La deuxième audience du procès en appel du journaliste Ignace Sossou s'est tenue ce mardi 05 mai 2020 au Tribunal de Cotonou. A l'issue de l'audience, au cours de laquelle, l'accusé a été soumis à un interrogatoire par les avocats, le jugement a été mis en délibéré pour le mardi 19 mai.
Le procureur général a requis contre le journaliste Ignace Sossou 12 mois de prison ferme et 500 000 francs CFA d'amende. Les avocats de la défense ont demandé la relaxe pure et simple de leur client. « Monsieur le président, je vous en supplie, redorez le blason du Bénin et acquittez Ignace Sossou. », a plaidé Maître Robert Dossou. Pour lui, l'infraction n'est pas constituée. Le délibéré a été fixé pour le 19 mardi mai 2020.
Le journaliste Ignace Sossou a été condamné le 24 décembre 2020 en première instance au Tribunal de Cotonou à 18 mois de prison ferme et une amende de 200 000 FCFA pour harcèlement par le biais de moyens de communications électroniques.
Le journaliste a tweeté les propos du procureur de la République Mario Mètonou lors d'un séminaire organisé à Cotonou par CFI. Il lui est reproché d'avoir rapporté des propos tronqués et déplacés de leur contexte. La première audience du procès en appel du journaliste Ignace Sossou du mardi 28 avril 2020 a été renvoyée au 5 mai 2020 à la suite de la demande des avocats du procureur Mètonou pour examiner les nouvelles pièces présentées par les avocats de Ignace Sossou.
Un fort détachement de forces de sécurité publique est déployé ce mardi 05 mai 2020 dans le village de Woroko, commune de Kétou, rapporte Frissons radio. Ces hommes en uniformes selon la chaîne radio, auront pour mission, de sécuriser le village pour une durée d'un mois.
Dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 1er mai dernier, le village de Woroko a été victime d'une attaque attribuée à des peuhls transhumants, et soldée par la mort de 06 personnes et plusieurs blessés dont un agent de la Police républicaine.
Au nombre des personnes décédées, on dénombre 03 peuhls. A en croire le maire de la commune de Kétou, Théophile Déssa, « les hommes viennent dans le village, mais à la tombée de la nuit, vident le village ». « La nuit, le village est fantôme, aucun des peuhls ne reconnaît les trois personnes qui ont trouvé la mort au cours des attaques. Je crois qu'ils sont venus en expédition », a expliqué l'autorité locale. Le maire a souligné que deux personnes seraient mises aux arrêts à la suite de l'enquête ouverte depuis que ces évènements sont survenus.
Les investigations selon le maire, vont se poursuivre pour que l'on sache si ces mis en cause sont vraiment coupables ou pas.
Informé de ce que les populations veulent s'attaquer aux peuhls sédentaires de la zone, le préfet du Plateau, Valère Sètonnougbo s'est rendu dans le village ce lundi 04 mai 2020. « Nous avons appris que les populations de cet arrondissement de Kpankou s'organisent pour aller s'attaquer aux peuhls sédentaires qui sont dans la zone. C'est pourquoi nous nous sommes déplacés pour les sensibiliser », a-t-il expliqué. A en croire le préfet, les peuhls ne seraient pas arrivés de leur gré. « C'est sûr qu'il y a une situation dans la zone par le passé », a supposé Valère Sètonnougbo qui exhorte les populations à œuvrer pour la paix.
F. A. A.
Après quelques semaines de fermeture des écoles et universités en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie du Coronavirus, les activités pédagogiques vont reprendre le lundi 11 mai prochain. A quelques jours de cette date, le bureau exécutif de l'Union nationale des associations de parents d'élèves et étudiants du Bénin (UNAPEEB), à travers son président, Paul K. KOUDOUKPO a fait des propositions au gouvernement afin de préserver la santé des apprenants, des enseignants et par ricochet, de toute la population.
Après quelques semaines de fermeture des écoles et universités en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie du Coronavirus, les activités pédagogiques vont reprendre le lundi 11 mai prochain. A quelques jours de cette date, le bureau exécutif de l'Union nationale des associations de parents d'élèves et étudiants du Bénin (UNAPEEB), à travers son président, Paul K. KOUDOUKPO a fait des propositions au gouvernement afin de préserver la santé des apprenants, des enseignants et par ricochet, de toute la population.
Voici les propositions de l'UNAPEEB
1- doter les écoles, collèges, lycées et universités publics de systèmes de lavage des mains appropriés en nombre suffisant disposés devant chaque classe pour barrer cette voie de propagation du coronavirus ;
2- désinfecter toutes les salles de classe, salles de professeurs et laboratoires avant le 11 mai 2020 ; répéter l'opération, au moins une fois par semaine ;
3- réduire les effectifs des classes à 20 ou 25 apprenants au plus et respecter la distanciation sociale (1 mètre entre deux élèves) ;
4- organiser le dépistage systématique dans les écoles, prenant en compte tous les usagers de cette institution, à savoir : les apprenants, enseignants, administratifs, vendeuses afin de circonscrire et d'isoler les sujets propagateurs potentiels du virus ;
5- organiser les aller en récréation classe après classe de façon à éviter la présence d'un grand nombre d'élèves à la fois dans la cour de récréation et à la cantine, sans oublier la distanciation ;
6- doter les enseignants, les administratifs, les vendeuses et les apprenants de masques en popeline lavables. Et cela peut se réaliser à peu de frais. En effet nous produisons du coton ; nous avons des usines comme la CBT de Lokossa pour filer et tisser ce coton qui, livré à nos couturiers et couturières à regrouper par département, donnerait des millions de masques en un temps record ;
7- mettre à la disposition des enseignants, des étudiants, des administratifs des infusions de artémisia pour renforcer l'immunité de leur organisme, comme pratiqué à Madagascar, la Grande Île ;
8- faire organiser la sensibilisation sur les autres reflexes, barrières à la propagation du virus ;
9- organiser la reprise des cours par tranche : d'abord les classes d'examen (CM2, classes de 3ème et classes terminales), puis les autres classes deux à trois semaines après.
Ces propositions font suite à une investigation que l'UNAPEEB a réalisé auprès des différentes couches de l'école béninoise.
F. A. A.
Rencontre annoncée entre les ministres en charge de la santé des Etats membres de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). Selon le communiqué de l'organisation, les ministres se rencontrent ce jeudi 7 mai 2020 pour échanger sur « les dispositions pratiques à prendre pour la mise en œuvre diligente des décisions et des recommandations prises par les Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Union, relatives à la pandémie du Covid19, le 27 avril dernier lors de leur session extraordinaire ».
Il s'agira, entre autres, de l'instauration, dans le cadre communautaire, d'une plus grande coordination dans la prise des mesures sanitaires relatives à la gestion des frontières intérieures et extérieures de l'Union. L'élaboration et la mise en œuvre d'un plan régional de renforcement des capacités des systèmes de santé pour la gestion des épidémies seront également à l'ordre du jour.
Ladite rencontre se déroulera en visioconférence. Prendront part à cette séance les ministres de la santé du Bénin ; Burkina-Faso ; Côte d'Ivoire ; Guinée-Bissau ; Mali ; Niger, Sénégal et Togo.
Les acteurs intervenant dans le système éducatif (personnel enseignant, administratif et les vendeuses agréées) seront soumis au dépistage systématique du coronavirus du mercredi 06 au dimanche 10 mai 2020. C'est ce qu'a notifié le directeur départemental des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Dieudonné Gambiala aux chefs d'établissements publics et privés dans une correspondance en date du mardi 05 avril 2020.
Ce dépistage qui entre dans le cadre de la riposte contre la pandémie du Covid-19 aura lieu dans la maison des jeunes des différentes communes. Aussi, les chefs sont-ils tenus de faire parvenir sans délai la liste des vendeuses agréées dans leurs établissements respectifs.
Les chefs d'établissements doivent également se rapprocher des Médecins Coordonnateurs de Zone et des Médecins-Chefs de commune pour établir de façon consensuelle le planning de passage.
La reprise des cours au Bénin est prévue pour le lundi 11 mai 2020. Le gouvernement prend donc des mesures afin de limiter les éventuels risques de contagion et de propagation du coronavirus.
Akpedje Ayosso
L'organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), l'Organisation mondiale de la santé (OMS), et le Knight Center ont lancé un MOOC au profit des journalistes qui couvrent la pandémie du Coronavirus.
Il s'agit d'une formation en ligne de 04 semaines qui vise à fournir aux journalistes, les connaissances et les outils nécessaires afin de leur permettre de mieux couvrir la crise sanitaire engendrée par le Covid-19, ses conséquences sociales, financières et politiques.
Selon le sous-directeur général de l'Unesco pour la communication et l'information, Moez Chakchouk, « un journalisme solide et dynamique est de la plus haute importance pour faire face à cette crise sanitaire mondiale sans précédent ». Les journalistes souligne-t-il, sont « essentiels » afin que les citoyens soient bien informés, avec des faits vérifiés pour « lutter contre la désinformation et la mésinformation, et pour tenir les autorités responsables des politiques élaborées face à cette pandémie ». A l'en croire, la collaboration pour la conception et le déroulement de ce MOOC intervient à un moment critique. Elle favorise un dialogue spécial avec les journalistes sur les éléments nécessaires pour couvrir en toute sécurité le Covid-19 », a ajouté le sous-directeur.
L'inscription au MOOC est ouverte le 23 avril dernier, et la formation a démarré officiellement ce 4 mai 2020, semaine de la Journée mondiale de la liberté de la presse. « C'est l'une des activités principales que l'UNESCO développe avec ses partenaires pour célébrer une presse libre, indépendante et pluralistes, soulignant une fois de plus à quel point le journalisme est central pour nos sociétés, en particulier pendant des périodes comme celles-ci », a conclu Moez Chakchouk.
Selon la formatrice principale du MOOC, Maryn McKenna, le « sujet est énorme ». « Il n'inclut pas que les questions sur l'épidémiologie, le soin clinique et la recherche biomédicale, mais aussi la politique, la finance, le commerce et bien d'autres facettes », a-t-elle expliqué. « Je suis une journaliste scientifique qui a consacré sa carrière à écrire sur les épidémies, et pourtant je dois apprendre des choses tous les jours – et beaucoup d'autres journalistes sont dans la même situation, je pense », a expliqué la formatrice principale.
Encadré
A propos de la formation MOOC
Le MOOC est subdivisé en 04 modules hebdomadaires. Les cours à dispenser courent notamment l'histoire des pandémies et les crises sanitaires du XXe siècle, et la façon dont les gouvernements ont réagi à ces épidémies. Il examinera également le déroulement de la pandémie de 2020 et soulignera l'importance fondamentale de garantir la liberté d'expression, ainsi que d'identifier et de combattre la désinformation et la mésinformation sur la pandémie.
Le module final se penchera sur les différents angles que peuvent prendre les sujets à venir, et s'intéressera également à comment les journalistes peuvent se protéger tout en exerçant leur métier. Chaque module comprendra une série de vidéos, des présentations PowerPoint, des lectures, des quiz et des forums de discussion traitant de différents aspects du cours.
Les versions française, espagnole et portugaise du cours seront enseignées par des instructeurs de haut niveau.
« En cette période de crise liée à la pandémie du Covid-19, il est essentiel que le public ait accès à des informations fiables et d'actualité. Les journalistes ont un rôle clé à jouer pour faire en sorte que tous les citoyens puissent bénéficier des droits à la liberté d'expression, y compris la liberté de la presse et l'accès à l'information publique.
Le cours en ligne « Journalisme en temps de pandémie : Couvrir le Covid-19 aujourd'hui et dans l'avenir », fournira aux journalistes du monde entier des outils didactiques, du matériel pédagogique et un accès à des spécialistes, pour pouvoir à leur tour offrir des informations de qualité sur la crise actuelle et ses conséquences.
Le MOOC aura également le potentiel de créer un réseau et une communauté de professionnels des médias qui pourront partager leurs idées et des informations sur la meilleure façon de couvrir les épidémies et de lutter contre la désinformation ».
F. A. A.
Clarita Carmagnolle alias « Clara » est en garde à vue pour avoir poignardé son compagne qui actuellement est hospitalisé au Centre national hospitalier et universitaire (CNHU) de Cotonou a-t-on appris de sources généralement bien renseignées.
La jeune béninoise de 21 ans, qui s'est révélée par ses frasques via les réseaux sociaux aurait commis son forfait à la suite d'une dispute avec son compagnon. « elle poignarde l'a poignardé au cou », a précisé la source. Elle n'a pas donné plus de détails sur l'état de la santé du compagne de Clara mais précise que la jeune femme risque la prison.
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de l'honorable Claudine Afiavi Prudencio a de grandes aspirations pour la mairie d'Abomey-Calavi. Avec des femmes et des jeunes de qualité aux compétences avérées positionnés sur sa liste pour les élections communales, l'UDBN compte relever plusieurs défis.
Les 10 aspirations de l'UDBN pour la mairie d'Abomey-Calavi
1- Instaurer une gouvernance plus saine de nos collectivités locales ;
2- Mener une lutte acharnée contre la dilapidation des ressources locales ;
3- Assurer le renforcement des capacités des élus communaux et des cadres de nos mairies afin de mettre fin aux cas de gestion approximative de nos communes ;
4- Traduire dans les faits la promotion des jeunes et des femmes techniquement et moralement compétents ;
5- Poursuivre et achever dans la transparence, les travaux de lotissement qui ont longuement fait le lit à la mafia foncière dans la commune ;
6- Construire un grand parc d'attraction et un stade communal pour la promotion du sport avec la mise en place d'un dispositif d'identification de jeunes talents en provenance de la commune ;
7- Renforcer le système du développement social et l'autonomisation des femmes à travers les micros crédits ;
8- Construire des marchés de proximités et un grand centre commercial qui sera le fruit d'un partenariat avec des opérateurs économiques identifiés ;
9- Construire un centre de perfectionnement professionnel pour les petites et moyennes entreprises ;
10- Améliorer le cadre de vie à travers la mise en place et l'entretien des infrastructures d'assainissement en collaboration avec le gouvernent central.
Se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon afin de barrer la voie à la pandémie du Coronavirus, le président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou y tient beaucoup. Il a fait don aux populations de Porto-Novo et Ifangni, de 200 kits de lavage de mains.
Outre les dispositifs de lavage de mains, du savon liquide et des serviettes jetables ont été offerts aux populations et leur permettra d'accomplir le geste simple de lavage régulier des mains. Le don offert s'inscrit dans le cadre de l'appel à la solidarité nationale lancé par le gouvernement béninois afin de faire face efficacement à la pandémie du Covid-19.
Au début de la pandémie, le chef du parlement béninois s'est engagé à préserver les usagers et travailleurs de l'Assemblée nationale de cette pandémie à travers un certains nombre de mesures.
F. A. A.
L'appel à la solidarité nationale lancée par le gouvernement n'est pas tombé dans des oreilles de sourds. La Fondation Claudine Talon dans la dynamique de la riposte à la pandémie du Coronavirus au Bénin s'est portée vers les populations de Bopa dans le département du Mono, où elle a distribué des masques de protection.
Plus de 10 communautés ont bénéficié à Bopa de l'assistance de la Fondation présidée par la première dame du Bénin. Dans ces villages impactés par le geste, les populations ont réalisé elles-mêmes des dispositifs de lavage de mains appelés "Tippytap". Face à ce pas important dans l'adoption des gestes barrières, il était nécessaire de les accompagner. Ce que la Fondation Claudine Talon a vite compris.
Dans le cadre de la riposte à la pandémie du Coronavirus au Bénin, cette fondation s'est fixée un objectif de 50.000 masques à distribuer. A ce jour, elle en a distribué 70.000 environ
Dans la même dynamique, elle a offert des milliers de comprimés de Chloroquine pour la prise en charge des personnes malades du Covid-19.
F. A. A.
Des organes de presse écrite pourront désormais couvrir la campagne médiatique débutée le 1er mai pour le compte des élections communales et municipales 2020. Une décision qui intervient à la suite du plaidoyer des associations faîtières de la presse et de la rencontre tenue ce lundi 4 mai 2020 entre le président de la HAAC Prosper Moretti et la présidente de l'Union des professionnels des médias du Bénin (UPMB) Zakiath Latoundji et son homologue du Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel (CNPA-Bénin) Evariste Hodonou.
La Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) associe une cinquantaine d'organes de presse écrite à la campagne médiatique des communales du 17 mai prochain. Ecartés au début de cette étape du processus électoral, les organes de presse écrite sélectionnés pourront participer à la campagne comme les radios, les télévisions, La Nation et l'Agence Bénin Presse (ABP), initialement retenus par la HAAC.
« Nous avons longuement travaillé et fait des propositions à la HAAC pour que toutes les composantes de la grande famille de la presse participent à la couverture médiatique des activités au cours de cette période électorale », a souligné la présidente de l'UPMB Zakiath Latoundji.
Une liste des 54 organes de presse a été retenue en tenant compte de deux critères : l'existence légale et la régularité de la parution.
La HAAC se chargera de rendre publique la liste des organes de presse écrite autorisés très prochainement.
Conformément aux recommandations gouvernementales, les activités pédagogiques vont reprendre dès le lundi 11 mai prochain dans les écoles et universités du Bénin. A quelques jours de cette date, le recteur de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), Maxime da Cruz, à travers un communiqué datant de ce lundi 04 mai 2020 a pris certaines dispositions afin d'assurer une bonne reprise aux étudiants.
Selon le communiqué du recteur de l'UAC, en raison du contexte sanitaire marqué par la pandémie du Coronavirus, la présence des étudiants au cours n'est pas nécessaire à compter de la date du 11 mai 2020. La reprise des activités pédagogiques se fera avec des supports en ligne, et des dispositions sont prises à cet effet pour rendre les supports de cours accessibles en ligne par l'adresse https://cours.uac.bj, a souligné le recteur.
Maxime da Cruz rappelle que la programmation des cours présentiels, dans le strict respect des mesures préventives indiquées par le gouvernement contre le Coronavirus, sera ultérieurement communiquée aux étudiants.
Le recteur de l'UAC invite les responsables des différentes entités à veiller au respect strict des mesures de prévention du Covid-19, afin de protéger la communauté universitaire.
F. A. A.
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) est le seul parti ayant positionné plus de femmes sur sa liste pour les élections communales du 17 mai prochain. Le 03 mai 2020, une délégation de l'Ong Femmes engagées pour le développement (FED) s'est rendue au cabinet de la présidente Claudine Afiavi Prudencio pour féliciter l'amazone politique, qui s'est engagée pour l'essor du leadership féminin.
« Nous sommes venus présenter nos vives félicitations à celle que nous appelons l'amazone des temps modernes qui a pu tenir le pari », a déclaré Raimath Djibril Moriba, présidente de l'Ong FED qui lutte pour le leadership féminin.
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) engagée dans la bataille pour l'affirmation et l'essor du leadership féminin a présenté plus de femmes sur sa liste électorale pour les élections communales 2020.
Pour Raimath Djibril Moriba, la femme a tout le potentiel de participer au développement de son pays. « Nous encourageons toutes ces femmes qui ont été positionnées sur les listes de véritablement se battre sur le terrain pour affirmer ce leadership », a ajouté la présidente de l'Ong FED. Elle invite toutes les femmes à soutenir l'honorable Claudine Afiavi Prudencio.
L'Amazone de la politique nationale a remercié l'Ong FED pour ses mots d'encouragement. « Ce n'est pas un combat de Claudine Prudencio mais c'est un combat pour hisser la femme. Nous allons continuer ce combat pour amener assez de femmes au niveau décisionnel », a-t-elle affirmé.
A en croire la candidate du parti Christine Ahouandjinou Zinsou présente à la séance, l'UDBN est la porte de l'excellence, du leadership féminin. « J'ai compris à travers leur regard, leur sourire que maintenant elles sont rassurées aujourd'hui qu'elles peuvent mettre leurs pieds dans l'empreinte de la présidente de l'UDBN », s'est-elle réjouie.
Les cartes d'électeurs établies au terme du processus d'actualisation de la Liste électorale permanente informatisée (LEPI) pour le compte des élections communales et municipales du 17 mai prochain sont déjà disponibles. L'opération de distribution démarre ce mardi 05 mai 2020.
Selon nos sources, l'opération de distribution des cartes d'électeurs va durer 05 jours et concerne les personnes ayant fait la déclaration de perte, les nouveaux majeurs et les personnes n'ayant pas retiré leur carte lors des opérations de distribution de l'année 2019.
Ces personnes pourront se rendre dans les différents arrondissements pour le retrait de leurs cartes d'électeurs afin d'accomplir leur devoir civique le dimanche 17 mai prochain.
F. A. A.
Un conducteur de tricycle a perdu la vie ce week-end àTantani, dans la commune de Banikoara. A Porto-Novo, une dame a aussi succombé à ses blessures suite à un accident.
Le conducteur de tricycle, selon les témoins, a surchargé l'engin de barres de fer. Le tricycle ne pouvant supporter cette surcharge s'est renversé sur lui, ce qui lui a été fatal.
Ce même week-end à Porto-Novo, une dame âgée de 42 ans a succombé à ses blessures au CHD Ouémé après un accident de circulation au niveau du carrefour cinquantenaire. Roulant à moto avec trois enfants, ils ont été renversés par un camion gros-porteur. Selon les informations rapportées par Frissons radio, seuls les enfants dont un bébé de trois mois ont survécu.
F. A. A.
Inscrit dans le PAG "Bénin Révélé", le projet "Bénin-Taxi" a été lancé en juillet 2017 par le ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané. Ce projet créateur d'emplois visant l'amélioration de la mobilité urbaine a été adopté par les Béninois. C'est ce qu'a expliqué le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané le 30 avril 2020 au cours de l'émission « Rupture An 4 » sur la télévision nationale.
Le projet Bénin-Taxi est une réussite pour le ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement Abdoulaye Bio Tchané. « J'ai suivi ce projet depuis son début. Au départ, c'était des doutes. Et nous avons vu progressivement l'opinion changer sur le projet et sur son intérêt. Au début, les populations s'interrogeaient sur son utilité dans la mobilité à Cotonou et dans notre pays », a-t-il déclaré.
Tous les voyageurs qui arrivent au Bénin, les Béninois de la diaspora, les compatriotes qui veulent se déplacer font recours à ces taxis.
« Je peux dire sans me tromper que c'est un succès aujourd'hui », s'est réjoui le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané.
Le projet a également permis la création d'emplois. « Trois cents jeunes hommes et femmes travaillent directement sur le projet ; ce sont les artisans. Nous avons autour d'eux beaucoup d'autres personnes qui font les travaux autour des véhicules. C'est à peu près mille emplois qui ont été créés autour de ce projet. Ce sont des choses concrètes et des emplois durables », souligne-t-il.
À côté de Bénin-Taxi, poursuit le ministre, nous avons également favorisé les conditions à d'autres compagnies de taxis du secteur privé qui veulent le faire.
Le projet « Bénin-Taxi » a pour but principal d'améliorer la mobilité urbaine tout en contribuant à la promotion des artisans qui sont en même temps propriétaires et conducteurs.
Inscrit dans le PAG "Bénin Révélé", le projet "Bénin-Taxi" a été lancé en juillet 2017 par le ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané. Ce projet créateur d'emplois visant l'amélioration de la mobilité urbaine a été adopté par les Béninois. C'est ce qu'a expliqué le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané le 30 avril 2020 au cours de l'émission « Rupture An 4 » sur la télévision nationale.
Le projet Bénin-Taxi est une réussite pour le ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement Abdoulaye Bio Tchané. « J'ai suivi ce projet depuis son début. Au départ, c'était des doutes. Et nous avons vu progressivement l'opinion changer sur le projet et sur son intérêt. Au début, les populations s'interrogeaient sur son utilité dans la mobilité à Cotonou et dans notre pays », a-t-il déclaré.
Tous les voyageurs qui arrivent au Bénin, les Béninois de la diaspora, les compatriotes qui veulent se déplacer font recours à ces taxis.
« Je peux dire sans me tromper que c'est un succès aujourd'hui », s'est réjoui le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané.
Le projet a également permis la création d'emplois. « Trois cents jeunes hommes et femmes travaillent directement sur le projet ; ce sont les artisans. Nous avons autour d'eux beaucoup d'autres personnes qui font les travaux autour des véhicules. C'est à peu près mille emplois qui ont été créés autour de ce projet. Ce sont des choses concrètes et des emplois durables », souligne-t-il.
À côté de Bénin-Taxi, poursuit le ministre, nous avons également favorisé les conditions à d'autres compagnies de taxis du secteur privé qui veulent le faire.
Le projet « Bénin-Taxi » a pour but principal d'améliorer la mobilité urbaine tout en contribuant à la promotion des artisans qui sont en même temps propriétaires et conducteurs.
Plus de 5.500 milliards de FCFA, mobilisées à fin décembre 2019 pour la mise en œuvre du Programme d'Actions du gouvernement. Sur la télévision nationale le 30 avril 2020, le ministre d'État chargé du plan et du Développement Abdoulaye Bio Tchané a annoncé que le gouvernement est largement en avance sur ses prévisions de mobilisation des ressources.
De nombreuses réalisations en quatre années de gouvernance du président Patrice Talon grâce une planification prospective, stratégique et opérationnelle. Selon le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané, « il fallait ramener notre pays au fondamental ». Il y a eu donc la planification avec la vision Alafia 2025 par l'élaboration du Plan national de Développement (PND) ; le Programme de Croissance pour le Développement Durable (PC2D) et le Programme d'Action du Gouvernement (PAG).
Sur le volet de la mobilisation des ressources, le ministère du plan et du développement, a largement avancé. « C'est plus de 9000 milliards. C'est aussi que nous attendions seulement de l'État 32%. Aujourd'hui, nous avons déjà mobilisé au niveau de l'Etat plus de 5.500 milliards de francs CFA, à fin décembre 2019. D'abord, par nos propres efforts en rationalisant davantage notre budget pour dégager un peu plus d'épargne. Nous avons pris des mesures de rationalisation des dépenses ; nous avons épargné et cette épargne a contribué à la réalisation du PAG », a déclaré Abdoulaye Bio Tchané.
Il informe que le gouvernement est largement en avance sur ses prévisions de mobilisation des ressources. « Si vous prenez les 5.500 milliards, c'est largement au-dessus de ce que nous étions censés mobiliser pour la part de l'État pour les cinq années parce que chemin faisant, il y a plusieurs secteurs que nous avons affectés à l'État plutôt qu'au privé. En même temps, nous avançons dans la mobilisation des ressources au profit du secteur privé », a ajouté le ministre d'Etat. .
Les 5.500 milliards ont été investis dans plusieurs secteurs entre autres l'électricité, l'eau, l'agriculture.
Notre dette n'est pas critique
A en croire le ministre Bio Tchané, le Bénin est parmi les pays les moins endettés au sein de l'UEMOA. « Sur les 5.500 milliards dont j'ai parlé, à peine 30% représentent de la dette (...).Nous avons convenu parmi les pays à l'intérieur de l'UEMOA, que notre endettement ne devrait pas dépasser 70% du PIB. Aujourd'hui, quand vous regardez les pays riches et les pays émergents, vous voyez le niveau d'endettement où ils se situent par rapport à leur PIB. Nous sommes aujourd'hui largement en dessous de 50% d'endettement au Bénin. Notre dette n'est pas critique. Notre dette n'est pas alarmante. », a-t-il rassuré.
Mise en place d'une structure de suivi des projets
Sous Talon, les projets deviennent une réalité grâce au système de suivi mis en place. « Notre objectif, c'est zéro éléphant blanc parce que nous avons une structure de suivi des projets qui est relativement efficace », a confié le ministre d'Etat, chargé du Plan et du développement.
Dans le cadre de la mise en œuvre des Objectifs pour le Développement Durable (ODD) plusieurs avancées sont enregistrées. En 2017 et 2018, le Bénin a passé « de manière satisfaisante », les tests des évaluations volontaires des Nations -Unies. Le Bénin a également fait un exercice d'évaluation des ODD avec le Fonds Monétaire International et une table ronde sur le P20 avec la Suisse afin d'identifier les actions à mener pour les 20 % des populations les plus déshéritées. « Je peux le dire, le Bénin est un bon exemple des ODD », soutient le ministre.
Le gouvernement Talon a également un regain d'intérêt pour les ONG internationales installées au Bénin. D'après Bio Tchané, le gouvernement a identifié dans chaque secteur, les Organisations Non Gouvernementales (ONG) qui peuvent compléter l'action de l'Etat. Les actions du gouvernement se poursuivent pour une plus grande visibilité d'ici avril 2021.