Par Mohamed BENHAMLA.
Le président de la JS Kabylie, Chérif Mellal, a annoncé avoir conclu avec Djamel Menad, actuel membre du staff technique national, pour driver son équipe après le match de ce soir face au Portugal.
L’information concernant ces négociations a été déjà rapportée par plusieurs sources médiatiques, mais aucune confirmation officielle n’a été donnée de la part du club de la kabylie. Ceci, avant la sortie du nouveau chargé de la communication, Miloud Iboud, pour confirmer et annoncer l’accord. S’en suivra l’intervention de Mellal, lequel, pourtant, ne cessait de parler d’une piste allemande et une autre française. Si du côté de la JSK, cette information a fait plusieurs heureux, estimant qu’il s’agit de l’homme de la situation, il n’en demeure pas moins qu’elle laisse les spéculations aller bon train du côté de la sélection nationale. Ces faits interviennent au moment où les débats sont intenses concernant l’avenir du staff technique, composé de Rabah Madjer et ses deux adjoints, Meziane Ighil et Djamel Menad. Dans ce cas de figure, deux hypothèses se présentent.
La première, c’est que cette décision de Menad de partir vient confirmer que le courant ne passe plus entre lui et Madjer, comme cela a été rapporté par plusieurs sources. Des sources qui avançaient que Menad n’aurait pas apprécié le fait que son ancien équipier prenne des décisions unilatérales, sans daigner le consulter, ni même Ighil.
Le ton serait monté plusieurs fois entre les deux hommes, surtout quand il s’agissait de décisions jugées inutiles ou fausses prises par Madjer – et elles sont plusieurs! -. La deuxième hypothèse mène carrément vers le limogeage du staff technique national après le match d’aujourd’hui et c’est, selon plusieurs sources, ce qui est le plus proche de la réalité.
Le président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, et malgré son dernier communiqué où il a pris la défense de Madjer face aux critiques, s’est rendu compte, selon ses proches, que son choix était une autre erreur de casting -après celle d’Alcaraz – et veut, désormais, rectifier le tir. Dans les neuf matchs que les deux sélections nationales des A et A’ ont disputés sous sa houlette, Madjer n’a pas réussi à faire l’unanimité, lui dont l’objectif assigné est, faut-il le rappeler, d’atteindre le dernier carré de la prochaine CAN 2019 au Cameroun.
Refusant de «fuir» ses responsabilités et démissionner, le coach national devrait se réunir avec ses responsables hiérarchiques dès le retour de l’équipe à Alger pour faire le point sur différents aspects. Et c’est à l’issue de ce conclave que l’on saura si Madjer sera maintenu ou pas, même si tout mène vers une séparation à l’amiable et l’installation d’un staff technique intérimaire pour préparer la prochaine sortie face à la Gambie, au mois de septembre. Et même s’il y aura séparation dès aujourd’hui, nul n’espère que cela soit sur une (très) mauvaise prestation de notre équipe nationale face aux champion d’Europe en titre, le Portugal et son CR7. Quoi qu’il en soit, c’est beaucoup plus l’après-match d’aujourd’hui qui intéresse plus que le match en lui-même.
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Wir müssen Sie enttäuschen. Spaghetti Bolognese ist gar kein typisch italienisches Gericht. In der Stadt Bologna, dort wo diese kulinarische Kreation angeblich herkommen soll, wird das Ragu Bolognese mit Tagliatelle oder anderen Nudeln serviert, nicht aber mit Spaghetti. Hier das Originalrezept für Ragù alla Bolognese.
Zubereitungszeit: 200 Min. / Schwierigkeitsgrad: Einfach / Kalorien p.P: 105 kcal
Zutaten Für 4 Personen500 gRinderhackfleisch250 gSchweinehackfleisch40 g Milch1 TLOlivenöl3 LWasser50 gStangensellerie50 gZwiebel50 gKarotten250 gPassierte Tomaten250 gWeissweinNach GeschmackSalz und PfefferZubereitung
Der Zürcher E-Prix soll zum Volksfest werden: Testen Sie im Rahmen des Formel-E-Rennens gratis E-Autos oder fahren Sie mit einem Micro-Scooter über die Rennstrecke!
Kommendes Wochenende ists endlich so weit: Zum ersten Mal seit 63 Jahren findet in der Schweiz wieder ein Rundstreckenrennen statt. Und zwar nicht irgendwo, sondern mitten in der Zürcher City!
Der Rundkurs, über den die 20 Formel-E-Boliden mit bis zu 220 km/h flitzen, ist während des ganzen Wochenendes für die Öffentlichkeit komplett gesperrt.
Selber auf die RennstreckeKomplett? Nicht ganz! Micro Mobility Systems aus Küsnacht ZH, die Erfinder des Micro Scooters, bietet im Anschluss ans offizielle freie Training am Sonntag-Vormittag eine exklusive «Testfahrt» auf der Rennstrecke an. Mit 200 «Trottis» gehts über den 2,5 Kilometer langen Rundkurs entlang des Seebeckens und durchs Zürcher Bankenviertel – angeführt vom bald auf den Markt kommenden Microlino als «Safety-Car».
Gratis dabeiInteressiert an dieser nicht alltäglichen Testfahrt auf den Spuren von Formel-E-Champion Sébastien Buemi? Dann melden Sie sich online gratis an. Dort erhalten Sie auch alle Infos zum Treffpunkt und Startzeit. Übrigens: Nach der Testrunde werden die 200 Test-Scooter im Micro-Zelt auf der Rentenwiese mittels Glücksrad verlost.
Weitere e-Auto-Aktivitäten am Weekend
Während BMW am Samstag nur gegen Voranmeldung und Bezahlung von 450 Franken einen exklusiven Kundenkreis über die abgesperrte Rennstrecke sausen lässt, kann sich das E-Prix-Publikum in der eintrittsfreien Fanzone am Samstag und Sonntag am BMW i Stand informieren. Auch Jaguar zeigt dem Zürcher-Publikum in der Fanzone seinen ersten Elektro-Wurf, den brandneuen und nächsten Monat startenden I-Pace.
Probefahrten möglichBei Renault können E-Prix-Besucher schon bei der Anreise am Bahnhof Stadelhofen das aktuelle Formel-E-Rennfahrzeug aus der Nähe bestaunen. Dort und auf dem Bürkliplatz können auch Gratis-Probefahrten mit dem elektrischen Renault Zoe gebucht werden.
Viel Action von MercedesIm öffentlich zugänglichen E-Village zeigt Mercedes das neue Concept EQA. Zudem können bereits jetzt online Probefahrten mit dem Smart EQ Fortwo und Forfour für Samstag und Sonntag abgemacht werden. Grosser Showdown am Renntag vor dem Qualifying: Ab etwa 13.20 Uhr stromert der Prototyp des EQC, des kommenden ersten Mercedes-Elektromodells, gefolgt von einer Meute elektrischer Renn-Smarts über die Zürcher Rennstrecke.
Ski-Star unter StromSchliesslich sorgt auch Audi am Sonntagmittag noch für etwas Glamour, wenn Markenbotschafterin Lara Gut im in der Elektro-Studie Vision GT über die Strecke chauffiert wird. Daneben stellt Audi den getarnten Prototypen e-Tron im gratis zugänglichen E-Village aus und ermöglicht den Fans auch ein Virtual-Reality-Erlebnis mit Audis E-Rennwagen e-Tron FE04.
Le président américain Donald Trump a marqué hier soir l’iftar, dîner de rupture du jeûne pendant le Ramadan, en accueillant des musulmans à la Maison Blanche.»Il y a eu environ 30 à 40 invités», a indiqué Sarah Sanders, porte-parole de l’exécutif américain, sans autres précisions. En 2017, lors de sa première année au pouvoir, Donald Trump n’avait pas, contrairement à une tradition présidentielle ancienne, organisé un tel dîner. Plusieurs organisations de musulmans aux Etats-Unis ont d’ores et déjà indiqué qu’elles n’entendaient pas participer à la soirée de mercredi. La communauté musulmane entretient des relations tendues avec Donald Trump, qui, au début de sa campagne, avait proposé -à la stupéfaction générale- de fermer temporairement l’accès aux Etats-Unis aux musulmans. Nombre d’autres épisodes ont contribué à alimenter cette défiance, parmi lesquels les propos de M. Trump visant le maire musulman de Londres Sadiq Khan qu’il a accusé de minimiser la menace terroriste.
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Die Regierung muss prüfen, wie obligatorische Schulsportlager in Zukunft zusätzlich mit Bundesgeldern unterstützt werden könnten. Das hat der Nationalrat am Donnerstag entschieden. Die Durchführung solcher Lager ist nach einem Bundesgerichtsentscheid gefährdet.
Die Lausanner Richter kamen im vergangenen Dezember zum Schluss, dass die Volksschule grundsätzlich unentgeltlich sein muss. Aus diesem Grund dürfen ab sofort schweizweit praktisch keine Elternbeiträge mehr für obligatorische Lager und Exkursionen erhoben werden.
Laut dem Bündner BDP-Nationalrat Duri Campell löste dieser Entscheid in verschiedenen Kantonen grosse Unsicherheit bei Schulverbänden und Lehrern aus. Der Aufwand, um Lager zu organisieren, sei grösser worden.
«Es muss eine Möglichkeit geben, mehr Geld zu sprechen für unsere Kinder», sagte Campell. Er selbst verbinde mit solchen Lagern viele schöne Erinnerungen und auch einen Hauch Romantik: Dort brächten viele die ersten Liebschaften hinter sich.
Die Mehrheit des Nationalrats teilte seine Sorgen und überwies das Postulat mit 171 zu 10 Stimmen bei 4 Enthaltungen. Nur einzelne SVP-Vertreter stimmten dagegen - vor allem mit der Begründung, dass zuerst in anderen Themenbereichen gespart werden müsse.
Der Bundesrat, der den Vorstoss zur Ablehnung empfohlen hatte, muss nun einen Bericht erstellen. Darin soll insbesondere aufgezeigt werden, welche Möglichkeiten im Rahmen des Programms «Jugend+Sport» (J+S) bestehen, um obligatorische Schulsportlager verstärkt zu unterstützen.
Sportminister Guy Parmelin anerkannte die Wichtigkeit von Sportwochen für Kinder und Jugendliche. Sie seien pädagogisch wertvoll. Finanziell unterstützen könne der Bund die teuren Lager allerdings nur begrenzt.
Für den Volksschulunterricht seien die Kantone und Gemeinden zuständig. Der Bund unterstütze obligatorische und freiwillige Sportlager über J+S. Er sehe derzeit aber «keinen Anlass, wegfallende Elternbeiträge durch Bundessubventionen zu kompensieren».
Seit Ende Februar sitzt Pierin Vincenz in Untersuchungshaft. Der frühere Raiffeisen-Boss könnte spätestens am 17. Juni in Freiheit sein. Wenn der Staatsanwalt nicht eine weitere Haftverlängerung beantragt.
In Zürcher Finanzkreisen mehrten sich zuletzt die Spekulationen, dass U-Häftling Pierin Vincenz (62) bald freikommt (BLICK berichtete).
Jetzt legt die «Handelszeitung» nach: Der Ex-Raiffeisen-Boss könnte laut einem heutigen Bericht spätestens am 17. Juni freikommen. Dann laufe die durch das Zwangsmassnahmengericht gewährte Fristenerstreckung zur Haftverlängerung aus. Wenn Staatsanwalts Marc Jean-Richard-dit-Bressel (54) nicht erneut einen Antrag auf U-Haftverlängerung stellt, um mehr Zeit für die Ermittlungen zu haben.
Vincenz soll bei Firmenübernahmen der Kreditkartengesellschaft Aduno und von Raiffeisen ein Doppelspiel gespielt und sich persönlich bereichert haben. Als Kompagnon fungierte der ebenfalls inhaftierte Ex-Aduno-Chef Beat Stocker (58). Für beide gilt die Unschuldsvermutung. Beide sitzen seit Ende Februar in Zürcher U-Haft.
Die Staatsanwaltschaft erteilt keine Auskunft zum Zeitungsbericht und zu laufenden Verfahren.
Frist-Ende fällt mit Delegierten-Event zusammenVincenz könnte genau vor der grossen Raiffeisen-Delegiertenversammlung wieder in Freiheit sein. Im Kunst- und Kulturzentrum LAC in Lugano TI treffen sich die Raiffeisen-Teppichetage und die 164 Delegierten am 16. Juni zur jährlichen Versammlung. Brisantes Thema: die Lohnerhöhung bei Raiffeisen Schweiz und im Verwaltungsrat. Der Antrag liegt vor, dass der Verwaltungsrat seine für 2017 beschlossene Lohnerhöhung revidiert.
Dass Vincenz – sofern er tatsächlich frei kommt – in Lugano auftaucht oder die Party stört und öffentlich auspackt, wie die «Handelszeitung» schreibt, ist unwahrscheinlich. Dass die Frist für eine mögliche U-Haftverlängerung genau zum Zeitpunkt der Delegiertenversammlung abläuft, ist purer Zufall.
Was für eine Verlängerung der U-Haft spricht: Die Spesenabrechnungen des Ex-Raiffeisen-Bosses. «Sie beschäftigen nun sogar die Justiz», schreibt der in Sachen Raiffeisen gut informierte Finanzblog «Inside-Paradeplatz» heute. Auslöser für die Untersuchungen sei die Genossenschaftsbank selbst. Die Aufarbeitung der Ära Vincenz durch den externen Ermittler Bruno Gehrig (71) habe eine grosse Anzahl unklarer Spesen zutage gefördert. «Die Spesen-Abklärungen sind keine Petitessen», heisst es im Finanzblog.
Auch wenn der Ex-Raiffeisen-Chef bald aus der U-Haft entlassen wird, wird sein Fall die Justiz noch jahrelang auf Trab halten. «Im Zweifel kommt es zur Anklage, alleine das kann aber x Monate dauern», sagt Strafverteidiger Valentin Landmann (67) zu BLICK. Welche Auflagen, im Fachjargon Ersatzmassnahmen, Vincenz bis dann einhalten müsste, könne man nicht wissen.
BERN - BE - Fast alle Mountainbiker tragen einen Velo- oder Integralhelm. Weniger risikobewusst sind die Biker, wenn es um den Schutz von Ellbogen, Schultern und Brust geht. Die Beratungsstelle für Unfallverhütung BFU hat erstmals die Ausrüstung von Moutainbikern erhoben.
In der Schweiz gibt es jedes Jahr fast 9000 Verletzte beim Mountainbiken - und durchschnittlich zwei Personen verlieren bei Unfällen ihr Leben. Bei Verletzungen sind am häufigsten die Schultern, Arme und Hände, der Rumpfbereich sowie die Beine betroffen, wie die BFU am Donnerstag in einer Mitteilung schreibt.
Sie hat an 40 beliebten Schweizer Mountainbike-Pisten und -Routen der Gebrauch der persönlichen Schutzausrüstung von gut 1400 Personen erhoben. Die Erhebung soll künftig alle zwei Jahre wiederholt werden.
93 Prozent der beobachteten und befragten Mountainbiker schützen sich mit einem Helm. Bei Pistenfahrern liegen dabei Integralhelme und Velohelme gleichauf. Auf Biketouren überwiegt hingegen der klassische Velohelm. Die Helmtragquote der Mountainbiker liegt somit deutlich über jener der Velofahrer im Strassenverkehr, die bei nur 46 Prozent liegt. Bei den schnellen E-Bikes missachtet jeder Sechste die Helmtragpflicht.
Sicherheit geht vorEine Mehrheit trägt Protektoren für die Knie und den Rücken. In der Minderheit sind Biker mit Protektoren für die Ellbogen, die Schultern und die Brust. Am seltensten getragen werden Nacken- und Schienbeinprotektoren.
Bloss eine Randerscheinung scheint auf Mountainbike-Strecken das Musikhören zu sein. Nur jede und jeder Vierzigste war laut bei den Erhebungen der BFU mit Kopfhörern unterwegs. Ähnlich gering war der Anteil der Mountainbiker mit Helmkamera. (SDA)
WINDEN TG - Grosser Sachschaden und zwei Verletzte: Das ist die Bilanz eines Verkehrsunfalls vom Mittwoch im thurgauischen Winden. Eine 89-jährige Autofahrerin geriet auf die Gegenfahrbahn und kollidierte mit einem Auto.
Die Autofahrerin war kurz nach 14.15 Uhr auf der Muolerstrasse in Richtung Wittenbach unterwegs. Gemäss den Erkenntnissen der Kantonspolizei Thurgau geriet sie kurz nach der Verzweigung «Ballen» aus noch unbekannten Gründen auf die Gegenfahrbahn und kollidierte mit einem entgegenkommenden Autofahrer.
Die Autofahrerin sowie ihr Mitfahrer wurden bei der Kollision verletzt und mussten durch den Rettungsdienst ins Spital gebracht werden. Der Sachschaden dürfte über 20'000 Franken gross sein, wie die Thurgauer Kantonspolizei schreibt.
Heute beginnt das Greenfield Festival 2018. TV-Koch René Schudel hat noch keine Ausgabe verpasst und kennt das Festival in Interlaken BE wie kein anderer. Hier seine Tipps für das Rock-Spektakel.
Heute geht es wieder los: Interlaken BE wird wieder für drei Tage zum Paradies für Metal- und Rock-Fans. Auch TV-Koch René Schudel (41) wird vor Ort sein und den Kochlöffel schwingen. BLICK erzählt er von «seinem Festival».
Sein Lieblings-ActAm meisten freut sich Schudel auf die Elektroband Prodigy. Denn mit jedem Auftritt würden die Engländer noch besser, sagt er. «Kaum eine Tanzkapelle hat ihre Wucht über die Jahre beibehalten», findet Schudel. Prodigy schon. Deshalb ist er sich sicher: «Das wird ein Fest!»
Sein Festival-Must-haveAuch am Greenfield darf man seiner Meinung nach etwas nicht vergessen: Sonnencreme. Was er damit bei regnerischem Wetter machen will? «Die Wettergötter milde stimmen!»
Seine BegeisterungAuch die Besucher in Interlaken heben sich von denjenigen vieler anderer Veranstaltungen in der Schweiz ab. Schudel: «Das Greenfield ist für mich das echteste und ehrlichste Festival der Schweiz. Hier spielt die Musik.» Dass an diesem Open Air viele Leute noch wegen der Musik kommen, freut Schudel. «Am Greenfield gilt: sehen und sich freuen statt sehen und gesehen werden.»
Sein PlatzDen Starkoch wird man auf dem Festivalareal kaum antreffen. Denn während die einen feiern, muss er arbeiten. «Bereits zum vierten Mal betreibe ich gemeinsam mit 48 Lehrlingen aus der ganzen Schweiz das Backstage-Catering.»
Sein «Greenfield-Moment»Eine Band geht dem «Flavorites»-Moderator nicht mehr so schnell aus dem Kopf: «Der Auftritt von Green Day letztes Jahr war unvergesslich.»
Sein erstes MalFür Schudel gehört das Greenfield Festival genauso fest zum Jahresprogramm wie Schlamm zum Open Air St. Gallen. «Mein erstes Mal war beim ersten Mal», witzelt er. Noch keine der bisher 13 Ausgaben hat er verpasst.
Erfahren Sie ab heute Nachmittag jede Neuigkeit zum Startschuss des Festivalsommers 2018 in unserem Liveticker auf blick.ch/festival und zeigen Sie uns Ihre Bilder auf Instagram unter #blickfestival.
SRG-Ombudsmann Roger Blum findet keine Fehler in den Sendungen von Radio und Fernsehen SRF über die Vollgeldinitiative. Einer Beanstandung wegen der «Arena»-Sendung entgegnet er, der Moderator müsse Teilnehmer nicht berichtigen.
Ein Zuschauer hatte moniert, Bundesrat Ueli Maurer habe in der Sendung behauptet, in den letzten 100 Jahren habe niemand bei einer Bank Geld verloren. Dabei verschweige der Magistrat die Pleite der Spar- und Leihkasse Thun 1991; die Behauptung sei somit nachweislich falsch.
Die Aussage des Bundesrats sei nicht richtig - darin stimmt Blum dem Beschwerdeführer in seiner am Donnerstag veröffentlichten Stellungnahme zu. Im Gegensatz zu einer Informationssendung hat die Redaktion gemäss Blum bei einer Diskussionssendung nicht absoluten Einfluss. Aufgabe des Moderators kann es dabei nicht sein, jeden Sachfehler zu korrigieren.
Im weiteren wundert sich Blum, dass die vier Initiativbefürworter dem Finanzminister in der Sendung nicht widersprachen. Moderator Jonas Projer indessen stellte Maurer kritische Fragen und bohrte nach. Er kann als Moderator gemäss Blum aber nicht als «wandelndes Lexikon oder als Instant-Fakten-Checker fungieren».
Auch der Trailer zu der «Arena»-Ausgabe wurde beanstandet. Dieser offenbare die Unkenntnis von Fernsehen SRF in Sachen Geldsystem und stelle etwa die Kreditschöpfung aus Kundenguthaben falsch dar. Der Ombudsmann sieht das nicht so. Der Trailer gibt gemäss seinem Entscheid die Anliegen der Initiative korrekt wieder.
Radio SRF 1 geriet wegen der Morgensendung «Timo und Paps» von Ende Mai in die Kritik. Der Autor habe versteckten Abstimmungskampf betrieben, wurde moniert. Blum befindet indessen, der Inhalt sei vom Abstimmungsbüchlein des Bundesrats inspiriert. Und dieser sei bekanntlich gegen die Initiative. Damit ist der Text für den Ombudsmann politische Bildung und Aufklärung.
Die vierte Beschwerde richtete sich gegen die Berichterstattung von SRF News über eine Meinungsumfrage zur Initiative. Die Redaktion titelte: «'Riskantes Experiment': Vollgeldinitiative praktisch chancenlos». Das sei manipulativ einseitig und nicht neutral.
Ombudsmann Blum hält dem entgegen, der Text sei ein Stück von Präzisionsjournalismus. Es vermittle damit sozialwissenschaftliche Daten präzis und verständlich. Die Einordnung als «riskantes Experiment» geschehe nicht durch die Redaktion, sondern beruhe auf Aussage der mit der Umfrage beauftragen Wissenschaftler.
Und diese Aussage wiederum stütze sich auf die Umfragedaten. Dem Beschwerdeführer sei zudem offenbar entgangen, dass die Redaktion «riskantes Experiment» als Zitat in Anführungszeichen gesetzt hatte. (SDA)
Der Nationalrat will ein neues Finanzierungssystem für das Recycling von elektronischen Geräten. Wie genau das aussehen soll, steht noch nicht fest. Der Bund soll verschiedene Lösungen prüfen.
Wer den alten TV, den Mixer oder Staubsauger durch ein neues Modell ersetzt, kann das alte Elektrogerät eigentlich kostenlos in Geschäften und Sammelstellen abgeben. Die Entsorgung des Elektroschrotts wird mit der vorgezogenen Recyclinggebühr finanziert, die schon im Kaufpreis enthalten ist. So hat es die Detailhandelsbranche einmal als freiwillige Lösung beschlossen.
Aber: Die Einnahmen reichen nicht aus. Das heisst, Geschäfte, die die Geräte zurücknehmen, zahlen drauf. Ein Grund sind Einkaufstourismus und Online-Handel, ein anderer die Trittbrettfahrer: Viele Schweizer Händler lehnen eine Teilnahme am freiwilligen System ab und erheben keine vorgezogene Recyclinggebühr.
Parlament will eine GebührDas soll sich ändern. Nach dem Ständerat will auch der Nationalrat die freiwillige Branchenlösung durch eine obligatorische Entsorgungsgebühr ersetzen. Er nahm eine entsprechende Motion der Umweltkommission an.
Wie genau die Gebühr aussehen soll, steht noch nicht fest. Nach dem Willen des Nationalrats sollen verschiedene Lösungsansätze geprüft werden. Aus Sicht des Bundesrats wäre eine Lösung auf freiwilliger Basis die beste Lösung. Leider gebe es immer mehr Personen, die ihren Elektroschrott irgendwo hinstellten, sagte Bundesrätin Doris Leuthard (55). Die Kosten müsse dann die öffentlichen Hand tragen. «Dieses Problem hat zugenommen.» (sda/sf)