Le Représentant du Haut Commissariat pour les réfugiés en Algérie (HCR), Hamdi Bukhari, a salué mercredi à Alger la tradition de solidarité active de l’Algérie soulignant la contribution et la mobilisation des donateurs en faveur de l’accueil et de la protection des réfugiés.
« Nous tenons à saluer la tradition de solidarité active de l’Algérie et le peuple algérien et remercions le gouvernement pour l’accueil et la protection accordés aux réfugiés (sahraouis) dans les camps à Tindouf comme en milieu urbain », a déclaré M. Bukhari dans une allocution, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale des réfugiés.
Cette journée placée sous le thème « Passer une journée avec les réfugiés« , est une occasion importante pour « saluer et souligner la contribution et la mobilisation en faveur de l’accueil et de la protection des réfugiés, des demandeurs d’asile et des personnes déplacées partout dans le monde », a-t-il ajouté.
Selon M. Bukhari, cette journée vise à donner à chacun les moyens de comprendre la situation des réfugiés et l’impérieux besoin de les protéger et de les accueillir.
Hommage aux réfugiés et aux déplacés
La journée, constitue aussi l’occasion de rendre hommage à la force et au courage de plus de 68 millions de personnes qui ont été forcées de fuir la guerre, la persécution et les violences dans le monde.
« Lorsque nous nous arrêtons pour regarder le sort de ces millions de personnes qui ont été contraintes de fuir et qui ne peuvent pas rentrer chez elles en raison de la guerre ou de la persécution, nous pouvons nous demander ce que chacun à notre niveau pouvons faire pour surmonter l’indifférence et la peur, et mieux accueillir ces réfugiés », a souligné le responsable onusien.
La cérémonie de célébration organisée par la délégation du HCR à Alger a été marquée par la présence des représentants d’Agences onusiennes et des missions diplomatiques d’Italie, Ghana, Mexique, Afrique du Sud, Hongrie, République arabe sahraouie démocratique (RASD) et de Corée du Sud.
Un riche programme d’activités sportives, culturelles et artistiques avec la participation des réfugiés africains a été prévu pour la circonstance, comprenant notamment une exposition d’habillement, de coiffure et de gastronomie africaine et des compétions sportives.
Le HCR dénombre plus de 68 millions de personnes déracinées à la fin 2017. Ce chiffre comprend 25 millions de réfugiés, 3 millions de demandeurs d’asile qui étaient toujours en attente d’une décision quant à leur demande d’asile fin 2017, et 40 millions de personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays. Sur ce total, 16 millions de personnes sont devenues déracinées durant la seule année, a-t-on indiqué.
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La ville de Sfisef, 20 km à l’est de Sidi Bel Abbes, a été fortement secouée hier, par l’annonce de deux tentatives de suicide encourues par deux élèves de 4ème A.M ,un garçon et une fille dont l’identité n’a pas été révélée et ce , après leur échec à l’examen du B.E.M dont les résultats ont été annoncés officiellement lundi dernier, selon une source bien informée.
Le premier suicidaire, selon notre source, a tenté de mettre fin à ses jours, en s’aventurant à avaler 06 comprimés antidépresseurs, alors que la fille aurait ingurgité de l’eau de javel. Les deux désespérés ont donc été évacués d’urgence vers les U.M.C de l’E.P.H de la ville où ils ont bénéficié des premiers soins appropriés et prodigués par les équipes médicales et paramédicales. Une enquête a tout de même été déclenchée en vue de connaître les raisons exactes de ce passage à l’acte.
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Le tribunal criminel de première instance d’Oran a prononcé mercredi la peine capitale à l’encontre d’un prévenu, accusé d’avoir assassiné son épouse.
Le représentant du Ministère public a, à l’issue de l’audience, requis la même peine contre le mis en cause, A.Y, âgé de 48 ans.
Les faits de cette affaire remontent à l’année 2015 dans la localité d’El-Kerma, à quelques encablures d’Oran, lorsqu’une dispute éclata entre le mis en cause et son épouse, une dispute qui se soldera par la mort de l’épouse.
Lors de l’enquête, la fille de ce couple, âgée de 14 ans, a indiqué avoir vu son père avec un grand couteau à côté de sa mère qui avait une plaie à la gorge, ajoutant avoir vu son père, par la suite, prendre une douche et changé ses vêtements ensanglantés.
Les enquêteurs sont parvenus à arrêter le mis en cause, plusieurs jours après son forfait. Interrogé, il ne niera pas son acte en le justifiant par le comportement « suspect » de son épouse.
Cité mercredi à la barre du tribunal criminel, le prévenu n’a pas nié son acte et sa défense a plaidé les circonstances atténuantes.
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Le chef du service de la Clinique universitaire de gynécologie et d'obstétrique (CUGO) du CNHU de Cotonou a été reçu en audience au cabinet du Président de l'Assemblée nationale, ce mercredi 20 juin 2018, à Porto-Novo.
Gynécologue obstétricien, le professeur Justin Lewis Denakpo, confiant de la situation des malades du CNHU, a demandé la médiation du président de l'Assemblée nationale pour plaider auprès du gouvernement pour la reconstruction et l'équipement de la CUGO. Un centre qui aujourd'hui végète dans un état de dégradation avancé. Justin Dénakpo entend nouer avec l'institution, un partenariat pour des soins préventifs et curatifs contre le cancer du sein et du col de l'utérus au profit du personnel parlementaire féminin. " Nous avons rencontré le Président de l'Assemblée nationale pour lui faire part de notre ambition de développer avec son institution un partenariat dans le but de proposer au personnel féminin de l'Assemblée nationale des offres de soins préventifs et curatifs", a déclaré le Chef du Service de la CUGO, à sa sortie de l'audience . Une rencontre qui selon Justin Dénakpo a été prompte. " Il nous a reçus avec beaucoup de bonheur et nous lui avons expliqué aussi les difficultés qui sont les nôtres au niveau de la Clinique Universitaire et d'Obstétrique (CUGO), notamment par rapport à la dégradation des infrastructures et le manque criard de matériels et d'équipements médicaux", a-t-il expliqué. "Nous avons initié un projet de reconstruction et d'équipement de la CUGO. Et l'objet de la visite était aussi de faire le plaidoyer à son niveau pour que lorsque l'occasion va se présenter qu'il soit notre porte-parole auprès du gouvernement ", a précisé le chef service du Centre. Il a profité de l'occasion pour présenter la situation qu'ils traversent au quotidien. "On est à l'hôpital et puis on est témoin des drames et quand vous vous rendez compte qu'il y a une patiente, si vous l'aviez reçue ou vous l'avez vue un an ou deux ans plutôt, elle ne serait pas dans un état où, vous n'avez aucune possibilité de soins à lui offrir ", a-t-il raconté avec désolation. Puis il ajoute : "Je parle notamment des cancers du sein et le cancer du col de l'utérus. Ce sont quand même des drames chez nous". Selon lui, " ailleurs les gens survivent au cancer du sein pendant trente ans, ici le pronostic est sévère simplement parce que la découverte est tardive". Il confie que " ce n'est pas que l'Assemblée nationale seule, c'est toutes les institutions de la République que nous prenons en compte dans notre démarche pour leur offrir les soins de prévention notamment pour les cancers qui constituent un véritable fléau dans notre pays."
Giscard AMOUSSOU
Les turcs éliront leur nouveau président le 24 juin prochain, à l’initiative du président sortant, Recep Tayyip Erdogan, après avoir décidé des élections législatives anticipées ainsi qu’un scrutin présidentiel avant terme pour lequel il est postulant.
M. Erdogan, 64 ans, dirige la Turquie depuis 2003, d’abord en tant que Premier ministre puis en tant que président depuis 2014. Il a annoncé en avril denier que les élections prévues initialement le 3 novembre 2019 seraient avancées au 24 juin en cours.
Ses opposants disent que « cette décision n’est motivé que par la crainte d’une crise économique que l’on voit poindre annonciatrice d’une chute vertigineuse de la livre turque, d’une inflation à deux chiffres et d’un important déficit des comptes courants ».
L’enjeu des ces élections est considérable car le vainqueur sera doté de pouvoirs renforcés par référendum en avril 2017, moins d’un an après avoir échappé à une tentative de coup d’Etat mené par des militaires factieux en juillet 2016. Si le président sortant semble être le favori de la présidentielle, il pourrait, selon de nombreux observateurs, ne pas obtenir les plus de 50% des voix nécessaires pour l’emporter dès le premier tour et son parti, l’AKP, pourrait perdre sa majorité au parlement.
La perte de la majorité sera une conséquence directe de la nouvelle union sacrée de l’opposition illustrée lors de la victoire serrée du « oui » au référendum sur la révision constitutionnelle élargissant les pouvoirs présidentiels, remporté à 51,4% des voix. Pour preuve, s’il en est l’engagement de tous les partis de l’opposition de soutenir le candidat qui arriverait à un éventuel second tour face à M. Erdogan le 8 juillet prochain.
En prévision de cette échéance, le Conseil électoral suprême turc (YSK) a validé la candidature de six prétendants à la présidence du pays. Si aucun d’entre eux n’atteint le seuil des 50 % lors du scrutin du 24 juin, prévu en même temps que les législatives, les deux candidats arrivés en tête seront départagés lors d’un second tour, deux semaines plus tard.
Outre Recep Tayyip Erdogan, qui veut renforcer son pouvoir, sont également candidats, l’opposant laïc, Muharrem Ince, la potentielle candidate qui veut faire tomber Erdogane, Meral Aksener, l’opposant et ancien prisonnier, Selahattin Demirtas, l’outsider qui compte sur les islamistes et les laïcs en même temps, Temel Karamollaglu, et l’allié d’Erdogan, Dogu Perincek.
Participation record à l’étranger, mesures de sécurité renforcé pour le vote du 24 juin
Pas d’un (1) million 486 mille 408 électeurs ont voté à l’étranger pour l’élection présidentielle et les législatives de la 27e législature, ont annoncé les autorités turques. Il s’agit d’un chiffre record, a-t-on indiqué, précisant que le taux de participation aux dans les représentations diplomatique du pays à l’étranger s’est élevé à 48.78%.
Les électeurs ont voté dans 123 représentations dans 60 pays. 1 million 357 mille 676 des électeurs ont voté dans les missions turques à l’étranger alors que 128 mille 732 citoyens ont voté aux poste-douanièrs, avant la clôture de ce scrutin à l »atranger aujourd’hui à 17h00 GMT.
En prévision des deux scrutins législatif et présidentiel, les préparatifs se poursuivent en mettant les gros moyens sur la plan sécuritaire.
D’ailleurs, dans le cadre de la sécurisation de l’événement la police turque a arrêté samedi 19 personnes, dont un candidat du principal parti pro-kurde HDP (Parti démocratique des peuples), après des heurts meurtriers au cours de la campagne électorale dans une ville kurde, selon l’agence de presse étatique Anadalu.
Quatre personnes avaient été tuées jeudi dernier lors de violences dans la ville de Suruç (sud) durant la visite d’un député du parti au pouvoir AKP (Parti de la justice et du développement), en campagne pour les élections législatives et présidentielle anticipées du 24 juin.
Des médias pro-gouvernementaux ont affirmé que le député de l’AKP en visite, Ibrahim Halil Yildiz, et ses partisans avaient été attaqués par des opposants. Des médias prokurdes ont imputé l’attaque aux gardes du corps du député, affirmant qu’ils avaient ouvert le feu dans un marché de la ville après que l’élu y eut reçu un accueil hostile des commerçants.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a de son côté incriminé le HDP ainsi que le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), organisation classée « terroriste » par la Turquie et ses alliés occidentaux. Le député était sorti indemne de ces violences. L’identité des victimes n’a pas été clairement précisée dans l’immédiat.
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L’Algérienne Inès Ibbou a gagné quatre places dans le nouveau classement mondial féminin, se positionnant désormais au 625e rang, selon la dernière publication de la World Tennis Assocoiation (WTA).
La semaine passée, la championne d’Afrique de 2015 avait perdu cinq places, ce qui l’avait reléguée au 629e rang.
Ibbou (19 ans) est l’Algérienne la mieux classée chez la WTA et elle aura la possibilité d’améliorer un peu plus son classement mondial, en réussissant un bon parcours dans le tournoi « Hammamet Open », qu’elle disputera du 20 au 25 juin courant en Tunisie.
Un tournoi à 15.000 USD ayant drainé la participation de certaines joueuses relativement assez bien classées sur le plan mondial, notamment la Chilienne Fernanda Brito, qui pointe au 375e rang.
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Photomontage by the organisation Isla Urbana, a pioneer in the promotion of rainwater harvesting as part of a new model in the management of water supply and consumption in Mexico, where the benefits of the system to get access to water are recreated in informal settlements in the west of the capital. Credit: Isla Urbana
By Emilio Godoy
MEXICO CITY, Jun 20 2018 (IPS)
Twenty-five years ago, Mexican engineer Gustavo Rodriguez decided to collect rainwater to solve the scarcity of water in his home and contribute to the care of natural resources.
“We did it to seek a better integration with the care of nature. We wanted to have a sustainable home,” this resident of the indigenous town of San Bartolo Ameyalco, on the west side of Mexico City, told IPS.
Rodriguez installed a roof catchment, cistern, filters and piping, a system that retains 90 cubic metres (m3) of water and meets for at least seven months a year the water needs of the 12 people who live in three houses on his land.
“We use between 80 and 90 liters per person per day,” said Rodríguez, who has also incorporated a biodigester to generate biomass as energy to increase the sustainability of his farm.
San Bartolo Ameyalco, which means “place of springs” in the Nahuatl language, with a population of some 20,000 people, is supplied with water from a spring connected to the local water network which it feeds. But many people lack piped water, even though tjey pay for it.
“There is trade in water in tanker trucks and this has caused tension with its management. There is access to water, but not all people receive it and this is because the valves are manipulated to get people to pay political favours” in exchange for the supply, said Rodriguez, who has not received piped water for four months.
Rain can help this Latin American country of 130 million people to cope with the water crisis projected by experts from 2030 onwards, while it is currently causing floods, landslides and generally ending up in the drains.
At the same time, it can help Mexico achieve the goal of ensuring availability and sustainable management of clean water and sanitation for all, the sixth of the 17 Sustainable Development Goals to be met by 2030.
The country receives an estimated 1.45 billion m3 of water per year in the form of precipitation, according to Mexico’s Water Statistics 2017.
Of the rainfall, 72 percent evaporates and returns to the atmosphere, 21 percent drains through water bodies and 6.3 percent infiltrates the subsoil and recharges aquifers, of which 105 out of 653 are overexploited.
In Mexico, rainwater ends up in the drains, when collecting it could supply water to households that lack the service. In the picture, a storm hits Mexico City on April 28, 2018. Credit: Emilio Godoy/IPS
Between 1981 and 2010, 740 millimeters of annual rainfall fell on this nation, while in 2016, rainfall rose slightly to 744 millimeters.
Data from the government’s National Water Commission indicate that the average natural availability of the resource fell from 18,035 m3 per inhabitant per year in 1950 to 3,687 m3 in 2016.
Despite the decrease, availability is not a problem, according to the parameters set by the United Nations, which establishes that a country with less than 1,000 m3 per inhabitant per year has a shortage of water and a country with a range between 1,000 and 1,700 m3 per person of water supply suffers water stress.
Data from the non-governmental Oxfam in Mexico indicate that almost 10 million people have no water in their homes, in violation of the right to water established in the constitution since 2012.
In addition, Mexico is highly vulnerable to the effects of climate change, such as prolonged droughts and heavy rainfall within a wet season that traditionally goes from May to October. Several studies foresee a water crisis by 2040, especially from the centre to the north of the country.
There are 8.8 million people living in Mexico City proper and more than 20 million in Greater Mexico City, and on average almost 16 m3 of water per inhabitant per day are extracted and only about 11 are replaced.
Water shortages prompted Matilde Jiménez to seek rainwater collection for her home in the Cerrada del Bosque Xochitonalá shantytown in the Santa Cruz Alcapizca neighbourhood of Xochimilco, one of the 16 boroughs into which Mexico City is divided, on the south side of the city.
“We didn’t have water, and a neighbour heard about the Isla Urbana organisation, their people visited us and registered several neighbours to get collectors installed,” Jiménez, a homemaker who is studying creative writing, told IPS.
After paying 150 dollars, her home, where she lives with her husband and three children, now has a collection system that has provided them with about 11,000 litres since its installation, which covers more than five months of consumption. They no longer have to spend money to buy water from the tanker trucks.
A large rainwater collection tank that serves for irrigation, water for animal consumption and, once properly purified, human consumption. Neta Cero has installed more than 2,000 of these systems in four states of Mexico. Credit: Neta Cero
Rainfall reduces the need to obtain or import water from conventional sources, allows for the creation of supplies at specific locations, and does not depend on the traditional system, thus reducing the vicious circle of dependency and crisis.
Seven out of 16 boroughs in the capital suffer from water insecurity, calculated from the degree of marginalisation, access to water and distribution of the resource, according to the non-governmental organisation Isla Urbana, a pioneer in the promotion of rainwater harvesting in the country.
This organisation estimates that 21,693 hectares of rooftops would contribute 16 million m3 per month. The city consumes 32 m3 per second, so rainfall could provide 20 percent of that demand.
Water scarcity has led several organisations to develop rainwater harvesting systems in remote areas of the country, such as the social enterprise Neta Cero.
“There are communities without access to water. What we are doing is solving these problems with these systems that represent a very important source for these communities,” its founder, Tirian Mink, from the United States, told IPS.
This social entrepreneur, who created the organisation in 2013, recalled how he himself built the first “spring-roof” that year in the town of Palo de Marca, in the municipality of Huautla de Jiménez, which has a population of over 31,000 people and is located in the southern state of Oaxaca.
“It was in a preschool, it was a very important learning experience. We installed it in a couple of weeks with local materials, the tank was filled in less than a week,” said Mink, who chose the site because of the high levels of water stress and heavy rainfall and where nine systems already operate to provide a supply of water to the community.
The water is stored in tanks with a capacity of between 200,000 and 500,000 litres, at a cost of between 4,800 and 146,000 dollars, depending on the complexity and size of the facility, and with a total capacity to collect up to five million litres. Neta Cero has already connected 2,315 systems in four states since 2013.
The Mexican government is implementing the National Programme for Rainwater Harvesting and Eco-techniques in Rural Areas, which in 2017 was implemented in 94 highly marginalised areas in eight of the country’s 32 states, with the installation of 944 rainwater harvesting systems.
The government of Mexico City has also installed hundreds of rainwater systems in an attempt to alleviate the crisis that threatens to worsen in the long term.
Engineer Rodríguez proposed the promotion of rainwater harvesting. “There is little awareness, aggravated by political patronage. Politicians need to be aware of the problem and its solutions. The problem is not technical, it is social, a problem of governance. There is a lack of incentives,” he said.
Mink proposed more funding for the installation and maintenance of systems.
“We seek interventions with greater impact with the least investment. The biggest impact is achieved with large systems, but one difficulty is that the water service is free of charge so there is no maintenance. That is a challenge, and to have sustainable systems” environmentally and financially, said Mink.
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Somali migrants, once stranded in Libya, arrive home in Somalia via an IOM charter flight. Photo: UNSOM Somalia/2018
By International Organization for Migration
Somalia, Jun 20 2018 (IOM)
As the sun begins to rise, 150 migrants welcome their first morning on Somalia’s soil in, what is for some, years and, others, months. Disembarking an IOM, UN Migration Agency, charter flight from Libya, at the end of May 2018 is the final haul of a long and hard journey. It is not the end that they had expected when they had first set out from Somalia. It isn’t Europe but it is home and it is safe.
Among the passengers is Ali Said Faqi, Ambassador for the Somali Government to the European Union (EU), and a major part of the mission to help Somali migrants stranded in Libya return home to their families. While few might have missed the stark media headlines on the abuse African migrants have faced at the hands of smugglers, traffickers and criminal gangs in Libya, Ali is one of the few, who have travelled to the source of these stories.
Ali with a returnee from Libya as he travels home to Somalia
Like most Somali diaspora, who were forced to flee the civil war, he is well acquainted with, what can be for many, the agonizing feeling of leaving home. After Ali left Somalia in the 1990’s, he passed through Kenya, Italy and Germany, before finally arriving in the United States in December 1998. He went on to become a prominent scholar in toxicology. His academic resume includes a PhD in toxicology from the University of Leipzig, more than 100 published scientific papers, two text book in toxicology and various impressive academic tenures.
In June 2013, Ali received an unexpected call from the Speaker of the Somali Parliament Mohamed Osman Jawari and the former President Hassan Sheikh Mohamud. They were looking for a nominee for the post of Somali Ambassador to the EU. ‘I never harboured any political ambitions, but nonetheless contributing to my country’s welfare was always close to my heart,’ Ali says. The decision was therefore easy, and by the following day Ali Faqi was an Ambassador.
Ali speaks with a group of Somali migrants in a detention centre in Libya.
His journey to Libya several years later came about through another request from the highest echelons of the Somali Government. In the wake of the harrowing news stories of Africans being sold as slaves in Libya, President Mohamed Abullahi Farmajo called upon his Ambassador for help. ‘First, I was only to do a three-day mission to Libya but I ended up staying altogether 25 days,’ says Ali. When seeing the conditions in which the Somalis were held in Libya and hearing their harrowing stories, Ali could not return back before having done everything in his power to help them. ‘The stories I was told were like horror movies – all marked by experiences of hunger, thirst, torture, rape, forced labour and a long list of unimaginable abuses,’ Ali says.
This was his big chance to pay tribute to the country he loved so dearly – and he certainly rose to the challenge. When he eventually boarded a plane to Libya, he was not alone. Through IOM’s humanitarian voluntary return assistance, 75 Somalis reunited with their families. This attested to the importance of Ali’s hard work in getting Somali migrants out of Libya’s detention centres and of IOM’s operations to get them home. It was not long before Ali received a new wave of pledges for support.
IOM staff assist migrants as they are travelling home to Somalia. Photo: UNSOM Somalia
Ali’s strong commitment and hard work has gained him wide international recognition, such that, on 18 May 2018, he was granted the African Leadership Award for Outstanding International Humanitarian Service by the Independent Pan African Youth Parliament. With such a commitment to stranded Somali migrants, the sky is the limit for what Ali can achieve.
Through this project, altogether 235 Somali migrants have been assisted with voluntary return from Libya since March 2018, and an additional group of 200 people are expected to be assisted in the month of June 2018. This return and reintegration assistance of Somali migrants is part of the larger EU-IOM Joint Initiative for Migrant Protection and Reintegration, which facilitates orderly, safe, regular and responsible migration management through the development of rights-based and development-focused policies and processes on protection and sustainable reintegration. The EU-IOM Joint Initiative, backed by the EU Trust Fund, covers and has been set up in close cooperation with a total of 26 African countries.
The reintegration support under the Joint Initiative aims to address returnees’ economic, social and psychosocial needs and foster inclusion of communities of return in reintegration planning and support whenever possible. To address these needs, the programme promotes an integrated reintegration approach that supports both migrants and their communities, has the potential to complement local development and aims to mitigate some of the drivers of irregular migration. The reintegration assistance is tailored to needs and opportunities. The value and duration of the assistance is not fixed and can vary. The programme does not foresee specific one size fits all reintegration packages.
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Le monde célèbre mercredi la Journée mondiale des réfugiés dans un contexte marqué par l’intensification des conflits armés et crises politiques qui ont donné lieu à des dizaines de millions de personnes déracinées à travers les quatre continents, une situation qui a poussé la communauté internationale à réfléchir à un nouveau pacte mondial sur les réfugiés, bientôt adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Avec l’éclatement, la récurrence, la persistance et l’intensification des conflits, 68,5 millions de personnes (hommes, femmes et enfants) ont fui leurs domiciles à travers le monde durant l’année 2017. Neuf sur dix d’entre elles se trouvent dans leur propre pays ou des pays voisins et l’impact est colossal : sur les réfugiés eux-mêmes et sur les communautés qui leur ouvrent les portes.
« Nous sommes à un tournant décisif où la bonne gestion des déplacements forcés à travers le monde exige une approche nouvelle et bien plus globale pour que les pays et les communautés ne soient plus laissés seuls face à ces situations », a déclaré le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.
Filippo Grandi trouve néanmoins espoir dans le fait que des modalités novatrices de prise en charge des crises de réfugiés sont déjà appliquées par quatorze pays et qu’un nouveau pacte mondial sur les réfugiés visant à resserrer la coopération internationale en réponse à ces crises sera prêt pour adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies d’ici quelques mois.
« Je m’adresse aux Etats membres pour leur demander d’appuyer ce mouvement », a-t-il déclaré. « Personne ne devient un réfugié par choix, mais chacun de nous a le choix sur la façon d’aider ».
L’arrêt des conflits pourrait transformer la situation
Les réfugiés qui ont fui leur pays pour échapper aux conflits et à la persécution représentent 25,4 millions, soit un accroissement de 2,9 millions par rapport à 2016 ainsi que la plus forte augmentation jamais enregistrée par le HCR en une seule année.
Sur les 25,4 millions de réfugiés, un peu plus d’un cinquième sont des Palestiniens relevant de la compétence de l’UNRWA.
Les autres, qui relèvent de la compétence du HCR, proviennent pour les deux tiers d’entre eux, de cinq pays seulement : la Syrie, l’Afghanistan, le Soudan du Sud, la Birmanie et la Somalie. L’arrêt des conflits dans l’un de ces pays pourrait largement transformer la situation mondiale des déplacements.
Tout comme le nombre de pays à l’origine des déplacements massifs, le nombre de pays qui accueillent de vastes populations est comparativement faible. Au niveau mondial, la Turquie demeure le premier pays d’accueil de réfugiés en valeur absolue, avec une population de 3,5 millions de réfugiés, principalement des Syriens.
Le Liban accueille quant à lui le plus grand nombre de réfugiés au regard de sa population nationale. Au total, 63 % de l’ensemble des réfugiés relevant de la compétence du HCR vivent dans 10 pays seulement.
Les nouveaux déplacements sont eux aussi en augmentation, avec 16,2 millions de personnes déracinées durant la seule année 2017, pour la première fois ou de manière répétée, ce qui correspond en moyenne au déplacement d’une personne toutes les deux secondes. Et ce sont les pays en développement qui sont massivement les plus touchés.
Des solutions insuffisantes
Le nombre limité de solutions apportées à cette situation est à déplorer. La persistance des guerres et des conflits demeure la principale cause des rares progrès constatés pour le rétablissement de la paix. Environ cinq millions de personnes ont pu rentrer chez elles en 2017- en grande majorité des déplacés internes – mais nombre d’entre elles ont été rapatriées sous la contrainte ou ont retrouvé des conditions précaires.
Par la même occasion, le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a appelé à faire preuve d’unité et de solidarité pour aider ces personnes, se disant qu’il était du devoir de tous « de réfléchir à ce que nous pouvons faire pour aider ces personnes », « sans unité nous échouerons », a-t-il insisté.
Face à ce phénomène, M. Guterres s’est dit « profondément préoccupé de voir que de plus en plus souvent, les réfugiés ne bénéficient pas de la protection dont ils ont besoin et à laquelle ils ont droit ».
M. Guterres a estimé qu’aucune communauté ni aucun pays offrant refuge aux personnes qui fuient la guerre ou la persécution ne devraient se trouver seuls et sans soutien, rappelant que « tant qu’il y aura des guerres et des persécutions, il y aura des réfugiés ».
Toutefois, notent les agences onusiennes et leurs partenaires, ce sont les populations et les communautés locales qui se retrouvent en première ligne à l’arrivée des réfugiés et leur accueil change concrètement des vies – entre le rejet et l’inclusion, entre le désespoir et l’espoir, entre être laissé pour compte et se construire un nouvel avenir. C’est là que commence le partage de la responsabilité à l’égard des réfugiés.
Ce sont les hommes, les femmes et les enfants, les organisations locales, les groupes confessionnels, les enseignants, les entreprises locales et les dirigeants municipaux qui changent les choses – avec humanité, compassion et solidarité. Grâce à leur générosité, ils mettent en lumière le potentiel des réfugiés et la multitude des occasions de leur venir en aide.
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Die Nationalitäten von Tätern und Opfern soll die Zürcher Stadtpolizei in ihren Meldungen auch weiterhin nicht nennen. Diese Praxis hat das Stadtparlament am Mittwoch klar bestätigt. Ein SVP-Postulat für die Wiedereinführung der Nennungen fand keine Mehrheit.
Seit dem vergangenen November verzichtet die Stadt Zürich auf die Nennung von Nationalitäten in Polizeimeldungen. Auf Anfrage werden sie jedoch bekanntgegeben. Der damalige Sicherheitsvorstand Richard Wolff (AL) setzte damit ein 2015 vom Stadtparlament überwiesenes Postulat um.
Mit der Nennung der Nationalität werde suggeriert, dass sich die Tat damit erklären lasse. Dies verdecke die eigentlichen Ursachen wie beispielsweise Armut, tiefes Bildungsniveau oder Drogensucht, lautete die Argumentation des Stadtrates und der befürwortenden linken Parteien.
Die bürgerlichen Parteien konnten dieser Argumentation schon damals nichts abgewinnen. Die Bevölkerung werde nicht realitätsgetreu informiert, Wichtiges werde verschleiert, sagten FDP, SVP und CVP. Es herrsche Zensur. Die SVP reichte deshalb ein Postulat ein, das am Mittwochabend im 125-köpfigen Stadtparlament behandelt wurde.
Im Postulat forderte die städtische SVP, dass künftig zu den bereits bestehenden Angaben zusätzlich die Herkunft sowie die Nationalität von Straftätern genannt werden, sofern diese Personen während weniger als zehn Jahren das Schweizer Bürgerrecht besitzen. Diese 10-Jahr-Bürgerrechts-Forderung ging nun aber allen zu weit. Es gebe nicht Schweizer zweiter Klasse.
Das Postulat wurde folglich von allen Parteien, ausser der SVP, abgelehnt. Das Resultat lautete 17 Ja- zu 100-Nein-Stimmen.
Definitiv ausgestanden ist das Thema für die Stadt Zürich allerdings noch nicht. Die kantonale SVP hat vor rund einem Monat die Initiative «bei Polizeimeldungen sind die Nationalitäten anzugeben» eingereicht.
Verlangt wird eine Ergänzung im Polizeigesetz, die festhält, dass die Polizei die Öffentlichkeit «in transparenter Weise» über Straftaten informiert. In Medienmitteilungen und an Medienkonferenzen soll bei Tätern, Tatverdächtigen und Opfern, Alter, Geschlecht und Nationalität bekannt gegeben werden. Auf Anfrage soll auch über einen Migrationshintergrund informiert werden.
«Bis dieses Abstimmungsresultat vorliegt, wird die Stadt Zürich an ihrer Regelung festhalten», sagte die zuständige Sicherheitsvorsteherin Karin Rykart (Güne) am Mittwoch im Parlament. Zürich habe dieselbe Praxis wie das Bundesamt für Polizei (fedpol).
Die Frage, ob die Nationalität eines Verdächtigen genannt werden soll oder nicht, beschäftigt auch andere Kantone. Initiativen wie in Zürich, welche die Nationalitätennennung fordern, gab es auch schon in St. Gallen und Solothurn - beide wurden entweder vom Parlament oder vom Volk gutgeheissen.
Das Berner Kantonsparlament überwies zudem im September 2016 eine Motion, welche die Nennung der Staatsangehörigkeit forderte. Die Umsetzung durch die Regierung steht aber noch aus.
Noch vor 20 Jahren war es üblich, die Staatsangehörigkeit wegzulassen. Mittlerweile empfiehlt die Konferenz der Kantonalen Polizeikommandanten wieder, die Nationalität zu nennen.
Der Schweizer Presserat hatte bis 2001 Medien rigoros gerügt, wenn Kriminalberichte ethnische Zugehörigkeit nannten. Davon ist er mittlerweile abgekommen. Medien müssen seiner Ansicht nach auch verstörende Tatsachen nennen - etwa die hohe Zahl ausländischer Täter.
Die Nationalität zu nennen, steht also mittlerweile im Einklang mit der Praxis des Presserats. Dennoch mahnt der Presserat auch zur Vorsicht. Sowohl Presse-Kodex als auch die journalistischen Richtlinien lassen einen Ermessens-Spielraum zu. Im journalistischen Alltag sitze der Teufel im Detail und eigentlich sei jeder Einzelfall abzuwägen.