Une production de 10 à 11 millions de litres d’huile d’olive est attendue cette année dans la wilaya de Tizi-Ouzou, en baisse par rapport à l’année précédente, selon les prévisions de la direction locale des services agricoles (DSA), annoncées jeudi par son directeur Laib Makhlouf.
S’exprimant lors d’une journée sur l’oléiculture organisée par la DSA au Centre de loisirs scientifiques (CLS) à l’occasion du lancement officiel de la campagne oléicole 2018/2019, ce même responsable a expliqué cette légère baisse prévisionnelle, comparé à la production réalisée la saison dernière qui était de 13,540 millions de litres, suite aux pluies tardives enregistrées jusqu’au mois de juin dernier et qui ont fait tomber les fleurs. A cela s’ajoute une attaque de mouche de l’olivier signalée dans certaines régions ces derniers jours, même si elle n’a touché que 5% du verger oléicole de la wilaya, d’où l’urgence pour les oléiculteurs d’entamer la récolte.
M.Laib a fait savoir que la récolte se fera sur un verger oléicole d’une superficie totale pour toute la wilaya, d’environ 39 000 ha et sera prise en charge par 450 huileries dont 109 modernes, 57 semi- automatiques et 284 traditionnelles. Un rendement de 15 à 16 litres par quintal est attendu cette année, a-t-il estimé.
Lors de cette journée qui a regroupé des représentants d’instituts de formation, des professionnels, des organismes assureurs, les intervenants ont rappelé les bonnes pratiques à observer afin d’augmenter la production d’huile au niveau local et d’améliorer la qualité de ce produit en réduisant son taux d’acidité. Il s’agit entre autres, de la préparation du sol, de la réalisation de cuvettes, de l’apport d’engrais biologiques, de l’utilisation des caisses pour le stockage et du transport du fruit .
Intervenant devant l’assistance, le président du Conseil national oléicole, Mhamed Belasla, a insisté sur l’importance d’améliorer la qualité de l’huile d’olive algérienne, pour produire une huile aux normes internationales (vierge ou extra-vierge) qui aura sa place sur le marché international. Il a estimé que d’autres marchés, en dehors de l’Europe, peuvent être ciblés dont l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient.
Le directeur de l’Institut de technologie moyen agricole spécialisé en agriculture de montagne (Itmas) de Boukhalfa, Tamene Said, a rappelé le rôle de cet établissement et son implication dans la dynamique de développement de la filière oléicole par l’élaboration de programmes de formation au profit des producteurs transformateurs, pour améliorer leurs pratiques.
Une série de thématiques a été arrêtée pour cette année, par l’Itmas en collaboration avec ses partenaires et porteront entre autres sur la conduite d’une oliveraie, la taille, la transformation, les bonnes pratiques pour la production d’une huile d’olive de qualité et la valorisation des sous-produits oléicole, a-t-il indiqué.
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La route principale reliant plusieurs villages au chef -lieu de la commune est coupée à la circulation suite à un glissement de terrain qui date de plus de 04 ans. En dépit des actions de protestation initiées par les villageois, les autorités locales ont fait la sourde oreille.
Aux appels lancés par les villageois pour effectuer les travaux d’aménagement indispensables, les autorités locales se sont contentées de travaux de bricolage qui étaient loin de regler définitivement le problème.
Après une longue attente, la wilaya a enfin lancé le projet dont les travaux ont commencé il y a quelques jours, mais la cadence est très lente selon les villageois. Les dernières pluies qui se sont abattues dernièrement ont causé un glissement de terrain qui a engendré la fermeture totale de cet important axe routier. Cette situation n’est pas sans conséquences sur les villageois, notamment les lycéens et les travailleurs qui sont contraints de faire de longs détours pour rejoindre leur destination.
Le retard et l’absence de suivi du projet a exacerbé les villageois qui pointent du doigt la négligence et l’incompétence de l’APC, dont la gestion est menée par le parti du FFS et cela depuis 03 mandats sans que l’amélioration du cadre de vie des citoyens ne soit effective comme rapportée dans un communiqué du conseil communal du RCD rendu public au juillet dernier, dénonçant la gestion opaque des affaires de la municipalité où la prise en charge des doléances des citoyens et le développement local sont les derniers soucis des élus locaux .
D’un coût estimé à plus 1,600 milliard de centimes, le projet risque de ne pas être réalisé dans les délais, à cause des faibles moyens de l’entreprise désignée et de la lenteur des travaux, chose qui a contribué au glissement total du terrain envahissant toute la chaussée dénoncent les citoyens. Ils lancent un appel au wali pour la prise en charge de ce problème qui pénalise des dizaines de villages dont les citoyens empruntent quotidiennement cet important axe routier ». En attendant, les habitants des villages et les lycéens sont contraints de faire plusieurs kilomètres de détour pour rejoindre le chef-lieu communal.
B. Khider
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Sur instruction de la ministre de l’Éducation nationale, la Commission nationale des œuvres sociales du secteur de l’éducation devra présenter son bilan moral et financier demain devant les syndicats au niveau du lycée des mathématiques à Kouba.
Ladite commission, dont le mandat a été prolongé d’une année supplémentaire, n’a pas présenté son bilan tout au long de son mandat qui a duré trois ans (2015-2018). Chose qui a suscité l’ire des syndicats qui ont dénoncé la décision « unilatérale » de Nouria Benghebrit de prolonger le mandat de la commission jusqu’à 2019.
Néanmoins, à travers cette mesure d’obliger la commission à présenter son bilan, la ministre de l’Éducation nationale veut gagner la bataille avec les syndicats qui ont menacé de recourir à des actions de contestation pour dénoncer le mode de gestion de ces œuvres. Mais c’est loin d’être gagné, puisque ces derniers appréhendent, d’ores et déjà, cette présentation qui a tardé à voir le jour. C’est le cas notamment du secrétaire général du Satef (Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation), Boualem Amoura qui a affirmé que la «commission présentera un bilan qui concerne trois longues années de gestion ». Par conséquent, il a indiqué qu’il sera compliqué d’analyser les chiffres d’une période aussi longue. Autrement, il a accusé les autorités de vouloir
«noyer le poisson».
Tout en rappelant la gestion « opaque » de ces fonds, le syndicaliste a tenu à préciser que la commission doit, selon les textes règlementaires, rendre ses bilans annuels, mais cela n’a pas été fait à temps. Pour sa part, le Conseil des lycées d’Algérie (Cla) a dénoncé récemment, la décision de la ministre de l’Éducation nationale de prolonger le mandat de la commission. Le CLA a, d’ailleurs, annoncé une journée de protestation pour le 23 octobre prochain.
Parmi ses revendications, le gel de l’activité de l’actuelle commission en attendant l’organisation d’un référendum. Pour Idir Achour, secrétaire général du Cla «la présentation du bilan n’est guère suffisante». Et pour cause, il dira que la commission se «contentera de dévoiler des chiffres quant au montant des dépenses sans pour autant faire une lecture de ces chiffres». Idem pour le coordinateur du Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest), Meziane Meriane qui a fait savoir que la présentation du bilan sera une simple « réunion d’information». «Nous ne pourrons pas savoir où est-ce que l’argent des travailleurs a été dépensé au juste», a-t-il déploré, appelant à limiter les prérogatives de la commission.
Pour expliquer sa décision de prolonger le mandat de la commission, la ministre de l’Éducation avait expliqué que les syndicats ne sont pas encore arrivés à se mettre d’accord sur le nouveau mode de gestion. Elle avait précisé, cependant, qu’elle ne voit pas d’inconvénient d’aller vers un deuxième référendum à partir du mois de mai ou de juin prochain. Chose qui a été dénoncée par les syndicats.
C’est donc dans le but de calmer les esprits que Nouria Benghebrit a sommé la commission de dévoiler un rapport détaillé sur les années 2015 à 2018. Rappelons que le Fonds des œuvres sociales est financé par une contribution annuelle de l’État qui octroie une aide supplémentaire à hauteur de 3% des salaires des fonctionnaires.
Lamia Boufassa
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Messaoud Boudiba, responsable de la communication du Cnapeste, a déclaré vendredi, à la veille du séminaire national sur la sécurité et protection sociale en Algérie, auquel participent des parlementaires, des syndicats autonomes, des experts, que la rencontre « sera l’occasion d’envoyer un message au Premier ministre s’agissant du recul des acquis sociaux et de l’état social en Algérie ».
Messaoud Boudiba n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour adresser de vives critiques à l’adresse du gouvernement estimant que « la politique des transferts sociaux adoptée au terme des lois de finances, ne profite plus aux travailleurs, mais aux patrons» et d’avertir, quant au risque d’une explosion, compte tenu de l’accumulation des tensions sociales.
Pour le responsable du CNAPESTE et au vu de la situation actuelle du marché, un salaire de 50 000 DA paraît être « le minimum de la dignité» lançant un appel aux travailleurs « pour se mobiliser et faire face à toute éventualité ».
Il importe de préciser que le calcul du pouvoir d’achat réel est intimement lié au processus inflationniste interne et aux performances de l’économie algérienne qui reste tributaire de l’évolution des cours des hydrocarbures. Dans les conditions qui ponctuent l’actualité algérienne, il faudrait au minimum un revenu net de 50 000/60 000 DA par mois pour vivre très humblement et dignement.
L’analyse du pouvoir d’achat réel des Algériens devrait, en réalité, intégrer outre les prix des produits alimentaires, l’élévation exorbitante des factures d’électricité, de l’eau, du loyer ou de la maintenance de l’appartement ou de la maison, et les frais de scolarisation des enfants.
Le pouvoir d’achat du citoyen est calculé en fonction du taux d’inflation et de son modèle de consommation. Concrètement, les produits de première nécessité, leurs prix ont fortement augmenté : les fruits, tomate, poivron, haricot, salade, et même la pomme de terre. Quant aux viandes, le prix du poulet a grimpé ainsi que celui de la viande de mouton variant entre 1500/1800 dinars le kg selon les marchés et la nature de la viande.
Pour ce qui est des produits importés et vu le dérapage du dinar qui est passé officiellement de 115 dinars pour un euro à près de 140 dinars pour un euro, une augmentation de près de 210 dinars est notée sur le marché parallèle, quant aux biens non subventionnés, l’accroissement des prix varie de 30% à 50% en une année. Il est plus que jamais nécessaire d’admettre que le processus inflationniste qui gangrène la sphère de l’économie nationale invite à l’urgence d’une nouvelle gouvernance.
Zacharie S Loutari
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L’association des distributeurs algériens par abréviation ADPHA est fière de constater la mobilisation de ses adhérents pour leur contribution à la réussite de la campagne de vaccination anti grippale 201
Comme chaque année les répartiteurs nationaux, grâce à leur engagement et leur abnégation ont fait parvenir le vaccin antigrippal au même moment et dans des conditions rigoureuses de respect de la chaîne de froid aux quatre coins de notre vaste territoire national. L’ADPHA tient aussi à remercier les pharmaciens d’officine pour leur mobilisation sans faille pour la réussite de cette campagne.
Le réseau de distribution que nos adhérents ont réussi à mettre sur pied à travers notre immense territoire, est l’un des principaux vecteurs auquel est adossée la mise en œuvre de la politique nationale de santé.
Hassiba BOULMERKA. Présidente de l’ADPHA
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L’homme de théâtre et comédien, Mahieddine Bouzid dit «Mahiou» a été inhumé vendredi après-midi, au cimetière de Bouzourane (wilaya de Batna), et ce, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, des autorités locales, d’artistes, de personnalités et des proches du défunt.
Une foule nombreuse composée de citoyens, d’amis artistes et hommes de théâtre venus de différentes régions du pays, dont certains connaissaient le défunt et d’autres avaient interprété des rôles à ses côtés que ce soit sur les planches du théâtre, à la télévision ou au cinéma, a assisté à l’inhumation du défunt, décédé jeudi soir, à l’âge de 56 ans, des suites d’une longue maladie.
Après l’enterrement, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, accompagné du wali de Batna, Abdelkhalek Sayouda, a présenté ses condoléances à sa famille dans sa demeure, où il a évoqué les qualités de «Mahiou», l’artiste et l’homme qui est entré, dit-il, dans le coeur des Algériennes et des Algériennes à travers «l’interprétation de rôles qui étaient faits pour lui».
Dans une déclaration à l’APS, Mihoubi a affirmé qu’avec la mort de Mahieddine Bouzid «Mahiou», «nous avons perdu un authentique artiste algérien qui a su, avec sa spontanéité et sa sincérité, conquérir l’amour des gens», ajoutant que le défunt était «un artiste modeste qui ne parlait pas beaucoup, mais qui a consacré son talent, son potentiel artistique et son amour pour les planches à présenter des oeuvres ayant marqué la scène artistique d’une empreinte particulière.
Il est à noter que le dramaturge Mahieddine Bouzid a été transféré au centre hospitalo-universitaire de Batna, il y a environ 10 jours, après que sa santé s’est détériorée le plongeant dans le coma, mercredi dernier, avant de décéder, jeudi soir, au service des soins intensifs.
Le regretté Mahieddine Bouzid, qui a laissé trois filles âgées entre 18 et 24 ans, est né le 3 janvier 1962 et s’est épris des planches depuis qu’il étudiait en cycle secondaire.
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Présentés ce matin devant le tribunal militaire, cinq Généraux Majors ont été placés en détention provisoire dans une affaire de biens mal acquis et de corruption.
Les généraux concernés sont l’ex-Commandant de la Gendarmerie nationale Menad Nouba, l’ex-Commandant de la 1ère Région militaire Habib Chentouf, l’ex-Commandant de la 2e RM Saïd Bey, l’ex-Commandant de la 4e RM Abderrazak Chérif et l’ex-Directeur des finances au MDN Boudjemaâ Boudouaour.
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«Balade musicale à trois», un concert de musique classique, a été animé jeudi soir à Alger, par Djamel Ghazi à la flûte traversière et les pianistes Kheira Mokrane et Nadia Mécheri, devant un public recueilli, dans des atmosphères empreintes de solennité. A la Basilique Notre-Dame d`Afrique, où le concert a élu domicile.
L’espace, constituant une parfaite caisse de résonance, a permis au public d’apprécier le rendu des musiciens qui, près de 90 mn durant, ont traversé les siècles, restituant, en deux parties, de grandes oeuvres des époques, baroque, classique et post- romantique.
Djamel Ghazi et Kheira Mokrane, respectivement, flûtiste-soliste et pianiste à l’Orchestre symphonique national (actuellement Orchestre de l’opéra d’Alger), animant un premier duo, ont brillamment restitué, le génie créatif de Johann Sébastian Bach (1685-1750), et Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), à travers deux sonates, en «Sol mineur» et en «Si bémol majeur», des époques, baroque et classique du XVIIe et XVIII siècles, rendues chacune en trois mouvements.
Intervenant ensuite dans la partie post-romantique marquant le XIXe et le début du XXe siècle, Nadia Mécheri a orné le silence religieux de la basilique avec une dizaine de pièces de grands compositeurs, dont les premières, courtes en durées, ont été hautement appréciées par le public, à l’instar de «Gnossiennes No 2 et 4» d’Eric Satie (1886-1925), «Berceuse de la suite Dolly» de Gabriel Fauré (1845-1924), «Mouvement perpétuel No 1 «de Francis Poulenc (1899-1963) et «2ème mouvement de la sonatine» de Maurice Ravel (1875-1937).
De retour sur scène, Djamel Ghazi, récidivera avec Nadia Mécheri, cette fois-ci, constituant avec elle le deuxième duo de la soirée qui entonnera d’autres grandes oeuvres de la musique classique, à l’instar de «Beau soir» de Claude Debussy (1862-1918) et «Sicilienne» de Gabriel Fauré, au plaisir d’un public conquis.
Appréciant la virtuosité et le professionnalisme des artistes faisant montre de toute l’étendue de leurs talents respectifs, et la pureté des sonorités qui a orné le silence sacral des lieux, l’assistance a savouré chaque moment du spectacle dans l’allégresse et la volupté.
Dans un programme savamment préparé qui a réuni, pas moins de onze grands compositeurs, l’époque très fertile couvrant la période allant du XVIIe au XXe siècle a, en partie, été restituée, dans la douceur et la sérénité de L’instant. Diplômés des grandes Ecoles de musique en Algérie et à l’étranger, où ils ont été distingués de plusieurs prix après de longues années d’études, Djamel Ghazi, Kheira Mokrane et Nadia Mécheri assurent actuellement les fonctions de maître-assistant au département de musique de l’Ecole normale supérieure de Kouba, et professeures, de piano à l’Institut national de musique d’Alger, ainsi qu’à l’Institut national supérieur de musique, respectivement.
Le concert pour flûte et piano, animé par Djamel Ghazi, Kheira Mokrane et Nadia Mécheri, entre, selon le recteur de la basilique Notre-Dame d’Afrique, père Michael P. OÆSullivan, dans le cadre du «programme régulier, initié par l’église».
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Par Kamel BOUDJADI
Les initiatives pour dégager une véritable assise pour le développement de l’industrie touristique existent et la volonté aussi mais…
Le Salon de l’artisanat de la wilaya de Tizi Ouzou a été clôturé hier dans une ambiance festive marquée par la satisfaction des participants. Cette 10e édition, qui a réuni quelque 92 participants venus d’une trentaine de wilayas, a été l’occasion de constater les avancées réalisées par le secteur de l’artisanat dans ses diverses déclinaisons. Le jardin Mohand Oulhadj, qui a abrité cette manifestation, a brillé de mille feux et de mille couleurs du patrimoine et du savoir-faire algérien.
Toutefois, parallèlement à la bonne organisation assurée par l’APW de Tizi Ouzou, l’organisateur officiel, avec la Chambre de l’agriculture, il était visible que le secteur manque encore de visibilité. Le plus grand mérite de ces journées est d’ailleurs d’avoir mis le doigt sur les manques et les failles qui font que l’artisanat n’arrive pas encore à faire naître une industrie touristique florissante.
Le salon, qui est à sa 10ème année, aura révélé toute la beauté enchanteresse du patrimoine artisanal local et national mais il a aussi laissé apparaître l’absence de synergie entre les différents acteurs et intervenants.
Aujourd’hui, de l’avis même des participants, l’artisanat tout seul ne peut pas s’affranchir et aller vers le développement. Pour se développer, affirme une grande partie des artisans exposants, l’artisanat a besoin de potentiels. Pour réunir ce gisement capable de fournir assez de ventes pour faire vivre les métiers, d’autres acteurs sont nécessaires. Et pour avoir ce gisement, il faut une industrie touristique dynamique. En somme, il faut une politique cohérente avec une visibilité nécessaire pour réunir les acteurs intervenant dans l’industrie touristique. C’est le meilleur moyen, ajoutent les connaisseurs, pour mettre sur pied une véritable politique touristique.
L’APW de Tizi Ouzou, très engagée dans ce genre de réflexion, est l’institution idéale pour mobiliser et coordonner les efforts de réflexion à une stratégie cohérente de développement touristique. Les initiatives pour dégager une véritable assise pour le développement de l’industrie touristique existent et la volonté aussi mais il manque le déclic. Un salon de l’industrie touristique est un espace de réflexion et d’initiatives visant à enclencher une dynamique cohérente mobilisant tous les acteurs nécessaires pour faire marcher la machine économique locale.
Enfin, notons que le Salon de l’artisanat qu’organise l’APW de Tizi Ouzou s’impose désormais comme un rendez-vous incontournable dans le paysage économique local, voire national. Le Salon de l’artisanat de Tizi Ouzou réunit l’essentiel des artisans nationaux. Dans les prochaines éditions, beaucoup préconisent de passer à l’international, en invitant des partenaires étrangers activant dans le même domaine.
La présence étrangère dans des salons du genre est une condition pour les échanges d’expériences, plus de visibilité et ainsi plus de marchés à l’international. Le tourisme n’est jamais une affaire locale ni nationale. L’industrie touristique n’est viable que si elle évolue dans un environnement international. Et cela, les élus de l’APW l’ont bien compris.
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Par Wahida BAHRI
Les éléments de la sûreté de daïra d’El Guerrara, relevant de la sûreté de wilaya de Ghardaïa ont mis fin à l’activité d’un réseau de faussaires, apprend-on de source sécuritaire.
Composé de quatre individus, le réseau des faux-monnayeurs activait sur l’axe de plusieurs wilayas limitrophes à Ghardaïa, nous précise-t-on.
Le montant récupéré, lors de cette opération de pointe, s’élève à, pas moins de 45 millions en faux billets en coupures de 1000 DA, une quantité de comprimés hallucinogènes et de kif traité, a fait savoir la même source.
Les péripéties de l’affaire, comme expliqué par notre source, remontent à plusieurs mois de recherches et d’investigations, basées sur des informations sûres, quant à l’activité d’un réseau dans la falsification des billets de banque. L’exploitation minutieuse des informations et la précision de l’enquête, supervisée par le procureur de la République, se sont soldées par l’identification d’un suspect qui, pris en filature, s’avère être le dealer du réseau, nous dit-on.
Arrêté en plein centre-ville d’El Guerarra, le faussaire a été surpris en flagrant délit de possession de 45 millions de centimes en faux billets, a ajouté la même source.
Soumis à l’interrogatoire, le prévenu passant aux aveux, dénonça ses complices.
Il s’agit de trois autres complices dans une wilaya limitrophe de Ghardaïa. Ceux-là ont pour mission, outre, d’inonder le marché de fausse monnaie, d’écouler des produits narcotiques et d’activer dans le charlatanisme.
Usant des prérogatives juridiques, conférées par le procureur du tribunal de Ghardaïa, à savoir, extension de compétence, les services de sécurité sont parvenus à mettre hors d’état de nuire, les trois complices et récupéré outre 95 comprimés hallucinogènes, 150g de kif traité, il a également été découvert et saisi des objets et autres effets, servant dans le rituel de la magie et le charlatanisme. Selon les mêmes sources, il a également été découvert des photos d’identité d’hommes et femmes, documents d’identité originaux et en photocopies.
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Par Hasna YACOUB
Au centre-ville, là encore, la volonté commune des riverains de refaçonner l’image architecturale de leur lieu de résidence a permis la création d’un jardin botanique.
Vivre dans un jardin d’Eden, qui n’en rêve pas? Est-ce possible en Algérie? Ce mythe est en phase de devenir réalité à Mila. Enfin presque. Puisque les habitants de la ville ont décidé de changer leur cadre de vie et d’y introduire des espaces verts où les grands esprits pourront trouver refuge.
Lassés du bétonnage à outrance et des innombrables détritus qui jonchent le sol dans la majorité des cités de la wilaya, des citoyens, désireux de vivre dans un environnement sain et d’embellir leur quartier, ont décidé de mettre la main dans la boue et de transformer des terrains laissés à l’abandon en jardins. Leur seul objectif, apporter une touche de vert au tissu urbain.
L’initiative de Rabah Bouaouni est le parfait exemple de ces nombreuses actions visant à enjoliver les cités dites «résidentielles» de la ville de Mila. Ce retraité de la Caisse nationale des retraites a fait d’un terrain abandonné, situé dans la cité des 300 Logements, un jardin urbain offrant un espace de détente et de convivialité au milieu d’une verdure luxuriante et de roses de toutes les couleurs.
Rabah a révélé, cité par l’agence officielle, qu’il n’arrivait plus à supporter de voir des ordures et des herbes sauvages pulluler dans un lieu pensé initialement comme un endroit de détente et de loisirs, disant: «Cela fait maintenant plus de quatre ans que j’ai commencé à mettre en oeuvre mon idée, animée par l’ambition de mettre en valeur et d’améliorer ma cité.» Le sexagénaire a trouvé auprès des jeunes du quartier toute l’aide nécessaire pour nettoyer dans un premier temps l’endroit avant de se consacrer pleinement au travail du sol et à la plantation de plusieurs essences d’arbres fruitiers. «L’initiative a eu le mérité d’aiguillonner une prise de conscience collective au sein du voisinage, et surtout chez la jeune génération, quant à l’importance de préserver l’environnement et de veiller à la propreté du quartier en cessant les actes d’incivisme», a-t-il dit fièrement.
Au centre-ville de Mila, là encore, la volonté commune des riverains de refaçonner l’image architecturale de leur lieu de résidence a permis, en 2008, la création d’un jardin botanique à la cité Sidi Bouyahia, l’un des plus anciens quartiers de l’antique Milev, ceinturé aujourd’hui de constructions.
Le responsable de ce projet, Yacine Chioub, a expliqué que ce projet est né après que les habitants de ce quartier eurent décidé d’exploiter un lopin de terre laissé à l’abandon au beau milieu de Sidi Bouyahia pour en faire un jardin botanique miniature. Il a ajouté qu’après en avoir fait la demande auprès des autorités locales, ils ont tout de suite profité de l’appui de nombreux donateurs et de bénévoles pour réaliser et aménager le parc.
Une passion contagieuse
Lors de la plantation des arbres et des plantes fournis par la Conservation des forêts, les instigateurs de ce projet ont fait participer les enfants du quartier de telle sorte que chaque bambin ait son arbre à lui et en prenne soin à l’avenir, a-t-il souligné. Très vite ce lieu est devenu le lieu privilégié de tous ceux voulant profiter d’un moment de quiétude et de sérénité loin du tracas de la ville. M. Chioub a affirmé que tous les jeunes de la cité s’en donnent à coeur joie dans l’entretien et le nettoyage du parc, bien conscients de l’importance de donner un visage plus avenant à leur environnement.
Autre action traduisant la volonté citoyenne d’en finir avec ce décor hostile, celle initiée par l’hématologue le docteur Bahidja Djerri à la cité des 500 Logements et qui avait décidé, en 2014, de débarrasser le terrain situé en face de sa clinique de ses herbes sauvages et détritus de toutes sortes et d’y aménager un espace vert.
Ayant dû au début faire face au scepticisme de quelques voisins, le docteur Djerri a, grâce à sa pugnacité, réussi son pari tordant ainsi le cou à cette idée reçue qui voudrait que le citoyen se désintéresse de toute question environnementale, affirmant qu’aujourd’hui tous les riverains s’occupent de l’entretien de cet espace.
La réussite de ces initiatives a encouragé bon nombre de citoyens désireux d’aller de l’avant pour donner une autre image de leur ville. Ainsi, les cités du «8 Mai 1945» et de «Thénia», situées sur les hauteurs de la ville ont vu la création de parcs similaires suscitant autant d’engouement auprès des riverains.
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Par Madjid BERKANE
La tolérance des importations, l’absence de la publicité et le manque d’espace de vente sont entre autres les défaillances que dénoncent les investisseurs.
Les mesures protectionnistes prises par le gouvernement afin de promouvoir la consommation du produit national ne semblent pas suffisantes.
«Le produit algérien souffre encore de la concurrence du produit importé et celle du produit monté localement », ont tenu à dénoncer de nombreux investisseurs dans le domaine de la machinerie agricole à l’occasion de la tenue du Salon de l’agroéquipement Sipsa-Sima récemment à Alger.
Selon le propriétaire de l’usine Gherassli-Plast spécialisée dans la fabrication du matériel d’irrigation et des pompes, implantée dans la région de Sougueur dans la wilaya de Tiaret, le produit algérien ne trouve pas de preneur, à cause notamment de l’obligation instituée dernièrement portant inscription de mention «made in Algéria» sur le produit local. «Cette mention fait fuir les agriculteurs», dira-t-il. «Les agriculteurs pensent encore que le produit local est de bas de gamme»,fait observer notre interlocuteur. Avant d’ajouter que «ces derniers ont tout à fait le droit de se rabattre sur le produit étranger qui continue à inonder le marché algérien et sur le produit monté localement exposés à des prix moins chers que le produit local.», souligne-t-il. «Les importateurs et les investisseurs dans le montage vendent leurs produits à des prix moins chers, car ils n’ont pas autant de charges dont ils doivent s’acquitter que les investisseurs dans la fabrication. Ces derniers sont tenus de s’acquitter de plusieurs charges (électricité, eau, employés, achat de la matière première, assurance, etc. », a-t-il signifié, appelant le gouvernement à revoir sa stratégie quant à la promotion du produit local.
Par ailleurs, en s’exprimant sur le même sujet, beaucoup d’investisseurs ont relevé le fait que l’état n’accompagne pas les investisseurs dans la promotion de leurs produits. «La publicité coûte énormément cher. Aucun investisseur ne peut supporter ses frais», ont déploré certains investisseurs, mentionnant que c’est normalement l’état qui doit prendre en charge les frais de cette publicité. «Certes, nous travaillons avant tout pour notre intérêt, mais nous contribuons aussi à l’économie de la devise», a argué un investisseur issu de la wilaya de Boumerdès spécialisé dans la fabrication des cuves des citernes isothérmiques. «L’état ne prévoit pas aussi beaucoup de salons dédiés à la vente du matériel agricole. Hormis, le Sipsa-Sima, le fabricant du matériel agricole n’arrive pas à faire connaître son produit», a dénoncé de son côté un autre investisseur.
Il est à noter que l’industrie du matériel agricole est encore faible en Algérie. «L’état recourt encore à l’importation de beaucoup d’intrants et de la matière première», indique-t-on. L’agriculture sous serre et la réalisation des chambres froides se développent lentement en Algérie à cause notamment de la faiblesse de la production nationale en termes d’intrants et de la cherté de ces derniers.
Il est à noter en outre que compte tenu de la faiblesse de la production nationale dans certaines filières, le gouvernement a suspendu les licences d’importation pour de nombreux produits. Le cas de l’importation des intrants concernant la production des boissons gazeuses au mois de Ramadhan dernier est révélateur. C’est le cas aussi concernant certains médicaments et autres matières premières.
Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a fait savoir au cours de la semaine écoulée que la liste des produits interdits à l’importation risque fort de se voir écourter. En d’autres termes l’Algérie va renouer avec les importations.
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Par Saïd BOUCETTA
Concernant la prochaine présidentielle, le parti TAJ a réitéré son appel au président de la République pour poursuivre sa mission.
Dans le tumulte politique qui électrise la scène nationale, le parti de Amar Ghoul, Tajamou Amel Al Djazaïr (TAJ) sort du lot et s’intéresse prioritairement à un texte législatif majeur qui imprimera la vie des Algériens pour l’année prochaine. Ainsi, TAJ garde les pieds sur terre et se félicite du caractère social du projet de loi de finances 2019.
Dans un communiqué rendu public, hier, le parti de Ghoul a mis en exergue «les décisions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le PLF 2019 relatives au soutien à l’orientation sociale de l’Etat à travers les exonérations fiscales, l’amélioration du niveau du développement social et l’intérêt particulier accordé à l’approfondissement des réformes en faveur d’une plus grande justice sociale et davantage de transparence, d’efficacité et d’équité».
TAJ relève à travers les dispositions de la PLF 2019 tout l’effort de l’Etat pour sauvegarder le pouvoir d’achat de larges couches de la société. Accusé de soutenir une loi électoraliste, le président de TAJ souligne systématiquement et arguments à l’appui, «le bilan positif» du président de la République, à la tête du pays.
Le communiqué, qui apporte la confirmation des propos que tient généralement Amar Ghoul, insiste sur les volets politique, socio-économique, culturelle et sécuritaire, saluant «le message fort» adressé par le président de la République à l’occasion de la Journée nationale du moudjahid, allusion directe au Front populaire solide auquel adhère le parti de Amar Ghoul qui a exprimé, à ce propos, son entière disposition et son engagement pour la construction dudit front devant consolider la cohésion nationale, en vue de relever les défis auxquels fait face l’Algérie.
Il a relevé, dans le même cadre, le rôle de la Réconciliation nationale «dans la réalisation du développement et de la stabilité de l’Algérie», une réconciliation, a-t-on souligné, qui est désormais un modèle à suivre pour la résolution des conflits dans plusieurs régions du monde.
Concernant la prochaine élection présidentielle, le parti TAJ a réitéré son appel au président de la République pour poursuivre sa mission et briguer un nouveau mandat lors de l’élection présidentielle de 2019, soulignant sa «fidélité constante et permanente» au chef de l’Etat et son appui sur le terrain pour la concrétisation de son programme.
Pas un mot sur la crise que traverse l’APN et dont son groupe parlementaire est partie prenante. TAJ entend, à travers son communiqué, retenir l’essentiel de son engagement politique.
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L’Australie doit fermer douze centrales à charbon d’ici 2030 pour limiter les effets catastrophiques du changement climatique, révèle une étude de la Bibliothèque du parlement fédéral. Neuf centrales à charbon doivent ainsi fermer avant la fin de leur durée de vie, indique cette étude réalisée à la demande des Verts.
Pour déterminer la part de l’Australie dans les efforts internationaux pour limiter le réchauffement climatique, les chercheurs de la Bibliothèque ont examiné le volume d’électricité produite à partir de charbon dans le pays en 2010 et l’ont réduite de 78%.
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Au moins huit policiers afghans, dont un commissaire de district, ont été tués dans un affrontement avec les Talibans survenu dans la nuit de samedi à dimanche dans la province de Zabul (sud), a indiqué dimanche une source provinciale. Samedi, un attentat a été perpétré dans la province afghane de Takhar, lors d’un meeting de campagne d’une candidate aux législatives du 20 octobre, tuant 22 morts et 36 blessés, ont rapporté les autorités. Les explosifs étaient placés sur une moto, a précisé un membre de la police locale. La candidate, nommée Nazifa Yousufi Bek, n’était pas sur les lieux au moment où ils ont été mis à feu, a-t-il ajouté. Aucune revendication n’a été formulée. Un précédent bilan a fait état de 14 morts.
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Au moins 17 passagers d’autobus fuyant l’escalade de la guerre dans la ville portuaire de Hodeïda, au Yémen, ont été tuées samedi lorsque la coalition conduite par l’Arabie saoudite a effectué une frappe aérienne sur deux autobus qui se trouvaient à proximité d’un poste de contrôle, a déclaré un responsable d’un hôpital provincial.
La frappe a atteint les autobus dans la région de Masbarah, au sommet de la colline Jabal Ras, près d’un poste de contrôle aux mains des Houthis, au sud de la ville portuaire. « La plupart des victimes sont des femmes et des enfants », a dit le responsable.
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Vingt personnes ont été interpellées dans l’affaire du milliardaire tanzanien Mohammed Dewji, enlevé jeudi à Dar es Salaam, a annoncé samedi le ministre de l’Intérieur tanzanien Kangi Lugola. L’homme d’affaires, âgé de 43 ans et considéré comme le plus jeune milliardaire du continent africain, avait été enlevé alors qu’il entrait dans la salle de sport d’un hôtel de la capitale économique du pays jeudi matin. « Jusqu’à présent, 20 personnes ont été arrêtées », a déclaré le ministre au cours d’une conférence de presse, sans donner la moindre indication sur leur identité.
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D’après les informations d’Alg24, le Conseil National autonome du personnel du secteur Tertiaire de l’Éducation (CNAPESTE) vient de lancer un préavis de grève pour le 22 octobre prochain, indique un communiqué du syndicat.
Suite à de nombreux transferts arbitraires des enseignants, le porte parole CNAPESTE demande l’annulation des « décisions arbitraires » à l’encontre des enseignants. Et, d’autre part, “la résiliation des mesures arbitraires ayant trait à la liberté syndicale ».
La décision été prise suite à une situation de « blocage » entre le syndicat et les responsables de la direction de l’Éducation d’Alger centre. Leur dernière réunion qui a eu lieu le 02 octobre dernier, n’a abouti a aucun résultat, informe la même source. Le CNAPESTE dénonce la mauvaise « gestion » des établissements scolaires d’Alger et demande une meilleure organisation au sein des lycées.
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Après une accalmie, certains quartiers de Batna sont à nouveau gangrénés par des bandes rivales qui essayent de récupérer des «territoires perdus» qui leur servaient pour leur trafic de la drogue et autres produits hallucinogènes.
Les habitants des cités de Bouakel et Zamala ne savent plus à quel saint se vouer, depuis que des gangs rivaux ont réinvesti les lieux, se livrant à une guerre sans merci pour le contrôle du trafic de drogue à l’intérieur des cités du centre-ville, s’affrontant à coups d’armes blanches et allant jusqu’à utiliser des cocktails Molotov lors de leurs rixes, prenant ainsi en otage les habitants, tout en traumatisant les riverains.
Les services de sécurité avaient par le passé réussi à nettoyer ces cités en arrêtant des dealers et autres caïds, mais dans ce genre de milieu, la place laissée vacante devient la convoitise d’autres bandes qui se réimplantent tout en imposant leur diktat. C’est un véritable cri de détresse que poussent les habitants de ces cités aux autorités concernées pour mettre définitivement un terme à cette horrible situation.
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Une compagnie aérienne éthiopienne a effectué samedi le premier vol commercial entre Addis Abeba et Mogadiscio en 41 ans, nouveau signe du réchauffement des relations des deux voisins de la Corne de Afrique. Un appareil de la compagnie privée éthiopienne National Airways, qui effectuera quatre vols par semaine, a atterri à l’aéroport Aden Adde de Mogadiscio, ont annoncé des responsables.
« C’est un jour historique pour nous qui lançons ce vol direct entre Addis Abeba et Mogadiscio. Ce n’était pas facile, nous avons essayé à de nombreuses reprises, mais finalement nous avons réussi », a déclaré le propriétaire de la compagnie, Abera Lemi, lors d’une cérémonie dans la capitale.
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