Depuis sa défaite en début d’après-midi contre le Portugal (0-1), le Maroc est la première formation éliminée du Mondial russe. Pourtant, les Lions de l’Atlas ont été loin d’être ridicules face au champion d’Europe en titre à Moscou.
Mais visiblement, tout ne s’est pas bien passé dans l’entourage de la sélection marocaine pendant la compétition et surtout après la première défaite contre l’Iran sur un but contre son camp en toute fin de rencontre. Ainsi, Mehdi Benatia, qui s’est montré nerveux tout au long de la rencontre, a décidé de régler ses comptes avec certains proches de la sélection et de la fédération au micro de beIN Sports: «Je sais bien que personne n’y pensait même des gens, malheureusement, proches de nous, nous avaient déjà tourné le dos après le premier match.
Je le dis et je le répète bien, certaines personnes proches de l’équipe pensaient qu’on était devenu des enfants gâtés depuis la qualification à la Coupe du Monde, qu’on ne méritait pas d’être là.» a commencé par expliquer le défenseur central. Mais, le joueur de la Juventus a décidé de ne pas s’arrêter là et a tiré un très grand coup de chapeau à ses joueurs comme un grand capitaine: «Pas des journalistes ou d’autres personnes mais des gens proches qui ne devraient pas avoir ce genre de paroles, pourtant ils l’ont eu.
Nous les joueurs, on a voulu leur montrer à ces guignols de quoi on est capable. Qu’on est une génération qui a beaucoup de coeur. On n’est pas les meilleurs du monde mais on a beaucoup de coeur et aujourd’hui on l’a vu. On a vu des joueurs comme Boussoufa qui font 1,50m gagner leurs duels contre des mecs qui font deux mètres. Je le cite parce que c’est le plus ancien mais je pourrais dire tout le monde. On a vu une équipe d’hommes. Je suis triste de sortir de cette compétition. Mais un grand merci à tout notre peuple.» a-t-il ensuite avancé.
Reste maintenant à savoir comment ces propos seront accueillis et surtout s’ils auront une éventuelle répercussion sur l’avenir international de Benatia. Quoi qu’il en soit, son discours était teinté de tristesse mais aussi de fierté pour cette bande de joueurs dont il semblait très fier. Il reste maintenant une rencontre au Maroc pour tenter de sortir tête haute de cette Coupe du Monde. Il s’agira de tenter d’accrocher l’Espagne à son tableau de chasse rapporte Foot Mercato.
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Le cours de l’enquête sur l’affaire des 701 kg de cocaïne, saisis au port d’Oran, vient de livrer de nouvelles révélations, par l’implication de 4 juges, selon des informations rapportées par le journal ‘’El Khabar’’ et le site ‘’Alg24’’. Ces derniers auraient été ‘’graissés’’ par la perception de pots-de-vin de la part du principal accusé Kamel ‘’El Bouchi’’. Quant au fils de Tebboune, il a été auditionné puis remis en liberté. Il aurait échangé des appels téléphoniques avec ’’El Bouchi’’ concernant une quantité de viande pour le restaurant ‘’Rahma’’ de son épouse, ajoutent les sources.
Finalement, le scandale de la saisie des 701 kg de cocaïne au port d’Oran ne cesse de livrer ses secrets au fil de l’enquête qui continue son cours. Le mardi 19 Juin, de ‘’gros poissons’’ ont présenté au devant du procureur de la République auprès du tribunal de Sidi M’Hamed à Alger. Des magistrats, dont deux procureurs de la République, deux procureurs adjoints et un président du tribunal administratif ont été suspendus de leurs fonctions sur ordre du garde des sceaux, M. Tayeb Louh tandis qu’un adjudant de la gendarmerie nationale, un ex-maire de la commune de Ben Aknoun et le chauffeur d’un haut responsable de la sécurité ainsi que le fils de l’ex-premier ministre, M. Abdelmadjid Tebboune ont été auditionnés. Ce dernier aurait échangé des conversations téléphoniques avec le principal accusé, Kamel Chikhi dit ‘’El Bouchi’’. Selon des informations rapportées également par le site ‘’Alg24’’, le boucher incriminé aurait approvisionné durant le dernier mois sacré du Ramadhan, un restaurant de la ‘’rahma’’ ouvert pour l’occasion par l’épouse du fils de l’ex-chef du gouvernement. Ce scandale n’a pu épargner certains magistrats qui seraient impliqués dans cette scrabbleuse affaire de cocaïne. Ainsi, le procureur de la République prés du tribunal de Boudouaou et son épouse également juge à Alger, et spécialisée dans la gestion des litiges en foncier, ont été également présentés. Cette dernière, toujours selon les informations publiées sur le site’’Alg24’’, serait impliquée dans l’attribution d’une assiette foncière au boucher où il a érigé tout un immeuble de haut standing au quartier ‘’Les Sources’’ à Alger. C’est elle, qui aurait tranché en faveur de l’accusé principal , pour l’acquisition de plusieurs affaires de foncier, selon d’autres informations ‘’d’Alg24’’. Le président du tribunal administratif d’Alger et ses deux procureurs adjoints de Boumerdes et d’Hussein-Dey ont été également présentés, pour les besoins de l’enquête. Le vaisseau, chargé de dizaines de conteneurs de viande, a fait escale en Espagne. Pour rappel sur cette affaire, ce sont les autorités espagnoles qui ont communiqué au côté algérien des informations sur la présence d’une quantité de cocaïne à bord du bateau. Alertés, les gardes-côtes, secondés par un navire militaire et un hélicoptère de la marine, ont ensuite effectué une descente dans le bateau dès son arrivée au large d’Oran. Les fouilles ont conduit à la découverte de 701 kg de cocaïne emballée dans des boites rouges où il y a avait écrit “viande halal” ainsi que l’adresse de l’importateur, à Gué de Constantine à Alger. Depuis, ce scandale ne cesse tomber des têtes, et par arrêter tant d’individus, liés de près ou de loin dans ce scandale qui ne cesse d’alimenter les colonnes de la presse.The post Scandale des 701 kg de cocaïne : 4 juges suspendus et le fils de Tebboune auditionné appeared first on .
KLOTEN - Die Swiss hat Mühe, Fliegerpersonal zu finden. Nachdem bereits eine Kooperation mit der Armee bekannt wurde, senkt die Fluggesellschaft nun auch die Anforderungen für Co-Piloten.
Traumjob Pilot? Offenbar nicht mehr, denn die Swiss hat Mühe, genügend Personal fürs Cockpit zu finden. Wie das Branchenportal «Travel Inside» berichtet, passt die Lufthansa-Tochter deshalb ihre Zulassungsbedingungen für Co-Piloten an. Neu stellt die Fluggesellschaft auch solche ein, die keine Flugzeugtyp-spezifische Ausbildung (sogenanntes Type-Rating) für den Airbus A320 haben.
Alle übrigen Bedingungen, welche Kandidaten für einen Job im Swiss- oder Edelweiss-Cockpit erfüllen müssen, bleiben gleich.
Obwohl die Swiss die Anforderungen damit leicht senkt, gibt sie laut «Travel Inside» Kandidaten den Vorrang, die über ein A320-Type-Rating verfügen und mehr Flugerfahrung mit gewissen Maschinen haben.
Mögliche Kooperation mit der ArmeeDamit wegen Pilotenmangel nicht bald Flieger am Boden bleiben müssen, tun sich Swiss und ihre Schwester-Airline Edelweiss auch mit der Luftwaffe zusammen. Die Details der Zusammenarbeit würden noch geklärt, so die «Sonntagszeitung». Es ist daher auch noch unklar, wann das neue Angebot startet.
Die Idee: Junge Piloten sollen den Karriereeinstieg bei der Armee angehen und später dann Teilzeit für Swiss und Edelweiss fliegen. Je älter die Piloten, desto weniger sollen sie für die Armee fliegen, umso mehr aber zivil. (jfr)
Er fotografiert die Superstars. Für seine Arbeit wird der Schweizer Künstler Markus Klinko jetzt von den Stars geehrt.
Grosse Ehre für Markus Klinko (57). Der Schweizer Star-Fotograf wird in Los Angeles mit einer umfangreichen Werkschau gefeiert. An der Opening-Party in der Mouche Gallery erschienen bestens gelaunt auch die Superstars Nicole Scherzinger (39) und Becky G (21). Erstere ist eine langjährige Freundin von Klinko, letztere lichtete er kürzlich erstmals ab.
«Es war zauberhaft, mit Becky zu arbeiten», sagt Klinko. Obwohl sie sich vorher nicht kannten, hätte die Chemie zwischen ihnen sofort gestimmt. «Becky ist eine sehr zugängliche junge Frau mit einem Wahnsinns-Charisma. Kein Wunder, gehört sie in den USA zu den angesagtesten Sängerinnen», so Klinko.
Der gebürtige Winterthurer lebt seit bald 30 Jahren in den USA. Und gilt längst als einer der wichtigsten Celebrity-Fotografen überhaupt. Für Klinko posierten schon Stars wie Beyoncé (36), Britney Spears (36), Mariah Carey (47), Lady Gaga (31) oder Jennifer Lopez (48). Berühmt wurde er auch durch seine langjährige Zusammenarbeit mit Sänger David Bowie (1947–2016). Klinko gestalte für ihn ein Album-Cover, machte Werbe-Kampagnen und drehte 2013 auch eines der letzten Musik-Videos des Pop-Chamäleons.
Die Reichen, Schönen und Erfolgreichen abzulichten, mache ihm auch nach all den Jahren unheimlich Spass, schwärmt Klinko. «Jeder Tag ist anders als der vorherige. Diese Abwechslung mag ich sehr.»
Dass er nun in der Mouche Gallery, die in den USA vielleicht wichtigste Kunsthalle für zeitgenössische Fotografie, ausstellen darf, bedeutet ihm viel. «Als Fotograf berühmter Menschen kann man zwar viel Geld verdienen, wird von der Kunst-Szene aber oftmals ignoriert», sagt Klinko. «Mit dieser Retrospektive zeigt man, dass man mich auch als Künstler würdigt.»
Während einer Beerdigung in Indonesien passiert ein tragischer Unfall. Der Sarg fällt in die Tiefe und tötete den Sohn der Verstorbenen.
Tragödie bei einer Beerdigung in Indonesien: Dort wurde vergangene Woche Samen Kondorura (†40) vom Sarg seiner eigenen Mutter erschlagen. Bei der traditionellen Totenfeier in Sulawesi wurde die Mutter von Sargträgern auf einen eigens gebauten Turm aus Bambusrohr getragen.
Dann passierte es: Während der Zeremonie rutschte die Bambusleiter von dem Turm ab, und so stürzte der Sarg einige Meter hinunter, direkt in die Menge der Angehörigen und anderen Besuchern.
Am schwersten traf es Samen Kondorura, den Sohn der Verstorbenen: Er zog sich schwere Verletzungen am Kopf zu. Obwohl er sofort in ein nahe gelegenes Krankenhaus gebracht wurde, verstab er kurze Zeit später. Weshalb genau die Leiter einstürzte, ist nicht ganz klar.
Seite an Seite beerdigtDie lokalen Behörden gehen allerdings davon aus, dass die Bambus-Leiter nicht richtig am Turm befestigt gewesen war. Als dann ein Sargträger auch noch das Gleichgewicht verlor, hielt sie der Belastung nicht mehr stand.
Trotz allem verzichtete die Familie darauf, das Bestattungsinstitut anzuzeigen. Wenige Tage nach diesem tragischen Unfall wurden Mutter und Sohn schliesslich Seite an Seite zur letzten Ruhe gebettet. (ehl)
Soll man der guten Freundin sagen, wenn man denkt, dass der neue Partner nicht passt oder einfach still sein? Das fragt sich unsere Autorin immer wieder. Eine Antwort darauf hat sie nicht wirklich.
Letztens rief sie an. Schluchzend. Sie brauchte nichts zu sagen, ich wusste: Es ist aus. Eine gute Freundin weiss so etwas. Spürt es. Spürte es vielleicht schon länger. Aber soll man das als Freundin sagen? Sagen, dass man denkt, dass es nicht passt? Oder auch sagen, dass der Auserwählte ein kompletter Vollidiot ist?
Dieses Dilemma taucht in den meisten Freundschaften auf. Da hat jemand total verliebt einen neuen Menschen im Schlepptau. Ist glücklich und euphorisch. Tage vergehen, Wochen, Monate, ja vielleicht sogar Jahre. Hat man als Freund oder als Familienmitglied die Pflicht? Wann? Ganz am Anfang, erst mal abwarten oder generell nur urteilen, wenn man gefragt wird?
Die gute Freundin schrieb vor ein paar Wochen angetrunken aus dem Urlaub: «Gibst du uns eine Chance?» Ich ignorierte es. Bis heute. Wir wissen beide, dass sie da und eigentlich schon von Anfang an wusste, dass es eine kaum überbrückbare Schwierigkeit in der Beziehung gibt. Welche, ist egal. Fakt ist, der Charakter, die Verschiedenheit oder eben ein konkretes «Problem» lassen das Umfeld zum Schluss kommen, dass das nix ist und nix wird. Selbst sieht man das nicht. Die kunterbunte Liebesbrille versperrt die Sicht. Alles ist love-trunken vernebelt.
Ist die Brille futsch, sagen Freundinnen oder Mütter im Nachhinein gerne mal, warum sie von Anfang an skeptisch waren. Sie tun dies nicht, um uns wehzutun, sondern um aufzuzeigen. Wir intervenieren: «Aber warum hast du denn nichts gesagt?» Manchmal taten sie es sogar. Aber verliebt hat man keine Empfangsbereitschaft für eine derartige Kritik. Und eigentlich soll man ja nicht auf andere hören, bei der Partnerwahl ist das Urteil der Engsten aber schon von Belang. Und genau da liegt die Krux: Sie erlauben sich ein Urteil, wir tun es ab und sind dann maximal ein Jahr später total am Ende wegen etwas, das sie bereits wussten. Oft heisst es dann: «Ja, die Erfahrung musst du eben selber machen, Liebes.» Ja, danke auch, hätte trotzdem gern darauf verzichtet.
Schon die leiseste Bemerkung, dass die gute Freundin oder die Mama über die Kompatibilität rätseln, sollte uns zu denken geben.
Présenté aujourd’hui à la presse, le gardien de but, Alexandre Oukidja s’est d’abord dit «très content»de rejoindre le FC Metz : «Le FC Metz m’a offert un projet sur le long terme.
Sportivement, il s’agit également d’un club ambitieux avec des objectif précis qui m’ont séduit.» a-t-il expliqué, avant d’ajouter : «J’aime beaucoup le jeu au pied. J’ai un profil plutôt explosif et dynamique. J’essaye également de soulager ma défense sur les sorties aériennes.»
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BERN - Seit 1848 ist die Schweiz ein säkularer Staat. Die Verbandelung zwischen Staat und Kirche ist trotzdem in vielen Bereichen noch gross. Das zeigt auch der Empfang des Papstes durch den Bundespräsidenten.
«Im Namen Gottes des Allmächtigen!» So lautet der erste Satz der schweizerischen Bundesverfassung. Er zeigt, dass Staat und Kirche hierzulande keineswegs strikt voneinander getrennt sind. Obwohl die Schweiz seit 1848 ein säkularer Staat ist, greifen Politik und Religion noch immer in vielen Bereichen ineinander.
So geht auch das Kreuz in der Schweizer Flagge auf die christliche Prägung des Landes zurück. Ebenso das goldene Kreuz, das auf der Spitze des Bundeshauses prangt.
Die Verbundenheit manifestiert sich auch beim Papstbesuch vom Donnerstag in Genf: Papst Franziskus (81) wird heute Bundespräsident Alain Berset (46, SP), Bundesrätin Doris Leuthard (55, CVP) und Bundesrat Ignazio Cassis (57, FDP) – alle drei katholisch – treffen. Auch Nationalratspräsident Dominique de Buman (62, CVP) aus dem katholischen Freiburg ist mit von der Partie.
Der Bund selbst hält sich in Religionsfragen in der Regel aber zurück. Rechtlich setzt er nur einen gewissen Rahmen: So gewährleistet die Bundesverfassung die Glaubens- und Gewissensfreiheit. Und er schreibt ein Minarettverbot vor. Doch das Verhältnis zwischen Staat und Kirche delegiert er weitgehend an die Kantone.
Allerdings flackern immer wieder Diskussionen auf, ob es nicht einen eigentlichen «Religionsartikel» in der Bundesverfassung braucht.
Christliche Parteien im BundeshausDoch während sich der Bund zurückhält, sind auf Bundesebene und im Bundeshaus gleich mehrere Parteien im Namen Jesu unterwegs. An erster Stelle die Christlichdemokratische Volkspartei (CVP): Die von Nationalrat Gerhard Pfister (55, ZG) angeführte Partei beruft sich explizit auf «christlich-humanistische Werte» und ist immer noch stark im katholischen Milieu verwurzelt.
In der 43-köpfigen CVP-Fraktion sind auch ein Vertreter der Christlichsozialen Partei (CSP) sowie zwei Nationalräte der Evangelischen Volkspartei (EVP) aktiv, wobei sich Letztere von den «Grundsätzen des Evangeliums leiten lassen».
Am radikalsten auf die Bibel stützt sich die Eidgenössisch-demokratische Union (EDU). Diese setzt sich «für eine Ordnung nach biblischen Grundsätzen ein» und will ihre Ziele durch «Denken, Reden und Handeln im Glauben und Vertrauen auf Jesus Christus und die Bibel als Gottes Wort» erreichen. Allerdings ist die EDU seit einigen Jahren nicht mehr in Bundesbern vertreten.
Parlamentarier engagieren sich in «Christ+Politik»Auf christliches Gedankengut stützen sich aber nicht nur Politiker aus CVP oder EVP, sondern auch aus anderen Parteien. In Bundesbern haben sie sich in der parlamentarischen Gruppe «Christ+Politik» zusammengeschlossen, die vom Solothurner SP-Nationalrat Philipp Hadorn (51) präsidiert wird. «Das christliche Glaubensbekenntnis ist für uns Identität über die Partei- und Kirchengrenzen hinweg», sagt Hadorn, der in der evangelisch-methodistischen Kirche aktiv ist.
Einmal pro Jahr organisiert die Gruppe einen grösseren Anlass mit Gästen. So stand das «Lunchmeeting» diesen Frühling unter dem Titel «Die Gretchenfrage – christlicher Glaube im politischen Alltag». Bei diesem Mittagstalk diskutierten die beiden Parteipräsidenten Gerhard Pfister (55, CVP) und Christian Levrat (47, SP), moderiert von Radio- und Fernsehmoderator Ruedi Josuran (61).
Unabhängig von der Parlamentariergruppe wird unter dem Lead von EVP-Präsidentin Marianne Streiff (60, BE) und CVP-Ständerat Stefan Engler (58, GR) sowie vier Pfarrern jeweils am Mittwochmorgen während der Session eine Besinnungsstunde durchgeführt. «Klar sind auch SPler dabei», weiss Hadorn. «Zumindest während der letzten Legislatur stellte die SP sogar die meisten Teilnehmenden.»
Kantone regeln die AnerkennungDen grössten Einfluss auf das Verhältnis zu den Religionsgemeinschaften haben die Kantone. Dabei ist die Verbindung in den meisten Kantonen noch recht ausgeprägt – einzig die Kantone Genf und Neuenburg haben eine klare Trennung zwischen Kirche und Staat vollzogen. Die Übrigen regeln in ihren kantonalen Verfassungen und speziellen Kirchengesetzen etwa die rechtliche Anerkennung von Religionsgemeinschaften und die damit verbundenen Rechte und Pflichten.
Öffentlich-rechtlich als Landeskirche anerkannt werden etwa Gemeinschaften, die eine gewisse gesellschaftliche Bedeutung und Grösse haben. Die römisch-katholische und die evangelisch-reformierte Kirche sind praktisch in allen Kantonen öffentlich-rechtlich anerkannt. In einigen Kantonen gilt auch die christ-katholische Kirche. In einigen Kantonen haben auch jüdische Gemeinden einen öffentlich-rechtlichen oder privat-rechtlichen Status.
Zu den Pflichten der Landeskirchen gehört etwa eine demokratische Organisationsform, die Einhaltung der Rechtsstaatlichkeit, die Anerkennung der Religionsfreiheit und finanzielle Transparenz.
Zu den Rechten zählt dafür zum Beispiel, dass sie Angaben aus dem Steuerregister erhalten, damit sie bei ihren Mitgliedern entsprechend Steuern erheben können. Der Staat gewährt zudem Seelsorgern Zugang zu kantonalen Einrichtungen wie Spitälern oder Gefängnissen. Oder er stellt öffentliche Schulräume für Religionsunterricht zur Verfügung.
Bern zahlt noch PfarrerlöhneAllerdings sind die Rechte und Pflichten von Kanton zu Kanton unterschiedlich geregelt. Und da gibt es auch besondere Fälle: In Bern zum Beispiel sorgt der Kanton für die universitäre Ausbildung der Geistlichen der evangelisch-reformierten und der christkatholischen Landeskirche, während die Geistlichen der römisch-katholischen Landeskirche an den Bildungsanstalten des Bistums Basel ausgebildet werden können.
Die Geistlichen der drei Landeskirchen werden zudem vom Kanton angestellt und bezahlt – und das aufgrund eines Vertrags von 1804. Die Pfarrerlöhne machen jedes Jahr gut 75 Millionen Franken aus.
Allerdings ist aktuell eine Gesetzesrevision im Gang, wonach künftig die Kirchen ihre Pfarrer anstellen und der Kanton die Löhne nicht mehr direkt bezahlt, sich aber über Leistungsvereinbarungen an den Kosten beteiligt. Das neue Gesetz soll per 2020 in Kraft treten.
Weltlichkeit redet bei Bischofswahl mitNicht nur Bern ist ein Sonderfall, sondern auch das Bistum Basel. Ernennt normalerweise der Papst die Bischöfe, haben im Bistum Basel die Regierungen der dazugehörigen Kantone Luzern, Bern, Solothurn, Zug, Aargau, Schaffhausen, Basel-Land, Basel-Stadt, Jura und Thurgau ein Wörtchen mitzureden.
So wählt zwar das kirchliche Domkapitel den Bischof. Als einziges auf der ganzen Welt hat es noch dieses Recht. Doch die 18 Domherren müssen sich zuerst auf eine Liste mit sechs Bischofskandidaten einigen. Dafür kommen nur Priester aus dem Bistum Basel in Frage.
Die Liste wird danach der weltlichen Diözesankonferenz vorgelegt, in der jeweils zwei Vertreter der zehn Bistumskantone – in der Regel Regierungsräte – sitzen. Per Mehrheitsbeschluss können sie Kandidaten streichen, die der Weltlichkeit weniger genehm erscheinen.
Allerdings ist umstritten, ob ein gestrichener Kandidat auch unwählbar wäre. In letzter Zeit stellte sich die Frage jedenfalls nicht, das Domkapitel wählte jeweils genehme Bischöfe. Aktuell im Amt als Bischof von Basel ist Felix Gmür (52), der 2010 zum Bischof gewählt wurde.
Jährlicher Bischofsjass in SolothurnUnd noch eine besondere Verbandelung aus dem Bistum Basel: Dessen Bischof und die Solothurner Regierung treffen sich regelmässig zum Bischofsjass.
Die Tradition wird seit den 1960er-Jahren gepflegt. Wobei der damalige SP-Regierungsrat und spätere Bundesrat Willi Ritschard (†65) zu den Mitbegründern des Anlasses gehörte.
In zwölf Parteien messen sich seither Geistlichkeit und Weltlichkeit in der Regel jährlich bei gemütlichem Beisammensein in ihren Jasskünsten und nutzen das Treffen zum Gedankenaustausch. Vergangenes Jahr hatten die Politiker das bessere Kartenglück. Die Weltlichkeit obsiegte mit 8 zu 4.
Die Bremsen eines Intercity-Zugs wollten am Mittwochabend auf der Strecke Bern–Zürich nicht mehr so, wie sie sollten. Hunderte Passagiere mussten in brütender Hitze warten.
Ein Intercity-Zug hat am Mittwochabend auf der SBB-Paradestrecke Zürich–Bern gebockt: Der Zug musste wegen Problemen mit den Bremsen in Mattstetten BE anhalten. Hunderte Pendler wurden aus den Waggons hinaus aufs Perron gebeten.
Mit dabei waren zahlreiche BLICK-Leser. Und denen passte das ganz und gar nicht: «Der Bahnhof war viel zu klein, die Kunden stauten sich auch in der Unterführung. Viele schwitzten und fluchten!» Später sei ein Ersatzzug gekommen, doch der war viel zu kurz. «Die Menschen sassen auf dem Boden. Und die WCs waren defekt!», sagt ein Leser.
Ein Leser hatte besonders langEin besonders verärgerter Leser verpasste deshalb sogar die WM: «Unglaublich. Normalerweise komme ich um 19 Uhr in Zürich an, was gerade früh genug ist für das WM-Spiel am Abend», erzählt Franz G. aus Oerlikon. «Heute kam ich aber nach Anpfiff in Zürich an», beschwert er sich weiter und verpasst einen Seitenhieb: «Wenn es wenigstens WLAN im Zug gegeben hätte, hätten wir das Spiel online schauen können!»
SBB-Sprecher Reto Schärli erklärte auf Anfrage von «Tages-Anzeiger», dass für die Passagiere keine Gefahr bestand. Der Lokführer habe auf der Fahrt bremsen müssen, worauf sich die Bremsen nicht mehr lösten. Wie es zum Defekt kam, sei unklar, wird Schärli weiter zitiert. (pma)
Le ministre de la Santé s’est montré, dans une déclaration publiée le mardi 19 Juin 2018 dans les colonnes de Liberté, disposé à reprendre le dialogue avec les médecins résidents si ces derniers gèlent au préalable leur grève.
Les médecins grévistes des neuf autres facultés vont également se prononcer sur les suites de ce conflit qui dure depuis plus de six mois. En attendant la réunion décisive du bureau national du Camra, prévue le vendredi prochain pour se prononcer sur le débrayage, les délégués des résidents du pôle d’Alger ont voté, hier, pour le gel de la grève.
Les 5000 futurs spécialistes exerçant à travers les 23 structures hospitalières de la capitale ont proposé, à la majorité, de revenir aux services et aux urgences, à partir du 24 juin. Mais le dernier mot revient au bureau national du Camra qui tranchera, dit-on, sur la date de reprise dans les hôpitaux. L’assemblée générale d’Alger s’est tenue dans les amphithéâtres de la faculté de médecine ‘’Mohamed-Maherzi’’ (ex-Laperrine). “Ils étaient nombreux, aujourd’hui, (hier, ndlr) à prendre part à une AG décisive pour le mouvement de grève et le devenir des résidents’’
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Alors que le club de la capitale française pourrait perdre ses deux latéraux gauches, l’Algérien de Naples leur aurait été soumis.
Faouzi Ghoulam D’après Paris United, l’ancien joueur de l’ASSE pourrait remplacer Layvin Kurzawa et/ou Yuri Berchiche, sur le départ. Le club français devra cependant affronter une certaine concurrence, puisque le joueur a été également proposé ailleurs en Europe. L’identité des clubs en question n’a cependant pas filtré. Blessé six mois à un genou, le gaucher n’a joué que 11 matchs de Serie A la saison dernière rapporte Topmercato.com.
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On June 20th, IPI partnered with Challenges Forum and the UN Police Division to host a closed door roundtable , supported by the Geneva Centre for the Democratic Control of Armed Forces (DCAF) and Global Affairs Canada. This meeting, on the eve of the UN Chief of Police Summit, brought together police leaders, police advisers, and UN staff to discuss the changing role of police in peacekeeping operations and how police leadership can address these challenges. Participants discussed the integral role that police play in peace operations, and how this role can be further strengthened by addressing issues surrounding police leadership.
Police have an integral role in peace operations, and effective police leadership is key to missions achieving their mandate and building and sustaining peace. To further understand the challenges facing police leadership in the field, the International Peace Institute (IPI), Challenges Forum, and UN Police Division, with support from the Geneva Centre for the Democratic Control of Armed Forces (DCAF) and Global Affairs Canada, organized a closed-door roundtable on June 20, 2018, on the eve of the UN Chiefs of Police Summit. This meeting brought together police leaders, police advisers, and UN staff to discuss the changing role of police in peacekeeping operations and how police leadership can address these challenges. Key takeaways from the discussion included the following:
Le problème de la liberté de culte « ne se pose pas » en Algérie et les lieux de culte de l’église catholique sont reconnus par les autorités algériennes, a affirmé mardi l’Archevêque d’Alger, Monseigneur Paul Desfarges.
« La liberté de culte est garantie et assurée par la loi en vigueur dans le pays » (Mgr Desfarges)
« Je m’exprime en ma qualité de responsable de l’église catholique et j’affirme que le problème de la liberté du culte ne se pose pas en Algérie », a déclaré à l’APS Mgr Desfarges, soulignant que « la liberté de culte est garantie et assurée par la loi en vigueur dans le pays ».
Il a ajouté que l’église catholique en Algérie « dispose de ses lieux de culte qui sont reconnus par la loi ».
En effet, la Constitution de 2016 stipule dans son article 42 que « la liberté d’exercice du culte est garantie dans le respect de la loi » et la Loi de 2006, fixant les conditions et règles d’exercice des cultes autres que musulmans, stipule dans son article 2 que « l’Etat algérien dont la religion est l’Islam, garantit le libre exercice du culte dans le cadre du respect des dispositions de la Constitution, de la présente ordonnance, des lois et règlements en vigueur, de l’ordre public, des bonnes mœurs et des droits et libertés fondamentaux des tiers ».
L’article 3 de la même loi stipule aussi que « les associations religieuses des cultes autres que musulmans bénéficient de la protection de l’Etat ».
S’exprimant sur des informations rapportées par des Organisations non gouvernementales (ONG) sur la fermeture de certains lieux de culte et d’églises en Algérie, Mgr Desfarges a expliqué que « cela concerne l’église protestante évangélique et non l’église catholique ».
Précisant que l’église protestante d’Algérie (EPA) « est une association reconnue par les autorités algériennes », Mgr Desfarges croit savoir que l’EPA « n’a pas encore réussi à homologuer certains de ses lieux de culte ».
Il a indiqué que les membres de l’EPA pratiquent leur culte « dans des lieux aménagés (salles ou habitations) en église », estimant que le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs est « disponible » à trouver une solution à ce problème et que les autorités algériennes « ne veulent pas que cette situation persiste ».
Pour rappel, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, avait précisé à ce sujet que « ce qui a été fermé, ce sont des établissements éducatifs, des logements ou des locaux commerciaux transformés, unilatéralement par certaines associations, en lieux de culte et non pas des églises au sens de la loi, et ce, parallèlement à une recrudescence du courant évangéliste et des prolongements extérieurs sans respect des lois de la République ».
En ce sens, la Loi de 2006 interdit toute activité dans les lieux destinés à l’exercice du culte contraire à leur nature et aux objectifs pour lesquels ils sont destinés, précisant que les édifices destinés à l’exercice du culte sont soumis au recensement par l’Etat qui assure leur protection.
L’article 7 de la même loi est plus explicite et stipule que « l’exercice collectif du culte a lieu exclusivement dans des édifices destinés à cet effet, ouverts au public et identifiables de l’extérieur », alors que l’article 8 énonce que « les manifestations religieuses ont lieu dans des édifices, elles sont publiques et soumises à une déclaration préalable ».
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En dépit d’une année scolaire « mouvementée » due notamment à un débrayage (de quatre (4) mois) des enseignants du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE), les élèves de terminale de Blida ont réussi la gageure d’éviter une année blanche, en terminant coûte que coûte leur programme scolaire pour se présenter ce mercredi à l’examen du baccalauréat.
En effet, ils étaient plus de 19.000 candidats à s’être présentés, ce mercredi dans la wilaya, à cet examen « décisif pour leur avenir », avec l’objectif principal de décrocher le bac, après une année scolaire pour le moins « épuisante » à plus d’un égard. La grève des enseignants étant à l’origine d’un grand retard cumulé dans le programme scolaire, auquel il a fallu remédier en sacrifiant les premières semaines des vacances d’hivers et de printemps. A cela s’ajoutent une somme de mesures engagées par la Direction locale de l’éducation, en vue d’assurer des cours de soutien aux classes terminales, durant les après midi de chaque samedi et mardi, outre les premières semaines de leurs vacances.
Selon la directrice de l’éducation de la wilaya, Ghenima Ait Brahim, ces cours, assurés principalement par des enseignants contractuels, des inspecteurs de l’éducation et des directeurs de lycées, ont été beaucoup suivis par les élèves ciblés, dénotant, si besoin est, « de leur haut niveau de conscience et d’une volonté à toutes épreuves pour réussir cet examen crucial », a-t-elle estimé.
« Nous avons du faire preuve d’efforts considérables pour terminer le programme », a affirmé, à cet effet, Amine, un candidat au bac du lycée Omar Ben Khettab, qui s’apprêtait à rejoindre la salle d’examen, en tentant de dissimuler son trac. « La pression des quatre mois de grève nous a énormément affecté », a-t-il ajouté.
Plus sereine et plus confiante que ses compagnons, Sirine, une candidate du Technicum Houari Boumedine d’Ouled Aich, a, quant à elle, souligné la « volonté et la détermination » comme étant les facteurs principaux qui les mèneront, elle et ses compagnons, au succès, en « dépit d’une année particulière ».
Les cours particuliers… l’autre alternative pour terminer le programme
Les cours de soutien assurés au niveau de l’établissement, un grand nombre d’élèves de Terminale ont du recourir aux cours particuliers pour terminer leur programme scolaire, en dépit de leur coût élevé. Sachant que le wali Mustapha Layadhi s’était personnellement engagé à affecter une enveloppe pour couvrir les frais de ce type de cours chez les élèves issus de familles à faible revenu.
De nombreux élèves approchés par l’APS, près des centres d’examens, ont soutenu que les cours particuliers étaient l’ »unique moyen » pour la compréhension des cours non assimilés en classe, dont particulièrement les mathématiques et la physique pour les élèves des classes scientifiques.
Un fait corroboré par les parents des élèves, également rencontrés sur place, qui ont estimé que les cours particuliers ont été d’un grand secours pour leurs enfants, au vu du contexte particulier de cette année scolaire 2017/2018, ont-ils ajouté. « Les rumeurs autour d’une année blanche ont beaucoup affecté le moral des enfants », ont déploré certains parents.
Un parent d’élève, dont l’aîné passe le bac, a assuré n’avoir pas hésité à grever son pouvoir d’achat en affectant un budget spécial, dégagé sur son salaire, pour ces cours particuliers. « La réussite de notre enfant passe au dessus de toute autre considération », a-t-il affirmé.
Les épreuves de langue arabe à la portée de tous, selon les candidats
Les candidats au bac, rencontrés en fin de matinée par l’APS, se sont montrés joyeux et plein d’entrain. Et pour cause, ils se sont tous accordés sur la « facilité des épreuves de langue arabe » qu’ils ont estimé à la « portée de tous », tant pour les filières scientifiques que littéraires.
Nouha, une candidate du lycée « Mohamed Mahi », n’arrivait pas à dissimuler sa joie. « Je n’ai eu aucun problème à répondre aux questions qui figurent toutes au programme », jubilait-elle, tout en exprimant le souhait que les autres épreuves soient aussi « abordables ».
A l’opposé, Djamel, un candidat pour la 2ème fois au bac, est resté stoïque, se contentant de dire « c’est vrai que les questions étaient faciles, mais il vaut mieux attendre les résultats, pour laisser notre joie s’exprimer ».
Pour cet après midi, les candidats au bac (toutes filières confondues) passent les épreuves d’éducation islamique.
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La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé mercredi à Tébessa que « des sanctions seront prises » par la commission interministérielle présidée par le ministère de la Justice à l’encontre des responsables des fuites du sujet de l’épreuve de langue arabe sur le réseau social Facebook.
« Le sujet a été publié sur des pages de Facebook après le retour de la connexion internet », a indiqué la ministre, lors d’une conférence de presse animée au nouveau du lycée de la ville de Tébessa, baptisé à l’occasion du nom du défunt moudjahid Boukouba Mohamed Benahmed.
Elle a assuré que « la commission interministérielle, chargée du suivi du bon déroulement du baccalauréat et présidée par le ministère de la Justice prendra des sanctions contre les responsables de ces fuites ».
Mme Benghabrit a en outre affirmé que l’épreuve s’est déroulée dans d' »excellentes conditions à l’échelle nationale », relevant que cette session 2018 du baccalauréat est passée par 700.000 candidats, dont 40 % de candidats libres, 4.391 candidats détenus dans des établissements pénitentiaires, 216 non-voyants et 169 handicapés moteurs.
Elle a également fait état de 849 candidats de nationalités étrangères et d’environ 57.000 candidats de l’enseignement à distance.
S’agissant des coupures internet, la première responsable du secteur a considéré que cette mesure constitue « une solution temporaire » en attendant des « solutions définitives aux fuites et à la fraude », estimant que ces coupure n’affectent par les entreprises économiques informées à l’avance des périodes de coupure ».
Aussi, la ministre a rappelé sa proposition d' »augmenter les droits d’inscription aux candidats libres qui se présentent pour la 4ème fois ».
Concernant la climatisation des salles d’examens, elle a affirmé qu’elle était effective dans l’ensemble des centres d’examens des wilayas du sud du pays et dans certains communes du sud de la wilaya de Tébessa, soulignant que l’alimentation en électricité des centres d’examens des wilayas du Sud a été renforcée pour assurer le fonctionnement des climatiseurs durant la période des épreuves.
Par ailleurs, Mme Benghabrit a insisté sur l’importance de la formation continue des enseignants et travailleurs du secteur de l’éducation, qui ne doit pas être limitée, selon elle, « aux seuls nouveaux recrus ».
A une question sur les postes ouverts lors du récent concours de recrutement pour le palier du primaire, la ministre a estimé que leur nombre était « suffisant » pour couvrir les besoins exprimés à l’échelle nationale, annonçant que l’inscription sur la plateforme numérique sera ouverte pour le recrutement d’enseignants pour le moyen et le secondaire après l’identification des besoins et l’établissement de la liste des enseignants qui partiront à la retraite.
La ministre a procédé au cours de sa tournée de travail dans la wilaya à la pose de la première pierre d’un groupe scolaire dans la commune de Boulhaf Eddir, d’une capacité d’accueil de 360 élèves.
Le projet à livrer dans neuf mois a mobilisé une enveloppe financière de 54 millions DA. Sur site, Mme Benghabrit a salué les efforts déployés dans la wilaya pour la fourniture de matériel pour les laboratoires d’informatique et des langues au niveau des établissements du moyen et du secondaire.
Mme Benghabrit s’est dirigée ensuite vers la wilaya de Khenchela où elle est attendue pour une visite similaire.
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Quelque 4391 ont entamé, mercredi, les épreuves du baccalauréat, session juin 2018, au niveau de 43 établissements pénitentiaires agréés par le ministère de l’Education nationale comme centres d’examens.
Le coup d’envoi de cet examen a été donné par le directeur général de l’Administration pénitentiaire et de la réinsertion, Mokhtar Felioune à partir de l’Etablissement de rééducation et réadaptation d’El-Harrach.
« Le ministère de la Justice a veillé, en coordination avec le ministère de l’Education nationale, à assurer tous les moyens nécessaires en vue de permettre aux détenues des établissements pénitentiaires de passer cet examen dans les meilleures conditions », a affirmé M. Felioune, se disant confiant que « le taux de réussite serait plus élevé par rapport à l’année précédente, compte tenu des cours de soutien intensifiés dont les prisonniers ont bénéficié durant l’année scolaire en cours ».
Dans le même contexte, le directeur général de l’Administration pénitentiaire et de la réinsertion a fait savoir que « les établissements pénitentiaires enregistrent chaque année une hausse du taux de réussite dans le Baccalauréat et le Brevet de l’enseignement moyen (BEM) », rappelant que « 42.000 détenus sont inscrits aux différents cycles d’enseignement ».
Soulignant que l’encouragement des détenus à reprendre leurs études s’inscrit dans le cadre de leur préparation à réinsertion sociale », M. Felioune a indiqué que « les établissements pénitentiaires incitent les détenus à la lecture, aux études et à la participation aux concours de récitation du saint Coran dans le but de parfaire leur niveau intellectuel en tant que valeur cognitive et éthique et un facteur de changement des comportements négatifs ».
Ces examens sont organisés sous la supervision de l’Office national des examens et concours (ONEC) et encadrés par les fonctionnaires du secteur de l’Education nationale, selon les dispositions de la convention signée entre les ministères de la Justice et de l’Education.
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Sept terroristes se sont rendus mercredi matin aux autorités militaires à Tamanrasset (6ème Région militaire), indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et dans la dynamique des efforts de qualité fournis par les forces de l’Armée nationale populaire, visant à faire régner la sécurité et la quiétude dans l’ensemble du territoire national à travers la mobilisation de tous les moyens disponibles afin de pourchasser les groupuscules criminels, sept (7) terroristes se sont rendus, ce matin du 20 juin 2018, aux autorités militaires à Tamanrasset (6ème Région militaire) », précise le communiqué.
Il s’agit de « ’Gasmi Belkhir’ dit ‘El Chibani’, qui a rallié les groupes terroristes en 2008, ‘Ghedir Ibrahim El-Hadi’ dit ‘Salmane’, qui a rallié les groupes terroristes en 2010, ‘Alouane Mohamed’ dit ‘Adam’ qui a rallié les groupes terroristes en 2011, ‘Ben Ahmed Ahmed’ dit ‘Mohamed’, qui a rallié les groupes terroristes en 2011, ‘Alouane Ali’ dit ‘Ghali’, qui a rallié les groupes terroristes en 2011, ‘Nadji Yahia’ dit ‘Abou Omar’, qui a rallié les groupes terroristes en 2012, ‘Zouari Bachir’ dit ‘Ali’, qui a rallié les groupes terroristes en 2014.
L’opération a permis, également, de récupérer six (6) pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un(1) fusil à lunette et onze (11) chargeurs garnis, ajoute la même source.
« Cette opération de qualité reflète la détermination de toutes les composantes de l’ANP, notamment les unités chargées de la lutte antiterroriste, à assainir notre pays des restes de ce fléau, et confirme également l’efficacité de la stratégie clairvoyante adoptée par la Haut commandement de l’ANP à travers ses démarches et initiatives, à l’instar des multiples appels à la repentance, afin de rejoindre la bonne voie et regagner la société », souligne le communiqué.
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Une quantité de 70 kilogrammes de kif traité a été saisie et deux narcotrafiquantsont été appréhendés mardi à Oran par un détachement combiné de l’Armée nationale populaire, indique mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire (ANP) a appréhendé, le 19 juin 2018 à Oran/2ème Région militaire, deux (02) narcotrafiquants et saisi 70 kilogrammes de kif traité et deux (02) véhicules touristiques », précise la même source.
Dans le même contexte, des détachements de l’ANP « ont intercepté, lors d’opérations distinctes menées à Bordj Badji Mokhtar et In Guezzam/6ème RM, 22 orpailleurs et ont saisi 37 groupes électrogènes, 21 marteaux-piqueurs et 3 motocycles », ajoute le communiqué du MDN.
Par ailleurs, des détachements combinés de l’ANP « ont arrêté 20 immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen et Naâma/2ème RM ».
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