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(B2) Un bateau de pêche norvégien a eu une rencontre, peu banale, avec une baleine jeudi dernier dans l’extrême nord du pays. La baleine blanche était munie d’un curieux harnachement, type caméra
La baleine munie de son curieux harnachement (crédit : NRK)Ce sont trois pêcheurs norvégiens qui ont fait la découverte, raconte la télévision norvégienne NRK. Joar Hesten pêchait en compagnie de son père et son frère, au large du Finnmark, la région de Laponie la plus proche de l’arctique de la Norvège, quand la baleine s’est rapprochée du bateau.
Un animal équipé d’un système Go Pro ?
L’animal « était apprivoisé », habitué à recevoir de la nourriture des humains. Il s’est rapproché sans crainte ni signe d’animosité des pêcheurs. Mais, elle avait un harnais. « A l’approche, nous avons vu qu’il y avait une sorte de harnachement. » Le harnais était même équipé d’un support type caméra Go Pro, la caméra ayant pu s’arracher sous l’eau.
Une méthode qui n’est pas l’oeuvre des scientifiques
« Ce n’est pas une méthode utilisée par les scientifiques et, autant que je sache, les scientifiques russes ne marquent pas les baleines blanches » confirme Martin Biuw de l’Institut de recherche marine interrogé par nos confrères norvégiens. « Si cela vient de la Russie, ce ne sont pas des scientifiques russes, mais la marine qui l’a fait ».
Un harnachement provenant de la marine russe…
Cet équipement ne provient « pas des scientifiques norvégiens », confirme Audun Rikardsen, professeur au département de biologie marine et arctique de l’Université arctique norvégienne de Tromsø. Et de pointer le doigt sur la Russie voisine. « J’ai été en contact avec des chercheurs russes et ils peuvent confirmer qu’ils ne font rien. Ils me disent que la marine russe à Mourmansk est très probablement à l’origine de cela. » Et d’ajouter : « Nous savons qu’en Russie, il y a des baleines domestiques en captivité et que certaines d’entre elles ont apparemment été relâchées. »
Le centre spécialisé de Mourmansk
L’Institut de biologie marine de Mourmansk, en mer de Barents, est en effet un lieu reconnu de test et d’entraînement, en secret, de différents mammifères marins — plutôt des phoques, mais aussi des dauphins et bélugas ou baleines blanches — pour des utilisations militaires, comme l’expliquait, à l’été dernier Elena Koudriavtseva du journal russe traduit dans Courrier international
(NGV)
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(B2) Le parti socialiste espagnol (PSOE) arrive en tête des élections générales tenues dimanche (28 avril), devançant largement son principal concurrent le parti populaire (PP) qui s’écroule, à un point à peine du parti centriste de Ciudadanos (CS). La gauche de Podemos perd aussi des plumes (passant en 4e position).
Après une campagne tendue, l’élection est marquée par le taux de participation : 75,78 %. Soit neuf points de plus qu’en 2016 et cinq de plus qu’en 2015, selon le ministère espagnol de l’Intérieur. Signe de la crispation politique et de la préoccupation des Espagnols.
Un PSOE sans majorité absolue, et Podemos en rase-campagne
Le Parti socialiste (PSOE) a obtenu 29% des voix et 123 des 350 sièges du Congrès des députés, soit nettement plus qu’aux législatives de 2016, mais loin de la majorité absolue de 176 sur 350 à la chambre. Une victoire qui s’est faite aux dépens de Podemos, qui n’a convaincu que 14% des Espagnols et perd 29 sièges.
Des indépendantistes et régionalistes faiseurs de rois ?
Les autres heureux sont les indépendantistes (Basques et Catalans), qui obtiennent 26 sièges dont 15 pour la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), considérée comme le parti indépendantiste le plus modéré. Ce parti pourrait devenir un faiseur de rois. Parmi les Catalans nouvellement élus, cinq séparatistes catalans, détenus et jugés actuellement à Madrid pour leur rôle dans la tentative de sécession de la Catalogne en 2017. A ceux-là, il faut ajouter les nationalistes du Parti national Basque (PNV).
La droite fragmentée
Très fragmentés, les partis de droite ne cumulent pas suffisamment de sièges pour prétendre à une alliance contre le bloc de gauche, permettant de répéter le succès obtenu aux élections régionales d’Andalousie, en décembre 2018. Et ce, malgré l’irruption du parti d’extrême-droite (Vox) avec 10% des voix. Le nouveau parti n’a pas fait l’entrée fracassante prédite, mais récupère une partie des déçus de la droite. Les conservateurs du Parti populaire (PP) ont en effet perdu la moitié de leurs sièges, et retombent à 66 députés, contre 137 en 2016. Les libéraux de Ciudadanos ont réussi une belle percée, passant de 32 à 57 députés.
Un difficile jeu des alliances commence
Le résultat est un parlement fragmenté et des divisions exacerbées par la tentative de sécession de la Catalogne en 2017. Le PSOE, qui n’a pas la majorité absolue, devra former une coalition pour gouverner. Si l’intuition naturelle serait de s’allier avec la gauche de Podemos, les socialistes pourraient aussi se tourner vers les libéraux de Ciudadanos. L’association avec l’ECR est difficile, puisque ce sont eux qui ont fait tomber le gouvernement actuel, refusant de le soutenir pour adopter le budget de 2019. Le besoin d’une coalition s’impose désormais à tous les partis. Aucune tête de liste n’a fermé la porte à des alliances avec d’autres partis (à l’exception de l’extrême droite), sachant que ce type d’attitude avait mené à un blocage en 2015, et à l’organisation de nouvelles élections en 2016.
(NGV & LH)
Résultats 2019 – 4h34 du matin – avec 99,99% des bulletins – comparaison 2016 dans le cercle intérieur (source : El Pais)Cet article Espagne. Le PSOE sort vainqueur sans majorité absolue est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
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Cet article (B2 Pro) Carnet (29.04.2019). Confidentiels (COPS, Présidence finlandaise, Sommet de Sibiu, EUFOR Althea). Défense (10e priorité, France plainte ONG, Allemagne inspections, Statistique SIPRI). Diplomatie (USA Traité armes, Sahel Merkel, UE-Japon sommet, Egypte état de droit, Arabie saoudite exécutions). Aides (Syrie). Sécurité (Frontex Bosnie, Asile 2018). Pouvoirs (Perquisitions DGSI). Elections 2019 (Eurodéputés influents, Grèce sondage). A suivre.. est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Le Conseil de sécurité de l’ONU met le cap sur la lutte contre le financement du terrorisme (résolution 2462) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) C’est finalement aux Seychelles qu’ont atterri les cinq suspects d’actes de piraterie arrêtés dans le cadre de l’opération EUNAVFOR Atalanta
Les suspects avaient été arrêtés mardi (23 avril) dernier par les marins espagnols après une course poursuite dans les eaux de l’Océan indien qui a duré deux jours (lire : Les pirates repartent à l’attaque. Un bateau-mère stoppé net dans l’Océan indien).
Deux des cinq pirates arrêtés blessés
Ils ont été remis aux autorités seychelloises jeudi (25 avril), dans l’après-midi, par l’équipage du navire-amiral espagnol ESPS Navarra. Deux des suspects qui ont été blessés dans la tentative d’attaque ont été pris en charge de façon médicale.
La réactivation d’un accord non appliqué depuis plusieurs années
Ce transfert est l’application d’un accord qui lie depuis 2009 l’Union européenne à l’archipel de l’Océan indien. C’est le dernier accord qui reste actif, à disposition des Européens (1). Les Seychelles ont ainsi reçu plus de 170 suspects d’actes de piraterie, selon la base de données ‘piraterie’ de B2. Une vingtaine de dossiers ont été instruits aboutissant à des condamnations dans deux tiers des cas environ. Une centaine de suspects ont été déclarés coupables et condamnés.
Un accord non utilisé depuis plusieurs années
Mais l’accord est resté inappliqué depuis près d’un an et demi, du fait de la chute de la piraterie dans la région. Le dernier transfert remonte à novembre 2017 par l’ITS Virginio Fasan après l’attaque du Galerna III. Tandis que le dernier dossier piraterie jugé aux Seychelles l’a été en 2016 pour des faits remontant en 2014. Il y a encore 20 détenus somaliens à la prison de l’archipel, à la Montagne Posée, selon l’agence de presse seychelloise.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Un seul accord pleinement opérationnel ?
Le Kenya a décidé de ne plus admettre de prisonniers transférés par l’Union européenne. L’ïle Maurice n’est plus très chaude. Et l’accord avec la Tanzanie n’a jamais reçu d’application concrète. Les accords avec ces deux derniers pays ont d’ailleurs fait l’objet d’un arrêt en annulation par la Cour de justice européenne, en juin 2014, les estimant non conformes aux règles institutionnelles européennes (lire : Transfert de pirates dans l’Océan indien à la Cour : un acte de politique étrangère ?). Le Parlement européen ayant vu ses droits à l’information ‘légèrement’ contournés… Les effets de ces accords sont maintenus par la Cour. Mais cette validité reste fragile.
(NGV)
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Cet article (B2 Pro) Contre-terrorisme : l’UE et l’ONU s’accorde sur un nouveau cadre de coopération est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) Les stagiaires du bataillon d’infanterie territorial (BIT) des FACA ont reçu leur certificat de fin de stage au camp Kassaï
(crédit: EUTM RCA)La formation avait débuté le 16 janvier. Durant douze semaines, les stagiaires des forces armées centrafricaines (FACA) ont été formés par les instructeurs européens de la mission de formation en Centrafrique (EUTM RCA).
Pour obtenir leur sésame, les militaires du BIT 4 ont été évalués au tir, au parcours d’obstacles, à la topographie, au combat, au secourisme, ainsi que leur capacité à tenir et gérer un poste de contrôle. Les diplômes ont été remis le 16 avril au camp KassaÏ.
(MHA)
Cet article Fin de formation pour le 4ème bataillon d’infanterie territoriale en RCA est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
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(B2) Le futur Parlement européen sera caractérisé par le morcellement des forces politiques, mais aussi par la progression des eurosceptiques. Parmi ceux-ci, les Conservateurs et réformistes européens (ECR) semblent être les seuls à avoir une tendance à la baisse. Ils pourraient perdre au moins une dizaine de sièges et ainsi passer de troisième à cinquième voire sixième groupe.
Un groupe politique en hausse depuis sa création, en 2009
Cette formation conservatrice eurosceptique a été fondée en 2009 à l’initiative de l’ancien premier ministre britannique, David Cameron. Elle avait alors 54 députés européens. Depuis, le groupe politique est devenu le troisième (en taille) au sein du Parlement européen, avec 77 députés, de 19 pays et 26 partis politiques différents. Le groupe s’est agrandi, il y a tout juste quelques semaines, avec l’incorporation de deux députés des Démocrates suédois, attachés auparavant au groupe Europe des libertés et démocraties directes.
Les députés conservateurs sont anti-immigration, pro-Atlantistes et libéraux sur le plan économique.
Un Tchèque comme tête de parti
S’ils n’ont que très peu de chances d’obtenir la présidence du Parlement européen ou de la Commission européenne, le groupe a décidé de jouer le jeu des Spitzenkandidat et a élu le député tchèque Jan Zahradil comme tête de liste.
La participation britannique, pas si décisive
Aujourd’hui, les députés britanniques sont 19, soit près d’un quart du groupe. La participation (ou pas) du Royaume-Uni aux élections européennes est donc perçue comme déterminante pour la composition du futur groupe. Leur départ affaiblirait le groupe politique, le reléguant à la cinquième ou sixième place. Pour autant, leur présence ne sera pas suffisante pour permettre au groupe de se maintenir à sa position actuelle. Selon les derniers sondages, les Conservateurs britanniques (Tories) s’effondreraient aux européennes, et perdraient sept de leurs 19 députés actuels. Ces prévisions reflètent d’abord l’échec politique de Theresa May mais aussi la tendance générale européenne de déclin des partis de gouvernement et la poussée des eurosceptiques.
Le PiS polonais en position prédominante
L’autre grand parti au sein du groupe politique est le PiS (Droit et Justice), le parti conservateur et eurosceptique au pouvoir en Pologne. Il devrait d’ailleurs passer de 19 à 22 sièges dans le prochain Parlement, sous le leadership de celui qui est le numéro deux du groupe à Bruxelles, Jaroslaw Kaczynski.
Les « petits » pays maintiennent leur présence
Le reste du groupe est actuellement renforcé par une petite vingtaine de députés, venus de plusieurs pays principalement à l’est de l’Union, que ce soit au sud ou au nord. On retrouve ainsi l’Irlande, la Grèce, la Croatie, Chypre, la Lettonie et la Lituanie, parmi les pays où sont attendus un député pour la formation. Bulgarie, Tchéquie, Roumanie mais aussi Pays-Bas, Finlande et Suède apporteraient deux députés chacun.
Danemark, Italie et Allemagne en ordre dispersé
Au Danemark, le parti Dansk Folkeparti est en légère chute. Il devrait obtenir uniquement deux députés, soit un de moins qu’aux élections antérieures. Côté italien, quatre à cinq députés devraient participer au groupe, principalement venus du parti Fratelli d’Italia, conduit par l’arrière petit-fils du dictateur Benito Mussolini. Outre Rhin, les prédictions sont difficiles. Le parti Alternative pour l’Allemagne (AfD) devrait passer de cinq à 11 sièges. Pour autant, sa tête de liste, Jörg Meuthen, s’est beaucoup rapproché de Matteo Salvini et pourrait pousser ses compatriotes à rejoindre l’ENL.
Que ce soit au Danemark, en Italie ou en Allemagne, la permanence de leurs 18-19 députés dans le groupe n’est pas acquise. Tant le PPE que les extrêmes droites ont lancé leurs opérations de séduction.
Quid de l’arrivée de nouveaux de nouveaux partis ?
Pour l’instant, le groupe n’a jamais eu de membres français ni espagnol. Cela pourrait changer. En France, Nicolas Dupont-Aignan et son parti (Debout la France), l’ancien associé de Marine Le Pen, a annoncé vouloir rejoindre ce groupe, le présentant comme le seul à avoir des propositions eurosceptiques structurées. Le Néerlandais Thierry Baudet (Forum for Democracy) a fait de même. Une conférence de presse conjointe était organisée à Paris, le 27 février, pour faire l’annonce, à laquelle s’étaient déplacés le co-président Ryszard Legutko (PiS, Pologne), ainsi que le Tchèque Jan Zahradil.
L’inconnue espagnole
En Espagne, l’inconnu est le parti d’extrême droite VOX. Tout juste arrivé dans les institutions, il pourrait obtenir six sièges et rejoindre l’ECR. Kosma Zlotowski, trésorier du groupe, a joué le rôle de parrain du parti espagnol, pour l’introduire à Bruxelles, avec notamment une conférence de presse pendant laquelle Santiago Abascal a pu présenter son programme. Zlotowski a également accompagné Abascal pour visiter la clôture de Melilla en pleine campagne législative en Andalousie. On l’a vu plusieurs fois à Madrid. Toutefois, les indépendantistes flamands, soutiens de Puigdemont, siègent également dans le groupe, alors que Vox a fait de la Catalogne son fer de croisade. Le plus logique serait donc de les associer à l’ENF de Matteo Salvini et Marine Le Pen.
Une alliance avec l’extrême droite : entre possibilité et rivalité
Une alliance, voire une refonte, avec les partis plus à droite est possible, et même espérée par certains. Marine Le Pen veut créer une Alliance européenne pour les peuples et les nations (AEPN), regroupant notamment l’ECR. Selon elle, ni les Allemands de l’AfD ni Vox ne vont rejoindre les conservateurs. La Française s’est montrée confiante, dans une interview au journal belge Le Soir. « Peut-être que, quand les Polonais s’apercevront qu’ils n’ont pas intérêt à garder un groupe plus faible que précédemment, ils reviendront à la négociation. » Le co-président polonais s’y oppose fermement pour l’instant, affichant ouvertement son ambition d’être incontournable à Bruxelles après le 26 mai. Le groupe se veut un allié naturel du PPE pour constituer une majorité. Au niveau idéologique, l’ENL est jugée trop protectionniste. Dernier élément, et pas des moindres, le refus de s’associer au nom de Le Pen, une « marque toxique », selon un membre du parti.
(Leonor Hubaut)
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