Le ministre du cadre de vie et du développement durable, José Didier Tonato, a effectué ce jeudi 13 décembre 2018, une visite sur les sites du projet d'asphaltage dans la ville de Lokossa. L'objectif de cette visite du ministre, est de faire le point sur le niveau global d'exécution du projet dans la ville et inciter l'entreprise en charge des travaux, à une vitesse de croisière.
Avec les responsables du ministère du cadre de vie, le préfet du Mono et le maire de la ville de Lokossa, José Didier Tonato s'est d'abord rendu à Fongba, vers la sortie de Lokossa où il a visité les différents compartiments de la base technique de l'entreprise adjudicataire des travaux. Après cette étape, le ministre et sa suite se sont rendus sur le chantier des deux premières rues de la cité des Kotafon, où les travaux d'aménagement du projet asphaltage ont cours. Ces visites ont permis au ministre du cadre de vie de noter que la base technique est presque installée et qu'il ne reste que la centrale de fabrique de béton et la finition de l'aire de préfabrication des caniveaux.
Par rapport au retard qui selon le ministre pourra être résorbé, José Didier Tonato souligne que « nous avons convenu que la mise en place de la base technique soit terminée avant la fin du mois de décembre en cours et que l'entreprise puisse être totalement opérationnelle dès janvier, et surtout travailler avec le groupe de contrôle pour qu'on ait un planning qui permet de résorber les retards constatés ».
Selon le représentant du groupe de contrôle du projet, Jean-Marie Dovonon, le taux d'exécution physique des travaux est de 3,50%. Sur les 19 chantiers prévus, informe-t-il, c'est deux qui sont effectivement ouverts contre quatre plans d'exécution déjà validés.
Ce fut l'occasion le directeur technique de l'entreprise adjudicataire, Giap Dossou, de porter à l'attention du ministre quelques difficultés.
Lancé en août dernier, le projet d'asphaltage à Lokossa couvre environ 30 kilomètres de rue.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Au terme des travaux du congrès constitutif du bloc Dynamique unitaire pour la démocratie et développement (D.U.D.), dimanche 09 décembre 2018, M. Aza Narcisse a été élu au poste de Trésorier général, mandataire du parti.
L'homme qui a en charge de la gestion financière des ressources du bloc Dynamique unitaire pour la démocratie et le développement (D.U.D.) est le Secrétaire général de l'Association des anciens étudiants béninois de la Fédération de Russie et de l''ex URSS (SOYUZ-BENIN). C'est un administrateur de sociétés qui saura mettre son savoir-faire à contribution pour la gestion financière des ressources de cette nouvelle formation politique.
Le Bureau Exécutif National (BEN), élu au terme des travaux du congrès constitutif du bloc D.U.D. est composé de 39 membres. Il est présidé par le député Houdé Aditi Valentin.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Composition du Bureau Exécutif National (BEN) du parti D.U.D
1- Président : HOUDE Aditi Valentin
2- Vice-Président chargé de la planification stratégique, de l'analyse prospective et du développement durable : BIO BIGOU Bani Léon
3- Vice-Président chargé des affaires juridiques et des droits humains : KEKE LOUIS AHOLOU Hélène
4- Vice-Président chargé de l'animation des structures décentralisées, des relations avec les élus et de l'enracinement du parti : HOUNSOU-GUEDE C. Patrice
5- Vice-Président chargé de relations extérieures et de la coopération : SOGNIGBE S. Robert
6- Vice-Président chargé du dialogue avec les sages, les confessions religieuses et les chefferies traditionnelles : HOUDOU Ali
7- Vice-Président chargé de la formation civique et politique : SAGUIFA Wakouté
8- Vice-Président chargé des questions électorales : KOUASSI Gérard
8- Vice-Président chargé de la communication, de la presse, de l'économie numérique et porte-parole du parti : DOSSA Rufin N. Nazaire
10- Vice-Président chargé de la promotion des femmes, de l'approche genre et du développement : FAGNON DOSSOU GBETE Anne D. Rebecca
11- Secrétaire Général : AKOGBETO Dissou
12- Premier Secrétaire général adjoint : GOMENOU Blaise
13- Deuxième Secrétaire Général adjoint : TOFON Noël
14- Trésorier Général, mandataire du parti : AZA Narcisse
15- Trésorier Général adjoint : MIGNANHOUANDE Sourou Albert
16- Secrétaire National chargé de la mobilisation sociale : SOUKPON Célestin Mathias Edgar
17- Secrétaire National Adjoint chargé de la mobilisation sociale : OUINSOU Thomas Ludger
18- Secrétaire National à la santé : Dr DEGBELO François
19- Secrétaire National chargé de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs : YAROU Simé Ousmane
20- Secrétaire National Adjoint chargé de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs : KEREKOU Sagui Gérard
21- Secrétaire National chargé de la promotion des énergies renouvelables et de l'eau : ADJOVI Dandjinou Edmond
22- Secrétaire National Adjoint chargé de la promotion des énergies renouvelables et de l'eau : HOUNKANRIN Théophile
23- Secrétaire National chargé de l'organisation et de la logistique : SALANON T. Blaise
24- Secrétaire National Adjoint chargé de l'organisation et de la logistique : AZO Basile Zinsou
25- Secrétaire National chargé de la sécurité et de la défense : CHODATON Alain
26- Secrétaire National adjoint de la sécurité et de la défense : AKPAHOUNKA Coffi Franck
27- Secrétaire National chargé des infrastructures et cadre de vie : KPOCHEME Amour
28- Secrétaire National chargé de l'éducation : Professeur BADA Médard Dominique
29- Secrétaire National Adjoint chargé de l'éducation : Dr EGOUNLETY Pedro Marius
30- Secrétaire National chargé de la promotion de l'agriculture, de l'élévage et de la pêche : DANSONHOUN Joël
31- Secrétaire National Adjoint chargé de la promotion de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche : AHLONSOU Couthon Raphaël
32- Secrétaire National chargé du travail et de l'emploi des jeunes : KINSICLOUNON Gilles Eustache
33- Secrétaire National chargé du travail et de l'emploi des jeunes : ESSOU Armel
34- Secrétaire Nationale chargée des affaires sociales et de la promotion de la microfinance : SAVI Félicité
35- Secrétaire National Adjoint chargé des affaires sociales et de la promotion de la microfinance : ALLOGOGO Pascal Comlan
36- Secrétaire National chargé de l'industrie et des PME : HOUANSODJI Kpèyéton
37- Secrétaire National chargé de la promotion de l'artisanat, de la culture et du tourisme : LEHA Arias Jude Sèna
38- Secrétaire National chargé des travaux publics et des transports : KOUKE Richard
39- Secrétaire National Adjoint chargé des travaux publics et des transports : GOMINA Roufaï.
Les opérateurs des pompes funèbres ont du souci à se faire dans le Couffo, du moins pour l'aspect publicitaire de leurs affaires. Par arrêté, le préfet Christophe Amégbédji, interdit l'exposition des cercueils, corbillards et maisons montuaires aux abords des voies sur toute l'étendue de sa circonscription administrative. Et pour se rendre compte de l'application effective des dispositions de l'arrêté, le préfet fait des visites inoppinées pour ramener à l'ordre les contrevenants résistants.
''Nous savons que nous allons mourir. Mais ce n'est pas une raison pour inviter la mort chez nous'', c'est ce qui a motivé la prise de l'arrêté interdisant les expositions des cercueils et autres aux abords des voies. Cette décision de l'autorité préfectorale est fortement louée par les populations du Couffo qui estiment que les cercueils ne sont pas des objets d'art ou d'ornement. Selon elles, quand les petits enfants voient ces cercueils exposés, ils sont effrayés et cela rappelle aux adultes constamment qu'ils doivent mourir. Et donc c'est une très bonne décision. Pour le préfet, les menuisiers doivent plus fabriquer des meubles pour inciter à la vie que de fabriquer et exposer les cercueils qui est une invite à la mort.
Lors de sa visite sur le terrain en compagnie du directeur départemental de la police républicaine, le préfet a contraint ceux qui résistent encore à enlever leurs expositions. Les responsables des pompes funèbres doivent alors chercher d'autres moyens pour faire la publicité de leurs affaires.
Cokou Romain COKOU
C'est l'Ecole Normale d'Instituteurs (ENI) d'Abomey, qui accueille la 3ème Session ordinaire du Conseil Sectoriel pour le Dialogue Social du Ministère des Enseignements Maternel et Primaire.
Du 13 au 15 décembre 2018, les acteurs vont se pencher sur certains problèmes qui minent le secteur.
Faire le point du premier trimestre de l'année scolaire en cours tout en cherchant les solutions aux problèmes pouvant entraver le secteur de l'éducation le reste de l'année. Les partenaires sociaux et les autorités ministérielles s'engagent à trouver une solution pour les divergences. Ladite session qui est la troisième de l'année, entend maintenir le dialogue avec les partenaires sociaux du sous-secteur des enseignements maternel et primaire. C'est l'occasion pour les différents conseillers de se prononcer sur plusieurs sujets qui minent l'école béninoise. Cette troisième session met l'accent sur l'interdiction des souscriptions dans les écoles maternelles et primaires publiques et le reversement des communautaires et éducateurs recensés en 2017. Les acteurs vont aborder la question de la régularisation de la situation administrative et financière et les examens professionnels des communautaires recrutés sur la base du baccalauréat. Ils vont aborder la situation de paiement des primes de rentrée aux communautaires, éducateurs et éducatrices dont les avances sur solde ont été suspendues. La finalisation du plan de formation du ministère, le recrutement d'enseignants en nombre suffisant dans les écoles maternelles et primaires publiques et la relecture du décret n°2015-373 du 24 juin 2015 portant régime juridique d'emploi des Agents Contractuels de l'Etat seront aussi étudiés au cours de ladite session.
Les participants vont aussi statuer sur l'organisation de la journée de réflexion sur l'emploi des comptables gestionnaires, la présentation du projet de budget du ministère exercice 2019 puis les inspections groupées du 1er trimestre de l'année scolaire 2018-2019.
Le Ministre Salimane Karimou, à l'ouverture des travaux de cette 3ème Session ordinaire du CSDS-MEMP, a d'abord remercié les partenaires sociaux et tous les acteurs du système éducatif au niveau du sous-secteur des enseignements maternel et primaire, qui ont œuvré pour une rentrée scolaire apaisée. Il entend tout mettre en œuvre pour que l'année scolaire soit apaisée. Il s'engage à ce que le temps scolaire ne soit écorché de rien afin de renforcer la qualité de l'enseignement.
G.A.
L'écosystème numérique au Bénin est de plus en plus dynamique à travers les startups qui ne cessent de révéler le génie béninois sur le plan international. Parmi ces startups, on note ‘'KEA Medicals ‘', de la Béninois, Dr Arielle Ahouansou. Ce jeune médecin a créé la « carte d'identité médicale universelle » pour assurer la traçabilité du circuit médical des patients. Sa startup fait partie des 11 nouvelles entreprises retenues en décembre 2018 par le Fonds d'innovation pour les accélérateurs d'écosystèmes de la GSMA (Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile).
Une prouesse qui ne fait que booster l'écosystème numérique béninois.
Les startups béninoises sont sources de développement de l'écosystème numérique viable et porteurs de croissance pour le pays.
Le gouvernement Talon y accorde un intérêt particulier. Aurélie A. Soule Zoumarou, ministre de l'économie numérique et de la communication s'investit dans la promotion des startups dans le but d'accroître l'économie numérique.
La ministre a mené au cours de cette année 2018, une série de rencontre avec quelques startups béninoises. L'objectif de sa tournée est de mieux connaître les solutions proposées par ces entreprises, leurs produits, services et également de s'imprégner de leurs réelles difficultés.
Arielle Ahouansou, jeune médecin de profession et fondatrice de la startup "Kea medicals" a fait preuve d'un talent extraordinaire en créant la « carte d'identité médicale universelle », une plateforme qui retrace tout le circuit sanitaire du patient pour assurer sa prise en charge en toute sécurité. Cette plateforme ‘'KEA Medicals'' est sélectionnée parmi les 11 nouvelles entreprises retenues en décembre 2018 par le Fonds d'innovation pour les accélérateurs d'écosystèmes de la GSMA, qui est une association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile.
Le fonds de la GSMA qui est très crédible en termes de sélection, alimente ces startups avec un financement sans équité, une assistance technique et la possibilité de s'associer avec des opérateurs mobiles sur leurs marchés pour aider à développer leurs produits et services dans des entreprises durables ayant un impact socio-économique positif.
C'est la première fois qu'une startup béninoise est sélectionnée pour un si grand fond de la GSMA.
Le ministère de l'économie numérique et de la communication fait donc une noble bataille en s'investissant dans la promotion des startups béninoises puisque ces dernières se dévoilent sur le plan international.
KEA Medicals, la plateforme qui révolutionne le système de santé en Afrique
Dirigée par Dr Arielle Vèna Ahouansou, ‘'KEA Medicals Pharmaceutics & Technologies'', est une plateforme de gestion de dossier médical électronique du patient par l'Identité Médicale Universelle (IMU). Disponible sur Internet et via son application, cette plateforme permet de centraliser les informations médicales d'un patient sur une base de données en ligne, accessible aux hôpitaux et aux médecins, où qu'ils soient.
Elle offre ainsi l'opportunité à l'utilisateur de créer un compte. Il répond à plusieurs questions concernant son groupe sanguin, ses antécédents médicaux, ses allergies, s'il est atteint d'une maladie et les personnes à contacter en cas d'urgence.
Selon, Arielle Ahouansou, c'est à partir de ces informations, qu'on lui attribue une identité médicale universelle sous la forme d'un QR, code imprimé sur un bracelet ou sur un patch à coller sur son Smartphone, qu'il peut emmener partout.
Pour accéder au dossier médical d'un patient pris en charge, les médecins auront juste à scanner le code.
Aussi, est-il possible de consulter un médecin à distance ou de prendre rendez-vous avec le praticien le plus proche de chez soi via la plateforme.
Le développement de l'écosystème numérique béninois est donc certain grâce au génie de ces jeunes citoyens qui proposent des solutions innovantes répondant aux besoins de la population.
Akpédjé AYOSSO
Le Président de la Cour Constitutionnelle, le Professeur Joseph DJOGBENOU a reçu en audience, le mercredi 12 décembre 2018, l'Ambassadeur de la République Bolivarienne de Vénézuela près le Bénin, Alejandro CORREA ORTEGA. Le diplomate est allé lui faire ses adieux après 4 ans 9 mois de mission.
A sa sortie d'audience, le diplomate vénézuélien a confié à la presse qu'il a fait avec le Professeur DJOGBENOU le point des relations bilatérales entre le Bénin et son pays, le Vénézuela. Il a également exprimé sa joie devant l'évolution des liens entre les deux pays, notamment dans le domaine de la culture, de l'économie touristique, de l'éducation, de la formation technique. L'Ambassadeur Alejandro CORREA ORTEGA a enfin informé le Président de la Cour Constitutionnelle de la tenue en Mars 2019 de la foire internationale de Vénézuéla.
Le Professeur Joseph DJOGBENOU s'est dit impressionné par le fort développement socio-économique du Vénézuéla ainsi que par les progrès importants réalisés dans le partenariat entre les deux pays. Il a félicité le diplomate Vénézuélien et a souhaité que son successeur puisse maintenir et dynamiser davantage les domaines de coopération bilatérale.
Dans la dynamique de mieux satisfaire sa clientèle, les responsables du réseau de téléphonie mobile MTN Bénin ont présenté, ce mercredi, les nouvelles offres en service depuis mardi. C'est en présence du Directeur général de MTN Bénin, Stephen BLEWETT, que le Responsable de la Régulation, Jean-Claude AKOGBETO, le Directeur Commercial, Riadh MEZI et le Directeur Technique Atul KATYAL ont tour à tour expliqué les multiples avantages qui s'offrent aux abonnés à travers les nouvelles offres proposées. Ils ont par la même occasion annoncé que MTN Bénin réserve d'importantes surprises à ses abonnés pour la fin de l'année et le début de l'année prochaine.
Avec la nouvelle réglementation du secteur des télécommunications, tous les opérateurs de ce secteur proposent de nouvelles offres tarifaires plus avantageuses aux consommateurs conformément aux nouvelles règles. Les offres que proposent MTN Bénin répondent à plusieurs exigences notamment la flexibilité dans les choix.
« (…) Par rapport à ses offres, nous avons de très bonnes nouvelles à partager avec vous en terme d'innovation pour l'année nouvelle qui va débuter en Janvier », a annoncé le Directeur général de MTN Bénin, Stephen BLEWETT.
Le Responsable de la Régulation, Jean-Claude AKOGBETO a signalé que le secteur des télécoms a été régulé, il est donc astreint à un certain nombre de règles. Et depuis quelques moment, le secteur a entamé un certain nombre de réformes parmi lesquelles une réforme de la tarification. « Aujourd'hui, tous les acteurs de ce secteur de la téléphonie mobile doivent respecter les nouvelles règles et qui font partie d'un ensemble qui vient modeler notre secteur pour qu'il soit au jour des innovations que l'on attend du secteur. Des investissements que l'on attend du secteur surtout des avantages que l'on estime apporter aux populations pour que tous les acteurs se retrouvent dans le nouveau modèle », a-t-il indiqué.
Les offres de MTN Bénin concernent principalement les trois forfaits connus de la plupart des clients du réseau.
, a expliqué le Directeur Commercial, Riadh MEZI.
Selon lui, la nouvelle validité des offres donne beaucoup plus de flexibilités et d'utilisation optimale. Il a évoqué en exemple les forfaits journaliers qui avaient une validité avec des limites horaires. Mais désormais, ces forfaits ont une validité de 24 heures. « (…) si vous activez le forfait à dix heures, vous pouvez en profiter jusqu'au lendemain à dix heures », a-t-il précisé.
Donc de façon générale, tous les forfaits de MTN Bénin ont connu une augmentation de volume auquelle s'ajoute une augmentation de la période de validité.
« L'autre grande nouveauté, c'est la tarification de l'option. L'option libre qui était à ‘'10 francs par Mo'' est aujourd'hui à ‘'3,1 francs par Mo'' », a-t-il souligné.
Tous les forfaits hebdomadaires et mensuels ont un volume supérieur aux anciens forfaits « A titre d'exemple, avec 25 000 francs pour 75 Giga, pour répondre à ceux qui veulent avoir une grande consommation. Aujourd'hui, l'avantage de la réduction de prix et l'augmentation de la validité est quelque chose de bénéfique qu'il faut vivre », a détaillé M. Riadh MEZI.
MTN Bénin fournit d'énormes efforts d'investissement pour doubler sa capacité
« Nous sommes en train de préparer un puissant réseau pour vous donner la meilleur qualité de service », a ajouté Atul KATYAL, Directeur Technique MTN Bénin.
Dès le 15 décembre prochain, un festival de musique est prévu sur la plage de Fidjrossè pour égayer les abonnés du plus grand réseau de téléphonie mobile au Bénin.
Par Marcel HOUETO
Les nouvelles offres de MTN Bénin
Social Watch Bénin a organisé le jeudi 13 décembre 2018 dans la salle de conférence de la Direction de la Programmation et de la Prospective du ministère de la santé, un atelier d'échange entre les coordonnateurs de Projet / Programme et les usagers des services de santé. La cérémonie d'ouverture de cet atelier a été présidée par le DPP, Athanase HOUNKANRIN et le secrétariat général adjoint du Conseil d'Administration de Social Watch Bénin, Franck SEDJRO.
L'objectif de cet atelier est à en croire le secrétaire général adjoint du Conseil d'administration de Social Watch Bénin, d'évaluer la mise en œuvre des projets ou Programmes, d'identifier les difficultés que les gens ont connu dans la mise en œuvre, de trouver des approches de solution à ses difficultés et de faire des recommandations pour que l'année prochaine, ces projets soient mieux exécutés. Il a aussi fait remarquer que cet atelier s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Redevabilité de Social Watch Bénin.
A l'ouverture des travaux de l'atelier, le directeur de la Programmation et de la Prospective du ministère de la santé a signalé que les décrets portant Attributions, Organisation et Fonctionnement des ministères ont fixé les principes de reddition des comptes et d'imputabilité, de gestion axée sur les résultats et de rupture avec l'impunité qui doivent être respectés pour la construction d'une administration publique moderne pour l'efficacité du développement. C'est pour répondre à cette obligation, que le Ministère de la Santé a trouvé opportun, cette initiative de Social Watch Bénin, et s'est engagé à accompagner, les séances d'échanges entre les coordonnateurs de projets/programmes et les usagers des services de santé.
Près d'une dizaine de projets était au cœur des échanges. IL s'agit entre autres : du Projet Santé Population de la grande Commune de Tchaourou ; du Programme d'Appui au secteur de la santé ; du Programme National de construction d'équipement et de fonctionnalité des Formations Sanitaires (PNCEFFS), du Programme National de Réhabilitation et de Construction des Centres Hospitaliers ; et bien d'autres.
Le résultat attendu de l'atelier est que les travaux débouchent sur l'élaboration d'un plan d'action pour le suivi des réformes et des recommandations pour la satisfaction de la population béninoise.
R.H
Les membres du gouvernement réunis en Conseil des ministres, ce mercredi 12 décembre 2018, ont décidé de la transmission à l'Assemblée nationale pour ratification, l'accord de crédit signé entre la République du Bénin et RABOBANK dans le cadre du financement partiel de la 2ème phase du projet de protection de la côte à l'Est de Cotonou.
Ce projet a pour objectif de contribuer à la protection de la côte à l'Est de la ville de Cotonou à travers la construction d'épis, le dragage et l'injection d'un volume de 1. 500. 000 m3 de sable.
Les travaux en cours dans ce cadre ont permis non seulement de sécuriser le cadre de vie des populations riveraines de la côte mais surtout de relever le potentiel touristique et balnéaire de certains points attractifs de la zone protégée qu'il convient d'aménager.
Les travaux additionnels à réaliser objet de l'accord de crédit, concernent notamment le déplacement des réseaux (électricité, téléphone, etc.), la construction d'autres ouvrages de protection en enrochement, la construction d'une digue immergée, la mise en dépôt de 500 000 m3 de sable pour renforcer la réserve sédentaire, et l'enfouissement des déchets de la zone libérée d'Akpakpa-Dodomè, sur la décharge de l'Ouémé.
De façon spécifique, les travaux annoncés visent à renforcer le système de protection en place entre Sèmè-Kpodji et Cotonou en vue du développement touristique de la zone regroupant les quartiers Akpakpa-Dodomè, Enagnon, Fifadji-houto, Donatin, Finagnon, Tokplégbé, Agblangandan, Pk 10 Marina, Sèyivè et Ekpè.
F. A. A.
Un Comité interministériel pour l'accompagnement et le financement de l'entreprenariat de croissance sera bientôt créé. C'est l'une des décisions prises en Conseil des ministres, ce mercredi 12 décembre 2018.
Selon le relevé du Conseil des ministres, l'entreprenariat de croissance à la différence de l'entreprise de subsistance, offre l'avantage de stimuler la productivité, de créer des emplois et d'apporter des solutions à des problèmes majeurs que ce soit dans les domaines de la santé, de l'éducation, de l'agriculture, de la finance, des technologies émergentes, de l'environnement ou encore de l'énergie.
Par cet outil, le gouvernement entend promouvoir le savoir, l'innovation et l'entreprenariat au service du développement durable et inclusif. Pour y parvenir, il a identifié trois axes stratégiques qui seront implémentés. Il s'agit : d'offrir des formations de qualité adaptées aux besoins du Bénin et de la sous-région, en vue de fournir une main d'œuvre qualifiée et caractérisée par un esprit d'entreprise ; de stimuler la recherche et l'innovation orientée vers les problématiques spécifiques du continent en créant un écosystème qui inclut le monde universitaire et le secteur privé et enfin, de soutenir et accélérer l'émergence de start-ups innovantes, futures locomotives pour la création d'emplois, de richesse et de croissance. D'où l'option du gouvernement de s'engager pour le développement de l'entreprise de croissance aux fins d'apporter une solution à la préoccupation que constitue l'emploi des jeunes. Ce qui justifie également la création de la Cité internationale de l'innovation et du savoir « Sèmè-City ».
Selon le Conseil des ministres, afin d'atteindre les objectifs qu'il s'est fixé, le gouvernement met en place un dispositif d'accompagnement et de financement de l'entreprenariat innovant à fort impact social. Ce dispositif prend en considération les autres initiatives déjà en cours pour la promotion de l'entreprenariat. Aussi, le Comité interministériel est-il créé et aura pour mission, de proposer et de superviser la mise en œuvre rapide et efficace de la stratégie du gouvernement pour l'accompagnement et le financement de l'entreprenariat de croissance.
F. A. A.
La salle de délibération de la mairie de Sèmè-Podji, a abrité, ce mercredi 12 décembre 2018, la cérémonie de signature de l'accord de mise en œuvre des activités entre le Millénium Challenge Account Bénin II et la commune de Sèmè-Podji. Cette séance qui a connu la présence du conseil communal vient en prélude donner le top du démarrage des projets du partenariat MCA II pour la densification du réseau électrique dans la commune.
Les différents projets du partenariat MCA II concernent entre autres le renforcement et la densification des lignes traversant la commune de Sèmè-Podji, l'installation d'une ligne souterraine de 63KV, la production de l'électricité, la distribution de l'électricité et l'accès à l'énergie hors réseau.
Christopher Broughton, président résident de MCC, a salué la mobilisation de tout le conseil communal, le dynamisme et l'engagement du maire Charlemagne Honfo.
Le coordonnateur de MCA-Bénin II, Gabriel Dégbègni a relevé les spécificités techniques du projet. « Ce projet dans sa mise en œuvre permettra la réalisation de beaucoup d'infrastructures sociocommunautaires et va prioriser la main d'œuvre locale pour juguler le volet social », a-t-il expliqué.
Quant au maire de Sèmè-Podji, il a présenté les énormes potentialités de sa commune. Charlemagne Honfo a exhorté ses partenaires à une bonne collaboration pour le bon déroulement des travaux.
La mise en œuvre de ces projets permettra également l'augmentation du temps de fonctionnement des entreprises des services publics et sociaux, la réduction de la dépendance des sources onéreuses d'énergie, les pertes de produits et biens périssables et l'amélioration des utilisateurs d'énergie.
Aussi, favorisera-t-elle, un environnement de l'activité électrique hors réseau et une augmentation de l'accès à l'électricité pour la majorité de la population.
Ledit programme est établi sur 5 ans et prendra fin le 22 juin 2022.
Akpédjé AYOSSO
Les militantes et militants du Parti du renouveau démocratique (PRD) ont tenu, mercredi dernier, une importante rencontre à Tanmè, dans la commune d'Adjarra. L'objectif de cette rencontre est d'informer les populations à la base et les membres des sous-sections des nouvelles dispositions prises par le parti face à intoxications dont il est victime depuis un certain temps.
A cette occasion, le vice-président Moukaïla Amoussa, a rappelé que conformément aux dispositions des articles 85 et 86 des statuts du parti, les négociations n'ayant pas abouti, le PRD a décidé de suspendre sa participation aux exigences pour des raisons connues de tout le monde. Mais depuis ce temps et vu la légitime décision du parti de refuser de mourir par euthanasie, souligne le vice-président, il est devenu la cible de toutes les attaques possibles en politique.
Face à l'imposture des détracteurs et profiteurs du parti, poursuit Moukaïla Amoussa, les militantes et militants, élus communaux membres de la session communale et des sous-sections PRD d'Adjarra ont réitéré leur soutien indéfectible au président Adrien Houngbédji.
Pour le vice-président, contrairement à ce qui est distillé partout sur les réseaux sociaux et dans certains médias, le développement de la commune d'Adjarra a toujours préoccupé le président Adrien Houngbédji. La preuve selon lui, est que, en septembre 2018, c'est le président Houngbédji qui a introduit le conseil communal d'Adjarra et le député Edmond Zinsou au cabinet du chef de l'Etat Patrice Talon pour parler du développement de cette commune bien que cela soit déjà inscrit dans le Pag.
Selon Tiamiyou Lagnika, membre du bureau PRD, dans le cadre de cette rencontre, toutes les sections de la commune d'Adjarra, toutes les sous-sections et tous les présidents de cellules ont été rassemblées à l'effet de leur expliquer et de les informer des nouvelles dispositions prises au niveau du parti.
Le Parti du renouveau démocratique rassure-t-il reste et demeure membre de la mouvance présidentielle.
« Nous sommes venus porter le soutien franc et indéfectible du président Adrien Houngbédji à tous les responsables de section à divers niveaux du PRD », a précisé Parfait Ahoyo, membre de la direction exécutive PRD Ouémé.
Les populations dans les échanges ont réaffirmé leur attachement aux idéaux du PRD ainsi que leur soutien au Programme d'actions du gouvernement. Ce soutien, rassurent les militantes et militants, sera très manifeste lors des prochaines échéances électorales.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Le député Dakpè Sossou a organisé au cours de la semaine une séance d'échanges avec les chefs des religions endogènes de la commune de Lokossa. L'objectif est de faire connaître aux têtes couronnées et dignitaires du culte vodoun, les statuts et règlements intérieurs de l'Union Progressiste, née suite au congrès constitutif tenu, le samedi 1erdécembre 2018, à Cotonou. Au cours de la séance, le député Dakpè Sossou a également présenté le logo dudit parti.
Selon l'honorable Dakpè Sossou, le baobab qui fait partie du logo de l'Union Progressiste est l'un des grands arbres de Lokossa. En dehors de l'iroko qui symbolise la ville, il a expliqué également aux têtes couronnées et adeptes du culte vodoun comment adhérer au parti. Il n'a pas manqué de leur faire part des avantages qu'ils tireront de leur adhésion à l'union Progressiste. « (...) j'ai voulu commencer par les miens d'abord avant d'élargir ça à tout le monde », a-t-il confié.
Dans le rang des dignitaires, cette initiative du 2ème secrétaire parlementaire à l'Assemblée nationale a été fortement appréciée. « Nous sommes sincèrement du même avis que lui surtout le logo qui nous a beaucoup motivé en ce qui concerne le signe de notre localité le baobab. Un signe très glorifié, très qualifié », s'est réjoui Clément Kpodéhou Anagonou, adepte du culte vodoun. Ce dernier souhaite que tout le monde s'unisse pour accompagner le député Dakpè Sossou dans toutes ses actions.
« L'Union Progressiste, c'est le tout premier parti, le plus grand du Bénin issu des réformes engagées par le chef de l'Etat et le peuple béninois », a-t-il souligné.
La séance a aussi permis d'échanger sur ce qu'est le vodoun. Le leader politique de la 18ème circonscription électorale a profité de cette occasion pour réaffirmer son soutien aux dignitaires dans le cadre de la prochaine fête du 10 janvier.
Akpédjé AYOSSO
Plus d'une vingtaine de professionnels des médias ont participé, ce mercredi 12 décembre 2018, à un atelier de formation sur la finance digitale et l'inclusion financière. Inscrit dans la mise en œuvre du programme Mobile money for the poor (MM4P) de l'Agence d'investissement des Nations Unies (Uncdf), cet atelier a permis aux professionnels des médias de s'enquérir des notions relatives à la finance digitale et ses atouts pour le développement.
Lancé en 2015 en Afrique de l'Ouest, le programme MM4P mis en œuvre au Sénégal et au Bénin, en partenariat avec la Fondation MasterCard vise à favoriser l'accès et l'utilisation des services financiers digitaux variés à des coûts raisonnables, pour toutes les catégories sociales particulièrement les femmes et les jeunes.
Le programme Mobile money for the poor a développé une approche stratégique qui met l'accent sur l'environnement réglementaire, l'accès permanent des acteurs du marché à des experts techniques en services financiers digitaux, l'augmentation du niveau des connaissances dans l'industrie, la création de cadres de discussions et de partenariats entre les parties prenantes.
Ce programme a pu bâtir un écosystème favorable à l'expansion des services financiers numériques.
Afin de rendre plus visible l'accessibilité aux divers services de la finance digitale, plus d'une vingtaine de professionnels des médias ont été outillés sur les avantages de ce nouveau système de monnaie électronique. Il a été question pour les journalistes d'être initiés sur les fondamentaux de la finance digitale. L'implication des médias dans la sensibilisation et la diffusion des vraies informations a été sollicitée.
Les notions propre à la finance digitale, les concepts clés (banque à distance, mobile banking, mobile money, porte-monnaie électronique, agencybanking, l'écosystème mobile money), les composantes du programme MM4P, les services financiers sont les différentes thématiques abordés avec les journalistes.
Pour Bery Kandji, le MM4P entend contribuer à rendre les économies digitales plus inclusives et permettre à chaque personne d'améliorer son bien-être et de prospérer. Il vise à accélérer le développement de services digitaux innovants qui permettent aux populations vulnérables d'être plus productives et d'améliorer leur bien-être.
Jamelino Akogbéto souligne que la finance digitale présente suffisamment d'avantages pour toutes les parties prenantes dont les populations vulnérables.
La finance digitale a connu un réel essor au Bénin en quelques années. Plus de 78% des Béninois utilisent aujourd'hui le portable pour les transactions financières.
Sur le territoire national, les chiffres de 2017 révèlent 28 135 agents actifs de transaction et environ 399 agents desservent 100 000 personnes.
Le nombre de transaction journalière au Bénin est évalué à 8,8 milliards et 156,5 milliards par mois via la monnaie électronique. Malheureusement, le Bénin est le seul pays dans l'espace Uemoa à ne pas adopter le paiement des factures d'électricité et d'eau par mobile money.
Cet atelier qui a réuni les journalistes de différents organes entend associer ceux-ci pour la sensibilisation des populations vulnérables à accéder aux finances digitales. Aussi, entend-il aider les populations à bénéficier de tous les avantages y afférents notamment en matière de santé, d'éducation, d'accès à l'énergie et autres.
Giscard AMOUSSOU
Le gouvernement au cours de son conseil hebdomadaire de ce mercredi 12 décembre, a pris deux décrets portant respectivement sur les critères d'agrément des laboratoires de contrôle de la qualité des sachets en plastique biodégradables et les conditions d'octroi de l'autorisation spéciale relative aux sachets en plastique non biodégradables en République du Bénin.
Le gouvernement conscient de la situation relative à l'utilisation des sachets plastiques au Bénin a décidé d'adopter le décret portant critères d'agrément des laboratoires pour le contrôle de la qualité des sachets en plastique biodégradables d'une part et celui relatif aux conditions d'octroi de l'autorisation spéciale relative aux sachets en plastique non biodégradables en République du Bénin d'autres part. Cette décision dérive du fait que la loi N°2017-39 du 26 décembre 2017 portant interdiction de la production, de l'importation, de l'exportation, de la commercialisation, de la détention, de la distribution et de l'utilisation de sachets en plastique non biodégradables en République du Bénin, stipule en son article 11 que : « les sachets en plastique biodégradables fabriqués ou importés en République du Bénin sont soumis au contrôle de la direction générale en charge de l'environnement avant leur utilisation ou mise en commercialisation››, Ce qui a permis au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour son application. Aussi, souligne le conseil des ministre que « l'article 9 de la même loi prescrit une autorisation spéciale avant toute mise sur le marché national ou toute exportation à partir de notre pays, de sachets non biodégradables, quel que soit l'usage auquel ils sont destinés ». C'est dans ce sens que le gouvernement, dans l'optique de faire appliquer la loi, a décidé de la prise des décrets y afférentes. Ainsi, les critères d'agrément des laboratoires de contrôle de la qualité des sachets en plastique biodégradables et conditions d'octroi de l'autorisation spéciale relative aux sachets en plastique non biodégradables en République du Bénin sont désormais claires pour les entreprises opérants dans le domaine.
Giscard A.
Le conseil des ministres de ce mercredi 12 décembre 2018, a décidé du recensement des artisans. Ce recensement vise spécialement les élections consulaires de la chambre des métiers de l'artisanat du Bénin et de l'élaboration d'un registre biométrique des métiers.
« Recensement des artisans dans le cadre des élections consulaires de la chambre des métiers de l'artisanat du Bénin et de l'élaboration d'un registre biométrique des métiers ». Tel est la décision prise au cours du conseil hebdomadaire des ministres, suite à la communication du ministre en charge des petites et moyennes entreprises. « Dans le but de favoriser le plein épanouissement des artisans à travers la valorisation de leurs métiers, le gouvernement a décidé de mettre en place la chambre des Métiers de l'Artisanat » indique le relevé du conseil des ministres.
« Dans cette perspective, l'organisation du recensement des acteurs du secteur est indispensable pour disposer d'un registre des métiers d'où sera extraite une base de données pour la délivrance des cartes professionnelles d'artisan, et pour servir de liste électorale », précise la décision. Selon le relevé du conseil des ministres, « Ce recensement permettra de prendre en compte des données liées au statut, à la profession et aux activités, conformément à la nomenclature des métiers artisanaux au Bénin ».
Ledit recensement « qui se déroulera sur une période d'un mois, sera suivi du traitement des données et de l'édition de la liste électorale avant la fin du mois de mars 2019. Dès lors, les élections consulaires pourront se tenir courant le mois de juin 2019 ».
Lesdites opérations seront exécutées par un comité technique en relation avec l'Agence nationale de Traitement, sous la supervision d'un comité national de suivi où siègent notamment des représentants des artisans.
« En approuvant cette communication du ministre des petites et moyennes entreprises, et de la promotion de l'emploi, le conseil l'a instruit, ainsi que tous les ministres concernés, d'œuvrer à la réussite dudit recensement ».
G.A.
La première session criminelle de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET) au titre de l'année 2018, s'ouvrira le 17 décembre 2018, au siège de la juridiction, à Porto-novo. L'affaire ICC SERVICES étant inscrite au rôle de cette session, le procureur spécial de la CRIET, dans un communiqué en date du jeudi 13 décembre 2018, a ordonné la retransmission en direct par radiodiffusion des débats.
« En raison de la nature de l'affaire et de l'importance numérique des victimes, dont certaines n'ont pu être atteintes par les convocations, le Président de la CRIET a ordonné, en se conformant à la législation en vigueur, la retransmission en direct par radiodiffusion en vue d'assurer une meilleure publicité des débats », renseigne le communiqué.
Par conséquent Gilbert Ulrich Togbonon appelle « au civisme et à la discipline de tous afin de permettre la conduite desdits débats dans le calme et la sérénité que requièrent les circonstances ».
Akpédjé AYOSSO
Réuni ce mercredi 12 décembre 2018, en Conseil des ministres, le gouvernement béninois a interdit l'abattage sans autorisation des cocotiers sur toute l'étendue du territoire national.
Selon le Conseil des ministres « force est de constater que depuis quelque temps, l'on assiste à des abattages anarchiques de cocotiers pour utiliser le tronc d'arbre dans la confection de charpentes de maisons d'habitation ».
Une pratique qui ne favorise que la destruction de la biodiversité et la disparition de la flore « tel que le phénomène s'est observé sur la Route des Pêches ».
Dans l'optique de régénérer le couvert végétal, le gouvernement interdit formellement l'abattage du cocotier, hormis les cas de nécessité absolue, soumis à l'autorisation préalable des services des Eaux, Forêts et Chasse, dans les communes.
Ladite mesure est valable pour toutes les espèces de flore, surtout en milieux urbains.
Toute personne qui contrevient à cette interdiction, sera punie par la loi.
Akpédjé AYOSSO
Le siège national du Parti du renouveau démocratique (PRD), sis au quartier Iré Akari à Porto-Novo, a servi de cadre, le mercredi 12 décembre 2018, à la cérémonie de lancement du concours inter établissements dénommé FASS-Talents SHOW 2018-2019.
Il s'agit d'une compétition inscrite dans les activités prévues par le Festival international de Porto-Novo (FIP). L'édition 2018 de ce festival a connu une touche particulière du parti des ‘‘Tchoco-tchoco'' qui, depuis quelques temps, a décidé, au delà des activités politiques, d'accompagner toutes les initiatives culturelles, surtout celles qui portent la jeunesse au premier rang. Ce qui explique la forte mobilisation de jeunes pour l'acte 1 de FASS-Talents SHOW/ FIP, qui est un véritable creuset d'éclosion pour les jeunes talents des lycées et collèges de l'Ouémé.
Sous la direction du vice-président délégué à la Direction exécutive nationale (Den) de la jeunesse PRD, Alfred Belmus Djidossi, cette jeunesse pourra égayer et promouvoir les talents des élèves des lycées et collèges de l'Ouémé à travers des interprétations, chorégraphies, théâtres et déclamations poétiques.
Une manière d'accompagner le FIP 2019 à travers le FASS-Talents SHOW 2018-2019.
Trente collèges et lycées du département de l'Ouémé vont croiser leurs talents jusqu'au 29 décembre 2018. Il s'agit entre autres, du CEG Agbokou, du CS Jeunesse Ambition, du CS Protestant, du CEG Anavié, du CEG 1 Avrankou, du CEG ‘'Les Cocotiers'', du CEG Djassin, du CS Mandela, du CEG Davie, du CEG de L'Unité, du CEG 1 d'Akpro-Missérété, du CEG 1 Adjarra, du Lycée Behanzin, du CS ‘'Les Jambettes'', du CS St Joseph, du Lycée Technique Industrielle, du CS ‘'Les Palmiers'', du Collège Notre Dame, du CEG Akpassa, du Lycée Technique, du CEG Bio Guera, du CEG Dowa, du CS La Pertinence, du CS La Gastronomie, du CEG Malanhoui, du CEG Koutongbe, du CS La Rosette, du CEG Djègan-Kpèvi, du CS La Cité, du CEG Danto et autres.
F. Aubin AHEHEHINNOU