Les ministres Mahugnon Cakpo de l'enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle et Benjamin Hounkpatin de la santé étaient face aux enseignants et responsables d'établissements dans la journée de ce mercredi 24 juin 2020. Objectif de la séance avec ces acteurs du système éducatif, les inviter à plus d'efforts dans le respect des règles barrières du Coronavirus.
Selon le ministre de l'enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahugnon Cakpo, les règles barrières ne sont « pas suffisamment respectées » dans les établissements scolaires. Aussi bien les élèves que des enseignants ne respectent pas les règles barrières, a-t-il regretté. « Nous avons observé le plus décevant des constats que même des enseignants n'ont pas de masques et ne se lavent pas régulièrement les mains », a confié l'autorité ministérielle. Mahugnon Cakpo a par ailleurs invité les enseignants et les responsables d'établissement à être des modèles auprès des apprenants.
Cette rencontre a été l'occasion pour le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin de rappeler le bien fondé des mesures prescrites par le gouvernement pour éviter la propagation de la maladie du Coronavirus dans le pays. Il a par ailleurs souligné que « la fraicheur » contribuerait à certains égards à l'accroissement observé du nombre de cas confirmés et de décès. Dans les pays occidentaux, observe Benjamin Hounkpatin, c'est au cours de l'hiver et du printemps que la contamination à la Covid-19 a flambé.
Les responsables d'établissements et les enseignants présents à cette rencontre ont pris l'engagement d'être des relais auprès des apprenants dans les établissements pour le respect des règles barrières de la pandémie du Coronavirus.
F. A. A.
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Le journaliste Ignace Sossou a été libéré de la prison civile de Cotonou ce mercredi 24 juin 2020. Heureux de retrouver sa famille, il a remercié la presse béninoise, internationale et tous ses soutiens.
« Je vous remercie d'être venus, je remercie toutes les organisations de journalistes et tous les internautes qui se sont mobilisés pour réclamer ma libération. Aujourd'hui, je suis un homme libre. Franchement, je vous remercie très sincèrement pour tout », a-t-il déclaré.
Après six mois de détention, le journaliste Ignace Sossou est content de retrouver sa famille, ses proches et ses collaborateurs.
Condamné en première instance, le 24 décembre 2019, à 18 mois de prison ferme, pour avoir relayé sur ses réseaux sociaux les propos tenus par le procureur de la République du Bénin lors d'un séminaire de formation organisé par CFI à Cotonou, Ignace Sossou n'a pas voulu se prononcer sur l'affaire.
« On aura le temps de revenir dessus. Pour le moment, l'affaire est toujours en justice et je ne peux pas me permettre de me prononcer », a-t-il affirmé.
Au terme de son procès en appel, le 19 mai dernier, la peine de Ignace Sossou a été réduite à 12 mois de prison dont 6 fermes.
A.A.A
L'une des grandes décisions prises en Conseil des ministres ce mercredi 24 juin 2020 est la transmission à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, du projet de loi portant protection de la santé des personnes en République du Bénin.
Selon le Conseil des ministres, ce projet de loi résulte des réformes engagées par le gouvernement dans le cadre de la réorganisation du système de santé du Bénin pour assurer une couverture sanitaire plus efficace.
Il consacrera notamment : le renforcement du droit à la santé ; la création d'un organe de régulation du secteur de la santé ; la promotion des conditions optimales pour une bonne qualité de soins et l'obligation de résultats pour les prestataires de soins.
Le projet de loi une fois votée va permettre également : la promotion des bonnes pratiques dans les formations sanitaires ; la répartition équilibrée et cohérente du personnel de santé sur tout le territoire ; l'amélioration du cadre et des conditions de travail du personnel.
Le Ministre de la Santé est instruit de suivre le processus législatif et d'assurer, en temps opportun, une bonne application de la loi.
A.A.A
Quelques heures seulement après l'accident au carrefour Cica Toyota mardi et qui a coûté la vie à 02 personnes et fait plusieurs blessés, un autre camion a écrasé à Abomey-Calavi un motocycliste ce mercredi 24 juin 2020.
Selon les témoins du drame, l'excès de vitesse serait à l'origine de l'accident. Un camion cherchant à dépasser un autre est allé ramasser un motocycliste qui traînait sa moto peut-être en panne. Un drame qui a suscité émoi et désarroi chez les riverains.
Dans la même journée, un candidat à l'examen du CEP a été tué par un véhicule à Paparapanga, dans le département de la Donga.
F. A. A.
Grand incendie ce mercredi 24 juin 2020 au marché Missèbo de Cotonou aux environs de 07 heures. Une bonne partie des hangars et boutiques avec des marchandises a été consumée par les flammes.
Les causes de cet incendie ne sont pas encore connues. Selon certains usagers des lieux, la partie du marché consumée par les flammes est majoritairement habitée par des toxicomanes. Ces derniers pourraient être la cause de l'incendie.
Les flammes ont été maîtrisées grâce aux sapeurs-pompiers.
Le marché de Missèbo est dominé par les Nigérians (Ibo), spécialisés dans le commerce de friperie.
F. A. A.
C'est la tristesse au centre de composition de l'examen blanc du Certificat d'études primaires (CEP) de Paparapanga, dans le département de la Donga. Un candidat a été tué par accident.
L'un des candidats de ce centre de composition a été renversé par un véhicule ce mercredi 24 juin 2020. Sous le choc, l'enfant n'a pas survécu. Il est passé de vie à trépas. Un drame qui a plongé tout l'établissement et les candidats dans la tristesse et la désolation.
F. A. A.
En détention depuis décembre 2019 à la prison civile de Cotonou, le journaliste Ignace Sossou a recouvré sa liberté ce mercredi 24 juin 2020 aux environs de 17 heures.
Le professionnel des médias a été condamné pour avoir sorti de leur contexte et publier sur les réseaux sociaux, les propos du procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Mario Mètonou. Des propos tenus par le magistrat en décembre 2019, lors d'un forum de CFI, l'Agence française de développement Média, sur la vérification des fausses nouvelles à Cotonou, en prélude au projet « Vérifox ».
Condamné à 18 mois de prison ferme par le tribunal de première instance pour « harcèlement par le biais de moyens de communication électronique », ses avocats ont fait appel du verdict du tribunal de Cotonou. La cour d'appel de Cotonou lors du procès du 19 mai dernier revoit la peine et le condamne à 12 mois de prison dont 06 assortis de sursis.
En détention depuis le 24 décembre 2019, l'intéressé a recouvré sa liberté dans l'après midi de ce mercredi 24 juin 2020.
Sa condamnation avait suscité une grande indignation au sein des organisation de défenses de droits de l'homme tant au Bénin qu'au niveau international. L'organisation syndicale des médias au Bénin (UPMB) et l'association des bloggeurs du Bénin (ABB) Reporters sans frontières (RSF) et Amnesty international n'ont de cesse appeler à sa libération.
F. A. A.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) statuant en matière criminelle ce mardi 23 juin 2020 a condamné Boniface Kpékpassi, ex-gérant de la boutique Témoin de l'ex-Office national de sécurité alimentaire (ONASA) de Tchaourou à 07 ans de prison ferme et une amende de 05 millions de francs CFA.
Reconnu coupable du crime de détournement de deniers publics, l'inculpé devra également verser le montant de 3 616 865 FCFA représentant le montant des produits issus de la vente de sacs de riz et de maïs mis à la disposition de la boutique et censé être reversé au Trésor public pour le compte de l'ex-ONASA.
Selon le rappel des faits par le quotidien La Nation, en 2015, Boniface Kpékpassi, fut recruté au poste de gérant de la boutique témoin de l'ONASA de Tchaourou. Il était chargé de la gestion financière et de la tenue des pièces comptables de ladite boutique.
A la suite d'un contrôle effectué par la direction à ce poste, il a été constaté un détournement de 3 616 685 F CFA. Boniface Kpékpassi sera alors poursuivi pour détournement de deniers publics et placé sous mandat de dépôt le 22 septembre 2015.
A la barre ce mardi 23 juin, il dit ignorer ce qui s'est réellement passé pour qu'il enregistre un manquant d'une telle importance. Toutefois, il fait savoir à la Cour qu'il constate parfois, après vente au détails des céréales, que le nombre de kilogrammes écrit sur les sacs de riz ou de maïs ne correspond pas à leur contenance inscrite. Mieux, il y a aussi les charançons qui attaquent parfois les sacs.
Le mis en cause accuse parfois son ex-assistante de n'avoir pas peut-être déclaré toutes les ventes opérées. Ce qui selon lui, serait lié à son inculture en matière de comptabilité et de gestion.
L'accusé dans ses déclarations a souligné qu'il n'a jamais su que l'ONASA était une structure publique. Il l'a toujours considérée comme une propriété privée de son oncle, alors directeur général et qui l'avait recruté à l'époque.
Délibérant, la Cour présidée par le magistrat Guillaume Dossa Laly le condamne à une peine d'emprisonnement ferme de 07 ans. En détention depuis le 22 septembre 2015, il retourne en rison pour purger le reste de sa peine.
F. A. A.
Le gouvernement béninois a tenu ce mercredi 24 juin 2020 sa séance hebdomadaire sous la présidence du chef de l'Etat, Patrice Talon. Le Conseil des ministres a adopté plusieurs décrets lors de sa séance.
Le Conseil a adopté les décrets portant : création de la Société pour l'Approvisionnement en produits de santé et approbation de ses statuts ; modification du décret portant attributions, organisation et fonctionnement de l'Observatoire de l'Emploi et de la Formation puis nomination des membres de son Conseil d'administration.
A cela s'ajoutent les décrets portant : attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Défense nationale ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère des Enseignements maternel et primaire et retrait de l'agrément accordé à la société Yellowbet pour l'exploitation de paris sportifs en ligne.
A.A.A
« Tombola des factures normalisées », c'est le jeu initié par la Direction Générale des Impôts (DGI) dans le cadre de la réforme des factures normalisées avec l'appui technique de la Loterie Nationale du Bénin (LNB).
Ce jeu tombola sous la supervision de l'huissier Maxime René Assogba, va se dérouler de Juin à Décembre 2020.
Lancé le jeudi 18 juin 2020, le jeu des factures normalisées a pour but d'encourager les consommateurs à l'adoption de la réforme. Il est ouvert à toute personne, consommatrice finale, résidant sur le territoire national à l'exception des agents de la Direction Générale des Impôts (DGI) et des structures partenaires d'appui technique dans la mise en œuvre de la réforme.
Pour participer au jeu, il faut réclamer sa facture normalisée après une transaction au niveau d'un contribuable détenteur d'une Machine Electronique Certifiée de Facturation (MECeF). Elle doit être conservée pour gagner des lots par semaine et par mois.
Les factures normalisées émises sur toute l'étendue du territoire national par les MECeF sont automatiquement enregistrées dans la base de données mise en place par la DGI.
Les tirages de cette tombola auront lieu tous les vendredis à 10 heures à la salle de conférence de l'immeuble DGI-DGAE à Cotonou. Le tout premier tirage est prévu pour le vendredi 26 juin 2020.
Il y a trois formes de tirage, à savoir : quatre (04) catégories de tirages tous les vendredis ; cinq (05) catégories de tirages tous les derniers vendredis du mois et six (06) catégories de tirages le dernier vendredi de l'année 2020.
Les tirages hebdomadaires porteront sur les factures normalisées d'achats de la semaine, les tirages mensuels sur les achats du mois et le dernier tirage de l'année sur les achats de toute l'année.
Un participant à la Tombola des factures normalisées et tiré au sort a la possibilité de gagner plusieurs lots en numéraire. Ces lots sont répartis comme suit : cinquante (50) lots de 20.000 FCFA ; trente (30) lots de 50.000 FCFA ; quinze (15) lots de 100.000 FCFA et cinq (05) lots de 200.000 FCFA.
S'agissant du dernier tirage du mois de décembre, il y aura en plus des 100 lots, deux super lots en nature. Il s'agira de deux (02) voitures neuves d'une valeur de 25 millions de francs CFA chacune.
Le corps en putréfaction d'un homme, la cinquantaine environ a été découvert dans un puits d'environ 35 mètres à Glo-Djigbé, un arrondissement de la commune d'Abomey-Calavi.
Selon la station Frissons radio, qui a rapporté l'information, la victime, menuisier de profession, a quitté la maison depuis 05 jours. Recherché depuis ce temps, c'est son cadavre qui a été découvert dans un puits. Les causes et les circonstances de sa mort ne sont pas encore élucidées. Une enquête est ouverte aux fins d'en savoir davantage.
F. A. A.
Le Conseil des ministres a décidé ce mercredi 24 juin 2020 de la suspension pour six mois, de la cession du patrimoine foncier des communes. La décision a été prise à la suite des missions de vérification diligentées par le gouvernement dans les communes, en vue d'apprécier la gestion du foncier, notamment des réserves administratives.
Selon le Conseil des ministres, les missions ont révélé plusieurs graves dysfonctionnements dans les opérations de lotissement ainsi qu'un défaut de préservation des réserves alors que celles-ci sont censées accueillir des équipements publics et socio-économiques.
« Une telle situation compromet le développement équilibré du territoire et ne favorise pas l'accès des populations aux services essentiels, de même que les investissements pour la promotion d'activités économiques au plan local », notifie le Conseil des ministres.
En prenant la décision de suspendre pour six mois la cession du patrimoine foncier des communes, le gouvernement veut sauvegarder les réserves administratives et assurer une meilleure gestion du patrimoine foncier des communes.
Durant cette période, les ministres concernés vont « établir la situation exacte de toutes les opérations de lotissement et de remembrement foncier urbain en cours sur le territoire national, que ces opérations soient autorisées ou non par les mairies et aient recueilli ou pas l'avis de la Commission d'urbanisme compétente ».
Ils sont chargés aussi de prendre les dispositions pour faire l'inventaire des réserves administratives existantes sur toute l'étendue du territoire national aux fins d'empêcher leur morcellement et leur cession.
Les ministres doivent également suspendre la cession, par les mairies, de toute parcelle du domaine privé de la commune.
A.A.A
Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 24 juin 2020 sous la présidence du Chef de l'État Patrice Talon. Au terme de la séance plusieurs décisions ont été prises.
Au titre des mesures normatives, il y a : la suspension de la cession du patrimoine foncier des communes ; la transmission à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, du projet de loi portant protection de la santé des personnes en République du Bénin. Retour ligne automatique
Au titre des autres mesures normatives, le Conseil a adopté les décrets portant : création de la Société pour l'Approvisionnement en produits de santé et approbation de ses statuts ; modification du décret portant attributions, organisation et fonctionnement de l'Observatoire de l'Emploi et de la Formation puis nomination des membres de son Conseil d'administration. Retour ligne automatique
A cela s'ajoutent les décrets portant : attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Défense nationale ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère des Enseignements maternel et primaire et retrait de l'agrément accordé à la société YELLOWBET pour l'exploitation de paris sportifs en ligne.
A.A.A
A l'instar des personnels de la police républicaine et des douanes béninoises, le statut du personnel des eaux, forêts et chasses a modifié ce mardi 23 juin 2020 par les députés au cours de la plénière présidée par Louis Vlavonou, président de l'Assemblée nationale.
Le projet de loi portant statut spécial du personnel du corps des eaux, forêts et chasse en République du Bénin a été adopté à l'unanimité des députés. Présenté par la commission de la défense, il est composé de 174 articles répartis en 10 titres et 20 chapitres.
Du point de vue de l'organisation de la hiérarchie, de nouveaux grades ont été créés et l'on pourra désormais observer dans le rang des personnels des eaux, forêts et chasse, des grades de Conservateur major, de Conservateur de première classe, et de Contrôleur major dans le corps des Contrôleurs.
Selon la nouvelle loi, peut accéder au grade de Conservateur de deuxième classe des eaux, forêts et chasse, tout forestier ayant effectué 02 ans dans son grade et ayant obtenu le diplôme forestier d'acteur conservateur des eaux, forêts et chasse.
Ce qui redéfinit le critère d'avancement au choix et/ou mérite, et la condition d'ancienneté et de diplôme pour évoluer en grade.
F. A. A.
Les éléments de la police républicaine ont arrêté ce mardi 23 juin 2020 à Abomey-Calavi deux présumés braqueurs.
Spécialisés dans le vol à main armée, complicité de vol et cambriolage, le réseau des hors-la-loi opèrent dans les quartiers Sèmè, Djokombi et Aganmandin. Les agents du commissariat central d'Abomey-Calavi ont réussi à mettre la main sur deux des braqueurs dans la commune d'Abomey-Calavi. Deux autres braqueurs de la bande ont pris la poudre d'escampette lors de l'interpellation.
La perquisition faite aux domiciles des présumés braqueurs a permis de retrouver des postes téléviseurs, des appareils électroménagers, des woofers et d'autres matériels. Les deux présumés braqueurs seront présentés, le jeudi 25 juin au procureur du tribunal de première instance de deuxième classe d'Abomey-Calavi.
A.A.A
Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou a condamné ce mardi 23 juin 2020 au cours de la session criminelle un démarcheur de profession à 18 mois de prison ferme pour avoir violé le droit du travail des enfants.
Selon Frissons Radio, l'accusé avait pour travail de récupérer les mineurs et de les placer auprès de ceux qui sont en quête de domestiques ou d'enfants placés communément appelés Vidomègon au Bénin. Il amène certains enfants à une destination inconnue sans la permission des parents. L'inculpé partage également les rémunérations générées par le travail des enfants avec leurs parents. Il a été condamné à 18 mois de prison ferme.
A.A.A
Grand incendie ce mercredi 24 juin 2020 au marché Missèbo de Cotonou aux environs de 07 heures. Une bonne partie des hangars et boutiques avec des marchandises a été consumée par les flammes.
Les causes de cet incendie ne sont pas encore connues. Selon certains usagers des lieux, la partie du marché consumée par les flammes est majoritairement habitée par des toxicomanes. Ces derniers pourraient être la cause de l'incendie.
Les flammes ont été maîtrisées grâce aux sapeurs-pompiers.
Le marché de Missèbo est dominé par les Nigérians (Ibo), spécialisés dans le commerce de friperie.
F. A. A.
Le diplôme de licence en droit et de baccalauréat sont désormais requis pour accéder aux corps de la Police républicaine. C'est l'une des réformes du projet de loi n°2020-16 portant statut spécial des personnels de la Police républicaine examiné et adopté à l'unanimité des députés ce mardi 23 juin 2020.
L'accès aux corps aux différents corps de la Police républicaine est dorénavant conditionné par le diplôme de licence en droit et de baccalauréat. Les conditions d'avancement ont été modifiées avec le critère d'avancement au choix et/ou mérite, la revue à la hausse par endroit des conditions d'avancement et la rigidité quant à la condition de diplôme.
Le commissaire divisionnaire qui ne remplit pas les conditions d'ancienneté ne peut être promu au grade supérieur. Aussi, doit-il être titulaire du Brevet d'études supérieures de la sécurité. La nouvelle loi composée de 183 articles répartis en 10 titres et 19 chapitres renforce le statut des agents de la police républicaine.
A.A.A
Depuis le 02 juin dernier que le gouvernement a autorisé la réouverture des lieux de culte et des églises, des bars et restaurants ainsi que le transport en commun des bus et mini bus, le nombre de cas confirmés de Coronavirus a plus que triplé au Bénin. De 259, le pays est passé à 902 cas confirmés en l'espace de 21 jours.
Au nombre des personnes infectées par la maladie, de sources concordantes renseignent que des magistrats et un journaliste auraient contracté la maladie. Il s'agit selon ces sources, de 02 magistrats du tribunal de première instance de première classe de Cotonou et de 02 autres de la Cour d'appel.
Outre les hommes en toge, la maladie aurait fait son incursion dans le rang des professionnels des médias. Un journaliste de la presse écrite l'aurait également contracté.
Il est à noter que qu'en raison des cas positifs de Coronavirus, des banques opérant à Cotonou ont dû fermer momentanément certaines de leurs agences. Un autre cas a été détecté à GRIMALDI Bénin SA. Ce qui a amené les responsables de cette firme, à procéder à la désinfection des locaux de la structure et au dépistage systématique de tout son personnel.
A l'Agence nationale des transports terrestres, deux cas positifs ont été également détectés et suscité de réactions de la part du syndicat qui a appelé à la prise de mesures urgentes pour le bien-être des agents.
Plus de doute à se faire quant à la présence de la maladie au sein de la population. Le gouvernement en publiant les derniers chiffres, a exhorté les uns et les autres au respect des règles barrières.
Selon ces chiffres, le nombre de cas confirmés à la date du 23 juin 2020 est de 902. 612 patients sont encore sous traitement, 277 sont déclarés guéris et 13 décédés.
F. A. A.