Belkecir Mohamed
Répondant au vœu d’une jeunesse livrée à l’oisiveté et en quête de moyens pour meubler le temps qu’elle passe dans des bourgades démunies d’équipements, les autorités locales ont doté cette fin de semaine les villages de Khalouia et de M’Naouer relevant de la daïra d’El Bordj de deux stades de proximité engazonnés. Une enveloppe financière de 700 millions de centimes a été réservée à chacune des deux infrastructures sportives.Une fois inaugurées, ces dernières ont fait l’objet d’une passation de consignes pour être gérées par une association de quartier qui se chargera de l’entretien et de l’exploitation de ces aires de jeux pour faire participer le maximum de jeunes.
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A. Mallem
Des commerçants de la ville de Didouche-Mourad tenant des magasins de vente d’articles de téléphonie mobile et leurs accessoires nous ont contactés hier pour nous signaler ce qu’ils ont appelé «un phénomène d’arnaque» sur les spécifications techniques de certains appareils de téléphonie mobile commercialisés sous le label d’une société nationale qui, en fait, ne fait que le montage.Les pièces sont importées d’Asie. «Ces spécifications sont complètement fausses et trompeuses», nous a déclaré M.B., l’un des commerçants en décrivant les modèles de la marque incriminée qu’ils ont reçus récemment.
Ainsi, selon notre interlocuteur, sur le modèle «Nextip +» de cette marque il est indiqué que l’appareil comporte 32 Go de mémoire. «Mais lorsque le client ouvre la
mémoire intégrée du téléphone, il constate à ses dépens qu’il n’y a que 24 Go ! Il en est de même pour le modèle «Next i» de la même marque dont la fiche indique qu’il comporte 32 Go de mémoire mais il n’en possède en réalité que 24. «Pourtant, nous signalent nos interlocuteurs, les modèles en question, d’après une autre indication qu’ils comportent sur l’appareil, indiquent également qu’ils sont passés par l’agence de contrôle, l’agence de régulation des postes et télécommunications (l’ARPT) en l’occurrence, et que celle-ci aurait donc donné son aval pour la commercialisation du produit selon les spécifications techniques indiquées, qui sont, comme on vient de le dire, totalement fausses».
L’un d’eux affirmera ensuite que les commerçants à travers le territoire national qui ont reçu de grosses quantités de ce produit, s’en sont plaints à la société qui fait l’assemblage.
«Ce matin même, ajoute notre interlocuteur, je viens de protester auprès du directeur général de la société en question et il m’a répondu que sa société ne peut rien faire, car ces spécifications techniques viennent du fournisseur chinois lui-même qui fabrique les pièces.
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A.El Abci
L’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) lancera, incessamment, en coopération avec la direction du logement, des travaux d’étanchéité au niveau des caves pour l’évacuation des eaux usées, des vides sanitaires et « peut-être de réhabilitation d’ascenseurs ». Le chef du service patrimoine de l’Office, Hichem Yahiouche, déplore que les équipes d’intervention rencontrent nombre d’entraves sur le terrain, à l’instar du problème que représentent les extensions réalisées par les propriétaires des locaux commerciaux, entre autres, dit-il. Et de poursuivre que l’Office a adressé des mises en demeure aux commerçants concernés qui seront suivies éventuellement de poursuites judiciaires, en considération que ces extensions bouchent les regards qui sont devant lesdits locaux. Surtout lorsque ces extensions sont faites avec des dalles de sol et d’autres aménagements du même genre.Alors que les locataires aussi bien que les commerçants, qui occupent les rez-de-chaussée, sont également responsables, particulièrement des parties communes. Et de noter que ces reproches ne concernent pas tout le monde, mais une minorité qui fait fi de la réglementation en la matière, et qui nous causent d’énormes difficultés dans l’exécution des travaux. Par ailleurs et abordant la question du paiement des loyers par les locataires, il fait savoir que seule une minorité est à jour, alors qu’il est évident que l’importance des interventions de l’Office, concernant les caves, les vides sanitaires, les ascenseurs etc., est fonction dans une large mesure des sommes d’argent perçues au titre des loyers.
Malheureusement, le recouvrement des loyers reste très faible, d’où certainement la nécessité d’intensifier les campagnes de sensibilisation menées jusque-là, et qui ont, malheureusement, montré leur limite, dit-il.
«Mais, nous intervenons selon nos moyens et nous ferons beaucoup plus, dit-il, si les locataires veillent à être à jour vis-à-vis de l’Office, mais c’est peut-être, là aussi, à nous de sensibiliser et de communiquer plus et mieux avec ces derniers».
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A. Mallem
Une promotion de 128 artisans sortant de l’école de formation de la Chambre des arts et métiers (CAM) de Constantine, a été honorée, hier, et ses lauréats ont reçu leurs diplômes des mains des autorités locales. Cette promotion est formée en grande majorité de femmes qui ont appris les métiers de la couture et de la confiserie traditionnelle et qui viennent d’être honorées au cours d’une cérémonie organisée dans les salons de l’APC de Constantine où elle ont exposé leurs réalisations et aussi pour célébrer la journée nationale de l’artisanat.M. Benarab, le directeur de la CAM, est intervenu pour préciser que cette promotion est la 16éme du nom dans ces branches de la couture et de la confiserie traditionnelle. Après avoir rappelé que la CAM de Constantine compte aujourd’hui plus de 17.000 artisans dans différentes activités, dont plus de 5.000 dans le seul secteur de l’artisanat traditionnel, il a déclaré que cela fait de Constantine un pôle par excellence de l’artisanat traditionnel distingué à travers tout le pays.
«Cela en plus du fait, a-t-il fait remarquer, que chaque année, des promotions de plus de 150 artisans sortent de notre école de formation. Ce qui n’est pas rien quand on sait que beaucoup d’autres wilayas ne réalisent, dans le même temps, que des chiffres dépassant rarement la cinquantaine ». Et M. Gheddab, le président de la CAM, de compléter en disant que cet avantage pris par notre wilaya dans l’artisanat, surtout dans le secteur de la dinanderie, est attesté partout, même au niveau international. La preuve en est, dit-il, cette invitation qui vient de nous être lancée pour participer à la foire du Koweït qui va avoir lieu prochainement, pour représenter l’Algérie dans ce secteur ». Et l’orateur a reconnu que dans ce cadre, l’apport des dispositifs de l’emploi et du secteur de la formation professionnelle dont les représentants étaient présents à la cérémonie, a été remarquable et a permis à la CAM de réaliser ces performances. Et avant de terminer, M. Benarab a rappelé que « samedi, une exposition d’artisanat a été ouverte par la même occasion au centre culturel M’hamed
Lyazid d’El-Khroub et regroupant un certain nombre d’artisans et elle va durer encore une semaine».
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A. Mallem
Intervenant dans un colloque international, organisé à l’université 3′ Salah Boubnider, un docteur en sciences économiques a révélé que les aptitudes techniques au travail des étudiants, notamment ceux issus des filières des sciences économiques, sont très faibles. « Cette évidence nous a été démontrée par l’étude que nous avons faite en suivant les étudiants de cette filière qui ont été recrutés au sein des banques publiques à Constantine. Il s’est avéré, en effet, que ces nouveaux employés ne possédaient pas le minima en matière de bagages techniques pour exercer les professions pour lesquelles ils ont été recrutés. Ce qui a démontré à l’évidence la faiblesse de la formation qu’ils ont reçue à l’université», a déclaré en substance le docteur Mohamed Boucheriba, enseignant à la faculté des sciences économiques de l’université 2′ Abdelhamid Mehri de Ali Mendjeli, dans la communication qu’il a faite hier au colloque international de deux jours, les 11 et 12 novembre, à l’université 3′ Salah Boubnider de Constantine. Le thème retenu pour cette rencontre est « la formation universitaire et l’environnement économique et social : défis et perspectives », sur lequel vont plancher les participants durant les journées des 11 et 12 novembre en cours. La rencontre est pilotée par le Laboratoire de l’architecture, de la ville, des métiers et de la formation.Pour remédier à cette situation « désastreuse », le conférencier a recommandé de revoir complètement les schémas des programmes de formation dans nos universités et dans les établissements de formation supérieure et les mettre en adéquation avec la formation
exigée par le marché du travail. Il a recommandé également une refonte globale des programmes en introduisant les trainings et l’utilisation de la méthode de « simulation » afin de mettre l’étudiant dans des conditions de travail ressemblant à la réalité du poste auquel il est destiné, créer le climat du travail, etc. « Il faut aussi, selon lui, privilégier la qualité à la quantité et veiller à instaurer une coordination entre l’université et les organismes du
travail en mettant toujours en avant les facteurs de qualité et en adoptant une attitude axée sur la connaissance profonde des besoins du client fournisseur de l’emploi ».
A ce propos, plusieurs participants que nous avons contactés, hier, ont pensé que cette communication a mis le doigt sur des réalités qu’on ne peut nier et qu’elle vient de donner le ton de celles qui vont suivre durant ces deux journées de travail consacrées au thème
retenu par le colloque.
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A.Z.
Le pire a été évité sur l’autoroute Est / Ouest, zone de Djebel El Ouahch, suite au dérapage suivi du renversement d’un camion-citerne transportant du carburant. L’accident a eu lieu dans la soirée du samedi, à 21 heures 10 minutes, indique un communiqué de la Protection civile, qui signale que les sapeurs-pompiers du centre avancé Boumaâza Abdelmadjid ont été dépêchés sur le lieu de l’accident, où ils ont constaté le renversement du camion-citerne et le déversement dans la nature de près de 30 000 litres de mazout. Le carburant ne s’est pas déversé sur la chaussée, évitant ainsi des glissades dangereuses aux autres véhicules en circulation dans la nuit, souligne le communiqué en question. Car, le camion-citerne a dérapé du côté de la forêt et il s’est renversé hors de la route, déversant le contenu de mazout dans la nature. On signale que l’accident n’a, fort heureusement, fait aucune victime.The post Un camion-citerne se renverse: Près de 30.000 litres de mazout déversés dans la nature appeared first on .
La Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) informe aujourd’hui dans un communiqué, que l’alimentation en eau potable sera suspendue à l’ouest d’Alger, le 13 novembre 2018 de 8 h 000 à 16 h 00.
Ces perturbations sont dues au lancement des travaux de nettoyage d’un ouvrage principal de distribution au niveau de la commune d’Oueld Fayet, informe SEAAL dans son communiqué.
La suspension touchera les communes suivantes : Oueld Fayet (en totalité), Cheraga ( Bouchaoui ) et enfin Souidania (en partie), précise SEAAL.
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Ali Chabana
Que dire encore des communes frontalières, dans la wilaya de Tébessa. Elles sont 10, du nord au sud, Ouenza, El Meridj, Aïn Zerga, El Kouif, El Houijbet, Elma Labiod, Oum Ali, Saf Saf Ouesra, Bir El Ater et Negrine. L’Etat accorde un intérêt particulier à cette région, tant sa situation socio-économique préoccupe, associée à une position géographique et sécuritaire qui doit être préservée, au point de lui consacrer un programme économique et social spécial, au profit de la population locale. Le lourd déficit en matière d’infrastructures de base, réseau routier, AEP, structures sanitaires, base industrielle, entre autres. Conséquence, l’attrait des investissements demeure embryonnaire, associé au retard dans les quelques projets inscrits et visibles, un chômage endémique, effet gangrenant de la contrebande responsable de la migration interne vers d’autres localités à la recherche de travail. Ainsi la dernière sortie sur le terrain du wali accompagné de plusieurs cadres gestionnaires entre dans ce cadre, inspection et relance des projets, d’Oum Ali à El Houibet, en passant par Elma Labiod et Saf Saf Ouesra, certains secteurs ont été passés en revue, habitat, projet de réalisation de 80 logements sociaux locatifs, projet d’une minoterie à Saf Saf Ouesra, au titre de l’investissement privé, inspection du projet d’une station-service à Bouchebka et d’une polyclinique, réhabilitation du chemin de wilaya 2, reliant Oum Ali à Bouchebka sur 21,5 kilomètres. Quant à la commune d’Elma Labiod, seront réalisés 40 logements promotionnels aidés. A Berzguene, la localité rurale a bénéficié d’une salle de soins, ainsi que l’inauguration du tronçon routier de 17,5 kilomètres. De toute manière, les grandes disparités constatées entre les communes, concernant les dotations et équipements font réagir les autorités de la wilaya en premier le wali lui-même, et sa présence sur le terrain ne fait que renforcer cette volonté de rattraper les retards enregistrés et accrocher ces communes déshéritées au wagon d’un développement local à deux vitesses, c’est le moins qu’on puisse dire. D’autres communes attendent leur tour, pour pouvoir sortir la tête de l’eau, Ferkane, Ogla Malha, Grigueur ou encore Stah Guentis, Mazraâ. Sans un équilibre dans la dynamique de la relance d’un développement durable intégré, les stigmates apparents de la pauvreté et du besoin resteront à jamais comme un signe d’incapacité dans la prise en charge des citoyens.The post Tébessa: Le paquet sur les communes frontalières appeared first on .
Ali Chabana
Dépourvue d’un hôpital, la daïra d’El Ogla, située à 85 kilomètres au sud-ouest de la wilaya de Tébessa, à la limite administrative de la wilaya de Khenchela, est dans l’attente d’une solution. Les habitants de cette région semi rurale sont donc contraints de se déplacer jusqu’à Cheria, voire le chef-lieu, pour pouvoir bénéficier de soins. Et pourtant, le projet d’un établissement hospitalier existe, lancé en 2010 celui-ci piétine, un hôpital de 60 lits dont la construction reste en suspens, que les habitants des communes de Bejen, Stah Guentis et Mazraâ voudront voir le jour, dans l’espoir de mettre un terme à leurs souffrances. Quand il s’agit de consulter un toubib, on doit parcourir des dizaines de kilomètres. Sa réception est chaque fois renvoyée en raison d’arrêts répétitifs des travaux.Les patients eux, toujours, continuent d’attendre, d’autant que les quatre salles de soins fonctionnelles n’arrivent plus à répondre à la demande. A cause de l’éloignement des structures sanitaires (maternité), les accouchements se font dans certains cas, à domicile, avec tous les risques qui pourront en découler. Selon une source au fait du sujet, l’hôpital serait finalement mis en service dans le courant de l’année 2019. Le projet aura coûté quelque 300 millions de dinars. L’autre problématique à résoudre est le déficit en praticiens spécialisés, quand on sait que la population de la wilaya de Tébessa est pourvue d’un médecin spécialiste pour 30.000 habitants ! Et seulement un médecin généraliste pour 6.000 habitants. Une autre question : quand sera livré l’établissement hospitalier M’henna Benjedda, le plus ancien de la wilaya, après des travaux de réhabilitation et d’équipement évalués à 230 millions de dinars, qui n’en finissent pas ?
Cette structure sera d’un grand soulagement pour beaucoup de malades, qui sont dans l’obligation d’effectuer le déplacement jusqu’à l’EPH Boulaâres Bouguerra à Bekkaria, à 15 kilomètres du chef-lieu. Si la wilaya de Tébessa s’est vue doter de plusieurs structures de santé ces dernières années grâce à des programmes de renforcement dont une unité d’oncologie, ainsi que la réactivation des polycliniques et, bientôt, d’un hôpital régional de psychiatrie (120 lits), les disparités entre les communes font que certaines de ces structures se trouvent débordées, parfois au détriment de la qualité des prestations offertes aux citoyens.
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M. Benboua
En conférence de presse hier à la salle des conférences du stade du 5-Juillet (Alger) en compagnie des membres de la LFP, le président de la ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar a tenu à faire le point sur tout ce qui a été dit ces derniers temps sur la programmation, la commission de discipline, les clubs et sa gestion de la LFP depuis son élection, il y a quatre mois. Plus que jamais contesté par les présidents des clubs qui l’avaient pourtant eux-mêmes élu, Medouar a joué la carte de l’apaisement, non sans se montrer parfois très fragilisé. D’aucuns s’attendaient d’ailleurs à ce que l’ancien président de l’ASO finisse par rendre le tablier, mais il l’a confirmé haut et fort : «J’y suis, j’y reste. Je ne partirai pas pour faire plaisir à certaines personnes. J’assume entièrement mes responsabilités, car j’ai commis des erreurs, certes, mais ce ne sont pas des erreurs graves. Il faut savoir que rien n’était facile depuis mon arrivée». Ceux qui s’attendent à ce que Medouar craque vont déchanter, mais cela été prévisible, surtout après la dernière réunion avec le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, et les membres ayant gelé leurs activités à cause des «décisions unilatérales» de leur président. C’est d’ailleurs grâce à la FAF que Medouar a été réconforté. Cependant, les spécialistes n’écartent pas l’idée de voir le président de la LFP effectivement craquer prochainement. Ils croient même que ses jours à la tête de l’instance chargée de la gestion des deux championnats professionnels en Algérie sont comptés. C’est qu’à l’intérieur même de la LFP les choses ne fonctionnent pas comme prévu. Medouar a justement profité de l’occasion pour tirer à boulets rouges sur les fonctionnaires de la Ligue. «Il y a une fuite au sein de la LFP» a accusé Medouar. Il a affirmé qu’il y avait «deux ou trois personnes qui ont pris une mauvaise habitude, celle de sortir des informations confidentielles, et cela ne date pas d’aujourd’hui», a-t-il poursuivi, faisant allusion au mail échangé entre la FAF et la LFP publié dans la presse. Pour ce qui est de la programmation, Medouar s’est félicité d’avoir établi un calendrier adapté avant les incidents du match CABBA-MCA, qui ont tout chamboulé par la suite. «On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs», s’est défendu le conférencier en évoquant la programmation. Enfin, abordant la polémique du match entre l’USMA et la JSK, l’ancien président de l’ASO s’est dit déçu par les déclarations de Mellal : «Je n’accepterai jamais qu’on porte atteinte à ma vie privée. Je prends un café avec qui je veux et là ou je veux», s’est offusqué le patron de la LFP, affirmant que c’est la commission de discipline qui prendra les décisions qui s’imposent envers le président de la JSK. Il est aussi revenu sur sa présence en compagnie de la sélection algérienne de football au Bénin. «Je suis un ancien président de club et président de la Ligue, j’ai le droit d’y être», a-t-il affirmé, alors que la Ligue ne dispose toujours pas d’un vice-président, ni d’un secrétaire général, comme prévu dans le règlement. Quoi qu’il en soit, les amoureux de la balle ronde attendent au tournant la LFP sur d’autres sujets qui sont la conséquence directe d’un laisser-aller flagrant, notamment sur la gestion et la prise des décisions.The post LFP – Conférence de presse de Medouar Abdelkrim: «J’y suis, j’y reste » appeared first on .
M. Z.
L’avant-dernier tour régional de la Coupe d’Algérie de la Ligue régionale de l’Ouest a été marqué par quelques surprises de taille. On remarquera que certains clubs ne donnent plus aucune importance à « Dame Coupe », mais oublient qu’ils ont un prestige à défendre. C’est le cas du décevant RC Relizane (Ligue 2) qui a été éliminé au stade Zabana par le CRB Sfisef, sociétaire de l’Inter-régions Ouest. L’autre surprise a été l’œuvre de la JS Bedrabine (Régionale 2), auteur d’un bel exploit face au CR Témouchent, l’un des postulants à l’accession en DNA. Cette sortie prématurée en Coupe d’Algérie confirme l’incapacité du CRT à confirmer son renouveau. De son côté, le CRB Ben Badis a vu son aventure prendre fin sans honneur face au FCB Abdelmalek Ramdane (Régionale), dont le mérite est d’avoir joué sans complexe. En revanche, l’US Remchi, lanterne rouge de la DNA Ouest, s’est refait une santé après avoir sorti l’IRB El-Kerma alors que ce dernier l’avait atomisé par 5 à 1 en championnat il y a une dizaine de jours. L’OM Arzew, leader de la DNA Ouest, où plusieurs titulaires ont été laissés au repos en prévision du choc face à la JSMT, s’est incliné face à l’ASB Maghnia. Les autres résultats ont été conformes à la logique, même si certaines équipes ont éprouvé quelques difficultés pour composter leur billet. C’est le cas du SCMO qui a dû son salut à son attaquant Amer Yahia, auteur du but victorieux face à l’ES Sénia. L’Espérance de Mostaganem s’est qualifiée difficilement devant son voisin de l’IRB Fornaka. En revanche, le WAT et le CRB Hennaya sont parvenus à faire respecter la hiérarchie après avoir crucifié respectivement la JS Emir Abdelkader et le MC Ali Boussidi. L’ASMO s’est qualifiée sans forcer et sera opposée au SCMO lors du prochain tour, au même titre que le RCB Oued-Rhiou qui a atomisé la JS Bendaoud. Toujours dans le lot des surprises, à noter l’élimination de l’US Biskra, favori à l’accession en Ligue 1 devant le CRB Kaïs lors de l’avant-dernier tour régional de la Ligue de Batna. Ils sont deux sociétaires de l’antichambre de l’élite qui ont été écartés de l’épreuve populaire.The post LRF Oran – Coupe d’Algérie: Le RCR, l’OMA et le CRT au tapis ! appeared first on .
Mokhtaria Bensaâd
La célébration du centième anniversaire de la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918, marquant la fin des combats de la 1re Guerre mondiale a été l’occasion pour la France de révéler officiellement le chiffre de 175.000 soldats algériens qui ont participé à cette guerre dont 26.000 ont été tués etdisparus. C’est ce qu’a annoncé le Consul général de France à Oran, Christophe Jean, lors de son discours prononcé en hommage au sacrifice des millions de soldats, français et algériens morts, durant ce premier conflit mondial.Le représentant de la diplomatie française a déclaré, hier, au cimetière de Petit Lac, devant les Autorités locales, représentées par le wali et le maire d’Oran, les Anciens combattants, les représentants du mouvement associatif, ainsi que les élus consulaires qu’ «en ce jour du souvenir, la France exprime, tout particulièrement, sa gratitude aux 175.000 soldats algériens qui ont pris une part déterminante à ce premier conflit mondial dont 26.000 tués et disparus n’ont pas retrouvé leur pays natal».
La France a reconnu, également, la contribution économique de l’Algérie, dans ce conflit en révélant tel exprimé par le Consul général dans son discours, «N’oublions pas que la contribution de l’Algérie à l’effort de guerre fut également économique grâce aux céréales, de denrées divers et l’apport au milieu des travailleurs dans les usines des métropoles».
La France a tenu, un siècle après l’Armistice, de rendre hommage à ces Algériens morts durant la Première Guerre mondiale et aussi durant la Seconde guerre. «20 ans plus tard», dira, M. Christophe Jean, « une autre tragédie mondiale, tout aussi dévastatrice entraînera une nouvelle génération de combattants venus d’Algérie.
Ces soldats ont écrit, par leur combat, une page de l’histoire de la France et de l’Algérie qui confère un caractère particulier et indissociable aux relations entre nos deux pays. Aujourd’hui, cette génération du feu s’éteint progressivement. Aussi, rendant hommage à leur mémoire et à leur abnégation». «Il y a cent ans», a ajouté le Consul général de France, « prenait fin ce terrible conflit. Terrible par ses souffrances, terrible par les sacrifices consentis, terrible par les blessures qu’il imprima à l’histoire au 20ème siècle débutant. Ces sacrifices, ces blessures sont l’occasion de rendre hommage en ce jour d’anniversaire de l’Armistice et du Centenaire, à tous les morts pour la France, français algériens, algériens et français». Pour clore son discours, le représentant de la diplomatie française a souligné ; « Je voudrais enfin terminer en rappelant le respect que les Français d’Oran portent à tous ceux qui se sont battus durant cette guerre, tout comme durant la seconde. Certains ont fait, pour cette cause, le sacrifice de leur jeunesse, de leur santé, de leur vie. Ils l’ont fait pour nous assurer un monde meilleur, plus pacifiste. Français et Algériens unis dans le sacrifice… Vive l’amitié franco-algérienne».
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Farid Haddouche
Des citoyens de la commune d’Ain El Hadjar, située à 7 km, à l’ouest du chef-lieu de wilaya Bouira, ont fermé, hier dimanche, le siège de l’APC. Il s’agit des habitants de la cité appelée communément cité coloniale’ pour avoir été par le passé un ancien cantonnement de l’armée française.Par cette action, les protestataires déclarent afficher leur mécontentement quant à l’absence d’un programme pour la résorption de l’habitat précaire, dans lequel ils devraient figurer pour pouvoir postuler à un logement décent. Ainsi, ils redoutent leur exclusion des dispositions qui régissent la souscription aux logements sociaux, étant donné que leur cas relève d’un recasement dans le cadre du RHP, qui vraisemblablement, risque de cesser pour des raisons, sans doute, financières. Et ce, contrairement aux années précédentes durant lesquelles des milliers de familles ont été recasées dans des logements neufs dans la wilaya de Bouira, à la faveur de ce programme du président de la République qui avait débuté en 2001. Ainsi, ils ont verrouillé les portes du siège de la mairie, demandant à ce que les Autorités locales leur trouvent une solution. Il y a lieu de souligner, qu’il s’agit d’une soixantaine de familles qui demeurent dans cet ancien camp colonial vétuste.
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J. Boukraa
La direction de Distribution de l’électricité et du gaz d’Oran a lancé une large campagne de sensibilisation aux dangers liés à la mauvaise utilisation du gaz naturel. Sous le thème : Un hiver chaud sans accidents’, cette campagne de sensibilisation aux méfaits du gaz naturel, au profit des populations des communes d’Oran et Bir El-Djir, va toucher les élèves de 15 écoles situées dans les nouvelles cités. Il s’agit de 5 cités situées à Oran et à Belgaïd qui ont bénéficié, récemment, du raccordement au réseau du gaz de ville dont le pôle urbain de Belgaïd, selon les services concernés. Avec l’accord de la direction de l’Education de la wilaya, les agents de la direction de Distribution de l’électricité et du gaz se rendent à ces établissements, afin de sensibiliser les élèves sur les dangers de l’usage du gaz de ville. En plus des communications et des conseils d’usage, il sera procédé à la distribution de dépliants aux élèves des établissements afin de les sensibiliser contre la mauvaise utilisation du gaz. Des journées de sensibilisation seront, aussi, organisées aux centres de Formation professionnelle. Les recommandations sont axées sur l’utilisation sûre des équipements de chauffage et la conduite à tenir en cas de fuite de gaz. Dans le même cadre, une journée de sensibilisation sera organisée, en collaboration avec l’Office d’alphabétisation et d’apprentissage des adultes. Le but est de toucher toutes les catégories de la population. La direction de Distribution de l’électricité et du gaz d’Oran a, aussi, envoyé des correspondances à la direction d’Algérie Poste et les communes de Bir El-Djir et d’Oran, pour organiser des actions de sensibilisation dans les bureaux de Poste et des services de l’état civil.Chaque année les chauffages et chauffe-bains sont responsables de plusieurs accidents domestiques et font une moyenne de 50 à 60 victimes, entre asphyxies et décès, à Oran. Les deux dernières années ont connu un triste bilan en matière de décès causés par l’inhalation du monoxyde de carbone, dégagés par des chauffages contrefaits ou mal entretenus. Pas moins de 5 cas de décès par asphyxie ont été enregistrés, au cours de la seule année 2017, et 3 cette année, alors que des dizaines de personnes incommodées ont été secourues et évacuées dan les différents centres sanitaires et hôpitaux de la wilaya.
Des pertes humaines qui auraient pu être épargnées si les consignes de sécurité, les plus élémentaires, avaient été observées. C’est aussi pourquoi, dès les premiers froids, une nouvelle campagne d’information et de prévention contre les risques d’intoxication, sont lancés.
Des explications relatives aux risques d’appareils non reliés à une conduite d’évacuation (chauffage, chauffe-eau), l’obstruction des bouches de ventilation et de cheminées, la conformité des installations intérieures et des colonnes montantes et la conduite à tenir face aux dangers d’explosion et d’intoxication par le monoxyde de carbone seront données aux élèves.
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Houari Barti
Plusieurs quartiers de la zone-ouest d’Oran ont été privés d’eau potable, samedi et dimanche, suite à une avarie causée, accidentellement, à une canalisation principale (1.600 mm de diamètre) située à Aïn El Beïda. C’est, en effet, au chantier AADL de Aïn El Beida que des engins ont accidentellement endommagé, samedi, la canalisation principale, a affirmé, hier au Quotidien d’Oran’, une source autorisée de la SEOR.Des techniciens de la Société de l’eau d’Oran se sont dès lors attelés à réparer l’avarie. Selon la même source, l’alimentation en eau potable, interrompue dans plusieurs quartiers, à l’instar de Maraval, Yaghmouracen, Haï Si Redouane et l’ENSET, devait être rétablie, hier vers midi, a souligné, par ailleurs, la même source.
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J. B.
Les bénéficiaires du projet 95 logements promotionnels aidés’ réalisés dans la localité d’El Mohgoun ont observé, hier, un rassemblement devant le siège de la daïra d’Arzew. Les bénéficiaires réclament «la livraison de leurs logements». Il s’agit en fait, selon un représentant des protestataires, «d’un projet de logements de type LPA , dont les travaux ont été achevés, à 100% , y compris les travaux de VRD, mais à ce jour, on pas pris possession de nos logements» et d’ajouter que «le projet a été achevé en septembre. Le 25 octobre, une cérémonie symbolique de remise de 15 clés, a été organisée à la mosquée Ibn Badis’. Les autres bénéficiaires n’ont pas eu leurs clés et même ceux qui ont eu les clés ne peuvent pas occuper les logements», ajoute le même interlocuteur qui signale que l’occupation des logements ne peut se faire avant l’inauguration officielle du projet par le wali. «Ainsi et par le bais de cette protestation on a voulu faire entendre notre voix au premier responsable de la wilaya. Nous sollicitons le wali pour accélérer le processus de réception de ce projet», soulignent nos interlocuteurs avant d’ajouter : «Nous vivons un calvaire depuis plusieurs années , certains occupent des habitations menaçant ruine, d’autres n’arrivent plus à supporter les frais du loyer ». Ces 95 logements achevés à 100%, avec toutes leurs mesures d’accompagnement ont été réalisés à El-Mohgoun, près de l’hôpital Mohamed Seghir Nekkache’. Leurs postulants ont attendu plus de 5 années pour voir leur rêve de posséder un toit décent se réaliser. Mais malheureusement ils n’ont pas pris possession de leurs logements. Au début du second semestre de l’année en cours, un tirage au sort a été organisé par l’Agence foncière d’Oran pour le positionnement des souscripteurs de ce programme, en présence d’un huissier de justice.Rappelons, d’autre part, que le 25 octobre dernier, plus de 3.400 logements publics ont été attribués à leurs bénéficiaires, à Oran. Les logements distribués, à cette occasion, comprennent 2.486 logements publics locatifs (LPL), 488 logements promotionnels publics (LPP), 329 logements promotionnels aidés (LPA) et sociaux participatifs (LSP), outre 78 ruraux et 35 logements promotionnels publics (LPP).
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Houari Barti
La basilique de Santa Cruz à Oran abritera, le 8 décembre prochain, la cérémonie de béatification de «Mgr Pierre Claverie et ses compagnons », dont les 7 moines de Tibhirine.Sur les 1.000 personnes devant assister à cette cérémonie, quelque 500 viendront de l’étranger, a affirmé avant-hier Mgr Jean-Paul Vesco, évêque d’Oran, lors d’une conférence animée au centre Pierre Claverie à Oran pour expliquer le sens et les enjeux de cette béatification.
Le pape François 1er qui ne sera pas du voyage sera représenté par le cardinal Angelo Becciu, préfet de la Congrégation des causes des saints. Une célébration simultanée avec retransmission se tiendra à la cathédrale d’Oran (Saint Eugène).
La béatification est «la déclaration, par décret pontifical, qu’une personne de foi chrétienne a pratiqué les vertus naturelles et chrétiennes de façon exemplaire, ou même héroïque», a expliqué l’évêque d’Oran devant un parterre composée d’hommes et de femmes de l’Eglise d’Algérie, d’expatriés mais aussi de musulmans d’Oran.
La publication de ce décret, a-t-il souligné, «est suivie d’une célébration solennelle de béatification» avant de préciser que la vénération publique de celui ou celle qui est alors appelé «bienheureux» ou «bienheureuse» est par la suite «autorisée, localement ou universellement». Cette cérémonie de béatification permettra également de mettre en valeur le don de sa vie d’un autre martyr, musulman celui-là, Mohamed Bouchikhi. Ce jeune Algérien a choisi lui aussi de rester auprès de l’évêque d’Oran, au risque de sa vie. Nous le savons grâce à un testament spirituel très émouvant retrouvé après sa mort.
C’est ainsi que cette cérémonie prend tout son sens : «Le sens de ces béatifications, c’est la valeur du témoignage de chrétiens tués avec des musulmans, dans une épreuve qu’ils ont fait leur», a-t-il affirmé. Et de préciser : «Le point capital est que ce témoignage réussisse à mettre en lumière celui de tous ces milliers d’Algériens musulmans, dont une centaine d’imams, qui ont payé de leur vie leur combat contre la terreur en mode religieux». Il ne s’agit pas de braquer les projecteurs sur «les chrétiens victimes de ces violences», mais bien de les mettre «en communion avec tous les Algériens» qui en ont lourdement souffert (la guerre civile a fait au moins 200.000 morts en Algérie durant les années 1990 – ndlr). «Nos frères et sœurs martyrs étaient -et doivent rester- un signe de fidélité». «Ils ne sauraient servir de prétexte au réveil d’une prétendue adversité qui les aurait opposés aux Algériens». C’était tout le contraire! «Ils sont restés par solidarité». Et c’est, d’une certaine manière, «parce qu’ils étaient proches de ceux avec lesquels ils travaillaient que ces «bienheureux» ont été attaqués», dans leurs quartiers ou leurs villages, a-t-il expliqué.
Il est à noter que c’est le 27 janvier dernier que le Saint-Siège a publié le décret reconnaissant le martyre de «Monseigneur Pierre Claverie et ses compagnons» (dont les moines de Tibhirine), et a donc donné le feu vert à leur béatification. C’est le diocèse d’Alger qui a engagé ce processus de béatification englobant ces 19 martyrs de la même cause. La décision d’engager cette procédure a été prise en mai 2000 à Rome. Le pape Jean-Paul II avait alors invité à célébrer au Colisée les martyrs du XXe siècle.
Dans son discours, il avait prononcé les noms de Christian de Chergé et de ses compagnons du monastère de Tibhirine, sept moines enlevés puis tués au printemps 1996. C’est là qu’a commencé une longue concertation avec notamment les membres de familles des victimes, avant d’entamer officiellement la procédure en 2007.
«C’est une reconnaissance très profonde de la part de l’Église catholique, suite à une enquête qui a duré cinq années. Il y a eu démonstration que ces moines ont préféré servir en Algérie par dévouement et dévotion», a indiqué, mi-septembre dernier, le ministre des Affaires religieuses, M. Mohamed Aïssa. «La reconnaissance de ces moines n’exclut en rien la reconnaissance de l’Algérie de leurs efforts. C’est pourquoi la reconnaissance sera aussi politique», a ajouté Mohamed Aïssa.
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D. B.
Les services du secteur urbain de Bouamama ont procédé, en fin de semaine écoulée, à la démolition d’un mur érigé tout autour d’une ferme agricole, au niveau du site dit Coca. Selon des sources proches du secteur urbain, ce mur a été construit pour clôturer une terre agricole, dans la perspective de la morceler en lots de terrain avant de procéder a sa revente pour des mal logés pour ériger des constructions illicites. L’opération fait suite aux instructions du wali d’Oran, visant à mettre un terme a la prolifération des habitations illicites, notamment au niveau de Coca, connu pour être l’un des plus grands sites d’habitat précaire à Oran. Cette opération intervient quelques semaines après une première opération qui avait permis aux services du secteur urbain de démolir une quarantaine de constructions illicites. En effet, dans le cadre de la lutte contre la prolifération des bidonvilles, une vaste opération de démolition des habitations illicites a été effectuée à « Douar Tiartia » à El Hassi. Ainsi, plus de 35 constructions illicites, dont des constructions et extensions, ont été démolies. L’opération fait suite à un contrôle effectué par les services du secteur urbain de Bouamama. En effet, certains individus profitent des week-ends pour construire de nouveaux taudis dans l’espoir de bénéficier de logement dans le cadre des opérations de relogement lancées par les pouvoirs publics dans le cadre du programme de lute contre l’habitat précaire. Certains se sont même investis dans l’achat et la vente des parcelles de terrain au niveau de ces forêts. C’est le cas de ces constructions qui étaient prêtes à être revendues. Toutefois, moins d’une année après une première opération de démolition, des constructions illicites érigées à Coca dans le quartier d’El Hassi, des dizaines de familles sont revenues s’installer de nouveau sur ce même terrain forestier en y installant de nouvelles baraques. Ils ont d’ailleurs utilisé pour cela toutes les tôles, les parpaings, vieux madriers, cartons et autres «matériaux» trouvés sur le terrain après l’opération de démolition. Ici personne n’ignore les dessous de ce «trafic» à ciel ouvert organisé depuis des années autour de la vente et la revente des baraques implantées illicitement sur le domaine public. Le wali d’Oran avait insisté, à plusieurs reprises, sur plus de rigueur dans l’application des lois contre toute forme d’agression sur les terres agricoles et autres du domaine public. Les nombreuses sorties du wali d’Oran, depuis son installation à la tête de la wilaya, ont permis au responsable de l’exécutif d’avoir un large aperçu sur la prolifération des constructions illicites sur les terres agricoles et sur le domaine forestier. La dynamique que connaît le secteur de l’habitat et la consistance des programmes confortent les autorités locales dans la volonté d’éradiquer totalement les constructions précaires.Suite aux dernières opérations de relogement, le nombre d’habitations illicites a explosé. Pour plusieurs citoyens, demeurer dans des bidonvilles est synonyme d’une attribution imminente d’un logement ou du moins une pré-affectation.
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Rachid Boutlelis
Un trentenaire a été grièvement blessé par une flèche, tirée par un fusil harpon, qui lui a transpercé le front lors d’un énième affrontement à l’arme blanche ayant opposé trois individus en fin de semaine dans le bidonville communément appelé «La Foire» situé en plein cœur de la municipalité d’Aïn El Turck. Les deux antagonistes de la victime ont été arrêtés tôt la matinée d’hier, aux environs de 4 heures, dans le quartier Commandant Ferradj, appelé douar Maroc, par les éléments de la police judicaire relevant de la sûreté de daïra, apprend-on de sources policières. Les interpellés, des repris de justice demeurant dans ledit bidonville, ont été trouvés en possession de barrettes de kif et d’une petite quantité de comprimés hallucinogènes, indiquent les mêmes sources. Ils seront présentés aujourd’hui devant le magistrat instructeur près le tribunal d’Aïn El Turck sous le principal chef d’accusation de tentative d’homicide.Il importe de noter que deux années auparavant des dizaines de familles sinistrées qui ont élu domicile dans le bidonville «La Foire», mitoyen à la cité Amel, au centre de ladite municipalité, ont pris d’assaut le siège de la daïra pour s’opposer à leur évacuation. En réalité, les manifestants ont été saisis par le biais d’un huissier de justice pour évacuer les lieux. Il est utile de rappeler que le bidonville en question s’est installé sur une superficie qui abritait les ex-Galeries, cédée par la suite à un particulier. Ce dernier aurait engagé une procédure judiciaire afin de pouvoir récupérer son bien. Les contestataires ont revendiqué des garanties pour leur relogement avant d’évacuer les lieux.
Notons que 108 familles, un chiffre revu à la hausse, sont répertoriées dans ce regroupement de masures construites en parpaing et de la tôle ondulée à l’intérieur des ex-Galeries, situées en plein cœur de la commune d’Aïn El Turck.
Au début des années 2009, il a été recensé quatre baraques illicitement construites sur ce domaine privé. Au fil du temps, le bidonville a grossi et des dizaines d’autres masures sont venues s’ajouter.
Les locataires de la cité Amel communément appelée 350 logements, mitoyenne à ce bidonville, ont à maintes reprises dénoncé les agissements frauduleux de certains indus occupants, qu’ils accusent d’être à l’origine de la dégradation du cadre de vie et de l’environnement de leur lieu de résidence.
Les représentants des locataires de ladite cité ont adressé à plusieurs reprises des requêtes aux responsables concernés pour attirer leur attention sur ce malheureux état de fait. Des mises en demeure ont été adressées par ces mêmes responsables au propriétaire des lieux, seul habilité dans ce cas à décider de procéder à l’assainissement de son bien. Une évacuation a été opérée par voie de justice vers la fin des années 2009 mais d’autres familles sont revenues s’y installer.
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J.B.
Un homme de 56 ans a trouvé la mort, avant-hier vers 17 heures 30, au boulevard du 19 Mars près des falaises. Selon la protection civile d’Oran, la victime a été fauchée par une voiture de tourisme de marque Renault Symbol. La dépouille de l’infortuné a été déposée à la morgue et une enquête de police a été ouverte.The post Bd du 19 Mars: Un quinquagénaire mortellement fauché par une voiture appeared first on .