Dans un communiqué en date du dimanche 12 octobre 2025, le consulat honoraire du Bénin à Abidjan invite la communauté béninoise résidant en Côte d'Ivoire à se tenir à l'écart de toute activité politique.
Le 25 octobre prochain, les Ivoiriens seront aux urnes pour élire le président de la République. À cette occasion, le consulat honoraire du Bénin en Côte d'Ivoire invite la communauté béninoise à se tenir à l'écart de toute activité ou débat à caractère politique. Le consulat demande aux Béninois vivant en Côte d'Ivoire de faire preuve de discrétion, de sagesse en cette période particulière.
Le Consulat appelle la communauté à faire preuve de respect et de neutralité.
Marina HOUENOU (Stag)
Le ministre d'État, Romuald Wadagni, candidat de la mouvance présidentielle et sa colistière Mariam Chabi Talata ont déposé officiellement, ce lundi 13 octobre leurs dossiers de candidature à la Commission électorale nationale autonome (CENA).
C'est désormais effectif. Le duo Wadagni–Talata vient de déposer leurs dossiers pour l'élection présidentielle de 2026. C'est la première candidature enregistrée à la CENA depuis l'ouverture du dépôt des dossiers vendredi 10 octobre. Ce dépôt du duo Wadagni–Talata marque une étape importante dans le processus électoral.
L'arrivée du duo à la CENA a suscité une forte mobilisation. De nombreux militants, sympathisants et cadres des partis de la mouvance se sont rassemblés pour témoigner leur soutien. Plusieurs ministres et personnalités politiques de la mouvance présidentielle ont également fait le déplacement.
Après avoir rempli les formalités d'enregistrement, le ministre dEtat, Romuald Wadagni n'a pas fait de déclaration. Romaric Ogouwalé du Bloc Républicain, s'est réjoui de la forte mobilisation autour de la candidature du duo Wadagni-Talata. « C'est avec sérénité que notre duo aborde cette nouvelle étape », a-t-il affirmé. A la CENA, le dépôt des dossiers sera clôturé ce mardi 14 octobre 2025.
A.A.A
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NEW YORK, Oct 13 2025 (IPS-Partners)
On today’s International Day of the Girl Child, Education Cannot Wait (ECW) and our strategic partners call for substantial new funding to ensure every girl impacted by crises is able to access 12 years of quality education.
Worldwide, 133 million girls are out of school today. In countries like the Democratic Republic of the Congo, the State of Palestine, Sudan and Ukraine, armed conflict, forced displacement and climate impact keep girls out of school. In Afghanistan, where oppressive policies deny girls their equal rights to education, the challenges are even more dire.
Education for girls is their right. It also leads to better lives, higher incomes and reduced child marriage. If all girls completed their secondary education, countries would gain between US$15-$30 trillion in lifetime productivity and earnings, according to the World Bank.
ECW investments across the globe are making a difference in the lives and life-long trajectories of millions of crisis-impacted girls. Of the 14 million children reached through ECW’s investments, 50% are girls.
ECW and its partners’ holistic support is improving enrolment and attendance, accelerating transition rates from non-formal programmes into formal school, and building the academic and social-emotional skills girls need to thrive. ECW’s latest Annual Results Report documents deepened investment in equitable access and learning; three in four programmes show gender-equitable improvements in participation.
In Uganda for example, an ECW-financed programme is showing strong improvements in foundational literacy for conflict and crisis-affected girls. At the lower primary level, the proportion of learners demonstrating basic reading skills rose from 18% to 34%, with girls outperforming boys. At the upper primary level, reading competency nearly doubled, with girls and boys achieving near parity.
To achieve the Sustainable Development Goals, we must accelerate and sustain financing for girls’ education.
Girls’ education is the single best investment we can make in building a better world.
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Le Global Innovation Index (GII) 2025, publié par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), dresse un constat sans appel. L’Algérie se classe 115ᵉ sur […]
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Depuis 1976, la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a engagé près de 10 000 milliards FCFA pour soutenir la croissance et l'intégration économique des pays membres de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).
Réunis en visioconférence à l'occasion de la 148ᵉ session ordinaire du Conseil d'Administration, les administrateurs de l'institution ont approuvé huit nouvelles opérations d'un montant global de 148,15 milliards FCFA. Ces nouvelles approbations portent ainsi le volume total des engagements de la BOAD à 9 939,6 milliards FCFA, depuis le démarrage de ses activités opérationnelles il y a près d'un demi-siècle (1976).
Sous la présidence de Serge Ekué, Président du Conseil d'Administration et Président de l'institution, les travaux ont permis de réaffirmer la volonté de la Banque de soutenir des projets structurants dans divers domaines.
Un moteur du développement sous-régional
Institution financière commune aux huit États membres de l'UMOA, la BOAD joue depuis 1976 un rôle central dans le financement du développement économique et social de la région. Au fil des années, la Banque a multiplié les initiatives en faveur d'une croissance durable et inclusive. Les engagements cumulés (près de 10 000 milliards FCFA), témoignent non seulement de la capacité financière croissante de l'institution, mais aussi de sa résilience et de sa pertinence stratégique dans un contexte mondial marqué par de fortes contraintes économiques.