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24 Heures au Bénin

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Raymond Adékambi officialise son soutien à Patrice Talon

Mon, 09/03/2018 - 13:30

A l'occasion d'un meeting politique organisé ce samedi 1er septembre 2018, le président de la section de Kétou de l'alliance « Union pour le Bénin » Raymond Adékambi a officialisé son soutien au Programme d'Actions du Gouvernement (PAG).
La manifestation s'est déroulée à la place Oyingin de Kétou en présence de plusieurs responsables de mouvements et chefs de partis politiques.
Le but de cette initiative selon Raymond Adékambi, président de la section communale de l'UB de Kétou est de voir sa localité se développer à travers la réalisation des grands projets inscrits dans le PAG. « Ma proximité avec les populations m'a permis de toucher du doigt les défis quotidiens auxquels elles font face. Comment contribuer alors à relever ces défis, constitue l'une des raisons fondamentales de cette rencontre », a-t-il déclaré. Pour lui, le PAG contient plusieurs projets qui visent le développement de la commune de Kétou. Adhérant ainsi au PAG, il a mentionné les projets routiers inscrits dans le Programme notamment la construction de l'autoroute reliant Sèmè-Podji à Porto-Novo, la traversée de Porto-Novo pour rejoindre Akpro-Missérété, le tronçon Akpro-Missérété-Pobè, l'axe Pobè -Adja-Ouèrè, le bitumage de la route Kétou - Savè et ses bretelles. Raymond Adékambi a apprécié le projet de construction de l'axe Kétou-Savè, qui permettra non seulement de relier les populations mais constituera aussi un raccourci pour joindre avec 80 km en moins la ville de Parakou.
« Beaucoup de Kétois pensent que le PAG a déjà impacté positivement leur localité rien que par la mise en œuvre des travaux de la route Kétou - Savè », a relevé le président de la section UB de Kétou.
« Les signaux forts de la grande priorité des populations de la commune de Kétou sont lancés. Il s'agit du projet de la route Kétou-Savè dont nous avons commencé par avoir les premiers points de réalisation. En plus de cela, nous avons reçu du gouvernement une projection des travaux d'assainissement dans la commune dont les crédits sont déjà disponibles », a affirmé le maire de Kétou Jean-Pierre Babatoundé. Ce dernier invite toute la population de la commune à soutenir le président Talon pour que le PAG soit une réussite.
Raymond Adékambi a remercié le chef de l'Etat Patrice Talon, pour avoir inscrit dans le PAG la construction de cet axe stratégique. Il n'a pas manqué de mentionner les projets relatifs à d'autres secteurs inscrits dans le PAG. Il s'agit entre autres de la promotion de l'accès à l'eau potable, à l'électricité à moindre coût, à l'assainissement, à la santé et à l'éducation.
Quant au député Lucien Houngnibo, président national de l'UB, il a évoqué les raisons qui sous-tendent le soutien de l'alliance aux actions et aux réformes de Patrice Talon depuis son accession au pouvoir. Cette cérémonie souligne-t-il officialise le soutien et l'engagement de la section du Plateau de l'alliance UB au côté du chef de l'Etat.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Les directeurs d'établissements seront nommés selon leurs compétences

Mon, 09/03/2018 - 11:14

A quelques jours de la rentrée scolaire 2018-2019, le ministre de l'enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahugnon Kakpo, invité sur le plateau de la télévision nationale, ce dimanche 02 septembre 2018, a défini quelques critères de nomination
des directeurs dans la collèges et lycées du Bénin. Selon le ministre, ces responsables d'établissements seront désormais nommés sur la base de leur palmarès. Le maintien ou non d'un directeur dans un collège ou un lycée dépendra de ses résultats. Un pas important pour pallier quelque peu les échecs massifs enregistrés aux examens de fin d'année dans les établissements publics. Pour Kakpo Mahugnon, derrière ces résultats catastrophiques, se cache l'incompétence des responsables à imprimer un rythme de travail et un dispositif efficace pour la réussite des apprenants.
Se référant aux résultats de l'examen du baccalauréat dans un collège au Bénin, il a informé que sur 150 candidats presentés, il n'y a eu aucun admis, soit 0%.
Pour la rentrée qui s'annonce, les responsables d'établissements ayant présenté de mauvais résultats aux différents examens l'année écoulée, avertit le ministre, savent déjà ce qui les attend.
Selon le ministre, les sanctions seront inévitables.
Il est à souhaiter cependant que les moyens pouvant permettre aux directeurs de donner de meilleurs résultats, soient mis à leur disposition à temps ; car, il ressort des investigations que les subventions de l'État tardent à leur parvenir et n'arrivent pas comme prévu. Ce qui constitue parfois un bloquage pour le bon fonctionnement des établissements.
F. A. A.

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Le dossier Écureuils Cadets sur la table du Procureur

Mon, 09/03/2018 - 11:11

Le Procureur de la République vient d'être saisi du dossier de la disqualification des Écureuils cadets pour les éliminatoires CAN U17. L'affaire concerne une grave tricherie sur les âges d'une dizaine de jeunes joueurs. Un acte qui mérite de lourdes sanctions à l'endroit les dirigeants de l'équipe et du staff technique.
En lice pour les éliminatoires CAN U17, l'équipe nationale du Bénin a subi une grande humiliation, au Niger, due à la légèreté des dirigeants de la fédération. Les Écureuils cadets ont été purement et simplement disqualifiés du Tournoi qualificatif UFOA B / CAN U17, Tanzanie 2019, pour tricherie.
Une dizaine de joueurs béninois sont épinglés pour avoir triché sur leurs âges.
Informés de l'affaire, le ministre chargé des sports Oswald Homéky et le nouveau président de la Fédération béninoise de football Mathurin de Chacus ont décidé de sanctionner les responsables de ce scandale
qui n'honore pas le pays.
Le dossier est déjà sur la table du procureur de la République.
Les dirigeants de l'équipe et les membres de la fédération ainsi que d'autres autorités impliquées dans l'affaire seront poursuivis devant la justice.
De lourdes sanctions seront retenues à l'encontre des auteurs et complices de cette affaire qui ternit l'image du football national au moment où le gouvernement de la Rupture prône sa renaissance.

P.A

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La résistance de KABA 2

Sun, 09/02/2018 - 22:51
Voir en ligne : wwVNNSMB9Ks
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Les équipements de la centrale de Maria- Gléta livrés à bonne date

Sun, 09/02/2018 - 21:40

Le bateau transportant les équipements devant servir à la construction de la centrale thermique de Maria-Gléta a déjà fait son entrée au Port autonome de Cotonou (PAC). A cet effet, le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude HOUSSOU, était dans l'après-midi du vendredi 31 août 2018 au port pour constater de visu l'arrivée desdits équipements. Selon Emerick Tokoudagba, responsable du projet de Maria-Gleta 2, il s'agit des équipements principaux de la centrale, à savoir, 07 moteurs de 18,7 MW, de 02 transformateurs de 122 NGA, 05 alternateurs et un lot de pièces de rechange. Annoncé au port de Cotonou le 03 septembre 2018, le navire CALYPSO qui a transporté les équipements est arrivé 3 jours avant la date prévue. « C'est avec beaucoup de plaisir que nous pouvons dire que l'évènement du 03 septembre s'est déroulé quelques jours plus tôt, parce que nous sommes toujours dans la dynamique de réduire les délais et de mieux vous satisfaire », a affirmé le responsable du projet Maria-Gléta 2, fier de l'arrivée au plus tôt des équipements à Cotonou.
Le secrétaire général de la SBEE, Yaya Faïkou, représentant le directeur général de la SBEE, a déclaré que l'arrivée de ces équipements montre bel et bien que le gouvernement du Nouveau Départ joint l'acte à la parole. « Très bientôt, les rares coupures d'électricité seront conjuguées définitivement au passé », a-t-il rassuré.
Le Ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude HOUSSOU exprimant sa joie pour cet évènement, a souligné que c'est l'autonomisation énergétique promise par le président Patrice TALON à ses concitoyens qui est en marche. L'arrivée de ces équipements avant la date prévue selon lui, est la preuve incontestable que le PAG avance. Et quand le PAG avance, c'est le Bénin qui avance a souligné le ministre.
La transformation structurelle de l'économie de notre pays voulu par le Président TALON, explique le ministre, doit permettre d'améliorer les conditions de vie des populations. Cette transformation poursuit Dona Jean-Claude Houssou, se traduit par un certain nombre de projets phares du Programme d'Actions du Gouvernement dont 10% sont consacrés à l'énergie. Pour lui, le chef de l'État a vu juste et « ce que nous voyons aujourd'hui est dans la continuité de la dynamique insufflée notamment dans tous les secteurs et particulièrement dans le secteur de l'énergie qui est un secteur prioritaire ». L'autorité ministérielle n'a pas manqué de remercier tous les acteurs qui ont mouillé le maillot pour que ce jour historique ait lieu.
Dona Jean-Claude Houssou et toute sa délégation se sont ensuite rendus sur le lieu de montage des porte-chars spécifiques apprêtés pour assurer le transport des équipements du port à Maria-Gléta, ce dimanche 02 septembre 2018 pour être directement installés sur leurs fondations dans la salle des machines.
Le taux de réalisation de la centrale thermique de Maria-Gleta 2, selon les responsables du projet, est de 52% à la date de ce jour.
L'arrivée de ces équipements en un temps record permettra de finir la construction de la centrale avant la date butoir.
F. A. A.

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" Le Bénin a le tarif le plus bas de l'Uemoa " (Hervé Guèdègbé)

Sun, 09/02/2018 - 21:24

Invité sur l'émission Zone Franche de ce dimanche 2 septembre 2018, secrétaire exécutif ARCEP fait le point de la situation et ce qui a conduit le réajustement des coûts. Hervé Coovi Guèdègbé a opiné à travers le thème : Communications électroniques : l'ARCEP face à la polémiques.
La situation sur les réseaux sociaux au sujet du réajustement des tarifs de communication internet n'a pas laissé indifférentes les autorités. Selon le secrétariat exécutif de l'Arcep, " le décret 341 pris par le gouvernement est la meilleure réponse à la prévention de l'effondrement des télécommunications au Bénin ". Hervé Guèdègbé souligne qu' " il est utile de rappeler que tous les groupes ont fait de la télécommunication un levier de croissance. C'est à ce prix qu'en 2006, nous avons eu à faire d'autres innovations avec des exonérations. Depuis ce temps, des choses ont été faites par les autorités ". Confiant de la décision du gouvernement et de l'implication pour la fluidité de la communication M. Guèdègbé estime qu' " il y a accès aux télécommunications s'il y a accès au service. Et pour cela, le taux de croissance du chiffre d'affaires du secteur de la télécommunication dans la sous-région tourne autour de 10%. Mais en 2016 où le dernier chiffre a donné 276 milliards FCFA, le secteur au cours de l'année 2017 a fait 246 milliards FCFA de chiffres d'affaires, soit une perte de 30 milliards FCFA ". Aujourd'hui où la télécommunication constitue un secteur indispensable pour la croissance, le secrétaire exécutif de l'Arcep soutient que " les télécommunications constituent un secteur de développement dans lequel les gouvernants doivent investir ".

Créerun nouveau modèle

Le développement du secteur des télécommunications permet d'adapter à la réalité, les dispositions idoines. " Aujourd'hui, si vous voulez parler des communications, c'est par rapport à son évolution. Les choses ont évolué de sorte que tout se fait en un. Avec les réseaux sociaux, juste l'accès à l'Internet vous permet d'écrire, d'appeler, de lire (...). Ainsi, selon l'évolution, il faut adapter les réalités à ce qui se passe ", confirme Hervé Guèdègbé. L'autorité explique que c'est dans la loi des finances 2017, que le gouvernement avait suspendu les taxes sur la communication. Après plusieurs analyses, on a compris que l'Internet n'est plus qu'un moteur de recherches. Il permet de communiquer. Selon le secrétaire exécutif, " Il n'a jamais été un souhait pour le gouvernement et le régulateur de renchérir les coûts de communication ". Néanmoins, il précise que "ce qu'on fait c'est à juste titre pour que le communicateur qui fait appel à Cotonou et celui qui est dans une zone reculée bénéficient des mêmes avantages ". L'invité de l'émission Zone franche pense que ce qui est ressenti est comme quoi, il n'y a pas eu des réflexions autour du sujet avant la décision. " Mais ce n'est pas le cas. Il y a eu plusieurs réflexions sur la question. Il y a plus de deux ans, un séminaire avec les OTT a été organisé. Il n'y a pas eu ce moment où les propositions n'ont pas été dans cette direction", renchérit-il.

L'autre aspect

" Si le législateur a trouvé qu'il faut un régulateur, c'est pour apporter quelques modifications. Si nous ne faisons pas cela et permettre aux autres des zones reculées d'avoir accès à la communication, ce n'est pas normal ", fait-il remarquer. Il pense que si le service Internet doit suppléer un autre service de communication, " il faut réguler et permettre à tout les acteurs d'en jouir de leur offre et c'est ce que nous avons fait ".
Le réajustement dont il est question selon le secrétaire exécutif, n'est pas sur des communications directes comme le prétendent certains compatriotes. " Il y a des bonus, et c'est à ces services que nous avons travaillé pour réaménager les choses. Si je peux appeler à zéro franc et à côté, l'autre peut appeler à coût élevé, pourquoi ne pas aller vers ces offres ", explique-t-il. La mesure dira-t-il, est entrée en vigueur puisque le décret est déjà en vigueur. " Nous avons travaillé avec les opérateurs sur cela et les tarifs sont clairs. Les propositions sur le terrain aujourd'hui ne se limitent pas à l'utilisation des services appels''.
" Nous avons deux opérateurs sur le terrain. Nous avons 10 fournisseurs d'accès internet. Le Bénin a le tarif le plus bas de l'Uemoa", affirme le secrétaire exécutif de l'Arcep. Et pour cela, il faut selon lui, développer massivement les infrastructures puisque le haut débit impose cela. Il s'agit pour lui, " d'une décision salutaire et ce sera constaté sur le terrain. Ils seront convaincus qu'ils contribuent au développement des infrastructures, au développement du haut débit ".
D'autres innovations sont en cours et d'ici le 30 septembre 2018, l'abonné aura plus de facilité à passer d'un réseau à l'autre. Si ce mois vous avez voulu passer d'un réseau à l'autre, vous pouvez le faire. Nous finalisons une nouvelle décision pour définir les indicateurs de qualité au Bénin", explique M. Guèdègbé.
Giscard AMOUSSOU

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Bottega dell'Arte initie les enfants aux œuvres artistiques

Sun, 09/02/2018 - 20:30

Un atelier de créativité, dessin et peinture a été organisé du 31 juillet au 11 août 2018 à l'intention d'une vingtaine d'enfants et d'adolescents. L'événement initié par la Bottega dell'Arte Bénin a eu lieu au collège catholique CSS/CED à Cotonou.

La 2ème édition de l'atelier de créativité, dessin et peinture a rassemblé cette année une vingtaine d'enfants et d'adolescents à Cotonou. Ceux de 5 ans à 7 ans ont réalisé des dessins et ont participé à divers jeux (puzzles, jeux de construction et autres). Les plus grands ont fait du découpage-collage pour la réalisation de fleurs et guirlandes, des dessins et de la peinture.
Au terme de l'atelier, les enfants tous contents d'avoir pris part à la manifestation ont reçu chacun une attestation de participation. Quant aux parents, ils ont été non seulement dans l'administration de la découverte des capacités de leurs enfants, mais aussi dans la satisfaction des oeuvres réalisées par ces derniers qui ont acquis des connaissances artistiques tout en se divertissant.
Cet atelier a été une réussite grâce aux matériels offerts par les artistes peintres de la Bottega dell'Arte de Missaglia en Italie.
Cette deuxième édition de l'atelier de créativité, dessin et peinture a été initiée Babylas Danvoéhou, naturaliste et pationné d'arts graphiques.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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La FBF en réunion d'urgence pour situer les responsabilités

Sun, 09/02/2018 - 20:07

Suite à la disqualification des Écureuils cadets à Niamey, des éliminatoires de la CAN U-17, pour faute de tricherie sur l'âge d'une dizaine de joueurs, le Président élu de la Fédération Béninoise de Football, Monsieur Mathurin de Chacus, vient de convoquer tous les membres du comité exécutif à une réunion ce dimanche 2 Septembre 2018 à 17 heures au Bénin Marina Hôtel. (Lire le communiqué)

Communiqué

Le dimanche 2 Septembre 2018, lors du test d'IRM des joueurs de l'équipe nationale cadette du Bénin engagée dans le Tournoi qualificatif UFOA B / CAN U17, il nous est revenu que 10 joueurs béninois ont triché sur leurs âges. Notre pays a donc été disqualifié de ce tournoi conformément aux prescriptions de la Confédération africaine de football.
Immédiatement alerté sur cette situation inadmissible, le
nouveau président élu de la FBF, Monsieur Mathurin de Chacus, convoque tous les membres du comité exécutif à une réunion ce jour, dimanche 2 Septembre 2018 à 17h au Bénin Marina Hôtel au cours de laquelle d'importantes décisions seront prises.

Le président de la fédération béninoise de football regrette cet incident qui ternit l'image de notre pays sur l'échiquier international et promet des sanctions à la mesure des fautes commises.

Le président Mathurin de Chacus rassure le peuple béninois et tout le public sportif que tout sera mis en oeuvre pour que plus jamais cette situation ne se reproduise. C'est ensemble que nous allons bâtir un football béninois performant.

Fait à Cotonou ce Dimanche 2 Septembre 2018.

Le Secrétaire général par intérim de la FBF

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Les mis en cause doivent être sanctionnés pour atteinte à l'honneur de la Nation

Sun, 09/02/2018 - 19:54

Les Écureuils cadets béninois viennent d'être éconduits à Niamey pour les éliminatoires CAN U17. Et pour cause, une grave tricherie sur les âges d'une dizaine de jeunes joueurs. Un acte qui mérite une lourde sanction à l'endroit les dirigeants de l'équipe.
Une erreur fatale qui mérite la sanction digne de cet acte. En lice pour les éliminatoires CAN U17, l'équipe nationale du Bénin vient de subir une grande humiliation grâce à la légèreté des dirigeants. L'équipe cadette vient donc d'être disqualifiée du Tournoi qualificatif UFOA B / CAN U17, Tanzanie 2019, pour tricherie. Ils sont 10 joueurs béninois alignés qui ont triché sur leurs âges. A travers cette faute lourde, le Bénin est donc prié de quitter la compétition comme l'indique un rapport du vice-président de la commission médicale. Il est indispensable que les mis en cause soient poursuivis pour atteinte à l'honneur de la Nation.
A l'heure de la promotion des jeunes sportifs, les responsables fédéraux et les encadreurs ont ainsi sapé l'avenir de nombreux jeunes en attente d'une participation à la compétition africaine de football. Comme de leur habitude, ils viennent d'être épinglés par les dirigeants de la CAF. Une sale besogne qui discrédite le football béninois. Les dirigeants de l'équipe et les membres de la fédération impliqués doivent être sévèrement sanctionnés pour donner de leçons à la prochaine équipe. Cette tricherie longtemps décriée dans d'autres compétitions vient donc de mettre à la face du monde la mauvaise foi des responsables de notre football .
Le peuple béninois attend la suite de cet acte ignoble contre une génération de sportifs. Le chef de l'État, le ministre des sports et le nouveau président de la fédération béninoise de football doivent à travers leur décision donner une bonne leçon de morale aux mis en cause.

P.A

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Les entreprises chinoises encouragées à investir au Bénin

Sun, 09/02/2018 - 19:49

Le vice-président chinois Wang Qishan a rencontré, samedi à Beijing, le président du Bénin Patrice Talon, en amont du Sommet de Beijing 2018 du Forum sur la Coopération sino-africaine.

Wang Qishan a déclaré que la Chine saluait la participation du Bénin à l'initiative "la Ceinture et la Route" et encourageait ses entreprises à investir et à faire des affaires au Bénin. La Chine est prête à développer la coopération avec le Bénin dans les secteurs de la culture, de l'éducation, du tourisme et dans d'autres domaines, a indiqué M. Wang.

M. Talon a salué le soutien et l'aide de la Chine apportés à son pays, ajoutant que le sommet de Beijing du Forum sur la Coopération sino-africaine consoliderait la communauté de destin sino-africaine.

Xinhua

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Le Bénin disqualifié de la CAN U17

Sun, 09/02/2018 - 14:49

La Confédération africaine de football (CAF) a disqualifié l'équipe nationale cadette du Bénin du Tournoi qualificatif UFOA B / CAN U17, Tanzanie 2019 pour tricherie. Selon les informations, 10 joueurs béninois ont triché sur leurs âges, occasionnant ainsi la disqualification du Bénin de la compétition.
Les résultats des deux examens IRM et PCCA (un test cardio) pour U17 réalisés par CAF Online sont : Bénin : 10 out sur 18 à l'IRM, Burkina : 1 out au PCCA, Côte d'ivoire : 2 out à l'IRM, Ghana : tous ok, Niger : 1 out à l'IRM, Nigéria : 2 out à l'IRM, Togo : 1 out au PCCA, tous ok à l'IRM.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Patrice Talon reçoit l'encouragement des autorités et investisseurs Chinois

Sun, 09/02/2018 - 09:47

Le chef de l'Etat Patrice Talon en visite de travail en Chine, a été reçu au Grand Palais du Peuple de Beijing, ce samedi 1er septembre par le Président Xi Jinping.

Au cours de la rencontre avec son homologue chinois, Patrice Talon a indiqué que depuis 2 ans, le Bénin s'est engagé dans des reformes structurelles considérables en matière de gouvernance. Des réformes qui, selon le président de la République, sont de nature à favoriser et rassurer l'investissement.
Le climat de confiance qui règne de plus en plus au Bénin, assure-t-il, offre une réponse positive à l'aide au développement et au renforcement de la coopération bénino-chinoise.
Ce fut l'occasion pour le chef de l'Etat de présenter à la partie chinoise, les opportunités qu'offre le Bénin en matière de tourisme et de promotion culturelle. Il n'a pas manqué d'inviter le président chinois à encourager les investisseurs de son pays à poursuivre leurs efforts d'investissement au Bénin.
Convaincu des analyses de Patrice Talon, le président Xi Jinping a fait remarquer que la vision du président béninois, son sens patriotique et de responsabilité sont très rassurants pour la partie chinoise. Pour lui, de nombreux axes et projets de coopération sont déjà en cours entre les deux pays. Ces projets selon Xi Jinping, concernent notamment la rénovation du palais des congrès de Cotonou et du stade général Mathieu Kérékou, le projet de l'aéroport de Glo-Djigbé, la route des pêches, la mise en place de conditions favorables à l'exportation du soja en Chine et l'amélioration des conditions d'accueil et d'intégration des étudiants béninois en Chine.
Au terme des échanges, les deux présidents espérent intensifier les relations entre les deux pays.
Le président Talon s'est ensuite rendu à l'hôtel des invités d'Etat de Diaoyutai, où il a été reçu par le Vice-Président chinois, Wang Qishan.
Pendant le déjeuner offert à la délégation béninoise, celui-ci a salué le leadership du président Talon et rassuré que les rapports entre le Bénin et la Chine ne cesseront de s'intensifier en raison du climat favorable qui règne désormais au Bénin.
F. A. A.

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Le PAG se concrétise à Zè

Sat, 09/01/2018 - 18:30

La commune de Zè bénéficie désormais de nombreuses réalisations du PAG à travers la construction des voies, de hangars devant servir au marché et bientôt un accès définitif à l'électricité.

La construction de marchés modernes est une des préoccupations du gouvernement Talon. En témoigne le projet de délocalisation du marché Dantokpa et la modernisation des marchés urbains et régionaux dont les études se poursuivent. Mais, déjà à Zè, le gouvernement, à travers le ministère de la décentralisation, a procédé à la construction des hangars devant abriter les marchés. Autrefois difficiles d'accès, les voies pouvant permettre la libre circulation des personnes et des biens sont aujourd'hui réalisées.
Les localités qui jadis étaient enclavées deviennent de plus en plus accessibles.
La commune de Zè bénéficie désormais de nombreuses réalisations du PAG. Ces dernières viennent améliorer les conditions de vie des populations .
En matière d'énergie, les poteaux devant servir à l'électrification sont déjà sur place. En ce qui concerne le volet éducation, des écoles ont été construites pour faciliter l'apprentissage et rapprocher les lieux d'études des apprenants.
Outre les infrastructures, le gouvernement met en œuvre plusieurs réformes dans le secteur de la santé afin de garantir l'accès aux soins de santé de qualité aux populations. Grâce à la construction de l'hôpital de Zone d'Allada, inauguré par le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin, le 24 août 2018, les populations d'Allada-Toffo-Zè peuvent désormais bénéficier des soins de santé appropriés.
Les actions du gouvernement dans la commune de Zè sont à saluer à travers le dynamisme du ministre en charge de la décentralisation Barnabé Dassigli, qui s'active pour la réalisation effective des grandes infrastructures prévues par le Nouveau départ. Autant de réalisations qui contribuent à l'amélioration du cadre et des conditions de vie des populations.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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La Fondation Le Municipal organise un atelier pour évaluer l'état de la gouvernance locale au Bénin

Sat, 09/01/2018 - 18:22

Sous le parrainage du Ministre de la Décentralisation et l'accompagnement de la Coopération Allemande, de l'ANCB et du PNUD, la Fondation Le Municipal a organisé, le 30 août 2018 à l'Hôtel du Lac à Cotonou, dans le cadre de la JADDL 2018 un Atelier d'évaluation et de prospection sur « la lutte contre la corruption et la participation de la société civile à la gestion transparente des collectivités locales du Bénin ». Occasion pour les Ministères représentés, les Préfets, les Maires, les Partenaires techniques et financiers, les personnalités engagées dans la décentralisation et les organisations de la société civile et des médias (UPMB, CNPA et MDM) de reconnaitre les progrès accomplis par la gouvernance locale au Bénin et de se donner une feuille de route pour non seulement améliorer cette gouvernance mais changer la perception des uns et des autres sur la qualité de la gestion des collectivités locales du Bénin.
Odette Sakinath

La gestion des collectivités locales au Bénin et la participation des citoyens s'améliorent et progressent positivement, même s'il faut reconnaître que des efforts restent à accomplir. C'est l'une des conclusions de cet atelier. Dans son allocution de clôture de Franck S. KINNINVO, Président de la Fondation Le Municipal s'est réjoui de la qualité des échanges qui ont permis d'établir, sur des bases scientifiques que la gouvernance locale se porte mieux qu'on ne le pense. La synthèse de l'évolution du respect des normes d'audit du FADEC de 2014 à 2016 atteste de ce progrès. De moins de 50% à plus de 70 %. Même son de cloche du Commissaire de Police Hounkpè représentant l'Autorité Nationale de Lutte contre la Corruption. Des intervention de la Commission Nationales des Finances Locales à celle du PNUD, en passant par le Préfet du Couffo, ancien maire très apprécié, le Président de l'ANCB, le représentant du FONAC, de l'ANLC, de Social Watch, de l'Académie des Territoires et de Organe Consultatif de la Jeunesse de Pobè, sans oublier l'Afrobaromètre, tous ont été unanimes pour reconnaitre que les 77 communes du Bénin ont d'importants progrès dans la bonne gestion des ressources publiques et la transparence dans la gestion communale. Le Professeur Narcisse Tomètin, le Représentant de l'ABDC du Professeur Joël Aïvo, Joseph Tossavi, Rufine Agbo, les différents maires ont reconnu ces progrès et ont insisté sur la nécessité pour le gouvernement de toiletter les textes de lois sur la décentralisation et de faire l'effort de relever le niveau des transferts de ressources aux communes. La question de recrutement pour renforce l'administration communale et par conséquent la gouvernance locale a été abordée et bien d'autres préoccupations qui ont appelé des réponses de la part du Directeur de Cabinet du Ministre de la Décentralisation.

Le bien fondé de cet atelier
Pour le Président de la Fondation Le Municipal, trois grandes préoccupations justifient l'organisation de cet important Atelier d'évaluation et de prospection. Il s'agit :
Premièrement, de la nécessité de compiler des données scientifiques sur l'état réel de la gouvernance locale et de la corruption dans les 77 communes du Bénin ?
Deuxièmement, d'identifier les actions concrètes à mener pour relever le niveau de la gouvernance locale dans notre pays ?
Troisièmement et enfin, de savoir si la commune est le niveau administratif le plus corrompu et le plus sujet à la mauvaise gouvernance au Bénin ?
Selon Franck S. Kinninvo, « depuis juin 2014, date de publication de ce fameux Rapport de la Commission parlementaire d'information, d'enquête et de contrôle relative à la gestion des ressources du FADEC, il s'est jeté comme un nuage de fumée obscure sur la gouvernance locale. Depuis ce temps, la perception de l'opinion publique de la gestion des ressources locales ne s'est jamais remise de cette dose d'amalgame et d'incompréhension. Les dernières couches de verni sombres ont été passées par les élus locaux eux-mêmes. En quête de majorité qualifiée pour destituer un maire, les élus communaux et municipaux n'hésitent pas à inonder les réseaux sociaux et autres médias traditionnels des expressions comme « gestion opaque », « gestion solitaire », « mal gouvernance » ; « détournement de deniers publics »… Je ne voudrais pas m'attarder sur le Livre blanc sur la Corruption et l'Afro baromètre du très respectable Professeur Watchekon qui ont consacré des pages et des enquêtes peu reluisantes aux communes ». Du coup, tout le monde déclare la mauvaise gouvernance dans les communes dans la moindre statistique, la moindre donnée. Fort heureusement, cet atelier vient de battre en brèches ces affirmations en reconnaissant les efforts accomplis et les défis qui restent à relever. Franck S. KINNINVO n'a pas manqué de rendre un hommage mérité à Jean Pierre Elong Mbassi qu'il a qualifié de Monsieur Décentralisation de l'Afrique : « La Journée Africaine de la Décentralisation et du Développement Local née de la Conférence Africaine de la Décentralisation et du Développement Local est une initiative née dans les locaux du Partenariat pour le Développement Municipal à Cotonou. Portée par l'infatigable et le visionnaire Jean-Pierre Elong Mbassi, à qui je rends un hommage mérité pour toute sa carrière consacrée à la promotion de la décentralisation et du développement local en Afrique et dans le monde, la Journée permet, entre autres, aux acteurs de la décentralisation de réfléchir et de prendre des résolutions en relation avec le thème retenu par l'Union Africaine, afin d'améliorer la mise en œuvre de la décentralisation dans les différents pays du continent. Le Bénin » s'est-il réjoui.

Tous les maires sont engagés dans la promotion de la bonne gouvernance
Pour Luc Atrokpo, Maire de Bohicon et Président de l'Association Nationale des Communes du Bénin, malgré le faible niveau des ressources locales (moins de 5% du Budget général de l'Etat), les maires se sont très tôt engagés dans la promotion de la bonne gouvernance et la participation des citoyens. Il n'en veut pour preuve que les résultats des nombreux audits diligentés par le gouvernement et les partenaires afin de vérifier la qualité des dépenses. Sans vouloir donner l'impression que les maires refusent le contrôle, le Président de l'ANCB a déploré la multiplication des audits, de sorte qu'une commune peut en recevoir simultanément plusieurs. Ce qui ralentit le rythme de travail dans la commune. Simon Tomètin déplorera le coût exorbitant de ces audits menés parfois par des cabinets internationaux et demande au gouvernement de faire confiance aux élus du Bénin qui ont une qualité appréciable et un engagement pour la gouvernance locale.

Pas de développement sans une bonne gestion locale
Pour le Directeur de Cabinet du Ministre Barnabé Dassigli de la Décentralisation, « la décentralisation au Bénin vise à promouvoir le développement à la base et la démocratie locale dans un environnement de bonne gouvernance. C'est dire que la gouvernance locale est un point essentiel de la gestion des collectivités locales. C'est pourquoi, le Gouvernement du Président Patrice TALON n'a ménagé aucun effort pour engager des réformes courageuses et sanctionner les fautes lourdes observées dans les communes dans le but d'améliorer la gouvernance des collectivités locales du pays ». Le représentant du Ministre a également reconnu les progrès accomplis par les acteurs locaux : « Mesdames et messieurs, s'il est vrai que l'état de la gouvernance locale n'est pas encore reluisant dans notre pays, force est de constater que des mesures ont été prises par le Gouvernement et les Partenaires Techniques et Financiers, de même que les collectivités locales elles-mêmes. Au nombre de ces mesures, il convient de rappeler la Charte Nationale de la Gouvernance Locale signée par les 77 maires de notre pays. Je ne saurais passer sous silence la mise en place de l'Indice de la Gouvernance Locale qui permet d'évaluer l'état de la gouvernance locale au niveau de nos communes, les mesures de cadrage budgétaire et les différentes directives adressées aux maires afin de les accompagner dans la quête de la bonne gouvernance ».
Après avoir remercié « la Fondation Le Municipal et ses partenaires pour la qualité de leur contribution au processus de décentralisation en cours dans notre pays, Noël A. Ayichékpo GANKPE, le Gouvernement pour sa part, ne ménagera aucun effort pour accompagner les communes mais restera vigilent et sans complaisance envers toute forme de mal gouvernance conformément aux lois et règlements de la République ».

Les grandes décisions de la rencontre
C'est Joseph Tossavi, suivi de Simon Narcisse Tomety qui ont ouvert la valse des interventions. La plupart des participants ont plaidé pour la capitalisation et le partage des bonnes pratiques en matière de gouvernance locale qui inclut la mobilisation des ressources propres de la commune. Les maires souhaitent des émissions, des études pour montrer l'amélioration constante du niveau de la gouvernance. Ils sollicitent des initiatives leur permettant de faire davantage d'affichages publics sur les décisions, les marchés attribués et les activités de la commune. Les acteurs locaux ont plaidé pour davantage d'autonomie des autorités communales comme gage d'une vraie gouvernance.
L'intensification des campagnes de sensibilisation en langues nationales et en langue française pour un changement de comportements des élus et agents publics des mairies et préfectures, le déclenchement du mécanisme de sanction des personnes astreintes à la déclaration de patrimoine qui ne sont pas à jour vis-à-vis des textes en vigueur en la matière, la Facilitation de l'accès des populations aux informations sur les services et questions des développement local, définition d'un cadre formel de dialogue entre les élus locaux et les autres acteurs de la commune sur les questions liées au développement avec la reddition des comptes une obligation pour les élus et les citoyens sans oublier le renforcer des capacités des élus locaux et des leaders d'OSC en matière de bonne gouvernance afin d'instaurer progressivement dans les communes la culture de bonne gouvernance et l'amélioration de la participation des OSC à la passation des marchés publics et au processus budgétaire. Telles sont pêle-mêle d'autres recommandations de l'Atelier.
Christophe Mègbédji, Préfet-Maire prodigue quelques conseils. « Dans cette mission de planification, de suivi et de d'évaluation, il est important de préciser que le Maire et le SG sont les principaux acteurs qui, de par leur propre exemple, amènent les autres à être présents au service et à se consacrer réellement aux tâches pour lesquelles, ils sont recrutés et nommés. Le leadership éclairé du Maire est indispensable si l'on veut dupliquer et réussir cette expérience très noble, mais exigeante. Autrement dit, il faut :
Pour Claude Djankaki, il urge de revoir les textes pour les dimensionner sur la gouvernance locale. « La nomenclature budgétaire de la commune telle que conçue est essentiellement pour le fonctionnement. Si les textes prévoient de nombreuses dispositions pour les budgets de fonctionnement, ce n'est pas le cas pour le financement des investissements. La loi 98-007 portant régime financier des communes consacrent six (6) articles (les articles 9 à 14 aux recettes de la section fonctionnement et seulement l'article 15 pour la section des investissements. Le plus souvent les communes n'ont recours qu'aux transferts du budget de fonctionnement, à l'excédent des exercices précédents ou aux subventions de l'État. Or les budget de fonctionnement sont de plus en plus serrés et l'État se montre de moins en moins disposé à accorder des subventions d'un montant suffisant ».

Le PNUD plaide pour une synergie d'action.
Laurent Gbessi du PNUD souhaite que la lutte contre la corruption soit prise en compte dans l'UNDAF 2019-2013 et qu'une synergie d'action se mette en place entre les différents acteurs pour la mutualisation des stratégies et des ressources. Saluant la disponibilité des autorités, il plaide pour que les autorités à diverses niveaux renouvèle leur disponible pour une collaboration fructueuse.

Les actes de l'Atelier bientôt disponible permettra aux acteurs de poursuivre les actions pour de meilleurs résultats.

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Un bus cause un mort à Cocotomey

Sat, 09/01/2018 - 13:19

Un accident de circulation s'est produit ce samedi matin devant l'école primaire publique de Cocotomey. Une perte en vie humaine a été enregistrée dans ce drame causé par le bus Intercity Stc, une compagnie de voyage du Ghana. Le véhicule de transport en commun roulait en direction de Cotonou.
L'accident a entraîné le blocage de la circulation dans les deux sens de la route inter-Etats Cotonou-Lomé.
Le commissariat de police de Godomey est saisi du dossier.

D. M.

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Libercom ferme ses portes fin septembre

Sat, 09/01/2018 - 10:11

Le réseau national de téléphonie mobile Libercom Sa ne sera plus opérationnel pour compter du 30 septembre 2018.
Dans un communiqué rendu public, ce 30 août 2018, le liquidateur de la société indique qu'il est mis fin à la commercialisation des produits et services Libercom à partir du 29 août 2018.
Cette mesure est prise conformément à une décision de l'Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (Arcep-Bénin) en date du 28 août 2018, fixant les mesures relatives à la cessation des activités de l'opérateur Libercom.
''A cet effet, il est demandé aux abonnés du réseau de bien vouloir prendre les dispositions nécessaires pour épuiser leurs crédits de consommation disponibles à la date du présent communiqué et ce, avant le 30 septembre 2018, date d'arrêt du fonctionnement du réseau'', précise le communiqué signé par le liquidateur Jacques Sogbossi.
Des dispositions sont en cours pour que les abonnés du réseau, le cas échéant, soient transférés aux opérateurs de téléphonie mobile de la place, conclut-il.

D. M.

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Pourquoi limiter à trois le nombre des partis politiques

Sat, 09/01/2018 - 09:12

(Par Roger Gbégnonvi)

​L'opinion publique béninoise manifeste une vague de fond en faveur d'une limitation drastique du nombre des partis politiques. Mais cette vague n'est pas déferlante, elle hésite, elle se retient, comme si l'on manquait d'arguments sérieux pour justifier un élan que l'on sent noble. Voir donc les ordres catholiques. Ils ont un principe sacré : jamais un, rarement deux, toujours trois. Car à partir de trois, on fait communauté et force. Car Dieu est Trine, c'est à Trois qu'Il fonde et tient l'univers. Car les Béninois tiennent pour vérité indépassable que ‘‘jamais ne se renverse la marmite sur un foyer à trois cônes portée.'' Solidité et solidarité de la trinité. Voilà qui amène le Bénin à s'en tenir à trois partis politiques au maximum. Débarrassés du corset du PRPB, nous avons exprimé le besoin de nous défouler et avons obtenu que la Conférence Nationale nous laissât aller, nous laissât faire. A bride abattue, nous avons déployé notre liberté retrouvée en multipliant les partis comme les souris font des portées. Or voici le temps de savoir raison garder pour entrer dans les rangs.
​Entrer dans la cour des grandes démocraties qui n'offrent de spectacle que celui de deux grands partis politiques : l'un dévoué à conserver au présent les acquis du passé, l'autre décidé à prendre le risque de nouveaux acquis au futur. Entre conservateurs et progressistes existe, ou survient de temps en temps, un troisième parti, petit poucet, dont le rôle consiste presque toujours à arbitrer entre les deux grands partis pour qu'ils n'en viennent pas à des renvois d'ascenseur préjudiciables à la démocratie. Trois partis politiques au maximum. Car il n'est pas vrai qu'il puisse y avoir pour un pays, pour une nation, une foule de directions politiques possibles, exprimées au Bénin par des partis qui se distinguent entre eux par leurs noms qui se ressemblent et par leur appartenance ethnique ou clanique.
​Or, pour qui peut lire notre histoire politique sur le temps long de 58 années, depuis 1960, le Dahomey-Bénin, par monts et par vaux, par compromis et compromissions pour éviter le pire de la guerre civile, marche, cahin-caha, vers son unité pour aboutir un jour à faire nation. Le peuple béninois a accentué ce désir d'unité et de nation lorsque, en 2006, il a crédité dès le premier tour son futur président de 34% des suffrages exprimés, lorsque, en 2016, il a crédité au second tour son nouveau président de 65% des suffrages exprimés. Ainsi, par deux fois de suite, il a transcendé les clivages ethniques, régionalistes, claniques et familiaux, pour appeler à le diriger le candidat qui a su le convaincre qu'il pouvait tracer avec lui les sillons du développement. Il est juste et bon que la classe politique béninoise, qui n'est pas étrangère à ce désir d'unité et de nation, colle á présent totalement à ce désir.
​Pour l'instant, ce n'est pas le cas. Les minuscules partis politiques qui encombrent notre Parlement au travers de nos 83 députés reflètent des prurits qui cassent notre dynamique vers l'unité pour faire un jour nation. Elu sur une base fractionniste, le député, ‘‘représentant de la Nation toute entière'', selon l'article 80 de notre Constitution, a tendance à se faire acheter, tout au long de son mandat, par le Chef de l'Exécutif. Comme le prix d'achat peut varier selon l'importance des lois à voter et selon les exigences des self-mis-à-prix, la marchandisation du mandat législatif nous a toujours fabriqué un Parlement dit à géométrie variable. De limiter donc légalement à trois le nombre des partis politiques nous fera un Parlement tout à fait lisible, démocratique et respectable, un Parlement qui ne sera plus un marché où les moutons bêlent à qui les achètera au prix le plus intéressant, un parlement qui contribuera ipso facto à faire avancer la lutte contre la corruption.
​La vérité, c'est qu'il n'y a que du bonheur à limiter à trois le nombre des partis politiques au Bénin. Il convient donc que nous allions vers cet objectif avec enthousiasme.

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Vers l'adoption du nouveau code électoral

Fri, 08/31/2018 - 19:56

Après la séance plénière consacrée aux débats, ce jeudi 30 août, au palais des gouverneurs à Porto-Novo dans le cadre de l'examen du nouveau code électoral, les députés de la 7ème législature ont poursuivi les travaux ce vendredi 31 août 2018.
Sous l'égide du président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji, la lecture des différents livres composant la nouvelle loi portant code électoral en République du Bénin, a été amorcée. Sur les 7 livres que comportent ladite loi, 2 ont été adoptés à l'unanimité des députés présents et représentés au sein de l'hémicycle après amendements.
Les points concernant la caution pour les candidatures aux élections présidentielle et législatives de même que le quitus fiscal, objets à polémique, ne sont pas encore abordés.
Le président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji, a suspendu les travaux et annoncé la reprise pour lundi prochain.

F. A. A.

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L'Etat met fin aux tracasseries liées à toutes formes de caution bancaire et immobilier

Fri, 08/31/2018 - 17:05

C'est au cours du conseil des ministres du 22 août dernier, que le gouvernement a opté pour la création de la caisse des dépôts et consignations (CDC). Une décision salutaire que vient de prendre le chef de l'Etat dans le but de garantir la sécurisation des fonds.

A peine décidé, le gouvernement a déjà introduit à l'Assemblée nationale la loi sur le cautionnement. Loin d'être une initiative de plus, l'instauration d'une caisse des dépôts et consignation se présente comme une solution permettant de garantir son loyer commercial sans dépôt bancaire. Les objectifs qui sous-tendent cette caisse sont entre autres de contribuer à l'impulsion du développement économique et social d'une part, sécuriser et gérer les fonds sous protection, actuellement gardés par devers eux par les officiers ministériels, les administrateurs et autres mandataires judiciaires d'autre part, puis de canaliser et orienter l'épargne nationale vers les investissements directs en tant que facilitateurs de l'opération et à effet de levier.
Il s'est avéré que lors de la location d'un bien immobilier, les régies exigent de la part des locataires, le dépôt d'une garantie de loyer où le montant demandé est généralement de trois loyers consécutifs. L'instauration de cette caisse constitue une solution visant à remplacer le dépôt exigé par une assurance de cautionnement qui fera office de garantie de loyer. Ce produit permet ainsi la location d'un bien immobiliser sans immobilisation d'une somme souvent importante. C'est donc une solution particulièrement adaptée. Aussi, vise-t-il à financer le développement par l'impulsion financière des secteurs non pris en compte par le secteur bancaire classique. Il s'agit d'un outil de développement et de gestion sécurisée de l'épargne au niveau nationale. Plusieurs pays ont déjà expérimenté cette caisse qui s'avère aujourd'hui, un réel instrument de développement. La vision du chef de l'Etat étant la mobilisation et la sécurisation des sous, la caisse de dépôt et consignation vient ainsi combler un vide. Il s'agit d'une caisse qui soutient les politiques de gestion conjoncturelle de trésorerie et de mobilisation des ressources intérieures. Elle comme un investisseur de long terme dans les secteurs clés de l'économie et vient en appui aux activités du système bancaire classique. La caisse s'inscrit particulièrement dans le cadre du schéma global de financement du développement. Une fois cette caisse en place, les nombreuses difficultés connues dans le cadre des cautionnements seront drastiquement allégées. Le gouvernement de son côté pourra orienter autrement les fonds débloqués dans ce cadre. En attendant l'étude et le vote de cette loi sur la caisse de dépôt et consignation, il faut dire que la vision du chef de l'Etat se concrétise peu à peu avec de belles initiatives.
Giscard AMOUSSOU

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Les passeports diplomatiques de L. Zinsou, L. Soglo, K. Koutché et N. Dako annulés

Fri, 08/31/2018 - 16:34

Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Aurélien Agbénonci, par note en date du 30 août 2018, a informé les missions diplomatiques accréditées au Bénin de l'annulation des passeports diplomatiques de l'ancien Premier ministre Lionel Zinsou, de l'ex maire de Cotonou Léhady Soglo, de l'ancien ministre de l'économie et des finances Komi Koutché et de l'ex Directrice générale du Conseil national des chargeurs du Bénin (Cncb) Nadine Dako.
Cette décision du chef de la diplomatie béninoise intervient quelques jours après la décision du ministre de la justice sollicitant les services compétents du ministère de l'intérieur aux fins d'annuler les passeports ordinaires de Komi Koutché, Léhady Soglo et Abou Seïdou.
F. A. A.

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