La Police républicaine a renforcé les connaissances des journalistes et acteurs culturels sur la police communautaire, la prévention de l'extrémisme violent et la lutte contre la désinformation. L'atelier s'est tenu les 26 et 27 novembre 2025 à Dassa-Zoumè.
25 journalistes et acteurs culturels ont été outillés pour une pratique médiatique plus responsable. L'objectif de la formation de deux journées, organisée par la Police républicaine avec l'appui de la coopération belge Enabel, est de faire des participants des relais d'information fiables et des acteurs de cohésion sociale.
Les échanges tenus les 26 et 27 novembre 2025 à Dassa-Zoumè ont tourné autour de quatre communications.
Le commissaire Ambroise Hounhouédo a ouvert les travaux avec un rappel historique et conceptuel sur la police communautaire.
Le commissaire Jérémie Avadji a ensuite présenté les missions de la Police républicaine et ses relations avec la presse.
Deux interventions ont suivi : l'une sur l'intégrité de l'information, assurée par Romuald Vissoh, l'autre sur le rôle des médias dans la prévention de l'extrémisme violent, conduite par le commissaire major Jacques Singbo.
Former pour prévenir
Selon les participants, ces sessions ont permis d'affiner leur compréhension des enjeux sécuritaires et de mieux mesurer leur responsabilité face aux risques de radicalisation. L'initiative a également mis en avant l'importance d'une collaboration étroite entre médias, acteurs culturels et forces de sécurité.
Pour la Police républicaine, cette démarche s'inscrit dans une stratégie plus large de prévention et de rapprochement avec les communautés. L'information fiable et la vigilance citoyenne restent des piliers essentiels pour contenir les menaces d'extrémisme violent au Bénin, selon la Police.
M. M.
La fintech panafricaine Zazu annonce une levée de fonds pré-seed de 1 million de dollars. L'opération réunit plusieurs investisseurs africains et européens.
Zazu accèlère son déploiement en Afrique du Sud et au Maroc avant une expansion continentale en 2026. La startup veut devenir la première plateforme bancaire panafricaine dédiée aux entrepreneurs et aux PME. Elle a annoncé, ce 1er décembre 2025, la levée de fonds pré-seed de 1 million de dollars auprès dʼinvestisseurs africains et européens de premier.
« Nous construisons l'OS financier des entreprises africaines », affirment les fondateurs de Zazu.
La levée rassemble Plug and Play Ventures et un groupe d'anges investisseurs reconnus de l'écosystème fintech. On y retrouve notamment Zachariah George (Launch Africa Ventures), Axel Peyriere (AUTO24.africa), Akshay Patel (Paymentology), Ismael Belkhayat (Chari) ou encore Sophie Guibaud (Fiat Republic). Plusieurs membres fondateurs de Qonto et Solarisbank complètent le tour. Zazu revendique ainsi « l'un des cap tables les plus expérimentés de la fintech africaine ».
Fondée par Germain Bahri et Rinse Jacobs, anciens dirigeants de Solarisbank, Zazu veut offrir une expérience bancaire professionnelle moderne, inspirée de Mercury mais « adaptée aux réalités africaines ». La plateforme est déjà testée par plus de 50 PME, tandis que 1 000 entreprises figurent sur la liste d'attente.
Zazu entend servir les 50 millions de PME sous-bancarisées du continent. Les fondateurs misent sur une combinaison d'expertise européenne et de connaissance fine des marchés locaux.
La solution est déjà opérationnelle en Afrique du Sud et au Maroc. Elle s'appuie sur des intégrations avec Paystack, Shopstar ou Ozow. La startup revendique plus de 20 partenariats avec l'écosystème local. Elle a rejoint le Visa Accelerator Program, été élue KPMG Enterprise Innovator of the Year 2025, et figure dans les PwC Fintechs to Watch 2025.
Le choix de l'Afrique du Sud et du Maroc n'est pas fortuit. Les deux pays disposent de marchés entrepreneuriaux dynamiques et d'infrastructures fintech avancées. Ensemble, ils concentrent plus de 5 millions de PME et un marché B2B de plusieurs dizaines de milliards de dollars. Deux « portes d'entrée naturelles » vers le sud et le nord du continent, selon Zazu.
Forte de ses premiers résultats, la startup prévoit d'ouvrir un Seed Round début 2026, réservé à des investisseurs stratégiques. Ce tour doit permettre d'accélérer l'acquisition clients, d'enrichir la plateforme et d'étendre la solution à d'autres marchés africains.
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À quatre mois de la présidentielle, Léon Basile Ahossi député du parti d'opposition Les Démocrates et vice-président de l'Assemblée nationale a officiellement levé le voile sur son choix politique. Devant plusieurs centaines de personnes rassemblées au stade d'Athiémé, samedi 29 novembre dernier, il annoncé un soutien « assumé » à la candidature de Romuald Wadagni.
Le meeting a réuni élus locaux, autorités administratives et figures du mouvement Les Ambassadeurs, dont le coordonnateur, Gilbert Bossou, a défendu un engagement fondé sur « l'analyse des politiques publiques » et la volonté de « redonner une place au dialogue citoyen ».
Les interventions se sont succédé pour appeler à élargir la mobilisation au-delà du Mono. Une minute de recueillement a également été observée en mémoire d'un militant récemment disparu.
Devant un public acquis, Ahossi a justifié sa décision au nom de la cohérence personnelle. « J'ai choisi d'être en accord avec ma conscience », a-t-il lancé, avant d'exprimer des regrets pour les « blessures » provoquées par sa prise de distance avec son ancien camp. Il a dénoncé un climat politique « marqué par l'exclusion », plaidant pour « une rupture qui rassemble ».
Répondant aux critiques sur son rapprochement avec un membre du gouvernement sortant, il a tenu à distinguer le candidat de l'actuel chef de l'État : « Wadagni n'est pas Talon. Wadagni n'a jamais été Président de la République ».
Un appel à “diriger en écoutant”
Selon Ahossi, son adhésion s'appuie aussi sur un échange direct avec Wadagni, au cours duquel il affirme avoir posé une exigence : « Diriger, c'est écouter ». Il a encouragé militants et indécis à soutenir le ticket Wadagni–Talata, présenté comme une option capable de renouer avec « humilité » et « proximité ».
Plusieurs députés ayant récemment quitté le parti d'opposition Les Démocrates étaient également présents au meeting d'Athiémé.
M. M.
Le gouvernement béninois a lancé depuis plusieurs mois un vaste programme d'ouverture de nouvelles infrastructures marchandes à travers le pays. Dans cette dynamique, le marché moderne de Houndjro, situé à Abomey, a été officiellement inauguré le samedi 29 novembre dernier. Depuis son ouverture, il séduit marchands et usagers par sa propreté, sa bonne organisation et le cadre harmonieux qu'il offre au quotidien.
Le marché moderne de Houndjro s'impose comme une référence en matière d'infrastructures marchandes propres et bien organisées à Abomey. Dès l'entrée, le visiteur est frappé par l'ordre et l'hygiène qui y règnent. Tout est mis en œuvre pour offrir aux usagers un cadre agréable et sain. C'est le résultat d'une gestion quotidienne rigoureuse du site.
L'entretien du marché est assuré par l'entreprise ATALYS. Spécialisée dans le nettoyage, elle mobilise chaque jour ses agents pour maintenir la propreté des lieux. Leur présence constante contribue à garantir un haut niveau d'hygiène, essentiel dans le nouveau marché moderne de Houndjro. Ces efforts, particulièrement appréciés, participent à la préservation de la santé publique et à l'amélioration de la qualité de vie urbaine.
Les marchands eux-mêmes se réjouissent d'exercer leurs activités dans ces conditions. « Le marché est propre et quand les clients viennent, ils ne sont pas pressés de partir. On ne peut pas comparer à là où on était. Chacun jetait ses ordures où il veut », souligne dame Odette, vendeuse de fruits depuis plus de 10 ans. Selon elle, le marché de Houndjro garde sa propreté depuis son ouverture. « C'est bon pour nous et les clients aussi », a-t-elle ajouté.
Pour dame Léonie, les agents d'entretien font bien leur travail. « Ils viennent chaque jour nettoyer les lieux. Nous aussi, nous sommes tenus de maintenir nos étals propres », indique la revendeuse de produits divers.
La discipline instaurée incite également les usagers à améliorer leurs comportements en matière de gestion des déchets. « Tu ne peux pas venir dans ce marché et jeter les ordures au sol parce que c'est bien propre par ici. Honnêtement, je suis impressionnée. Les coins sont entretenus. Cela donne envie de revenir faire ses courses », confie Viviane Nounagnon, usagère du marché Houndjro.
Selon Julien Fernando, ces efforts doivent continuer pour maintenir la propreté au sein du marché. « Il ne faut pas s'arrêter quelques temps après. Nous voulons toujours voir ce lieu propre. C'est avant tout une question de santé », indique ce client.
Akpédjé Ayosso
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Bonn, 01. Dezember 2025. Auf der COP30 in Belém haben politische Entscheidungsträger*innen, Wissenschaftler*innen und die Zivilgesellschaft internationale Verpflichtungen und nationale Beiträge diskutiert und aktualisiert, um sie stärker an den Klimazielen des Pariser Abkommens auszurichten. Zum ersten Mal haben mehrere Staaten sowie die EU Klimaschutzmaßnahmen ausdrücklich mit der Bekämpfung von Hunger, dem Zugang zu Nahrungsmitteln und sozialer Sicherheit verknüpft. Doch obwohl dieses Thema zu den Kernpunkten der Konferenz zählte, erkennen Länder mit hohem Einkommen die zentrale Rolle der Ernährungssysteme für globale Transformationsprozesse weiterhin unzureichend an – und ihre Umgestaltung ist weiterhin unterfinanziert.
Ohne nachhaltige Ernährungssysteme gibt es keine nachhaltige Zukunft. Die Landwirtschaft – inklusive Fischerei und Forstwirtschaft – ist Grundlage der Ernährungssysteme und beansprucht 40 % der globalen Landflächen und Ökosysteme. Ernährungssysteme nutzen 70 % der weltweiten Süßwasservorräte, verursachen einen erheblichen Teil der Wasserverschmutzung und bis zu 30 % der Treibhausgasemissionen. Gleichzeitig schaffen sie Jobs für 40 % der Weltbevölkerung und versorgen 8 Milliarden Menschen mit Nahrung. Eine nachhaltige Bioökonomie könnte Treibhausgasemissionen senken und zugleich produktive Flächen und Ökosysteme erhalten.
Eine nachhaltige, bezahlbare und gesunde Ernährung für alle ist das oberste Ziel von Ernährungssystemen. Diese umfassen sämtliche Aktivitäten und Akteure entlang der Wertschöpfungskette und berücksichtigen die wirtschaftlichen, sozialen, kulturellen und ökologischen Rahmenbedingungen, die diese Aktivitäten prägen und beeinflussen. Dazu gehören auch die Auswirkungen von Lebensmittelverarbeitung, -handel, -konsum sowie der Umgang mit Verlusten und Verschwendung auf die Nachhaltigkeit. Ernährungssysteme beziehen zudem weitere Dimensionen ein – von Kaufkraft bis hin zu Inflation und Gesundheit –, insbesondere im Hinblick auf marginalisierte und vulnerable Gruppen.
Dabei unterliegen Ernährungssysteme einem ständigen Wandel und sind aufgrund verschiedener externer Einflüsse und interner Dynamiken besonders anfällig. Zu den externen Faktoren gehören etwa Klimawandel und öffentliche Gesundheit, während die internen Dynamiken auf Effekte wie Produktivitätssteigerungen durch Innovationen, neue Verarbeitungstechnologien, Transportkosten oder sich verändernde Konsumtrends zurückgehen. Auch Machtverhältnisse innerhalb des Systems, die politische Ökonomie verschiedener Teilsysteme und globale politische Veränderungen wirken auf sie ein. Zugleich haben Ernährungssysteme nicht nur für die Versorgung mit Nahrungsmitteln, sondern auch für Gesundheit, Umwelt, Sicherheit und Wirtschaft strategische Bedeutung.
Ernährungssysteme dürfen in Debatten über nachhaltige gesellschaftliche Transformationen nicht länger ausgeblendet werden. Ernährungssysteme verursachen bereits heute jährliche Kosten von 10 bis 20 Billionen US-Dollar durch Gesundheitsrisiken, Produktivitätsverluste, Umweltzerstörung und Armut – nahezu zehn Prozent des globalen Bruttoinlandsprodukts. Die Folgen des Klimawandels auf Lebensgrundlagen sind schon jetzt sichtbar, vor allem für die ländliche Bevölkerung. Setzt sich die derzeitige Politik fort, werden laut Global Policy Report im Jahr 2050 rund 640 Millionen Menschen unterernährt und 1,5 Milliarden übergewichtig sein.
Eine umfassende Transformation der Ernährungssysteme kann dazu beitragen, diesen Kurs zu verlassen und die externen Effekte deutlich zu reduzieren. Dafür braucht es eine Kombination aus Verhaltensänderungen, politischen Anpassungen, institutionellen Reformen, technologischen Innovationen und sofortigen Maßnahmen zur Unterstützung gefährdeter Gruppen. Eine Ernährungsumstellung hin zu mehr pflanzlichen Nahrungsmitteln kann ernährungsbedingte Ungleichheiten, Mangelernährung und die mit Ernährungssystemen verbundenen ökologischen Folgen verringern. Die Agrarpolitik muss sich von umweltschädlichen Produktionsanreizen und Preiskontrollen, die zu Marktverzerrungen führen, lösen und den Zugang zu nachhaltiger und gesunder Ernährung für alle gewährleisten. Außerdem ist der Ausbau von Sozialsystemen und Transferleistungen unverzichtbar. Zugleich sind steigende Investitionen in Klimaanpassung und -schutz erforderlich, denn derzeit macht die Klimafinanzierung für Ernährungssysteme nur einen kleinen Teil der globalen Klimafinanzierung aus.
Einerseits müssen die externen Effekte der Ernährungssysteme in Marktpreisen sichtbar werden. Damit nachhaltige Veränderungen gelingen, müssen sämtliche Aktivitäten innerhalb der Ernährungssysteme anhand ihrer positiven und negativen externen Effekte neu bewertet werden.
Andererseits erfordert die Transformation der Ernährungssysteme erhebliche zusätzliche Investitionen. Die Politik muss die bestehende Finanzierungslücke schließen, denn trotz ihrer zentralen Bedeutung für die globalen Nachhaltigkeitsziele sind Ernährungssysteme weiterhin stark unterfinanziert.
Daher müssen: Ernährungssysteme ins Zentrum der Nachhaltigkeitsagenda rücken. Globale Debatten zur Nachhaltigkeitstransformation müssen ihre Rolle – ebenso wie jene der Bioökonomie – umfassend berücksichtigen. Sofortige Maßnahmen, wie der Ausbau einer klimafreundlichen Landwirtschaft und die Stärkung sozialer Sicherungssysteme, sind unverzichtbar, um notwendige Transformationen auf den Weg zu bringen.
Die gesamte IDOS-Arbeitsgruppe Landwirtschaft hat zu dieser Kolumne beigetragen. Sie ist eine Gruppe von Forscher*innen aller Fachrichtungen am IDOS, die zu allen Themen rund um die Landwirtschaft in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen arbeiten und darüber diskutieren.
Bonn, 01. Dezember 2025. Auf der COP30 in Belém haben politische Entscheidungsträger*innen, Wissenschaftler*innen und die Zivilgesellschaft internationale Verpflichtungen und nationale Beiträge diskutiert und aktualisiert, um sie stärker an den Klimazielen des Pariser Abkommens auszurichten. Zum ersten Mal haben mehrere Staaten sowie die EU Klimaschutzmaßnahmen ausdrücklich mit der Bekämpfung von Hunger, dem Zugang zu Nahrungsmitteln und sozialer Sicherheit verknüpft. Doch obwohl dieses Thema zu den Kernpunkten der Konferenz zählte, erkennen Länder mit hohem Einkommen die zentrale Rolle der Ernährungssysteme für globale Transformationsprozesse weiterhin unzureichend an – und ihre Umgestaltung ist weiterhin unterfinanziert.
Ohne nachhaltige Ernährungssysteme gibt es keine nachhaltige Zukunft. Die Landwirtschaft – inklusive Fischerei und Forstwirtschaft – ist Grundlage der Ernährungssysteme und beansprucht 40 % der globalen Landflächen und Ökosysteme. Ernährungssysteme nutzen 70 % der weltweiten Süßwasservorräte, verursachen einen erheblichen Teil der Wasserverschmutzung und bis zu 30 % der Treibhausgasemissionen. Gleichzeitig schaffen sie Jobs für 40 % der Weltbevölkerung und versorgen 8 Milliarden Menschen mit Nahrung. Eine nachhaltige Bioökonomie könnte Treibhausgasemissionen senken und zugleich produktive Flächen und Ökosysteme erhalten.
Eine nachhaltige, bezahlbare und gesunde Ernährung für alle ist das oberste Ziel von Ernährungssystemen. Diese umfassen sämtliche Aktivitäten und Akteure entlang der Wertschöpfungskette und berücksichtigen die wirtschaftlichen, sozialen, kulturellen und ökologischen Rahmenbedingungen, die diese Aktivitäten prägen und beeinflussen. Dazu gehören auch die Auswirkungen von Lebensmittelverarbeitung, -handel, -konsum sowie der Umgang mit Verlusten und Verschwendung auf die Nachhaltigkeit. Ernährungssysteme beziehen zudem weitere Dimensionen ein – von Kaufkraft bis hin zu Inflation und Gesundheit –, insbesondere im Hinblick auf marginalisierte und vulnerable Gruppen.
Dabei unterliegen Ernährungssysteme einem ständigen Wandel und sind aufgrund verschiedener externer Einflüsse und interner Dynamiken besonders anfällig. Zu den externen Faktoren gehören etwa Klimawandel und öffentliche Gesundheit, während die internen Dynamiken auf Effekte wie Produktivitätssteigerungen durch Innovationen, neue Verarbeitungstechnologien, Transportkosten oder sich verändernde Konsumtrends zurückgehen. Auch Machtverhältnisse innerhalb des Systems, die politische Ökonomie verschiedener Teilsysteme und globale politische Veränderungen wirken auf sie ein. Zugleich haben Ernährungssysteme nicht nur für die Versorgung mit Nahrungsmitteln, sondern auch für Gesundheit, Umwelt, Sicherheit und Wirtschaft strategische Bedeutung.
Ernährungssysteme dürfen in Debatten über nachhaltige gesellschaftliche Transformationen nicht länger ausgeblendet werden. Ernährungssysteme verursachen bereits heute jährliche Kosten von 10 bis 20 Billionen US-Dollar durch Gesundheitsrisiken, Produktivitätsverluste, Umweltzerstörung und Armut – nahezu zehn Prozent des globalen Bruttoinlandsprodukts. Die Folgen des Klimawandels auf Lebensgrundlagen sind schon jetzt sichtbar, vor allem für die ländliche Bevölkerung. Setzt sich die derzeitige Politik fort, werden laut Global Policy Report im Jahr 2050 rund 640 Millionen Menschen unterernährt und 1,5 Milliarden übergewichtig sein.
Eine umfassende Transformation der Ernährungssysteme kann dazu beitragen, diesen Kurs zu verlassen und die externen Effekte deutlich zu reduzieren. Dafür braucht es eine Kombination aus Verhaltensänderungen, politischen Anpassungen, institutionellen Reformen, technologischen Innovationen und sofortigen Maßnahmen zur Unterstützung gefährdeter Gruppen. Eine Ernährungsumstellung hin zu mehr pflanzlichen Nahrungsmitteln kann ernährungsbedingte Ungleichheiten, Mangelernährung und die mit Ernährungssystemen verbundenen ökologischen Folgen verringern. Die Agrarpolitik muss sich von umweltschädlichen Produktionsanreizen und Preiskontrollen, die zu Marktverzerrungen führen, lösen und den Zugang zu nachhaltiger und gesunder Ernährung für alle gewährleisten. Außerdem ist der Ausbau von Sozialsystemen und Transferleistungen unverzichtbar. Zugleich sind steigende Investitionen in Klimaanpassung und -schutz erforderlich, denn derzeit macht die Klimafinanzierung für Ernährungssysteme nur einen kleinen Teil der globalen Klimafinanzierung aus.
Einerseits müssen die externen Effekte der Ernährungssysteme in Marktpreisen sichtbar werden. Damit nachhaltige Veränderungen gelingen, müssen sämtliche Aktivitäten innerhalb der Ernährungssysteme anhand ihrer positiven und negativen externen Effekte neu bewertet werden.
Andererseits erfordert die Transformation der Ernährungssysteme erhebliche zusätzliche Investitionen. Die Politik muss die bestehende Finanzierungslücke schließen, denn trotz ihrer zentralen Bedeutung für die globalen Nachhaltigkeitsziele sind Ernährungssysteme weiterhin stark unterfinanziert.
Daher müssen: Ernährungssysteme ins Zentrum der Nachhaltigkeitsagenda rücken. Globale Debatten zur Nachhaltigkeitstransformation müssen ihre Rolle – ebenso wie jene der Bioökonomie – umfassend berücksichtigen. Sofortige Maßnahmen, wie der Ausbau einer klimafreundlichen Landwirtschaft und die Stärkung sozialer Sicherungssysteme, sind unverzichtbar, um notwendige Transformationen auf den Weg zu bringen.
Die gesamte IDOS-Arbeitsgruppe Landwirtschaft hat zu dieser Kolumne beigetragen. Sie ist eine Gruppe von Forscher*innen aller Fachrichtungen am IDOS, die zu allen Themen rund um die Landwirtschaft in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen arbeiten und darüber diskutieren.
Les meilleurs candidats à l'examen du Baccalauréat session de juin 2025, ont été officiellement récompensés le vendredi 28 novembre dernier au Palais des congrès de Cotonou. C'était à l'occasion d'une cérémonie présidée par la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Yayi Ladékan, assistée de la ministre conseillère, Sèdami Mèdégan Fagla, la présidente de la Haute cour de justice, le préfet du Littoral et plusieurs autres personnalités.
Un ordinateur portable neuf, "Made in Bénin", fabriqué par l'entreprise Asuka Spirit de l'entrepreneur Richard ODJRADO, c'est le cadeau offert aux meilleurs candidats à l'examen du Baccalauréat session de juin 2025 au Bénin. En plus de cette récompense, des bourses d'études ont été attribuées à chaque lauréat afin de lui permettre de poursuivre en toute sérénité, les études supérieures.
Outre ces prix, les deux premiers, une jeune fille et un jeune homme, ont reçu chacun une parcelle à Abomey-Calavi, et un chèque de 500 000 francs CFA.
Après avoir félicité les lauréats pour leurs performances remarquables, le ministre de l'enseignement supérieur les a invités à maintenir le cap de l'effort, de la persévérance et de l'excellence afin de concrétiser pleinement leurs objectifs académiques et professionnels.
Autorités à divers niveaux, chefs d'entreprises, parents et amis présents à la cérémonie de remise de prix, ont salué le courage et l'effort des lauréats.
F. A. A.
Despite the growing demand for gender-disaggregated statistics on poverty, there is hardly any cross-country evidence of gender disparities in poverty. The paper contributes to filling this gap, by using two novel individual-level indices of multidimensional poverty. Relying on data from 78 low- and middle-income countries, it finds that almost everywhere female poverty exceeds male poverty. In the median country, female poverty is 58%–85% higher than male poverty. The highest gender disparities in poverty were detected in the MENA, Latin America and South Asia regions. Finally, the majority of countries experienced an increase in the female/male poverty ratio, thus a feminization of poverty.