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Afrique

Le Big data donne-t-il raison à Marx ?

Afrik.com - Mon, 06/11/2018 - 16:38
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HCA: des œuvres de Mouloud Mammeri traduites en tamazight en librairie

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 16:33

Un coffret, contenant trois œuvres littéraires traduites en tamazight de l’écrivain Mouloud Mammeri, est mis en vente  dans l’ensemble des bibliothèques de lecture publique, a indiqué, samedi, le  Haut-commissariat à l’amazighité (Hca) dans un communiqué. Initiée à l’occasion de la célébration du centenaire d’un des intellectuels algériens les plus brillants de sa génération, la traduction du Sommeil du juste (Taguni n win ighezzan), Le banquet (Adraw) et La traversée (Tazgrawt), respectivement par Djamel Laceb, Habib Allah  Mansouri  et Mohand Arab Aït-Kaci, est une opération qui vise à «relayer la  connaissance et donner un large écho» à l’œuvre de Mouloud Mammeri (1917-1989).

Le coffret est également disponible sur le réseau des éditions Dar El-Outhmania, détentrice des droits d’édition sur les œuvres de Mammeri,  précise le communiqué.      Natif de Taourirt Mimoun, une localité située sur les hauteurs de Tizi-Ouzou, Mammeri demeure un des écrivains les plus illustres de la  littérature d’expression française. Il a publié plusieurs œuvres, notamment la Colline oubliée, son premier  roman paru en 1952, le Sommeil du juste et l’Opium et le Bâton, autre roman chef-d’œuvre sur la guerre de Libération nationale, publié en 1965 et adapté au cinéma.  Auteur du premier livre sur la grammaire de langue amazighe (Tajerrumt n  tamazight), Mammeri a écrit également des pièces de théâtre, notamment le  Foehn sur la Bataille d’Alger (1957), mise en scène par Jean-Marie Boeglin et déroulée pour la première fois en 1967 sur les planches du Théâtre national algérien (TNA) et la Cité du soleil, écrite en 1987, montée et présentée en 2017 à Béjaïa

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Francophonie : Michaëlle Jean perdra-t-elle à Nouakchott ?

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 06/11/2018 - 16:33
Jeune Afrique - Le Rwanda a prévu de saisir l'occasion du prochain sommet de l'Union africaine, du 25 juin au 2 juillet à Nouakchott, pour...
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Les Algériennes courent pour leurs droits

Afrik.com - Mon, 06/11/2018 - 16:27
Categories: Afrique

Mauritanie: limogeage du ministre des Affaires étrangères

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 06/11/2018 - 16:25
Le360 - Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, a procédé ce lundi, à un remaniement de son gouvernement, marqué par le limogeage...
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Mghabar

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 16:01

Farine, 500 g de margarine, 1 verre et demi de sucre glace, 2 œufs, 1 pincée de levure chimique, eau de fleur d’oranger

La farce : Un paquet de biscuits secs, 1 poignée de cacahuètes moulues, halwa turc, confiture 
Dans un récipient, mettre la margarine en pommade, le sucre glace, les œufs et la pincée de levure. Melanger le tout très bien pour avoir une belle crème. Ajouter la farine de manière à pouvoir ramasser la pâte, puis mouiller avec un tout petit peu d’eau de fleur d’oranger pour obtenir une pâte souple. Former ensuite des petites boules de 3 cm de diamètre, laisser reposer. Entre-temps, préparer la farce. Dans un récipient, mettre les biscuits secs moulus, les cacachuètes et la halwa turc émiettée, ramasser le tout avec de la confiture, jusqu’a obtention d’une farce molle. Abaisser les boules de pâte avec la paume des mains, puis mettre un peu de farce au milieu. Remonter les bords et fermer. A l’aide d’une pince à neqqache, pincer sur toute la surface des gâteaux, en allant du bas vers le haut. Les disposer ensuite sur un plat allant au four. Une fois cuits, saupoudrer de sucre glace.

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Rani Labas de Fadi Tolbi: histoire d’un harrag

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:56

Fadi Tolbi est de mère syrienne, né à Alep, en Syrie, et résidant aux Emirats arabes unis. Plusieurs de ses chansons traitent des sujets d’humanisme, de patriotisme et d’actualité dans la société arabe ou dans le monde.
Il appelle à la vertu et à l’art conservateur à travers des musiques qui pénètrent les foyers arabes très aisément.
L’artiste algérien Fadi Tolbi vient de lancer un nouveau clip, Rani labas, réalisé par Abdulrahman Kindo. Ses paroles, choisies par Souad Bellili, décrivent avec grande délicatesse la détresse des harraga  à l’étranger. Rani labas (je vais bien) raconte l’histoire d’un migrant clandestin vivant le désarroi, sans toit, sans travail, sans visions et sans le moindre réconfort.
«Comment vont mes chers père et mère ? Je vais bien et rien ne me manque, la vie enfin me sourit», les mêmes répliques que répètent un migrant clandestin en Europe à ses parents en Algérie à chaque communication. Obligé de les rassurer, il leur fait croire qu’il mène la vie de roi, mais ce ne sont que des châteaux de sable vite écroulés à la fin de chaque appel.
«Chaque fois que j’entends parler des catastrophes qui touchent la jeunesse arabe lors de la traversée de la Méditerranée, mon cœur  fond», déclare l’artiste. «Aujourd’hui, le rôle de l’artiste est crucial dans la sensibilisation sur ce phénomène qui cause tristesse et douleur aux familles des victimes», dit-il. «La harga», une étape devenue essentielle dans la vie de beaucoup de jeunes. Des Algériens, à la fleur de l’âge, montent des bateaux de fortune abandonnant tout derrière eux pour un avenir inconnu. Toujours prêt à brandir la drapeau national à l’étranger, Fadi Tolbi s’est fait remarquer grâce à sa touche personnelle dans un programme télévisé, «Qiam», de la chaîne émiratie Sharjah TV. La chanson développe les valeurs humaines à inculquer aux jeunes partout dans le monde arabe. «je suis très content d’avoir participé à ce programme ‘‘Qiam’’ (valeurs)  qui véhicule des messages positifs», dit-il.
Ce mois de Ramadhan est l’occasion pour lui qui est monchid de sortir un bouquet composé de cinq anachid ou prières exprimant les vœux à tout musulman observant le jeûne.
B. T

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Marchés publics en Algérie: enjeux administratifs, budgétaires, économiques et sociaux

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:56

Les enjeux économiques et sociaux liés aux marchés publics dans les pays en voie de développement sont importants : l’Algérie n’y échappe pas.
Dans le cadre d’un projet impulsé par une autorité publique, un bailleur de fonds ou résultant d’un partenariat privé-public, les marchés publics ont un impact majeur sur le budget. Ils représentent également une activité opérationnelle considérable, caractérisée par des étapes et des procédures-clés, dont la définition des besoins, l’appel à la concurrence, l’attribution du marché, le contrôle et le suivi du marché, la livraison des biens ou des services et le paiement final. De par leur importance, les marchés publics recèlent donc une multitude d’enjeux tous aussi stratégiques les uns que les autres.
Ces enjeux sont généralement considérés sous quatre dimensions :
• enjeux administratifs majeurs (sur le plan de la gouvernance) ;
• enjeux budgétaires (concernant la gestion optimale des fonds publics) ;
• enjeux économiques (liés à la croissance et à la compétitivité économique des entreprises) ;
• enjeux sociaux (de nature sociopolitique, confiance du public, intégrité des institutions publiques «corruption» et des entreprises «collusion»).
Pour faire face à ces enjeux, plusieurs pays, dont l’Algérie, se sont dotés d’un cadre normatif sur les marchés publics. Mais un cadre normatif suffit-il ?
Dans ce domaine comme dans bien d’autres, un cadre normatif, aussi complet qu’il puisse être, ne connaît son efficacité qu’à travers les actions de ceux qui doivent en respecter les termes.
Eliminer les risques et les
vulnérabilités, notamment ceux afférents à la corruption
La formation a donc pour objet :
• l’étude des éléments moteurs qui déterminent le cadre à partir duquel doit s’articuler le comportement des personnes qui interviennent dans le domaine des marchés publics ;
• la sensibilisation et l’acquisition des meilleures pratiques dans la gestion des marchés publics, où la «bonne gestion des processus» doit être associée à une «gestion vigilante des vulnérabilités et des risques» qui pèsent sur ceux-ci, et ce, au regard des différents enjeux déclinés ci-devant.
L’objectif général de cette formation est de permettre au participant de comprendre les étapes de passation d’un marché public et de développer des capacités lui permettant de mettre en œuvre ce processus dans le cadre d’un projet.
Les objectifs spécifiques sont les suivants :
• acquérir un cadre général de référence visant à procurer une compréhension optimale du domaine des marchés publics ;
• identifier et analyser les facteurs (administratifs, juridiques, sociaux, technologiques, économiques, financiers et budgétaires) qui influent sur l’efficience des systèmes de passation des marchés publics ;
• acquérir une approche systémique des processus contractuels permettant de mieux interagir avec les enjeux liés à la passation des marchés publics et de déterminer les mesures ou les moyens pour y faire face.
• Réfléchir aux différentes techniques disponibles pour atténuer, voire éliminer les risques et vulnérabilités du processus contractuel, particulièrement ceux afférents à la collusion et à la corruption.
Djilali Hadjadj

A quand la dématérialisation de la commande publique en Algérie ?
La France vient de s’y mettre : les procédures de passation des marchés publics seront obligatoirement dématérialisées au 1er octobre de cette année. Les collectivités, l’Etat et les entreprises vont devoir adapter leurs pratiques au tout numérique, sous peine de passer à côté des opportunités de la commande publique. C’est une révolution culturelle qui se prépare dans l’univers de la commande publique.
A compter du 1er octobre 2018, la dématérialisation va s’imposer dans les procédures de passation des marchés, là où le papier a longtemps été roi. Dès 25 000 euros, les candidats à un marché public auront pour obligation de remettre leur offre sous forme numérique. Finis les piles de documents à scanner, les plis que l’on décachetait cérémonieusement en commission d’appel d’offres…
Désormais, tous les échanges entre les entreprises et le pouvoir adjudicateur se feront par le truchement d’une plate-forme de marché en ligne, baptisée «profil d’acheteur». Et pas moyen d’échapper à ces nouvelles modalités qui restaient jusqu’à présent optionnelles : la date d’entrée en vigueur de la réforme est inscrite noir sur blanc dans le décret du 25 mars 2016 qui a fixé les nouvelles règles de la commande publique, en application d’une directive européenne de 2014.
Un plan de transformation numérique de la commande publique a été rédigé par l’Etat.
En Algérie, c’est encore très loin d’être le cas : la dernière mouture du code des marchés publics (2015) ne le prévoit pas.
L’Algérie — qui a régulièrement adapté son «code» aux évolutions et à la modernisation de celui qui est en vigueur en France — traîne la patte et ne semble pas décidée à prendre le chemin de la dématérialisation. Dommage pour la transparence dans la gestion de la commande publique !
D. H.

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Aid Al Fitr : Ciel dégagé, hausse de température

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:54

Une hausse de température a été prévue les deux prochains jours de l’Aid Al Fitr .

Le mercure grimpera vendredi et samedi prochains, ou l’été fera officiellement son entrée depuis les régions de l’ouest s’étendant aux région intérieures puis l’est, où les températures seront estimées à 30°.

L’office national de météorologie a diffusé un butin météo spécial annonçant une forte hausse des températures dans les wilayas Nord-Est et intérieures du pays à partir de ce jeudi.

La température oscillera les 28 ° ce jeudi à l’ouest, tandis que l’est ainsi le centre auront entre 26 et 32° du samedi jusqu’à la fin de la semaine prochaine.

S’agissant du Sud, le mercure grimpera jusqu’à 44°.

Radia Merbah / version française: Rachel Hamdi

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Libération de 4 jeunes hommes rapatriés du Sénégal dans le cadre de l’affaire "Attijari Bank"

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 06/11/2018 - 15:51
Adrar-Info - La sécurité mauritanienne a libéré dans la nuit de samedi/dimanche, quatre jeunes hommes arrêtés, il y'a deux jours au...
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Naàma: les artistes honorés

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:45

C’est dans une ambiance artistique ramadhanesque que les artistes de la wilaya de Naâma ont été honorés à l’occasion de la célébration de la Journée de l’artiste, commémorant le 60e anniversaire de l’assassinat du chantre Ali Maâchi, lâchement assassiné, rappelons-le, par le colonialisme français le 8 juin 1958. C’est à la maison de la culture Ahmed-Chami de la wilaya, que s’est déroulée  la cérémonie présidée par le premier responsable de la wilaya, M. Mohamed Hadjar, en présence des autorités civiles et militaires. L’animation de cette soirée a été marquée par la présentation de troupes musicales et  d’artistes, qui, dans une ambiance particulière, familiale et artistique et dans un spectacle grandiose, ont fait rafraîchir les corps et fait oublier le stress d’une longue et dure journée chaude de carême.
Une rencontre conviviale spontanée qui a trait au rôle de l’artiste au sein de la société étant donné que ce dernier  en est le porte-parole, l’intermédiaire,    l’interprète, et son rôle consiste à faire passer un message bien déterminé. Pusieurs figures de différentes générations, de différents arts, des littéraires même, des magiciens et des cinéastes, des artistes-peintres, des musiciens, ont pris part à cette cérémonie, où les retrouvailles étaient merveilleuses pour certains, voire le meilleur prix offert à d’autres, d’être  honorés par les autorités locales qui n’ont pas manqué de saluer au passage les jeunes créateurs qui ont  produit par leur talent et leur savoir-faire et contribué au développement de la vie artistique et culturelle de la wilaya. Ne dit-on pas à tout seigneur, tout honneur ?
B. Henine

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Baklawa (façon tartelettes)

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:42

Pour 24 mini-tartelettes 200 g d’un mélange de noix, amandes mondées et pistaches, 100 g de sucre, une pincée de cannelle, ½ c. à s. d’eau de fleur d’oranger, miel, eau de fleur d’oranger, pâte filo Préparer la farce :
Préparer la farce : Dans un bol, mélanger les fruits secs préalablement hachés grossièrement. Ajouter la cannelle et mouiller avec l’eau de fleur d’oranger. Réserver.
Préparer les tartelettes : Découper la pâte filo en cercles ou en carrés. Placer 4 feuilles de pâte filo légèrement badigeonnées de beurre dans les moules à tartelettes. Vous devez les froisser afin de les faire adhérer aux moules. Couvrir de papier cuisson et remplir de haricots ou de poids pour tartes. Précuire 10 min dans un four préchauffé à 1800 C. Remplir de farce et remettre au four. Une fois cuites, arroser de miel parfumé à l’eau de fleur d’oranger.

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Neqqache

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:40

3 mesures de farine, 1 mesure de beurre fondu et refroidi, 1/2 mesure de sucre glace, 1 œuf, 1 pincée de sel, 1 c. à c. de levure chimique, eau de fleur d’oranger + eau

Pour la pâte de dattes:
200 g de pâte de dattes, une c. à c. de cannelle en poudre, 4 cuillères à soupe d’huile, eau de fleur d’oranger

Dans un récipient, mettre la farine, le sel, le sucre, la vanille et la levure et bien mélanger. Ajouter le beurre et bien sabler entre les mains et rajouter l’œuf. Mouiller avec l’eau de fleur d’oranger et de l’eau pour obtenir une pâte molle. Abaisser la pâte sur 1 mm d’épaisseur, découper des carrés, mettre un boudin de farce et rouler. Travailler tout le pourtour et le dessus à l’aide d’une pince à naqqache. Mettre sur une plaque allant au four et cuire dans un four préchauffé à 180°C jusqu’à ce que les gâteaux prennent une couleur légèrement dorée.

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Sablés à la confiture et aux pistaches

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:38

1 verre = 250 ml, 125 g beurre, 3/4 verre sucre brun, 1 œuf, 1+ 3/4 verre de farine, 1/4 verre de farine pour gâteaux à levure incorporée

Pour la décoration : Confiture, chocolat fondu, pistaches concassées.
Au batteur électrique, bien mélanger le beurre, le sucre et l’œuf. Ajouter les 2 farines en 2 fois. Bien pétrir la pâte. Recouvrir d’un film alimentaire et mettre au réfrigérateur au moins 30 min. Abaisser sur une surface farinée à 3 mm d’épaisseur. Couper des anneaux à l’aide d’un emporte-pièce. Cuire dans un four moyen pendant 12 min. Etaler du chocolat ou de la confiture sur un anneau puis assembler les anneaux 2 par 2. Couvrir une partie de chocolat puis de pistaches Laisser sécher.

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Bniwen

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:37

350 g de biscuits moulus, 2 cuillères à café de cacao, 150 g de beurre ramolli, 80 g de noix de coco finement moulue, 200 g de chocolat noir fondu

Pour la décoration
200 g de chocolat noir + 10 cuillères à soupe de lait, 200 g de biscuits grossièrement moulus.
Pour 28 pièces 

Dans un saladier, mélanger les biscuits, la noix de coco et le cacao. Ajouter le chocolat fondu, le beurre et très bien pétrir pour obtenir une pâte. Faire 28 boulettes avec cette dernière.
Préparer le glaçage
Faire fondre le chocolat avec le lait au bain-marie. Tremper vos boulettes dans le chocolat et les enrober de biscuits.

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Dans le prolongement de l’appel à Bouteflika à renoncer au 5e mandat : Naissance du mouvement “Mouwatana”

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:27

“L’élection présidentielle de 2019, bien que cruciale, ne peut être qu’une étape”, soulignent les initiateurs du mouvement.

Revigorés sans doute par l’écho de leur initiative, l’appel au président de la République pour renoncer au cinquième mandat, les 14 cosignataires de l’appel, essentiellement des figures de l’opposition et de la société civile, ont décidé de se doter d’un espace de concertation et d’initiatives pratiques.
Dénommé “citoyenneté-démocratie” (Mouwatana), cet espace mis en place à l’issue d’une réunion tenue au siège de Jil Jadid, à Alger, le 6 juin dernier, vise à “contribuer au véritable changement dont a besoin le pays”, selon un communiqué publié hier par ses signataires. “L’objectif étant de rassembler le maximum d’Algériens pour hâter le départ de ce régime et préparer les véritables conditions d’une transition pacifique”, souligne ce texte signé par, entre autres, l’avocat Me Salah Dabouz, l’économiste Ali Benouari, le journaliste Saâd Bouokba, Amira Bouraoui, Soufiane Djilali, Zoubida Assoul et Ahmed Benbitour. Selon eux, le départ de Bouteflika, comme réclamé dans l’appel — mais qui n’a pas reçu de réponse jusqu’à l’heure, tout comme d’ailleurs la demande d’audience du groupe des “19” en novembre 2016, faut-il sans doute le rappeler —, ne signifie pas un changement de système de gouvernance. “L’Algérie a besoin de réformes politiques et institutionnelles de grande ampleur. Cette tâche ne peut être menée que par un mouvement transpartisan, soutenu par une grande partie de la population, et ayant des objectifs clairs”, souligne le communiqué. “Dans cette optique, l’élection présidentielle de 2019, bien que cruciale, ne peut être qu’une étape. C’est à l’issue de cette épreuve que s’établiront les nouveaux rapports de force qui pèseront sur l’avenir du pays.”

“Fuite en avant diplomatique”
S’ils observent le mutisme des autorités face à leur récente initiative, les signataires n’en tirent pas moins quelque satisfaction au regard de l’écho qu’elle a eu auprès de l’opinion nationale et internationale, selon eux. “Comme attendu, aucune réaction officielle n’a été enregistrée en réponse à notre démarche.” Cependant, pour éviter l’effet “boule de neige”, le pouvoir a pratiqué la politique de la fuite en avant diplomatique face à une initiative connexe. Les signataires ont décidé de se doter d’une instance de coordination, appelée à être élargie, et dont le rôle de porte-parole est confié à la présidente du l’Union pour le changement et le progrès (UCP), Zoubida Assoul. Ses objectifs : “faire un diagnostic précis de la situation du pays”, “élaborer un programme commun pour les réformes politiques, y compris la préparation d’un projet de Constitution-modèle”, “établir un plan de sortie de crise avec un échéancier”, “prendre de nouvelles initiatives en vue de  maintenir la pression contre le 5e mandat” et, enfin, “mettre en place une charte éthique et des règles de fonctionnement pour ouvrir ‘Mouwatana’ aux citoyens”.

Karim K.

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Une prolongation de 25 ans pour la licence d’exploitation de Total et Repsol du champ gazier TFT

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:27

Sonatrach et sa filiale Alnaft ont signé un nouveau contrat de concession pour une durée de 25 ans avec le groupe pétrolier français Total et le groupe espagnol Repsol, dans le but de poursuivre l’exploitation du champ gazier de Tin Fouyé Tabankort (TFT), annonce Total dans un communiqué publié aujourd’hui.

Les parties prenantes réaliseront des investissements de forage et de développement qui permettront de maintenir la production du champ qui s’élève actuellement à plus de 80 000 barils équivalent pétrole par jour pendant 6 ans.

« En tant que partenaire historique du champ de TFT, Total continuera à apporter le meilleur de son expertise technologique afin de poursuivre la valorisation des réserves de ce champ gazier. Ce projet s’inscrit dans la stratégie du groupe de développer sa production de gaz dans des conditions compétitives », a déclaré Patrick Pouyanné, PDG de Total.

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Aïssa Manceur, expert en agriculture et conseiller à l’export: «L’Algérie n’est pas prête à exporter»

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:23

Le refoulement par la Russie de frets de pommes de terre cultivées en Algérie à cause du taux élevé de résidus de pesticides qu’elles contiennent a largement ouvert le débat sur l’utilisation intensive de ces produits chimiques. Un usage incontrôlé, qui risque de freiner sérieusement l’exportation des produits agricoles.

Samira Azzegag – Alger (Le Soir) – L’alerte a été donnée par plusieurs associations nationales, qui tentent tant bien que mal de sensibiliser l’opinion publique, mais également le gouvernement qui doit prendre des mesures concrètes et rapides surtout, avant que l’image des produits agricoles ne soit définitivement ternie.
Contacté hier par nos soins, Aïssa Manseur, expert en agriculture et conseiller à l’export, a estimé qu’il faut au préalable se préparer avant d’ambitionner d’être un pays exportateur de produits agricoles. «L’export est un processus qui n’est pas du tout développé en Algérie. Pour le faire, il faut répondre à plusieurs critères.»
Selon lui, il est primordial d’arriver à faire une production pérenne en quantité suffisante et de bonne qualité afin d’honorer les engagements vis-à-vis de l’importateur étranger. «Chose qui s’avère impossible actuellement, puisque les conditions exigées par les pays importateurs ne sont pas réunies». Plus explicite, il ajoute que le produit destiné à l’exportation doit répondre aux normes internationales, en matière de qualité et être compétitif sur les marchés nationaux.

Et pour réussir le processus d’exportation, il faut également trouver des marchés où vendre le produit local. Pour cela, explique le même expert, «il y a lieu de mettre en place tout un dispositif de promotion de nos produits, notamment participer à des foires et salons et sans omettre le rôle des représentations diplomatiques algériennes à l’étranger». M. Manceur évoque toute une batterie de mesures incitatives à engager, entre autres mettre à jour la réglementation, les mesures douanières encourageantes et avoir également une base logistique pour assurer notamment le fret. Il propose, toutefois, la création d’agropole, qui peut être une solution pour développer les filières agricoles et promouvoir l’exportation des produits. Il s’agit d’un espace qui regroupe tous les intervenants d’une filière donnée en amont et en aval du processus de production.
A noter que l’Algérie a été parmi les premiers pays à interdire les cultures OGM (organisme génétiquement modifié).
S. A.

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Professeur Zidouni (Président du Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme): «Nous sommes à un stade où il faut vraiment sévir»

Algérie 360 - Mon, 06/11/2018 - 15:19

Contrevenir à l’interdiction de fumer dans des lieux publics exposera son auteur à des sanctions lourdes prévues par la nouvelle loi sanitaire qui a été particulièrement «intensifiée» sur ce plan avec l’introduction de mesures coercitives et de dispositions qui se sont longtemps fait attendre par, entre autres, le Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme que préside le professeur Zidouni.

Fumer dans les lieux publics est donc désormais frappé du sceau de l’interdit par la loi sanitaire entérinée tout dernièrement. C’est une percée qui vient conclure une longue attente, pour le professeur Zidouni, tout heureux de voir que les propositions élaborées par son comité ont été retenues dans les différentes moutures de cette loi sanitaire avant d’être finalement adoptées. Cette loi sanitaire est beaucoup plus précise, concernant le tabagisme, que ce qui existait déjà dans l’ancienne loi, relevait le professeur Zidouni, hier, sur la Chaîne 3. «Cette nouvelle loi va vraiment au fond des choses. Par exemple, les amendes sont fixées et les dispositions prises à l’encontre des contrevenants sont bien précisées. Bien sûr, il faudra attendre les décrets pour permettre son application, mais on peut déjà estimer que cette loi est une avancée notable dans le domaine de la protection contre l’intoxication tabagique, parce que maintenant il faut non seulement amener les fumeurs à ne pas fumer, mais il faut surtout protéger la population des non-fumeurs soumise au tabagisme passif», a argumenté le président du Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme qui dit également espérer que les dispositions seront, cette fois, appliquées et ce, même si le comité a pris les devants, a révélé le professeur Zidouni.

En effet, le Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme a soumis un projet d’arrêté interministériel qui regroupe, le commerce, la santé et l’intérieur «parce que le comité veut décentraliser l’applicabilité des dispositions réglementaires. Avec cet arrêté, en attente de signature mais qui a été approuvé par les ministres concernés, le comité veut responsabiliser les autorités à un niveau régional. Nous avons proposé la création de brigades mixtes pour veiller à l’application de cette loi, et puis nous avons même proposé une série de mesures qui nous permettront d’évaluer et d’analyser l’applicabilité de ces dispositions réglementaires. Cet arrêté interministériel vient en complément de la loi sanitaire», a expliqué le professeur Zidouni avant de poursuivre avec un réquisitoire contre les industriels du tabac, la vieille SNTA, les sociétés mixtes qui commencent à prendre de l’ampleur chez nous, et les contrebandiers. «En fait, nous menons une double bataille. Une première sur le plan réglementaire pour l’application de la loi, et une deuxième qui consiste en une lutte sans merci contre les contrebandiers qui sont eux-mêmes encouragés par les multinationales du tabac», a poursuivi le président du Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme.

La lutte contre le tabagisme est un combat qui peut s’avérer long, mais à suivre les conseils du professeur Zidouni, il faut d’abord «maintenir la sensibilisation qui peut, dans son volet prévention, permettre de diminuer le nombre de personnes qui s’adonnent à l’intoxication tabagique, mais il faut également être coercitif parce que nous sommes passés à un stade où il faut sévir», estime le président du Comité de prévention et de sensibilisation aux dangers du tabagisme qui rappelle que le cancer bronchique atteint la proportion de 16 à 17 cas pour 100 mille habitants, ce qui en fait un réel problème de santé publique.
L’objectif déclaré par le comité, selon son président, c’est d’arriver à diminuer le nombre de fumeurs de 10% par an au début puis 30% d’un programme que va mener le ministère de la Santé à travers l’augmentation du nombre de consultations d’aide au sevrage tabagique.
Az. Maktour

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