Un séminaire international se déroule depuis ce lundi à Bohicon, dans le cadre du renforcement des capacités des professionnels de la médecine traditionnelle, de la médecine moderne, responsables d'œuvres spirituelles et chercheurs en naturopathie, de la sous-région ouest-africaine. Selon l'Agence Bénin presse, ledit séminaire durera sept jours.
Organisé par Action nature et médecine (ANaMed), une structure internationale allemande, le séminaire réunit les praticiens de la médecine traditionnelle venus du Bénin, du Togo, du Burkina Faso, du Ghana, de la Côte d'Ivoire, du Niger, du Sénégal et d'Allemagne, qui seront formés sur la fourniture des services et produits de qualité. Ceci dans l'optique de l'amélioration de la santé et le cadre de vie des communautés africaines, et des peuples du monde. Ils échangeront des expériences avec leurs pairs.
Il sera adjoint à la formation des travaux pratiques liés à la fabrication des phytomédicaments améliorés et des types de pommades.
Les participants ont sept jours pour mieux échanger leurs connaissances en matière de phytothérapie.
Le président de ANaMed Bénin, Marcellin Agossou Aïgbé, souligne que ce séminaire vient à point nommé. Car dira-t-il pour accompagner les réformes en cours dans le secteur de la santé. « Les rapports de l'OMS (rapport 2002), spécifient que 80 % de la population béninoise ont recours à la médecine traditionnelle ou naturelle », rappelle-t-il. C'est donc indispensable de renforcer les capacités techniques organisationnelles et pratiques des professionnels du domaine pour améliorer leurs efforts.
Le président de l'ONG Jeunesse sans frontières Bénin, Marcellin Agossou Aïgbé, met en exergue les actions de ANaMed qui facilitent la politique sanitaire du gouvernement béninois.
Le secrétaire général de la préfecture du Zou, Julien Ouankpo, et le directeur départemental de la santé, Evariste Tokplonou, n'ont pas manqué de souligner le bien fondé de cette formation.
Les recommandations de ce séminaire
conduit par Dr Katharina Madrid, présidente de Action nature et médecine (ANaMed)- Allemagne, permettront d'améliorer la pratique dans la médecine naturelle au Bénin.
G.A
La 2ème session du Conseil national du dialogue social (Cnds) a démarré, ce lundi 08 octobre 2018 à l'Infosec de Cotonou. Ouvrant les travaux, le président du CNDS, Guillaume Attigbé a souligné que « le tripartisme est un dialogue permettant au gouvernement, aux employeurs et aux travailleurs par le biais de leurs représentants de s'exprimer sur un pied d'égalité et en toute indépendance en vue de rechercher des solutions idoines à des problèmes d'intérêts communs ». Pour lui, l'expression du dialogue social, vise les institutions, mécanismes et les processus de consultation, de négociation et de prise de décisions concertées, selon les modalités convenues par les parties intéressées. Ces modalités, poursuit le président, peuvent être définies de façon ponctuelle ou systématique. « Le tripartisme est considéré comme un mécanisme de résolution des problèmes, et un moyen pour parvenir à l'équité social, à l'efficacité économique, et à la participation démocratique. Il joue un rôle important dans la protection des droits au travail, dans la fixation des salaires, l'amélioration des conditions de travail et la promotion d'entreprises durables », a-t-il ajouté.
Ce fut l'occasion pour Guillaume Attigbé, de renouveler aux conseillers, toute sa reconnaissance pour les efforts qu'ils déploient individuellement et collectivement afin d'asseoir les bases du Conseil, dont le rôle dans la création de la paix sociale n'est plus à démontrer.
Durant cette session qui va durer un mois, d'importants dossiers liés à la consolidation et à la bonne marche de l'organe seront examinés. Il s'agit essentiellement de la tenue de l'atelier de renforcement des capacités des membres titulaires et suppléants du CNDS, grâce à l'appui technique et financier du Bureau international du travail (Bit) ; de la réunion des commissions techniques du Conseil en vue de proposer des thèmes pertinents qui pourraient faire l'objet d'étude ; de la poursuite des échanges et de l'insertion dans le règlement intérieur, des conclusions retenues à la 2ème session extraordinaires du CNDS, relativement au cadre national du dialogue social ; de l'organisation dans huit départements, de la campagne de vulgarisation des textes fondamentaux du CNDS et enfin des questions diverses.
Le président du Cnds, Guillaume Attigbé a précisé que cette session ordinaire se tient au lendemain d'une rentrée scolaire 2018-2019, effectuée dans le calme et la convivialité. A cet effet, il a renouvelé les félicitations des conseillers et leur soutien à tous ceux qui ont œuvré à ce succès important, mais qui reste encore partiel. Selon Guillaume Attigbé, il n'est pas question pour les partenaires sociaux de dormir sur leurs lauriers car, l'objectif principal est de contribuer à instaurer un climat social apaisé, stable et durable pour une vraie renaissance de l'école béninoise.
Conscient de la tâche effectuée, il a demandé aux conseillers de faire violence sur eux-mêmes en participant pleinement aux travaux, faire preuve d'assiduité et de ponctualité, afin de prouver une fois encore leur attachement à la bonne marche du Cnds.
Les travaux de cette 2ème session ordinaire prendront fin le 07 novembre prochain.
F. A. A.
En prélude à la rentrée académique 2018-2019 qui aura lieu le 15 octobre prochain, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso, dans un message adressé aux acteurs de l'université publique, a informé ces derniers des nombreuses mesures prises par le gouvernement du Nouveau Départ pour améliorer les conditions des étudiants et la qualité de la formation.
Les efforts engagés selon le ministre, concernent notamment la gestion des bourses et autres allocations universitaires, le renforcement des intrants du système universitaire, les infrastructures et équipements, la formation et le recrutement d'enseignants.
Marie-Odile Attanasso a rappelé la mise en place d'une plate-forme informatique de gestion des allocations universitaires et leur bancarisation aux fins d'assurer la célérité dans leur traitement et le paiement à bonne date aux étudiants. Une réforme importante devenue réalité depuis la rentrée universitaire 2016-2017. Une autre réforme importante selon le ministre, a consisté en la prise du décret n°2017-155 de mars 2017 pour une amélioration remarquable des pratiques alors en cours. L'application de ce décret, explique le ministre, a conduit à retenir un effectif global de 29 977 allocataires dont 14 197 anciens et 15 780 nouveaux, soit une augmentation de plus de 100% du nombre de bénéficiaires.
Les nouveaux allocataires, poursuit le ministre, sont les nouveaux étudiants qui démarrent la première année d'études à la rentrée universitaire 2018-2019.
La fixation des quotas d'allocations universitaires au titre de cette rentrée et le budget alloué au paiement des allocations au titre de 2018-2019, qui s'élève à 10 milliards de francs CFA, ont produit un boom d'étudiants allocataires béninois, a expliqué Marie-Odile Attanasso.
Par ailleurs, l'augmentation des fonds alloués aux bourses en 2018 a permis d'apurer des arriérés d'allocations sur la période 2015-2017, à hauteur de 14 911 935 889 FCFA. Les allocations de l'année en cours sont assurées à fin août pour 3 346 117 582 FCFA, soit à cette date, 18 258 053 471 FCFA engagés en 2018 au titre des allocations universitaires contre 7,5 milliards de francs en moyenne par an jusqu'en 2015 à la veille de l'avènement du régime du Nouveau Départ, a-t-elle fait savoir.
Concernant la gratuité et les frais d'inscription, le ministre de l'enseignement supérieur rappelle qu'en 2008, en l'absence de toute étude prospective visant à garantir l'équilibre financier des budgets des universités, la suppression des frais d'inscriptions dans les universités publiques a été annoncée. Par la suite, le décret n° 2008-802 du 31 décembre 2008 portant prise en charge par l'Etat, des frais d'inscription des étudiants béninois non boursiers, non secourus et non-salariés dans les universités nationales du Bénin (UNB) a été adopté.
Pis, aucune mesure d'accompagnement n'a été prise pour compenser le déficit occasionné par cette décision. A titre d'exemple, Marie-Odile Attanasso souligne que durant la période de 2013 à 2016, en moyenne 70% des étudiants de l'université d'Abomey-Calavi non boursiers, non secourus et non-salariés, ont bénéficié de la gratuité des droits d'inscription. Mais seulement 40% des besoins de subventions annuelles ont été pris en charge par l'Etat. Une situation qui occasionne chaque année un déficit de financement évalué en moyenne à 2 milliards de francs CFA, regrette-t-elle. Pour compenser ce déficit important, les responsables des Universités publiques ont demandé la réinstauration des frais d'inscription, voire leur augmentation. Mais tenant compte du contexte social national, et en attendant la réflexion prospective sur l'avenir des universités et leur gouvernance, sous l'impulsion du Conseil national de l'éducation dont le processus d'installation est en voie d'achèvement, le gouvernement a retenu que les efforts d'investissements de l'Etat seront maintenus et soutenus, pour améliorer le cadre de vie et d'études des apprenants dans lesdites universités.
Le gouvernement a également décidé de maintenir le statu quo sur les droits d'inscription et de formation dans les universités nationales. Par conséquent, précise le ministre de l'enseignement supérieur, il n'y a ni retour de frais d'inscription, ni augmentation des frais de formation dans les universités nationales au titre de l'année académique 2018-2019.
Pour cela, des subventions seront accordées aux universités nationales dans les mêmes conditions que l'année précédente avec une possibilité d'augmentation, si les demandes exprimées par les rectorats sont justifiées.
Au sujet du renforcement des intrants du système universitaire, Marie-Odile Attanasso rappelle que depuis 2016, l'Etat consacre en moyenne chaque année, 55 milliards de francs CFA contre 38 milliards de francs CFA en 2015 au fonctionnement des universités, de leurs personnels et de programmes d'intervention.
La politique d'allocation des ressources permet, selon le ministre, de mettre en phase la construction d'un système éducatif avec les ambitions économiques du gouvernement. Ainsi, au chapitre des infrastructures et équipements, les efforts entrepris par le gouvernement depuis l'année 2016, se traduisent, entre autres, par la construction et l'équipement d'infrastructures administratives, pédagogiques et de laboratoires au profit des universités nationales d'Abomey-Calavi et de Parakou, de l'université nationale d'agriculture ainsi que du centre universitaire de Sakété ; l'acquisition et la réhabilitation en cours d'un domaine à Ouidah, pour abriter la Faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg).
S'agissant de la formation et de renforcement de la qualité des ressources humaines, le ministre de l'enseignement supérieur a souligné que pour donner plus d'employabilité aux formations dans les universités, l'Etat a créé de nouvelles filières qui rendront les étudiants directement employables à la fin d'une formation courte de 2 ans.
Outre cette innovation, poursuit le ministre, de nombreuses réformes ont été menées. A titre indicatif, elle a cité la création de l'institut national supérieur des classes préparatoires aux études d'ingénieurs (Inspei) ; la création des Instituts universitaires d'enseignement professionnel (Iuep) dont 08 domaines de métiers ont été retenus par le Conseil des ministres (l'agriculture, du tourisme, des bâtiments, des travaux publics, du textile, l'art et la culture, la vente et le commerce, la maintenance des véhicules) ; l'organisation des examens nationaux de Licence et de Master au niveau des établissements privés d'enseignement supérieur. Ces réformes concernent aussi l'organisation des travaux de la sélection des nouveaux bacheliers qui valorise la compétence et assure l'équité et la réorganisation du système d'attribution des bourses pour tenir compte des besoins en formation de l'économie nationale et faciliter leur utilisation optimum.
En vue d'améliorer la qualité de la formation et de corriger le ratio enseignants/étudiants, de nombreuses actions ont été menées.
Le gouvernement a fait l'option de doter les universités d'un nombre de suffisant d'enseignants en 5 ans, a informé Marie-Odile Attanasso. Pour cette raison, explique-t-elle, un programme de recrutement de 200 doctorants est engagé pour alimenter les écoles doctorales avec l'espoir que dans 03 ans, les universités publiques du Bénin auront à leur disposition 200 nouveaux assistants.
De plus, une vague de 100 assistants a été sélectionnée en juillet 2018 pour être recrutée pour les 4 universités nationales. Le processus de sélection de 100 nouveaux assistants sur le budget de 2019, est en cours.
Tous ces efforts sont menés dans un contexte où, la prise en compte du volet social est une préoccupation constante du gouvernement et sont fortement salués par les étudiants et l'ensemble des acteurs du monde universitaire.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Après une première phase la semaine écoulée, l'opération de fermeture des formations sanitaires illégales s'est poursuivie dans la ville de Parakou, ce lundi 08 octobre. Une délégation composée du médecin coordonnateur de la zone sanitaire Parakou-N'Dali, Akim Gouda et du commissaire central de la cité des Kobourou, Barnabé Amagbégnon, s'est rendue dans plusieurs formations sanitaires le 08 octobre 2018.
Lors de cette opération, plusieurs centres illégaux ont vu leurs portes fermées par les autorités. Les formations sanitaires illégales ayant volontairement procédé à la fermeture de leurs portes suivant les instructions, ont juste été contrôlées par les autorités. Celles qui n'ont pas voulu se conformer aux injonctions des pouvoirs publics ont été fermés et leurs matériels saisis. Un moratoire a été donné aux formations sanitaires ayant déposé les dossiers pour la régularisation leur statut.
Selon le médecin coordonnateur de la zone sanitaire Parakou-N'Dali, Akim Gouda, tant qu'il restera une formation sanitaire illégale, le contrôle ne cessera d'être fait. Il invite les responsables des structures sanitaires illégales à se rapprocher de la zone sanitaire ou de la Direction Départementale de la santé, pour avoir la liste des pièces à fournir pour leur enregistrement.
Le commissaire central de la ville de Parakou, Barnabé Amagbégnon, a assuré de la disponibilité des éléments de la Police Républicaine, à veiller au grain pour que les centres de santé fermés le restent jusqu'à leur régularisation. Pour ce faire, souligne-t-il, des patrouilles et enquêtes seront menées pour démanteler toute manœuvre d'exercice clandestin.
F. A. A.
Prévu pour se tenir ce mardi 09 octobre 2018, le procès du député Mohamed Atao Hinnouho, inculpé dans une affaire de faux médicaments, a été reporté au mardi 23 octobre prochain. Et pour cause, l'absence du juge qui n'était présent au procès. L'audience a donc été reportée au 23 octobre prochain.
Mohamed Atao Hinnouho retourne ainsi en prison en attendant cette date pour connaître la sentence du juge dans cette affaire.
F. A. A.
Quelques heures seulement après l'arrivée des joueurs, l'équipe conduite par le sélectionneur français a effectué sa première séance d'entrainement dans l'après-midi de ce lundi 08 octobre 2018. Au cours de cette séance qui a eu pour cadre, l'enceinte du stade Sauvnej appartenant à un club de district, Michel Dussuyer a soumis son groupe à un menu léger. « C'est un travail déjà en fonction de l'effectif, qui est là. On a individualisé un peu la charge du travail ; travail de récupération pour ceux qui ont joué le samedi, travail athlétique supplémentaire pour ceux qui ont joué le vendredi", a déclaré le technicien français. Les séances vont se poursuivre ce mardi 09 octobre avant que l'équipe et le staff technique ne rallient Alger mercredi prochain.
Pour l'expédition algérienne de vendredi prochain, l'encadrement technique, apprend-on, devra se passer des services de Mama Séïbou. Le sociétaire de Touloun traîne une blessure qui l'éloigne des stades. Sur les 21 joueurs que Michel Dussuyer attend, 15 sont déjà sur place. Il s'agit de Junior Salomon, Jean Marie Guera, Stéphane Sessègnon, Emmanuel Imourou, Jodel Dossou, Khaled Adénon, Moïse Adilehou, Jordan Adéoti, Désiré Azankpo, Sessi d'Almeida, Seïdou Barazé, Olivier Verdon, Steve Mounié, Saturnin Allagbé et David Kiki. Fabien Farnolle et David Djigla sont quant à eux attendus ce mardi soir. Michael Poté qui aurait quelques soucis familiaux ainsi que les trois "Appelés" de la Tunisie à savoir Jacques Bessan, Marcellin Koukpo et Chaona Chamsdeen, rejoindront le groupe en Algérie.
F. A. A.
C'est à travers un message adressé aux acteurs du monde universitaire que le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique révèle les actions nobles engagées dans l'enseignement supérieur notamment les allocations universitaires qui des années durant n'ont jamais été autant organisées.
La gestion des allocations universitaires devient de plus en plus perfectionnée. Depuis l'arrivée à la tête de la nation du gouvernement du Nouveau départ, les actions en direction des étudiants sont de plus en plus réconfortantes. Dans un message du ministre Marie Odile Attanasso adressé aux acteurs des universités nationales, plusieurs réformes ont été faites dans l'enseignement supérieur. Entre autres, les allocations universitaires. Selon le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, « la mise en place d'une plateforme informatique de gestion des allocations universitaires et leur bancarisation aux fins d'assurer la célérité dans leur traitement et le paiement à bonne date aux étudiants, est devenue une réalité depuis la rentrée académique 2016-20117 ». Cette nouvelle forme facilitant la fluidité et la régularité des allocations a conduit à la prise d'un décret visant à améliorer les pratiques existantes. « Une réforme importante a consisté en la prise du décret n°2017-155 de mars 2017 pour une amélioration remarquable des pratiques alors en cours », souligne le ministre. Ainsi, « l'application de ce décret a conduit à retenir un effectif global de 29.977 allocataires. Ce nombre couvre 14.197 anciens et 15.780 nouveaux soit une augmentation de plus de 100% du nombre de bénéficiaires ».
Il faut comprendre à travers ce nombre que « Les nouveaux allocataires sont des étudiants qui démarrent la première année d'études à la rentrée universitaire 2018-2019 ». Ce qui fait augmenter le montant initial des allocations. « La fixation des quotas d'allocations universitaires au titre de cette rentrée et le budget alloué au payement des allocations au titre de 2018-2019 qui s'élève à 10 milliards de FCFA, ont donc produit un boom d'étudiants allocataires béninois ». Il est à noter dans le message du ministre Attanasso que « l'augmentation des fonds alloués aux bourses 2018 a permis d'apurer des arriérés d'allocations sur la période de 2015 à 2017, à hauteur de 14.911.935.889 FCFA ». C'est donc grâce à la volonté réelle du gouvernement et le dynamisme du ministre que cette révolution a pu être effective. On note donc que « Les allocations de l'année en cours assurées à fin août pour 3.346.117.582 FCFA soit à cette date, 18.258.053.471 FCFA engagés en 2018 au titre des allocations universitaires contre 7,5 milliards FCFA en moyenne par an jusqu'en 2015 à la veille de l'avènement du régime du Nouveau départ ». L'assainissement dans le secteur d'octroi et de gestion des allocations universitaires n'est plus à conter. Les actions en parlent d'elles-mêmes.
Giscard A.
Les enseignants et apprenants du CEG 2 de Bohicon sont en deuil suite au décès du sieur Brice Vidéta Kottin, précédemment directeur dudit Collège. Agé de 49 ans environ, son corps sans vie a été retrouvé, ce lundi 08 octobre 2018, à son domicile à Bohicon.
Selon les informations, le défunt n'était pas à son bureau lundi matin. L'ayant appelé plusieurs fois sur son téléphone en vain, le censeur de l'établissement et une délégation d'enseignants se sont rendus au domicile du sieur Brice Vidéta Kottin. Son corps a été retrouvé sans vie dans sa chambre, où il habitait seul.
Les services compétents ont constaté que le directeur Brice Vidéta Kottin est décédé dans la nuit de dimanche au petit matin de ce lundi.
Ses collègues ont confié qu'il a passé le week-end en famille à Glazoué avant de rentrer chez lui. Les causes réelles de sa mort restent inconnues.
Etant en poste depuis 2016 au CEG2 de Bohicon, il exerçait aussi la fonction de directeur au CEG de Kinta, dans la commune d'Agbangnizoun.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Les partis ou blocs de partis politiques soutenant les actions du chef de l'État se montrent désormais très actifs sur le terrain. Ce qui leur donne une longueur d'avance sur ceux de l'opposition.
On ne doute plus du combat des partisans du chef de l'État. De démonstrations en démonstrations, le coup de maître sort ses griffes. Tous les départements, voire les communes et arrondissements sont de manière presque simultanée, animés tous les week-ends. Personne ne veut se laisser surprendre. Chacun prend son bâton de commandement pour rallier les populations de sa circonscription électorale derrière le chef de l'État. Pour le moment, seule l'opposition reste fébrile. Le combat sur le terrain se remarque déjà dans le camp présidentiel avec la sensibilisation hebdomadaire des populations pour accompagner le chef de l'État. C'est désormais clair, la majorité présidentielle ne veut laisser aucun espace libre pour l'opposition. Que ce soit dans l'Atlantique ou le Littoral, le Mono ou le Couffo, le Zou ou les Collines, l'Atacora ou la Donga et même le Borgou ou l'Alibori, les actions du chef de l'État pour un Bénin révélé sont chantées comme une hymne aux couleurs du PAG. Les adhésions se font à la vitesse du son. A quelques mois des prochaines élections, force est de constater que la mouvance présidentielle prend de l'avance sur le terrain. De quoi rassurer le chef de l'État. 2019 s'annonce très palpitant dans le rang de la majorité présidentielle. La mobilisation sur le terrain démontre déjà la force de certains dans leur fief électoral. Même si certaines choses restent à régler, il faut dire que le combat ne serait pas amusant. Chacun s'y met déjà pour sortir sa tête du jeu.
Le bien fondé du système partisan
Il n'est plus question d'un combat personnel. Le vote du nouveau code électoral et celui portant charte des partis politiques donnent déjà des résultats. La formation de grands blocs avec des ralliements qu'on ne pouvait soupçonner, témoignent déjà de la réalité de la chose. Les soutiens quotidiens entre les partis ou alliances de partis révèlent l'unité prônée par les nouvelles lois. Le réformes politiques qui exigent la fin des partis individuels s'imposent sur le terrain. Les formations s'unissent déjà pour une même idéologie et un combat unique. La création du bloc Progressiste avec les ténors de certains partis ou alliances de partis montre ainsi l'importance du système partisan prôné par le chef de l'État. D'un autre côté, c'est l'organisation en Parti Républicain d'un second bloc formé avec d'autres soutiens du chef de l'État. Les deux blocs qui d'ailleurs sont constitués des partis ou alliances de partis représentés du nord au sud et de l'est à l'ouest, dénotent de cette volonté d'unir les forces pour un combat réel et commun.
Giscard AMOUSSOU
La présidente du parti Union pour le développement d'un Bénin Nouveau (UDBN), Claudine Prudencio, a apporté des clarifications sur certaines rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux. Interviewée sur la Diaspora FM, elle s'est prononcée entre autres sur l'appartenance de son parti à l'un des deux blocs politiques pro-Talon en formation.
Dans le cadre de la réforme du système partisan au Bénin, plusieurs partis proches de la mouvance présidentielle sont en négociations pour la formation de deux grands blocs politiques. Sur les réseaux sociaux et divers médias beaucoup de confusions règnent sur la position du parti UDBN. Par rapport à ces rumeurs, la présidente du parti a affirmé qu'aucune décision n'a été encore prise « car l'organe suprême de l'UDBN qui porte toutes les décisions du parti est le congrès ». Selon Claudine Prudencio, seule la décision de ce congrès qui se tiendra le 20 octobre 2018 va orienter tout le monde. « Nos statuts sont très clairs. L'organe suprême, c'est le congrès », a-t-elle martelé.
La présidente de l'UDBN a rappelé que même le Chef de l'Etat a dit à ceux qui doivent venir à lui d'aller d'abord faire leur congrès. « Mais nous, on n'a pas fait de congrès et on fait écrire partout qu'on est dans tel et tel bloc », a-t-elle déploré.
Au petit matin du 21 octobre 2018, renseigne la présidente, la décision finale sortira et tout le monde sera situé.
S'agissant de la polémique d'une vidéo sur les réseaux sociaux où on accuse la présidente du parti de régionalisme, Claudine Prudencio a précisé que non seulement les éléments sont sortis de leur contexte, mais aussi et surtout ils sont utilisés à dessein pour déstabiliser l'UDBN et semer la confusion pour distraire les militants et militantes.
Face à ces attaques, elle « appelle au calme et à la quiétude des citoyens qui ne doutent point du sens du civisme et des nobles idéaux qui fondent l'UDBN ».
Pour la présidente, les défis électoraux en démocratie et en décentralisation sont des enjeux de proximité et de représentativité nécessitant la confiance surtout et en tenant compte du taux élevé d'illettrisme. « (..) C'est ma langue que j'ai parlée. J'ai parlé la langue au peuple et les gens ne savent pas ce que l'autre a dit et j'ai donné cette réponse-là », a confié l'Honorable Claudine Prudencio.
Rappelant qu'elle est une femme très bien éduquée, la présidente du parti a indiqué que les propos tenus dans cette vidéo de 2011 ne sont pas du tout des injures. « Ce que j'ai dit n'est pas du tout du régionalisme », a-t-elle clarifié.
« Que personne ne pense qu'on peut déstabiliser Claudine Prudencio et raconter n'importe quoi sur elle », a ajouté la présidente de l'UDBN.
Elle exhorte les braves et vaillants militants de l'UDBN au calme et à ne pas succomber à la manipulation et aux chantages. « Les militants et les sympathisants de l'UDBN doivent attendre le 20 octobre 2018 et le congrès va délibérer en toute liberté sur le sujet. Et tout le monde verra ce qui va se passer. Les militants de l'UDBN doivent rester sereins », a-t-elle conclu.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Mme Claudine Prudencio, Présidente du parti Union pour le développement d'un Bénin Nouveau », est montée au créneau ce jour pour apporter des clarifications au sujet de l'appartenance de son parti à l'un des deux blocs politiques pro-Talon qui verront bientôt le jour dans le cadre de la réforme du système partisan au Bénin. Elle s'est confiée à nos confrères de Diaspora FM.
Honorable Claudine Prudencio Bonjour !
Bonjour à vous Monsieur le journaliste.
Votre parti est aujourd'hui sous les feux de la rampe parce que beaucoup de confusions règnent sur la position de votre parti par rapport aux grands partis de la mouvance présidentielle en gestation. Qu'est-ce qui peut expliquer cette situation ?
Merci beaucoup Monsieur le journaliste pour l'occasion que vous m'offrez pour pouvoir une fois pour de bon dissiper le doute qu'entretiennent les réseaux sociaux et médias divers. Consciente de la portée de la confusion inhérente à l'ouverture des négociations avec l'un des grands regroupements du pays, je voudrais dire aux braves et vaillants militants de l'UDBN qui résistent et refusent de succomber à la manipulation et aux chantages aussi de se calmer car l'organe suprême de l'UDBN qui porte toutes les décisions du parti est le congrès. Il se tiendra le 20 octobre prochain. Je ne vois donc pas pourquoi tout de suite les gens se sont lancés dans cette communication tout azimuts. Tout le monde doit attendre le congrès. Je l'ai dit la dernière fois dans un communiqué à tous les militants. Les militants et les sympathisants de l'UDBN doivent attendre le 20 octobre 2018 et le congres va délibérer en toute liberté sur le sujet. Et tout le monde verra ce qui va se passer. Les militants de l'UDBN doivent rester sereins.
Mme la Présidente, on vous a vu dans une vidéo qui fait polémique sur les réseaux sociaux où on vous accuse de régionalisme. Que pouvez-vous répondre à ces attaques ?
Il n'est plus un secret pour personne que le parti UDBN que je dirige et ma personne font l'objet depuis quelques jours d'une série d'attaques sur les réseaux sociaux et autres canaux de diffusion d'informations officielles et officieuses. Face à ces attaques, je tiens à préciser que non seulement les éléments sont sortis de leurs contextes, mais aussi et surtout ils sont utilisés à dessein pour déstabiliser l'UDBN et à semer la confusion pour distraire les militants et militantes. Pour ce faire, je voudrais en appeler au calme et à la quiétude des citoyens qui ne doutent point du sens du civisme et des nobles idéaux qui fondent l'UDBN. Je m'en voudrais de ne pas rappeler que les défis électoraux en démocratie et en décentralisation sont des enjeux de proximité et de représentativité nécessitant la confiance surtout et en tenant compte du taux élevé d'illettrisme. Il faut parler sa langue. Et c'est ma langue que j'ai parlée. J'ai parlé la langue au peuple et les gens ne savent pas ce que l'autre a dit et j'ai donné cette réponse là. Je suis une femme très très bien éduquée. Ceux qui connaissent Claudine Prudencio savent très bien que je suis une femme bien éduquée. Je n'ai jamais insulté quelqu'un dans ma vie et ce que j'ai dit dans cette vidéo de 2011 n'est pas du tout des injures. Ce que j'ai dit n'est pas du tout du régionalisme. Donc, que personne ne me mêle à cette affaire de régionalisme ! Le Bénin est un et indivisible. Je le sais très bien. Que personne ne pense qu'on peut déstabiliser Claudine Prudencio et raconter n'importe quoi sur elle.
Qu'avez-vous à ajouter pour rassurer tous vos militants et tous ceux-là qui sont prêts à se donner pour vous et qui luttent à vos côtés ?
Je vais simplement demander aux militants d'attendre le congrès du parti que nous organisons le 20 prochain. C'est la décision de ce congrès qui va orienter tout le monde parce que dans nos statuts et autres, l'organe suprême de décision, c'est le congrès. C'est vrai que les militants m'ont mandaté pour participer aux négociations et parler en leur nom. Mais ils ne m'ont pas demandé de prendre de décision à leur place. Nos statuts sont très clairs. L'organe suprême, c'est le congrès. Au petit matin du 21 octobre 2018, la décision finale sortira et tout le monde sera situé. J'exhorte donc les uns et les autres au calme tout simplement. Les membres de l'UDBN n'ont qu'à se calmer. Le Chef de l'État lui-même a dit à ceux qui doivent venir à lui d'aller d'abord faire leur congrès. Mais nous on n'a pas fait de congrès et on fait écrire partout qu'on est dans tel et tel bloc. Non, non pas du tout. On attend notre congrès.
Propos transcrit par El-Hadj Affissou Anonrin
Les députés de la 7ème législature ont repris le chemin de l'hémicycle ce lundi 08 octobre 2018 dans le cadre des travaux de la 5ème session extraordinaire de l'année 2018. Sous l'égide du président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji, les parlementaires ont revu les dispositions des articles 227, 244, 249 et 308 du nouveau code électoral déclarées contraires à la constitution par la Cour constitutionnelle lors du contrôle de constitutionnalité le 2 octobre dernier. Au terme des débats, ces articles ont été revus et adoptés par l'unanimité des députés présents et représentés à l'Assemblée nationale contre 07 voix et 00 abstention.
Après avoir adopté le document final du code électoral, le président de l'Assemblée nationale a suspendu les travaux et annoncé la reprise pour le mardi 09 octobre 2018.
Ainsi, les députés vont se consacrer dès ce mardi, à l'examen de la proposition de loi portant traite des personnes en République du Bénin, second dossier inscrit à l'ordre du jour de la 5ème session extraordinaire de l'année 2018.
F. A. A.
Le Mouvement espoir du Bénin (MesB) du professeur François Abiola est désormais membre du Parti Républicain (PR). C'est la décision prise par le bureau exécutif du mouvement élargi à sa base au cours d'une séance extraordinaire d'information, d'analyse et de décision, ce dimanche 07 octobre 2018, à Cotonou.
Selon François Abiola, il est important de mettre les expériences acquises au profit du nouveau parti en création. Le président du MesB invite ses militants à rester vigilants et surtout positifs pour un aboutissement heureux de l'engagement. « Restez vigilants mais positifs et comme l'a dit l'autre ‘'dans ce voyage groupé dans l'obscurité », a lancé l'ancien premier ministre.
François Abiola rejoint ainsi Me Adrien Houngbédji, les partis membres du "Bloc Dynamique Unitaire", le RND de Jean-Michel Abimbola, la coalition Bénin En Route (BER) de Jean-Baptiste Houngue, l'UDBN de Claudine Prudencio, l'ABT du ministre d'État Bio Tchané ainsi que plusieurs autres mouvements politiques. Ainsi s'agrandit le Parti Républicain, le second grand regroupements politiques de la majorité présidentielle pour législatives de 2019.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Le cinquième séminaire de formation sur les contrats publics internationaux et les Partenariats publics privés (Ppp) a lieu les vendredi 5 et samedi 6 octobre 2018 à Cotonou. Organisé à l'intention des avocats du barreau béninois, ledit séminaire a été coanimé par la présidente de la septième chambre du Conseil d'Etat en France, Christine Maugue, et le président de la Cour constitutionnelle du Bénin, Joseph Djogbénou.
Lancée par le ministre de la Justice et de la Législation, Séverin Quenum, cette session de formation, placée sous le thème « La pratique et le contentieux des marchés publics et des Partenariats publics-privés », est soutenue par l'Ambassade de France près le Bénin.
Le bâtonnier de l'Ordre des avocats du Bénin, Me Yvon Détchénou, a mis l'accent sur le bien fondé d'une telle formation pour les avocats.
« Le programme d'actions du gouvernement comporte 49 projets phares, d'une valeur d'environ 9 milliards. 70% sont mis en œuvre par marchés publics et quasiment 61% par le secteur privé », a indiqué le bâtonnier. Il rappelle que le Code de passation des marchés publics et la loi sur le Partenariat public-privé restent un vivier indispensable pour les avocats. Ceci dans un contexte béninois marqué par le recours fréquent aux marchés publics et la promotion du Partenariat public-privé (Ppp). Me Yvon Détchénou souligne que plusieurs aspects de la loi ne sont pas encore appliqués par les praticiens et les juristes.
Le bâtonnier a exprimé toute sa reconnaissance à l'ambassadrice de France et à Me Yvon Poulet, avocat au barreau de Paris, pour leur implication active dans l'organisation de la formation.
L'ambassadrice de France près le Bénin, Véronique Brumeaux, a souligné le partenariat qui lie le barreau béninois et le barreau français. « Avec la promulgation de la loi sur le Ppp, il convient d'en maîtriser les contours pour mieux encadrer sa mise en application. Cette formation est l'occasion d'aborder la responsabilité pénale et sociale des entreprises, le contentieux des contrats (...). La réflexion sur le Partenariat public-privé issue du droit anglo-saxon est aussi une occasion de réfléchir sur sa mise en œuvre dans un contexte romano-germanique », a rappelé le diplomate.
Pour le ministre de la Justice et de la Législation, Séverin Quenum. « Tout ce qui s'articule autour du Ppp, comme d'ailleurs la commande publique, constitue un cadre nouveau (…). Les contrats de Ppp sont un moyen privilégié de développement et un moyen d'activité extraordinaire que la loi met au service des avocats (…) », a-t-il déclaré. Il s'est dit heureux de l'aboutissement de ce partenariat entre les barreaux béninois et français.
Pour Séverin Quenum, « Il y a dans ce partenariat de grandes opportunités d'échanges ».
G.A.
La ville de Natitingou a accueilli, ce vendredi 5 octobre, les manifestations officielles de la célébration de la 25ème édition de la Journée Mondiale de Enseignants au Bénin. La cérémonie s'est déroulée en présence du ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou.
" Le droit à l'éducation, c'est aussi le droit à un personnel enseignant qualifié ". C'est le thème de l'édition 2018 de la journée internationale de l'enseignant. Au nom de ses collègues en charge de l'éducation au Bénin, le ministre Salimane Karimou a honoré cette journée dédiée à l'enseignant. Il reconnaît à juste titre le rôle plus qu'important que jouent les enseignants dans le système éducatif. " Je voudrais surtout vous rendre hommage, à vous femmes et hommes de bonne volonté qui avez choisi la noble et exaltante profession d'enseignant et qui vous attelez quotidiennement et sans relâche à la délicate tâche de modelage de l'intelligence et de l'esprit de vos apprenants ", a déclaré le ministre. Salimane Karimou a dit tout son satisfecit aux efforts fournis par ceux-ci. " Votre foi, votre abnégation et vos efforts soutenus font de vous les vrais acteurs du développement de la Nation ", a-t-il reconnu. Salimane Karimou se dit heureux de " la place et le rôle primordial que joue l'enseignant dans nos sociétés modernes''. Ce qui mérite l'attention du gouvernement pour ce secteur prioritaire. Il indique entre autres les différents thématiques issues du thème général dont "la professionnalisation du métier d'enseignant ". Selon Salimane Karimou, " la formation de l'enseignant constitue à bien l'outiller pour lui permettre de transmettre facilement le savoir aux apprenants de son temps et de son milieu et, par ricochet, à plusieurs générations d'apprenants ".
Il souligne que "ce sous-thème interpelle chacun de nous sur la nécessité de tout mettre en œuvre pour faire de notre métier d'enseignant, non seulement un sacerdoce exaltant mais aussi une profession aux arcanes maîtrisées tant sur le plan pédagogique que sur le plan docimologique ".
Le ministre rassure tant les parents d'élèves que les enseignants que le gouvernement du Président Patrice Talon offrira de meilleures conditions possibles de travail. " Nous ne devons d'aucune manière minimiser l'importance et la pertinence des réformes et programmes prévus dans le secteur de l'éducation par le gouvernement ", a souligné le ministre.
Le porte-parole des enseignants, Roméo Péthos, porte-parole du Front d'action des syndicats de l'éducation a dressé le bilan du secteur avec quelques recommandations.
Giscard A.
Les députés de la 7ème législature se retrouvent ce lundi 08 octobre 2018 au palais des Gouverneurs, à Porto-Novo, pour la 5ème session extraordinaire de l'année 2018. Deux principaux points sont inscrits à l'ordre du jour des travaux de cette session. Il s'agit de la finalisation du Code électoral dont les dispositions des articles 227, 244, 249 et 308 sont déclarées contraires à la constitution par la Cour constitutionnelle lors du contrôle de constitutionnalité de cette loi le 2 octobre dernier. En conséquence, elle a décidé que les 4 dispositions inconstitutionnelles sont séparables de l'ensemble du texte voté.
Le parlement va donc se pencher sur cette question et retourner le document au président de la République pour promulgation en vue des législatives de 2019.
Outre cet amendement du code électoral, la Représentation nationale va également se pencher sur l'examen de la proposition de loi portant traite des personnes en République du Bénin.
Cette 5ème session extraordinaire de l'Assemblée nationale va durer quinze jours.
F. A. A.