Les poissons morts suite à une intoxication dans le lac Toho à Kpinnou, dans la commune d'Athiémé ont été incinérés, ce mercredi 23 mai sur un site identifié par les autorités des structures décentralisées et déconcentrées de l'Etat.
Des dispositions pratiques ont été prises avant, pendant et après l'incinération. Le site qui a servi d'incinération est éloigné d'environ 1,5km de la ferme de M. Olivier Zaga, un promoteur qui a été victime de la situation en perdant 10 tonnes de tilapia dans ses 28 enclos. Pour la calcination totale des poissons morts, la préfecture du Mono a assuré l'achat de chaux-vive, de carburant et du fagot de bois. En plus du personnel, l'Agence nationale pour la protection sociale (ANPC) a mis à disposition, une pelle adaptée pour la fouille. L'opération a été menée sous la supervision des directeurs départementaux de la santé, de l'agriculture de l'élevage et de la pêche, du cadre de vie et du développement durable, des sapeurs-pompiers, appuyés par des manœuvres qui ont mis en sachets lesdits poissons.
Selon la procédure de façon graduelle, du bois et de la chaux-vive, une première couche de poissons en sachets imbibée de carburant y est déposée. Elle a été faite jusqu'à trois couches avant l'incinération. L'équipe de supervision est restée sur les lieux jusqu'à la calcination totale des poissons.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
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Pourquoi la fuite des cerveaux s’est nettement accéléré ces derniers temps ? “La fuite des cerveaux, comme certains préfèrent la nommer la mobilité des talents, n’est pas un phénomène nouveau”, indique Kais Mabrouk. En effet, ce fléau existait depuis bien longtemps en Algérie, mais sous l’effet d’une conjoncture de facteurs, il s’est intensifié ces dernières années. Cette vague de départ est, selon lui, le résultat d’un éclatement de facteurs à la fois endogènes et exogènes. D’après Mabrouk, les flux de recrutement auprès des pays occidentaux n’étaient pas aussi massifs comparé aux années précédentes. En effet, face à un déclin démographique, ces derniers lorgnent les jeunes compétences des pays émergents en leur offrant de meilleures perspectives. “Aujourd’hui, avec la croissance démographique mondiale, ces pays ont besoin de mains d’œuvres qualifiées, de jeunes compétences…”, a-t-il expliqué en précisant que près de 3/4 de ceux qui immigrent sont des médecins, des professeurs et des ingénieurs. Qualifiant la situation de “rapt”, il considère que la facilitation de la mobilité et la simplification des procédures du visa et du travail à l’étranger ont favorisé le départ massif des Tunisiens. “Ils ne font que déposséder un pays de ses ressources”, a-t-il estimé. Revenant sur les facteurs endogènes, Mabrouk évoque en premier lieu le fait que les bacheliers optent de plus en plus pour des études à l’étranger. Un choix, qui selon lui, se pose sur le classement en bas d’échelle des universités publiques. “C’est ce sentiment d’inquiétude, principalement des parents, qui laissent ces derniers se sacrifier pour assurer un avenir meilleur” a-t-il assuré. “Il y a un malaise” a-t-il souligné en évoquant les problèmes rencontrés par les universitaires notamment au niveau de l’évolution de carrière, le manque criant de budget de recherches, la démotivation et le manque de reconnaissance de leurs capacités. À côté de ces raisons académiques, il y a ceux qui se sentent lésés par la dégradation du pouvoir d’achat et le manque d’opportunité sur le marché de l’emploi en Algérie. Rares sont les jeunes qui échappent à la tentation d’accepter un emploi motivant, bien rémunéré et qui répond à leurs ambitions, a-t-il noté. À vrai dire, la liste des facteurs derrière la mobilité des talents est assez longue pour être présentée de façon exhaustive mais c’est bien toute la palette d’idées qui a été abordée, a-t-il fait savoir en ajoutant que “tout l’environnement s’attire les foudres”. Quelles sont les solutions? Pour freiner cet exode, Mabrouk pense qu’il serait plus judicieux de mettre l’accent sur l’Enseignement supérieur et d’instaurer un environnement propice au développement des compétences individuelles et collectives. Il a souligné la nécessité de pousser les jeunes compétences à créer et à innover en leur offrant notamment une facilité de mobilité. D’autre part, il a insisté sur l’importance de redonner de l’éclat aux universités algériennes et de retrouver la confiance dans le système éducatif national et ce, en renforçant la disponibilité des professeurs universitaires et en apportant un gage de qualité. Il a estimé que l’accréditation des facultés et la reconnaissance des diplômes universitaires algériens à l’international constituent un atout majeur pour freiner cette hémorragie. Plus encore, avec une labellisation internationale, les universités algériennes pourront tirer profit et devenir une référence de formation internationale. “Un retour d’investissement s’en suivra” a-t-il indiqué. D’après lui, l’Algérie pourra fonctionner comme étant un centre de formation à grande échelle. De ce fait, elle sera capable d’attirer aussi bien des étudiants étrangers que des grands investisseurs en quête de qualité. “Ce n’est autre que la stratégie gagnant-gagnant adoptée par le Maroc” a-t-il mentionné. Il a expliqué que le royaume a su se faire une place en séduisant de grands investisseurs étrangers, en formant leurs futurs managers qui développeront par la suite leurs marques dans le pays. De même, Mabrouk a appelé à la nécessité de booster l’investissement, revaloriser les salaires, promouvoir les formations et créer des perspectives d’ambition pour garder les jeunes compétences et installer un climat de confiance. Pour les attirer, il a proposé de mettre en place un programme dédié aux élites algériennes à l’étranger à l’image du programme tunisien Amal, conçu pour les jeunes au chômage. Plusieurs, forts de leur expérience en Occident, sont prêts à retourner avec l’énergie de construire quelque chose de nouveau, avec l’espoir de faire bouger les choses. Enfin, pour lui, il s’avère important de chapeauter les entreprises publiques par la crème de l’élite algérienne. Une manière qui pourrait libérer le pays d’un cercle vicieux d’inefficacité. En effet, instaurer la confiance, booster la croissance économique du pays, favoriser l’investissement et valoriser le capital humain ne font que cultiver l’optimisme et renforcer l’attachement envers le pays. Cependant, il faut, relativiser ce phénomène de “fuite des cerveaux”. L’attachement à la culture d’origine, l’envie de vivre parmi les siens, l’appel des racines, la volonté de participer au développement de son pays font que beaucoup finissent par revenir chez eux. “La vie est courte, et un jour de vécu loin de son pays et de ses proches est un jour de perdu quelque soit la rémunération ou l’évolution de carrière” confie Kais Mabrouk qui a longtemps vécu en France avant de décider de s’installer définitivement en Tunisie.
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Une ambiance particulière régnait, ce jeudi, à l’hôtel Le Zénith en présence des 13 candidats de l’industrie des membres de l’APN des deux partis FLN et RND, du sénateur Kazi Tani Abdelhak et des investisseurs de l’industrie de l’Oranie pour voter une nouvelle institution plus dynamique.
Les opérateurs économiques adhérents, à l’instar des autres CCI ont soutenus la candidature de M. Louhibi karim pour le renouvellement des organes élus de cette institution. Au total 4700 adhérents environs à ce jour vont se présenter aujourd’hui aux urnes pour élire les membres de l’assemblée générale. Parmi ces adhérents l’on enregistre ceux du commerce, du BTPH et de l’industrie. Ce sont les secteurs du BTPH et des services qui ont enregistré un afflux très remarqué des votants. Cependant, la campagne pour l’élection des membres de l’assemblée, du fait que les 3 candidats en coulisse pour un fauteuil notamment Louhibi Karim, Chérif Karim et Mouad ABED un trio de la haute sphère. Chaque clan voulait placer son homme de confiance pour un mandat de quatre ans même s’il était difficile de connaître dès à présent le candidat potentiel pour le poste de président de la chambre de commerce. Trois noms ont été révélés comme des candidats qui postuleront, une fois élus à l’assemblée, pour être à la tête du bureau. Interrogés sur le candidat favorable, les participants citent Mouad Abed ancien président de la chambre coordinateur de l’UGCAA du secteur des services également, opérateur économique dans le BTPH, Louhibi Karim du secteur de l’industrie et Chérif Karim de l’hôtellerie et du tourisme et de la promotion immobilière. Pour certains de ces candidats favorables, le but est de rendre la CCIO plus dynamique avec une équipe compétente. «L’enjeu réside dans l’équipe qui sera élue», nous dira un des candidats favoris. Si la vision du côté des opérateurs économiques est de créer cette dynamique perdue à travers les années au niveau des CCI. Les membres de l’administration, pour leur part, plaident pour des CCI à vocation purement économique avec la nécessité de rendre l’adhésion automatique. Il est à signaler que 03 femmes figurent parmi la liste des candidats notamment la journaliste directrice du quotidien francophone Benarmas Hafida qui au cours d’une allocution n’a pas manqué pour nous déclarer devant toute l’assistance « Nous sommes fortes de nos entreprises, surtout avec les nouvelles lois de son excellence le président de la République Abdelaziz Bouteflika, et en ce qui concerne le plan d’action, nous avons élaboré un plan d’action très riche en faveur de la croissance des entreprises et du développement économiques d’Oran et de la région Ouest du pays ».The post Oran: Renouvellement des organes de la Chambre de commerce appeared first on .
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Un patriote a été arrêté par les éléments de la gendarmerie nationale de la wilaya de Mostaganem, en flagrant délit en possession d’un fusil à pompe qui était sur le point d’être vendu à un particulier pour un montant de près de 100 millions de cts.
Informés, les services de la gendarmerie ont tendu un guet-apens au vendeur, qui a été pris en pleine transaction avec l’acheteur. Main dans le sac, les deux incriminés ont été arrêtés et emprisonnés en attendant l’achèvement de l’enquête toujours en cours, pour les présenter devant l’instance judiciaire compétente.
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Accusé d’avoir simulé une blessure pour éviter de prendre part au prochain stage de l’EN, Sofiane Feghouli a expliqué, via son compte Twitter, les raisonsqui l’ont contraint à déclarer forfait aux deux prochaines rencontres amicales de l’EN face au Cap Vert et le Portugal.
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Nous avons déjà parlé dans notre Quotidien, dans l’édition du lundi 25 Décembre 2017 des quantités de sardine que des pêcheurs, sans scrupules, ont osé jeter à la mer et ce, juste pour faire en sorte que les prix de vente ne puissent pas baisser.
Et « Bis repetat ! », on vient d’apprendre avec des images photographiques à l’appui, que les citoyens on découvert avec stupeur et une grande colère que des quantités de sardine, fraîchement pêchée, avant hier, ont été balancées en mer en bordure du port de pêche et plaisance de la Salamandre.
En effet, dans la journée de ce mercredi il a été constaté une production très importante de diverses espèces de poisson à la faveur d’un anticyclone qui s’est installé en mer méditerranée et que le les vents d’Est n’ont pas dérangé. La pêche a été bonne et riche mais, ce fut la dégringolade du prix de la sardine de 2ème choix qui s’est mal vendue au prix du détail à raison de 100,00 Da le kilo, cependant qu’à l’intérieur de la Pêcherie du centre-ville, la sardine de 1er choix s’est vendue pour 500,00 Da.
Notons que les autres variétés de poissons restent dans la fourchette des 15000,00 Da pour le petit rouget à 3.000,00 Da pour la crevette le kilo ; dans pareil cas, les petites bourses ne trouveront jamais des prix à la convenance de leur modeste pouvoir d’achat.
Entre-temps, cette situation est confortée par des actes criminels, à effet de répétition, et c’est un scandale de plus qui vient d’ébranler les Mostaganemois, dans ce mois de piété. Punir les auteurs de ces pratiques honteuses et immorales est le minimum que puissent faire les autorités compétentes.
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Neuf cent trente-trois (933) personnes ont trouvé la mort et 9926 autres ont été blessées dans 7178 accidents de la route enregistrés au niveau national durant les quatre premiers mois de l’année 2018, selon un bilan récemment publié par le Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR).
Le bilan fait état d’une baisse du nombre des accidents (-9,16 %), de décès (-10,46) et de blessés (-10,84 %) par rapport à la même période en 2017.Selon le rapport annuel du CNPSR, l’année 2017 a connu une baisse sensible des accidents de la route, de décès et de blessés, avec 25.038 accidents corporels enregistrés et une baisse du nombre des accidents de 3.818 par rapport à 2016.
Il s’agit également d’une baisse du nombre des morts (8,84 %) par rapport à 2016, soit près de 353 personnes indemnes. En outre un « recul » a été enregistré en nombre des blessés (17,54 %), soit 36287 en 2017 par rapport à 2016 qui recense 44.007 personnes, soit l’équivalent de 7.720 blessés au minimum ».
Le bilan des accidents corporels pour l’année 2017 représente « le meilleur taux » enregistré en matière de sécurité routière depuis le milieu des années 1990, a révélé la même source, puisque le nombre d’accidents corporels déplorés (25.038 accidents) durant cette année est « le plus bas » depuis l’année 1996 où 23.949 accidents corporels ont été recensés.
Selon le CNPSR, les jeunes conducteurs entre 18 et 29 ans sont les plus impliqués dans les accidents de la circulation survenus en 2017 soit dans 8.804 accidents corporels, un taux de 35,16% du nombre global des accidents. Le même bilan fait état de 1.620 jeunes de moins de 29 ans tués sur les routes au cours de l’année 2017, soit 44,52% du nombre global de décès. Pas moins de 19.784 jeunes de moins de 29 ans ont été blessés durant cette même période, soit 54,53% du nombre global des victimes, a noté la même source.
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Un énorme incendie s’est déclaré aujourd’hui à l’hôpital femme et enfant Bachir bennacer dans la wilaya d’el Oued.
L’incendie s’est déclaré vers 17h touchant plusieurs pavillon de l’établissement. Des dizaines de patients ont été transférés dans d’autres hôpitaux et aucune perte de vie humaine n’est à déplorer pour le moment.
Massin.A
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« Le mariage des enfants, qu'il soit forcé ou pas : ce n'est pas une bonne chose. ». C'est ce que nous enseigne humblement Marjolaine dans sa lettre, sélectionnée ce jour parmi 67 courriers reçus. Maire Enfant du Conseil Communal Enfant de la Commune de Dangbo, département de l'Ouémé au Bénin, Marjolaine, âgée de 14 ans, est en classe de 3e au CEG1 Dangbo. Quelle solution propose - t - elle ? Nous vous invitons à découvrir sa lettre très simple mais plein d'engagement et d'appel à l'action.
Je suis contre le mariage des enfants : Ne dites plus « mariage forcé des enfants »
CAMPAGNE NATIONALE DE PLAIDOYER DES ENFANTS
Le mariage des enfants, qu'il soit forcé ou pas : ce n'est pas une bonne chose.
Problème constaté : Le mariage des enfants.
*Qui peut résoudre ? :* Les autorités à divers niveaux, surtout les forces de l'ordre et nos parents.
*Solutions proposées :*
Interdire le thème « mariage forcé des enfants »
Punir les auteurs de ces pratiques
Sensibiliser les populations, les élèves, les apprentis sur la parenté responsable et la santé familiale.
*LOKOSSOU Marjolaine, CEG1 Dangbo en classe de 3e*
*Maire Enfant de ma Commune*
Lu et autorisé pour large diffusion
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