Le Bénin, à l'instar de certains pays, dispose, depuis ce jeudi 6 décembre 2018, d'une chaîne de télévision sur internet dédiée uniquement aux questions ayant trait au domaine de l'Environnement. « Planète Terre à Terre Tv » a été officiellement lancée en marge des travaux de la 24ème Conférence des Nations Unies sur le Climat (COP24) à Katowice (Pologne).
Ce premier Web télévision dans l'univers médiatique béninois fait de son cheval de bataille, le développement à la base. Aussi, Inès KUASSI, la Directrice a-t-elle choisi de se pencher sur la problématique de l'eau potable dans une commune du Bénin dans un film qu'elle a réalisé pour le lancement de son organe de presse.
Ce documentaire de sept minutes intitulé « Péhunco : les temps changent et l'eau ne coule plus », retrace les difficultés des populations de cette commune du Nord-Bénin à s'approvisionner en eau potable malgré les vingt-quatre puits à motricité humaine dont la commune dispose.
Lors du lancement, « Péhunco : les temps changent et l'eau ne coule plus » a fait l'objet d'un panel. Au nombre des panélistes figurent : Luc Sètondji ATROKPO, président de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) et maire de la ville de Bohicon (Sud-Bénin) ; Charlemagne HONFO, secrétaire général de l'ANCB maire de Sèmè-Kpodji (Sud-Bénin) ; Georges BADA maire de la commune d'Abomey-Calavi (Sud-Bénin), membre du bureau national de l'ANCB ; Isidore Gnonlonfoun, Maire de la Commune de Cotonou (capitale économique du Bénin) ; Mohamed Sefiani, Maire de Chefchaouen, Commune du Nord-Ouest Maroc ; Juliette Mékone Salé, Représentante CGLUA et Stéphane Pouffary, Directeur Général de Energies 2050.
Ces différents intervenants qui sont pour la plupart des responsables de collectivités locales ont partagé avec les délégués de la 24ème Conférence des Nations Unies sur le Climat (COP24) leurs expériences dans le domaine de l'eau dans leur commune respective.
Pour Georges BADA, le maire de la commune d'Abomey-Calavi, la commune de Péhunco n'est pas la seule au Bénin qui a des problèmes d'eau potable. « La Commune d'Abomey-Calavi où est puisée l'eau par la Société Nationale des Eaux du Bénin (SONEB) pour desservir les autres villes du Bénin n'est pas épargnée », indique-t-il.
Déjà, « Planète Terre à Terre Tv » a reçu le soutien des Cités et Gouvernements Locaux Unis d'Afrique (CGLU Afrique) ; de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) et du Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable du Bénin.
La chaîne peut-être suivie sur www.planeteterreaterre.tv
La Coordination nationale du secteur de la santé (Cnss) a marqué son adhésion au Bloc Républicain, ce jeudi 06 décembre 2018 à Cotonou.
Une adhésion qui fait suite, selon Parfait Adjakidjè, coordonnateur national de la Cnss, à la consultation des différentes coordinations départementales.
Qu'un corps de profession adhère à une formation politique peut susciter des interrogations.
« Nous avons le devoir de reconnaissance et le devoir de garder espoir que ce qui se fait se fait dans notre intérêt, dans l'intérêt de nos populations », a déclaré Parfait Adjakidjè avec assurance.
Pour lui, mieux les populations se portent, mieux les agents de santé seront appréciés demain. Selon lui, beaucoup d'actions ont été engagées. Au nombre de celles-ci, il y a l'équipement des hôpitaux, la prise de décision allant dans le sens des soins appropriés aux populations, a énuméré le coordonnateur national. Convaincu de la méthode avec laquelle les choses se font, Parfait Adjakidjè et ses collègues se disent certains et rassurés que leurs intérêts seront très prochainement réglés par le chef de l'Etat.
La cérémonie d'adhésion s'est déroulée en présence du secrétaire général de la Coalition pour un Bénin révélé, Paul Hèdokingbé. Au nom de Adidjatou Mathys, ministre du travail et de la fonction publique, il a apporté son soutien aux agents de santé.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Une forte délégation composée de Samou Adambi, ministre par intérim des infrastructures et des transports, du préfet du Borgou, Djibril Mama Cissé, du maire de la ville de Parakou, Charles Toko et de Michael Thorsen Niels, un partenaire danois a effectué dans la matinée de ce vendredi 07 décembre 2018, une visite sur le site de l'aéroport de Tourou. L'objectif de cette mission est de constater l'évolution des travaux au niveau de cet aéroport dont la mise en service préoccupe le gouvernement du Nouveau Départ et son chef Patrice Talon.
Après avoir pris connaissance des travaux effectués et ceux en cours de réalisation, Michael Thorsen Niels a souligné que l'infrastructure présente des atouts qui lui permettent d'y investir. Selon l'investisseur danois, les aéronefs sont déjà disponibles et d'ici quelques mois, les premiers vols pourront s'effectuer.
Dans le cadre des travaux de construction de l'aéroport de Tourou, il est prévu la création d'une académie pour la formation des pilotes, l'organisation de petits vols à l'intérieur du pays et plusieurs autres services.
F. Aubin AHEHEHINNOU
« Travailler ensemble pour qu'aucun pays ne soit à la traîne ». C'est le thème retenu pour la célébration cette année de la 74eme édition de la Journée internationale de l'aviation civile. Comme une tradition, le ministre des Infrastructures et des Transports, Alassane Séidou, a rendu public un message, le jeudi 6 décembre à Cotonou.
Tout en rappelant que ce vendredi marque la commémoration de la Journée de l'aviation civile internationale, Alassane Séidou souligne que cette célébration marque la date de signature de la Convention relative à l'aviation civile internationale le 07 décembre 1944 à Chicago. Pour lui, " La Convention de Chicago est le résultat des consultations entre les Etats dont l'unique volonté est de faire de l'aviation civile un moyen sûr de rapprochement des peuples et de coopération entre les Etats et un outil fiable de développement socio-économique". Ce qui dira-t-il, "a donné naissance à l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale (OACI), institution spécialisée des Nations-Unies en charge de la règlementation dans les domaines du transport aérien, de la sécurité et de la sûreté de l'aviation ainsi que de l'environnement". Ainsi, proclamée pour la première fois en 1994, date du cinquantième anniversaire de signature de ladite Convention, " cette journée est célébrée chaque année à travers un thème indiqué tous les cinq (05) ans par le Conseil de l'OACI pour la période intermédiaire de quatre (04) ans". Le thème retenu couvre la période 2015 à 2018
" Ce thème cadre avec la nouvelle initiative lancée par l'OACI dénommée « Aucun pays laissé de côté ››. Elle vise à mettre en exergue les actions mises en œuvre par l'Organisation pour aider les Etats à se conformer aux exigences internationales en matière d'aviation civile", a expliqué le ministre des transports.
Selon lui, "les disparités entre les Etats s'étant avérées notables, il importe, dans un souci d'atteinte des Objectifs de Développement Durable, d'aider les Etats qui connaissent des insuffisances en matière de sécurité et de sûreté de l'aviation à atteindre un plus haut degré de conformité de leurs systèmes".
Les défis futurs
"Selon des statistiques de trafic établies par l'OACI, le nombre total de passagers transportés en 2016 en services réguliers est passé à 3,8 milliards, ce qui représente une augmentation de 6,8 % par rapport à 2015. En 2017, le trafic international régulier a franchi le cap record de 4,1 milliards de passagers.
En termes de retombées économiques, l'aviation commerciale soutient plus de 63 millions d'emplois et représente une contribution de plus de 2700 milliards de US dollars au PIB mondial", rappelle Alassane Séidou. Le ministre précise que le thème retenu rappelle la nécessité pour les Etats dont le nôtre de relever les nouveaux défis du secteur aérien pour garantir la sécurité, la régularité et l'efficacité de la navigation aérienne et de contribuer à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD).
" Pour permettre aux Etats d'atteindre un haut niveau de sécurité et de sûreté de l'aviation, l'OACI a adopté des Plans mondiaux et régionaux de sécurité, de navigation aérienne et de sûreté et de facilitation du transport aérien qui définissent des cibles aux Etats et aux régions du monde visant à prévoir et gérer efficacement la croissance du trafic aérien", a-t-il indiqué.
Et le Bénin, ne peut rester en marge de cet engagement à l'instar des 192 Etats que compte l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale.
Le ministre Alassane Séidou conclu qu'il faut ''poursuivre les efforts fournis par le Gouvernement béninois, en particulier l'Agence Nationale de l'Aviation en charge de la mise en œuvre de la politique de l'Etat en matière d'aviation civile".
Giscard A.
Une camionnette remplie de l'essence de contrebande communément appelé ‘'Kpayo'' a fait un accident ce vendredi 07 décembre 2018 à Iita carrefour dans la commune d'Abomey-Calavi. Aucun dégât matériel, ni de perte en vie humaine n'est enregistré.
Les sapeurs-pompiers se sont dépêchés sur les lieux pour éviter le pire aux populations.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Un groupe de travail sur le financement du numérique au profit des Objectifs de développement durable (ODD) a été lancé, le jeudi 29 novembre 2018, par le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres. Parmi les 6 personnalités africaines nommées dans l'équipe spéciale de l'ONU, figure la ministre de l'économie numérique et de la communication, Aurélie Adam Soulé Zoumarou.
La Ministre de l'économie numérique et de la communication, Aurélie A. Soulé Zoumarou a été nommée au nombre des 6 personnalités africaines qui composent l'équipe spéciale de l'ONU.
Le groupe de travail est chargé de proposer des stratégies visant à tirer profit du potentiel de la technologie financière pour l'évolution des objectifs de développement durable (ODD). L'équipe aura entre autres à organiser une série de consultations publiques et privées.
Ces dernières lui permettront de réunir des personnes et des institutions du monde entier et de recommander une série de projets de recherche.
Le financement numérique recèle un immense potentiel pouvant permettre la mise en œuvre des ODD. Il s'agit par exemple de l'amélioration de la mobilisation de l'épargne intérieure en vue d'un investissement durable.
La finance numérique peut favoriser considérablement l'accès aux services dans les secteurs comme : agriculture, transport, eau, santé, éducation et énergies propres.
C'est également un outil qui peut faciliter la création d'emplois dans les pays en développement. Tous ces avantages de la finance numérique feront progresser les ODD.
Aurélie A. Soulé Zoumarou, une professionnelle des télécoms
Cette nomination du ministre de l'économie numérique et de la communication, Aurélie A. Soulé Zoumarou au sein de cette équipe, témoigne de ses compétences avérées dans le secteur des télécommunications.
Etant la plus jeune ministre nommée par le président Patrice Talon depuis son entrée en fonction, le 06 avril 2016, a su faire preuve de son professionnalisme dans son domaine.
Avec plus d'une dizaine d'années d'expérience dans le secteur et ses qualités de leadership, la ministre porte haut le drapeau du pays.
Diplômée de Télécom Sud Paris, c'est une ‘' tête bien faite'', que le Chef de l'Etat a déniché pour son gouvernement. Ce dernier n'a donc pas à regretter la confiance placée en elle pour l'avoir placée à ce poste ministériel.
Un honneur pour le Bénin
La compétence avérée de Aurélie A. Soulé Zoumarou a permis de booster le secteur de l'économie numérique au Bénin. Ce qui fait non seulement son honneur mais aussi celui du pays.
A l'occasion du XVIIème sommet de la Francophonie 2018, en Arménie, elle a été désignée à la tête du Réseau des Ministres en Charge de l'Economie Numérique dans l'espace Francophone. Un réseau dont l'objectif est de promouvoir les échanges, de partager des expériences et des connaissances pour le développement numérique des différentes nations de l'espace Francophone.
La lauréate du Mandela washington Youth Fellowship (YALI) en 2015, a une forte ambition de développement pour le Bénin. Cela se traduit par ses nombreux sacrifices consentis dans le domaine des TIC.
Les prouesses diplomatiques réalisées grâce à Aurélie A. Soulé Zoumarou propulsent le Bénin à la première place mais surtout témoignent de ses connaissances dans le secteur. Sa nomination parmi les 06 personnalités africaines de l'équipe spéciale de l'ONU n'est donc pas un hasard mais un mérite. Elle apportera sans doute son savoir et son expertise aux côtés de ses pairs pour la réalisation des missions assignées au groupe.
Face à ses succès, la ministre mérite d'être encouragée dans sa noble mission.
Aurélie A. Soulé Zoumarou qui fait déjà parler d'elle en honorant son pays, laissera sans doute à travers ses compétences et son leadership, sa marque dans le développement du secteur.
Akpédjé AYOSSO
C'est difficile de croire, mais c'est plus qu'une réalité. Le constat est là. Cette situation traduit simplement comment se forment les regroupements politiques au Bénin. Alors que l'espoir renaissait dans le rang des marginalisés quant à la volonté des partis de l'opposition à s'unir en un bloc, l'effet de boomerang n'a pas tardé. Ils se sont alors retournés contre eux-mêmes en mettant en lambeaux cette cohésion annoncée. Aujourd'hui tout se dessine pour montrer que l'opposition n'a plus d'existence. Les seules opposants qui tiennent encore sont sur les réseaux sociaux. Pour le moment, trois à cinq partis se dessinent pour les prochaines élections dans le rang de l'opposition. Chacun s'engageant à former un nouveau bloc pour les prochaines élections législatives de 2019.
Alors que l'objectif du système partisan voulu par l'opposition comme la mouvance étant de fédérer les forces, les faits montrent que seul l'intérêt reste au cœur des regroupements politiques. L'opposition au régime du Nouveau départ n'a plus sa raison d'être si les partis ne peuvent plus parler d'une seule voix.
Ce qui se passe actuellement montre combien l'argent divise les intérêts.
Le pouvoir devient la quête autour de laquelle rode chaque camp politique.
Le virus de la division a gagné les Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE), l'Union Sociale Libérale (USL) et Restaurer l'Espoir (RE).
Sans oublier un autre potentiel opposant, la Dynamique unitaire pour le Développement (DUD) qui s'annonce dans la barque électorale de 2019.
L'opposition est minée par une guerre de leadership, qui anéantit considérablement l'espoir porté en elle par le peuple. Les partis de l'opposition au Bénin sont cisaillés, déchiquetés, hachés.
Mais pour le moment, il faut éviter d'être septique puisque chacun d'eux ayant mesuré ce qui l'attend au regard non seulement de la nouvelle charte des partis mais aussi du nouveau code électoral.
Et comme le dit un proverbe ivoirien, " si tu vois un serpent sur une bicyclette, c'est qu'il a trouvé un moyen de pédaler sans les pieds".
Giscard AMOUSSOU
Le bureau exécutif national du parti « Restaurer l'espoir » s'est réuni en séances élargies aux responsables nationaux, départementaux et aux responsables de la coordination du Littoral, les 21 septembre, 16 octobre et 23 novembre 2018. Selon le communiqué en date du 23 novembre 2018, signé du secrétaire général du parti, honorable Guy Dossou Mitokpè, l'objectif était « d'examiner la situation politique nationale par rapport aux implications de la nouvelle loi portant charte des partis politiques en République du Bénin ».
Aux termes des différentes séances tenues, le parti ‘'Restaurer l'espoir'' (RE) a déclaré que « la situation politique actuelle est caractérisée par une mise à l'envers de l'Etat de droit et de la Démocratie ».
Selon les responsables du parti, la loi nº 2018-23 du 17 septembre 2018 portant Charte des partis politiques en République du Bénin est « une loi abjecte qui porte atteinte aux fondements du Renouveau Démocratique que sont le multipartisme intégral et le pluralisme politique ».
Le communiqué indique que « Le Parti a donc décidé de se conformer aux dispositions des articles 16 ; 17 ; 18 et 56 de la loi sus-évoquée en attendant que nos luttes n'aboutissent à son abrogation et ainsi que de celle de toutes les lois et dispositions despotiques de même acabit ».
Ainsi, les structures des coordinations départementales ont été instruites à l'effet de l'élargissement du collège des membres fondateurs.
Lors de la séance d'évaluation tenue le 23 novembre 2018, informe le communiqué, le bureau exécutif national a procédé à l'examen des candidatures à la qualité de membres fondateurs.
Le collège des membres fondateurs a été retenu pour le compte de chacune des 77 communes du Bénin.
Le bureau exécutif national a félicité tous les responsables qui ont œuvré pour la mise en conformité du parti, et les nouveaux membres fondateurs de RE.
Par ailleurs, le parti annonce « qu'il est prêt pour le dépôt du dossier de déclaration administrative de mise en conformité au ministère de l'intérieur.
Le parti a exhorté les militants à la mobilisation générale afin que les valeurs de RE triomphent.
Akpédjé AYOSSO
Dans un avis signé du maire de la ville de Porto-Novo, personne responsable des marchés publics, il est indiqué le report de la date de dépôt des candidatures au poste de chef cellule de contrôle des marchés publics. "Dans le cadre de la mise en place de la cellule de contrôle des marchés publics de la mairie de Porto-Novo pour laquelle un avis d'appel à candidature pour le poste de chef cellule a été lancé et la date de dépôt des candidatures était fixée au 30 novembre 2018, à 10h, j'ai l'honneur de vous informer que cette date de dépôt des candidatures est reportée au vendredi 7 décembre 2018 à 10h", indique-t-il. Les candidats sont donc invités à déposer leur dossier jusqu'à la nouvelle date qui est ce vendredi à 10h.
G.A.
La 1ère édition du Sommet International pour le Développement de l'Electricité en Afrique (SIDE-AFRICA) a démarré ce jeudi 6 novembre 2018, à Bénin Marina hôtel à Cotonou. Plus de deux cent acteurs et partenaires du secteur énergétique réfléchiront pendant trois jours sur les nombreux problèmes auxquels le secteur électrique africain est confronté. Les ministres de l'énergie du Bénin, Jean-Claude Houssou, du Niger Amina Moumouni et de la Côte d'Ivoire Thierry Tanoh ont pris part à la cérémonie d'ouverture.
SIDE-AFRICA vise à réunir dans un même creuset, les principaux acteurs et partenaire du secteur Electrique, afin de débattre de la situation actuelle du secteur électrique en Afrique et évaluer les apports de solutions pour une meilleure indépendance électrique des pays africains.
« A quelques exceptions près de pays aux avancés remarquables sur le continent, le Bénin et la plupart des pays africains, sont marqués par autant de paradoxe que de défis. Aux fabuleux gisements d'énergie s'oppose une grande précarité énergétique, face aux besoins croissants des populations et face aux énormes ambitions d'émergence de nos Etats », a fait savoir le ministre de l'énergie du Bénin, Jean-Claude Houssou. « L'Afrique ne consomme que 3% de l'énergie produite par la planète », a-t-il souligné. Il espère trouver dans l'interface qu'offre le SIDE-AFRICA, des réponses pertinentes et innovantes qui concilient : solutions énergétiques optimales, durables et assorties aux exigences environnementales, coûts d'investissements compétitifs, ainsi que sécurité des approvisionnements.
Pour le secrétaire général du West african power-pool (Wap), Apollinaire Siengui Ki, le thème autour duquel s'articuleront les débats, est l'une des préoccupations majeures du Wap. « Il rentre dans la droite d'un élan de développement du secteur énergétique en Afrique », a-t-il soutenu.
Le coordonnateur du MCA-Bénin-2, Gabriel Dégbègni a fait savoir qu'« en abritant la 1ère édition de ce sommet, le Bénin marque son engagement en faveur de politique qui vise non seulement la disponibilité permanente de l'énergie électrique, mais aussi et surtout, une approche globale intégrant la maîtrise des acteurs susceptibles d'impacter l'approvisionnement énergétique ».
Quant au ministre ivoirien de l'énergie, Thierry Tanoh, il pense que cette rencontre est une grande opportunité les pays africains de répondre à un besoin de plus en plus important pour réduire considérablement les difficultés auxquelles sont confrontées nos populations.
Il faut préciser que les discussions et concertations menées au cours du Sommet permettront d'explorer de nouvelles solutions énergétiques et d'adopter de nouvelles stratégies dans le cadre de la redistribution de l'électricité aux populations, de trouver des solutions aux difficultés actuelles et courantes que traversent les pays africains, de mettre en place de nouveaux partenariats et alliances stratégiques ou renforcer ceux qui existent afin de faire progresser les projets de développement d'électricité en l'Afrique.
Prennent part à ce sommet, les divers représentants des organismes de formation et d'accompagnement dans le domaine Electrique et les Partenaires techniques et financier (CEDEAO, UE, AFD, MCA, GIZ, PNUD, etc….).
Marcel HOUETO
Les 21 septembre, 16 octobre et 23 novembre 2018, le Bureau Exécutif National du Parti s'est réuni en séances élargies aux Responsables nationaux, départementaux et aux Responsables de la Coordination du Littoral, à l'effet d'examiner la situation politique nationale par rapport aux implications de la nouvelle loi portant charte des Partis politiques en République du Bénin.
A l'issue de ces différentes séances, le Parti déclare ce qui suit :
La situation politique actuelle est caractérisée par une mise à l'envers de l'Etat de droit et de la Démocratie.
La loi No 2018-23 du 17 septembre 2018 portant Charte des partis politiques en République du Bénin est une loi abjecte qui porte atteinte aux fondements du Renouveau Démocratique que sont le multipartisme intégral et le pluralisme politique.
Le Parti, conscient de la nécessité d'adopter une tactique et une stratégie à la hauteur des défis démocratiques, prend acte de la situation créée par le vote irresponsable d'une telle disposition.
Le Parti a donc décidé de se conformer aux dispositions des articles 16 ; 17 ; 18 et 56 de la loi sus-évoquée en attendant que nos luttes n'aboutissent à son abrogation et ainsi que de celle de toutes les lois et dispositions despotiques de même acabit.
En application de cette décision prise par le Parti, toutes les structures des coordinations départementales ont été instruites à l'effet de l'élargissement du collège des membres fondateurs.
Au cours de la séance d'évaluation tenue le 23 novembre 2018, le Bureau Exécutif National a procédé à l'examen des candidatures à la qualité de membres fondateurs et a retenu le collège des membres fondateurs pour le compte de chacune des soixante-dix-sept (77) communes du Bénin.
Le Bureau Exécutif National félicite les Responsables des Fédérations départementales, les Responsables des Commissions d'Action Politique des Circonscriptions Electorales, les Responsables des Coordinations Communales et les facilitateurs pour les efforts et les sacrifices consentis dans le cadre de la mise en conformité du Parti.
Le Bureau Exécutif National, par la même occasion, adresse ses chaleureuses félicitations aux nouveaux membres fondateurs du Parti.
Le Parti exhorte les militants à la mobilisation générale afin que triomphent nos valeurs et notre profession de foi qui est de « faire espérer le Bénin ».
Le Parti RESTAURER L'ESPOIR ( RE ) annonce qu'il est prêt pour le dépôt du dossier de déclaration administrative de mise en conformité au Ministère de l'Interieur.
Le Secrétariat Général du Parti tiendra incessamment un point de presse à ce sujet .
Vive les acquis du Renouveau démocratique ;
Vive le pluralisme politique ;
Vive le multipartisme intégral.
Fait à Cotonou le 23 novembre 2018
Le Secrétaire Général
Honorable Guy Dossou MITOKPE
Député à l'Assemblée Nationale
Le ministre du cadre de vie et du développement durable José Tonato a procédé, ce jeudi 6 décembre 2018, au lancement des travaux de protection et de valorisation du segment prioritaire de côte à Avlékété, dans la commune de Ouidah. Lesdits travaux entrent dans le cadre du programme de protection côtière inscrit dans le "Bénin Révélé". Il s'agit d'un des projets prioritaires contenus dans le programme d'actions du gouvernement et visant à contenir l'avancée de la mer sur la côte ouest du Bénin. Ainsi prend corps la suite des travaux relatifs au projet Route de pêche.
G.A.
Contrairement aux formations politiques de la mouvance présidentielle, les forces politiques de l'opposition éprouveront d'énormes difficultés à se mettre ensemble et à se constituer en bloc pour les prochaines joutes électorales. L'un des obstacles à l'union de tous les acteurs et formations politiques de l'opposition, est la réconciliation entre l'ancien président Boni Yayi et le député Candide Azannaï. Annoncée depuis le lundi 17 septembre 2018, cette réconciliation n'est pas encore effective à la date de ce jour. Invité sur l'Arbre à palabre du journal l'Evènement précis, le député Guy D. Mitokpè a avoué que le processus de réconciliation entre les deux personnalités n'a pas encore bougé. Mieux, il rencontrerait des résistances venant des proches du président Yayi.
Selon le député Mitokpè, beaucoup de loups se sont interposés dans la médiation. « Il y a des loups qui, avec la bénédiction de Yayi lui-même, empêchent la réconciliation Yayi-Azannaï », a-t-il informé.
Pour Guy D. Mitokpè, les loups, sont ceux-là qui ne veulent pas l'union des forces de l'opposition. Il rassure par ailleurs que le parti ‘'Restaurer l'espoir'' fera tout « pour que l'opposition ne puisse pas connaître une défaite.
F. A. A.
Arrivée au Bénin dans la soirée du mardi 4 décembre 2018 dans le cadre d'une visite officielle, Son Excellence Kersti KALJULAID, présidente de la République de l'Estonie, s'est envolée pour Tallinn, la capitale estonienne dans l'après-midi de ce jeudi 06 décembre 2018.
Durant son séjour, Kersti KALJULAID a eu une rencontre d'échanges avec le président de la République, Son Excellence Patrice Talon. Elle a également procédé à la signature d'accords de partenariat avec le Bénin. L'hôte du chef de l'Etat a animé un panel de haut niveau sur l'importance du numérique dans le développement d'une nation avant de visiter la startup Etrilabs, la fondation Zinsou et le centre de promotion de l'artisanat.
C'est avec beaucoup de bons souvenirs et que la présidente de la République d'Estonie a quitté Cotonou en attendant d'accueillir le chef de l'Etat Patrice Talon très prochainement à Tallinn.
F. A. A.
La phase de répression contre les auteurs de pollution sonore a commencé, ce jeudi 06 décembre 2018, avec 09 personnes placées sous mandat de dépôt. Les inculpés vont comparaître, le mercredi 12 décembre 2018, devant le tribunal de première instance de première classe de Cotonou.
Cette répression intervient suite aux mises en garde faites par le Procureur de la République Mario Elonm Métonou, le samedi 24 novembre 2018, au cours d'une visite effectuée dans certains quartiers de Cotonou pour constater l'état d'assainissement de la ville.
Akpédjé AYOSSO
C'est à travers une initiative des femCoders que les jeunes participants du challenge FIRST GLOBAL 2018 ont reçu leurs attestations. La cérémonie s'est déroulée le mercredi 05 décembre 2018 dans les locaux de Solidar‘IT Tech Hub, à Cotonou.
La cérémonie de remise d'attestation aux participants du challenge FIRST GLOBAL 2018 a été aussi une occasion de démonstration des robots mis en place par les jeunes. Ces jeunes inventeurs ont été récompensés pour le courage et l'effort dont ils ont fait preuve lors du challenge FIRST GLOBAL 2018. Ils ont aussi reçu le trophée de « Meilleur mentor global ».
C'est sur initiative de Rachael Orumor, Fondatrice de Initiatrice femCoders, Directrice de projet Robotique que les jeunes de divers collèges ont bénéficié de la formation en robotique.
L'apport des proches et des gens qui ont cru au projet a permis d'atteindre les objectifs bien que beaucoup restent à faire. Rachael Orumor a manqué de mots pour remercier ses soutiens « Merci à Solidar'it d'avoir accepté d'accompagner l'initiative et à Madame Savy, conseillère au ministère de l'économie numérique, qui n'a pas manqué de soutenir l'initiative à Sud Telecom Bénin (…) », a-t-elle déclaré.
« Ce n'est que nous Africains qui pouvons développer l'Afrique. On n'est pas obligé de toucher les choses déjà faites mais nous pouvons créer. Nous essayons de trouver quelques financements pour former les enfants. Ce que nous faisons, c'est à but non lucratif », explique la Fondatrice de Initiatrice femCoders.
Malgré son découragement faute de financement, elle ne perd pas espoir. « Ce sont des élèves qui sont passionnés de la chose. Et cela nous motive davantage à les former malgré le manque de financement », confie Rachael Orumor.
Dans les nombreux projets envisagés, elle souligne que « Nous travaillons sur un prototype pour traiter les eaux à Cotonou. Nous avions démontré que malgré les difficultés, la volonté peut permettre de réaliser beaucoup de choses ».
Cet engagement sans grands moyens est d'ailleurs le résultat du prix femme leader décroché, il y a quelques mois en Belgique. Aussi dira-t-elle, « Nous travaillons pour que d'ici l'année prochaine que nous ayons un centre de robotique au Bénin ». Elle félicite les enfants qui d'abord ont eu confiance en elle puis se sont donnés à la chose. La preuve explique-t-elle est que bien de choses peuvent être faites, si les moyens existent réellement. « Ils ont compris la vision que j'aie et ils travaillent avec engagement et ceci à but non lucratif. C'est vraiment impressionnant. Les enfants ont la volonté », martèle Rachael Orumor.
Les enfants n'ont pas manqué de démontrer à leur formatrice qu'elle peut avoir confiance en eux. Et c'est le résultat du prix challenge FIRST GLOBAL 2018. Selon l'une de filles Team, Daniella Bossa, « Tout a commencé lorsqu'on nous a parlé de cela à l'école. Et je me suis inscrite. Cette formation m'a permis de comprendre beaucoup. C'était une belle expérience où nous avions appris la rigueur dans le travail et l'esprit d'équipe ».
Cette initiative de femCoders offre d'autres opportunités aux jeunes notamment aux filles d'embrasser dès leur jeune âge, une nouvelle carrière en robotique.
Les nombreux atouts que réserve cette initiative méritent l'accompagnement des autorités puisque bien de projets sont en gestation et méritent d'importants financements.
Rachael Orumor est accompagnée d'une équipe très engagée et dynamique qui assure la formation et l'accompagnement des enfants.
Giscard AMOUSSOU
Dix députés et 01 membre du gouvernement Talon n'ont pas déclaré leur patrimoine conformément à la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption. C'est ce qu'a affirmé Jean-Baptiste Elias, président de l'Autorité Nationale de Lutte contre la Corruption (ANLC), au cours d'une conférence de presse tenue, ce mercredi 05 décembre 2018, au siège de l'institution.
Conformément aux dispositions de l'article 7 de la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin, la déclaration du patrimoine doit être faite à la juridiction financière compétente dans les quinze jours qui suivent l'entrée en fonction et la cessation de fonction.
Les députés n'ayant pas fait la déclaration de leur patrimoine sont : Rosine Dagniho, Jocelyn Dégbey, Pascal Essou, Mouhamed Taofic Hinnouho, Valentin Aditi Houdé, Éric Houndété, Lucien Houngnibo, Amadou Issifou, Rosine Soglo et Wallis Zoumarou.
Quant au membre du gouvernement, il s'agit de Fortuné Alain Nouatin, ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense nationle.
N'étant pas en règle jusqu'à la date du 1er Octobre 2018, le Président de l'ANLC a confié qu'il a adressé au Président de la Cour Suprême une correspondance en date du 24 octobre 2018 afin que ce dernier instruise le président de la chambre des comptes pour que la loi soit appliqué aux concernés. « Par la présente, je voudrais vous prier de bien vouloir instruire le président de la chambre des comptes de mettre en application les dispositions de l'article 4, 6ème alinéa de la loi 2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin qui dispose que le refus de déclaration est puni d'une amende dont le montant est égale à 6 mois de rémunération perçues ou à percevoir aux fonctions occupées. L'amende est prononcée d'office ou sur dénonciation par le président de la chambre des comptes », informe le courrier de Jean-Baptiste Elias.
Pour le moment, renseigne le président de l'ANLC, cette correspondance n'a pas encore eu de suite.
Akpédjé AYOSSO
En prélude à la troisième Conférence des ministres en charge de la Recherche de l'espace, les experts des Etats membres de la Cedeao sont en réunion préparatoire depuis, mercredi 5 décembre, à Cotonou.
« Mettre l'accent sur la science, la technologie et l'innovation pour la transformation des économies des Etats membres de la Cedeao d'ici à 2023 ». C'est le thème qui réunit plus de deux cents experts de quinze pays de la Cedeao. Il s'agit de la réunion préparatoire de la troisième Conférence des ministres en charge de la science et de la technologie de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao). Cette rencontre a connu la présence d'importantes personnalités dont les présidents de chambres consulaires, des partenaires techniques et financiers du secteur de la recherche, des responsables des centres internationaux de recherches, des présidents des sociétés savantes et des académies de sciences et des ambassadeurs.
Représentant du président de la Commission de la Cedeao, Leopoldo Amado, explique que « La Cedeao considère que le développement de la science et de la technologie et la promotion de leur application innovante d'une manière intégrée avec les autres secteurs de développement socioéconomique et environnemental sont indispensables pour réduire la pauvreté et accélérer le niveau d'industrialisation de la région ». La rencontre de Cotonou vise à asseoir un plan d'action de la politique de la Cedeao sur la science, la technologie et l'innovation (Ecopost). Elle permettra d'élaborer le projet de rapport sur la stratégie de la Cedeao sur les sciences de l'espace et la géomatique pour le lancement d'un satellite d'observation Ecosat à l'horizon 2025 ; le règlement et la charte de déontologie dans le cadre du Programme d'appui à la recherche et l'innovation (Pari) ; le mémorandum de la Commission de la Cedeao pour la mise en place de l'Académie ouest-africaine des sciences (Aoas). Les participants vont également finaliser le rapport de l'étude pour l'organisation du Forum africain sur la recherche et l'innovation (Fari).
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a souligné que l'objectif est « que la recherche et l'innovation de nos pays respectifs soient désormais présentées dans des habits neufs qui augurent de l'opulence et qui inspirent espoir et confiance ». Selon Marie Odile Attanasso, « Des propositions diverses peuvent aller dans plusieurs autres sens pour que ce secteur du développement de l'Afrique cesse de se présenter au reste du monde vêtu des défroques de la pauvreté (…) pour contribuer à la transformation qualitative de l'économie des pays respectifs et de la sous-région dans son ensemble ».
G.A.
En prélude aux fêtes de fin d'années et surtout pour valoriser la production locale, les promoteurs de la Supérette de produits locaux d'ici et d'ailleurs *Comme Au Marché* sise à fin pavés fidjrossè (juste à côté de Louvain Coopération) en allant vers la plage à gauche, dédie la journée du samedi 08 Décembre 2018 de 10h-19h à la découverte & à dégustation de Vins fabriqué localement à base de fruits (ananas, orange, pamplemousse, anarcarde, gingembre, mangue...). Cette activité qui est une grande 1ere pour la promotion des produits locaux, mérite d'être encouragé et accompagné. Cette journée sera également l'occasion pour les uns et les autres de découvrir cet espace dédié aux produits (Plus de 200 références) de Chez vous avec un rapport qualité prix garantie. Infos : 97 44 18 17 (Appels et whatsaap)
Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude HOUSSOU a présidé dans la matinée de mercredi 05 décembre 2018, la cérémonie d'ouverture de la 14ème rencontre annuelle du Club des agences et structures africaines en charge de l'électrification rurale, à Bénin Marina Hôtel de Cotonou. "Electrification décentralisée : mini-réseau, se préparer à l'arrivée du réseau électrique national", c'est le thème retenu pour cette session qui connaît la participation des délégations des 42 pays membres du CLUB-ER.
À l'ouverture de la rencontre, le directeur général de l'ABERME a d'abord souhaité la bienvenue aux structures africaines en charge de l'électrification rurale, regroupées au sein du CLUB-ER.
Jean-Francis TCHÈKPO a souligné que la priorité du secteur énergétique est de trouver le moyen d'assurer aux populations dépendantes des énergies traditionnelles, un accès suffisant aux formes modernes de l'énergie et surtout celles renouvelables qui demeurent la base d'un développement humain durable. Pour cette raison, ces assises constituent pour les personnalités et spécialistes présentes à cette rencontre, une importante occasion d'échange sur les différentes expériences acquises par les structures respectives, a-t-il ajouté.
Pour l'attaché de programme "Politique Énergétique" et "Énergie Durable" de l'IFDD, les solutions d'énergie renouvelable peuvent fournir un accès énergétique abordable, fiable, durable et moderne aux communautés rurales.
Selon Romaric SEGLA, le programme énergie de l'OIF accompagne les pays membres dans la planification et l'adoption des politiques énergétiques et l'utilisation durable de l'énergie.
Le ministre de l'énergie a déclaré que cette session organisée par le Secrétariat exécutif du CLUB-ER, s'inscrit dans le cadre des rencontres périodiques qui visent à promouvoir le développement harmonieux du sous-secteur de l'électrification rurale dans les pays. L'accès à l'énergie électrique constitue selon lui, un défi majeur.
A cet effet, il urge de trouver le moyen d'assurer au tiers de la population mondiale (...) un accès facile et à moindre coût aux formes modernes de l'énergie qui demeurent la base d'un développement humain durable, a précisé Dona Jean-Claude HOUSSOU.
« Le présent atelier constitue pour les éminentes personnalités et techniciens du domaine que vous êtes, une importante occasion de discussion, en vue d'aboutir aux choix des solutions techniques les mieux adaptés et à la promotion des technologies d'électrification à faible coût pour l'extension de réseaux », a-t-il indiqué.
Les travaux de cette 14ème session s'achèvent ce jeudi 06 décembre 2018.
F. A. A.