La Première édition des Rencontres contemporaines de Cotonou (RCC) démarre le jeudi 12 juin 2025. En prélude à ce grand évènement de valorisation de l'art contemporain, les organisateurs ont animé une conférence de presse ce vendredi 6 juin 2025.
Les Rencontres contemporaines de Cotonou, c'est du 12 au 26 juin 2025. Trois temps forts vont marquer cette Première édition qui fait suite à une édition dite ‘'Zéro''. Il s'agit selon Christel Gbaguidi, initiateur de l'évènement, d'une phase préparatoire qui a démarré depuis le 26 mai dernier par une résidence d'artistes, l'exposition des œuvres d'un artiste (Michel Taïrou), une ‘'rencontre-discussion'' avec Charly d'Almeida, et une autre avec l'attaché culturel de l'Ambassade de France près le Bénin. Après cette phase préparatoire, suivront les activités proprement dites qui vont se dérouler dans les villes de Cotonou, d'Abomey-Calavi, de Ouidah, et de Porto-Novo. Selon Christel Gbaguidi, les différentes rencontres et activités prévues dans le cadre des RCC pourraient se poursuivre après la date du 26 juin. Ces rencontres contemporaines à l'en croire, s'inscrivent dans la volonté des artistes, des galeristes, et des collectionneurs de discuter autour de l'art contemporain et de le faire rayonner à travers la ville de Cotonou et ses environs, le Bénin, et par-delà, toute l'Afrique.
En dehors des panels de discussions et des expositions, des Masterclass sont prévus pour plus d'aptitude dans le secteur de l'art contemporain.
Souveraineté et unicité, deux concepts clés
Dans un contexte de transformations géopolitiques, le sujet qui intéresse les curateurs selon Albert TRAORE, est celui de la souveraineté que chaque artiste aborde selon sa technique, ses sensibilités, ses désirs. En tant que factchecker, il rassure déconstruire au moyen de sa technique, les fausses idées véhiculées çà et là. Le curateur malien n'a pas manqué d'évoqué la question des équipements culturels marquée selon lui, par la débrouillardise. « C'est de la débrouillardise. On se débrouille pour que l'art vive, on se débrouille pour que des choses puissent exister », a-t-il confié exhortant les Etats et les institutions à faire confiance à leurs concitoyens qui portent le « flambeau de l'art ».
La mission première de la galerie Arts Vagabonds selon Christel Gbaguidi, est de « créer un marché local ». « Le marché de l'art existe dans le monde, mais dans chaque pays africain, il revient à chaque artiste, chaque acteur, à chaque galerie de faire un travail pour que les africains consomment les africains », a-t-il souligné remettant en cause l'idée selon laquelle c'est en voyageant avec ses œuvres que l'artiste parvient à les écouler. D'où la question de l'unicité qui amène d'après lui, à s'unir et à faire bloc autour des Rencontres contemporaines de Cotonou sans penser forcément à l'argent quand bien-même c'est l'élément fondamental de toute chose.
Des représentants de 6 pays africains prendront part à cette première édition des RCC. On distingue parmi eux, le malien Albert Traoré, le béninois Fritos, la camerounaise La Quine Ebène, la togolaise Christelle Adjété, la béninoise Anne-Marie Akplogan. D'autres artistes n'ayant pas pu faire le déplacement de Cotonou ont travaillé à distance avec leurs curateurs (Steven Koffi Adjayi de la galerie Charly et Daniel Agbenonhossi du Togo).
F. A. A.
Les candidats au Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC) composent du mardi 10 au jeudi 12 juin 2025 sur toute l'étendue du territoire national.
Après 9 mois de travail scolaire, les enfants des classes de 3ème, les candidats libres et les personnes en situation de handicap seront soumis dès ce mardi 10 juin aux épreuves du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC), session normale de juin 2025.
Pour cette session, 128.893 candidats sont inscrits, dont 64.209 filles, soit 49,81 % des effectifs. Ce chiffre marque une progression de 3,1 % par rapport à l'année 2024. Selon la ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Véronique Tognifodé, c'est la « preuve de la vitalité de notre système éducatif et de l'engagement de tous les acteurs à favoriser la scolarisation inclusive ».
Elle rassure les candidats et parents que toutes les dispositions ont été prises pour garantir un examen sécurisé, équitable et apaisé sur toute l'étendue du territoire national. « Vous êtes prêts. Les épreuves que vous affronterez sont conformes aux programmes enseignés. Gardez confiance en vous. Soyez disciplinés et concentrés. Ce moment est le vôtre », a ajouté Véronique Tognifodé. Elle exhorte les chefs de centres et surveillants à faire preuve de professionnalisme, de rigueur et de bienveillance pour garantir le bon déroulement des épreuves.
A.A.A
Le blanchiment de capitaux au Bénin (score de 90/100 pour ses conséquences) affaiblit les institutions et menace la sécurité régionale. La corruption, notamment dans la Justice ordinale (notaire, avocat) et étatique, mine la confiance des citoyens et décourage les investissements publics. L'attaque du commissariat de Tanougou (5 juin 2025) illustre le lien direct entre blanchiment et terrorisme : les fonds illicites, transitant par des circuits mal contrôlés, financent des groupes comme JNIM. En 2024, le Sahel a concentré 51 % des décès terroristes mondiaux, la majorité des attaques étant attribuées au JNIM et à l'État islamique au Sahel (Indice mondial du terrorisme).
Le Bénin, classé parmi les trois pays les plus vulnérables de l'UEMOA (score de 95/100, GIABA 2025), agit comme un maillon critique de l'insécurité régionale. Ses frontières poreuses et les failles de la CENTIF, limité par un manque de moyens techniques, facilitent la circulation des fonds criminels. Cette crise, régionale par nature, appelle une réponse collective : harmoniser les capacités des CENTIF et renforcer les contrôles transfrontaliers, comme ceux soutenus par l'OIM et les États-Unis (24 avril 2025, 24 Heures au Bénin).
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Sources : GIABA (2025), Indice mondial du terrorisme (2025), BBC (2025), France 24 (2025), Le Monde (2025), Le Devoir (2025), Ouestaf (2025).
L'auteur : Gilles FELIHO, est rompu au droit communautaire africain (OHADA, UEMOA, CEDEAO). Fort d'une expérience au cœur des institutions régionales (BIDC - ancien conseiller du Président - Cauris Management) et de conseil pour des réformes majeures, il possède une compréhension intime des mécanismes financiers et des vulnérabilités juridiques. Formateur Consultant et dirigeant (GSF Formation), il est aussi auteur à succès.
Un Sahara occidental indépendant dirigé par le Front Polisario deviendrait probablement une autre source d'insécurité régionale.
On pourrait oublier le Sahara occidental , un territoire situé sur la côte ouest de l'Afrique du Nord et peuplé de 600 000 habitants. Pourtant, c'est un lieu qui mérite d'être rappelé et qui traverse une période de transition dont les répercussions dépasseront largement ses frontières.
Le Sahara occidental était autrefois une colonie espagnole, mais il a été moins décolonisé qu'abandonné puis annexé par le Maroc en 1975. Après cela, les projets de référendums sur l'autodétermination n'ont jamais vraiment abouti.
Quelle que soit votre position sur l'indépendance nationale en général, dans ce cas, le Maroc est le seul obstacle à ce que le Sahara occidental devienne le foyer d'un gouvernement djihadiste.
De plus en plus de pays adhèrent à cette position. Le Royaume-Uni a récemment reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, rejoignant ainsi les États-Unis , la France et Israël . Même la Syrie s'est lassée du Front Polisario, principal mouvement séparatiste, qu'elle a expulsé du pays il y a quelques jours seulement.
Les principaux soutiens du Polisario sont l'Algérie et l'Iran, le nouveau gouvernement syrien soutenant désormais la revendication du Maroc sur ce territoire en grande partie désertique.
Avec des amis comme ça, il est clair que le Front Polisario ne devrait pas avoir une nation entière comme base d'opérations.
Un rapport du journal allemand Die Welt a révélé des liens directs entre le groupe et le Hezbollah soutenu par l'Iran, notamment des appels interceptés entre Mustafa Muhammad Lemine Al-Kitab, agent de liaison du Polisario en Syrie, et un agent du Hezbollah.
Lors de ces conversations, Al-Kitab exprime sa solidarité idéologique avec l'axe de résistance iranien , saluant l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre et envisageant un front uni incluant Gaza, le plateau du Golan, le sud du Liban et même le Sahara occidental. Il soutient explicitement l'idée d'attaques coordonnées contre Israël impliquant le Hamas, le Hezbollah, l'Algérie et l'Iran. Tout en reconnaissant les capacités limitées du Polisario, il sollicite une aide supplémentaire du Hezbollah et de l'Iran pour attaquer l'ambassade d'Israël au Maroc.
Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a accusé l'Iran d'« armer des groupes extrémistes et des entités séparatistes dans la région arabe, y compris le Front Polisario, en leur fournissant des drones dans le but de « saper la sécurité et la stabilité dans la région ». En 2022, un responsable du Polisario a déclaré que l'Iran leur fournirait également des drones kamikazes.
Autrefois perçu comme un mouvement nationaliste laïc, le Polisario s'est, ces dernières années, allié à certains des acteurs les plus radicaux de la région. Si l'idéologie marxiste a façonné le groupe, avec le soutien de Cuba et de la Libye de Kadhafi, cet héritage a laissé place à une réalité bien plus dangereuse. Aujourd'hui, les camps de réfugiés de Tindouf, dans le sud-ouest de l'Algérie – où plus de 170 000 personnes ont fui un précédent conflit avec le Maroc – sont sous le contrôle du Polisario. Ils sont devenus un vivier de recrutement djihadiste et un point de convergence pour les réseaux extrémistes opérant dans tout le Sahel.
Les liens du groupe avec l'extrémisme sont bien documentés. Adnan Abu al-Walid al-Sahrawi, ancien combattant du Polisario , a ensuite dirigé l'État islamique au Grand Sahel (EIGS) avant d'être tué par les forces françaises au Mali en 2021. En 2008, la cellule terroriste Fath al-Andalus a émergé des camps de Tindouf, suivie en 2009 par le groupe « Khilafah », qui a prêté allégeance à Daech. Un rapport des services de renseignement allemands a noté que « Daech et Al-Qaïda opèrent librement dans les camps de Tindouf et dans la région sahélo-saharienne au sens large ».
C'est le Polisario qui a mis fin à un cessez-le-feu de 29 ans en 2020, et le groupe a mené de multiples attaques contre des civils marocains depuis 2021. Le Polisario a également une longue tradition de recrutement d'enfants soldats. Une ONG basée à Genève a déclaré au Conseil des droits de l'homme de l'ONU que le Polisario empêche systématiquement les enfants de terminer leur scolarité, les forçant à suivre une formation militaire et à combattre.
Les critiques du contrôle du Maroc sur le Sahara occidental souhaitent revenir sur la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine, arguant que Washington devrait revenir à sa position de 1991, qui soutenait un référendum soutenu par l'ONU pour permettre aux Sahraouis de décider qui les gouvernerait. Cet argument, qui a pu trouver un écho dans les années 1990, est aujourd'hui dépassé et va à l'encontre des intérêts américains.
La réalité sur le terrain a changé. Le Front Polisario n'est plus seulement un mouvement séparatiste ; il est aligné sur les adversaires des États-Unis, notamment l'Iran et les réseaux islamistes radicaux. Inverser la politique américaine aujourd'hui reviendrait à fragiliser un allié régional clé , le Maroc, à un moment où son rôle dans la lutte contre le terrorisme et la stabilité régionale devient de plus en plus crucial. Pendant des années, le Polisario a agi en toute impunité. Cela doit cesser.
Les Forces armées béninoises viennent de perdre l'un de leurs anciens officiers supérieurs sous le régime de feu Général Mathieu Kérékou. Il s'agit du Colonel Gandonou Kodja Houssou, rappelé à Dieu le samedi 7 juin 2025 à l'âge de 81 ans.
Deuil au Bénin. Le colonel à la retraite Gandonou Kodja Houssou n'est plus. Il a tiré sa révérence le samedi 7 juin 2025 des suites d'une courte maladie.
Le regretté fut un bras droit de feu Général Mathieu Kérékou, et a occupé des postes stratégiques sous son régime, notamment, préfet des départements du Borgou et de l'Alibori, et des départements de l'Atlantique et du Littoral, puis ministre du développement rural, de l'agriculture et de l'action coopérative.
Revenu au pouvoir en 1996, l'ex président Kérékou le promeut au grade de Chef d'Etat-major général des armées.
Le colonel Gandonou Kodja a été admis à la retraite pour compter du 1er octobre 1997.
Paix à son âme !
La Direction générale du financement du développement a servi de cadre, jeudi 5 juin 2025, à une rencontre entre la Délégation de l'Union européenne et des responsables de l'Agence française de développement (AFD), de la Banque européenne d'investissement (BEI) et de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). La rencontre s'inscrit dans le cadre d'une mission conjointe de préparation du Projet de modernisation et d'électrification des départements du Mono, Couffo et Borgou.
Les membres des différentes délégationsVers la mise en œuvre du Projet de modernisation et d'électrification des départements du Mono, du Couffo et du Borgou. Une mission conjointe de préparation a lieu, jeudi 5 juin 2025, à la Direction générale du financement du développement.
D'un montant estimé à 170 millions d'euros (plus de 111 milliards FCFA), le projet sera financé par des prêts de l'Agence française de développement, de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, de la Banque européenne d'investissement soutenus par une subvention de l'Union européenne, dans une approche « Global Gateway et Equipe Europe affirmée ». L'initiative selon une publication de l'Union européenne, permettra de connecter au moins 70 000 ménages.
Avant la rencontre à la Direction générale du financement du développement, la mission a effectué une visite dans les départements du Mono et du Couffo les 3 et 4 juin 2025, en présence de la Directrice régionale et des agents du siège de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE), la BERD, la BEI, l'AFD et la Délégation de l'Union européenne.
F. A. A.
MTN Bénin a présenté les cinq meilleures start-up retenues pour son programme MTN Innovation Lab. Lancé le jeudi 5 mai dernier, ce programme vise à accompagner les jeunes porteurs de projets technologiques innovants les plus prometteurs du pays.
Afin d'encourager la création de solutions numériques adaptées aux besoins économiques et sociaux du Bénin, MTN Bénin soutient les start-up engagées dans l'innovation à travers son programme MTN Innovation Lab.
Pas moins de 160 start-up ont manifesté leur intérêt en s'inscrivant au programme. Au final, cinq projets ont été retenus à l'issue d'une sélection rigoureuse parmi 160 start-up candidates pour bénéficier de l'accompagnement du MTN Innovation Lab, qui a pour mission de soutenir les meilleures idées et les aider à se concrétiser.
Un accompagnement technique et stratégique
« Nous avons remarqué qu'aujourd'hui au Bénin, il y a de très grands talents avec un énorme potentiel et des projets ambitieux. En tant que MTN, nous avons estimé qu'il était de notre responsabilité d'agir. Nous avons donc décidé de mettre en place un véritable accompagnement technique sur une période de six à huit mois. À terme, ces collaborations aboutiront à des partenariats concrets », a expliqué Driss Bengeloune, responsable des innovations et des solutions digitales chez MTN Bénin.
Les 5 start-up retenues pour bénéficier de cet accompagnement, proviennent de secteurs différents. Il s'agit de « mon-assurance » qui propose une solution pour faciliter l'accès aux différents produits d'assurance ; « Elles », propose une application qui apporte une solution pour des questions liée à la santé des femmes africaines ; « Monniz », quant à elle, essaie de trouver une réponse aux difficultés de transfert d'argent vers des portefeuilles numériques en Afrique ; « Medom », offre une prise en charge médicale ambulatoires ; et « Cashless Flo », apporte une solution de gestion simplifiée des avantages salariaux.
Les start-up pourront s'appuyer sur les 9 millions de clients de MTN Bénin ainsi que sur un large réseau de partenaires, incubateurs, universités et fonds d'investissement pour développer leurs projets et atteindre leurs objectifs.
Il faut préciser que pour la mise en œuvre de son programme, MTN Bénin s'est associé à African Education & Innovation Group (AEIG), renforçant ainsi son engagement envers l'innovation et l'entrepreneuriat.
Des félicitations et un message inspirant de la directrice générale
Lors de la présentation des cinq start-up sélectionnées, Uche Ofodile, directrice générale de MTN Bénin, a salué les porteurs de projets et tous les acteurs impliqués dans le processus de sélection. « C'est avec beaucoup d'émotion que je prends la parole pour vous féliciter et vous dire à quel point je suis fière de ce que nous avons accompli jusqu'à présent. J'ai hâte de voir tout ce que nous allons réaliser ensemble », a-t-elle déclaré.
La maladie de Mpox ou variole du singe est déjà aux frontières du Bénin. Après l'annonce de cas confirmés au Togo il y a quelques semaines, les statistiques grimpent au Ghana avec 45 cas confirmés sur 300 cas suspectés en un mois.
Le nombre de cas confirmés de la maladie de Mpox au Ghana s'accroit à un rythme exponentiel. En l'espace d'un mois, 45 cas confirmés ont été enregistrés dans le pays sur plus de 300 cas suspectés. Ces chiffres ont été annoncés par les autorités sanitaires du pays, lors d'une rencontre avec la presse le mercredi 4 juin 2025. Selon ces autorités, le nombre de cas pourraient augmenter dans les prochains jours ou semaines à venir. Mais aucun décès n'est encore déploré.
Le virus Mpox en circulation au Ghana est de souche clade 2, moins dangereux que le variant qui sévit en Afrique centrale. Avant que le Ghana ne présente ses chiffres, le Togo a donné l'alerte sur la présence de cas suspects sur son territoire il y a quelques semaines.
Une situation qui nécessité le renforcement des mesures au Bénin pour éviter tout risque de contamination, au regard du trafic avec ces deux voisins.
F. A. A.
Le Gouvernement du Bénin, à travers l'Agence nationale pour l'Emploi (AnpE) et l'Agence de Développement des Petites et Moyennes Entreprises (ADPME), lance une campagne de recrutement complémentaire dans le cadre de la phase pilote d'un programme intégré de formation, de préparation à l'entrepreneuriat et d'installation, au profit de 100 jeunes futurs entrepreneurs dans le domaine de l'élevage de poulets de chair.
Selon le gouvernement béninois, ce programme vise à former une nouvelle génération d'entrepreneurs avicoles, en leur offrant : des formations techniques et pratiques spécialisées en élevage de poulets de chair ; une préparation à l'entrepreneuriat ; et une installation complète, incluant la construction de deux poulaillers, la fourniture des équipements nécessaires et des intrants de démarrage.
Les candidatures sont ouvertes du 5 au 23 Juin 2025. Lien pour postuler : https://avipreneurs.service-public.bj.
Opérateur économique en difficulté dans ses affaires, l'homme était à la recherche d'initiation dans une loge maçonnique. Mais, c'est sur un présumé cybercriminel qu'il va tomber sur internet. Jeudi 5 juin 2025, l'opérateur économique a raconté sa mésaventure au juge de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Il voulait s'initier à la franc-maçonnerie, mais c'est sur un présumé gayman qui va lui soutirer de l'argent. Jeudi 5 juin, un opérateur économique a été entendu dans le cadre d'un procès ouvert contre un présumé cybercriminel arrêté pour escroquerie via internet. L'opérateur économique aujourd'hui en fauteuil roulant a déclaré qu'il était en difficulté dans ses affaires. Pour s'en sortir, l'homme a déclaré qu'il a pensé intégrer la franc-maçonnerie. C'est ainsi qu'il a demandé à son fils de lui faire des recherches sur internet sur comment adhérer à cette secte.
Dans leurs recherches, ils vont tomber sur le prévenu qui s'est fait passer pour un grand maître de loges. Selon le témoignage de la victime, ce dernier va lui proposer de se faire initier à la grande loge de la franc-maçonnerie de Paris. Pour cela, le présumé gayman lui parle des frais d'adhésion, de costumes d'initiation et de billets d'avion. La victime confie à la Cour que le prévenu va lui donner rendez-vous à 23 heures à DHL pour recevoir ses costumes d'initiation et son billet d'avion pour la Grande loge de Paris. Il va payer 795 000 FCFA au cybercriminel avant de se rendre compte qu'il a été floué, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Convoqué à la barre, le présumé gayman ne reconnaît pas les faits. Face à son refus de reconnaître les faits, le juge lui rappelle que les numéros qui ont reçus l'argent issue de cette escroquerie sont enregistrés au nom de sa défunte mère.
Peine de prison requise
Dans ses réquisitions, le ministère public représenté par le deuxième substitut du procureur spécial près la CRIET a souligné que les faits sont constitués. Il a demandé à la Cour de retenir le prévenu dans les liens de la prévention des faits d'escroquerie via internet. Le ministère public a requis cinq ans de prison dont trois fermes et deux millions FCFA d'amendes contre le prévenu.
Le magistrat a également demandé à la Cour de faire droit à la demande de la victime et de condamner le présumé gayman à lui payer 795 000 FCFA.
Il n'y a pas de plaidoiries d'avocat en faveur du prévenu. Ce dernier n'a pas constitué d'avocat pour assurer sa défense devant la chambre correctionnelle de la CRIET. Le verdict de son procès est renvoyé au jeudi 24 juillet 2025, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Un vent violent accompagné de fortes pluies s'est abattu sur la ville de Malanville, dans le département de l'Alibori, le jeudi 5 juin 2025. D'importants dégâts matériels ont été enregistrés.
Des dégâts matériels après une tempête à Malanville ce jeudi 5 juin 2025. Selon des sources locales, 4 poteaux électriques du réseau de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE) ont été endommagés.
Par ailleurs, des dégâts ont été également enregistrés au niveau du nouveau stade de la ville. Le gazon synthétique selon Moobo FM Infos, a été arraché, la grille de sécurité mis à terre, et les climatiseurs installés dans les vestiaires emportés. Plusieurs habitations et des commerces ont été également touchés par cette catastrophe naturelle dont le bilan au plan humain reste à déterminer.
F. A. A.
Le secteur informel, qui représente 60% de l'économie béninoise, est un terrain fertile pour le blanchiment d'argent (score de 75/100, GIABA 2023). Les transactions en cash et les sociétés écrans, comme celles utilisées dans des locations illégitimes (ex. : Évenemenriel à Tissim), permettent aux criminels de dissimuler l'origine de leurs fonds.
Cette faiblesse n'est pas propre au Bénin : elle touche toute l'UEMOA, où les réseaux criminels déplacent leurs opérations d'un pays à l'autre (Nigeria, Togo) pour échapper aux contrôles. La récente coopération militaire entre le Bénin et l'Égypte, annoncée le 4 juin 2025, vise à renforcer la sécurité transfrontalière via des formations et des échanges techniques en renseignement financier. Toutefois, sans une régulation accrue du secteur informel, ces efforts resteront limités.
Pour combler cette lacune, des outils numériques émergent :
• La plateforme RASME (Remote Appraisal, Supervision, Monitoring and Evaluation), déployée par la Banque Africaine de Développement en partenariat avec la Banque mondiale, permet un suivi en temps réel des flux financiers grâce à des données géolocalisées et des tableaux de bord interactifs.
• Le système DAT-IDCanopy, adopté dans l'UEMOA, automatise la vérification d'identité (KYC/KYB) et la surveillance des transactions, réduisant les risques de fraude via l'authentification biométrique et les signatures électroniques qualifiées.
Pour les citoyens, l'impact est direct : l'argent blanchi détourne des ressources publiques, freine les investissements et alimente l'insécurité. Une supervision numérique de l'économie informelle, couplée aux accords de coopération sécuritaire comme celui avec l'Égypte, est donc essentielle pour tracer les flux criminels transfrontaliers et cibler les sociétés écrans.
Pour en savoir plus : Le livre Blanchiment en liberté est disponible sur Amazon : https://amzn.eu/d/2ulIdWC
• Sources : GIABA (2023), Diagnostic Gouvernance (2022), Africa24 (2025), Agence Ecofin (2025), Africa Exclusive (2025).
L'auteur : Gilles FELIHO, est rompu au droit communautaire africain (OHADA, UEMOA, CEDEAO). Fort d'une expérience au cœur des institutions régionales (BIDC - ancien conseiller du Président - Cauris Management) et de conseil pour des réformes majeures, il possède une compréhension intime des mécanismes financiers et des vulnérabilités juridiques. Formateur Consultant et dirigeant (GSF Formation), il est aussi auteur à succès.
Ce jeudi 5 juin 2025 à Zè-Centre, dans la commune de Zè, des chefs coutumiers ont procédé à la fermeture du couvent d'un féticheur (bokonon), soupçonné d'avoir couché avec une femme mariée qu'il a reçue en consultation.
Sanction contre un féticheur (bokonon) à Zè-Centre. Le chef coutumier a vu son couvent fermer ce jeudi 5 juin 2025. Interdiction lui est également faite d'exercer. Et pour cause, on lui reproche des faits d'abus sexuels sur une patiente qu'il a reçue en consultation. Selon Banouto, le bokonon en cause dans l'affaire d'abus sexuels a convaincu sa patiente en quête de solutions spirituelles pour des problèmes persistants dans sa vie, que l'oracle a ordonné d'avoir une partie de jambes en l'air avec elle pendant les rituels de délivrance. Une proposition à laquelle la patiente, sous contrainte de la prescription présumée de l'oracle, aurait accédé. Une fois de retour au domicile, la patiente se sentant abusée a fait des aveux à son mari. Celui-ci a saisi les chefs coutumiers de la localité pour dénoncer l'abus qu'aurait subi sa femme.
Après audition, le mis en cause n'a pas nié les faits mis à sa charge. Les chefs coutumiers de la localité ont alors décidé de fermer son couvent. Le présumé auteur d'abus sexuels sur sa patiente est également interdit d'exercer.
F. A. A.
La circulation devient de plus en plus dangereuse sur les routes béninoises. Malgré des efforts intenses depuis le début de l'année 2025, les infractions explosent. Entre le 6 mai et le 4 juin, 5025 violations du code de la route ont été relevées sur l'ensemble du territoire, a alerté la Police républicaine tout en appelant à la vigilance.
La Police républicaine a lancé depuis janvier plusieurs campagnes pour améliorer la sécurité routière. Les mesures consistent à des retraits de véhicules en mauvais état ; verbalisations des chargements hors gabarit ; délestage des camions en surcharge.
Les contrôles routiers se sont multipliés. Les radars installés sur les principaux corridors traquent les excès de vitesse.
Avant ces mesures, des campagnes de sensibilisation ont été menées dans les grandes villes et sur les axes stratégiques.
Des chiffres alarmants
Malgré tous ces efforts, l'insécurité routière persiste, et même s'aggrave ces derniers jours.
Entre le 6 mai et le 4 juin, 5025 violations du code de la route ont été relevées sur l'ensemble du territoire national. Au nombre des infractions recensées, figurent : 2 481 cas d'excès de vitesse ; 620 non-respects des feux tricolores. D'autres infractions telles que conduite en état d'ivresse, téléphone au volant, non-respect des distances de sécurité, refus de priorité, stationnement anarchique, etc. ont été signalées.
Ces comportements à risque ont contribué à une hausse notable des accidents graves, corporels ou matériels, sur les routes.
Vigilance accrue de mise
La Police appelle à une prise de conscience collective. Elle rappelle les limitations de vitesse : 50 km/h en agglomération ; 90 km/h sur les corridors, sauf dans les zones traversées par des habitations (où la limite reste à 50 km/h).
La Police insiste également sur l'importance de respecter les règles de priorité, d'éviter les distractions au volant, et de préserver la vie des usagers les plus fragiles. Il s'agit des enfants, des personnes âgées, cyclistes, personnes handicapées.
M. M.
Interpellé ce jeudi 5 juin 2025, le militant du parti Les Démocrates (LD), Kandé Kansou est placé en garde à vue et sera bientôt présenté au procureur de la République près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Des précisions sur l'interpellation de Kandé Kansou, militant LD arrêté ce jeudi 5 juin 2025 à son domicile à Akassato, dans la commune d'Abomey-Calavi. Dans une interview à la presse, l'avocat du jeune acteur politique informe que l'arrestation de son client serait liée à des infractions relevant du code du numérique et du code pénal. Me Augustin ABALLO précise qu'il a été auditionné ce jeudi, en attendant d'être présenté au procureur de la CRIET.
Kandé Kansou est un jeune étudiant et écrivain, âgé de 34 ans. Sa formation politique a donné l'alerte ce jeudi 5 juin, annonçant son interpellation à travers un communiqué.
F. A. A.
Le Plinko est un jeu de hasard dans lequel une bille descend à travers un réseau de plots pour se poser dans l'une des cases en bas, chacune associée à un multiplicateur. Bien que le résultat soit principalement déterminé par un générateur de nombres aléatoires (RNG), certaines bonnes pratiques peuvent aider à optimiser la gestion de votre budget, améliorer votre expérience de jeu et potentiellement accroître vos chances de gains à long terme. Cet article propose une analyse détaillée des mécaniques de Plinko, des approches de mise, des conseils tactiques, ainsi que des avantages et limitations des différentes stratégies.
Mécaniques du jeu et gestion du risque
Niveaux de risque (volatilité)
Lorsque vous choisissez le risque, pensez à répartir votre capital : par exemple, allouer 70 % de votre budget aux lancers à faible risque et 30 % aux lancers à risque élevé peut contribuer à équilibrer la fréquence des gains et le potentiel de gains importants.
Nombre de rangées
Adapter le nombre de rangées à votre appétence pour le risque et à vos objectifs de gains (stabilité vs. forte volatilité) est essentiel.
Stratégies de mise
Gestion de bankroll
La gestion rigoureuse du capital est la clef pour éviter de fortes pertes en cas de série défavorable :
Systèmes progressifs de mise
Plusieurs méthodes de progression existent, que vous pouvez d'ailleurs tester sur des jeux gratuits casinos, mais n'oubliez pas qu'elles n'annulent en rien la nature fondamentalement aléatoire du jeu.
Martingale
Après chaque perte, doublez la mise. Lorsqu'un gain survient, revenez à la mise initiale. Cette méthode fonctionne mieux sur des lancers à faible risque, mais elle nécessite une bankroll importante et peut mener à une perte rapide si plusieurs défaites consécutives surviennent.
Fibonacci
Après chaque perte, augmentez la mise selon la suite de Fibonacci (1, 1, 2, 3, 5, 8…). Lorsque vous gagnez, revenez deux rangs en arrière dans la suite. Il est recommandé d'utiliser cette méthode avec des multiplicateurs supérieurs ou égaux à x2, afin de garantir qu'un unique gain couvre les pertes précédentes.
Échelle (Ladder)
Vous augmentez la mise de manière linéaire après une perte (par exemple : 1, 2, 3, 4, 5 €), et revenez à la mise de départ après un gain. Cette approche est plus douce que la Martingale, mais elle requiert aussi une réserve de mises conséquente pour tenir plusieurs tours.
Approches mixtes
De nombreux joueurs combinent différents éléments pour équilibrer sécurité et potentiel de gains :
Trucs tactiques et bons réflexes
Avantages et limites des stratégies
Priorités selon votre profil de joueur
Exemple de session structurée
Voici un exemple théorique d'une session de 20 lancers, visant à combiner gains fréquents et opportunités de gains plus importants. Les montants et niveaux de réglage sont indicatifs et peuvent être adaptés à votre budget et à votre tolérance au risque.
L'idée est d'assurer d'abord une accumulation progressive de petites victoires, puis de tenter quelques coups plus ambitieux, avant de sécuriser le capital accumulé en revenant à un niveau de risque plus bas.
Nuances et limites
En conclusion
Le Plinko demeure avant tout un jeu de hasard. Aucune méthode ne garantit des gains, mais l'adoption d'une rigueur dans la gestion de bankroll, la diversification des approches de mise, le suivi régulier des résultats et l'utilisation du mode démo permet d'aborder le jeu de manière plus réfléchie et structurée. L'objectif principal est d'équilibrer fréquence des gains et potentiel de multiplicateurs élevés, tout en limitant l'impact émotionnel en cas de série négative. Plutôt que de chercher une formule magique, concentrez-vous sur une stratégie globale qui allie prudence, adaptation et plaisir de jouer.
Un homme a comparu jeudi 5 juin 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Il est poursuivi au même titre qu'un morguier du Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (CNHU-HKM) dans une affaire d'achat des restes d'un cadavre, dont l'eau de bain et les ongles. L'affaire s'est révélée lors des enquêtes menées dans le cadre du dossier des squelettes retrouvés derrière la morgue de cet hôpital.
Il voulait se procurer des restes d'un cadavre pour avoir de la chance mais c'est dans une prison qu'il va atterrir. C'est l'histoire du nommé G.A. qui a été placé en détention préventive le 24 avril 2025 pour complicité d'abus de fonction. Le prévenu est poursuivi au même titre qu'un thanatopracteur communément appelé morguier du CNHU. Jeudi 5 juin 2025, une nouvelle audience s'est ouverte dans son dossier. À cette audience, le morguier poursuivi avec mandat de dépôt pour abus de fonction dans le cadre de cette affaire et d'une autre en cours devant la CRIET n'était pas présent. Ayant comparu un peu plutôt dans la matinée, ce morguier est retourné en prison. Seul le nommé G.A. a été entendu par la Cour.
Selon les faits résumés par le juge de la chambre correctionnelle, le prévenu voulait se procurer les cheveux, les ongles, la chair et l'eau de bain d'un mort auprès de l'agent de la morgue du CNHU. L'homme aurait déclaré avoir eu besoin de ces éléments afin d'effectuer un rituel. Le prévenu affirme être revenu au pays et a eu à rencontrer des difficultés financières et professionnels. Après consultation c'était donc ce qu'on lui aurait été demandé d'apporter pour le rituel, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Devant le juge, le prévenu a tenté de nier les faits. C'est alors que le magistrat lui rappelle qu'il a déclaré sur le procès-verbal que les restes d'un cadavre notamment l'eau de bain apporterait de la chance aux commerçants et aux chefs d'entreprise.
Le juge a renvoyé le dossier au jeudi 10 juillet 2025 afin de joindre cette procédure à une autre similaire engagée contre des agents de la morgue du CNHU et d'entendre les prévenus. Selon nos informations, cette affaire a été révélée dans le cadre des enquêtes ouvertes après la découverte des squelettes de bébés derrière la morgue du CNHU de Cotonou.
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