Le Parti du Renouveau Démocratique (PRD) met à la disposition des populations plusieurs espaces pour suivre tous les matchs de la Coupe du Monde Russie 2018. Et ce, afin de permettre à la jeunesse de la ville de Porto-Novo et des communes environnantes de vivre des moments de loisirs époustouflants.
Après l'expérience de la Ligue des Champions, le président du PRD Me Adrien Houngbédji renoue avec son engagement à offrir aux jeunes d'agréables instants de football. Il offre donc à la population des espaces avec écrans géants. Parmi les espaces sélectionnées, il y a le CEMAAC à Koutongbé, la Maison Internationale de la Culture (MIC), le Siège national du PRD, à Houinmè Iré-Akari, la Maison des jeunes de Djègan-Kpèvi, la Place publique de Tokpota II Davo, dans les 2e , 3e , 4e, 5e arrondissements de Porto-Novo. Toujours dans la commune d'Avrankou, des espaces sont également offerts au public au siège du Bureau d'arrondissement central et à la Place publique de Malé-Houngo à Atchoukpa .
La jeunesse de Cotonou aussi bénéficie du PRD, des espaces pour suivre les différents matchs. Il s'agit du siège du PRD de Dandji, à Midombo et de Sodjatinmè, situé dans les 1e, 3e, et 4e arrondissement de Cotonou.
Dans la commune de Semè-Podji, il y a espaces réservés dans les arrondissements d'Agblangandan, d'Ekpè, de Sèmè-Podji, de Djrègbé, de Tohoue et d'Aholouyème et autres.
« Merci Président Adrien Houngbédji. Longue vie à toi… », ce sont les mots qu'on peut entendre dans plusieurs quartiers de la ville capitale à l'annonce de cette bonne nouvelle.
La jeunesse félicite le PRD et son président Me Adrien Houngbédji pour cette initiative. Une démarche qui montre que ce dernier est toujours fidèle à son engagement, en accordant une place importante à la jeunesse.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Rester chez soi et ne rien faire, c’est bon pour la santé ! C’est ce qu’on appelle le «nesting», un art de vivre danois. Selon les médecins, le nesting est synonyme de bien-être et de sérénité.
C’est le plaisir simple d’être à la maison et de s’y détendre tranquillement. Mais le nesting ne veut pas forcément dire que l’on ne fait absolument rien de la journée. Le nesting est un concept plus large car il inclut tout un tas d’activités qu’on peut faire à la maison. En effet, selon les études scientifiques, tricoter rend heureux et met de bonne humeur et faire de la pâtisserie permet d’avoir plus confiance en soi et de lutter contre la dépression.
Les neuroscientifiques vous recommandent d’aller souvent à la plage
Il n’y a rien de mieux que de se promener dans un parc, de marcher dans la forêt, d’explorer le désert ou encore de se balader en bord de mer en respirant l’air marin. La nature nous permet de nous ressourcer, loin du tapage urbain et de l’environnement stressant de la ville. Il est recommandé, selon des scientifiques, de prendre contact régulièrement avec les bonnes ondes de la nature, notamment, de s’imprégner de l’air marin, particulièrement enrichi en oxygène et en ions négatifs, apaisants pour le corps.
L’eau de mer, le sable sous vos pieds, l’oxygène de l’air, l’iode et les vagues sont de véritables stimulants pour votre organisme et donnent lieu à une thalassothérapie naturelle et, surtout, gratuite. Alors pourquoi ne pas en profiter ?
Dans une étude, un expert en santé environnementale a découvert que le sable, le soleil et l’exercice aquatique ont des bienfaits thérapeutiques sur votre santé mentale et physique. Il a ajouté par ailleurs, qu’il est recommandé de se rendre régulièrement à la plage pendant la marée basse et lorsque la température de l’air est douce afin de profiter particulièrement des éléments bénéfiques et réparateurs de la mer, comme l’air marin et l’iode, afin de ventiler et oxygéner les poumons.
Du lait frais pour les coups de soleil
Les propriétés hydratantes et apaisantes du lait frais en font un excellent traitement contre les coups de soleil.
Ces propriétés sont en grande partie dues à sa teneur élevée en acide lactique et en acides gras. Faites tremper un coton ou un chiffon doux dans un peu de lait frais, puis appliquez soigneusement sur la zone affectée. Répétez ce processus pendant 20 minutes, puis rincez abondamment à l’eau froide. Il est très important d’utiliser du lait entier, en raison de sa teneur élevée en matières grasses.
Gommage pour lutter contre la peau sèche
Ce gommage corporel au café et au sucre pour les peaux sèches laissera un éclat saisissant. Le café est riche en antioxydants et combat la cellulite. A son tour, le sucre aide à éliminer les cellules mortes et favorise la création de nouvelles. L’huile d’olive et la vitamine E pénètrent profondément dans votre peau, la nourrissant pour lui redonner son aspect sain et son éclat naturel. Mélangez 1/4 tasse de café moulu, 1/4 tasse de sucre granulé, 2 cuillères à soupe d’huile d’olive et 3 gélules de vitamine E (en pharmacie) pour obtenir une pâte.
Prenez une douche et utilisez un savon naturel avant d’appliquer le gommage. Lorsque vous avez retiré le savon, prenez la pâte avec vos doigts et exfoliez votre corps avec des mouvements circulaires. Après un massage de 10 minutes, rincez à l’eau tiède. Répétez l’exfoliation deux fois par semaine.
Pour enlever le tartre de vos dents
Faites chauffer 2 tasses d’eau puis ajoutez 1 tasse de menthe fraîche et ½ tasse de romarin (iklil) et laissez infuser, sur feu doux, pendant quinze minutes. Une fois le mélange refroidi, rincez-vous la bouche avec pour éliminer le tartre.
Le romarin est recommandé pour préserver la santé dentaire car elle a des propriétés astringentes et antibactériennes, notamment sous forme d’huile essentielle. Ainsi, elle réduit l’accumulation de la plaque dentaire, le tartre et les maladies buccodentaires qui en découlent tout en gardant une haleine fraîche. Toutefois, le romarin est déconseillé chez les jeunes enfants et les femmes enceintes.
Après un cancer du côlon, mangez des noix !
La consommation de noix, noisettes, amandes, favoriserait la survie après un cancer du côlon. Les noix sont des aliments très nutritifs, rassasiants, riches en acides gras insaturés, fibres, minéraux, vitamines et antioxydants. Des études ont montré qu’elles réduisent notamment le risque de diabète de type 2 et de résistance à l’insuline, mais aussi de cancer du côlon. Dans une étude parue dans Journal of Clinical Oncology, des chercheurs ont voulu connaître l’effet des noix sur la survie et la récurrence du cancer du côlon. Ils ont suivi 826 personnes qui ont eu un cancer du côlon en phase 3, pendant 6 ans et demi après leur traitement de chirurgie et de chimiothérapie. Les participants ont répondu à des questionnaires alimentaires.
Résultats : les personnes qui mangeaient régulièrement des noix présentaient un risque de mortalité et de récurrence du cancer diminué. Plus précisément, par rapport à ceux qui ne mangeaient pas de noix, les patients qui en mangeaient au moins deux portions (1 portion = 30 g) par semaine amélioraient de 42% leurs chances de survie sans maladie et de 57% leurs chances de survie tout court.
Si on ne peut établir de lien de cause à effet, l’auteur principal de l’article conclut néanmoins que «les résultats soulignent l’importance de mettre l’accent sur les facteurs alimentaires et de style de vie dans la survie au cancer du côlon.»
Les bénéfices étaient surtout liés aux noix issues d’arbres (amandes, noix de cajou, noix de pécan, noix et noisettes), et non aux arachides (cacahuètes) qui font partie de la famille des légumineuses. D’après Charles Fuchs, le directeur du Yale Cancer Center : «Une analyse plus approfondie de cette cohorte a révélé que la survie sans maladie a augmenté de 46 % chez les sous-groupes de consommateurs de noix qui mangeaient des noix plutôt que des arachides.» Le chercheur explique aussi qu’il ne faut pas avoir peur de manger des noix sous prétexte qu’elles seraient riches en graisses et pourraient entraîner de l’obésité car : «Ce qui est vraiment intéressant, c’est que dans nos études, et dans la littérature scientifique en général, les consommateurs réguliers de noix ont tendance à être plus minces».
Masque pour une peau hydratée et douce
Grâce à ce masque vous obtiendrez toute l’hydratation dont vous avez besoin avec deux ingrédients que vous avez sûrement chez vous : du yaourt et du sucre roux. Assurez-vous de choisir un yaourt nature sans conservateurs ni sucres. Pour le sucre, assurez-vous d’en prendre un en gros grains. Ceci dans l’objectif de faciliter le processus d’exfoliation.
Mélangez 2 cuillères à soupe de yaourt nature et 2 cuillères à soupe de sucre roux. Appliquez le mélange avec vos doigts en faisant un massage circulaire. Laissez reposer 25 minutes. Nettoyez à l’eau tiède. Avec ce masque il ne sera pas nécessaire d’appliquer de la crème hydratante ensuite. Vous verrez que votre peau sera très douce et hydratée.
Thé à la menthe et à la cardamome
Les infusions de menthe s’utilisent souvent pour perdre du poids grâce aux bienfaits naturels de cette plante. Cependant, outre ses propriétés amincissantes, le thé à la menthe est également indiqué pour prévenir de nombreuses maladies grâce à ces antioxydants. La menthe a la capacité de combattre les radicaux libres présents dans l’environnement. Grâce à ses propriétés, la menthe aide à prévenir l’apparition de maladies dégénératives, cardiaques ou du système nerveux, telles que l’hypertension.
Dans une petite casserole, faites bouillir 1 tasse d’eau (250 ml) avec 2 cuillères à soupe de feuilles de menthe (30 g). Ensuite, ajoutez 1 cuillère à soupe de cardamome (el hil) moulue (15 g). Au bout de cinq minutes, filtrez cette infusion de façon à ce que votre thé ne comporte pas de grumeaux ni de feuilles menthe au moment de servir.
Si vous aimez les saveurs acides, vous pouvez ajouter le jus d’un demi-citron. Si vous préférez donner une touche sucrée à cette infusion, vous pouvez incorporer un peu de miel.
Une tisane de gingembre contre les nausées
Le gingembre présente un effet apaisant, il permet de réchauffer, éviter les nausées et les vomissements lors d’un traitement lourd par une chimiothérapie ou une radiothérapie et présente un effet hypocholestérolémiant permettant d’atténuer le gras consommé. Pour une tasse de tisane de gingembre (skendjbir), il faut avoir deux tranches fines de gingembre, 100 ml d’eau, un demi-citron et une cuillère à café de miel. Chauffez l’eau à ébullition, puis mettre les tranches de gingembre, ensuite laisser infuser pendant 5 à 10 minutes, pressez le demi-citron, ajoutez la petite cuillère de miel et filtrez. Vous pourrez boire cette tisane 2 à 3 fois par jour.
Massages à l’huile de ricin contre la lombalgie
Pour traiter la lombalgie, vous pouvez appliquer de l’huile de ricin chaude directement sur la zone douloureuse. Prenez une petite quantité d’huile de ricin et massez doucement le dos douloureux avec l’huile. Laissez appliqué pendant la nuit pour obtenir les meilleurs résultats.
La cuillerée d’huile d’olive au jus de citron
Ce remède simple est très célèbre. L’huile d’olive est un excellent produit pour désenflammer, hydrater la peau et favoriser la circulation sanguine. Combinée à du jus de citron, elle devient un médicament naturel qui permet de traiter très efficacement la céphalée de tension. Vous pouvez, par exemple, boire une cuillerée d’huile d’olive avec 3 gouttes de jus de citron, avant de vous reposer sur votre canapé avec la compresse de menthe
Pour prévenir et soigner l’anémie
Le jus de radis et de cresson est une boisson faible en calories que vous pouvez intégrer dans votre régime alimentaire pour prévenir l’anémie, la fragilité et la fatigue. Lavez 5 bouquets de cresson (guernounèche), 4 radis et 2 bouquets d’épinards et mettez-les dans un extracteur de jus. Ajoutez un verre d’eau (200 ml) et consommez la boisson résultante à jeun.
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Le savant médinois Malik ibn Anas (93-179 hégire/711-795 J.-C.) est, comme on le sait, le fondateur de l’école de jurisprudence ou rite (madh’hab) malikite. Il a adressé une épître au calife abbasside Haroun ar-Rashid. Dans cette lettre, on voit l’imam disserter de mille et un détails d’ordre théologique ou éthique, prodiguant généreusement ses conseils, des conseils qu’il appuie toujours par des versets coraniques ou des hadiths du Prophète.
Vient de paraître aux éditions de la Librairie de philosophie et de soufisme d’Alger (en double version arabe et française), sous le titre de «Épître sur les préceptes religieux et moraux de l’islam (Rissala fi ’l-mawâ‘iz wa s-sunan wa l-adab)», un ouvrage attribué à l’Imam Malik ibn Anas, le célèbre maître médinois du hadith et du fiqh. Ce texte est censé être celui d’une épître (rissala) que l’illustre imam aurait écrite et adressée à ses non moins illustres contemporains, maîtres du pouvoir temporel, le calife abbasside Haroun ar-Rashid, et, accessoirement, son grand vizir, Djaâfar al-Barmaki.
La première question qui vient à l’esprit est : ce texte est-il authentique ? En d’autres termes, a-t-il vraiment été rédigé par l’Imam Malik à l’intention du calife Haroun ar-Rashid, ou bien n’est-ce guère qu’un apocryphe faussement attribué au grand jurisconsulte et traditionniste de la ville du Prophète ? Ismaïl Rachedi, le traducteur-adaptateur, s’appuyant essentiellement sur un très sérieux travail de recherche et d’analyse auquel se sont livrés Riyad Mustafa Shahin et Muhammad Shaâban Abu Ridwan, deux chercheurs palestiniens de l’Université islamique de Gaza, conclut lui aussi «en faveur de la plausibilité de l’attribution de l’épître à Malik». Chose qui ôte ainsi «toute créance aux allégations de ceux qui — généralement par simple suivisme et mimétisme — s’empressent de crier à l’apocryphe sans autre forme de procès».
Quant au contenu de la rissala, il se présente comme une somme de conseils et d’exhortations, et s’ouvre par : «j’ai écrit à ton intention un livre dans lequel je ne me suis épargné aucun effort pour ce qui est de te montrer le droit chemin et je n’y ai pas non plus été avare de bons conseils pour toi ; je l’ai fait pour rendre grâce à Dieu et pour faire preuve de politesse selon l’enseignement du Messager de Dieu — Dieu prie sur lui et le salue ! —. Tâche donc de bien méditer cette épître avec ta raison, examine-la soigneusement et avec insistance et prête très attentivement l’oreille aux recommandations qu’elle recèle. Ensuite, que ton cœur retienne ces sages préceptes et qu’il s’imprègne profondément de leurs significations. Que jamais celles-ci ne quittent un seul instant ton esprit, car elles sont une source de faveurs en ce bas monde et assurent la bonne rétribution auprès de Dieu dans la vie dernière.»
Les sujets abordés dans la rissala se rapportent «aux choses de la religion musulmane, aux dévotions — prière, aumône, jeûne, rites du pèlerinage —, aux invocations à prononcer dans des situations particulières), aux règles de l’hygiène rituelle que tout musulman doit observer, aux interdits alimentaires, aux bons usages en matière vestimentaire, à la morale sexuelle, à la manière de bien se tenir en société». On remarquera que tous les conseils et exhortations de l’auteur sont appuyés par «des citations de versets du Coran ou des paroles du Prophète (hadiths) ou de ses compagnons, voire de doctes personnages religieux». Ce qui fait que tous les enseignements de l’épître sont adossés «à l’autorité du Coran, Parole de Dieu, et à celle de la tradition authentique de Son Prophète (as-sunna as-sahiha)».
Quasi-invariablement, après avoir recommandé ou défendu une chose, l’auteur justifie son propos en le faisant suivre de la formule : «Fa-innahou balaghani aâni ’n-nabiyyi salla Allahou aâlayhi wa sallama» (il m’a été rapporté que le Prophète — Dieu prie sur lui et le salue ! — a [dit ou fait]). En bon adepte des principes de la voie du Kitab (Livre de Dieu, Coran) et de la sunna (tradition du Prophète), il n’invente donc rien, et ne fait guère que transmettre fidèlement et scrupuleusement.
L’Imâm Malik ne fut pas un savant religieux et un jurisconsulte ordinaire. À l’exemple des autres grands chefs de file des fondateurs des rites juridiques musulmans sunnites (Abu Hanifa, Ash-Shafiî et Ahmad ibn Hanbal), il se distingua par un courage exemplaire, refusant inflexiblement de se soumettre aux volontés des califes abbassides et à celles de leurs gouverneurs. Son intransigeance et ses critiques vis-à-vis du pouvoir, lui valurent la prison, la torture physique et morale, et les pires humiliations publiques, épreuves qu’il subit avec une résignation et une équanimité mémorables. On lit ainsi à ce sujet dans la Parure des Saints (Hilyat al-Awliya’e) d’Abu Nu‘aym al-Isfahani (336-430H./948-1038 J.-C.) que Malik «s’était réalisé par la piété, et il fut éprouvé par les plus dures épreuves».
L’Imâm Malik rendit l’âme en l’an 179 de l’ère hégirienne (795 J.-C.). «Il fut inhumé dans le cimetière médinois d’al-Baqî‘, à proximité, dit-on, de la tombe d’Ibrahim, fils de l’Envoyé de Dieu et de Maria-la-Copte.»
Kader B.
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Un concert de musique classique a été animé jeudi soir à la basilique Notre-Dame d’Afrique à Alger par le pianiste Daniel Matrone, amoureux de l’Algérie, devant un public recueilli dans des atmosphères où la pureté des sonorité a orné le silence sacral des lieux.
Durant près de 70 minutes, le pianiste Daniel Matrone a promené les notes cristallines de son instrument dans la grande caisse de résonance que constitue l’espace imposant de la basilique Notre-Dame d’Afrique, alignant, dans un silence religieux, un programme savamment préparé qui a réuni, outre les pièces qu’il a composées en hommage à Camille Saint-Saëns (1835-1921), des œuvres de Jean Sébastien Bach (1685-1750) et Giacinto Lavitrano (1875-1937).
Dans la solennité du moment, le pianiste a étalé les pièces Prélude en mi bémol (extrait de la suite française), Figure 1 et 2 (extraits de l’Art de la fugue) de J.-S. Bach, avant d’enchaîner avec Dans l’église de San Sabastiano d’Ischia de Giacinto Lavitrano, pour conclure avec un hommage à Camille Saint-Saëns, décédé à Alger et partisan, de son vivant, de «l’Algérie algérienne», a rappelé Daniel Matrone, décliné en cinq titres : A Camille Saint-Saëns, Prélude et fugue, Portrait cubiste, Ruban du soir et Le salon de musique sur la mer.
L’époque très fertile couvrant la période allant du XVIe au XIXe siècles a, en partie, été restituée dans la douceur et la sérénité de l’instant, à un public recueilli, qui a hautement apprécié le professionnalisme et le talent de l’artiste, en Algérie pour la deuxième fois (après son concert au même lieu en avril 2007), savourant chaque moment du spectacle dans l’allégresse et la volupté. Très applaudi par le public à l’issue d’une remarquable prestation, Daniel Matrone a fait part de son «bonheur» de se produire à Alger, tenant à rappeler encore tout «l’amour» qu’il voue à l’«Algérie et au peuple algérien».
Né en 1955 à Annaba (Bône à l’époque), le pianiste, organiste et compositeur Daniel Matrone, petit neveu du compositeur Giacinto Lavitrano, décédé dans la ville de naissance de l’artiste, a commencé très jeune à étudier le piano au conservatoire de Toulouse, en France, puis à Paris où il se perfectionne dans l’orgue auprès de Marie-Claire Alain et auprès d’Yvonne Lefébure, pour le piano.
Il étudie, ensuite, la composition et l’art de l’improvisation musicale avec différents maîtres, dont Maurice Duruflé notamment, pour se voir nommé ensuite, organiste titulaire de plusieurs basiliques à travers la France. Plusieurs de ses enregistrements pour orgue et piano ont eu des prix et des distinctions, à l’instar du Diapason d’or, obtenu au «Choc du monde de la musique», sorte de classement entretenu par des revues spécialisées.
Depuis septembre 1999, Daniel Matrone, distingué du titre de chevalier des arts et des lettres, est l’organiste titulaire du Saint-Louis-des-français à Rome (Italie). Le concert de piano animé par Daniel Matrone entre, selon le recteur de la Basilique Notre-Dame d’Afrique, père Michael P. O’ Sullivan, dans le cadre d’un programme régulier initié par l’Eglise.
Daniel Matrone animera le 12 juin prochain un autre concert pour orgue, celui-là sous le titre «L’orgue et l’Orient», au même endroit et aux mêmes horaires, ont précisé les organisateurs.
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250 g de filet de poisson, 200 g de crevettes décortiquées et nettoyées, 200 g de petits pois, 200 g de carottes, deux branches de céleri, 1 c. à s. d’ail haché, 1 oignon, persil, 4 c. à s. d’huile, 2 c. à s. de concentré de tomates, 1 c. à c. de sel, 1/2 c. à c. de poivre, cumin, 100 g de pâtes au choix
Préparer le poisson et les crevettes, les mettre dans un récipient et les faire mariner avec sel, poivre, ail et cumin. Dans une marmite, ajouter l’oignon haché et l’huile. Les laisser revenir durant 5 à 10 minutes à feu moyen. Éplucher et couper en petits dés les carottes et le céleri. Dès que l’oignon est tendre, ajouter deux litres d’eau et les légumes coupés en petits dés. Porter à ébullition durant 45 min ou jusqu’à ce que les légumes soient cuits. Ajouter le concentré de tomates et les petits pois. Laisser cuire 10 min ensuite le poisson et les crevettes. Rectifiez l’assaisonnement. Dix minutes avant de servir, ajouter les pâtes (vermicelles ou autre). Servir avec du jus de citron.
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Viande d’agneau coupée dans le gigot ou le collier, 15 cl d’huile d’olive ou de table, 1 c. à s. de ras-el-hanout, 6 gousses d’ail hachées, 1/2 c. à c. de safran, 300 g de raisins secs noirs, 100 g d’amandes mondées et grillées, 200 g de miel, 1 l d’eau, sel
Dans un récipient, mettre la viande. Ajouter les épices et l’ail. Recouvrir d’un film alimentaire et laisser mariner le tout durant 24 heures au réfrigérateur. Dans une marmite à fond épais, sur feu doux, verser la viande et sa marinade. Ajouter l’eau et l’huile et laisser cuire à feu doux jusqu’à ce que la viande devienne tendre et la sauce onctueuse. Ajouter alors les raisins secs, lavés et égouttés, le miel. Remuer la marmite de temps en temps en la tenant par les anses, ne pas utiliser d’ustensile afin que la viande reste intacte. Retirer la marmite du feu lorsque la viande est caramélisée et la sauce devenue dorée. Servir la mrouzia garnie de raisins secs et nappée de sauce. Décorer avec des amandes grillées.
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500 g de noix de coco, 1/2 verre de sucre, 1/2 litre de lait, jus et zeste de 2 citrons, 3 c. à soupe de maïzena, 100 g d’amandes entières mondées et grillées, 200 g de noix de coco
Mélanger la noix de coco et le sucre et les hacher finement. Ajouter le citron, la maïzena et le lait jusqu’à obtention d’une pâte molle et malléable. Former des boules de la grosseur d’une noix et mettre une amande à l’intérieur. Rouler dans la noix de coco et déposer sur un plat allant au four beurré et fariné. Faire cuire au four, les gâteaux doivent rester blancs.
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300 g de farine, 1 c. à c. de levure boulangère instantanée, 4 ou 5 c. à s. d’huile d’olive, une pincée de poivre noir, sel.
POUR LA FARCE :
Un œuf dur ou brouillé, du fromage en portions, du thon, des olives (vertes ou noires), de l’huile pour frire.
Préparer la pâte en mélangeant la farine, la levure, le poivre noir, puis ajouter le sel et l’huile d’olive. Ramasser la pâte avec de l’eau tiède et laisser doubler de volume. Préparer la farce en mélangeant tous les ingrédients coupés en petits morceaux. Etaler la pâte sur un plan fariné, découper des ronds, les aplatir pour les affiner encore. Mettre un peu de farce au centre, plier et bien souder. Faire frire les chaussons dans de l’huile chaude non fumante.
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400 g de viande hâchée, 3 œufs, 4 tomates, 1 oignon, 1/2 c. à c. de piment doux moulu, 1/2 bouquet de persil, 1/2 verre à thé d’huile d’olive, 1 c. à c. de sel, 1/2 c. à c. de poivre
On commence par mélanger la viande hachée,1/4 de l’oignon haché et la moitié du bouquet de persil. On y ajoute le piment en poudre, le cumin et 1/2 c. à c. de sel. Former des boulettes et les mettre de côté. Dans le tajine, râper les tomates, ajouter l’oignon haché, le persil haché, le reste de sel, le poivre et l’huile. Faire cuire 5 à 10 min en ajoutant 1/2 verre d’eau si les tomates ne sont pas assez juteuses. Ajouter ensuite les boulettes et faire cuire pendant 15 min à feu moyen.
Casser les œufs dans le tajine et laisser mijoter 2 minutes. Retirer tout de suite après du feu, les œufs cuiront avec la chaleur du tajine.
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4 œufs, 100 g de fromage rouge râpé, 70 g de beurre, 25 cl de lait, 50 g de farine, noix de muscade râpée, sel, poivre
Mettez 50 g de beurre dans une casserole et faites fondre, puis ajoutez la farine et mélangez en faisant cuire à feu doux pendant 2 à 3 min. Ôtez la casserole du feu et versez le lait tout en fouettant. Salez, poivrez et ajoutezla muscade. Remettez la casserole sur le feu et faites cuire en remuant 2 min. Ôtez du feu. Incorporez les jaunes d’œufs à la béchamel, puis ajoutez le fromage et mélangez bien. Fouettez les blancs en neige ferme avec une pincée de sel. Incorporez les blancs d’œufs en neige délicatement et en soulevant la masse à la béchamel. Beurrez un moule à soufflé avec le reste de beurre et versez-y la préparation. Faites cuire au four th.6 (180°C) pendant 20 min jusqu’à ce que le soufflé soit bien monté et doré.
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Le retrait de l’argent des bureaux de poste s’impose avec force durant les derniers jours du mois de Ramadhan. Même si le problème de liquidités ne se pose plus ces dernières années, les longues files d’attente, elles, continuent à sévir.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Entre l’achat des vêtements pour l’Aïd el-Fitr, surtout pour les enfants, et celui des différents ingrédients pour la préparation des gâteaux pour cette fête, les Algériens raclent le fond de leurs poches. Déjà suffisamment épuisé par les nombreuses dépenses du mois de Ramadhan, leur portefeuille subit, les derniers jours de ce mois-ci, d’autres supplices.
Pour faire face à ces nouvelles dépenses, ils prennent d’assaut les bureaux de poste. Les longues files d’attente devant les guichets des différentes agences d’Algérie Poste en témoignent. Il s’agit en fait de retirer les quelques billets rescapés de leur salaire ou de leur pension de retraite du mois de mai dernier.
Unique «consolation» cette année, le problème de liquidités ne se pose pas dans la poste. Après l’inévitable attente, la plupart des détenteurs de comptes courants postaux (CCP), notamment les fonctionnaires et les retraités, ne reviennent pas chez eux bredouilles : le portefeuille est plein pour quelques jours.
«J’attends depuis plus d’une heure. C’est lent mais au moins à la fin, je repars avec mon argent pour terminer mes achats pour l’Aïd», affirme Karima, secrétaire de rédaction dans le secteur public.
Profitant de la journée de samedi, jour de repos, cette mère de famille compte justement finaliser ses courses. «Il me reste les chaussures pour la plus jeune de mes trois filles et tous les produits nécessaires pour préparer les gâteaux de l’Aïd», précise-t-elle. Même agacement chez nombre de clients dans le bureau de poste de Belouizdad, rue Rouchaï-Boualem. Mohamed, retraité, tente tant bien que mal de ne pas perdre son sang-froid. «On n’avancera jamais. C’est toujours la même lenteur dans nos administrations. Même les distributeurs mis à l’extérieur des postes ne fonctionnent pas. Ils sont tout le temps en panne», se plaint-il.
En effet, le DAB (distributeur automatique de billets) installé à l’extérieur de cette poste est hors service. Une panne qui pénalise nombre d’utilisateurs.
Les détenteurs des CCP occupés dans la journée ont, eux, la possibilité de retirer leur argent le soir. En effet, les bureaux d’Algérie poste sont ouverts tous les soirs du mois de jeûne de 21h 30 à 23h 00. Au grand bonheur des utilisateurs !
Ry. N.
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Madjer ne survivrait donc pas à la barre technique des Verts. Au lendemain de la cuisante défaite à Lisbonne face au Portugal, des «voix autorisées» parmi les membres du BF/FAF ont livré «l’exclusivité» à certains médias avant même que l’instance fédérale ne se prononce officiellement sur la question.
Qui décide ou plutôt qui fait quoi au sein de la FAF ? Depuis son intronisation, la nouvelle équipe fédérale a montré toutes les facettes d’une entité disloquée maniant admirablement l’art de la contradiction. Au fond, sur l’ensemble de la composante du BF (12 personnes au lieu des 13 réglementaires, suite au retrait de Djahid Zefizef) présidé par Kheireddine Zetchi, seuls quelques membres s’expriment sur des sujets souvent «factuels». Rappelons-nous l’épisode Messaoud Koussa qui se lança pour défoncer une porte ouverte. L’ex-arbitre international et non moins président de la ligue de wilaya de Sétif n’avait pas toléré que la CFA échappe à son autorité. Aujourd’hui, alors que la commission fédérale d’arbitrage a été léguée à Mohamed Ghouti qui n’a aucune «compétence» en la matière, M. Koussa n’en fait plus cas, se contentant d’assurer quelques missions rétribuées à l’intérieur et en dehors du pays. Quid de Bachir Ould Zemirli et Rebbouh Haddad, les deux vice-présidents de la FAF, qui ont remué ciel et terre au début du mandat en raison de quelques «clafoutis» à partager avec le boss de la fédération ? Le président d’honneur du NAHD et son homologue de l’USMA, pourtant «condamnés» par la réglementation du fait qu’ils soient membres actifs de leurs clubs d’origine, ont agité la menace de quitter le bureau fédéral s’ils n’obtiennent pas des avantages liés à leur statut. Ould Zemirli, à titre d’exemple, n’admettant jusqu’alors pas la «bourde» du SG/FAF d’envoyer sa candidature à la CAF «hors délais». Que dire, par ailleurs, de ce président de la commission Coupe d’Algérie, Nourredine Bakiri, qui, dès qu’il fut abandonné par le «pigiste» Ali Malek, autrement plus rodé dans la gestion de l’épreuve populaire, multiplia les décisions intempestives concernant particulièrement la domiciliation des phases avancées de Dame Coupe engendrant, certainement sans le vouloir, une violence physique et verbale dont le football algérien s’en souviendra à jamais. Un autre personnage a longtemps tiré la couverture à lui avant de se faire hara-kiri, observant depuis quelque temps un incroyable silence. Lui, c’est Amar Bahloul, l’homme à tout faire, la personne chargée des missions impossibles. Le président de la ligue d’El-Tarf qui a été chargé de la coordination avec les ligues a été un élément cardinal dans la destitution de Mahfoud Kerbadj de la présidence de la LFP. C’est aussi lui qui a eu pour mission de «prendre en charge» Mohamed Raouraoua quand ce dernier était arrivé, à la surprise générale, au CTN/FAF de Sidi Moussa pour assister à l’AG ordinaire de la fédération en avril dernier. L’ex-président de la fédération, qui avait déclaré à la presse qu’il n’était pas un «béni-oui-oui», fera quelques sommaires remarques à propos de la gestion financière de son successeur, refusera de cautionner les bilans puis retournera d’où il est venu. Sur un plan de la communication, M. Bahloul fut le membre du BF le plus sollicité par les médias depuis l’élection de Kheïreddine Zetchi à la présidence de la FAF. Hormis quelques apparitions publiques et trois ou quatre plateaux TV, ce dernier se montra moins bavard que son collaborateur issu de la ligue d’El-Tarf qui aura joué plusieurs rôles (protocolaires surtout) mais qui a rarement voyagé.
Zetchi et les «neutres»
Les membres du bureau fédéral ne sont pas, pourtant, tous de fins communicateurs. Il existe un panel qui préfère travailler en douce, sans faire de bruit. Nous nommons particulièrement le trio Larbi Oumamar-Radia Fertoul-Rachid Gasmi mais aussi le manager général des Verts, Hakim Medane. Le dirigeant asémiste, qui n’a pas de tâche particulière au sein de l’instance fédérale, est, avec Mohamed Maouche (désigné président de la commission d’éthique), l’une des rares personnes qui évite de communiquer hors du cadre légal. Pourtant, avant et au lendemain de l’AG élective qui a propulsé M. Zetchi à la présidence de la FAF, M. Oumamar a activement participé à la campagne en multipliant les interventions dans les médias. Pour Radia Fertoul et Rachid Gasmi (membre sans mission qui fut promu président de la commission des finances après le retrait de M. Zefizef), le silence est d’or. L’ancien P-dg de la Safex se contente d’accomplir des missions, comme accompagner l’EN à l’étranger, suivant sa disponibilité alors que la chargée du football féminin se contente de mener ses charges à la tête de sa commission spécialisée «sans s’immiscer dans les affaires» qui ne la concernent pas. Pour Hakim Medane, très communicatif lorsque la FAF s’attelait à chercher un sélectionneur (Lucas Alcaraz, ndlr) puis à accomplir la tournée de sensibilisation des internationaux évoluant en Europe. A l’époque, Medane était la source de toute la presse. Aujourd’hui, «El-Pibe de Oro» algérien a coupé les ponts avec les médias qui, désormais, se «sourcent» quand il s’agit de l’actualité de la sélection auprès de certains membres du BF mais aussi chez d’anciens confrères aujourd’hui employés à la division médias de la fédération.
Le «coup de grâce» par la subversion
Ce serait donc ce «panel» formé de membres du BF qui ont souvent exprimé leurs divergences et leurs idées sur la place publique et des confrères promus chargés de com’ de la FAF qui a validé l’option de limogeage de Rabah Madjer. Celui-ci l’aura compris et ne s’empêchait pas de le dénoncer lors de sa conférence d’avant-match, mercredi passé à Lisbonne. «Je suis victime d’une machination», a-t-il lâché devant les reporters présents sans vraiment livrer l’identité des auteurs de ladite cabale. L’œuvre de déstabilisation ne faiblira jamais. Madjer, intronisé en octobre dernier, a subi la pression du «peuple connaisseur des choses du football» et s’est mis dans de beaux draps dès lors qu’il perdra son ultime allié, la presse, lors d’une malheureuse altercation avec un journaliste de la radio nationale. Le «taisez-vous» de ce qui deviendra le feuilleton de l’année ne lui sera plus pardonné. A chaque sortie algéroise des Verts, l’idole des Algériens durant les années 80 se fera conspuer par un public certainement manipulé mais surtout impatient de voir ses favoris reprendre leur belle symphonie. Vilipendé par les supporters, lâché par ses «amis politiques» qui pensaient bien faire en l’imposant à Zetchi, Madjer se déliera la langue et s’en va en guerre perdue d’avance en invitant à l’ingérence ses «compatriotes portugais». La bourde (de trop) qu’il ne fallait pas commettre, en définitive ?
M. B.
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L’attaquant de Liverpool Mohamed Salah, blessé lors de la finale de Ligue des Champions, a affirmé que son état de santé s’améliorait à moins d’une semaine du premier match de l’Egypte au Mondial-2018, a rapporté samedi la présidence égyptienne. L’attaquant vedette de Liverpool est actuellement au Caire où il a rencontré samedi matin le Président du pays, Abdel Fatah al-Sissi, avec l’ensemble de l’équipe nationale. Les Pharaons doivent s’entraîner en soirée en public dans la capitale égyptienne, mais il n’est pas assuré que Salah participe à cette session. «Le président (Sissi) a été rassuré sur l’état de santé du joueur Mohamed Salah qui a affirmé que son état s’améliore notablement et qu’il est sur la voie d’un rétablissement, si Dieu le veut », a déclaré le porte-parole de la présidence Bassam Radi dans un communiqué.
La blessure à l’épaule de Salah le 26 mai lors de la finale de Ligue des Champions contre le Real Madrid (défaite de Liverpool 3-1) a suscité l’émoi chez les supporteurs égyptiens qui craignaient que la star ne puisse participer au Mondial avec l’équipe des Pharaons. Mais l’attaquant qui a marqué 44 buts cette saison avec Liverpool a été sélectionné pour faire le voyage en Russie, a annoncé la Fédération égyptienne fin mai. Elle avait alors précisé que Salah pourrait être indisponible trois semaines, ce qui pourrait l’empêcher de participer au premier match, le 15 juin contre l’Uruguay. Qualifiés pour la première fois depuis 1990 pour le Mondial, les Pharaons, qui sont dans le groupe A, rencontreront ensuite la Russie le 19 juin puis l’Arabie Saoudite le 25 juin.
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Mardi passé, à l’occasion de la journée mondiale de l’Environnement, le wali de Boumerdès a inauguré le centre d’enfouissement technique des ordures ménagères implanté à Zaâtra, village situé au sud-est de Zemmouri.
La Direction de l’environnement de Boumerdès qui voulait certainement marquer cette journée n’a, finalement pas choisi le bon moyen. Ce centre, pour lequel pas moins de 30 hectares de terre utiles à l’agriculture ont été affectés, il y a quelques années, n’est pas encore équipé de moyens techniques pour le tri des ordures d’où leur étalement sur les 13 ha réservés à cet effet. En l’état, il n’est qu’une décharge intercommunale. De plus, il ne prend en charge que les ordures de six communes sur les 16 que compte la partie est de la wilaya de Boumerdès. Si le périmètre de ce CET est de 30 ha, son impact sur l’environnement fera perdre au minimum 100 ha à l’agriculture.
Pour rappel, au début des années 2000, le wali de l’époque, Ali Bedrici, avait proposé la région de Zaâtra, où se trouvent ce centre et une briqueterie érigée dans des conditions restées opaques, dont les terres sont certes à caractère agricole mais argileuses et non irriguées pour aménager une zone industrielle sur 1 500 hectares. Le niet du gouvernement était catégorique «Zaâtra est une région agricole», lui avait-on rétorqué.
Dans son argumentaire, l’ancien wali avait avancé certains avantages économiques notamment les accès et la proximité des RN 24 et 12, interconnectées par la RN 24D, la proximité de la voie ferrée (moins de 10 km), la disponibilité de l’énergie – la centrale électrique de Cap-Djinet et le gazoduc de Hassi-R’mel/Bordj-Menaïel.
Cette zone industrielle pouvait, en outre, redonner vie au port commercial de Dellys. L’actuel wali, Abderrahmane Madani Fouatih, ne peut que constater le gâchis et donner quelques assurances disant : «Nous veillerons à ce que ce centre fonctionne correctement. Nous veillerons particulièrement à atténuer son impact sur la santé de la population avoisinante et son environnement immédiat et qu’il offre un maximum de postes d’emploi. Nous avons également insisté pour qu’il soit exploité au bénéfice de toutes les communes de la partie orientale de la wilaya».
Quelle solution pour le long terme ?
Si l’on considère que chaque habitant rejette 0,800 kg d’ordures par jour (sans compter les rejets liquides), la wilaya de Boumerdès se retrouve chaque jour avec 768 tonnes de déchets ménagers — à l’exclusion des déchets industriels et hospitaliers — à collecter, à transporter et à stocker.
Cette quantité va en augmentant. Comme un malheur ne vient jamais seul, cette quantité d’ordures est produite par une population qui occupe à 70%, les espaces les plus utiles de la wilaya en matière de richesses agricoles et hydriques. Si l’on trace une ligne le long du centre de la wilaya qui a une forme allongée, entre la ville de Dellys, à l’est de la région et Hammadi à l’ouest, on passe nécessairement par les grandes agglomérations que sont Baghlia, Sidi-Daoud, Laâziv, Bordj-Menaïel, les Issers, Si Mustapha, Boudouaou, Ouled Moussa, Khemis-El-Khechna et Ouled Heddadj. C’est-à-dire que l’on piétine la plaine de Sebaou, le plateau de oued Bordj-Menaïel, la plaine de oued Issers, la plaine du sud de Corso, la plaine de oued Boudouaou et enfin la partie orientale de la plaine de la Mitidja. Sur cette surface sont situées probablement 80% des terres irriguées de la wilaya et plus de 80% des capacités de la nappe phréatique. De plus, environ 70% des activités industrielles et commerciales se déroulent sur cette ligne, qui plus est, l’axe principal de la mobilité de la population de cette wilaya.
A l’origine de ce déséquilibre, «dont l’absence d’une planification et de l’aménagement du territoire. Il suffit de relire sommairement l’histoire de la région pour faire le constat suivant ; à l’exception de Dellys, une ville millénaire, de Bordj-Menaïel qui existait du temps des turcs et de Boumerdès dont la construction a été entamée après l’adoption du plan de Constantine, toutes les autres villes citées plus haut ont été créées après la colonisation dans le seul but de piller les richesses agricoles de cette région fertile de la Basse Kabylie.
Au lendemain de l’Indépendance, les villes en question se sont développées dans l’anarchie consommant, jusqu’à présent, des milliers d’hectares de terres agricoles. Quelle mouche a piqué les responsables du ministère de l’Environnement pour installer le CET à Corso, en amont d’une plaine à haut rendement et où des dégâts écologiques sont déjà constatés (pollution de 3 puits et d’un oued dont les eaux arrivent en mer) ? Il est certain que dans quelques années, les produits de cette plaine seront impropres à la consommation. Pense-t-on à orienter l’urbanisation de la région vers le piémont de Boudouaou, Tidjelabine, Thénia, Keddarra et d’autres sous-régions où les terres sont, certes, quelque peu accidentées mais moins rentables ? De plus, le constat a été fait en 2003, elles sont à l’abri du séisme.
Abachi L.
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Aujourd’hui à Médéa ce ne sont plus les vendeurs informels qui violent les lois régissant la pratique commerciale, les commerçants disposant d’un registre de commerce s’y sont mis aussi et… ils ont mis les bouchées doubles !
Profitant de leur statut de commerçant exerçant dans la légalité qui apparemment leur «consent» des dépassements et semble leur donner des ailes, certains vendeurs se permettent de s’accaparer les espaces réservés aux piétons et ont transformé les trottoirs en points de vente. Il faut donc se rabattre sur la chaussée pour prétendre au passage et concurrencer les véhicules, s’exposant ainsi à tous les dangers, en l’occurrence celui de se faire percuter par une voiture, un bus ou encore une moto. Cependant, ces derniers temps, et surtout en ce mois sacré et (inédit du gain facile) pour les magasins d’habillement (enfants, femmes et hommes) la tendance stipule que les commerces débordent sur les trottoirs en exhibant leurs produits à travers des mannequins placés sur ces espaces réservés aux piétons appelés «trottoirs» ceci au vu et au su de tous. Oui c’est la grande mode! Malgré les mises en garde des instances concernées et habilitées et la réglementation en vigueur contre cette transgression quant à la pratique commerciale, ce comportement perdure au détriment des citoyens qui se voient ravir un de leur droit le plus légitime, à savoir l’exploitation en toute quiétude et en toute sécurité des espaces publics en l’occurrence les trottoirs. La situation s’aggrave dans la mesure où certains commerçants sont convaincus que ces espaces leur reviennent de droit et affichent une franche agressivité lorsque ils sont contestés pour cette entorse et ce manquement à la loi. Ils donnent l’impression de revendiquer une vitrine supplémentaire pour leurs magasins. D’autre part, et au premier abord, la répression est «faiblarde» et insuffisante puisque ce tableau se dresse partout dans les rues commerçantes de Médéa au grand dam de la population.
M. L.
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