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Les débats se sont essentiellement focalisés sur l’article 6 du projet qui prévoit d’instituer une TVA de 19% sur les véhicules montés en Algérie.
Comme attendu, les députés se sont donnés à fond lors de leurs interventions, hier, durant les débats sur l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018. Le point focal des interventions a été, sans conteste, l’article 6 de cette loi qui réintroduit une TVA de 19% pour les véhicules fabriqués localement. Lors de la présentation de la copie du gouvernement, le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a défendu cette disposition en expliquant que l’exonération de cette TVA avait pour but de rendre le véhicule fabriqué en Algérie plus compétitif en termes de prix par rapport aux véhicules importés. “Or, cette mesure, en l’état actuel, n’a plus sa raison d’être, du fait que les importations des véhicules sont soumises au régime des licences, lesquelles n’ont pas été accordées ces derniers temps.” De surcroît, ajoute-t-il, “la production locale automobile couvre actuellement l’essentiel de la demande nationale”.
Ce qui ne semble pas avoir agréé les députés qui, dans leur majorité, ont mis en évidence le fait que c’est le citoyen qui sera, au final, pénalisé et qui sera obligé de payer cette TVA. Peu de députés ont affiché leur soutien à cette disposition. Même les députés de la majorité se sont abstenus de le faire. Donnant le ton, Hakim Berri, député RND et premier intervenant, a estimé que puiser dans la poche du citoyen pour éviter que ne s’accentuent les déficits financiers constitue une solution de facilité. Pourtant, ajoute-t-il, il y a plusieurs autres façons de trouver de l’argent. Pour sa part, le député RND, Mustapha Nassi, a indiqué que l’argumentaire du gouvernement est purement économique. Selon lui, cette mesure aura des conséquences sociales. Battant en brèche cet argumentaire, le député explique que contrairement aux affirmations du ministre des Finances, la production locale automobile ne couvre pas actuellement la demande nationale. Sinon comment expliquer alors la rareté des véhicules sur le marché. Pour lui, les 120 000 véhicules produits durant l’année 2017 sont loin de répondre à la demande nationale. Mieux encore, le député FLN, Slimane Sadaoui, a clairement affiché son hostilité à cette TVA en demandant son retrait, puisque, selon lui, ce n’est pas au citoyen de la payer. Pour sa part, Djelloul Djoudi du Parti des travailleurs (PT) a indiqué que les dispositions de cette LFC-2018 ne suffisent pas pour répondre aux attentes des citoyens. Tout en saluant la suppression des taxes sur les documents biométriques et la concession des terres agricoles aux étrangers, le député du PT a estimé que l’article 6 instituant cette TVA de 19% est une solution de facilité qui va encore mettre à mal le pouvoir d’achat du citoyen. Il a déploré, à l’occasion, le manque de volonté politique à récupérer les 12 milliards de dinars de fiscalité non couverte.
Cette question des niches fiscales a également été au cœur de l’intervention d’Abdelmadjid Denouni du FLN qui a exhorté le ministre à accélérer le règlement des contentieux fiscaux qui, selon lui, constituent une niche non négligeable. Le député du Front des forces socialistes (FFS), Djamel Baloul, a souligné qu’au lieu de taxer le citoyen, les pouvoirs publics devraient penser à récupérer les 5 000 milliards de dinars de TVA facturés par les concessionnaires aux citoyens depuis 2015 et non les verser au Trésor public. Fidèle à lui-même, Lakhdar Benkhellaf, député du parti El-Adala, a procédé à un large réquisitoire contre le gouvernement, dénonçant son manque de vision et de stratégie. De son côté, Mohamed Mokrane, député d’El-Mostakbal, se dit prêt à soutenir l’institution de la TVA sur les véhicules si elle est supportée par les constructeurs et si la voiture est vendue en hors taxe aux citoyens. Cette TVA de 19%, introduite par l’article 6 de la LFC-2018, ne semble pas avoir l’assentiment des députés. Dans les couloirs de l’Assemblée, en évoque même l’option de sa suppression. Mais, comme nous l’a confié un député de l’opposition, au-delà des discours, la discipline partisane dans le vote risque de faire changer la donne. Outre cette question relative à l’article 6 instituant cette TVA à 19%, les députés ont également soulevé des réserves concernant les taxes additionnelles. Même si elles n’ont pas été remises en cause, des députés ont demandé plus d’explications au gouvernement concernant la liste des produits concernés et les taux qui leur seront appliqués.
Saïd Smati
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Le ministre de la Santé s’est montré, dans une déclaration publiée hier dans les colonnes de Liberté, disposé à reprendre le dialogue avec les médecins résidents si ces derniers gèlent au préalable leur grève.
Les médecins grévistes des neuf autres facultés se prononceront, aujourd’hui, mercredi. En attendant la réunion décisive du bureau national du Camra, prévue ce vendredi pour se prononcer sur le débrayage, les délégués des résidents du pôle d’Alger ont voté, hier, pour le gel de la grève.
Les 5 000 futurs spécialistes exerçant à travers les 23 structures hospitalières de la capitale ont proposé, à la majorité, de revenir aux services et aux urgences, à partir du 24 juin. Mais le dernier mot revient au bureau national du Camra qui tranchera, dit-on, sur la date de reprise dans les hôpitaux. L’assemblée générale d’Alger s’est tenue dans les amphithéâtres de la faculté de médecine Mohamed-Maherzi ex-Laperrine. “Ils étaient nombreux, aujourd’hui, (hier, ndlr) à prendre part à une AG décisive pour le mouvement de grève et le devenir des résidents. L’on peut dire qu’ils étaient environ 3 000 résidents présents, aujourd’hui (hier, ndlr) à Laperrine”, a confié un délégué d’Alger, qui précisera que les délégués et les résidents se sont prononcés pour la reprise de l’activité hospitalière et les gardes. “Les délégués ont présenté un bilan chiffré sur le taux de suivi du débrayage dans les hôpitaux d’Alger. La grève se porte toujours bien, elle est toujours observée dans les hôpitaux par les résidents. La moyenne de suivi est de l’ordre de 76%. Un taux qui conforte la position du Camra d’Alger dans son combat. Les participants ont finalement préféré tempérer et suspendre le mouvement dans l’espoir de se voir inviter au dialogue, comme annoncé, hier mardi, par le ministre de la Santé, dans la presse”, soutiendra un délégué d’Alger. En effet, le ministre de la Santé s’est montré, dans une déclaration publiée hier dans les colonnes de Liberté, disposé à la reprise du dialogue avec les médecins résidents si ces derniers gèlent au préalable leur grève qui n’a pas été sans conséquence sur les hôpitaux où l’administration a remplacé, au lendemain de l’arrêt des gardes, au pied levé, les futurs spécialistes par des généralistes, notamment au pavillon des urgences médicales et chirurgicales. En fait, l’annonce de l’arrêt de la grève reste, dit-on, une preuve supplémentaire de la bonne foi des résidents qui œuvrent “depuis le début du conflit à améliorer l’ordre des choses dans le secteur de la santé, via le dialogue”. “Les futurs spécialistes privilégient toujours la voie du dialogue quand les pouvoirs publics tendent l’oreille aux doléances de la corporation. L’on recourt à la grève quand l’administration verrouille les portes du dialogue”, ajoute-t-on. Il faut savoir, enfin, que les médecins grévistes des neuf autres facultés de médecine (de Blida, de Constantine, de Batna, d’Annaba, de Sétif, de Tlemcen, de Tizi Ouzou, d’Oran et de Sidi Bel-Abbès) se réuniront aujourd’hui mercredi en assemblée générale, pour se positionner par rapport à l’offre de dialogue faite par le ministre de la Santé, en suspendant, au préalable, la grève. Et le bureau national du Collectif autonome des médecins résidents algériens devra se réunir, ensuite, pour formaliser officiellement la reprise.
Hanafi H.
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Érdekes mozzanatokat tartogat az ETAP-T mindazok számára, akik jó pozícióból figyelik, jókor. Tegnap a sportrepülőtéren zajló ejtőernyős deszantot fotóztunk a szolnoki katonai repülőtérről, majd az orrunk előtt zajló fűreszállások zaj- és porélményében történő immerzió következett. Közben azon morfondíroztunk, hogy anno az An-26-osok számára sem volt idegen (például a kenyeri) fű.
Míg a kontinenslakók beérték egy-két teher dobásával gyakorlásként, a RAF szokás szerint komolyan vette a feladatát. Train as you fight, fight like a train.
A britek által dobott hat teher, immár szétválva libeg ejtőernyője alatt a sportrepülőtér füve felé.
Honvédségi Rába viszi vissza Pápára az összegyűjtött terheket (víztartályok, traktorabroncs-kötegek) és ejtőernyőiket.
A norvég Herky a fájnelen a szolnoki kényszerplacc felé, a rövidfalon egy másik hosszú J-30-as következik...
...akarom mondani, éppen a brit C.4-es. Ők voltak talán az egyetlenek, akik a füves pályán elsőre a földön maradtak, és elpattanva azonmód nem szálltak le másodjára is :-)
Zord
Érdekes mozzanatokat tartogat az ETAP-T mindazok számára, akik jó pozícióból figyelik, jókor. Tegnap a sportrepülőtéren zajló ejtőernyős deszantot fotóztunk a szolnoki katonai repülőtérről, majd az orrunk előtt zajló fűreszállások zaj- és porélményében történő immerzió következett. Közben azon morfondíroztunk, hogy anno az An-26-osok számára sem volt idegen (például a kenyeri) fű.
Míg a kontinenslakók beérték egy-két teher dobásával gyakorlásként, a RAF szokás szerint komolyan vette a feladatát. Train as you fight, fight like a train.
A britek által dobott hat teher, immár szétválva libeg ejtőernyője alatt a sportrepülőtér füve felé.
Honvédségi Rába viszi vissza Pápára az összegyűjtött terheket (víztartályok, traktorabroncs-kötegek) és ejtőernyőiket.
A norvég Herky a fájnelen a szolnoki kényszerplacc felé, a rövidfalon egy másik hosszú J-30-as következik...
...akarom mondani, éppen a brit C.5-ös. Ők voltak talán az egyetlenek, akik a füves pályán elsőre a földön maradtak, és elpattanva azonmód nem szálltak le másodjára is :-)
Zord
Les chercheurs viennent d’identifier un mécanisme complètement différent, impliquant d’autres molécules. Une nouvelle forme de dépression, cette découverte pourrait conduire à de nouveaux traitements pour la guérison.
La dépression, touche plus de 300 millions de personnes, et elle est l’une des premières causes de mortalité dans le monde (par ses effets collatéraux ou comorbidités). Heureusement, il existe des traitements pharmacologiques efficaces… mais seulement dans 70% des cas. Pour cause, 90 % de ces traitements reposent sur une seule hypothèse suggérant l’existence d’un déficit dans le cerveau de molécules bien particulières d’après une publication parue la semaine dernière dan le magazine scientifique « science et vie ».
Les traitements jusqu’alors sont à base d’«inhibiteurs de la recapture de la sérotonine ou la noradrénaline«, nommés ISRS, qui permettent d’assurer une bonne absorption de ces neuromédiateurs par les neurones. Mais voilà. Les chercheurs ont repéré un circuit totalement différent qui semble également être responsable de troubles dépressifs .C’est le déficit d’une protéine, la RGS8, agissant au niveau des synapses. Produite par des neurones de la région de l’hippocampe notamment, selon les chercheurs cette protéine se diffuserait et bloquerait l’absorption par d’autres neurones d’une hormone liée à des troubles dépressifs , la MCH1.
En résumé, moins il y a de RGS8, plus les neurones absorbent le MCH1 et plus les symptômes dépressifs s’expriment..
Par ailleurs, les chercheurs dans leurs expériences pratiquées sur des souris, ils ont constatés qu’une sur-concentration de RGS8 chez ces cobayes insensibles aux ISRS diminuait également les symptômes dépressifs, ce qui signifierait que les deux mécanismes sont indépendants.
Si le résultat est confirmé et s’il est transposable aux humains, la protéine RGS8 constituerait une nouvelle piste contre les dépressions insensibles aux traitements classiques.
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Contenudinars de monnaie au 31 mars 2018 dans le cadre du financement non conventionnel, communémentconnu sous la dénomination de – planche à billets -, selon les chiffres publiés parl’institution monétaire sur la situation mensuelle.
Les 3.585 milliards de dinars, représentant environ 30.5 milliards de dollars américains,ont été créés sous forme de titres émis ou garantis par l’État algérien conformément à l’article 45 bis de l’ordonnance numéro 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit complétée par la loi numéro 17-10 du 11 octobre 2017. L’article stipule que « la Banque d’Algérie procède à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à l’achat directement auprès du Trésor, de titres émis par celui ci »à l’effet de participer à « la couverture des besoins de financement du Trésor, au financement de la dette publique interne, ainsi qu’au financement du Fonds national d’investissement ».
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, chiffrait le 22 octobre 2017 les besoins du Trésor public en matière de financement à570 milliards de dinars en 2017, à 1815 milliards en 2018 et à 580 milliards en 2019. 2185 milliards de dinars avaient été créés au 30 novembre 2017. « Ils ont chargé la barque, mais l’argent n’est pas injecté dans l’économie », explique un économiste interrogé par TSA. « L’argent est encore dans le compte courant du Trésor. Ce dernier puise de cet argent sans demander l’autorisation de la Banque d’Algérie », averti t il cependant.
« Le Trésor a besoin de puiser 100 milliards par mois. Il peut donc tenir douze mois sans relancer la planche à billets »,affirme le spécialiste. « Les besoins pourraient néanmoins être plus élevés si les dépenses dérapent ou si le prix du baril diminue », analyse-t-il. « Il faut aussi redonner de l’argent au FNI ou à Sonatrach ou aux banques qui ont des créances sur les entreprises publiques comme Sonelgaz », estime-t-il par ailleurs.Le 26 septembre 2017, le vice-gouverneur de la Banque d’Algérie, Saïd Maherzi, a affirmé que le financement non conventionnel ne devrait pas se répercuter par une explosion de l’inflation. Ce « qui serait inquiétant n’est pas le principe de recourir à ce financement mais le fait d’y recourir de manière abusive et démesurée », avait-il affirmé.
Par : R. N.The post Planche à billets: La Banque d’Algérie dévoile la quantité d’argent créée appeared first on .
A férfit azzal gyanúsítják, hogy segítette egy olyan embercsempész-hálózat tevékenységét, amely Magyarországról 48 alkalommal juttatott migránsokat Nyugat-Európába – tartalmazza a közlemény. Az álnevet használó szír állampolgár kiadatása a vele szemben indult görögországi büntetőeljárások lefolytatását követően történhet meg.
A tájékoztatás szerint a Nemzeti Nyomozó Iroda (NNI) büntetőeljárást folytat üzletszerűen, bűnszervezetben elkövetett embercsempészés szervezésének és irányításának megalapozott gyanúja miatt egy iraki állampolgár és magyar társai ellen. A bűnszervezet vezetőjét azzal gyanúsítják, hogy 2015-ben és 2016-ban szervezőként legalább 48 alkalommal nyújtott segítséget ahhoz, hogy a magyar befogadóállomásokon elhelyezett illegális migránsokat magyar taxisok egy budapesti hotelbe, majd onnan főként marokkói, egyiptomi és iraki származású sofőrök Ausztrián és Szlovákián keresztül Nyugat-Európába szállítsák.
A nyomozás során felvetődött, hogy a bűnszervezetben aktív szerepet töltött be egy szír férfi, aki egy konkrét szállítás megszervezésével nyújtott segítséget a bandának. A szír gyanúsított Magyarországot elhagyta, ezért az NNI európai és nemzetközi elfogatóparancsot bocsátott ki ellene.
Miután felmerült, hogy a körözött férfi Görögországban tartózkodik, a magyar nyomozók az Europol Embercsempészés Elleni Központjának támogatásával felvették a kapcsolatot a görög rendőrséggel. Mindennek eredményeként a görög rendőrök június 12-én Athénban elfogták a férfit, akinél hamis személyi igazolványokat, útleveleket, vízumokat, vezetői engedélyeket és tartózkodási engedélyeket találtak – olvasható a közleményben.
A férfit az Europol kiemelt jelentőségű célszemélyként tartotta számon, mint a 2015-2016-os migrációs válság idején több uniós tagállamban is ismert, embercsempészetben nemzetközi szinten aktív szervezőt.
By WAM
GENEVA, Jun 20 2018 (WAM)
The UAE has reiterated its keenness to deal with the mechanisms of the Human Rights Council with honesty and transparency within the framework of mutual respect, constructive dialogue and fruitful cooperation. The country also reaffirmed its belief that all people share common rights – regardless of colour, gender or race – saying a universal understanding of the concepts of human rights and a broad consensus among all states is vital in order to achieve negotiation.
In a speech delivered at the 38th session of the Human Rights Council in Geneva, Obaid Salem Al Zaabi, Permanent Representative of the UAE to United Nations and other International Organisations in Geneva, expressed his thanks and appreciation to Zeid Ra’ad Al Hussein, United Nations High Commissioner for Human Rights, for the valuable briefing of the activities carried out by his office during the past year.
Al Zaabi noted that the Universal Declaration of Human Rights which was adopted by the UN in 1948 carries noble universal values, some of which developed into moral principles that contributed to the remarkable development of human rights and the service of humanity. While some principles, Al Zaabi noted, have gradually diverged into “strange concepts” which emerge in some societies because those principles are incompatible with the social and cultural beliefs of many societies and ethnicities.
At the political level, Al Zaabi said that some of the principles of the Human Rights Declaration have been used as a mean to apply pressure in foreign relations, for political purposes and as part of foreign diplomacy.
Regarding the work and performance of the various mechanisms of the Human Rights Council, Al Zaabi affirmed the UAE’s keenness and constant effort to apply them with honesty and transparency within the framework of mutual respect, constructive dialogue and fruitful cooperation between the two sides.
He went on to express “deep regret” that many of these mechanisms had come out of the framework of their mandates, causing a consequent negative impact on the effectiveness of the Council’s work and performance.
On the occasion of the end of Zeid Al Hussein’s mandate, Al Zaabi expressed his thanks and appreciation to the High Commissioner for his efforts in supporting the human rights system, despite the difficult tasks and diverse challenges he faced, wishing him success in the future.
WAM/Rasha Abubaker/Esraa Ismail
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Written by Carla Stamegna (1st edition),
© ibreakstock / Fotolia
In 2012, the Commission proposed to recast the 2000 Insolvency Regulation in order to address the cross-border aspects of insolvency in the EU. Adopted in 2015, the recast regulation introduced clear rules on the jurisdiction and law applicable to a debtor’s insolvency proceedings and made mandatory the recognition of those proceedings in other EU Member States. Its remit was expanded to include not only bankruptcy but also hybrid and pre-insolvency proceedings, as well as debt discharges and debt adjustments for natural persons (consumers and sole traders).
In late 2016, as a further step and a follow up to the Insolvency Recommendation of 2014, the Commission proposed to adopt a directive on business restructuring, which would provide new legal tools to rescue viable businesses in distress and give honest but bankrupt entrepreneurs a second chance. The proposal focuses on three key elements: common principles on early restructuring tools, which would help companies to continue operating and preserve jobs; rules to allow entrepreneurs to benefit from a second chance through a discharge of debt; and targeted measures allowing Member States to increase the efficiency of insolvency, restructuring and discharge procedures. The initiative is a key deliverable under the capital markets union action plan. It will also contribute substantially to addressing the high levels of non-performing loans in banks’ balance sheets. The draft report was presented to the Parliament’s Committee on Legal Affairs (JURI) in September 2017. In May 2018 the Council reached agreement on part of the proposal.
Versions
Sergio Gaetano Cofferati (S&D, Italy)
Kosma Złotowski (ECR, Poland)
António Marinho E Pinto (ALDE, Portugal)
Jiří Maštálka (GUE/NGL, Czech Republic)
Joëlle Bergeron (EFDD, France)
Ordinary legislative procedure (COD) (Parliament and Council on equal footing – formerly ‘co-decision’)
Next steps expected:
Vote in committee on the draft report
Oppo gehört zu den grössten chinesischen Handybauern. Das Find X soll nun die Welt erobern – und das mit randlosem Display ohne Notch und verstecktem Kameramodul.
2016 war Oppo in China die meistverkaufte Marke mit 18 Prozent Marktanteil. Letztes Jahr lag der Hersteller mit 17 Prozent auf Platz 2 hinter Huawei. Zusammen mit der Schwestermarke Vivo (15 Prozent Marktanteil in China) dominiert man den heimischen Markt.
Nun soll auch der Rest der Welt erobert werden. Vivo macht an der Fussball-WM in Russland massiv Werbung – und Oppo trumpft mit seinem Flaggschiff auf, das die Konkurrenz in den Schatten stellt, aber auch kein Billig-Modell ist.
Das neue Modell mit Namen Find X hat einen riesigen 6,42-Zoll-Amolded-Display – ist aber gar nicht so gross. Denn 93,8 Prozent der Fläche sind von Screen bedeckt. Der Rand rund um den Bildschirm ist sehr dünn – und zwar auf jeder Seite. Auf einen Notch verzichtet Oppo, Kameras und Sensoren sind anderswo untergebracht.
Damit kommen Gadgets-Fans dem Traum vom Handy, das vorne nur aus Screen besteht, einen grossen Schritt näher. Und Oppo stellt mit dem Handy fast alle Konkurrenten in den Schatten, die deutlich dickere Ränder und/oder einen Notch haben – also einen Einschnitt im Screen für Kamera und Sensoren.
Das Oppo Find X ist voll ausgestattet, aber auch teuerAllerdings ist das chinesische Smartphone weder qualitativ noch preislich in irgendeiner Art billig. 999 Euro kostet das Find X, wenn es im August nach Europa kommen soll. Offiziell vorerst nach Holland, Frankreich, Italien und Spanien. Aber garantiert auch als Importgerät in die Schweiz.
Dafür gibts dann bei der Technik auch alles, was momentan bei den Android-Smartphones angesagt ist. Der neuste Snapdragon 845 Prozessor mit 8 GB Arbeitsspeicher. Aussergewöhnlich sind die integrierten 256 GB Speicher. Und auch der Akku mit 3730 mAh ist überdurchschnittlich.
Die grosse Frage allerdings, wenn man das Find X das erste Mal sieht: Wo zum Teufel sind die Kameras? Weder vorne noch auf der total glatten Glasrückseite sind irgendwelche Linsen zu sehen.
Die Antwort darauf ist ein technisches Glanzstück: Die stecken in einem ausfahrbaren Schlitten, der bei Bedarf oben aus dem Gehäuse kommt. Das hat den Vorteil, dass die Optik gut geschützt ist und dass das Smartphone ein richtig cleanes Design hat.
Allerdings geht es natürlich nicht ganz so schnell, bis man ein Foto schiessen kann, da man ja immer erst die Kamera ausfahren muss. Zudem muss die Konstruktion zuerst beweisen, ob sie langfristig hält und nicht zu einem Schwachpunkt wird.
Die Selfie-Cam löst mit 25 Megapixeln aus und hat in ersten Tests mit tollen Bildern überzeugt. Die Hauptkameras sind ein ziemlich konventionelles Dual-Cam-System mit einem 16- und einem 20-Megapixel-Sensor. Da ist Oppo nicht besonders innovativ.
Eine Gesichtserkennung wie im iPhone XDafür gibts erstmals im Android-Bereich eine Gesichtserkennung mit 3D-Sensoren – ganz ähnlich wie beim iPhone X. Es werden also mit einer Infrarotkamera-Punkte aufs Gesicht ausgesandt und dieses danach mit Kameras und Sensoren analysiert. Wie Apple verzichtet auch Oppo auf einen Fingerabdruck-Sensor.
Wer sein Gerät nicht ungeschützt lassen oder jedes Mal einen Code eintippen will, hat also keine Wahl. Die Chinesen versprechen aber, dass die Gesichtserkennung 20 Mal sicherer ist als ein Fingerabdruck.
Ja, und wie viele andere Hersteller auch wird die Technik dazu genutzt, lustige Comic-Figuren mit den eigenen Gesichtszügen zu animieren. Die heissen bei Oppo nicht Animojis sondern Omojis.