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Afrique

Zaâlane: 30 appareils d’Air Algérie interdits de vol en 2021

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 22:28

La moitié de la flotte aérienne algérienne a une moyenne d’âge de plus de 25 ans, d’où il fallait la renouveler au cours des trois prochaines années. C’est ce qu’a révélé le ministre des Travaux publics et des transports, Abdelghani Zaâlane.

Intervenant en marge du lancement d’un portail électronique dédié à son département, le ministre des Transports a annoncé le vieillissement de la moitié de la flotte de la compagnie aérienne nationale, dont 30 appareils ont un âge moyen de 25 ans, ce qui nécessite à ses yeux de le renouveler  d’ici à 2021.

Pour ce faire, le gouvernement a débloqué une enveloppe pour l’acquisition de nouveaux appareils en prévision de la conquête de nouveaux marchés face à une rude concurrence d’autres compagnies aériennes mondiales.

Par ailleurs, il a fait savoir que son département n’était pas touché par l’austérité dictée par la dégringolade des cours de pétrole. Pour étayer ses dires, il a souligné la volonté de l’Exécutif de parachever les projets stratégiques, citant en exemple la réalisation des différents projets liés au tramway, à la voie ferrée ainsi que l’extension de la ligne de métro vers Bab El Oued, Baraki et l’aéroport d’Alger (Houari Boumediène).

Le représentant du gouvernement a annoncé également l’achat de douze (12) nouvelles rames de métro pour assurer le service uns fois  l’extension du métro sera livrée.

Saïd Batoul / Traduit par: Moussa. K.

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Création prochaine d’un fonds de soutien régional au profit des startups d’Alger

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 22:28

ALGER- Un fond de soutien régional sera crée prochainement au profit des startups d’Alger afin de faciliter leur participation à la conception de la ville intelligente, a annoncé dimanche à Alger le wali d’Alger Abdelkader Zoukh.

« La mise sur pied par la Banque mondiale d’un fond de soutien régional au profit des startups d’Alger sera annoncée à l’occasion de la tenue mercredi et jeudi prochains à Alger du sommet international des villes intelligentes dans le but d’aider les jeunes à créer leurs propres entreprises et éviter la fuite des cerveaux « , a indiqué le Wali d’Alger lors d’une conférence de presse.

Il a souligné que le fond est dédié aux jeunes universitaires « porteurs d’idées innovantes » afin de les accompagner à créer leurs propres entreprises et participer au développement de l’économie nationale par la création de postes de travail et de richesse.

Un total de dix incubateurs ont été mis sur pied depuis 2017 dans le cadre du plan stratégique de modernisation de la capitale à travers la création de startups dont les solutions innovantes demeurent stratégiques pour transformer la capitale en ville intelligente, a rappelé le responsable.

« Afin d’accélérer le processus de la transformation d’Alger en une ville intelligente, il faut créer impérativement un terrain propice (écosystème) pour permettre le développement des startups », a-t-il ajouté, précisant  que l’organisation d’un tel sommet (sommet international des villes intelligentes) à Alger avec la présence d’experts de renommée international va permettre aux jeunes talents algériens de partager les expériences.

Le Sommet internationale des villes intelligentes regroupera plus de 4000 participants dont 150 experts internationaux, incluant des sommités mondiales en technologie, finance, industrie.

Les institutions et organisations internationales telles que la NASA, le forum économique mondial, la Banque Islamique de développement, la banque mondiale, les Nations Unies, ou encore les institutions universitaires ainsi que des acteurs technologiques de la Silicon Valley et d’autres hubs  technologiques, se joindront également à ce sommet.

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Algérie : Rabah Madjer officiellement limogé

Afrik.com - Sun, 06/24/2018 - 22:01
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Union africaine: tout ce qu'il faut savoir sur le sommet de Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 21:45
Le360 - Nouakchott, la capitale mauritanienne, accueille du 25 juin au 2 juillet le 31e sommet ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de...
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Migrants: la France "n'a de leçons à recevoir de personne", réplique Macron à l'Italie

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 21:00
Romandie News - Emmanuel Macron a déclaré dimanche que la France "n'a de leçons à recevoir de personne" sur le dossier des migrants car...
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Les premières images des hospitalisés pour cause de malnutrition dans l’Est de la Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 20:16
Adrar Info - Le site « Alakhbar.info » a reçu des images du lieu d’hospitalisation aménagé par les agents du ministère de la Santé...
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Une réunion ad-hoc du groupe d'experts s'ouvre ce lundi à Cotonou

24 Heures au Bénin - Sun, 06/24/2018 - 19:30

Le Bureau sous régional pour l'Afrique de l'Ouest de la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA) et le Gouvernement du Bénin organisent du 25 au 26 juin prochain, à Cotonou, une réunion Ad-Hoc d'experts sur "Les implications du potentiel élargissement de la CEDEAO et la Zone de Libre Echange Continental Africaine (ZLECA)"

Cette réunion ad-hoc qui se tiendra après la signature de la ZLECA par 44 pays sur les 55 Etats membres de l'Union Africaine et l'intention manifestée par certains pays de l'Afrique du Nord d'adhérer à la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a pour objectif d'approfondir la réflexion sur les potentielles implications économiques et socioéconomiques de ces chantiers majeurs.
Selon, M. Dimitri Sanga, Directeur de la CEA pour l'Afrique de l'Ouest, « Alors que l'Afrique s'engage résolument sur la voie de la mise en œuvre de la ZLECA, nous sommes en train de franchir une étape importante de la création de la Communauté économique africaine telle que prônée par certains pères fondateurs de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA). Cette marche doit s'accompagner des discussions et réflexions dépassionnées sur les implications réelles de ces engagements afin de lever les contraintes et relever les défis y relatifs. C'est le cas des demandes en cours d'élargissement potentiel de la CEDEAO. Nous sommes convaincus que les experts de l'Afrique de l'ouest vont donner des pistes de solutions pour mener à bien tous ces chantiers qui sont censés nous mener vers l'intégration de la sous-région et du continent dans son ensemble ».
La réunion ad-hoc du groupe d'experts permettra aux participants d'examiner les implications économiques en termes de flux commerciaux et de recettes publiques, d'identifier et de discuter les principaux défis et enjeux pour la CEDEAO et également pour les pays candidats à l'adhésion et de formuler des recommandations pour un élargissement économiquement et socio économiquement avantageux pour les différentes parties et surtout pour l'effectivité de la ZLECA.
Cette rencontre de deux jours comprendra des sessions plénières au cours desquelles les participants discuteront des implications, enjeux et défis majeurs relatifs à l'élargissement de la CEDEAO par l'adhésion de nouveaux pays, aussi bien pour les différentes parties que pour la mise en œuvre de ZLECA.
Les participants comprendront les experts des Etats membres, les représentants des Communautés économiques régionales et des Organisations intergouvernementales de l'Afrique de l'Ouest. Les représentants du secteur privé et la société civile œuvrant activement sur les questions de développement de la sous-région en rapport avec la promotion de l'intégration régionale en Afrique de l'Ouest y sont également invités. Les experts du commerce extérieur, des questions douanières et de l'intégration dans les ministères en charge du commerce et ceux en charge de l'économie et des finances sont principalement ciblés au niveau des pays.

https://www.uneca.org/fr/ad-hoc-egm-wa-2018

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Terrorisme: un envoyé spécial de Trump attendu ce lundi au Maroc

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 19:30
Le360 - Brett H. McGurk, envoyé spécial du président américain Donald Trump, est attendu, ce lundi 25 juin, au Maroc. Il doit participer à une...
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Mali: au moins 32 civils peuls tués dans une attaque de "chasseurs" dans le centre du pays

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 18:45
Romandie News - Au moins 32 civils peuls ont été tués samedi dans le centre du Mali au cours d'une attaque attribuée à des chasseurs...
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Laïcité et candidatures objets de discordes au sein de l’UFP

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 18:00
Saharamédias - Les récentes déclarations du président de l’union des forces de progrès (UFP), Mohamed O. Maouloud à propos de la laïcité...
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Insécurité- Deux jeunes filles sorties de leurs lits par leurs ravisseurs

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 17:46
Mauriweb - Deux jeunes filles vivant avec leur mère à Nouakchott ont été emmenées de force par leurs ravisseurs qui seraient, selon, la maman...
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Festival du théâtre professionnel de Guelma: Neuf pièces théâtrales en compétition

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 17:25

Neuf pièces théâtrales sont en compétition dans le cadre de la 11e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel qui ouvrira lundi prochain à Guelma, a déclaré jeudi le commissaire du festival, Rachid Djerourou.
Les pièces théâtrales concernées par la compétition, qualificative, au Festival national du théâtre professionnel d’Alger, portent sur des œuvres artistiques présentées par des coopératives et des associations activant à  l’est et au centre-est du pays, a indiqué à l’APS le responsable, précisant que ce festival représente «une  phase éliminatoire» destinée aux coopératives de ces wilayas.
M. Djerourou a également relevé que les œuvres en compétition au Théâtre  régional Mahmoud-Triki sont des pièces réalisées par des coopératives et  des associations artistiques activant dans les wilayas de Constantine, Sétif, Tébessa, Jijel, Bordj Bou-Arréridj, M’sila, Boumerdès, Alger et  Guelma.
Il a poursuivi que trois artistes ont été retenus pour faire partie du jury qui aura à sélectionner la pièce théâtrale qui participera au Festival  national du théâtre professionnel d’Alger, à savoir Lamri Kaâouane, Moufida Addas et le scénariste Djaballah Hamza.
Parallèlement à cette compétition officielle, trois artistes, qui nous ont quittés récemment, à l’instar de la comédienne Sonia, l’humoriste cheikh Atallah ainsi que cheikh Laouini, comédien et chanteur de la wilaya de Guelma, seront honorés, a indiqué la même source.
Le festival rendra également hommage au défunt Azzedine Medjoubi en présentant, lors de la cérémonie d’ouverture du festival, la pièce Hafila Tassir, interprétée par une troupe de Azzaba (Skikda), ville natale de cet artiste.

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Recette: Flan de courgettes au curry

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 17:23

2 courgettes, 1 oignon, 3 œufs, 1 c. à s. de crème fraîche épaisse, 20 cl de lait, 1 c. à c. de curry, sel, poivre

Préchauffez le four th 6. Lavez les courgettes et râpez-les avec la peau. Pelez l’oignon et coupez-le finement. Dans une poêle, faites revenir l’oignon puis les courgettes.
Laissez cuire 5 à 7 minutes sans les colorer, juste pour que leur eau s’évapore. Dans une jatte, mélangez les œufs, la crème, le lait, le sel, le poivre et le curry. Dans un moule à cake beurré, placez les courgettes cuites puis versez dessus l’appareil.
Enfournez 20 minutes, en prenant soin d’ajouter un fond d’eau dans la plaque du four sur laquelle vous poserez le moule, pour une cuisson plus douce.

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Recette: Beignets de bananes

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 17:22

4 jolies bananes, 2 c. à s. de sucre, vanille en poudre, cannelle en poudre, eau de fleur d’oranger, 100 g de farine, 2 œufs, 1/3 de litre de lait, huile 

Dans une jatte, mélanger 1 bonne cuillerée à soupe d’eau de fleur d’oranger, le sucre, 1 pincée de vanille, 1 pincée de cannelle et ajouter les bananes pelées et coupées en tronçons d’environ 5 cm. Remuer de temps en temps et les laisser mariner pendant 1 heure. Préparer la pâte à frire avec la farine, 1 pincée de sel, 2 jaunes d’œufs, 2 cuillerées à soupe d’huile, 1 d’eau de fleur d’oranger et le lait. Laisser reposer 1 heure. Incorporer les blancs battus en neige. Plonger les morceaux de bananes dans la pâte, puis dans la friture bien chaude. Egoutter, sucrer, servir.

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Des kits scolaires offerts aux candidats au CEP à Abomey

24 Heures au Bénin - Sun, 06/24/2018 - 17:21

85 écoliers, candidats à l'examen du CEP (Certificat d'études primaires) des complexes scolaires d'Ahouaga et de l'EPP de Dozoémè, ont bénéficié de fournitures scolaires, ce samedi 23 juin 2018. Le don a été offert par le bureau de l'Association de développement du quartier d'Ahouaga à Abomey.
Les fournitures scolaires sont composés de boîtes à outils pour la mathématique et la couture, des stylos et cartables en plastique et autres. Selon le président d'honneur de l'Association, Dah Avounssibéssé Kpotchémè, cette initiative découle d'une réunion faite avec le bureau des parents d'élèves et les sages du quartier. Elle a eu pour objectif de définir les problèmes qui empêchent le développement de la localité.
Outre les fournitures scolaires, l'Association a procédé à la remise du compteur électrique du complexe scolaire d'Ahouaga, qui était mis hors tension à cause des factures impayées.
Le représentant des parents d'élèves et les enseignants du complexe de Ahouaga ont salué ce geste symbolique de l'Association qui est une première depuis la création de cet établissement.
Les écoliers bénéficiant des kits ont promis donner le meilleur d'eux-mêmes à l'examen du CEP.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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« La qualité de l'enseignement est révélée par les résultats scolaires (Bertin Toliton)

24 Heures au Bénin - Sun, 06/24/2018 - 17:19

« En route pour la qualité au ministère de l'enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle ». C'est le thème de l'émission « Ma Part de vérité » de ce dimanche 24 juin 2018 sur Golfe Télévision. Comme invité, l'inspecteur général de l'enseignement secondaire Bertin Toliton.

Après avoir traversé de nombreuses péripéties dues à plus de trois mois de grève, l'école béninoise a repris ses souffles. La qualité de la formation, l'enseignement reçu et les examens de fin d'année ont été au cœur des échanges ce dimanche avec l'inspecteur général de l'enseignement secondaire. « La qualité dépend de ce qui est appris à l'enfant pour réussir à l'école ou dans la vie », confie Bertin Toliton. Il ajoute que « nous ne pouvons pas dire que nous sommes à l'abri de la route de la qualité ». Il explique que le ministre Kakpo Mahougnon est un sachant de l'organisation des examens puisque venant de la direction des examens et concours. Selon lui, « tout se passe normalement au niveau des préparatifs. Il a instruit les trois directions techniques pour réfléchir sur l'exécution efficiente des programmes d'études malgré les grèves. » Nous avons fait, dira-t-il, l'échantillonnage des collèges. « Il a été ensuite question de déterminer le niveau d'exécution du programme. Après l'échantillonnage, nous avons étudié un certain nombre de paramètres. Les enseignants qui n'ont pas observé les grèves, ceux qui l'ont observé partiellement et ceux qui ont observé tout le mouvement. Les inspecteurs vont dans les écoles et étudient le niveau d'exécution tout en contrôlant les cahiers de textes, l'examen des cahiers de cours des élèves et faire des croisements », affirme l'inspecteur général. Ce n'est qu'après tout ce processus que le calendrier scolaire a été réaménagé avec tous les acteurs de la chaîne.
Selon l'invité, « Le ministre avait le point quotidien des grèves dans tous les bassins éducatifs et on savait les plus touchés. La base de rédaction du dispositif de suivi et évaluation est conçue en tenant compte des plus touchés par les grèves. ». C'est alors que renseigne-t-il, « le ministre a fait des réformes au niveau de la mise à jour des cahiers de textes. Après le cahier de texte, il y a les cahiers de présence ». M. Toliton explique que cette mission confiée aux techniciens est exécutée par les inspecteurs pédagogiques. « C'est une charge énorme pour les enseignants que de veiller à la mise à jour des cahiers des apprenants avant le passage des inspecteurs », fait-il comprendre. Il s'est agit selon l'inspecteur d'une démarche pédagogique et de suivi permanent. Outre cette étape du processus, la deuxième étape du travail d'évaluation consiste à revenir dans un établissement avec toutes les données rassemblées pour échanger avec les conseillers pédagogiques, les chefs de zone et les chefs d'établissement. Ils procèdent après étude, à la rédaction d'un dispositif qui tient compte de ce qui reste à faire pour achever les programmes, précise l'inspecteur. « Après l'inspection de classe, on met en place une remédiation avec l'enseignant inspecté. Il y a des remédiations avec l'enseignant et des remédiations groupées. Cela permet d'apporter une solution et de détecter le niveau réel du programme d'étude », soutient-il.

Les nouvelles réformes

Les équipes pluridisciplinaires qui ont fait l'inspection dans tous les départements reviennent avec les chefs d'établissement, chefs de zone et font le point et revisiter les établissements après les instructions et revenir maintenant pour élaborer le programme revisité. « Le suivi est quotidien et chaque acteur a son rôle. L'appui technique des conseillers et inspecteurs pédagogiques qui a été d'une importance capitale s'est achevé samedi dernier. C'est une innovation car autrefois, un enseignant peut rester des années sans rencontrer une seule fois un inspecteur faute de moyens » dit-il. L'inspecteur général salue la détermination des enseignants qui ont accompagné le mouvement. Bertin Toliton rappelle que « le conseiller pédagogique a un certain nombre de visites de classe dans l'année. Nous avons un problème de ressources humaines et un problème d'aiguillage de temps. Nous faisons le maximum pour que le grand nombre de classes soit visité. À part le problème de temps et de personnel, il y a l'accès à certaines zones qui est pratiquement impossible et nous avons fait un plaidoyer à ce niveau qui a reçu écho favorable auprès du ministre. À la rencontre de l'enseignant, le conseiller ou l'inspecteur fait le point de ce qui est fait et discute avec l'enseignant de ce dont il a besoin pour mener à bien ce qui reste à faire ». Le reste des apprentissages est échelonné dans un document planifié dans le temps suivant le calendrier réaménagé. Les évaluations sommatives et les examens blancs ont été planifiés dans le document. De même que la planification des activités des conseillers pédagogiques, des inspecteurs pédagogiques et des animateurs d'établissement. Tous les acteurs ont apporté leur contribution à la rédaction du nouveau dispositif. « Après la rédaction et la mise en route, chaque acteur a son paquet minimum de mise en place et du suivi quotidien du dispositif. C'est un accompagnement quotidien de ce qui est fait dans les classes », a-t-il souligné. L'inspecteur montre que tout n'a pas été rose et pour cela, les inspecteurs sont en permanence sur le terrain pour juger du document. « Nous constatons évidemment des insuffisances dans ce dispositif que nous essayons de corriger au fur et à mesure. Mêmes les enseignants qui sont sur le terrain apportent des corrections que nous intégrons, compte tenu de la pertinence », précise l'inspecteur. Pour lui, « il existe une reconnaissance des efforts que fournit le ministère pour faire ce qui est possible de faire. Nous reconnaissons le génie des enseignants dans la mise en application de ce dispositif. Les efforts sont faits par le gouvernement pour satisfaire les besoins qui contribuent à la motivation des enseignants ». L'inspecteur pense qu'avec toutes ces dispositions, il n'est pas question d'avoir un résultat faible. « Au niveau de l'exécution du programme scolaire, nous pouvons dire que la qualité est révélée par les résultats scolaires ». L'inspecteur général de l'enseignement secondaire montre qu'à « la date du 14 mai 2018, certains enseignants du public étaient déjà à 60 voire 80% d'exécution du programme ». Il invite les élève à travailler en tenant compte de ce que leur enseignent les encadreurs. Selon Bertin Toliton, « les examens seront bien réalisés. Les enfants ont tout ce qu'il faut pour s'en sortir aisément. Ils seront évalués suivant le programme réaménagé »
Giscard AMOUSSOU

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Implantation de l’UPR: Aleg, une forteresse de racisme et d'injustice

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/24/2018 - 17:16
Le Calame - Il y a quelques mois, Mohamed Ould Abdel Aziz a formé une commission à laquelle il a confié la délicate mission de refonder le...
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Sans daech pour brouiller les ondes: Les radios fleurissent à Mossoul

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 17:13

Sous la férule de l’organisation terroriste État islamique, les stations ont été fermées durant trois ans et écouter la radio pouvait valoir de sévères châtiments corporels.

À l’époque des jihadistes, il n’existait qu’une seule radio à Mossoul et elle diffusait d’austères chants religieux et de la propagande militaire. Aujourd’hui, dans cette ville du nord irakien, de jeunes animateurs font bouger les ondes. Sur One FM, Ahmad al-Jaffal parle de réconciliation nationale en citant Nelson Mandela, Oudaï al-Azami réclame des comptes sur la reconstruction à un communicant de la mairie, tandis que Nour Taï reçoit dans son émission le nouvel artiste qui monte à Mossoul. Le tout entrecoupé des derniers tubes irakiens ou arabes et de jingles électro. La voix est assurée, les questions claires et les transitions dignes d’une professionnelle. Pourtant, à 16 ans, Nour n’avait jamais animé d’émission avant la naissance de One FM en février, six mois après la “libération” de Mossoul, principal fief irakien du groupe État islamique (EI). Sous la férule de cette organisation jihadiste, les stations ont été fermées durant trois ans et écouter la radio pouvait valoir de sévères châtiments corporels. L’unique passage de Nour devant un micro, c’était il y a un an lors d’un concours d’animation inédit organisé par la radio al-Ghad, créée en 2015 dans la grande ville kurde voisine d’Erbil, par des déplacés de Mossoul.
À l’époque, elle disait rêver de rejoindre une équipe radio, “un média qui touche tout le monde”.

Ruche d’animateurs
Objectif atteint. Elle officie désormais dans le studio exigu de One FM, toujours guidée par son père qui ne la quitte pas d’une semelle. Car Nour est aveugle depuis qu’une maladie lui a fait progressivement perdre la vue en 2015. En animant tous les mercredis son émission, sobrement intitulée “Nour”, elle veut “donner de l’espoir aux gens, notamment ceux qui souffrent d’un handicap”. “Je veux dire à tout le monde qu’on peut tous apporter quelque chose et aussi réaliser nos rêves”, confie-t-elle à l’AFP depuis son studio. Derrière la porte insonorisée, la station qui se dit “la première radio irakienne indépendante” est une véritable ruche: de jeunes animateurs, hommes et femmes, s’activent pour produire et diffuser -bénévolement pour le moment- 24 heures par jour de programmes, également filmés pour le site internet et les réseaux sociaux. Le matériel d’enregistrement et de diffusion a été acheté par l’équipe qui a mis ses économies en commun. Certains confient avoir vendu leurs biens personnels pour aider à monter One FM. Quant à la ligne éditoriale, la jeune rédaction dont des membres travaillaient pour des médias locaux avant l’EI, la veut claire. “One FM veut dénoncer la violence et l’extrémisme et cultiver les esprits”, explique à l’AFP Yasser al-Qaissi, 28 ans, le chargé de communication.
À Mossoul aujourd’hui, dit-il depuis une petite régie sommaire, il faut “effacer l’idéologie terroriste et en finir avec les maladies de notre société comme le confessionnalisme et le racisme”. Les trois années d’occupation jihadiste “ont créé un vide de la pensée”, se désole Ahmad al-Jaffal, un journaliste de 30 ans. “Avec mon émission, j’essaye de promouvoir les idées de coexistence, de compréhension mutuelle et d’acceptation de l’autre”, poursuit ce Mossouliote qui anime “Respire un bon coup” sur One FM.

Éduquer et divertir
Éduquer mais aussi divertir, c’est l’ambitieux programme que partagent toutes les dernières-nées des ondes locales. Alors que l’EI régnait encore à Mossoul, al-Ghad se montait à Erbil, suivie par Start FM. Après la “libération”, One FM a ouvert à Mossoul et Mosul FM a commencé à émettre depuis la province voisine de Dohouk. Toutes diffusent pour le moment en analogique et donc seulement dans la zone de Mossoul et ses alentours mais on est déjà bien loin des deux seules stations étatiques de l’époque de Saddam Hussein. Avant même l’EI, les jihadistes d’Al-Qaïda et d’autres groupes radicaux faisaient la loi dans certains secteurs de Mossoul et visaient régulièrement les journalistes ou les animateurs de programmes de divertissement. “Cette fois-ci, il faudra une supervision gouvernementale pour qu’aucune des nouvelles stations ne soit utilisée à des fins politiques ou religieuses, surtout que les sources de financement de certaines d’entre elles ne sont pas connues”, prévient le sociologue Mohammad Salem. Dans les rues de Mossoul, beaucoup se félicitent d’avoir retrouvé un média pour s’évader un moment, loin des décombres de la ville ravagée et du marasme économique ambiant. Toute la journée et une partie de la nuit, Mohammad Qassem parcourt Mossoul à bord de son taxi blanc. Pour cet Irakien de 27 ans, “les programmes musicaux et de divertissement des radios sont des compagnons de route précieux”. “On peut enfin écouter toutes les chansons dont l’EI nous a privés pendant trois ans”, se félicite-t-il, avant de remonter au maximum le son de son auto-radio.

Mohammad SALIM (AFP).

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En moins d’une semaine à Annaba: Plus d’une centaine de harragas interceptés

Algérie 360 - Sun, 06/24/2018 - 17:08

Profitant d’une mer calme en ce début de saison estivale, soixante-treize candidats à l’émigration clandestine, dont plusieurs mineurs ont été interceptés par les gardes-côtes de la station maritime de Annaba, relevant de la Ve région militaire, durant les deux journées du week-end dernier, au large des côtes annabies.
Dès la journée de jeudi, les gardes-côtes ont mis en échec les tentatives de 60 harragas, âgés de 15 à 50 ans, ayant pris la mer à partir des plages de Sidi Salem, commune d’El Bouni, Oued Bagrat et Aïn Barbar, commune de Seraïdi. Originaires des wilayas limitrophes de celle de Annaba, telles Souk Ahras, Guelma et El Tarf mais aussi du centre-est et du centre du pays à l’exemple de M’sila, Bordj-Bou-Arreridj, Alger et Blida, les 60 harragas étaient entassés dans quatre barques traditionnelles avec moteurs de 40 chevaux.
La cinquième tentative avortée par les policiers de la mer a eu lieu dans la matinée de ce dernier vendredi. Elle comprenait treize jeunes âgés de 17 à 35 ans venant de plusieurs wilayas du pays. Ayant eu vent d’arrivées ces derniers temps de plusieurs jeunes sains et saufs sur les côtes sud italiennes, la quasi-majorité de ceux interceptés ce week-end voulaient suivre leur exemple et atteindre les côtes sardes (Italie) à la recherche, selon eux, d’une vie meilleure. Sauf que des dizaines parmi ceux qui avaient tenté l’aventure auparavant n’ont jamais atteint la Sardaigne.
Il y a ceux disparus depuis des années dont les parents, éplorés et inconsolables, sont toujours à leur recherche pour faire leur deuil. Mais il y a aussi ceux, à la fleur de l’âge, dont les corps ont été rejetés par la mer loin de leurs wilayas d’origine. Le phénomène de l’émigration clandestine qui prend des proportions alarmantes ces dernières années, n’a pas totalement pour cause des raisons économiques. «Sa criminalisation n’a pas eu les effets escomptés. Il doit en principe réveiller les consciences des autorités et des élus pour traiter ses origines à la base et permettre aux jeunes algériens de vivre leur vie en harmonie, loin des idées rétrogrades de ceux qui préconisent aux jeunes de vivre une vie d’ascète», estime-t-on dans les milieux juvéniles de Annaba, mais certainement dans d’autres régions du pays.
Pour rappel, il y a moins d’une semaine, profitant des fêtes de l’Aïd el-Fitr, trois embarcations de fortune ayant à bord 32 candidats à l’émigration clandestine ont été interceptées aux premières heures de la journée de ce dernier dimanche par les gardes-côtes de la station maritime de Annaba, à une dizaine de milles de Ras-El-Hamra.
Ainsi, quelque 105 harragas ont été interceptés mais le nombre de ceux qui ont atteint les rives sud de la Sardaigne (Italie) reste aussi élevé, selon des parents des harragas, informés par leurs enfants de leur «réussite».
A. Bouacha

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