Le vote pour la mise en oeuvre du douzième provisoire à la mairie d'Aplahoué a été bloqué. 13 des 24 membres du conseil communal d'Aplahoué n'ont pas approuvé le vote, lundi 6 janvier, au cours d'une session extraordinaire. Les frondeurs n'entendent pas valider ce douzième provisoire à cause de la gestion du maire par intérim Sylvain Dahouè qu'ils désapprouvent. Ces mêmes conseillers communaux ont voté le 28 novembre 2019 contre le projet de budget primitif exercice 2020 présenté par le maire.
Le conseil communal d'Aplahoué est en crise depuis 2017.
G.A.
Par communiqué en date du 06 janvier 2020, le directeur général par intérim de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), Apollinaire A. Cadete Tchintchin informe les employeurs assujettis au régime général de sécurité que la déclaration des cotisations de sécurité sociale et des impôts sur salaires est faite dorénavant sur formulaire unique.
Selon le directeur général par intérim de la CNSS, cette décision est conforme à la loi des finances gestion 2020.
« Les modalités de la déclaration et du paiement des cotisations de sécurité sociale et des impôts sur salaires seront précisées par arrêté interministériel », précise le communiqué.
Akpédjé AYOSSO
La Cour constitutionnelle a été saisie d'une requête du citoyen Alain Diogo accusant les anciens présidents Yayi Boni et Nicéphore Soglo dans la situation de fermeture de frontières que connaît le Bénin et certains pays avec le Nigéria. Dans sa requête, le requérant a aussi accusé le président nigérian, Muhammadu Buhari de fermeture illégale des frontières.
En réponse à cette requête, la Cour a convoqué les anciens chefs d'Etat, Boni Yayi et Nicéphore Soglo pour une audience de mise en état mardi 07 janvier 2020. Il était attendu d'eux des observations par rapport au recours formulé par le citoyen. Ces deux anciens présidents à défaut de se présenter, pouvaient selon la convocation de la Cour, se faire représenter.
Contrairement aux publications sur les réseaux sociaux, le président nigérian n'a pas été convoqué par la haute juridiction. L'information a été démentie par le service de communication de la Cour constitutionnelle. « Je signale et je confirme que la Cour constitutionnelle n'a jamais convoqué le président Buhari du Nigeria. Je dis jamais », a démenti l'attaché de presse de la Cour constitutionnelle. « La Cour ne s'est pas levée brusquement pour convoquer les anciens présidents. L'institution répond systématiquement à tout citoyen qui forme un recours », a expliqué Hospice Houénou de Dravo.
Invités à la Cour mardi dernier, les présidents Yayi et Soglo ne se sont pas présentés ni se faire représenter.
Ce qui a amené le vice-président de l'institution, Razaki Amouda Issifou à renvoyer le dossier à une date ultérieure.
F. A. A.
Ouvert ce mardi 7 janvier, le procès en appel de Lionel Zinsou dans l'affaire de dépassement des frais de campagne a été renvoyé sous quinzaine, a annoncé Frisson Radio.
L'ancien premier ministre de Boni Yayi avait été condamné à une peine de 05 ans d'inéligibilité, 06 mois de prison avec sursis et 50 millions FCFA d'amende. Cette décision de justice fait suite aux accusations de dépassement des frais de campagne contrairement à ce que prévoit les textes, faux et usage de faux lors de la présidentielle de 2016. L'avocat de l'ancien premier ministre, Me Robert Dossou, avait interjeté appel en dénonçant un procès politique.
L'audience ouverte à la Cour d'Appel de Cotonou mardi a été renvoyé sous quinzaine.
G.A.
La Confédération africaine de football (CAF) a dévoilé ce mardi 07 janvier 2020 à l'occasion de la CAF Awards à Hurghada en Égypte, le nom du ballon de l'année 2019. C'est le Sénégalais Sadio Mané qui a remporté cette distinction du football africain.
Le choix du lion de la Téranga n'a pas surpris les spectateurs. Ce n'est que le couronnement de ses efforts.
Sadio Mané succède ainsi à son coéquipier de Liverpool l'Egyptien Mohamed Salah, qui a gagné le prestigieux prix au cours des deux dernières années.
« J'avais promis l'année dernière que je reviendrai pour gagner ce trophée. Je n'ai pas les mots, je suis tellement fier… C'est un grand jour pour moi. Je remercie tous les gens de mon village Bombali, je suis certain qu'ils me regardent à la télé », a déclaré le joueur de Liverpool, qui a raté de peu le ballon d'or mondial 2019.
Outre le ballon d'or, plusieurs autres prix ont été remis au cours de la CAF Awards 2019.
L'attaquant algérien de Manchester City, Riyad Mahrez, a été sacré le plus beau but de l'année.
Vainqueur de la CAN Égypte 2019, l'Algérie a été sans surprise élue équipe africaine de l'année aux CAF Awards.
De même, l'entraîneur algérien Djamel Belmadi a été distingué meilleur de l'année dans sa catégorie.
L'édition 2019 de la CAF Awards a connu la présence de Sammuel Eto'o, animateur principal de la cérémonie.
Encadré
Les 11 de l'équipe-type de l'année
Matip, Aurier, Mahrez, Coulibaly, Gana, Gueye, Hakim, Ziyech , Mo Sallah, Mané, Aubameyang.
F. A. A.
Invités à la Cour constitutionnelle ce mardi 07 janvier 2020 dans le cadre de l'examen de la requête d'un citoyen, les anciens chefs d'État Boni Yayi et Nicéphore Soglo ainsi que le président Buhari du Nigéria ont brillé par leur absence à l'audience de la Cour. Ils n'ont pas non plus envoyé de représentants.
Face à cette situation, la chambre d'instruction présidée par le vice-président de la Cour constitutionnelle, Razaki Amouda Issifou a dû renvoyer le dossier à une date ultérieure.
Selon la requête du citoyen Alain Diogo, Boni Yayi est accusé d'être derrière la situation de fermeture de frontières que connaît le Bénin depuis environ 06 mois avec le Nigéria. En dehors de cette récrimination, le président Nicéphore Soglo est accusé de sabotage des élections législatives du 28 avril dernier. Le président nigérian, Muhamadou Buhari quant à lui, est accusé de fermeture illégale de frontières.
F. A. A.
Le village de Biro dans la commune de Parakou a été le théâtre d'un évènement tragique ce mardi 07 janvier 2020. A la suite d'une dispute entre coépouses d'un ménage de 04 femmes, la troisième a brûlé le sexe de son mari par jalousie.
Alors que le monsieur dormait, la dame a versé de l'huile surchauffée sur son sexe, qui a complètement brûlé. L'homme n'a pas survécu aux blessures.
La dame est actuellement aux mains de la Police républicaine.
F. A. A.
Une mission du Fonds koweïtien séjourne depuis quelques jours au Bénin. Elle a pour objectif d'explorer les potentialités de l'agriculture béninoise en vue de son développement. Les émissaires du Fonds koweïtien échangeront au cours de leur séjour avec les responsables du secteur de l'agriculture afin de parvenir à un projet d'accord de financement dans le domaine.
« Nous sommes là dans le cadre du financement du Programme d'actions du gouvernement (PAG). Dans deux semaines, nous allons aboutir à une mission réussie, nous allons parvenir à un projet d'accord réussi pour le financement de projets agricoles au Bénin », a confié Munzer Hamdieh, chef de la mission kowéïtienne.
Selon le chargé de mission du président de la République, la mission est là pour les nouveaux financements qu'elle pourra accorder au PAG, et l'agriculture est le secteur de prédilection choisi par la délégation. Pour Zul Kifl Salami, le secteur agricole est un secteur stratégique, et la direction du Fonds koweïtien pour le développement est favorable pour y déployer d'importants investissements.
Durant son séjour au Bénin, la mission conduite par Munzer Hamdieh échangera avec tous les acteurs du monde agricole. Elle collectera également toutes les informations économiques, juridiques, techniques, financières et administratives nécessaires à la rédaction du rapport d'évaluation.
F. A. A.
Le recteur de l'Université d'Abomey-Calavi, le professeur Maxime da Cruz à travers un communiqué de presse en date de ce lundi 07 janvier 2020 porte à la connaissance des étudiants que les inscriptions au titre de l'année académique 2019-2020 prendront impérativement fin le vendredi 28 février prochain.
Selon le communiqué du recteur, tout étudiant qui n'aurait pas achevé les formalités d'inscription jusqu'à l'étape de validation avant cette date butoir sera tenu pour seul responsable des déconvenues. La détention de la fiche de préinscription ne signifie pas la fin du processus de validation, prévient le recteur.
La fermeture rigoureuse de la plateforme des inscriptions de l'Université est fixée au 28 février sans une possibilité de prolongation, précise le communiqué.
F. A. A.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a condamné au terme d'une audience tenue lundi 06 janvier 2020, 05 accusés à des peines d'emprisonnement ferme allant de 06 à mois à 05 ans. Il est reproché aux personnes inculpées, la détention, la cession, la distribution de produits psychotropes et l'escroquerie au moyen de communications électroniques.
Selon la décision de la Cour, les mis en cause devront payer une amende de 11,5 millions de francs CFA dans les caisses du Trésor public.
Au cours de l'audience, les juges de la CRIET ont vidé 04 autres dossiers.
F. A. A.
A travers un communiqué en date du 05 janvier 2020, l'Union des professionnels des médias (Upmb) exige la remise en liberté immédiate du journaliste Aristide Fassinnou Hounkpèvi dont la garde à vue a été prolongée de 72 heures ce lundi 06 janvier.
Selon le communiqué de l'Upmb, l'interpellation du journaliste fait suite à la « publication supposée d'informations mensongères sur les réseaux sociaux ». Une accusation qu' « aucune preuve matérielle ne permet d'étayer à jusqu'à ce jour. Il y a donc un flou autour du chef d'accusation du sieur Aristide Fassinnou Hounkpèvi », dénonce l'Upmb. Pour la faîtière des professionnels des médias, l'arrestation d'un journaliste dans une démocratie, doit être une exception.
Convaincue de l'ambition de faire du Bénin une démocratie modèle dans la sous-région, l'Union des professionnels des médias exige la libération immédiate du journaliste.
Une délégation conduite par la présidente de l'Upmb s'est rendue au siège de l'OCRC pour exprimer de vives voix, le soutien des professionnels des médias au journaliste privé de sa liberté.
Aristide Fassinnou Hounkpèvi est journaliste à la rédaction du journal en ligne L'autre Figaro. Il est également correspondant du journal La Nouvelle Tribune dans les départements du Mono et du Couffo.
F. A. A.
Le Directeur de l'habitat et de la construction, Victor Kouassi Ananouh à travers une sortie médiatique a donné des clarifications sur le projet de construction de 20 000 logements du gouvernement du président Patrice Talon sur toute l'étendue du territoire national. Dans ses explications, il a rappelé le nombre de logements affectés dans chacune des villes retenues pour ce projet.
Dans la commune d'Abomey-Calavi, il est prévu de construire 11.500 logements de type F4 (c'est à dire 3 chambres à coucher et un salon). Par rapport au type F4, il y a deux modèles : le modèle appartement et le modèle logement individuel, a précisé le Directeur de l'habitat et de la construction.
Pour le compte des autres départements, c'est le modèle logement individuel qui a été retenu en fonction de la sociologie du pays, a-t-il souligné.
Ainsi, il est prévu « la construction de 3000 logements à Porto-Novo, 2500 logements à Parakou, 1000 logements à Sèmè-Podji, 700 à l'interface d'Abomey et de Bohicon pour que les deux villes puissent en bénéficier, 300 logements entre Pahou et Ouidah, 200 logements à Natitingou, 200 à Djougou, 100 à Malanville, 100 à Kandi, 100 à Dassa, 100 à Pobè, 100 à Aplahoué, 100 à Lokossa », a rappelé Victor Kouassi Ananouh.
Il informe que le chef de l'État a ajouté récemment 100 à Allada.
Plus de 500 milliards FCFA d'investissement
Selon lui, le prix à payer par l'acquéreur est « le prix de revient exact du bâtiment plus 1 à 2% au maximum. Tout le reste des frais financiers, c'est l'État qui va rembourser en lieu et place des acquéreurs sous forme de bonification », a précisé le directeur de l'habitat et de la construction.
Tout le programme, poursuit-il, va coûter environ 350 milliards FCFA, mais l'État va rembourser en plus de ce montant, 169 milliards de frais financiers sur 20 ans comme bonus d'accompagnement pour la population.
Dès qu'un acquéreur va vouloir prendre sa maison, il n'aura pas besoin de payer ni une caution, ni une avance sur loyer, a souligné le directeur de l'habitat et de la construction. Il suffit qu'une banque se porte garante et atteste qu'au regard des revenus mensuels qui passent sur son compte en banque, qu'il est en mesure de payer mensuellement les charges jusqu'à épuisement total du coût du logement, soit 17 ans avant de prendre le titre de propriété, a-t-il expliqué.
Selon Victor Kouassi Ananouh, tout le milieu retenu pour le projet sera assaini, la viabilisation primaire sera fait, les espaces verts seront assurés, les arbres et tout ce qu'il faut pour qu'on ait des quartiers écologiques sont respectés dans ce programme.
F. A. A.
Successeur de Jean Pliya à la tête du Renouveau charismatique catholique, le frère Euloge Tchékété a rendu l'âme.
Dr Euloge Coovi Chékété, Berger du Renouveau charismatique catholique du Bénin a rendu l'âme dans la nuit du lundi au mardi 07 janvier 2020.
Très connu dans l'Eglise pour sa mission depuis plusieurs années, il a rendu l'âme des suites d'une longue maladie. Une maladie qui l'avait conduit à des soins plus approrpiés à l'hôpital Georges Pompidou en France. Mais depuis lundi, il a rejoint le Père céleste.
Paix à son âme.
G.A.
Au terme des travaux de la première session extraordinaire du Conseil communal de Sinendé ce mardi 07 janvier 2020, Fousséni A. Zachari a été élu maire de la commune par une majorité écrasante de 15 conseillers sur 16. Il succède ainsi à Abdoulaye Yarou, décédé il y a quelques semaines.
Fousséni A. Zachari occupait jusqu'à son élection, le poste de premier adjoint au maire.
F. A. A.
Après son élection en janvier 2019, Me Prosper Ahounou prend officiellement la succession du bâtonnier Yvon Détchénou.
La cérémonie solennelle s'est déroulée lundi 6 janvier 2020 en présence du Garde des sceaux, ministre de la Justice et de la Législation, Maxime Séverin Quenum.
Le bâtonnier Prosper Ahounou va désormais dirigé le barreau du Bénin pour un mandat de trois ans.
« C'est avec humilité et détermination que je prends les charges pour la fonction que vous m'avez confiées. Nous devons travailler à faire de notre barreau un barreau fort de son indépendance, fort de sa liberté, fort des services rendus au droit », a déclaré le nouveau bâtonnier. « Il nous faut assurer le respect de la déontologie, affermir l'autorité de l'Ordre, restaurer ensemble le prestige moral attaché à l'exercice des fonctions de l'Ordre. Nous devons également nous former pour répondre aux exigences d'un monde en permanente mutation », a-t-il ajouté.
En passant le témoin à son successeur, le bâtonnier sortant a avoué : « 36 mois de travail. J'ai mouillé le maillot avec envie et volonté. J'ai saisi toutes les opportunités. J'ai attendu, j'ai vu, j'ai vécu, j'ai grandi. J'ai eu peur à un certain moment de perdre mon âme. Ma fierté, c'est la capacité à résister, c'est d'aimer les hommes tout en sachant de quoi ils sont capables››. ‹‹Je n'étais pas venu pour être chef, me faire servir mais pour servir. J'espère l'avoir fait dans la mesure de mes possibilités », a conclu Me Yvon Détchénou.
Il a à son actif, entre autres,la mise en œuvre des droits d'assurance-responsabilité entreprise et responsabilité civile ; la mise en œuvre d'un dispositif de prévention sanitaire avec la possibilité de faire un bilan de santé annuel ; la mise en place réussie de la Carpa ; la création du Centre de formation des avocats et d'une base de données numérique, la consolidation des relations avec les barreaux internationaux.
Il attend de voir le barreau béninois plus uni dans le respect entre personnes bien éduquées.
Me Prosper Ahounou estime qu'il s'agit d'un destin lié entre son prédécesseur et lui. Car indique-t-il, « Bâtonnier Yvon Détchénou, l'histoire retiendra que nous avons prêté serment le même jour, le 17 décembre 1998, et dans le même ordre : vous et ensuite moi. Aujourd'hui, je reçois la charge après vous. Est-ce le signe de la providence ! ».
« Je voudrais espérer que notre barreau restera ce qu'il a été et qui a suscité des jeunes à l'intégrer et qui a également permis aux anciens de revenir au métier après leurs charges républicaines », a déclaré le Garde des sceaux, Maxime Séverin Quenum.
Présent à cette cérémonie, le président de la Conférence des barreaux de l'Uemoa, Mbaye Gueye dira à ses collègues : « Ne l'oubliez pas, le plus grand ennemi qui nous guette, c'est la division. Tant que nous serons ensemble, nous serons imbattables ». Il a rappelé que le bâtonnier Yvon Détchénou est le dernier bâtonnier élu. « Il n'y aura plus élection de bâtonnier. Il n'y aura que l'élection du dauphin du bâtonnier ».
Pour lui, l'élection du bâtonnier est devenue plus pénible et plus complexe que l'élection du président de la République avec le risque de division entre les membres de l'Ordre.
Selon Me Mbaye Gueye, il a été décidé que le dauphin soit élu un an avant le terme du mandat du bâtonnier en exercice. Ceci en vue de bien mouler le successeur avant sa prise de service. Mais il a lieu de comprendre que conformément au Règlement 5 de l'Uemoa portant sur l'harmonisation des pratiques régissant les barreaux, le bâtonnier de l'Ordre est élu pour un mandat de trois ans non renouvelable par l'Assemblée générale des avocats au scrutin secret parmi les avocats inscrits au tableau de l'Ordre depuis au moins 15 ans. Il souligne que dans les mêmes conditions le dauphin du bâtonnier doit être connu un an avant le terme du mandat en cours.
G.A.
L'année 2020 a démarré avec des images macabres dans la cité des Koburu. Un corps sans vie a été découvert dans le marché Tchakatibam de Parakou ce lundi. Cette découverte macabre est le deuxième cas enregistré au quartier Arafat dans le deuxième arrondissement de la cité des Koburu. En attendant l'identification du corps et sa remise aux parents, la Police républicaine se charge des enquêtes.
Pour le moment aucune source pour révéler le vrai motif du décès.
G.A.
La branche de la Fondation Mohammed V Des Oulema Africains du Bénin informe la communauté musulmane béninoise du lancement de la deuxième édition de la compétition nationale du Saint Coran.
Organisée à l'intention des élèves et étudiants coraniques, la compétition se tiendra le dimanche 19 janvier 2020 à la mosquée centrale de la zone des ambassadeurs au quartier le Bélier.
Les catégories en compétition sont : mémorisation complète du Saint Coran selon la version de Warch reçu de Naafiou ; mémorisation complète du Saint Coran selon les autres versions authentiques ; et mémorisation partielle du Saint Coran (05 chapitres minimun) y compris les règles de psalmodie du Saint Coran.
Les meilleurs lauréats seront sélectionnés pour représenter le Bénin à la compétition internationale qu'organise le ministère du Royaume du Maroc des Habous et des affaires islamiques en République du Gabon.
Le dossier de candidature est à retirer au siège de la Fondation au quartier les Cocotiers derrière Air France, route de l'aéroport à Cotonou.
La date de clôture du dépôt des dossiers est fixée au samedi 11 janvier 2020.
Akpédjé AYOSSO
A la suite d'une requête du sieur Alain Diogo en date à Cotonou du 31 octobre 2019, et inscrite au rôle de l'audience de la première chambre de mise en l'état de la Cour constitutionnelle, l'ancien président de la République, Nicéphore Dieudonné Soglo ainsi que Boni Yayi et le président Nigérian Muhamadou Buhari sont invités à se présenter ou se faire représenter ce mardi 07 janvier 2020 à 09 heures à une audience au siège de la Cour constitutionnelle à Cotonou.
Les trois personnalités peuvent faire des observations et produire un mémoire en 05 copies sous huitaine à partir de la date de notification.
Le requérant avait indiqué l'ancien président comme complice et auteur de sabotage de la crédibilité des législatives d'avril dernier.
Le président Buhari est accusé pour la ‹‹fermeture illégale des frontières››. Et Boni Yayi pour ‹‹manipulation contre le peuple béninois, auteur de la manipulation de la fermeture de la frontière››.
F. A. A.
Le président de l'Assemblée nationale Louis G. Vlavonou invite les députés à prendre part à la séance plénière qui aura lieu jeudi 09 janvier 2020 à 10 heures au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo.
L'ordre du jour de la séance porte sur l'examen des questions au gouvernement relatives au fonctionnement des écoles normales des instituteurs face à la pénurie d'enseignants dans les écoles ; à la situation des enseignants reversés de 2008 recalés aux évaluations et la gestion comptable des écoles à partir de la rentrée scolaire 2019-2020.
Le troisième point est relatif à la mise en œuvre de la nouvelle architecture du système éducatif, le quatrième à l'insuffisance des salles de classes et déficit d'enseignants dans les écoles primaires et le dernier point concerne le fonctionnement de la SONACOP.
Akpédjé AYOSSO