L’édition 2018 du festival de Timgad sera organisée avec un nouveau commissaire et cet évènement sera «national par excellence», a affirmé, dimanche soir à Batna, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi. L’Artiste Youcef Boukhentach, enfant de la région des Aurès, a été officiellement nommé commissaire du festival après de larges consultations dans les milieux artistiques, a indiqué le ministre, qui présidait en compagnie du wali Abdelkhalek Sayouda une cérémonie de distribution des clés de 2 840 logements de différentes formules à la Maison de la culture «Mohamed Laid Al Khalifa». «Nous avons voulu donner la chance à une grande figure artistique, qui a son poids et jouit d’un large respect, et nous le soutiendrons surtout que sa nomination a été bien accueillie dans la capitale des Aurès», a indiqué Azzedine Mihoubi, jugeant nécessaire de donner «un nouveau souffle au festival de Timgad ainsi qu’au festival de Djemila à Sétif».
La 40ème édition du festival de Timgad sera «nationale par excellence» et l’occasion y sera donnée au plus grand nombre possible de voix algériennes, a-t-il assuré, estimant que le rôle du secteur de la culture est d’encourager les talents algériens et favoriser leur évolution. «Cela ne signifie pas que le festival se recroquevillera sur le national car nous allons chercher des formules pour une participation internationale étudiée», a ajouté le ministre, affirmant: «Nous ne voulons pas que 80% du budget du festival aillent à la participation internationale et 20% à la participation nationale car il faut donner davantage de chances aux voix algériennes».
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ZÜRICH - ZH - Schweizer Bilderbücher wie «Pitschi» und «Joggeli söll ga Birli schüttle» haben Generationen von Kindern geprägt. Das Landesmuseum widmet diesem Kulturgut nun eine Ausstellung, bei der es auch Kindern nicht langweilig wird.
Während viele «normale» Bücher irgendwann im Brockenhaus landen, werden Bilderbücher von Generation zu Generation weitergegeben. Die Illustrationen bleiben oft ein Leben lang in Erinnerung. Ein Wiedersehen mit den Lieblingen aus der Kindheit ermöglicht nun das Landesmuseum Zürich mit seiner neuesten Ausstellung.
Sie widmet sich dem Kulturgut Bilderbuch, das in der Schweiz eine lange Tradition hat. Als Begründer des modernen Bilderbuchs gilt Ernst Kreidolf, der um 1900 eine Welt voller Zwergen und Elfen schuf. Das erste Werk, das heute noch grosse Bekanntheit geniesst, war jedoch Lisa Wengers «Joggeli söll ga Birli schüttle» von 1908, die Geschichte des Knechts, der seine Arbeit nicht machen wollte.
Bilderbücher waren schon immer Vermittler von Werten und Haltungen und manchmal auch Erzieher, wie bei «Joggeli», der schliesslich von einem bissigen Hund zur Arbeit gezwungen wird. In der Erstausgabe, die im Landesmuseum zu sehen ist, kommt sogar noch ein Henker vor. Dieser wurde aber bald als zu brutal angesehen, so dass er bei späteren Ausgaben gestrichen wurde.
Ihre erste Blütezeit erlebten die Schweizer Bilderbücher dann in der Zwischenkriegszeit. Werbeabteilungen von grossen Unternehmen suchten nach Möglichkeiten, um Kinder zu unterhalten und so an sich zu binden. Aus den ersten Klebbildchen und Sammelpunkten wurden Maskottchen, deren Abenteuer in Bilderbüchern erzählt wurden und die sich so schnell in Schweizer Kinderzimmern ausbreiteten.
Aus Werbeabteilungen stammten etwa Fip und Fop von Nestlé, der Globus-Vogel Globi und das bebilderte Maggi-Liederbuch, auch bekannt als «Chömed Chinde, mir wänd singe» - heute noch eines der beliebtesten Schweizerdeutschen Liederbücher mit Stücken wie «Es schneielet, es beielet» und «Dört äne am Bärgli».
Während und nach dem zweiten Weltkrieg herrschte grosse Skepsis gegenüber deutschen Bilderbüchern. Einheimische Künstler profitierten und wurden über die Landesgrenzen hinaus bekannt.
Bilderbücher wie jenes vom Kätzchen «Pitschi» von Hans Fischer, genannt fis, und «Schellenursli» von Alois Carigiet wurden zu Exportschlagern. In der Ausstellung zu sehen, ist unter anderem eine japanische Ausgabe von Carigiets «Der grosse Schnee».
Die Ausstellung zeigt bewusst nur einen zeitlichen Ausschnitt aus dem Schweizer Bilderbuchschaffen, von den Anfängen bis ins Jahr 1967. Die Ausstellung endet mit der «Reise nach Tripiti» von Hans Ulrich Steger. In diesem Buch verlässt ein staubiger Spielzeugbär die verregnete Schweiz und wandert ins sonnige Griechenland aus.
Im Gegensatz zu früheren Bilderbüchern, in denen oft eine Figur hinauszieht und dann zurückkehrt, kommt der Bär aber nicht wieder. Er bleibt lieber an der Sonne. Für die Macher der Ausstellung passend zu den 1960er-Jahren, in denen sich die Schweiz allmählich für Fremdes öffnete, und mit ihr auch die Bilderbücher.
Das Landesmuseum versorgt die Erwachsenen in dieser Ausstellung mit vielen Erinnerungen und kulturellen Zusammenhängen. Den Kindern soll es aber nicht langweilig werden.
Ein «Joggeli»-Birnbaum, ein Globi-Postauto, ein Engadinerhaus mit Trachten zum Verkleiden und ein riesiges «Pitschi»-Bett, in dem sich die Kinder wie die kleine Katze fühlen können, sollen die Kleinen unterhalten. Dazu gibt es stapelweise Bilderbücher, die darauf warten, von einer neuen Generation entdeckt zu werden.
La communauté chrétienne en Algérie est aux anges. C’est le cas de le dire puisque trois églises qui étaient fermées à Oran, ont été autorisées à rouvrir leurs portes. On croit savoir en effet que le wali d’Oran a en effet signé un décret ordonnant la réouverture de ces trois lieux de culte. Les dirigeants des églises ont été informés de cet ordre reçu également par les agents de sécurité qui ont procédé à l’enlèvement des sceaux qui avaient été placés sur les portes des locaux des trois édifices religieux. Ainsi, les églises de Aïn Türck (30 km à l’ouest d’Oran), d’Oran et d’El Ayaïda (à 35 km à l’est d’Oran) avaient été fermées en novembre 2017 et février 2018. En réalité, cette opération n’a rien de bien particulier puisque la liberté de culte est garantie par la Constitution algérienne.
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Le chanteur britannique Robbie Williams chantera demain à la cérémonie d’ouverture du Mondial-2018 en Russie, un «rêve d’enfant», a-t-il commenté lundi dernier. L’ancien membre du groupe Take That, fan de football, est «très heureux et impatient de retourner en Russie pour cette performance unique». «J’ai fait beaucoup de choses dans ma carrière, et faire l’ouverture de la Coupe du monde de la FIFA devant 80 000 fans de football dans le stade et des millions dans le monde entier est un rêve d’enfant», a déclaré l’interprète notamment de «Angels», «She’s the One» ou «It’s Only Us» dans un communiqué, promettant un «spectacle inoubliable».
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Par Aomar Mohellebi,
La direction de la culture de Tizi Ouzou a, depuis quelques années, opté pour ce choix judicieux qui consiste à honorer les artistes et les hommes de culture «avant qu’il ne soit trop tard».
La soirée ramadhanesque de samedi à dimanche derniers a été exceptionnelle puisque la grande salle de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a abrité un hommage émouvant au grand chanteur kabyle Rachid Mesbahi, auteur et interprète de plusieurs chansons ayant marqué à vie plusieurs générationsn, dont la mythique «Farredj ya rabbi faredj». Rachid Mesbahi qui a fait son apparition sur cette scène de la ville de son enfance était extrêmement content suite à cet hommage qui arrive au bon moment. Car l’on avait tendance à ne rendre hommage à nos artistes qu’une fois décédés ou au «mieux» une fois que leur état de santé s’était détérioré. Mais la direction de la culture de Tizi Ouzou a, depuis quelques années, opté pour ce choix judicieux qui consiste à honorer les artistes et les hommes de culture «avant qu’il ne soit trop tard».
C’est donc un Rachid Mesbahi aux anges qui était apparu sur scène samedi dernier, en présence d’une pléiade de célèbres chanteurs kabyles dont Ouazib Mohand Améziane, Taleb Tahar, Saïd Khazem… La soirée à laquelle ont pris part plusieurs responsables locaux, à l’instar du secrétaire général de la wilaya, du président de l’APC de Tizi Ouzou, Ouahab Aït Menguellet ainsi que de la directrice de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, Nabila Gouméziane, a vu d’abord plusieurs chanteurs se produire en première partie en interprétant l’une des chansons fétiches composées et chantées par Rachid Mesbahi. Après quoi, ce dernier, sous les youyous et les applaudissements, est monté une seconde fois sur scène pour chanter cette fois-ci. Accompagné d’un orchestre professionnel et d’une belle chorale composée de trois jeunes filles aux voix angéliques, Rachid Mesbahi a fait voyager l’assistance dans le temps et l’espace. Ses plus belles chansons ont été de la partie, mais par intermittence, cette vedette a interprété une ou plusieurs chansons d’artistes mythiques avec lesquels il a travaillé pendant des années et partagé des moments d’amitiés inoubliables.
Des chanteurs légendaires comme Dahmane El Harrachi, Slimane Azem, El Hasnaoui, Matoub Lounès et Akli Yahiatène. Lors de cette soirée d’hommage, Rachid Mesbahi a interprété six chansons de Dahmane El Harrachi, en maniant sa voix de telle sorte que la ressemblance soit frappante. Rachid Mesbahi, en prenant la parole entre deux chansons, n’a pas oublié de rappeler à quel point il adule l’artiste Dahmane El Harrachi, avec lequel il a travaillé pendant longtemps dans le même orchestre. «El Bahdja», «Ya rayah» et tant d’autres succès de Dahmane El Harrachi ont été revisités par Rachid Mesbahi qui a également chanté deux chansons de Slimane Azem et l’éternelle «Sani sani atruhed» d’El Hasnaoui. Avant que le public n’insiste longuement pour que Rachid Mesbahi interprète une chanson de Matoub Lounès. Quand il entend le nom du Rebelle, Rachid Mesbahi est gagné par l’émotion. Il ne sait quoi répondre. Après quelques secondes de silence, il répond à plusieurs jeunes qui scandaient le nom de Matoub Lounès:
«Si ça ne tenait qu’à moi, j’aurais ramené Matoub Lounès lui-même ici pour qu’il vous chante en personne. Nous aimons tous Matoub bien qu’il soit décédé.» «Non, il n’est pas mort», répliquent en choeur et spontanément les spectateurs. Rachid Mesbahi interprète alors à sa manière et avec son cachet particulier la chanson de Lounès, «Slaâvits ayavahri». La salle s’enflamme. Pour rappel, Rachid Mesbahi a participé, en tant que musicien dans de nombreux albums enregistrés par Matoub Lounès. On retrouve sa touche inimitable au mandole, particulièrement dans les albums chaâbi, de Matoub, en 1991 intitulés «Izriw» et «Regard sur l’histoire d’un pays damné». La soirée dédiée à Rachid Mesbahi s’est poursuivie ainsi jusqu’à 1 heure du matin. Celui-ci a bien sûr interprété ses meilleures chanson comme: «Ayemma aâzizen», «Ayafroukh huz afriwen», «Asa fellak dh assaâdi»… L’un des moments les plus forts de cette soirée a été celui où Rachid Mesbahi a interprété en duo avec sa petite-fille l’un de ses plus célèbres titres:
«Dhkem idelaâmriw.» Des cadeaux ont été remis à Rachid Mesbahi par les organisateurs avant que le rideau ne tombe sur cette émouvante soirée où la ville de Tizi Ouzou, qui a aussi donné d’autres artistes de renom dont Sami El Djazairi. Il y a lieu de rappeler que Rachid Mesbahi est né durant la Seconde Guerre mondiale en 1942, au quartier appelé communément la haute ville de Tizi Ouzou, précisément au lieudit Houmt El Djemaâ. Très jeune, Rachid Mesbahi faisait de petits métiers dont celui de cireur dans les rues et les venelles de la ville pour aider un tant soit peu son père, afin de subvenir aux besoins de la famille, sans pour autant négliger sa véritable passion qu’était la musique où chaque soir, il grattait les cordes d’une guitare de fortune fabriquée à partir d’une boîte de lubrifiant en métal et d’un manche en bois. Avec le temps, Rachid Mesbahi a fini par manier aisément presque tous les instruments de musique pour devenir par la suite un virtuose du mandole. Adolescent, il quitta définitivement son pays afin de s’installer à Paris pour enfin devenir un musicien incontournable pour tous les interprètes de la chanson algérienne dans l’Hexagone.
Le mandole fut et restera toujours son instrument de prédilection afin d’accompagner des sommités du chaâbi et de la chanson kabyle, à l’image de Dahmane El Harrachi, Matoub Lounès, Akli Yahiatène, Allaoua Zerrouki et tant d’autres. Entre-temps il compose et interprète ses propres oeuvres qui resteront gravées dans les annales de la chanson kabyle.
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Knall bei der Miss Schweiz-Organisation. Angela Fuchs, die Chefin der Missen, ist aus dem Verwaltungsrat der Organisation ausgetreten.
Die Missen-Chefin schmeisst hin. «Schon länger war ich ja nicht mehr CEO - nun bin auch aus dem Verwaltungsrat der Miss Schweiz Organisation und der dazugehörenden zwei Firmen ausgetreten», sagt Angela Fuchs (44) zu BLICK.
Es war «ein schwerer Schritt» für Angela Fuchs«Alle, die mich kennen wissen, was für ein schwerer Schritt das für mich war.» Mehr als zwei Jahre sei sie begeistert für dieses Projekt unterwegs gewesen und habe der Marke mit der Unterstützung vieler Menschen wieder Leben eingehaucht.
«Zuviel» sei hinter den Kulissen passiert
Ach wenn «Fehler passieren» habe sich gezeigt, dass sich eine Wahl «ohne rote Zahlen» verwirklichen lässt. Trotzdem musste sich Fuchs entscheiden, erst als CEO und dann als Verwaltungspräsidentin auszutreten. «Darüber bin ich sehr traurig, aber ich sah keinen anderen Weg.» Und weiter: «Zuviel ist hinter den Kulissen passiert.»
Par O Hind,
Compositeur, pianiste et chanteur, Antonio Maiello était accompagné d’une dizaine de musiciens issus de différents horizons géographiques et culturels…
Dans le cadre du programme «La Route de la soie et du savoir» l’Institut culturel italien d’Alger avec la collaboration du ministère de la Culture et l’Oref a convié le public dimanche soir à un très beau concert «Antonio Maiello et les amis du monde» à la Salle Ibn Zeydoun. Compositeur, pianiste et chanteur, Antonio Maiello était accompagné de l’ensemble «Les amis du monde», composé d’artistes de différents horizons géographiques et culturels, pour représenter la richesse de la diversité musicale méditerranéenne. De la musique maghrébine se mélangeait savamment à des airs lyriques du répertoire italien, dans un mélange qui touche au blues et au jazz.
En effet la salle Ibn Zeydoun était constituée d’une dizaine d’artistes et de musiciens entre Algériens et autres étrangers, chacun donnait le meilleur de lui-même dans une symbiose parfaite avec le reste de l’accord rythmique. Pour se faire une idée sur la large palette musicale qui s’est jouée hier soir, notons que cette formation exceptionnelle englobait la participation de musiciens de plusieurs nationalités. On citera au piano Antonio Maeillo, au chant jacqueline Maria Ferry, et au saxophone Alessandro Tomei, tous les trois venus d’Italie, aux percussions Lotfi Saoua de Tunisie, aux violons Ahmed Bouifrou, Sarah Saïdi, Mouna Bennamani d’ Algérie, à la violoncelle Hichem Chergui d’Algérie, à la flûte Massine Bouchakour d’ Algérie, à la guitare Yanis Hamchaoui d’ Algérie, à la basse Moussa Oukazi d’ Algérie et enfin au oud (luth) Riadh Boualem d’Algérie aussi.
Dans une atmosphère reposante, le groupe alternait des morceaux apaisants, méditatifs et d’autres plus entraînants, rehaussés parfois par la voix rock de la chanteuse italienne et la participation bien épicée tantôt d’un bendir ou d’une flûte et autres instrument bien de chez nous.
Le public était invité à suivre le tempo et prendre part à la magie de ce concert qui s’est terminé en beauté après nous avoir fait voyager dans les cimes merveilleuses de la Méditerranée et ses volutes sensorielles. Antonio Maiello pour info, a commencé la musique en entamant une carrière solo au début des années 70 avant de rencontrer Marcello Cirilo et de former le duo qui fera le tour de l’Italie: Antonio & Marcello.
En plus de la musique, Maiello s’intéresse au théâtre et à la peinture. Afin de fusionner ses passions, il met en place deux opérettes qu’il dirigera. Fondateur de l’Orchestre symphonique de la musique populaire méditerranéenne, il revient à ses premiers amours depuis les années 2000.
La palette donnée à entendre en tout cas dimanche soir était hautement colorée, ce qui n’était pas pour déplaire au public qui était reparti ravi et bien surpris après avoir goûté à de belles émotions consenties grâce à cette musique universelle qui rassemble.
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Par référence aux rochers qui bordent ses deux rives, le Djebel Tarik, communément appelé le détroit de Gibraltar, doit son nom à Tarik Ibn Ziad qui accompagné d’une armée de seulement 12.000 hommes, a fait la conquête de l’Espagne qui était en 711 sous le règne du roi Wisigoth Rodrigue. La lutte, comme toutes celles qui l’ont précédée dans l’histoire des conquêtes, fut certes ardue mais fructueuse si bien que l’Espagne ne tarda pas à devenir musulmane. Il y eut alors de nombreuses conversions à l’Islam, par conviction religieuse, sinon par considération économique en ces temps difficiles du début du 8e siècle.
Une vie dans le respect de la diversité ethnique
Fidèles à leurs traditions légendaires, les musulmans gouvernent dans le respect de la vie des autochtones, ceci d’abord sous la dynastie des Omeyyades dont Abderrahmane 1er fonda l’émirat de Cordoue (756-1031), érigé en califat en 929, puis sous celle des Abbassides de 751 à 1258, l’Andalousie a connu pendant huit siècles des moments de gloire immense en servant de pont entre la civilisation orientale et la civilisation occidentale. Une preuve que la population dans sa diversité a vécu en harmonie avec l’environnement, c’est le processus de développement urbain qui s’est poursuivi des siècles durant dans le même style moyen-oriental qui a beaucoup inspiré, bien après la chute de l’Andalousie, bien des pays occidentaux soucieux de rehausser l’esthétique des grands édifices d’utilité publique.
A titre d’exemple, Cordoue, citée ci-dessus comme une fondation omeyyade, fut la plus peuplée et la plus marquée par les mouvements intellectuels. Avec ses nombreuses mosquées (plus de 1 000), elle était devenue la capitale musulmane bien qu’elle ait été dominée par les Byzantins. C’est la ville qui mérite l’appellation de pont entre l’Orient et l’Occident. Abderrahmane 1er y fit construire la mosquée la plus célèbre connue sous le nom de mosquée de Cordoue, 30 ans après l’occupation, pour servir de symbole de pouvoir et de religion arabo-musulmane. Inspirée de l’architecture syrienne par une prédominance des tours, elle fut mise en valeur par le fils d’Abdelkader, Hicham, sous l’autorité duquel 600.000 manuscrits ont vu le jour dans ce berceau de l’Islam.
Dans le royaume de Taïfa, une autre ville non négligeable, Tolède qui devient un centre de convergence des savants des 3 religions monothéistes, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais de meilleur exemple d’unité dans la plus grande diversité ethnique. Et parmi les royaumes de Taïfa, de petits Etats arabes de l’Espagne médiévale s’étaient formés après la disparition de Cordoue (1031). Nous ouvrons cette parenthèse pour dire que cette division de l’Andalousie en une multitude de petits Etats est un signe avant- coureur d’une chute certaine. On n’avait pas compris, et jusqu’à aujourd’hui les pays musulmans refusent de le comprendre, que la division est un facteur de disparition certaine.
Par exemple, Cordoue avait été reprise par les ennemis avant de réapparaître dans le giron de l’Islam en 1236. Il y eut ensuite l’apparition de Séville comme ville royaume la plus importante. C’est un calife almohade qui décida de la transformer en 2e capitale après Marrakech. Mais cette ville fut reconquise en 1248, bien que de nombreux savants aient contribué à sa grandeur comme nouvelle terre d’accueil. Parmi toutes ces villes capitales de petits royaumes, Grenade occupa une grande place pour ses débats théologiques et son merveilleux édifice érigé par un souverain nasride, l’Alhambra, restée célèbre et gravée dans les mémoires.
Mais paraît-il, dans ce climat de division, l’Alhambra a été beaucoup plus l’œuvre des Andalous que des Arabes. Quant à Marbelva dont la chute se situe en 1411, elle fut perdue parce qu’on y avait privilégié le politique et la tyrannie. Bouabdil qui en avait été le sultan s’était senti déchu. On a même dit qu’il avait pleuré comme une femme pour s’être senti incapable de la garder sous son autorité. Cela avait été vécu comme une humiliation.
Des villes à vocation culturelle et scientifique
Parmi elles, celle qui a retenu l’attention des historiens, c’est Tolède devenue un espace de rencontre des savants des trois religions monothéistes, à l’image de Cordoue, appelée centre de rayonnement culturel, grâce à des savants de la trempe de Zyriab pour ses réalisations remarquables dans le domaine musical. Ibn Rochd s’y était établi comme précurseur de la philosophie laïque, en tant que père du syllogisme et de l’idjtihad. Le grand penseur considérait que pour que l’Islam prenne de l’envergure, il fallait concilier la raison et la foi.
Arkoun disait que la pratique de la religion devait s’accompagner du discours scientifique ou philosophique, pour se valoriser et entraîner la communauté musulmane dans le processus d’évolution vers le progrès et l’esprit inventif, dominants dans les œuvres d’Ibn Arabi et d’Ibn Khaldoun, de familles andalouses. A Tolède comme à Cordoue, on assista à des découvertes ainsi qu’à l’expansion de l’astronomie, de la médecine. Grenade a été un lieu de rayonnement des arts comme la calligraphie, les motifs géométriques, les arabesques.
On avait commencé à réaliser de grands progrès en ophtalmologie. Avec Ibn Sina, pour la première fois au monde, on avait commencé le traitement de la cataracte. Les œuvres des philosophes grecs avaient été traduites du grec vers la langue arabe. Tout avait été réuni pour permettre à la langue arabe de s’épanouir. Jusqu’à nos jours, la langue espagnole a été enrichie par 5.000 mots d’origine arabe. Ce qui a beaucoup influencé les Espagnols dans leurs musiques, danses et manière de penser. La renaissance de l’Espagne n’aurait pas été possible sans Cordoue.
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Der Kanton Graubünden hat seine erste Parlamentarische Untersuchungskommission (PUK): Das fünfköpfige Gremium untersucht die Rolle der kantonalen Verwaltung, insbesondere des Tiefbauamtes, im Zusammenhang mit den illegalen Preisabsprachen im Unterengadin.
Ebenfalls unter die Lupe genommen werden die Umstände der Verhaftung von Adam Quadroni. Dieser liess den Bauskandal als Whistleblower auffliegen. Der Bündner Grosse Rat beschloss die Einsetzung der PUK am Mittwoch in Chur oppositionslos mit 115 Stimmen. Der PUK gehören vier Grossräte und eine Grossrätin an.
Die illegalen Absprachen im Unterengadin sind schweizweit der bisher grösste aufgeflogene Fall von Manipulationen auf dem Bau. Die Wettbewerbskommission (Weko) gab Ende April bekannt, dass sie sieben Baufirmen mit total 7,5 Millionen Franken büsst.
Ihr Entscheid basiert laut Weko auf mehreren Millionen Seiten Akten und über 120 Ermittlungsmassnahmen. Dazu zählen Razzien, etwa 40 Einvernahmen, drei Selbstanzeigen und 17 schriftliche Ergänzungen zu Selbstanzeigen. Hinzu kommen rund 40 Auskunftsbegehren und 25 Amtshilfeersuchen.
L’ambassade d’Algérie en France a fait savoir que le problème rencontré par les ressortissants algériens lors de la transcription de leurs mariages au service d’état civil français vient de trouver une issue favorable.
“Il est porté à la connaissance des ressortissants ayant rencontré des difficultés à transcrire leurs mariages au service d’état civil français, en raison de leurs actes de naissance portant la numérotation «bis», que ce problème vient de trouver une issue favorable suite aux démarches diplomatiques entreprises auprès des autorités françaises”, a indiqué l’ambassade d’Algérie en France dans un communiqué, avant de préciser que “ce problème ne sera pas retenu à l’avenir et les cas en instance seront progressivement régularisés”.
“En effet, poursuit le même communiqué, il appartient aux ressortissants ayant engagé une action en justice sur cette question d’attendre que les décisions soient prononcées”.
“Les ressortissants dont les dossiers restent en phase administrative, sont invités à saisir de nouveau le bureau des transcriptions pour le Maghreb de la Sous-direction de l’état civil et de la nationalité sis 11, rue de la Maison Blanche 44941 Nantes CEDEX 9”, a annoncé la même source.
Echoroukonline
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