaubt. Letzteres gilt auch für Frauen, für die Hosen sowieso tabu sind. Der Saum ihrer Röcke muss ausserdem unter Kniehöhe liegen.
Gmelin ist darauf vorbereitet. «Ich habe ein schönes Kleid mitgenommen. Und ich habe einen Hut dabei», sagt sie. Schliesslich wird eine angemessene Kopfbedeckung empfohlen.
Die Queen als Schirmherrin
In erster Linie ist Gmelin aber zum Rudern da. Sie freut sich auf das neue Umfeld und den seltenen Wettkampfmodus. «Hier rudert man im K.-o.-Modus, immer im Eins-gegen-eins. Und die Strecke ist nicht 2000, sondern 2112 Meter lang.»
Die kleinen aber feinen Unterschiede eben. Zu den Favoritinnen zählt Gmelin, die sich auf die EM in Glasgow (ab 1. August) und die WM im bulgarischen Plowdiw (ab 9. September) vorbereitet, aber auch so. Nur allzu gerne würde sie ihr Kleid bei der Siegerehrung präsentieren.
Ob ihr dann sogar Queen Elisabeth II gratulieren wird? Immerhin ist sie Schirmherrin der Regatta. Gmelin: «Es wäre eine riesige Ehre. Denn hier hat der Rudersport eine enorme Tradition, und diese Regatta ist dabei die Kirsche auf der Torte.»
Die verbliebenen Länder im Atomabkommen mit dem Iran haben zahlreiche wirtschaftliche Massnahmen vereinbart, um den Deal am Leben zu halten.
Unter dem Vorsitz der EU-Aussenbeauftragten Federica Mogherini diskutierten Aussenminister und wichtige Diplomaten aus Deutschland, Frankreich, Grossbritannien, China, Russland und dem Iran bei einem Treffen in Wien über die Zukunft des Atomabkommens mit dem Iran. Wie aus einer Abschlusserklärung am Freitag hervorgeht, sollen zahlreiche wirtschaftliche Massnahmen den Deal retten. Dazu gehören unter anderem der funktionierende Zahlungsverkehr sowie der Export von Öl und Gas.
Die fünf Staaten handelten 2015 gemeinsam mit den USA und dem Iran das Abkommen aus. Die Vereinbarung sieht vor, dass der Iran sein Atomprogramm massiv zurückfährt und streng überwachen lässt. So soll die Islamische Republik am Bau einer Atomwaffe gehindert werden. Im Gegenzug wurde Teheran der Ausbau der Wirtschaftsbeziehungen versprochen.
«Schritt vorwärts»Seit US-Präsident Donald Trump Anfang Mai aus der Vereinbarung ausgestiegen ist und neue US-Sanktionen gegen den Iran angekündigt hat, steht der Atomdeal auf der Kippe. Der Iran hatte zuletzt betont, dass er nur dann an dem Abkommen festhalten will, wenn er wirtschaftlich davon profitiert.
Nach dem Treffen am Freitag zeigte sich die iranische Seite aber zuversichtlich. «Das Treffen war ein Schritt vorwärts», sagte Irans Aussenminister Mohammed Dschawad Sarif. Nun müsste aber auch eine schnelle Umsetzung bis zum 6. August folgen - denn dann treten die ersten US-Sanktionen gegen den Iran in Kraft.
Irans Präsident Hassan Ruhani hatte am Donnerstag die bereits vor dem Treffen in Wien bekanntgewordenen Vorschläge der drei EU-Staaten Deutschland, Frankreich und Grossbritannien als «enttäuschend» kritisiert.
In iranischen Delegationskreisen hiess es nach der Zusammenkunft am Freitag, dass eigene Experten bis Montag in Wien die Details des Angebots der drei europäischen Länder überprüfen wollen. Eine Entscheidung solle dann aber erst in Teheran getroffen werden.
«Wirtschaftliche Vorteile durch dieses Abkommen»«Wir wollen dem Iran heute deutlich machen, dass er nach wie vor wirtschaftliche Vorteile durch dieses Abkommen hat», sagte Deutschlands Aussenminister Heiko Maas (SPD) am Freitag vor dem Treffen. Eine Zukunft des Abkommens sei wichtig für die europäische Sicherheit, erklärte Maas.
Maas erklärte, dass mit der Anti-Blocking-Verordnung zum Schutz europäischer Unternehmen, die im Iran tätig sind, und der Ausweitung des Mandats für die europäische Investitionsbank bereits erste Schritte umgesetzt wurden. Mit den beiden Massnahmen soll verhindert werden, dass sich europäische Unternehmen aus dem Iran zurückziehen.
«Wir suchen jetzt nach Möglichkeiten, den Zahlungsverkehr für den Iran offenzuhalten, so dass auch der Iran keine Veranlassung sieht, sich aus diesem Abkommen zurückzuziehen.» In der Abschlusserklärung von Freitag finden sich zudem Zusagen zu Transportwesen und Förderung von Investitionen im Iran.
Ruhani braucht ein gutes VerhandlungsergebnisFür Ruhani und seine Regierung ist ein gutes Verhandlungsergebnis zwingend notwendig, um die Lage im eigenen Land zu beruhigen. Das Atomabkommen war ein grosser Erfolg für die Ruhani-Regierung - ein Ende der Vereinbarung dürfte nach Ansicht von Beobachtern in der Teheran das Ende seiner Präsidentschaft bedeuten. Vor allem wirtschaftlich steckt der Iran gerade in einer tiefen Krise. (SDA)
Die Unternehmenssteuerreform soll einen sozialen Ausgleich enthalten. Wie dieser aussieht, ist aber höchst umstritten. Immer mehr Vorschläge kommen auf den Tisch.
Damit die nächste Unternehmens-Steuerreform mehr Zustimmung an der Urne erhält als die letzte, die haushoch abgelehnt wurde, soll die Reform einen sozialen Ausgleich enthalten. Der Ständerat will, dass die AHV mehr Geld bekommt – vor allem durch höhere Lohnbeiträge. Bezahlen müssten die Arbeitgeber und Arbeitnehmer.
Dass dieser Kuhhandel es im Nationalrat schwer haben dürfte, war zu erwarten. Und tatsächlich kommen immer mehr Änderungswünsche an den Tag.
Bund soll AHV-Sanierung zahlenDie Sozialkommission des Nationalrats (SGK) will statt Arbeitgeber und Arbeitnehmer den Bund zur Kasse bitten. In einem Mitbericht an die zuständige Wirtschaftskommission schlägt sie vor, dass die Bundeskasse einen höheren Anteil an die AHV leistet.
Heute sind es 19,55 Prozent. Zwischen 2020 und 2030 sollen es zunächst 21,5 Prozent und schliesslich 20,5 Prozent sein. Zudem soll das ganze Mehrwertsteuer-Demografieprozent der AHV zukommen. Heute gehen 17 Prozent dieser Einnahmen an den Bund.
Nach Angaben der Parlamentsdienste vom Freitag stimmte die SGK dem Konzept knapp mit 13 zu 12 Stimmen zu. Die Mehrheit ist der Meinung, dass die Ausgleichsmassnahmen aus der Bundeskasse finanziert werden sollen, da diese von der Unternehmenssteuerreform profitiert.
Frauenrentenalter 65 soll in den SteuerdealMit dem Vorschlag kämen über zwei Milliarden Franken für die AHV zusammen – ungefähr der gleiche Betrag, den auch der Ständerat vorsieht.
Ein Pfand will die Sozialkommission nicht aus der Hand geben: Sie schlägt vor, das Frauenrentenalter, das eigentlich Teil der laufenden Rentenreform ist, im Rahmen der Steuervorlage zu erhöhen.
Hintergrund: Bürgerliche Parteien und Wirtschaftsverbände befürchten, dass die Erhöhung des Frauenrentenalters auf die lange Bank geschoben wird, wenn die AHV für einige Jahre finanziell stabilisiert wird.
Der Bundesrat hält in seinen Vorschlägen zur Reform der Altersvorsorge zwar am Frauenrentenalter 65 fest. Für Linke und Gewerkschaften jedoch ist das Thema vom Tisch.
Starke Minderheit für den KuhhandelEine starke Minderheit will sich an den Beschlüssen des Ständerats orientieren. Sie befürchtet insbesondere, dass die Erhöhung des Frauenrentenalters die Steuervorlage gefährden könnte.
Diese ist nötig, weil die kantonalen Steuerprivilegien für internationale Unternehmen abgeschafft werden müssen. Die befürchtete Abwanderung will der Bundesrat mit neuen Vergünstigungen verhindern. Die Kantone senken die Gewinnsteuern für alle Unternehmen. (sda/sf)
Le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, a déclaré jeudi que les Etats-Unis » appréciaient grandement » leur amitié étroite avec l’Algérie, réaffirmant l’engagement de son pays à promouvoir la coopération bilatérale.
« Au nom du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique, je transmets mes félicitations pour l’anniversaire de l’indépendance de l’Algérie », écrit le chef de la diplomatie américaine dans son message de félicitations à l’occasion de la fête de l’indépendance de l’Algérie.
« Les Etats-Unis apprécient grandement leur amitié étroite avec l’Algérie et nos pays ont bénéficié de nos efforts pour faire avancer nos intérêts communs en matière de sécurité, de prospérité et de croissance économique », souligne Pompeo dans sa déclaration publiée par le département d’Etat.
Et d’ajouter « Nous avons hâte d’approfondir davantage notre coopération bilatérale et d’élargir les liens étroits entre les peuples américain et algérien ».
« Alors que vous célébrez cette journée importante, je vous offre mes meilleurs vœux pour l’année prochaine », a-t-il dit.
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Quelque 4,1 millions de Maliens ont besoin d’une aide alimentaire, selon une étude réalisée par un expert indépendant de la Minusma, affirmant que la situation humanitaire dans le pays s’aggrave.
La malnutrition aiguë et sévère devrait passer, selon cette étude citée par des médias maliens, de 162 913 cas à 274 145 au niveau national, tandis que les cas prévus de malnutrition aiguë modérée passeront de 470 000 à 582 000.
Ces chiffres comprennent 11 232 enfants gravement atteints de malnutrition aiguë sévère de moins de 5 ans et 489 238 enfants de 6 à 59 mois souffrant de malnutrition aiguë modérée.
En outre, 45 245 femmes enceintes et en situation d’allaitement souffrent de malnutrition aiguë modérée. « C’est une urgence sur laquelle on ne peut pas fermer les yeux », a indiqué l’expert indépendant qui s’est intéressé à la situation des populations maliennes.
La situation alimentaire s’ajoute à la dégradation de la question des déplacées et réfugiés, manquant de soutien et d’aide alimentaire ainsi que de médicaments.
On compte à ce jour 61 404 personnes déplacées à l’intérieur du Mali et 138 675 personnes réfugiées dans les pays voisins notamment au Niger, en Mauritanie et au Burkina Faso.
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Die Waadtländer Kantonsregierung will den Einsatz des Unkrautvertilgungsmittels Glyphosat auf seinem Territorium reduzieren. Bis 2022 sollen alle staatlichen Wein-, Obst- und Agrar-Betriebe auf das umstrittene Herbizid verzichten.
Die EU-Staaten hatten Ende November 2017 nach langem Streit beschlossen, die Zulassung von Glyphosat um fünf Jahre zu verlängern. Darauf hin hatte es massive Proteste gegeben.
Denn die Internationale Krebsforschungsagentur der Weltgesundheitsorganisation WHO hatte den unter dem Marktnamen Roundup bekannten Unkrautvernichter im März 2015 als «wahrscheinlich krebserregend» für den Menschen eingestuft. Der Wirkstoff war in den 1970er-Jahren von Monsanto auf den Markt gebracht worden und wird als Breitbandherbizid in der Landwirtschaft, im Gartenbau, der Industrie und Privathaushalten eingesetzt.
Eine Studie des Bundes vom Mai 2018 hatte aufgezeigt, dass in der Schweiz 40 Prozent der Lebensmittel messbare Spuren von Glyphosat enthielten. Die gemessenen Konzentrationen lagen aber allesamt unter den zugelassenen Werten.
Der Bundesrat war deshalb zum Schluss gekommen, dass aus gesundheitlicher Sicht kein Handlungsbedarf bestehe. Er teilte damit die Einschätzung der EU und sprach sich gegen ein Verbot von Glyphosat aus.
Die Waadtländer Regierung gibt sich vorsichtiger. Sie will dem Kantonsparlament einen Aktionsplan unterbreiten und an der Fachhochschule für Obst- und Weinbau sowie auf staatlichen Agrarflächen Pilotversuche durchführen, um nach Alternativen zum Einsatz von Glyphosat zu suchen.
Der Kanton Waadt wolle seine Verantwortung gegenüber der Umwelt und der Gesundheit der Bürgerinnen und Bürger wahrnehmen, sagte FDP-Regierungsrätin Jacqueline de Quattro.
Im Kanton Waadt habe man 2017 in mehreren Flüssen das Wasser analysiert und dabei festgestellt, dass 30 Prozent der Proben die zulässigen Glyphosat-Konzentrationen überschritten hätten.