Écrit par Juba Rachid
La galerie Landon de Biskra accueille, jusqu’au 11 novembre prochain, une exposition collective regroupant plusieurs artistes de divers horizons et styles. Inauguré le 7 octobre passé, l’« Automne artistique»
de la capitale des Zibans, met en valeur des artistes de la ville de Biskra, mais également d’autres régions d’Algérie, dont des anciens élèves des écoles des Beaux-arts, des enseignants et des autodidactes, dans les différentes styles, du figuratif à l’abstrait, en passant par le contemporain, que les habitués de la galerie ont apprécié.
Lors d’une rencontre avec l’artiste Nourreddine Tabarha, responsable de la gestion de la galerie et également l’un des artistes participant à l’exposition, il nous a précisé que «depuis la réouverture de la galerie Landon après sa restauration, nous œuvrons à renouer avec le prestige de ce lieu, qui a accueilli de grands noms tels que le romancier Oscar Wilde, le compositeur Bartók et le grand peintre Etienne Dinet».
Il souligne aussi que «pour parvenir à cet objectif, avec l’ensemble des artistes des Zibans, des étudiants de l’annexe des Beaux-arts de Biskra et l’aide de nombreux citoyens, un programme a été établi afin de faire de ce lieu un carrefour des arts plastiques et de l’art en général» Présent lors de la rencontre avec le gérant de la galerie Landon,
Lamine Sriti, ancien cadre de l’éducation nationale et qui fait partie du gotha intellectuel de Biskra, souligne l’importance des efforts fournis en direction de la population de Biskra pour une redynamisation des activités culturelles, tout en appelant à une véritable démocratisation de l’art dans la région.
Il nous confie, à ce sujet qu’il «pense, qu’il est nécessaire d’impliquer aussi l’université dans cet effort. Certes, je suis conscient qu’il y a une forme de réticence dont j’ignore les causes ou les raisons. Mais, il faut les tarabuster et faire un travail pédagogique dans ce sens. Car à mon modeste avis, un pont avec l’université est synonyme de réussite»
Il est à noter que cette exposition symbolise, en quelque sorte, le calumet de la paix entre les artistes et l’entreprise nationale chargée de la gestion, de la surveillance et du nettoyage de l’illustre édifice, recelant des centaines d’espèces végétales rares. Pour rappel, au mois de septembre passé, un agent de sécurité de ladite entreprise avait interdit l’accès au jardin et donc à la galerie à des jeunes artistes. Ce qui a eu par conséquence une véritable levée de bouclier et une mobilisation des artistes et intellectuels de la région. Il a fallu l’intervention des autorités locales pour que les choses rentrent dans l’ordre et que «l’Automne artistique », comme ont pris l’habitude de l’appeler les artistes de la capitale des Zibans, puisse enfin avoir lieu pour la plus grande joie des amoureux et des habitués des cimaises de la galerie Landon.
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Le ministre de la justice appelle à : « l’activation systématique de l’action publique dès la réception d’une plainte pour harcèlement sur les réseaux sociaux ».
En effet Tayeb Louh s’est exprimé ce matin sur le danger des réseaux sociaux: « l’Action publique doit réagir automatiquement en cas d’une atteinte à la dignité des personnes sur des réseaux sociaux », en ajoutant « Les agressions sur les réseaux sociaux commencent à prendre des proportions inquiétantes en Algérie.Un phénomène en hausse ».
Le ministre de la justice informe que la préparation d’un projet de loi sur la lutte contre la cybercriminalité est en finalisation.
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Yasmina Khadra sera présent à la librairie du Tiers-Monde à Alger pour une vente-dédicace à l’occasion de la sortie de son dernier roman « Khalil », paru aux éditions Casbah.
L’auteur algérien le plus prolifique des deux dernières décennies sera au rendez-vous pour la promotion de sa dernière oeuvre : un roman intitulé « Khalil » et qui a fait l’actualité de la rentrée littéraire 2018, autant en Algérie aux éditions Casbah qu’en France chez Julliard.
Il s’agit de retracer le personnage semi-fictif qui, aux côtés d’autres, a été responsable des événements du 13 novembre 2015 à Paris. Une approche chirurgicale selon les critiques qui saluent considérablement le dernier roman de Khadra.
La vente-dédicace aura lieu le mercredi 31 octobre à la librairie du Tiers-Monde à partir de 16h.
Entrée libre et gratuite
Auteur algérien le plus traduit dans le monde à l’heure actuelle, Yasmine Khadra a gagné ses galons avec sa trilogie : « Les hirondelles de Kaboul », « L’attentat » et « Les sirènes de Bagdad ».
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Un élément de soutien aux groupes terroristes a été appréhendé dimanche à Batna par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), alors qu’une casemate pour terroristes a été détruite à Sidi Bel Abbès, indique lundi le ministère de la Défense nationale (MDN), dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a appréhendé, le 14 octobre 2018 à Batna (5e Région militaire), un élément de soutien aux groupes terroristes, alors qu’un autre détachement a détruit, à Sidi Bel Abbès (2e RM), une casemate pour terroristes contenant des denrées alimentaires », précise la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’Armée nationale populaire « ont arrêté, à Tamanrasset, In Guezzam (6e RM), El Oued, Djanet et In Amenas (4e RM), 55 orpailleurs et quatre (4) contrebandiers et saisi deux (2) camions, sept (7) véhicules tout-terrain, 2.915 litres de carburant, 2,36 tonnes de denrées alimentaires, 25 quintaux de feuilles de tabac, 4.176 unités de différentes boissons, neuf (9) groupes électrogènes et sept (7) marteaux piqueurs ».
Par ailleurs, des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, à Sidi Bel Abbès et Naâma (2e RM), Tindouf (3e RM) et Oum El Bouaghi (5e RM), dix (10) narcotrafiquants en possession de 108 kilogrammes de kif traité », tandis que des Garde-côtes « ont déjoué, à Oran (2e RM), une tentative d’émigration clandestine de 12 personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale », ajoute le communiqué.
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Cent dix corps au total ont été découverts dans un charnier près de Syrte, ancien fief de l’organisation terroriste autoproclamée « État islamique » (EI/Daech) en Libye, ont rapporté dimanche des médias libyens.
Mercredi, le conseil municipal de Syrte, une ville située à 450 kilomètres de Tripoli, avait fait état de la présence de 75 corps dans ce charnier situé dans la localité d’al-Daheir. Au total, « 110 cadavres ont été découverts dans la fosse commune », a indiqué Mohamad al-Amial, porte-parole du conseil municipal, cité par les médias.
Les premières dépouilles découvertes dans cette zone agricole située à environ 15 kilomètres à l’ouest de Syrte ont été retirées par le Croissant-Rouge libyen. Depuis, « des effets personnels et des téléphones portables ont été trouvés aux côtés des cadavres », a précisé M. Amial.
La découverte de dépouilles non identifiées entraîne systématiquement des analyses, notamment d’ADN, par les autorités compétentes libyennes, cette méthode étant la plus fiable pour identifier les personnes mortes. « Le bureau du procureur nous a fait savoir qu’il faut du temps et des prélèvements ADN », a ajouté M. Amial.
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Quatre (4) personnes ont péri samedi dans un accident de la circulation survenu sur la RN 8 entre les deux communes d’Aïn Lahdjel et Benzouh dans la wilaya de M’sila, a indiqué la cellule communication du groupement territorial de la Gendarmerie nationale (GN).
L’accident s’est produit à la suite de la collision d’une voiture et d’un camion roulant en sens inverse causant la mort sur place de quatre personnes de la même famille, a-t-on précisé .
Les victimes ont été évacuées vers la polyclinique d’Aïn Lahdjel par la Protection civile et une enquête a été ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances de cet accident, selon la même source.
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Une cinquantaine d’exposants prendront part à la 2ème édition du Salon de la pharmacie et de la parapharmacie de l’Ouest (Pharmex 2018), prévue du 25 au 27 octobre prochain au centre des Conventions d’Oran (CCO), a-t-on appris des organisateurs.
Cet évènement réunira l’ensemble de la communauté des pharmaciens de la région ouest, estimés à plus de 2000 pharmaciens d’officines, des acteurs du secteur de la santé de tout le territoire national ainsi que des étudiants en pharmacie, des résidents et des représentants de la CNAS, CASNOS et autres.
Les participants discuteront de la situation de cette profession et des difficultés auxquelles fait face le pharmacien au quotidien, a-t-on ajouté.
L’objectif de ce salon est de réunir les entreprises pharmaceutiques opérant dans la région de l’ouest du pays pour faire découvrir leurs nouveaux produits et services, entretenir les contacts existants et attirer de nouveaux clients.
Les organisateurs ont prévu des conférences et des ateliers thématiques consacrés aux thèmes d’actualité dans le domaine de la pharmacie et abordant, entre autres, «le marché algérien du médicament dans la transition sanitaire», «le tiers payant et le pharmacien d’officine», «actualité réglementaire et économique du secteur pharmaceutique en Algérie», «la pharmacovigilance en Algérie», «le tiers payant face aux nouveaux défis de l’économie de santé en Algérie : rôle du pharmacien», a-t-on noté.
Cet évènement est organisé par l’agence «Pertinence consulting» avec la contribution de l’Agence thématique de recherche en science de la santé (ATRSS), rappelle-t-on.
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La direction de l’environnement de la wilaya d’Oran, en partenariat avec l’Institut Cervantès, vient de lancer un projet consistant à décorer le pont métallique du lycée Lotfi à l’aide de sacs en plastique récupérés, a-t-on appris de la responsable de cette direction.
La décoration du pont s’effectuera dimanche et lundi, avec la participation de plusieurs associations, encadrées par une artiste espagnole, Alicia Otaegui, designer et un architecte d’intérieur qui a participé à plusieurs projets artistiques de ce genre en Espagne et dans d’autres pays, a précisé Mme Samira Maazouz.
Ce projet vise à créer une œuvre artistique sur le pont métallique du lycée Lotfi, à l’aide de sacs en plastique bleus recyclés en bobines de fils plastiques, a-t-elle souligné ajoutant que cette action vise à sensibiliser la population d’Oran sur l’impact de ces sacs sur l’environnement et la nécessité de trouver de nouvelles solutions pour les remplacer avec des sacs biodégradables, en papier ou en tissus .
Cette action vient clôturer un projet qui a débuté le 7 octobre en cours, avec un programme de formation au profit des associations. Des conférences ont été données au niveau de la salle de conférence du R20, ouvertes au grand public.
Un sac en plastique jeté dans la nature peut mettre jusqu’à 450 ans pour se dégrader. La sonnette d’alarme a été tirée quant à la pollution de l’environnement marin par ces déchets, rappelle la directrice de l’environnement, estimant que la réduction de l’usage des sacs en plastique est la responsabilité de tous.
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Pas moins de 4013 comprimés psychotropes ont été saisis, le week-end dernier, au niveau du poste frontalier d’Oum Théboul, relevant de la daïra d’El Kala, a-t-on appris, dimanche, auprès de la chargée de communication à la direction des Douanes algériennes de la wilaya d’Annaba.
Cette quantité de psychotropes classés hallucinogènes, a été découverte vendredi dernier minutieusement dissimulée dans le véhicule touristique d’un Algérien qui s’apprêtait à finaliser les procédures douanières pour rentrer en Algérie, a souligné Mme Belkhiri Asma.
La même source a rappelé que durant la semaine écoulée, les services des Douanes ont réussi à mettre la main sur une quantité de 1037 comprimés psychotropes, à la suite de deux opérations de saisie distinctes, impliquant deux voyageurs en provenance de Tunisie.
La première opération de contrôle a ciblé un voyageur en possession de 712 comprimés psychotropes, soigneusement cachés dans son véhicule, alors que la seconde opération a permis de saisir 325 comprimés psychotropes chez un autre contrebandier, a-t-on soutenu.
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La maïsiculture dans la wilaya d’Adrar a des perspectives prometteuses pour peu de lui assurer le soutien et l’accompagnement nécessaires, de l’avis de professionnels et opérateurs.
La direction des Services agricoles (DSA) a fait état d’une superficie de 1 663 hectares consacrée l’an dernier à la filière, dont 173 ha à la culture du maïs en grain ayant donné une production de
6 920 quintaux, et 1 490 ha au maïs d’ensilage ayant produit 596 000 quintaux.
Pour la saison actuelle, la superficie dédiée à la maïsiculture a plus que doublé pour atteindre les 3 967 ha, prévoyant ainsi une hausse sensible de la production, notamment le maïs d’ensilage au fort rendement par rapport au maïs en grain, a-t-on précisé.
A la DSA, on a fait remarquer que la levée du soutien sur le maïs en grain n’a pas découragé les agriculteurs à aller vers ou à poursuivre la production du maïs d’ensilage, au rendement plus élevé, et que les efforts sont maintenus avec la tutelle concernant l’accompagnement de la production du maïs en grain.
Les contraintes auxquelles est confrontée la filière, notamment en matière de commercialisation, de soutien et d’accompagnement, risque de conduire de nombreux agriculteurs à se détourner du maïs en grain, en dépit de la nette réussite de sa culture dans la wilaya d’Adrar, en termes de qualité et de quantité, a affirmé, de son côté, le président de l’association des agriculteurs de la commune de Tsabit, Mohamed Hida.
Coûts élevés de production, appel à la réintroduction du soutien destiné aux producteurs
Parmi les difficultés rencontrées par les agriculteurs, la cherté des prix des fertilisants, la levée du soutien de 2 000 DA/Quintal qui était accordé à la production de maïs en grain, en plus des coûts de transport supportés pour acheminer la production des exploitations agricoles vers l’antenne de l’Office national des aliments de bétail -ONAB- de Bougtob (wilaya d’El-Bayadh). Le président du conseil interprofessionnel de la filière des céréales dans la wilaya d’Adrar, Abdallah Oum El-Gheith, a appelé, de son côté, le ministère de tutelle à envisager la réintroduction du soutien destiné aux producteurs de maïs en grain et à porter le prix du quintal de ce produit à au moins 5 000 DA/Quintal, au regard des coûts élevés des cultures céréalières dans la région.
M. Abdallah Oum El-Gheith juge «inconcevable’’ de considérer au même prix le quintal de céréales produites dans les wilayas du Nord et irriguées par les eaux de pluies, avec celui produit dans le Sud avec une irrigation sous pivot lourde de charges (forages et électrification) pour l’agriculteur.
L’avenir «prometteur’’ de la maïsiculture dans la wilaya d’Adrar reste «tributaire’’ de l’accompagnement et de l’encouragement par les instances de tutelle, surtout eu regard de la qualité du maïs en grain produit localement, «de loin meilleure’’ que celui importé, selon les analyses de qualité effectuées en laboratoire, mais aussi de l’avis même des éleveurs, estime le responsable.
Pour M. Oum El-Gheith, il ne s’agit pas de lier le soutien accordé pour le maïs en grain au volume financier de ce soutien, mais à la qualité du produit qui ne manquera pas de se répercuter positivement sur la santé animale (bétail et volaille) et, de là, sur la santé du consommateur, l’élément le plus important de cette chaîne alimentaire.
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Dans pour le cadre du mois d’octobre rose, une caravane de dépistage du cancer du sein a été lancée par l’association ‘’Errahma’’ qui a active dans ce domaine afin de soulager les malades cancéreux.
Organisée en collaboration avec la direction de la santé et de la population, la campagne de dépistage a été lancée à partir de la commune de Baghlia. Elle se poursuivra respectivement dans les communes de Cap Djinet le 13 octobre, Souk elhad le 20 octobre avant de prendre fin le 27 octobre au niveau de de la commune de Laarbatache. Quelque 260 dépistages, 184 échos mammaires, 40 mammographies et 27 échographies ont été effectués sur des patients où il a été révélé 06 cas suspects, lesquels ont été orientés vers des structures sanitaires pour des examens plus approfondies, nous a déclaré Ramdane, un membre de l’association’’ Errahma’’.
Plus de 500 malades cancéreux dans la wilaya de Boumerdès y sont recensés lesquels sont confrontés à multiples difficultés relatives aux soins y afferents. La quasi-totalité des malades subissent des opérations chirurgicales à Tizi-Ouzou et à Alger a précisé notre interlocuteur qu’il n’existe pas un service d’oncologie digne de ce nom dans la wilaya.
Comme celui de l’hôpital de Dellys, le service d’oncologie de Bordj-Ménaiel ne dispose que de 02 salles exiguës où de nombreux malades subissent des séances de chimiothérapie. Le service ne tourne qu’avec 02 oncologues et 02 infirmiers, ce qui est largement insuffisant pour la prise en charge des malades cancéreux qui ne cesse d’augmenter d’année en année. A cela s’ajoutent l’absence du scanner, les analyses, les échographies dans les structures sanitaires locales où un grand nombre de malades ne peuvent se prendre en charge à cause de leur précarité, s’inquiète-t-il en exprimant le souhait de tous les patients l’achèvement du nouveau hôpital de Boumerdès et l’ouverture d’un service d’oncologie au niveau de l’hôpital de Thénia qui dispose d’infrastructures pouvant y répondre à la prise en charge adéquate des cancéreux.
B. Khider
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D’après les information de Nice Matin, le film « Terminal Sud » raconte la trajectoire d’un médecin hospitalier algérien, déchiré entre ses sentiments pour sa campagne exilée en France et son devoir, pendant la terreur et la violence qui régnaient pendant la décennie noire.
Le film est réalisé par le franco-algérien Rabah Ameur-Zaïmech, il met en scène deux acteurs d’origine algérienne, à savoir Ramzy Bédia et Leïla Bekhti.
Le film a été tourné à Grasse, au Sud de la France, la date de sortie du film « Terminal Sud » est inconnue.
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Les prix à la production du secteur industriel public (hors hydrocarbures) ont connu une hausse de 0,4% durant le 2ème trimestre 2018 par rapport au 1er trimestre de la même année, indique l’Office national des statistiques (ONS).
La hausse a été tirée essentiellement par les secteurs, respectivement, des Cuirs et chaussures, Agro-alimentaires, les Industries des bois, liège et papier et les Industries des Textiles, précise l’Office.
Par secteur d’activité, la plus forte augmentation des prix à la production a été enregistrée dans les Industries des Cuirs et chaussures avec une hausse de 2,5% durant le 2ème trimestre 2018 par rapport au 1er trimestre 2018.
Cette augmentation a été induite par la hausse des prix des biens intermédiaires en cuir de l’ordre de 5,8%, explique l’ONS.
La variation haussière à également concerné les Industries Agro-alimentaires (+1,8%).
Le principal facteur de cette tendance est la filière de fabrication des produits alimentaires pour animaux (+11,8%).
En revanche, les prix à la production dans la branche de travail de grain (céréales) ont baissé de 1,1%
Pour les deux secteurs des Industries des Textiles et des Industries du Bois, liège et papier, les prix sortie-usine ont connu chacun une hausse modérée de 0,5% au 2ème trimestre 2018 et par rapport au 1er trimestre 2018.
Cette variation dans les Industries des Textiles a été tirée par une évolution d’un même taux (+0,5%) dans les prix des biens intermédiaires et dans ceux des biens de consommation produits dans ce créneau industriel.
Quant à la tendance haussière observée dans les Industries des bois, liège et papier, elle a été essentiellement engendrée par la hausse des prix de la fabrication et transformation du papier (+1,5%).
En revanche, l’ONS a relevé des baisses des prix à la production dans certains secteurs durant le 2ème trimestre 2018 par rapport au 1ertrimestre 2018.
Ainsi, la variation négative la plus importante des prix a été enregistrée dans le secteur des Mines et carrières (-1,4%).
Cette baisse des prix a caractérisé l’extraction du minerai de phosphate (-2%) et du sel (-0,4%).
La baisse des prix à la production a également concerné les Industries Sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) avec un recul de 0,8%.
Ce résultat a été engendré par la baisse des prix dans la branche sidérurgie et transformation de fonte et acier (-1,8%) et celle de fabrication des biens intermédiaires métalliques, mécaniques et électriques (-2,2%).
Par contre, les prix dans les ISMMEE ont augmenté pour les biens de consommation électrique (+4,7%) et la mécanique de précision pour équipement (+2,7%).
L’autre secteur où les prix ont marqué un recul est celui des Matériaux de construction (-0,2%), induit particulièrement par la baisse des prix des produits en ciment et matériaux de construction divers (-1%).
Pour rappel, l’évolution moyenne annuelle des prix à la production industrielle publique hors hydrocarbures sur toute l’année 2017 avait augmenté de 1,9% par rapport à 2016.
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Algérie Télécom invite ses clients à vivre l’expérience du débit 4G avec les nouvelles recharges Idoom 4G LTE.
Désormais, avec la carte de recharge de 500 DA, le client bénéficie d’un volume Data de 05 GO valable (10) dix jours, après épuisement du volume, le client profite d’un accès gratuit aux réseaux sociaux à savoir Facebook, Twitter, SnapChat, Instagram et LinkedIn.
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Avec la carte de recharge de 3500 DA, le client bénéficie d’un volume Data de 60 GO valable (01) un mois, après épuisement du volume, le client profite d’un accès à Internet en débit réduit.
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A travers ces nouvelles recharges , Algérie Télécom confirme son engagement de servir ses clients, d’être à l’écoute de leurs attentes et surtout de répondre à leurs besoins en termes de volume et de vitesse de connectivité.
Pour plus d’informations, Algérie Télécom vous invite à visiter le site web: www.algerietelecom.dz , ou à prendre contact avec nos web conseillers sur la page Facebook d’Algérie Télécom: www.facebook.com/algerietelecomgroupe/.
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La qualité de l’air intérieur est un luxe que la plupart des gens tiennent pour acquis, en particulier dans les maisons inspirées par l’art et le design. Très souvent, les gens passent d’innombrables heures et dépensent beaucoup d’argent à entretenir leur maison pour la rendre propre et saine, mais avec le purificateur d’air LG SIGNATURE, la qualité de l’air intérieur est améliorée de manière significative sans compromettre l’apparence et la convivialité de l’espace de vie magnifiquement conçu.
LG a récemment lancé la deuxième édition de LG SIGNATURE dans la région du Golfe avec des produits comprenant son produit phare LG SIGNATURE OLED TV W8, le réfrigérateur InstaView LG SIGNATURE, le lave-linge LG SIGNATURE TWINWash et son purificateur d’air LG SIGNATURE. Même si le design était au cœur de la conception de cette gamme de produits, il était impératif qu’elle fonctionne exceptionnellement bien pour que la santé et le bien-être des personnes soient pris en compte.
L’une des principales caractéristiques du purificateur d’air LG SIGNATURE est qu’il est équipé d’un système de filtre noir innovant semi-permanent. Les utilisateurs ont la possibilité de retirer le filtre, de le laver et de le réutiliser pendant 10 ans. Cela améliore non seulement la qualité de l’air dans n’importe quelle maison, mais vous évite également d’innombrables visites à votre quincaillerie.
« Chez LG, notre objectif est de créer des environnements sains et agréables pour permettre aux personnes de profiter du confort et du luxe de leur maison », a déclaré M. Kevin Cha, président de LG Electronics pour le Moyen-Orient et l’Afrique. «La plupart des gens ne savent pas que les produits utilisés quotidiennement, tels que les déodorants, parfums, produits de nettoyage, etc., peuvent mener à des environnements remplis de contaminants en suspension dans l’air pouvant non seulement nuire à la santé, mais aussi endommager les meubles et les appareils électroménagers. Si l’on prend les mesures proactives nécessaires, en investissant dans un produit de qualité tel que le purificateur d’air LG SIGNATURE, afin de protéger tout espace soigneusement aménagé, on augmente la longévité de ce bel espace et on protège tous les individus qui peuvent profiter d’un environnement aussi luxueux. »
Le purificateur d’air LG SIGNATURE a été conçu pour offrir un attrait esthétique intemporel grâce à son indicateur intelligent, un système d’éclairage intelligent permettant de contrôler le niveau de pollution de l’air intérieur à l’aide de quatre couleurs changeantes.
Il dispose également d’une fenêtre de visualisation de la pluie permettant de visualiser le processus de purification de l’air grâce au système d’arrosage unique de LG. Le moteur d’arrosage tourne à haute vitesse, éjectant puissamment 18 litres d’eau en une heure pour laver l’air inhalé qui a été déjà purifié par le système de filtration. Cela contribue en outre à créer les niveaux d’humidité les plus agréables pour améliorer le confort et lutter contre la dégradation de tous les environnements.
En ce qui concerne l’humidité, le purificateur d’air LG SIGNATURE est équipé d’une lampe LED ultra-violette qui stérilise l’eau dans le baquet avant de la vaporiser pour garantir une humidification parfaitement propre. De plus, pour plus de commodité, une fois que l’humidification est arrêtée, les filtres sont automatiquement séchés afin d’empêcher les virus et les bactéries de s’accumuler et de se propager.
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Le secteur de l’artisanat et des métiers a généré pas moins de 18 815 emplois permanents depuis 1999 à travers la wilaya d’Ouargla, a-t-on appris jeudi, auprès de la Chambre locale de l’Artisanat et des métiers (CAM). La frange féminine, qui occupe 31% de ces emplois, un taux qui devrait connaître une hausse au cours des prochaines années, au regard de son engouement croissant pour les métiers liés à l’artisanat traditionnel, notamment les métiers d’art, a indiqué à l’APS, le directeur de la CAM d’Ouargla, Abdelkader Hachani.
Elles activent dans les activités de broderie sur tissu et laine, de confection de l’habit traditionnel, la réalisation d’articles de décoration, en plus des différents genres de pâtisserie, a-t-il précisé. D’intenses actions sont entreprises par la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) pour réunir les conditions favorable à l’épanouissement et la promotion des activités artisanales dans cette wilaya aux riches potentialités.
Ces efforts se traduisent par le soutien des artisans à travers les différents mécanismes existants pour la promotion de ce segment, indissociable du développement touristique dans la région, l’ouverture d’espaces de valorisation et de promotion des produits pour aplanir les contraintes rencontrées par les artisans et liées notamment à la commercialisation de leurs produits, a-t-on indiqué à la CAM.
Les artisans et promoteurs de micro-entreprises activant dans l’artisanat entendent décrocher de plus en plus de micro-projets dans le cadre de la loi des marchés publics de 2012 qui accorde un taux de 20% des projets à ce type d’entités.
Création d’un espace d’exposition et de promotion des produits
La CAM d’Ouargla a, par souci de mettre à la disposition des artisans des espaces de valorisation et de promotion de leurs produits, procédé à l’exploitation d’une surface de 120 m2 au niveau de la Maison de l’Artisanat en vue de permettre aux professionnels de commercialiser leurs produits.
Elle table, à travers les activités d’exposition-vente, sur la réalisation en 2018 d’une recette de près de 1,5 million de DA, et prévoit d’étoffer ses activités par la réaménagement au niveau de la Maison de l’artisanat de dix salles pour les répartir entre une cinquantaine d’artisans.
Pour ce faire, une enveloppe de 30 millions de DA a été suggérée pour la réalisation des opérations d’aménagement de cette structure de 7 314 m2, devant englober aussi des travaux de restauration et de réfection de ses murs et toitures. Le secteur de l’artisanat dans la wilaya d’Ouargla s’est vu accorder ces dernières années de nouvelles structures, consistant en la réalisation d’un centre de l’Artisanat dans la daïra de N’goussa (35 km Ouest d’Ouargla), et d’une Maison de l’Artisanat dans la wilaya déléguée de Touggourt (160 km Nord d’Ouargla).
Selon les données fournies par la CAM, il est fait état de 7 224 artisans activant à travers la wilaya d’Ouargla, dont 2 413 dans les métiers d’art, soit 33% de l’effectif de professionnels recensé. Les autres artisans activent dans la production de matière (1 244 artisans) et les services (3 567), ce dernier représentant 50% de la totalité des artisans immatriculés à la CAM qui compte une panoplie de filières exercées, dont la vannerie, la poterie et la céramique, le tissage, la confection traditionnelle, la broderie traditionnelle, la sculpture sur gypse, l’ébénisterie, et autres.
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Cédée depuis janvier 2017 aux collectivités locales, la gestion des cantines scolaires est loin d’atteindre les objectifs tracés par les autorités. Depuis la récente rentrée scolaire, il est constaté de grands dysfonctionnements, dans ce domaine, que ce soit sur le plan organisationnel que matériel.
Les instructions données aux communes pour améliorer la qualité des repas mais aussi de recruter un personnel qualifié n’ont pas été concrétisées sur le terrain. Un désengagement des APC que tentent de dénoncer les associations de parents d’élèves et les syndicats du secteur de l’Éducation nationale.
Bien que la gestion des cantines ne fût pas non plus bonne quand c’était la responsabilité du ministère, la situation s’est encore plus dégradée quand les autorités ont décidé que ce soit les communes qui s’en occupent. C’est du moins ce que pense le secrétaire général du SATEF, Boualem Amoura, qui regrette qu’une telle décision soit prise sachant que 95% des communes sont déficitaires.
Au-delà des problèmes financiers, Amoura a relevé qu’un dossier aussi compliqué ne devrait pas être entre les mains des présidents d’Apc qui ne se soucient guère de l’école et des élèves. Et d’aller plus loin, il fait état même de détournement des subventions de l’État qui, selon lui, «ne vont malheureusement pas au ventre des petits mais vers des destinations inconnues». En effet, il a expliqué dans ce cadre que la contribution de l’État pour un repas est de 40 DA au Nord et de 45 DA au Sud, ce qui est pour lui largement suffisant. Mais ces subventions, poursuit-il, ne sont pas orientées vers leurs véritables bénéficiaires, soulignant l’existence de cas d’écoles où il n’y a ni cantines ni cuisiniers, mais à qui les aides sont quand même versées. Une situation provoquée par l’absence de contrôle et d’impunité, regrette, à ce propos, notre interlocuteur qui dénonce également l’implication d’inspecteurs de cantines dans ces détournements.
S’agissant de l’état de ces cantines, qui sont dans la plupart des cas, des salles de classes «aménagées», Amoura révèle qu’elles ne se dotent pas du minimum requis. «Ces cantines n’ont même pas une semi-batterie de cuisine. On cuisine sur des tripiers par terre», a-t-il révélé.
Outre le manque de tables et de chaises, 99% du personnel n’est pas qualifié et n’a pas de diplôme dans le domaine de la restauration, a encore dénoncé la même source. Pour ce qui est encore de la qualité de la nourriture, Amoura, sans sous-entendu d’exagération, la qualifie de médiocre et pas consistante.
«Non à la privatisation»
Après que les collectivités locales aient prouvé leur échec dans la gestion des cantines scolaires, la solution ne demeure cependant pas dans la privatisation, a estimé Boualem Amoura. Exprimant son total rejet à cette idée avancée par le ministre de l’Intérieur, Nourredine Bedoui, le secrétaire général du SATEF a expliqué qu’une fois ces cantines seront gérées par le secteur privé, elles deviendront «certainement» payantes et ne profiteront plus à tous les élèves.
Pour lui, si l’État n’a pas réussi à mettre fin à l’anarchie dans ce domaine, ce n’est pas le privé qui le fera. L’unique solution, selon notre source, est donc de soustraire cette gestion aux collectivités locales pour qu’elle soit celle du ministère de l’Éducation, mais à condition de bannir le «bricolage» et l’anarchie avec plus de rigueur et de contrôle. Amoura propose, dans le même cadre d’idée, la contribution des associations de parents d’élèves pour améliorer la qualité des repas.
Ania Nait Chalal
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L’agence Reuters a rapporté que le secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, Jean-Baptiste Lemoyne, vient de demander à l’agence Business France, organisme qui assure la promotion de groupes français sur les marchés mondiaux, d’organiser dans les plus brefs délais une visite d’exportateurs français en Algérie dans le but de faire changer d’avis les responsables algériens de recourir au marché russe pour s’approvisionner en blé.
Il est désormais clair que la volonté des russes de se placer sur le marché algérien avec une meilleure offre en qualité et en prix, inquiète les plus hautes autorités de la France qui craignent un sérieux revers à leurs revenus à l’exportation par la fonte de leur cagnotte tirée annuellement des ventes vers l’Algérie.
Une inquiétude tout à fait compréhensible puisque jusque-là, l’Algérie est le principal marché d’accueil du blé français en dehors de la zone euro avec la moitié des épis vendus vers le reste du monde. En tout cas, sauf changement intempestif, l’Algérie demeure résignée à faire jouer la concurrence pour tirer un meilleur parti et par delà mettre fin au monopole français dans certaines filières. D’ailleurs, des sources diverses ont indiqué qu’un contrat serait signé dès que tous les certificats de conformité délivrés.
La décision algérienne de s’approvisionner en blé russe est, a-t-on expliqué basée sur les résultats de l’inspection du lot de blé d’essai qui sera envoyé à l’Algérie très bientôt. Dans ce contexte, Mohamed Belabdi, le directeur de l’Office interprofessionnel des céréales (OAIC), a sous entendu la détermination d’aller voir ailleurs en confirmant l’intérêt de l’Algérie pour l’achat de blé russe. à cet effet, une délégation officielle de l’OAIC s’est déplacée à Moscou pour constater de visu la qualité du blé russe et sa conformité avec les cahiers des charges.
La démarche algérienne semble ainsi intriguer outre mesure la France qui y voit une vraie menace sur sa suprématie commerciale sur le marché algérien. Jean Philipe Levy, le directeur de l’institut technique des céréales, a fait part des craintes de son pays qui risque de perdre sa part dans le marché algérien des céréales, sachant que les français font face à une rude concurrence de certains pays de l’Europe de l’est, à l’instar de l’Ukraine et le Kazakhstan.
Dans cette ambiance de panique générale, des médias français ont cité ainsi une étude «fondée sur les résultats de l’examen d’un lot d’essai de blé qui sera prochainement envoyé en Algérie», présageant le début de la fin d’un monopole historique sur le marché algérien du blé où le pays de l’hexagone exporte chaque année, environs 4 millions de tonnes. Ces mêmes médias ont appelé à ne pas rester les bras de marbre face à la volonté de l’Algérie de diversifier ses fournisseurs au détriment des agriculteurs français.
Zacharie S. Loutari
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Les travailleurs retraités du groupe Sonatrach ne semblent pas résignés à baisser les bras. Ils envisagent de tenir un méga sit-in (37ème sit-in) le 30 octobre, devant le siège de la direction générale sis Djenane El Malik à Hydra pour se faire entendre.
La porte-parole des retraités libres du groupe Sonatrach dresse une situation catastrophique et lamentable des ex-travailleurs, plus de 28 000 retraités du groupe SH, à travers l’ensemble du territoire national sont privés de leurs droits. Une partie de ces retraités ont atteint un âge avancé, malades, handicapés et d’autres sont décédés sans avoir obtenu leur dû.
« Nous n’abandonnerons pas notre cause et continuerons à manifester et à mettre notre tutelle devant le fait accompli et face à ses responsabilités », s’exclame un des retraités « nous voulons aussi les obliger à se conformer aux lois de la république, à la législation en vigueur et aux conventions. Mais surtout obtenir des réponses favorables à nos revendications, notamment celles relatives à nos pensions et indemnités, entre autres la pension complémentaire de retraite (PCR) réduite illégalement de 20% à 12,50% traduite par une diminution drastique de 40% de notre pension, l’indemnité d’expérience professionnelle (IEP) pour tous les retraités sortis après 2009 et l’indemnité compensatoire (I.C) pour tous ceux ayant exercé dans les bases de vie au sud régime célibataire.»
Pour les travailleurs retraités, « il incombe à la Sonatrach et la MIP d’assumer l’entière responsabilité de ces trois dossiers ». Pour rappel, les travailleurs retraités du géant pétrolier du pays n’ont ménagé aucun effort pour obtenir leurs droits de leur tutelle et de la mutuelle avant de recourir à ces sit-in pacifiques. Les responsables semblent non seulement sombrer dans la surdité mais aussi, comme le rapportent certains retraités, piétinent les directives législatives, les lois et les principes de la République qui se résument dans les prononcés judiciaires plaidant en faveur des retraités pour une régularisation de leur PCR à 20% et celle de l’IEP et de l’I.C.
Les jugements définitifs et exécutoires ont été notifiés et les saisies sur compte ont été ordonnées sans pour autant que la SH et la MIP ne se conforment aux lois. Tous les retraités plaignants ayant eu gain de cause se voyaient radiés définitivement et injustement du bénéfice de leur rente viagère infligée arbitrairement, à titre de représailles. Ils interpellent le ministre en charge de la sécurité sociale tutelle des mutuelles pour demander à la MIP d’assumer ses missions en direction de ses adhérents et demander à saisir l’inspection générale des finances (IGF) afin qu’une enquête approfondie puisse être menée sur la gestion de la MIP conformément à la loi 15-02 du 04/01/2015 relative aux mutuelle sociales et son article 88 chapitre 2 : Contrôle de la mutuelle sociale.
Ould Kaddour interpellé
Ils réclament aussi le redressement du taux de la PCR à 20% au lieu du taux actuel 12,50%. Le paiement des rappels de tous les retraités depuis 2003 malgré les 700 milliards de subvention fraîchement versés dans les caisses de la MIP et les promesses du P-DG qui perdurent. Remise de la notification de pension avec décompte détaillé du calcul de la pension pour l’ensemble des retraités (anciens et nouveaux), les gestionnaires de la MIP ne délivrent plus ce document qui leur revient de droit. Le paiement de la pension complémentaire se fera mensuellement et selon les mêmes modalités de la pension principale servie par la CNR (Art 27 nouvelle loi sur les mutuelles).
Les pensions de retraite complémentaire sont revalorisées chaque année, avec effet à compter du 1er mai (Art 28 nouvelle loi sur les mutuelles). Rétablissement des droits au paiement de la pension à tous les retraités qui ont esté la MIP en justice. Ils réclament également la régularisation et le redressement de l’indemnité d’expérience professionnelle (IEP) pour tous les retraités d’après 2009 conformément, disent-ils, «à l’article 67 de la CCE », ainsi que la régularisation et le paiement de l’indemnité compensatoire (IC) pour tous les retraités d’avant le 6 avril 2011 qui ont travaillé dans les bases de vie au sud et quitté le groupe entre 1996 et 2011».
Cette indemnité a été décidée par l’ancien ministre de l’Energie à travers une décision du 18 avril 2008 et approuvée par le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, le 27 juillet 2008. En fin de compte, les retraités libres interpellent le P-DG Ould Kadour et demandent officiellement une audience afin que les problèmes en suspens soient définitivement pris en charge de manière sérieuse et plus efficace.
I.M. Amine
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Par Hammadi Souhila
Le coût global de la prise en charge du diabète avoisine les 640 milliards de dinars, soit 26,6% des dépenses en produits pharmaceutiques remboursés.
Le directeur de Novo Nordisk Maghreb, Jean-Paul Digy, s’est montré très clair, hier, en conférence de presse. “Si notre médicament n’est pas remboursé par la Sécurité sociale, nous cesserons d’investir en Algérie.” Il parlait du seul analogue du GLP-1, une nouvelle classe d’antidiabétiques, alternative à l’insuline (diabète de type 2), ayant obtenu l’AMM (autorisation de mise sur le marché national) sans être inclus dans la nomenclature des produits pharmaceutiques remboursables. “Nous nous engageons à produire ce traitement localement s’il est pris en charge par la Sécurité sociale”, a promis le responsable du groupe pharmaceutique danois, estimant illogique de continuer à consentir de gros investissements dans le pays sans pouvoir faire aussi des bénéfices.
Son plaidoyer est conforté par le président de la Société de diabétologie, le Pr Mourad Semrouni, qui a affirmé que le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale s’entête à contredire les praticiens spécialisés en matière de service médical rendu de tel ou tel traitement. “Depuis dix ans, aucune innovation thérapeutique n’a été introduite dans le pays pour les diabétiques”, a-t-il regretté.
Pourtant cette maladie est classée 3e cause de mortalité prématurée. Il a indiqué que 12,2% de la population générale sont des diabétiques. Sur ce nombre, 10% des patients atteignent les objectifs thérapeutiques et uniquement 5% vivent sans complications. Moralité, un diabétique en Algérie perd, dès 40 ans, presque 23 ans d’espérance de vie.
En 2016, le pays a compté près de 28 000 décès des suites de complications de cette pathologie, soit les AVC, la néphropathie, les atteintes cardiaques et l’hypertension artérielle.
Le Dr Yacine Sellam, président de la Société algérienne des affaires réglementaires et de la pharmacoéconomie, a rapporté que la valeur globale de la prise en charge du diabète (coût direct, indirect et intangible) avoisine les 640 milliards de dinars par an. Ce qui représente 26,6% des dépenses totales sur le remboursement des produits pharmaceutiques. En clair, un patient mis sous insuline coûte entre 45 000 et 60 000 DA par mois, alors que le malade traité par des antidiabétiques oraux revient entre 7 000 et 10 000 DA pendant la même période. “Si l’on considère l’approche pharmacoéconomique, il sera plus rentable de recourir à des traitements plus efficaces et peut-être plus chers à l’unité, mais qui réduisent la dépense par patient guéri”, a-t-il développé.
Le professeur Semrouni a corroboré l’argumentaire en se fondant sur le consensus international sur la gestion de l’hyperglycémie chez les patients atteints de diabète de type 2, rendu public le 5 octobre dernier, à Berlin, par les associations américaine et européenne. C’est une sorte de feuille de route sur les nouvelles stratégies thérapeutiques à adopter par les praticiens spécialistes, qui favorise le recours à la classe des agonistes du GLP-1 en première intention.
Souhila H.
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