Le doyen de la daïra Ifri-Ouzellaguen (wilaya de Béjaïa), Tahar Aksas, s’est éteint samedi dernier à l’âge de 104 ans. Le défunt, un ancien retraité de la Belgique, a eu droit, en 2014, à un hommage particulier qui lui a été rendu par les citoyens de son village Ibouzidène, à l’occasion de la célébration de son centenaire. Après son retour au bercail, Dda Tahar, comme l’appelaient les siens, consacrait le reste de sa vie à des activités agro-pastorales (élevage, arboriculture, produits du terroir…). Les obsèques de ce centenaire ont eu lieu hier au quartier de Hellouane (commune d’Ouzellaguen), en présence d’une foule nombreuse.
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Le flux de migrants transitant par le Niger vers la Libye et l’Europe a chuté « de plus de 95% » entre 2016 et 2017, a annoncé lundi le président du Parlement européen, Antonio Tajani. « En apportant un soutien financier et un partenariat solide, l’Union européenne a permis au Niger de réduire de plus de 95% les flux migratoires vers la Libye et l’Union européenne », a souligné M. Tajani dans un communiqué publié à la veille d’une visite de deux jours au Niger, frontalier de la Libye. « En 2016, 330.000 personnes ont traversé le Niger pour se rendre dans l’Union en passant par la Libye. En 2017, ils étaient moins de 18.000 et, en 2018, environ 10.000 ».
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Kiki Sagbe Bernard alias KGB vient d'être confié à la justice béninoise. Plusieurs fois annoncée, son extradition a été effective ce lundi 16 juillet 2018.
Poursuivi pour une affaire d'escroquerie, il a réussi à quitter le Bénin le 26 avril 2018 pour se réfugier à Lomé. Un mandat d'arrêt international a été délivré à son encontre. Ce qui a permis son interpellation le mercredi 30 mai 2018 à Lomé au Togo. La justice togolaise l'avait retenu pour, dit-on, une question de formalités.
Plusieurs personnes sont en détention dans le cadre de ce qu'il convient d'appeler ‘'dossier KGB''.
F. A. A.
Les images
L'homme d'affaires Bernard Godonou Kikissagbé, alias KGB, arrêté au Togo en Mai dernier, a été remis aux autorités béninoises ce lundi 16 juillet 2018 autour de 16 Heures.
Après l'échec du vendredi 13 juillet dernier, le transfèrement de KGB a eu lieu ce lundi 16 juillet 2018 à Hilacondji sous la supervision du colonel François Fontèclounou. Après les actes administratifs, l'Homme d'affaires a été conduit sous escorte à Cotonou où il sera présenté au Procureur de la République.
Il convient de rappeler qu'il est reproché à Monsieur Kiki Sagbe Bernard des faits présumés d'escroquerie, d'imitation de la signature des autorités etc.
Dans ce dossier une dizaine de prévenus sont sous mandats de dépôt. Nous y reviendrons.
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui a affirmé, lundi, que l’Algérie continuera à rapatrier les migrants clandestins vers leurs pays d’origine.
Au terme des travaux de la 6e session du comité bilatéral frontalier algéro-nigérien, tenue au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif Rahal, le ministre de l’Intérieur a souligné que les efforts de l’Algérie visent à réduire le phénomène de la traite des êtres humains qui est répandu en Afrique.
A noter que Nourreddine Bedoui a affirmé dimanche que l’Algérie n’accepterait pas de centre de détention pour migrants en Algérie.
“Je pense qu’on a été clair”, a-t-il dit.
Par ailleurs, il a annoncé la détermination de l’Algérie d’aider les services de sécurité nigériens en vue de surmonter toutes les difficultés qu’ils rencontrent.
En outre, il a indiqué que la rencontre avec les responsables nigériens a débouché sur un certain nombre de recommandations, ajoutant que l’Algérie contribuera à renforcer l’action de la police nigérienne tout en intensifiant le travail des services de sécurité des deux pays à travers leur frontière commune.
Le représentant du gouvernement a fait remarquer que les deux pays ont mis l’accent sur la nécessité d’échanger des renseignements en vue de démanteler les réseaux de la traite des personnes.
“En application des instructions du Président et de son homologue nigérien, et vu les défis sécuritaires des deux pays et la relation avec le crime organisé font que cette rencontre soit une opportunité et un cadre de concertation pour la conjugaison des efforts pour la réalisation de la paix, de la sécurité et du développement dans les deux pays”, a déclaré Bedoui.
Mohamed Lahouazi / Traduit par: Moussa. K.
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ALGER – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a reçu lundi à Alger, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique, de la Décentralisation et des Affaires coutumières et religieuses de la République du Niger, Mohamed Bazoum, qui effectue une visite de travail à Alger dans le cadre de la tenue de la 6ème session du Comité bilatéral frontalier algéro-nigérien (CBF), indique les services du Premier ministre dans un communiqué.
L’audience s’est déroulée en présence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, ajoute la même source.
Lors de cette session, les deux parties se sont penchées sur les questions liées au développement socioéconomique au niveau des régions frontalières, la sécurité et la circulation des personnes, notamment la sécurisation des zones frontalières.
Le Comité bilatéral frontalier a été créé conformément au protocole d’accord du 30 octobre 1997 à Alger, en vue de renforcer la coopération au niveau des villes frontalières à travers la promotion des échanges, notamment dans le domaine de la coopération sécuritaire au niveau des frontières, la mobilité des personnes, ainsi que la coopération socio-économique dans toutes ses dimensions.
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ALGER – Un total de 554 véhicules multifonctions et tout-terrain, de marque « Mercedes-Benz » Classe G et Sprinter, ont été livrés lundi au profit de plusieurs institutions et structures nationales publiques et privées, indique le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Il a été procédé aujourd’hui, lundi 16 juillet 2018, à la livraison de 554 véhicules multifonctions et tout-terrain, dans différentes versions (transport de troupes, véhicules pour la police scientifique et d’intervention, fourgons tôlés, véhicules anti-incendie, transport d’écoliers et ambulances médicalisées et sanitaires) de marque Mercedes-Benz, Classe G et Sprinter, fabriqués par la Société algérienne de Fabrication des Véhicules à Bouchakif/Tiaret/2e RM, et ce, au profit de la Direction centrale du Matériel relevant du MDN, le ministère de la Justice, la Direction générale de la Sûreté nationale, la Protection civile et d’autres structures nationales publiques et privées », précise la même source.
L’opération s’inscrit « dans la continuité de la concrétisation du programme de relance économique, initié par le Président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, visant à redynamiser l’industrie nationale et à limiter la dépendance étrangère de l’économie nationale, et en exécution des instructions du Général de Corps d’Armée, vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire, relatives au développement qualitatif du potentiel industriel militaire pour la satisfaction des besoins de nos Forces armées », souligne le communiqué.
Cette nouvelle livraison « dénote de la détermination du Haut Commandement de l’ANP à développer une industrie nationale de défense selon les normes internationales et à garantir un produit de haute qualité, en plus de la création de postes d’emploi permanents, tout en assurant une formation qualitative aux personnels et satisfaire les besoins exprimés par ses clients, afin d’atteindre les objectifs tracés », conclut le MDN.
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Démarrée ce lundi 16 juillet 2018, sur toute l'étendue du territoire national, la phase écrite du Bac a été officiellement lancée par le ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Marie Odile Atanasso, au Collège d'enseignement général de Tori Agouako, dans la commune de Bossito. Elle était accompagnée du ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Mahougnon Kakpo.
Déjà à 8 heures, la délégation ministérielle était dans une salle de composition du Ceg de Tori Agouako pour le lancement des épreuves. Ce centre nouvellement créé, accueille au total 392 candidats des séries A1, A2, B et D répartis dans 12 salles de compositions. Avant le démarrage de la composition de la toute première épreuve qu'est le Français, les autorités ont prodigué des conseils aux candidats. « Toutes les dispositions sont prises pour que les apprenants puissent bien affronter les épreuves bien que l'année scolaire en cours a été secouée par des mouvements de grèves », a confié le ministre Mahougnon Kakpo. Selon chef centre Adolphe Kounou, l'examen s'est bien démarré au Ceg Tori Agouakou.
Outre l'épreuve de Français, les candidats sont soumis durant cette première journée à celles de Mathématiques et de Science de la vie et de la terre (Svt).
Ils sont au total 106.499 candidats, répartis dans 147 centres à composer au plan national en vue de l'obtention du premier diplôme universitaire.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
La traversée de Kandi bientôt impossible. L'état actuel de la route principale qui traverse cette localité est en passe de céder au niveau du pont érigé en plein cœur de la ville.
Les riverains de la route inter-Etats Bénin-Niger en difficulté. Et pour cause, la seule voie de traversée de la ville de Kandi est en état de dégradation avancée. Selon les informations, c'est après une pluie que les riverains ont constaté des fentes au niveau du pont qui ne peut plus supporter aucune charge lourde. Il faut juste une petite charge pour que la chaussée soit coupée en deux à la hauteur de la CLCAM Kandi. L'état de dégradation avancée de la voie a été mis à nu ce lundi matin par les eaux de ruissellement de la pluie qui s'est abattue sur la ville. Le phénomène est visible au niveau du pont situé entre la BOA et la CLCAM, où les buses sont déconnectées du plancher. A cause du risque d'effondrement de la voie, le trafic a été orienté sur un autre trajet. Le préfet du département de l'Alibori Mohamadou Moussa, le maire Alidou Démonlé Moko, le responsable en charge des TP et quelques responsables de la police Républicaine sont allés faire le constat sur les lieux.
La circulation sur cette voie inter-Etats pourrait être bloquée, si le ministère des infrastructures et des transports ne fait pas diligence pour trouver une solution à cette situation.
G.A.
Les rumeurs faisant croire qu’une nouvelle nomenclature des prix des véhicules neufs construits localement verra bientôt le jour, font espérer tout le monde.
Le marché automobile stagne. Peu de ventes et peu d’achats s’y effectuent. Les vendeurs, tout comme les acheteurs sont dans l’indécision. Les rumeurs faisant croire qu’une nouvelle nomenclature des prix des véhicules neufs construits en Algérie verra bientôt le jour, font espérer tout le monde. Les rumeurs sont plausibles pour ces derniers, car le gouvernement a lancé récemment une étude quant à l’éventualité de réduire les prix de ces véhicules jugés par d’aucuns d’exorbitants. Le gouvernement a fait savoir en effet qu’une enquête concernant les prix des pièces détachées importées et celles fabriquées localement, ainsi que les autres frais, sera lancée auprès des constructeurs locaux, et ce, afin de déterminer avec exactitude le coût réel du véhicule à sa sortie de l’usine. «Le coût du véhicule fabriqué localement ne doit jamais dépasser le prix de celui importé», s’est engagé récemment le ministre de l’Industrie et des Mines. Il faut dire à ce propos que ce qui révolte les Algériens quant aux prix des véhicules fabriqués localement est le fait que les prix de ces derniers dépassent de loin ceux importés.
Un état de fait qui a fait dire d’ailleurs de ceux-ci dans le cadre de la campagne «kheliha tetesda, laissez-la se rouiller», lancés sur les réseaux sociaux, que ces usines sont une illusion. Pis encore, une malédiction, car ces dernières ont fait flamber aussi les prix des véhicules d’occasion. Ces derniers se vendent en effet à des prix inabordables. La campagne «laissez-la se rouiller», n’a pas laissé, par ailleurs, les constructeurs automobiles en Algérie indifférents. Ils ont décidé en effet de réduire un peu les prix de leurs véhicules sur le marché. Cependant leurs remises n’ont pas été à la hauteur. Pour preuve, la campagne en question est toujours de mise. Le non- enthousiasme de ces constructeurs à revoir les prix de ces véhicules à la baisse a fait réagir l’Association nationale des concessionnaires automobiles et leurs agents. Pour Youcef Nebbache, président de ladite association, la faute est au gouvernement. «Ce dernier n’aurait pas dû se contenter d’un simple rappel pour les constructeurs, mais il aurait dû les obliger», a-t-il souligné, appelant le gouvernement à faire impliquer les services de la douane et du commerce dans l’enquête qu’il a engagée.
Le gouvernement doit aussi intervenir en ce qui concerne le contrôle des spéculateurs dans le marché automobile. «Les spéculateurs agissent encore en toute liberté dans ce domaine et imposent leur diktat», fera-t-il remarquer. Interrogés par ailleurs par nos soins sur le fait que les prix des véhicules ont connu une certaine augmentation durant cet été, de nombreux professionnels ont indiqué que l’arrivée des émigrés et la multiplication des fêtes ont contribué à augmenter la demande sur les véhicules. «Le désordre qu’a connu le marché de la location de voitures après la crise vécue par le marché de l’automobile en Algérie, met ces personnes-là dans l’obligation d’acheter des véhicules et les revendre une fois leurs congés ou fêtes seront terminées», nous a indiqué un professionnel. Au sujet du marché de la location de voitures, force est de constater que ce dernier a pratiquement disparu dans beaucoup de wilayas. Toutes les agences qui assuraient cette prestation ont baissé rideau et changé d’activité.
Il est à rappeler par ailleurs que l’origine de la crise qu’a connue le marché de l’automobile en Algérie, est principalement due à la décision de l’interdiction de l’importation de voitures décidée il y a 3 ans. La décision du gouvernement prise au lendemain de la baisse des recettes du pétrole, visait, rappelons-le, à préserver la devise et encourager une industrie nationale en automobile. Pour y parvenir, le gouvernement a pris un tas de mesures. Il a soumis entre autres les constructeurs automobiles à l’augmentation du taux national d’intégration et du transfert de la technologie. Ces objectifs sont en voie d’être atteints.
Le vieux constructeur automobile en Algérie, à savoir Renault, est arrivé en 2017 à 30% de taux d’intégration. Notons enfin que les besoins du marché automobile en Algérie est de 700.000 véhicules/an. Les capacités de production nationale ne dépassent pas pour l’heure 40% de ce taux.
Par Madjid BERKANE.
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Le ministre de la Santé n’a toujours pas procédé à l’installation de la nouvelle commission des experts scientifiques au niveau de son département sachant que l’ancienne commission a été dissoute depuis les changements effectués au niveau des responsables des chefferies de service hospitalières. Un retard qui n’est pas sans conséquences puisque plusieurs projets pharmaceutiques sont en attente de validation.
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Rien n’indique qu’Alger va abriter l’une des plus importantes manifestations sportives du continent africain, en l’occurrence les Jeux africains de la jeunesse (JAJ), qui se tiendront du 18 au 28 du mois en cours. En effet, aucune affiche encore moins des banderoles ou des emblèmes des 52 pays participants n’ont été mis en évidence pour annoncer cet évènement. Les structures en charge, le MJS, le COA, la DJSL d’Alger ou encore la Wilaya d’Alger sont aux abonnés absents, donnant ainsi l’impression qu’ils ne sont nullement concernés par cette manifestation parrainée par le premier magistrat du pays.
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