Le ministère de l'Économie et des Finances a procédé, ce mardi 7 octobre 2025, à Bénin Royal Hôtel, au lancement officiel de la plateforme numérique de dialogue public-privé. La cérémonie s'est déroulée en présence d'acteurs gouvernementaux, de représentants du secteur privé, de la société civile et de partenaires techniques et financiers.
Le Bénin franchit un nouveau cap dans l'amélioration de son environnement des affaires avec le lancement officiel de la plateforme numérique de dialogue avec le secteur privé. C'est un outil digital mis en place par le gouvernement béninois, via la Cellule technique d'appui à l'amélioration du Climat des Affaires (CCA) du ministère de l'Économie et des Finances avec l'appui de la Coopération allemande-GIZ pour instaurer un canal formel et permanent de dialogue entre le public et le privé.
Dans son discours d'ouverture, Ilyass Sina, coordonnateur de la Cellule technique d'appui à l'amélioration du climat des affaires (CCA), a exprimé sa joie et sa reconnaissance envers tous les acteurs qui ont contribué à la réalisation de ce projet. Il a retracé les grandes étapes du processus entamé depuis un an. Le projet s'est construit à travers une série de dialogues multi-acteurs, impliquant la Chambre de Commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin), les agences gouvernementales et les communes. « Nous avons été dans quelques communes du Bénin parce que la plateforme allait servir également à présenter les opportunités d'investissement dans nos communes au secteur privé », informe Ilyass Sina.
À ce jour, plus de 20 communes ont déjà publié sur la plateforme des idées de programmes d'investissement à l'intention des opérateurs économiques. « Le processus va se poursuivre parce que nous allons passer à une autre phase d'expérimentation et nous aurons besoin des contributions et critiques de chaque acteur », a indiqué le coordonnateur de la CCA. Il a également insisté sur l'importance de la réactivité des points focaux désignés au sein des agences gouvernementales. « Vous aurez 72 heures pour répondre aux requêtes. Il va falloir répondre rapidement dans la dynamique de satisfaire le secteur privé qui va soumettre ses préoccupations », a-t-il ajouté.
Vue partielle des participantsJacky Barboza, représentant de la GIZ, a rappelé que la plateforme est le fruit d'un travail collaboratif visant à renforcer la synergie public-privé au service d'un développement économique durable. « L'objectif principal de cette plateforme est double. D'une part, c'est de créer un canal d'écoute et de prise en compte des enjeux spécifiques du secteur privé pour mieux orienter les politiques publiques et d'autre part, mettre en lumière les projets d'investissement structurant capables de transformer durablement nos territoires », a déclaré le représentant de la GIZ. Il a invité la CCI Bénin à mobiliser les entreprises autour de l'outil.
Investissement privé comme moteur de croissance et d'emplois
Au nom du ministre d'État en charge de l'Économie et des Finances, Awaou Baco, Secrétaire générale adjointe du ministère, a salué l'initiative qui s'inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer l'investissement privé comme moteur de croissance et d'emplois. Elle a rappelé que le Bénin a engagé des réformes structurelles significatives : modernisation des infrastructures, renforcement du cadre législatif, adoption d'un nouveau Code du travail et d'un Code des investissements plus attractif. Selon Awaou Baco, la plateforme numérique vient compléter ces efforts en créant un espace de dialogue permanent et structuré entre le public et le privé. Elle a remercié les équipes de la CCA, la coopération allemande, ainsi que les équipes techniques pour leur contribution à la réussite de l'initiative.
Un aperçu de la plateforme du dialogue public-privé« Nous croyons fermement que cette plateforme contribuera à accroître la transparence dans le traitement des doléances du secteur privé et favoriser la réactivité du gouvernement, faciliter l'accès à des informations essentielles sur les opportunités d'investissement, promouvoir le dialogue entre le secteur public et le secteur privé », a conclu la représentante du ministère de l'Économie et des Finances.
La plateforme numérique de dialogue public-privé, désormais accessible sur www.dialogue.finances.bj, permet au secteur privé de soumettre ses préoccupations ; de découvrir les investissements publics proposés par le gouvernement du Bénin, les communes et les intercommunalités et de manifester son intérêt pour un projet.
Le lancement de cette plateforme marque une nouvelle ère de gouvernance économique participative au Bénin. Elle symbolise un engagement fort du gouvernement et de ses partenaires à construire un climat des affaires plus transparent, efficace et attractif, dans l'optique de faire du secteur privé un véritable pilier du développement national.
Akpédjé Ayosso
Une boutique de vente de vêtements et de pagnes a été cambriolée au petit matin de ce mardi 7 octobre 2025, peu après 3h du matin à Ahouéhoué, une localité de Djakotomey, département du Couffo.
Cambriolage à Djakotomey, dans le département du Couffo. Une boutique de vente des vêtements et de pagnes a reçu la visite des hors la loi au petit matin de ce mardi 7 octobre 2025, peu après 3h du matin selon les témoins rapportés par Le Potentiel. Le propriétaire a fait le constat amer dès son arrivée à l'aube. Sur place, il constate que la porte a été défoncée, et les marchandises renversées dessous dessus. Les malfrats après leur forfait ont emporté plusieurs objets de valeur, des pièces de pagnes et la recette issue de la vente de la veille. La Police a ouvert une enquête.
F. A. A.
Les chefs de villages (CV) et de quartiers (CQ) du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) seront bientôt installés. Les maires ont été instruits à l'effet de procéder à leur installation après les arrêtés préfectoraux portant constatation de leur désignation.
Après plusieurs mois d'attente, les chefs de villages et de quartiers du parti FCBE entrent en fonction. Ils seront très bientôt installés par les maires des communes. L'installation de ces autorités locales fait suite aux arrêtés préfectoraux portant constatation de leur désignation.
Les maires selon ces arrêtés en date du 6 octobre 2025, disposent d'un délai de 15 jours pour procéder à l'installation des CV et CQ dans leurs nouvelles fonctions.
F. A. A.
Les Guépards ont fièrement représenté le Bénin, au championnat d'Afrique de Kickboxing, tenue au Caire, en Egypte, du 02 au 04 octobre 2025. Ils ont décroché 9 médailles dont 6 en Or.
Le championnat d'Afrique de Kickboxing s'est achevé en Egypte le 4 octobre 2025. Le Bénin, pays participant a décroché 9 médailles dont 6 en Or, 2 en Argent et 1 en Bronze.
Liste des athlètes médaillés
– NATCHIMDJABO Bouama Collette : Médaillée d'OR
– AGBOKOU Codjo Grégoire : Médaillé d'OR
– KPOZEHOUIN Rouch Dan : Médaillé d'OR
– KPANHOUN Eric Ulrich : Médaillé d'OR
– TCHIBOZO Chancel : Médaillé d'OR
– GAGA Mario : Médaillé d'OR
– DOSSOU Vigninou Bienvenu : Médaillé d'ARGENT
– DANDJINOU Jean-Christophe Astrid : Médaillé d'ARGENT
– SOFONOU Yaovi Alphonse : Médaillé de BRONZE.
Par ces résultats, le Bénin occupe la 2e place derrière l'Egypte, pays hôte et devant l'Afrique du Sud, la Tunisie et la Pologne, qui occupent respectivement les 3e, 4e et 5e places.
F. A. A.
L'ancien président de la Jeunesse sportive de Pobè (JSP), Bruno DIDAVI n'est plus. Il a tiré sa révérence ce mardi 7 octobre 2025.
Le football béninois en deuil. Bruno DIDAVI, ex président de la Jeunesse sportive de Pobè a rendu l'âme ce mardi 7 octobre 2025. Aucun détail pour l'heure, sur les causes du décès de l'homme qui a occupé de grands postes de responsabilité au sein du comité exécutif de la Fédération béninoise de football (FBF). D'abord, plusieurs fois secrétaire général du comité exécutif de la FBF, puis vice-président dudit comité. Le regretté fut un membre actif de commissions à la Confédération africaine de football (CAF).
Bruno DIDAVI est né à Allada, localité située dans le département de l'Atlantique. Il a soufflé sa 60e bougie ce lundi 6 octobre 2025.
Paix à son âme !
L'athlète béninoise, Bouama Natchimdjabo, a remporté le titre de championne d'Afrique dans la catégorie des plus de 70 Kg, lors des Championnats d'Afrique de kickboxing. La compétition s'est déroulée le 4 octobre dernier en Egypte.
Très connue pour ses performances en Taekwondo, la Béninoise Bouama Natchimdjabo s'est hissée au sommet de kickboxing en Afrique, dans la catégorie des plus de 70 Kg où elle a décroché le titre de championne d'Afrique. Cette victoire a été remortée, samedi 4 octobre dernier en Egypte.
L'athlète vedette est l'une des meilleures Béninoises connue pour sa détermination. Plusieurs fois médaillée, elle s'est lancée dans le kickboxing il y a moins de 3 ans ; et déjà, elle enregistre des résultats très impressionnants. Son succès est un exemple inspirant pour les jeunes filles et femmes qui souhaitent se lancer dans le sport et dans les arts martiaux en particulier.
Quelques titres
Bouama a commencé le taekwondo en 2014. Elle a remporté plusieurs médailles internationales, notamment :
– Médaille d'or à l'Open international BS de l'amitié en Côte d'Ivoire en 2021 ;
– Médaille de bronze au G2 du Niger en 2022 ;
– Médaille d'argent au Nigeria en 2022 ;
– Médaille d'argent au Watwil open en Suisse en 2022 ;
– Médaille d'argent à l'Open de Liège en Belgique en 2023.
La deuxième audience dans le procès en appel de l'ex-directeur général de la police nationale (Ex-Dgpn), Louis Philippe Sèssi Houndégnon s'est ouverte le lundi 06 octobre 2025 devant la CRIET. Après plus de deux heures de débats houleux, la Cour a rejeté une nouvelle fois la remise en liberté provisoire introduite par l'avocat de la défense, Me Fidèl Abouta en faveur du principal prévenu et de son coprévenu Camille Coffi Amoussou. Récit d'une nouvelle journée d'audience.
Un peu avant midi ce lundi 06 octobre 2025, Louis Philippe Sèssi Houndégnon et son neveu Camille Coffi Amoussou comparaissent une deuxième fois pour leur procès en appel devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). À l'entame de l'audience, le président de la chambre d'appel rappelle à Houndégnon qu'à travers sa sortie médiatique, il a harcelé les autorités politico-administratives et a incité les citoyens à la rébellion envers les autorités. En effet, les deux prévenus répondent au pénal des accusations de : « harcèlement par le biais d'un système électronique et incitation à la rébellion », rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
« Je ne me reconnais pas du tout dans ces faits », a répondu Houndégnon. Et au juge de lui demander : « Est-ce que vous avez des sorties qui paraissent problématiques ? ». L'ex-haut gradé de la police nationale va solliciter l'humanisme de la Cour : « Je voudrais solliciter votre humanisme d'homme de sciences. Mes sorties n'avaient pas pour but de harceler les autorités administratives. C'était pour exprimer mon ras-le-bol. J'ai fait 29 ans de service à la police. Si du jour au lendemain, on vous met à la retraite, je pense que vous pourriez dire que vous n'êtes pas content ».
Mais pourquoi n'a-t-il pas saisi la chambre administrative de la Cour suprême pour contester sa mise à la retraite d'office à la police républicaine ? Louis Philippe Sèssi Houndégnon va expliquer à la Cour qu'il a expérimenté la chambre administrative de la Cour suprême et qu'il a constaté que c'est une perte de temps. Houndégnon parle ensuite de sa parfaite maîtrise du métier des armes notamment de son poste de secrétaire permanent de lutte contre la radicalisation au ministère de l'Intérieur qui lui aurait valu crainte et méfiance. « Personnellement, je n'ai rien contre un régime. Dans quel pays, avez-vous vu un policier faire un coup d'État ? Vous ne me verrez jamais dans les histoires de coup d'État », affirme-t-il.
Dans la suite des débats, le président de la chambre des appels de la CRIET a souhaité qu'on fasse ressortir les audios des sorties médiatiques de Houndégnon et de les rejouer lors du procès. À cette demande, l'avocat de la défense estime que cela n'était pas nécessaire et que cela risquerait d'allonger le procès, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Houndégnon exprime des regrets
« J'ai été vraiment étonné que je ne puisse pas me faire comprendre. Je ne dis pas que je ne regrette rien. Je ne suis pas prétentieux. J'expliquais les conditions dans lesquelles j'ai parlé. Je ne suis pas dans la posture de dire que j'ai raison. C'est un cœur meurtri qui a parlé. Si ce que je dis dérange le régime. Je dis toutes mes excuses. Ce que j'ai dit n'a pas pour but de susciter des tensions sociales », s'est excusé l'ex-patron de la police nationale.
Louis Philippe Sèssi Houndégnon qui s'est présenté comme un homme spirituel trouve dans son incarcération à la prison civile de Missérété comme une protection divine. « Le spirituel que je suis, je sais ce que je suis allé faire à Missérété. Rien qu'à avoir la vie, je n'en veux à personne. Je ne dis pas que je ne regrette pas », a-t-il précisé. Et au président de la CRIET de lui rappeler un principe biblique : « Dans la colère, on s'abstient de parler et on laisse le silence faire son travail de médecin. Toutes les épreuves ne sont pas négatives ».
Les débats se sont ensuite tournés sur les déclarations dans la presse de Houndégnon ainsi que sur les qualifications de « Harcèlement par le biais d'un système électronique » retenues par le parquet spécial. L'ex-directeur général de la police nationale estime que cette infraction est un délit de presse. Il souligne que la loi ne requiert pas une détention préventive pour une telle infraction. Le président de la chambre des appels de la CRIET qu'il n'est pas homme de la presse. Et à Houndégnon de rétorquer que la loi n'a pas spécifié.
Demande de remise en liberté provisoire rejeté à nouveau
Lors de l'audience, Me Fidèl Abouta, avocat de la défense a plaidé à nouveau pour une remise en liberté provisoire de Houndégnon et de son neveu Camille Coffi Amoussou. Il a formulé cette demande pour trois raisons. La première raison est que les prévenus ont déjà passé presque douze mois en prison alors que la peine maximale prévue par la loi pour les faits qui leur sont reprochés est de deux ans. La deuxième raison est leur garantie de représentativité et la troisième est l'état de santé de Camille Coffi Amoussou qui se dégrade en prison. Selon l'avocat, ce dernier doit subir une opération chirurgicale rapide pour que le pire n'arrive pas.
Le ministère public représenté par le deuxième substitut du procureur spécial près la CRIET, a donné un avis favorable pour la remise en liberté provisoire de Camille Coffi Amoussou. Quant à Houndégnon, il a proposé à la Cour de rejeter sa remise en liberté provisoire.
Dans une décision avant dire droit rendue sur siège, le juge a rejeté une nouvelle fois la remise en liberté provisoire de Louis Philippe Sèssi Houndégnon et de son coprévenu Camille Coffi Amoussou. Le dossier a été immédiatement renvoyé au lundi 20 octobre 2025 après près de trois heures de débats, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Retour sur les faits
En novembre 2024, Louis Philippe Houndégnon, avait été interpellé suite à plusieurs interviews accordées à la presse dans lesquelles il déclarait avoir reçu des propositions de coup d'État contre le président Patrice Talon. Le parquet spécial l'accusait alors d'avoir remis en cause la Constitution béninoise et d'avoir appelé la population au soulèvement à travers son "Mouvement 11/12".
Lors des audiences, le ministère public, représenté par le premier substitut du procureur spécial Armand Donald Reagan Hounguè, avait fait ses réquisitions. Selon le procureur, Houndégnon aurait "manqué de réserve même étant à la retraite" et aurait travaillé à "recenser les personnalités clés de l'État" dans le but de fomenter un coup d'État. Le parquet avait donc demandé à la CRIET de retenir Houndégnon pour des faits présumés d'incitation à la rébellion et de harcèlement par le biais d'un système électronique.
Houndégnon et Amoussou sont poursuivis pour des faits présumés d'incitation à la rébellion et de harcèlement par le biais d'un système électronique. La chambre correctionnelle de la CRIET s'est déclarée incompétente le lundi 19 mai 2025 dans l'affaire de Louis Philippe Houndégnon et de son coprévenu Coffi Camille Amoussou. Le motif ? Le juge a estimé dans sa décision que les faits reprochés aux deux prévenus sont de nature criminelle. Il a ensuite confirmé le mandat de dépôt et a renvoyé le ministère public à mieux se pourvoir. Les deux prévenus ainsi que le ministère public ont fait appel de cette décision du premier juge.
La banque africaine d'envergure mondiale, United Bank for Africa (UBA) Plc a officiellement lancé l'édition 2025 de sa Semaine du Service Client, adoptant le thème mondial « Mission : Possible » afin de réaffirmer son engagement constant à rendre l'impossible possible pour ses clients en Afrique et au-delà.
Chaque année, la Semaine du Service Client célèbre l'importance du service d'excellence et de l'engagement client. UBA se joint au reste du monde pour marquer cet événement majeur, en accord avec sa philosophie « Customer 1st », qui place le client au cœur de toutes ses actions.
Le thème de cette année résonne profondément avec la vision de la banque : transformer les défis en opportunités, et aller constamment au-delà des attentes pour offrir des solutions innovantes aux particuliers, aux entreprises et aux communautés.
Prenant la parole lors du lancement, le Directeur Général du Groupe UBA, Oliver Alawuba, a déclaré que la banque est fière d'être centrée sur le client et fait tout son possible pour assurer la satisfaction de ses clients à tous les niveaux d'interaction.
« En tant que banque africaine d'envergure mondiale, nous comprenons les défis uniques auxquels nos clients sont confrontés sur différents marchés. C'est pourquoi nous investissons constamment dans la technologie, les talents et les processus afin de rendre la banque plus simple, plus rapide et plus gratifiante. Cette semaine ne consiste pas seulement à célébrer nos clients, mais aussi à renouveler notre engagement à rendre l'impossible possible pour eux. Chez UBA, nous ne nous contentons pas de répondre aux attentes : nous nous engageons à les dépasser. »
De son côté, Michelle Nwoga, Responsable Groupe de l'Expérience Client chez UBA, a souligné que la célébration de cette année marque un engagement renouvelé à approfondir l'orientation client de la banque et à faire encore plus pour offrir de la valeur à chaque point de contact.
« Chez UBA, notre mission est claire : rendre le supposé impossible possible pour nos clients. Qu'il s'agisse de permettre des transactions transfrontalières en temps réel, d'assurer un accès numérique fluide à la banque, ou d'accompagner les petites entreprises à se développer contre vents et marées, nous nous engageons à fournir un service qui transforme des vies. Cette semaine est la célébration de cette mission, et des clients qui nous inspirent à nous surpasser chaque jour. »
UBA a fait ses preuves en transformant des « missions impossibles » en histoires à succès. Elle a été la première banque panafricaine à mettre en place des centres de contact multilingues accessibles 24h/24 et 7j/7, à lancer des solutions innovantes de banque numérique comme Leo, le premier banquier virtuel alimenté par l'intelligence artificielle en Afrique, et à faciliter les transferts d'argent transcontinentaux pour des millions d'Africains de la diaspora. La banque ne cesse de repousser les limites du service client.
Dans le cadre de la célébration de cette année, UBA lance une série d'initiatives axées sur la mission, allant au-delà des services bancaires : des séminaires pour les entrepreneurs de petites et moyennes entreprises, des opportunités pour leurs enfants de participer au Concours National de Rédaction pour les lycéens, ainsi que des programmes d'éducation financière pour les aider à mieux faire face aux réalités économiques actuelles.
United Bank for Africa Plc est une institution financière panafricaine de premier plan, offrant ses services bancaires à plus de 45 millions de clients, à travers 1 000 agences et points de contact client dans 20 pays africains. Avec une présence à New York, Londres, Paris et Dubaï, UBA connecte les personnes et les entreprises à travers l'Afrique via ses services de banque de détail, banque commerciale, banque d'entreprise, paiements transfrontaliers innovants, transferts de fonds, financement du commerce et services bancaires complémentaires.
Un grave accident de la circulation s'est produit ce dimanche 5 octobre 2025, peu après le carrefour IITA, à Abomey-Calavi. Les victimes au nombre de 4, ont été projetés hors du véhicule les transportant sous la forte pluie qui s'est abattue sur la ville.
Un véhicule en provenance de Cotonou dérape à IITAA carrefour, et finit sa course sur le trottoir. Le drame a lieu dimanche 5 octobre 2025. A bord du véhicule accidenté, se trouvaient 4 personnes. Il s'agit selon les témoins, des membres d'une famille. Sous le choc, ils ont été tous projetés hors du véhicule. Le père, selon les témoins, a été grièvement blessé et conduit à l'hôpital.
La circulation entre temps perturbée par ce drame survenu au niveau du parc automobile, a été rétabli par la Police. Les causes réelles de l'accident restent à déterminer.
F. A. A.
A Womey, dans la commune d'Abomey-Calavi, deux cabinets d'expertise topographique ont été commis pour l'établissement d'un plan d'occupation du périmètre revendiqué par l'héritier Marcos GBETIE. Les cabinets concernés devraient également proposer un plan de restructuration du domaine objet de litige. Le maire Angelo Ahouandjinou, à travers un communiqué en date du 3 octobre 2025, a porté l'information à la connaissance du publique.
Communiqué du maire
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi a condamné un électricien à une peine de 24 mois de prison dont 3 ferme le jeudi 3 octobre 2025. Le mis en cause est reconnu coupable des faits de vol de marmites et ustensiles de cuisine.
Invité dans une maison pour de petits travaux d'électricité, un électricien profite d'un moment d'inattention des propriétaires pour commettre un vol. Il s'agit selon les déclarations à la barre, de 9 marmites, une glacière, et autres ustensiles de cuisine.
A la barre, le mis en cause a déclaré avoir pensé que les marmites en cause n'étaient plus utilisées, puisqu'elles étaient usées et se trouvaient dans un coin de la maison. Le présumé voleur a reconnu avoir vendu ces marmites à un acheteur de ferrailles communément appelé ‘'gankpo-gblégblé''.
Sur les 9 marmites, l'acheteur de ferrailles a reconnu avoir acheté seulement 3, dont une de 6 Kg, qu'il a payée à 3500 francs CFA.
A la question du juge de savoir s'il s'était renseigné sur l'origine des objets avant de les acheter, il a affirmé avoir posé la question à l'électricien, mais que ce dernier l'aurait rassuré qu'il s'agissait de ses propres marmites qu'il voulait vendre en raison de difficultés financières.
L'une des victimes a estimé à 100 000 francs CFA, la valeur de ses marmites volées. Un montant que les proches de l'acheteur de ferrailles ont versé. La seconde par contre, a déclaré ne pas vouloir de dédommagement.
Le représentant du ministère public dans ses réquisitions demande au tribunal de condamner l'électricien à 24 mois de prison, dont 12 ferme, et à une amende de 100 000 francs CFA. Contre l'acheteur de ferrailles, il a requis une peine de 18 mois de prison, dont 6 ferme, et 50 000 francs CFA d'amende.
Le juge dans son verdict, a reconnu l'électricien coupable des faits de vol de marmites et d'ustensiles de cuisine, et l'a condamné à 24 mois de prison, dont 3 mois ferme, et une amende de 50 000 francs CFA. L'acheteur de ferrailles quant à lui, a été relaxé au bénéfice du doute des faits de recel d'objets volés.
F. A. A.
Le parti Les Démocrates (LD) vient d'enregistrer la défection d'un candidat sur les 35 candidatures enregistrées dans le cadre de la présidentielle de 2026 au Bénin. L'annonce a été faite par le Secrétaire national à la communication du parti, Guy Dossou Mitokpè.
Chez Les Démocrates, un candidat jette l'éponge et se retire de la course pour la Marina en 2026 au Bénin. Sur les 35 candidatures enregistrées dans le cadre de cette élection, le nombre de dossiers enregistrées au sein du parti radicalement opposée au régime du président Patrice Talon, est désormais de 34.
L'information a été rendue publique, ce lundi 06 octobre 2025, par Guy Dossou Mitokpè, Secrétaire national à la communication du parti à travers une publication sur sa page Facebook. Ce dernier n'a pas révélé l'identité et les raisons ayant motivé le retrait dudit candidat.
Dans le cadre de la présidentielle d'avril 2026, Les Démocrates avaient lancé un appel à candidatures, le 28 septembre 2025, pour les postes de Président et de Vice-président de la République. Les prétendants à ces deux postes devraient se conformer à 11 critères, et verser une caution de 25 millions de francs CFA.
F. A. A.
Par décret en date du 03 septembre 2025, le chef de l'Etat Patrice Talon a procédé à la nomination des membres du Conseil d'Administration de la Société pour la promotion et l'appui au développement des micro-entreprises (PADME).
De nouveau membres nommés au sein du Conseil d'Administration de PADME. Les 5 membres du CA ont un mandat de 3 ans renouvelable à partir de la date de leur installation.
Ci-dessous les nouveaux membres du CA de PADME
– Cyrielle AHOUANDOGBO PERROT, représentante de la Présidence de la République ;
– Hermann Orou TAKOU, représentant le Ministère de l'Économie et des Finances ;
– Brice Russel DANSOU, représentant le Ministère des Affaires sociales et de la Microfinance ;
– Koladé OKOUDJOU, représentant le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi ;
– Kojori Adjinda d'ALMEIDA : représentant la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin).
Dans le discours d'investiture prononcée au stade municipal de Parakou, samedi 4 octobre 2025, le ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances, candidat de la mouvance à l'élection présidentielle de 2026 au Bénin, a rendu un hommage spécial au chef de l'Etat Patrice Talon. Romuald Wadagni a exprimé sa gratitude au chef de l'Etat pour avoir su poser la vision et les bases du développement et de la transformation profonde du pays.
« Monsieur le Président, vous avez transformé notre pays avec courage et détermination (…) et avec des résultats extraordinaires. Grâce à votre leadership et votre vision, le Bénin a avancé plus qu'aucun autre pays africain au cours de ces neuf dernières années. Vous avez démontré au monde que nos pays, même dépourvus de ressources naturelles, peuvent avancer, se moderniser, se développer (…) et être respectés », c'est par ce message que Romuald Wadagni, candidat des forces politiques de la mouvance présidentielle, a entamé l'hommage spécial au chef de l'Etat Patrice Talon, lors de son investiture au stade municipal de Parakou, samedi 4 octobre dernier.
Patrice Talon, selon Romuald Wadagni, a réussi en peu de temps, deux choses exceptionnelles dans l'histoire des nations « : redonner à notre peuple la fierté ; et démontrer que lorsque la vision, le leadership, le travail et les efforts de tous sont réunis, rien n'est impossible ». « Vous avez montré que l'action politique pouvait être exigeante, sérieuse, tournée vers l'avenir et la réussite. Je vous exprime ici ma profonde reconnaissance et mon respect », a-t-il ajouté rassurant d'être digne de la confiance placée en lui.
La promesse d'être digne de confiance
Le candidat à la présidentielle de 2026 au Bénin a fait la promesse d'être digne de la confiance que le président de la République porte en lui. « Je fais la promesse d'être digne de cette confiance », a déclaré Romuald Wadagni, exhortant le chef de l'Etat à « rester un guide et un phare » pour la relève.
F. A. A.
Après la mouvance présidentielle, les Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) s'apprêtent à présenter officiellement leur duo de candidat. La cérémonie officielle d'investiture est prévue pour samedi 11 octobre 2025 à Cotonou.
Les Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) vont procéder à l'investiture officielle de leur duo de candidat à la magistrature suprême le 11 octobre 2025. Paul Hounkpè, ancien ministre et ex-chef de file de l'opposition, et son colistier, seront officiellement présentés au public comme candidats de cette formation politique de l'opposition à la présidentielle de 2026 au Bénin.
La cérémonie d'investiture, selon nos sources, aura lieu à Cotonou en présence des militants, sympathisants et cadres du parti venus de toutes les régions du pays.
Marina HOUENOU (Stag)
Dans son escarcelle, UBA BENIN dispose d'une panoplie de produits pour financer l'activité des petites et moyennes entreprises (PME) au Bénin. A l'épineuse question de garanties préalables, la banque semble avoir trouvé le bon filon pour le financement des PME. Son partenariat avec la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) offre une bouffée d'oxygène aux petites et moyennes entreprises (PME). M. Saturnin Agbikossi, Directeur exécutif de UBA Bénin lève un coin de voile sur l'offre de crédit de UBA BENIN aux PME…
Quel est le contenu de l'offre de crédit que vous proposez aux PME ?
Notre offre de crédit est riche de la diversité des produits de crédit et autres financements que nous proposons. Nos PME n'auront que l'embarras du choix quant à ce qui leur convient pour booster leurs activités. En gros, nous mettons à disposition des PME la gamme de produits suivants :
• Crédit de renforcement du fonds de roulement sous forme de découvert et de crédit à court terme sur 12 mois
• Crédit de financement d'actifs sur 48 mois au maximum
• Des engagements par signatures : Cautions (caution de soumission, caution d'avance de démarrage, caution de bonne fin d'exécution ou de bonne exécution, caution de retenue de garantie, caution douanière et autres garanties bancaires)
• Avance sur marché
• Avance sur facture ou décompte
• Escompte de traite
• Financement grâce au partenariat avec la ZLECAF
• Etc
Quelles sont les conditions que doivent remplir les PME pour en bénéficier ?
Le reproche fait jusqu'ici aux banques est de ne pas souvent accompagner les PME et pour celles qui osent, la barre paraît très haute, de l'avis de ces petites entreprises. Nous entendons ces observations et je puis vous garantir que nous travaillons constamment à offrir des conditions aussi bien souples que respectant l'orthodoxie financière en termes d'octroi de crédit. A UBA, nous avons essentiellement deux types de conditions pour financer les PME. Il existe des conditions aussi bien générales que spécifiques.
Pour les conditions générales, l'entreprise doit justifier d'une existence et d'une activité légale. Elle doit avoir au préalable entrer en relation d'affaires avec la banque et ce depuis trois (3) mois au moins.
Quant aux conditions spécifiques, elles sont fonction du type de crédit, du montant et d'autres paramètres qui sont analysés au cas par cas dans l'ensemble de nos agences sur tout le territoire national. Les propriétaires de PME désireux de jouir de cette offre de financement peuvent aisément entrer en contact avec nous pour une étude plus personnalisée de leur besoin en crédit. Mais nous pouvons vous garantir que nos conditions sont assez souples pour les PME ; elles pourront s'en convaincre elles-mêmes.
Quels sont les domaines d'activités que couvre cette offre aux PME ?
Nous finançons tous les secteurs d'activité de l'économie béninoise ; qu'il s'agisse de : commerce, agroalimentaire, textile, BTP & Prestations de services, transit & consignation, quincaillerie, éducation (collège, école et université), le secteur de la santé à travers le financement des actifs et du fonds de roulement des cliniques, des hôpitaux, pharmacies, le tourisme à travers les agences de voyage, Etc.
La question de garantie demeure une problématique quand il s'agit de financer les PME. Quelle est votre approche à UBA BENIN ?
Face à la problématique de la garantie, UBA BENIN a signé un partenariat avec la Zone de Libre Echange Intercontinentale, pour leur faciliter l'accès aux crédits aux PMEs qui ne disposant pas de garantie. Par ailleurs, nous avons des partenariats avec les agences de l'Etat, les fonds de garantie et les compagnies d'assurance afin d'utiliser de nouveaux véhicules de couverture des risques
Un appel aux PME ?
UBA a mis en place un dispositif d'accueil et d'écoute des PME à travers son service qui s'occupe spécialement des PME, des produits adaptés de financement et une équipe professionnellement apte à enthousiasmer les PME. Nous les invitons donc à faire confiance à UBA BENIN qui est disposé à les accompagner pour la réalisation de leur projet ou au développement de leurs activités.
Le président Boni Yayi est de retour au pays après un court séjour en France. Il est accompagné de fils Nasser.
Si à sa descente d'avion à l'aéroport de Cardinal Bernadin Gantin de Cotonou, le leader du parti LD n'a fait aucune déclaration à la presse, de sources indiquées, tout porte à croire que le retour de Nasser au Bénin pourrait avoir un lien avec les élections générales de 2026 où ce dernier comme Rachelle ou Chabi Yayi pourraient briguer un mandat électif.
Nous y reviendrons
Le président Boni Yayi est de retour au pays après un court séjour en France. Il est accompagné de fils Nasser.
Si à sa descente d'avion à l'aéroport de Cardinal Bernadin Gantin de Cotonou, le leader du parti LD n'a fait aucune déclaration à la presse, de sources indiquées, tout porte à croire que le retour de Nasser au Bénin pourrait avoir un lien avec les élections générales de 2026 où ce dernier comme Rachelle ou Chabi Yayi pourraient briguer un mandat électif.
Nous y reviendrons
Le Port Autonome de Cotonou (PAC) inaugure officiellement son programme de communication avec les médias à travers le lancement du PAC Média Connect, une initiative destinée à instaurer un dialogue régulier avec la presse et à mieux informer le public sur ses projets et réalisations.
La première édition, tenue les 1er et 2 octobre 2025, a réuni les responsables du PAC et des médias partenaires autour de plusieurs thématiques majeures :
Le Directeur Général du PAC
– La modernisation des infrastructures portuaires
– La digitalisation des opérations
– Les initiatives écologiques et durables
Le Directeur Général du PAC, Bart Van Eenooo, a souligné que le port de Cotonou constitue une porte d'entrée pour toute la région et que les responsables actuels s'activent pour servir tout le monde. « Notre défi est de croître durablement sans impacter notre environnement. »
Grégoire André, Directeur des infrastructures, a détaillé les 44 projets en cours, dont :
– Le Terminal 5, destiné à accueillir des navires de plus de 400 mètres
– L'extension du bassin et la rénovation du quai nord
– Le parking tampon de 13 hectares, prévu pour 700 camions
– Le nouveau port de pêche et le relogement des revendeurs du Boulevard de la Marina
Malgré l'ampleur des travaux, le port reste pleinement opérationnel.
Le Terminal 5, pour les navires de plus de 400 mètresLe PAC a également entrepris une digitalisation de ses opérations pour gagner du temps et améliorer l'efficacité. Selon Emile Chabi, Chef du département SIP, cette digitalisation vise à optimiser les temps des opérations, favoriser la transparence sur les chaînes d'approvisionnement et réduire les marges de fraude.
Parmi les outils déployés : le Système Intégré des Opérations Portuaires et une plateforme de données centralisée.
Erick Akpo, responsable RSE, a présenté les efforts du PAC en matière de développement durable, illustrant l'engagement du port à concilier performance économique et responsabilité environnementale.
Le deuxième jour, les journalistes ont visité les sites en chantier, notamment le Terminal 5 et le parking tampon. Équipés de casques et gilets de sécurité, ils ont pu constater l'avancement des travaux et poser leurs questions aux responsables techniques.
En conclusion, Bart Van Eenooo a souligné que ces projets ont déjà permis une hausse du chiffre d'affaires et renforceront l'attractivité du PAC dans la sous-région. Le PAC Média Connect s'annonce comme un outil stratégique pour valoriser les ambitions du port et instaurer une relation durable avec les médias.
Le Bénin perd l'un de ses experts en finances publiques !
Assogba Zacharie Gbodjèyido, secrétaire permanent de la Commission Nationale des Finances Locales (CONAFIL), est décédé le 2 octobre 2025 à Cotonou.
Le défunt a été Chef du service financier de la mairie d'Abomey-Calavi, puis Directeur des ressources financières au ministère de la Famille.
En tant que gestionnaire du Fonds d'appui au développement des communes (FADeC), son rôle était central dans le soutien aux collectivités locales.
Le programme des obsèques n'a pas encore a été rendu public.
M. M.