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En quelques années, l'Albanie s'est placée à l'épicentre de la fraude financière mondiale, orchestrée par des réseaux criminels qui exploitent des centres d'appels pour duper des milliers de victimes à travers l'Europe. Ces escroqueries, promettant des profits mirobolants via de fausses plateformes d'investissement en ligne, prospèrent dans l'ombre d'une économie criminelle en pleine expansion.
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En Conseil des ministres ce mercredi 03 décembre 2025, le gouvernement a marqué son accord pour l'implémentation de la Plateforme de Recherche, d'Investigation et d'Analyse médico-légale (PRIAM).
Le Bénin sera bientôt doté d'un laboratoire national d'analyse ADN autonome, conforme aux standards internationaux. Ce laboratoire sera opérationnel à travers la Plateforme de Recherche, d'Investigation et d'Analyse médico-légale. La décision a été prise ce mercredi 03 décembre 2025 en Conseil des ministres.
Selon le communiqué du gouvernement, l'absence d'un dispositif d'analyse ADN constitue une faiblesse structurelle majeure dans le fonctionnement de la chaîne judiciaire des pays de la sous-région. Cette lacune impacte négativement la célérité des procédures, la résolution des affaires criminelles complexes et la souveraineté de l'État en matière de gestion des données sensibles.
La mise en place de la PRIAM, solution pertinente à cette insuffisance consistera à :
– la mise en place d'un laboratoire modulaire robotisé de 220 m², entièrement équipé, adapté aux conditions climatiques locales ;
– la formation certifiante de l'équipe technique dédiée ainsi qu'en des sessions spécifiques à l'attention de l'ensemble des acteurs de la chaîne judiciaire (Officiers de police judiciaire, magistrats, greffiers, experts techniques) ;
– un accompagnement opérationnel suivi par un laboratoire d'hématologie médico-légale européen pendant deux ans, avec assistance à l'exploitation, transfert de compétences et appui à l'obtention de l'accréditation ISO 17025.
Cet ensemble intégré selon le gouvernement, a l'avantage d'assurer la pleine opérationnalité du laboratoire au bout d'un an et l'accréditation internationale à l'issue de la deuxième année. En Afrique subsaharienne, détaille le Conseil des ministres, « un seul laboratoire de même type dispose actuellement de cette accréditation ».
La mise en œuvre de la PRIAM fera du Bénin le pôle régional de référence en analyse ADN, en raison des retombées évidentes telles que la maîtrise des données génétiques nationales ; l'accélération des procédures criminelles et l'amélioration du taux de résolution des enquêtes.
F. A. A.
Deux (02) sociétés ont été agréées au Code des Investissements, ce mercredi 3 décembre 2025, en Conseil des ministres.
Deux sociétés sont éligibles au régime des investissements spécifiques. Il s'agit de EKA WORLD SAS, pour son projet de construction et d'exploitation d'un éco-parc de loisirs dans la vallée du Sitatunga, arrondissement de Zinvié, commune d'Abomey- Calavi. La deuxième société BENIN GAS TRANSFORMATION AND SOLUTIONS SA, porte un projet d'installation d'une conduite de gazoduc reliant la centrale électrique de Maria-Gléta à la zone industrielle de Glo-Djigbé et la construction d'une station de décompression de gaz naturel comprimé, dans la zone industrielle de Glo-Djigbé.
« La réalisation de ces deux projets va impacter positivement les secteurs touristique et industriel autant qu'elle contribuera à la création d'emplois décents », informe le Conseil des ministres.
A.A.A
L'aéroport international Cardinal Bernardin GANTIN de Cadjèhoun a changé de nom. Une nouvelle dénomination a été retenue ce mercredi 03 décembre 2025 en Conseil des ministres.
L'aéroport international Cardinal Bernardin GANTIN de Cadjèhoun change de nom et devient « Aéroport Bernardin GANTIN de Cotonou ». La décision a été prise ce mercredi 03 décembre 2025, en Conseil des ministres. Selon le gouvernement, ce changement s'inscrit dans une logique de simplification et d'efficience ; la dénomination précédente étant jugée trop longue et difficile à mémoriser.
En procédant à ce changement, le gouvernement estime que l'évocation du titre de la personnalité dont l'infrastructure porte le nom, ou du quartier qui l'abrite, n'est pas indispensable.
F. A. A.
Excuses publiques : mea culpa !
C'est avec un profond respect que je fais publiquement mon mea culpa, à la suite de la diffusion, sur ma page Facebook personnelle, de publications comportant des allégations touchant à l'honorabilité du Chef de l'État....
Ce sont hélas, je le confesse à regret, des "choses rapportées", sans vérification rigoureuse des sources, ni conformité aux règles déontologiques basiques du journalisme.
Je reconnais que ces publications, émises sur ma page Facebook, ont pu prêter à confusion et donner lieu à des interprétations susceptibles de porter atteinte à l'honneur du Chef de l'État, et à la fonction, ainsi qu'à la haute fonction républicaine qu'il incarne.
Ce manquement regrettable ne procède d'aucune intention malveillante, mais d'une erreur de discernement dans la gestion de ma page Facebook.
En ma qualité de journaliste et de Rédacteur en chef, je suis pleinement conscient que toute parole publique m'engage, quelle que soit la plateforme qui lui sert de vecteur, et qu'il m'incombe de préserver la rigueur, la neutralité et la retenue propres au métier de journaliste.
Conscient de la gravité de la situation, je prends la mesure de la responsabilité que je porte à travers cette publication malheureuse, et tiens à réaffirmer mon attachement indéfectible aux valeurs républicaines et aux principes éthiques du journaliste.
En conséquence, je m'engage à :
1. Retirer définitivement les publications déshonorantes et désobligeantes de ma page Facebook personnelle ;
2. Présenter mes excuses publiquement, à travers les canaux appropriés ;
3. Renforcer la veille déontologique autour des publications, afin d'éviter toute confusion future entre l'expression personnelle et la communication professionnelle.
Je formule le vœu que mes excuses soient tenues pour sincères, avec le respect, la déférence et la responsabilité qui les anime.
ALLOCHEME Olivier
Une dispute autour de 3 millions de centimes dégénère à Bordj El Bahri et mène à l’attaque de deux enfants par des chiens de race […]
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Le gouvernement a annoncé, mercredi 03 décembre 2025 en Conseil des ministres, la création d'une commission chargée de la toponymie et de la mémoire nationale.
La création de la commission chargée de la toponymie et de la mémoire nationale participe de la volonté de « reconstruire un narratif cohérent avec le vécu de nos héros et de notre identité ».
Le gouvernement affirme vouloir inscrire l'histoire du pays dans le présent et dans les repères des générations futures. L'objectif, indique le Conseil des ministres du 3 décembre 2025, est de « rééquilibrer notre mémoire nationale, de la replacer dans le sillage de la vérité historique, de la cohésion sociale et de la fierté partagée », à travers la dénomination des lieux et espaces publics.
Le Conseil rappelle qu'elle vient renforcer « l'élan de renaissance mémorielle et identitaire de notre pays », déjà illustré par le retour de biens culturels, l'érection des statues de Bio Guéra et de l'Amazone, ainsi que la construction du Monument aux Dévoués installé dans le Jardin de Mathieu à Cotonou.
Une structure pluridisciplinaire
La commission est constituée d'experts issus de plusieurs disciplines. Le Conseil souligne qu'elle aura pour mission de proposer « une nouvelle cartographie du Bénin en ce domaine, une géographie de la mémoire et de la dignité retrouvée », en s'appuyant sur une démarche scientifique, historique et inclusive. Elle devra notamment : « identifier les lieux à rebaptiser ; constituer une base de données documentées des toponymes valorisant les figures et événements marquants du pays ; assurer la cohérence entre les nouveaux noms, l'histoire locale et la mémoire nationale ; impliquer les collectivités locales, les institutions éducatives, les communautés culturelles et les chefferies traditionnelles ; proposer des programmes de sensibilisation citoyenne et éducative autour du sens des noms attribués ; accompagner les projets de monuments, musées, jardins de mémoire et espaces commémoratifs », dans la continuité du Monument aux Dévoués.
Pour rendre opérationnelle cette nouvelle structure, le Conseil a adopté les décrets portant création, attributions, composition, organisation et fonctionnement de la commission. Il a ensuite procédé à la nomination de ses membres, officialisant le démarrage du chantier.
M. M.
En Conseil des ministres, ce mercredi 3 décembre 2025, des nominations ont été prononcées à la Présidence de la République ; au ministère de l'Economie et des Finances ; et au ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique.
A la Présidence de la République
Directeur général de l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APiEX) : Monsieur Eric AKOUTEY
Au ministère de l'Economie et des Finances
Inspecteur général des Régies financières : Monsieur Kokou Angelo AGOGNINOU
Au ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique
Conseiller technique à la Sécurité : Contrôleur général de Police Enock Marcel Omonlola LAOUROU.
Autocratisation has become a defining global trend, replacing decades of democratisation and forcing democracy promoters to rethink their approaches. Democracy promoters must adapt to several challenges, including autocratisation in target countries, the rise of powerful autocratic competitors in the global arena, and challenges to democracy in some of the very countries promoting it. Moreover, the crisis in development aid fuelled by the withdrawal of funding by the United States (US) and other countries, and their prioritisation of security, pose further structural challenges. This Policy Brief examines the effects of the global trend of autocratisation on international democracy promotion, summarising findings from a collaborative research project (Grimm et al., 2025).
The findings show that democracy promoters respond to these shifts in four ways: 1) choosing to “carry on and observe” by continuing existing programmes and maintaining cooperation rather than risking confrontation; 2) reinforcing rhetorical and diplomatic efforts for democracy, to signal continued commitment; 3) selectively adapting policies and strategies, with renewed focus on civil society, education and targeted funding, yet rarely making substantive policy changes; 4) disengaging by shifting cooperation toward less politicised fields or withdrawing entirely. So far, however, we lack evidence on the effectiveness of these responses to counter autocratisation.
Given the new challenges to democracy promotion arising from the changed international context, democracy promoters should consider taking the following actions:
Ramping up efforts to counter the rise of autocratic powers: Democracy promoters should proactively deepen their pro-democracy cooperation, reaffirm democratic alliances and maintain a clear normative profile. They should invest in long-term partnerships with governments and civil societies committed to democratic reform.
Revitalising the norm of democracy: Democracy promoters must make a case for why democracy matters, highlighting that it delivers rights and freedoms, as well as stability, prosperity, and peace – at least as effectively as autocratic regimes. Emphasising its tangible benefits can help restore faith in its long-term value, and counter the appeal of autocratic alternatives.
Coordinating strategies and combining strengths: Joint frameworks for action among democracy promoters are needed that allow for the simultaneous use of different instruments, e.g. political dialogue, development cooperation, human rights advocacy and economic incentives. Combining direct and indirect democracy promotion increases adaptability.
Adapting democracy promotion to the context: In contexts where democracy is being eroded, prioritise the defence of current democratic institutions, actors and practices rather than pushing for rapid reforms. Strengthen local actors who uphold democratic values, protect them against repression and maintain spaces for civic participation.
Restoring credibility: Democracy-promoting states and organisations should openly discuss challenges to democracy at home in order to rebuild trust, strengthen legitimacy and facilitate collaboration in defence of democracy. Reinforcing own democratic institutions and upholding the rule of law contributes to restoring the credibility of democracy promoters.
Autocratisation has become a defining global trend, replacing decades of democratisation and forcing democracy promoters to rethink their approaches. Democracy promoters must adapt to several challenges, including autocratisation in target countries, the rise of powerful autocratic competitors in the global arena, and challenges to democracy in some of the very countries promoting it. Moreover, the crisis in development aid fuelled by the withdrawal of funding by the United States (US) and other countries, and their prioritisation of security, pose further structural challenges. This Policy Brief examines the effects of the global trend of autocratisation on international democracy promotion, summarising findings from a collaborative research project (Grimm et al., 2025).
The findings show that democracy promoters respond to these shifts in four ways: 1) choosing to “carry on and observe” by continuing existing programmes and maintaining cooperation rather than risking confrontation; 2) reinforcing rhetorical and diplomatic efforts for democracy, to signal continued commitment; 3) selectively adapting policies and strategies, with renewed focus on civil society, education and targeted funding, yet rarely making substantive policy changes; 4) disengaging by shifting cooperation toward less politicised fields or withdrawing entirely. So far, however, we lack evidence on the effectiveness of these responses to counter autocratisation.
Given the new challenges to democracy promotion arising from the changed international context, democracy promoters should consider taking the following actions:
Ramping up efforts to counter the rise of autocratic powers: Democracy promoters should proactively deepen their pro-democracy cooperation, reaffirm democratic alliances and maintain a clear normative profile. They should invest in long-term partnerships with governments and civil societies committed to democratic reform.
Revitalising the norm of democracy: Democracy promoters must make a case for why democracy matters, highlighting that it delivers rights and freedoms, as well as stability, prosperity, and peace – at least as effectively as autocratic regimes. Emphasising its tangible benefits can help restore faith in its long-term value, and counter the appeal of autocratic alternatives.
Coordinating strategies and combining strengths: Joint frameworks for action among democracy promoters are needed that allow for the simultaneous use of different instruments, e.g. political dialogue, development cooperation, human rights advocacy and economic incentives. Combining direct and indirect democracy promotion increases adaptability.
Adapting democracy promotion to the context: In contexts where democracy is being eroded, prioritise the defence of current democratic institutions, actors and practices rather than pushing for rapid reforms. Strengthen local actors who uphold democratic values, protect them against repression and maintain spaces for civic participation.
Restoring credibility: Democracy-promoting states and organisations should openly discuss challenges to democracy at home in order to rebuild trust, strengthen legitimacy and facilitate collaboration in defence of democracy. Reinforcing own democratic institutions and upholding the rule of law contributes to restoring the credibility of democracy promoters.
Fin de cavale pour les auteurs d’une agression d’une rare violence qui avait secoué la wilaya de Skikda et indigné les réseaux sociaux. Les services […]
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Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 03 décembre 2025, sous la présidence du Chef de l'Etat, Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.
La Cour de cassation de Paris a rejeté le pourvoi d’Eric Zemmour ce mardi, validant définitivement sa condamnation pour complicité d’injure publique et provocation à […]
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