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Union européenne

Angela Merkel veut accélérer la révolution des voitures électriques en Allemagne

Euractiv.fr - Tue, 11/05/2019 - 09:51
Angela Merkel a annoncé le 3 novembre que l’Allemagne souhaitait créer un million de bornes électriques d’ici à 2030, en vue de négociations ardues avec l’industrie automobile.
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Les effets climatiques sous-estimés de la déforestation tropicale

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 11:17
Une étude publiée dans Science Advances révèle que les émissions liées à la destruction des forêts tropicales encore intactes sont six fois plus élevées qu’on ne l’estime actuellement  Un article de notre partenaire, le Journal de l’environnement.
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En Europe, le chômage se stabilise et la croissance cale

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 11:17
La croissance dans la zone euro est restée stable au troisième trimestre, mais à un niveau faible de 0,2%, signe d'une stagnation de l'activité en Europe, selon l'Office européen de statistiques Eurostat. Un article de notre partenaire, la Tribune.
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Karima Delli : Le kérosène est un « paradis fiscal » européen

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 11:13
La Présidente de la commission des Transports au Parlement européen veut remplacer les vols à courtes distances par les trains de nuit et les voitures à combustibles fossiles par l’hydrogène et l’électrique. Karima Delli est députée européenne pour Europe Ecologie...
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Imbroglio diplomatique entre Macron, l’Ukraine et la Bulgarie

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 10:53
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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Le verdissement de la BCE, un vœux pieu pour Christine Lagarde ?

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 10:33
L’ex directrice générale du FMI a pris les rênes de la Banque centrale européenne le 1er novembre. À contre-pied des missions de l’institution, elle affiche ses ambitions en faveur de l’action climatique. Un article de notre partenaire Ouest France.
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La Croatie veut défendre la politique régionale durant sa présidence de l’UE

Euractiv.fr - Mon, 11/04/2019 - 09:53
Le plus jeune membre de l’UE compte militer pour un maintien du budget de la politique de cohésion lors de sa présidence du Conseil de l’UE.
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BCE: Christine Lagarde prend la relève

Coulisses de Bruxelles - Sun, 11/03/2019 - 19:14

Christine Lagarde débarque à Francfort en pleine guerre de tranchées entre les «colombes», avant tout soucieuses de croissance, un camp jusque-là dirigé par son prédécesseur, Mario Draghi, et les «faucons», emmenés par les Allemands, qui veulent en finir avec la politique de l’argent gratuit pour sauver les épargnants et la marge bénéficiaire des banques. Il faudra beaucoup de talents à l’ancienne directrice générale du FMI pour ramener la paix au sein de la Banque centrale européenne, l’affrontement ayant pris la tournure d’une guerre totale entre deux conceptions antagonistes de la politique monétaire.

Rupture

La tâche de Christine Lagarde, 63 ans, première femme nommée à la tête de la BCE, s’annonce d’autant plus ardue qu’elle n’est pas membre de «l’amicale des banquiers centraux», comme l’appelait ironiquement Jacques Chirac, à la différence de ses prédécesseurs, tous gouverneurs de leur banque centrale nationale avant d’être propulsés à Francfort (le Néerlandais Wim Duisenberg, le Français Jean-Claude Trichet et l’Italien Mario Draghi).

Cette ancienne avocate d’affaire associée d’un cabinet américain, plus à l’aise en anglais qu’en français, qu’elle pratique de moins en moins, a, en effet été ministre du Commerce (2005-2007) de Chirac, puis des Finances (2007-2011) sous Sarkozy, avant de prendre à la volée la succession au FMI de Dominique Strauss-Kahn, empêtré dans l’affaire du Sofitel de New York. Sa nomination le 2 juillet, par les 28 chefs d’Etat et de gouvernement, constitue donc une rupture dans la jeune histoire de l’institution monétaire.

Solidarité

Son absence de passé monétaire ne veut pas dire qu’elle n’a pas des préférences, comme l’a montré son audition devant le Parlement européen, le 4 septembre : même si elle est très appréciée de la chancelière allemande, Angela Merkel, elle a clairement assumé l’héritage de Mario Draghi, à la grande satisfaction des députés, dont la grande majorité ne partagent pas la vision allemande de la politique monétaire.

Christine Lagarde a ainsi martelé que «sans la plasticité novatrice de la BCE, la crise de la zone euro aurait été bien plus profonde»,une plasticité qui l’a même conduite à «transgresser les traités»européens… Pour elle, l’activité économique est prioritaire, même si elle a reconnu qu’il fallait étudier «l’impact à long terme des politiques non conventionnelles», notamment sur la rentabilité des banques, l’épargne et le marché immobilier.

Tout comme Draghi, elle estime qu’un budget de la zone euro est nécessaire ou, à tout le moins, que les Etats qui ont de «l’espace budgétaire», comme l’Allemagne ou les Pays-Bas, devraient l’utiliser pour investir. Le message est clair : il est contradictoire de vouloir abandonner «les politiques non conventionnelles» mises en œuvre par la BCE pour donner de l’air aux pays du sud de la zone euro, tout en refusant la moindre solidarité budgétaire dans une zone monétaire unique. Car, à terme, les déséquilibres économiques qui s’accroissent entre les 19 pays de la zone euro risquent d’emporter la monnaie unique. Les faucons sont prévenus : la politique de Mario Draghi n’est que la résultante de leur égoïsme. Autrement dit, on ne peut avoir le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière.

Photo: Photo Boris Roessler. Reuters

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Super Mario sort de la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Sun, 11/03/2019 - 19:12

L’Italien Mario Draghi tire sa révérence ce jeudi. Après huit ans passés à la tête de la Banque centrale européenne (BCE), il laisse la place à la Française Christine Lagarde, jusqu’ici directrice générale du Fonds monétaire international. Huit années au cours desquelles cet homme de 72 ans, pur produit du monde de la finance (fils de banquier, ancien directeur du Trésor public italien, vice-président de la branche européenne de Goldman Sachs, gouverneur de la Banque centrale d’Italie de 2006 à 2011), a profondément transformé l’institut monétaire de Francfort. Jetant par-dessus bord les derniers vestiges hérités de l’idéologie de la Bundesbank allemande (Buba), «Super Mario» a aligné sans états d’âme la BCE sur ses consœurs américaine, britannique ou japonaise afin de préserver la monnaie unique, puis relancer la croissance, quitte à sacrifier les épargnants. Ce n’est pas un hasard si Draghi quitte ses fonctions sous les applaudissements de la France et des pays du sud de la zone euro, et sous les huées de l’Allemagne et de ses satellites.

Le fait d’armes qui fait entrer Mario Draghi dans la légende a lieu le 26 juillet 2012 à Londres, neuf mois après sa prise de fonction, alors que la crise de la zone euro connaît un énième soubresaut. Les marchés, inquiets de l’état des caisses d’épargne de la péninsule Ibérique gorgées de créances douteuses, vendent alors à tour de bras les emprunts d’Etat espagnol, dont les taux grimpent à 7 %. Sans avoir consulté personne, il lâche lors d’un discours prononcé à la City : «La BCE est prête à faire tout ce qui est nécessaire pour préserver l’euro. Et croyez-moi, ce sera suffisant.» Aussitôt, la Bundesbank prend ses distances en affirmant son hostilité totale à la réactivation du SMP (Securities Markets Programme, en sommeil depuis le mois de mars), qui a permis à la BCE de racheter des obligations d’Etat sur le marché secondaire afin de stabiliser les taux d’intérêt. Fait inhabituel : l’ensemble du gouvernement allemand se range derrière Draghi.

Coup de maître

Le 2 août, Draghi en rajoute une couche : l’euro est «irréversible»,«il reste, il reste, il reste. Il est inutile de spéculer contre l’euro».En septembre, le programme OMT (Outright Monetary Transactions, «Transactions monétaires fermes») est lancé : un pays de la zone euro attaqué par les marchés doit d’abord demander au Mécanisme européen de stabilité (MES) de lui acheter directement de la dette (marché primaire) afin de se soumettre à un «programme d’ajustement». C’est seulement ensuite que la BCE interviendra sans limites (c’est Francfort qui crée la monnaie) sur le marché secondaire (celui de la revente des obligations d’Etat) pour faire baisser les coûts de financement. Ainsi les investisseurs auront toujours la certitude de récupérer leur mise, ce qui les dissuadera de vendre et donc de pousser un pays au défaut… Jens Weidmann, le patron de la Buba, est le seul à s’opposer à ce programme car il «est proche d’un financement des Etats par la planche à billets», interdit par les traités européens.

Un coup de maître qui met immédiatement fin à la crise. Mais Draghi, qui, contrairement à son prédécesseur, le Français Jean-Claude Trichet, n’a pas cherché le consensus au sein du Conseil des gouverneurs de la BCE, n’aurait pas pu agir si les Etats n’avaient pas décidé, au mois de juin, de lancer l’union bancaire. Et ainsi de transférer à la BCE le contrôle de leurs banques et de mettre en place un bail in (un sauvetage payé d’abord par les banques) qui garantit que les budgets nationaux ne seront plus en première ligne. C’est seulement à partir de là que Draghi a pu garantir sans limites les dettes publiques, inversant la logique qui prévalait depuis 2009 : un bail in pour les dettes publiques (chacun pour soi), un bail outpour les dettes bancaires (les budgets nationaux payent). Autrement dit, il n’a pas sauvé l’euro à lui tout seul.

Innovation

Second bémol : Draghi s’est engouffré dans les brèches ouvertes par Trichet, en 2010 et 2011, en particulier l’intervention - limitée - sur le marché secondaire afin de racheter les emprunts vendus par les banques ou les assurances. Cette innovation si peu conforme au monétarisme rigide de la Bundesbank a d’ailleurs entraîné la démission de l’économiste en chef de la BCE, l’Allemand Jürgen Stark, et surtout du patron de la Buba, Axel Weber. «Je ne pouvais pas aller plus loin, sinon je perdais l’Allemagne», expliquait le Français à Libération à la fin de son mandat… Draghi, lui, n’a pas hésité.

Et il ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Le 22 janvier 2015, inquiet d’un taux d’inflation proche de 0 (loin de l’objectif de politique monétaire de 2 % par an), qui pourrait se muer en déflation, il lance un «quantitative easing» («assouplissement quantitatif») baptisé PSPP (Public Sector Purchase Programme), à l’image de ceux que pratiquent les autres grandes banques centrales de la planète. Là aussi en dépit de l’opposition de Weidmann.

«Draghila»

En rachetant de la dette publique (puis des actions et obligations d’entreprises), c’est-à-dire en faisant tourner la planche à billets, il injecte de la liquidité, ce qui fait baisser les taux d’emprunt, mais aussi l’euro, le tout au bénéfice de la croissance. A l’issue de ce programme, en décembre 2018, la BCE a acquis l’équivalent de 20 % du PIB de la zone euro en dette publique (soit 2 600 milliards d’euros). Grâce à son action, les Etats empruntent désormais à taux négatif et les entreprises et les ménages à des taux proches de zéro. Une action musclée qui, selon les économistes, a permis d’augmenter le taux d’inflation et la croissance de près de 2 points de pourcentage entre 2016 et 2020.

En septembre dernier, il a réussi à imposer la relance du PSPP, la croissance et l’inflation ralentissant dangereusement. Même si les rachats sont limités à 20 milliards d’euros par mois, contre 80 milliards au plus fort du programme précédent, l’opposition a cette fois été forte : outre l’habituel Weidmann, les banquiers centraux français, néerlandais et autrichien ont voté contre ces mesures qui plombent les bilans des banques et grignotent les dépôts des épargnants. Le 25 septembre, Sabine Lautenschläger, la membre allemande du directoire et «faucon» déclaré, a même démissionné, à l’image de son prédécesseur Jürgen Stark. En Allemagne, la campagne contre Mario Draghi est violente : le quotidien Bild le surnomme même «Draghila», car il suce le sang des épargnants et des retraités… Un tir de barrage qui vise surtout à impressionner Christine Lagarde afin qu’elle détricote l’héritage de l’Italien. Si elle cherche le consensus entre les gouverneurs, c’est bien ce qui risque de se passer.

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133/2019 : 31 octobre 2019 - Arrêts de la Cour de justice dans les affaires C-715/17, C-718/17, C-719/17

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 10/31/2019 - 12:01
Commission / Pologne (Mécanisme temporaire de relocalisation de demandeurs de protection internationale)
Espace de liberté, sécurité et justice
L’avocate générale Sharpston propose à la Cour de juger que, en refusant de se conformer au mécanisme provisoire et temporaire de relocalisation obligatoire de demandeurs de protection internationale, la Pologne, la Hongrie et la République tchèque ont manqué à leurs obligations découlant du droit de l’Union

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Pékin place ses pions en République tchèque

Euractiv.fr - Thu, 10/31/2019 - 10:24
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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Le Chili annule la COP 25

Euractiv.fr - Thu, 10/31/2019 - 10:19
Secoué par une vague de manifestation inédite, le pays-hôte de la COP 25 annule le sommet climatique mondial. Un article de notre partenaire Le Journal de l’Environnement.
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Au Royaume-Uni, le scrutin anticipé ne fait pas oublier le Brexit

Euractiv.fr - Thu, 10/31/2019 - 10:08
Les députés britanniques ont plébiscité le projet du Premier ministre Boris Johnson de tenir des élections législatives anticipées le 12 décembre, afin de sortir de l’impasse du Brexit. Quel est l’agenda désormais ? Un article de notre partenaire Ouest France.
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Berlin face à la justice pour sa politique climatique

Euractiv.fr - Thu, 10/31/2019 - 10:01
Attaqué par trois agriculteurs, le gouvernement allemand répond à partir de jeudi de sa politique climatique face à des juges de Berlin, signe que la lutte contre le réchauffement se prolonge désormais devant les tribunaux.
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Le gaz tente de s’immiscer dans la finance durable

Euractiv.fr - Thu, 10/31/2019 - 08:30
Les représentants des 28 États membres de l’UE ont réintégré le nucléaire aux secteurs éligibles aux futurs investissements verts. Ce qui laisse le secteur du gaz plein d'espoir.
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Les parlementaires dénoncent l’immobilité de la Commission sur la PAC

Euractiv.fr - Wed, 10/30/2019 - 16:51
La France commence à ruer dans les brancards sur le sujet de la PAC, dont la réforme n’avance pas alors que son format est censé être bouleversé à partir de 2021.
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Un rapport atomique pour relancer la filière nucléaire

Euractiv.fr - Wed, 10/30/2019 - 11:32
Le rapport Foltz sur l’EPR est un procès sans concession des faiblesses de la filière nucléaire française, mais aussi le prétexte qu’attendait le gouvernement et EDF pour justifier la construction de centrales. Un article de notre partenaire, la Tribune.
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Montée de la mer: un péril sous-estimé

Euractiv.fr - Wed, 10/30/2019 - 11:31
L’élévation du niveau de la mer aura des impacts dramatiques : selon une étude parue dans Nature Communications, 300 millions de personnes seront soumises aux inondations côtières en 2050. Un article de notre partenaire, le Journal de l’environnement.  
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Vladimir Poutine en visite de voisinage à Budapest

Euractiv.fr - Wed, 10/30/2019 - 10:39
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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De l’eau dans le gaz entre Kiev et Moscou

Euractiv.fr - Wed, 10/30/2019 - 09:25
Les négociations sur le transit de gaz de la Russie et de l'Ukraine vers l’UE se sont soldées par un échec. Maros Sefcovic, chef de l’Union énergétique, appelle à trouver un accord rapidement .
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