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Afrique

Saisie de PV truqués du parti au pouvoir à Tevragh-Zeina

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 11:34
Alakhbar - La Sous-commission chargée de la campagne d'investiture des instances de l’Union Pour la République (UPR), le parti au pouvoir, a...
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L’un des accusés dans l’affaire "Attijari Bank" porte plainte contre la police nationale

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 11:28
Adrar-Info - L’avocat Maitre Mohamed Ould Moine a accusé la police mauritanienne, d’avoir pratiqué la torture et l’utilisation de la...
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L'Editorial du Calame : Assurance démocratique, assurance islamique

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 11:23
Le Calame - 300 jours ! 307 jours, plus précisément, que Mohamed Ould Ghadda croupit en prison. 307 jours qu’il est privé de sa liberté de...
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Les sept sages optent pour la transparence, le contradictoire et la célérité

24 Heures au Bénin - Wed, 06/13/2018 - 11:15

Le secrétaire générale de la Cour constitutionnelle, Gilles Badet, à travers une conférence, ce mardi 13 juin 2018, a informé les médias de la tenue de la première assemblée générale des conseillers de la Haute juridiction, le lundi 11 juin 2018. Il a profité de l'occasion pour dévoiler les nouvelles dispositions prises pour la transparence dans l'étude des dossiers.
La nouvelle mandature de la Cour constitutionnelle s'est inscrit dans les réformes au sein de l'institution. Au cours de leur première assemblée générale, les sages ont jugé bon d'apporter quelques modifications dans la procédure de traitement des saisines au niveau de la Cour. « La présente conférence de presse vise à vous rendre compte des décisions majeures prises lors de cette assemblée générale et qui vont sans doute modifier l'image, la crédibilité et la légitimité de la Cour, de même que la qualité, l'efficacité et l'accessibilité de ses décisions », a expliqué M. Badet. La première innovation est intervenue sur le projet de modification du règlement intérieur de l'institution. Une proposition faite par le président Joseph Djogbénou et approuvée par les autres membres. Il s'agit d'apporter les innovations sur le règlement des problèmes liés au fonctionnement de la Cour. Il sera question pour le président de résoudre les problèmes de transparence, de contradictoire et de célérité.

La transparence et la contradiction

Il est important de mettre fin à la perception péjorative de la Cour perçue par les populations comme une juridiction secrète qui fait les choses en vase close. Face à ces préjugés qui n'apportent guère une image de confiance à l'institution, Joseph Djogbénou a proposé de rendre désormais publiques les procédures devant la Haute juridiction. Cette proposition approuvée par les autres membres offre l'opportunité au public de prendre part aux audiences de la Cour. Les séances de mise en état qui se dérouleront sous la direction d'un juge rapporteur qui fait un rapport pour la plénière des délibérations permettront au public d'avoir une autre perception du fonctionnement de la l'institution. Toutefois, les plénières seront tenues à huis clos. Et ce, pour garder le secret de délibération.
L'autre innovation est la contradiction où Cour offre aux mis en cause, lors des audiences de mise en état, d'exposer leurs arguments en présence de la partie civile. Les parties en présence de leurs avocats pourront ainsi se défendre sur les faits. La célérité est aussi l'une des innovations introduites par la Cour Djogbénou. Il sera question d'avoir un chronogramme de travail devant permettre de traiter les dossiers de saisine avec une certaine rapidité. Dans cette optique, les mardi ou vendredi, il y aura les audiences de mise en état avec la participation du public et tous les jeudi, les plénières de délibération.
Les 176 dossiers en instance seront vidés suivant une programmation hebdomadaire.

Giscard AMOUSSOU

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La BCM tend vers l’autonomie totale

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 08:00
Rimeco - Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion du conseil des ministres de jeudi dernier, le gouvernement a adopté un projet de...
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Mondial 2026 : jour J pour le Maroc

Afrik.com - Wed, 06/13/2018 - 07:59
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Mauritanie: le gouvernement traîné devant les instances internationales du travail

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 07:30
Le360 - Selon la Confédération générale des travailleurs de Mauritanie (CGTM), une des plus importantes centrales du pays, «la Mauritanie...
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Assemblée Nationale : le nombre des députés passe de 155 à 157

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 07:00
Les Mauritanies - Le nombre des députés à l’Assemblée Nationale est de 157 au lieu de 155 . En effet la chambre basse a adopté, lundi 11...
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Travail de sexe à Cotonou : Du péché au bienfait

24 Heures au Bénin - Wed, 06/13/2018 - 02:09

Aussi vieux que le monde, le travail de sexe est une activité qui prend de l'ampleur de nos jours. Se pratiquant sous diverses formes, le travail de sexe est pour ces commerçantes qui ont élu domicile dans les bars, boîtes de nuits et sur les trottoirs, un énorme business. Mais bien que dégradant, ce phénomène s'avère important pour la société.

21h56 mn. Le tronçon Place Bulgarie-Bourse du travail à Gbégamey à Cotonou grouille de monde. Des jeunes filles bien habillées vont et viennent et n'hésitent pas à aborder les passants : on les appelle ‘'les filles de joie'' ou encore ‘'les belles de nuit''. Pour elles, le sexe constitue une source de revenut. Parmi elles, une qui attire particulièrement l'attention, bien taillée avec une silhouette attirante et vêtue d'une petite culotte noire cintrée avec en dessus une chemisette rose bien dessinée. Belle, avec son sourire envoûtant, Claire vient de gagner son premier client de la soirée. Une voiture noire à vitres fumées s'arrête devant la jeune dame. Juste un simple klaxon et la prostituée se retrouve à bord. Pas besoin de grands discours. La bagnole du client de Claire prend la direction d'une auberge non loin des lieux. Autour de cette auberge, il y avait de jeunes prostituées attendant de potentiels clients. Dans les bars, restaurants et surtout les boîtes de nuit, le phénomène est plus remarquable. Là, les serveuses semblent se mélanger aux travailleuses de sexe. On peut y entrer en solo, prendre un verre et ressortir en couple. « Avec une fille de joie, on assouvit ses fantasmes. On arrive à dépasser les limites. Ce sont des femmes qui assurent très bien et puis, elles ne sont pas hypocrites avec vous », affirme Hubert, un habitué des lieux. Pour Gaston, il n'y a pas meilleur endroit pour faire des choses ‘‘fou'' que chez les prostituées. A l'entendre, il n'y a pas de tabou chez les filles de joie et toutes les limites peuvent être franchies avec elles. « Avec une prostituée, j'arrive à aller au troisième voire au quatre tour alors que ce n'est pas pareil avec ma femme », mentionne-t-il. « La première fois de ma vie ou j'ai eu de fortes sensations de plaisir, c'est quand une prostituée m'a fait ‘‘la pipe'', c'était tellement fort que je ne pouvais plus me contenir. Ma femme n'acceptera jamais de me faire ça, alors, je prends du plaisir chez les filles de joie », ajoute Hubert. D'ailleurs, nombreux sont ces hommes qui vont dans ces lieux à la recherche de belles de nuit pour ces genres de fantasmes. La stratégie est simple. Dès que vous pénétrez la boîte de nuit en solo, une d'entre elles, encore libre, se rapproche de vous et la causerie commence pour des fins bien connues. Dans l'autre cas, ce sont les filles mêmes qui attendent seules, sur une des tables. Et il suffit de les rejoindre.
De bonnes affaires pour les propriétaires de bars


La fréquentation des bars climatisés ou non et des boîtes de nuit par certains hommes est souvent conditionnée par la présence et la qualité des travailleuses de sexe qui s'y trouvent. Et, ce sont les propriétaires de ces bars et clubs qui font de bonnes affaires. Ainsi, pour faire prospérer leurs entreprises, certains promoteurs de bars, clubs ou boîtes de nuit se voient dans l'obligation de mettre à contribution des travailleuses de sexe, qui viennent à des heures précises dans le bar en vue d'attirer les hommes désireux d'avoir une bonne compagnie ou de satisfaire leur libido. « Grâce à elles, je note un nombre croissant de gens qui viennent prendre de la bière dans mon bar », confirme Charles, un promoteur de bar de la place. Il poursuit en expliquant qu'avec ces filles, il arrive à réaliser de bons chiffres d'affaires, puisque non seulement elles font venir des clients mais aussi elles se font payer ou payent également des boissons. Tout comme Charles, nombreux sont ces promoteurs de bars et boîtes de nuit qui, d'un commun accord avec les belles de nuit, arrivent à faire d'énormes bénéfices. « Les clients qui viennent pour étancher leur soif et partir n'achètent pas la même quantité de boissons que ceux qui viennent seuls ou en groupe pour faire la fête avec les belles de nuit. Là, le nombre de boissons est considérable », mentionne Carlos, promoteur de bar. Il a par ailleurs ajouté que parfois, des groupes d'individus faisant la fiesta avec des filles de joie achètent jusqu'à 500 000 Fcfa de boissons. « Sans les belles de nuit, l'ambiance ici serait navrante. Il n'y aura même pas de monde dans mon bar », signale-t-il. Tout en faisant réaliser de bonnes affaires aux promoteurs de bars, buvettes et autres boîtes de nuit, les prostituées de leur côté, réussissent à mener une vie d'aisance. Pour réussir sa vie, Juanita n'a pas trouvé meilleur moyen que de se prostituer. D'après ses confidences, tous les moyens sont bons pour attirer les hommes (ses clients). « Avec l'aide d'une amie dans le métier qui m'a amenée chez son charlatan, j'ai commencé par trouver de plus en plus de clients. Et pas des moindres. Ce sont de richissimes hommes qui me procurent tous ce dont j'ai besoin », déclare-t-elle. Aujourd'hui, elle mène une vie aisée et ne se rend dans les bars, buvettes et autres boîtes de nuit que pour retrouver ses clients fidèles qui lui font appel quand ils ont besoin de ses services. « Je vis ma vie comme je l'entends. J'ai un appartement et une voiture pour mes déplacements. Celui qui me paie le loyer est là et un coup de fil suffit pour assurer l'entretien de ma voiture … », ajoute-t-elle. Dans ses déballages, Juanita a aussi révélé que le prix auquel elle se laisse faire dépend de la personnalité qui se trouve devant elle et varie de 50 000 Fcfa à 100 000 Fcfa. « Si celui qui me désire ne peut pas me payer le prix que je demande, il passe son chemin », affirme-t-elle. Mais, peu sont les prostituées qui mènent une vie pareille à celle de Juanita. La majorité d'entre elles se contentent de ce qu'elles trouvent sur le terrain et leur prix varie de 1000 Fcfa à 10 000 Fcfa et ceci suivant leur emplacement (lieu où elles exercent leur métier) ou selon que c'est avec ou sans préservatif.
Des activités parallèles pour sauver l'apparence

Les belles de nuit sont nombreuses et passent dans la journée, pour la plupart, pour des anges pour leur voisinage immédiat. Mais certaines, démasquées et rejetées par leurs parents ou voisins sont obligées de mener une activité parallèle pour cacher leur jeu. Ceci de peur de subir les injures, les critiques et commentaires de tous genres. C'est le cas de Ginette, propriétaire d'une boutique de vente de produits cosmétiques. Pour elle, c'est la seule façon de cacher la vie qu'elle mène la nuit et de surcroît, passer pour une personne normale et responsable. « Pour remédier aux petites difficultés dans ma boutique de divers et accroître mon chiffre d'affaires, je fais mes ‘'biz'' (rapport sexuel payant) », dit-elle. Poursuivant dans le même sens, Clotilde, patronne coiffeuse, révèle qu'elle se prostitue non pas pour l'argent mais pour le plaisir. « Ce n'est pas pour l'argent que je me prostitue, c'est par envie et je ne couche pas avec n'importe qui. Je le fais seulement avec ceux qui sont responsables et peuvent me donner des opportunités dans ma profession. L'argent est en dernière position », affirme-t-elle.
Entre le plaisir et le délit


Mais, contrairement à Clotilde, la plupart des filles et femmes qui s'adonnent au métier du sexe, le font pour en retour gagner de l'argent. D'ailleurs, pour le pasteur Augustin Toudji Sossa, fondateur de la Mission évangélique de la foi (Mef), utiliser le sexe comme instrument de commerce, est un péché devant Dieu. « La Bible dit dans 1 Corinthiens 4v3, ce que Dieu veut, c'est votre sanctification, c'est que vous vous abstenez de l'impudicité », a-t-il expliqué. Selon ses dires, il n'y a pas de raisons qui puisent pousser une femme à vendre son sexe. Néanmoins, a-t-il déclaré, il y a des filles qui le font parce qu'elles ont été envoûtées. Quel que soit le cas, le travail de sexe a des conséquences graves sur la santé de celles qui s'y adonnent et de leurs clients. « Outre les Ist et les maladies sexuellement transmissibles, il y a des conséquences sur le plan moral et social. Ce qui est encore grave, c'est qu'elles consomment des stupéfiants », confie le docteur François Lahamy. Il poursuit en expliquant : « la consommation des stupéfiants détruit le corps et lorsqu'elles vieillissent, elles se retrouvent dans une situation pitoyable. En dépit de tout, il leur faut des suivis médicaux car, il y a beaucoup de maladies et d'infections qui circulent ». Contrairement à ces avis, le psychologue Idevert Egue soutient que le travail du sexe joue un rôle très important pour l'équilibre de la société. Selon lui, au plan morphologique, les hommes ne sont pas faits de la même manière. « Il y a des hommes qui ont le contact facile avec les femmes alors qu'il y en a d'autres qui sont introvertis, repliés sur eux-mêmes. La travailleuse de sexe, que son interlocuteur soit bandit, maladif, vilain ou beau, rien de tout cela ne l'intéresse à part son argent. Certains hommes s'y adonnent parce qu'ils fuient la responsabilité, car lorsqu'il va chez la pute, il n'a pas besoin de connaître son cycle », explique-t-il. De plus, il note que si l'on se débarrasse de ces femmes, il faut alors trouver une solution de substitution. Il continue : « C'est impossible d'arrêter ça. Si les travailleuses de sexe arrivaient à disparaître, il est clair que le taux de viol va augmenter ». De même, remarque-t-il, en ce qui concerne les prostituées, la répétition crée l'habitude et peu à peu, elles deviennent dépendantes. Olivier, un fidèle client laisse entendre : « il est parfois mieux d'aller vers les travailleuses de sexe que de se laisser à une pute cachée qui te montre un visage innocent alors qu'en dehors de toi, elle a encore plus de 5 autres hommes dans sa vie ». Si certains pensent que cette activité est à encourager, d'autres sont carrément contre. « Le sexe n'a pas une valeur marchande », soutient le père André Quenum. Pour lui, les prostituées n'ont aucune importance pour la société quel que soit ce qui pousse les hommes à aller vers elles. « Il faut réfléchir pour trouver une solution pour ce mal car, l'homme qui serait capable du viol parce qu'il n'y a pas de prostitués est anormal. Toute une société ne peux pas fonctionner en tenant compte de gens malades », a-t-il expliqué.
Dah Kininhounmè Zocli a pour sa part signalé l'existence de ce phénomène qui, autrefois, n'avait pas cette ampleur, et déplore la multiplication des auberges qui facilite les rencontres. « Ça existait, mais pas comme aujourd'hui où on peut les voir dans tout les coins de rue avec la multiplication des chambres de passe et surtout les bars ». Il a aussi souligné que les travailleuses de sexe sont exposées à des esprits maléfiques et que ces derniers agissent aussi bien sur elles que sur leurs clients. « Elles peuvent être possédées par des esprits et ceux-ci peuvent agir sur l'homme et lui attirer la malchance. Cela peut alors entraîner des échecs répétés dans la vie de ceux qui les fréquentent. Si l'homme même avait des esprits qui le perturbaient et qu'il s'approche d'une femme qui a des esprits plus forts que les siens, cela peut s'aggraver », déclare-t-il. Certes, chacun a ses raisons en ce qui concerne le travail de sexe. Pendant ce temps, les belles de nuit procurent la joie à leurs clients au prix de nombreux désagréments qui en résultent pour les deux parties. Mais là, c'est toute une autre histoire.Félicienne HOUESSOU et Sandric DIKPE


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ZLECA : le Niger ratifie l'accord et rejoint le Ghana, le Kenya et le Rwanda

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 01:30
La Tribune Afrique - La commission de l'Union africaine a reçu en fin de semaine dernière, le document de ratification du Niger, de l'accord de...
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La bureaucratie, le fléau ‘’imbattable’’

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 01:07
C’est  si triste qu’un ministre du gouvernement reconnait et avoue que la bureaucratie ronge encore  le département des hydrocarbures, un secteur si sensible et qui semble encore être à la merci de ce mal qui le mine et tend à le paralyser.  Combien de discours la population algérienne n’a-t-elle pas entendu depuis, sur le  combat contre la corruption, la bureaucratie dévalorisant le couple intelligence/travail sur lequel doit reposer tout développement fiable et donc d’asseoir un Etat de droit ? Pour le moment c’est le statut quo et l’aveu du ministre de l’énergie que le fléau existe encore et qu’il va continue de la combattre. Ce rêve de ce ministre et si cher à tous les Algériens sera t-il réalisé un jour ? Il ne peut plus s’agir de créer ces commissions sans lendemain puisque l’Algérie avait déjà un observatoire de lutte contre la corruption qui n’a jamais fonctionné. La bureaucratie reste  une véritable camisole qui enferme toujours tout potentiel investisseur dans ses méandres, elle demeure également  un poison qui envenime la société algérienne à tous les niveaux et endommage, directement et par ricochet, son économie à telle enseigne que tout effort de développement devient infructueux et relève de l’impossible. Ce fléau, hérité du système colonial, fait obstacle à toute initiative économique et décourage manifestement les investisseurs algériens comme étrangers. De surcroît, la bureaucratie constitue la source principale d’alimentation par excellence de la corruption. Force est de constater que la bureaucratie porte atteinte à l’ordre public et va donc à l’encontre de l’intérêt supérieur de la nation. L’urgence commande qu’il faut se pencher sérieusement, sur cette question en menant une réflexion profonde sur la possibilité de mise en place d’un cadre juridique adéquat visant à purifier notre société de cette tumeur maline qu’est la bureaucratie.


L.Ammar

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AAMRAN : Distribution de vivres à des anciens militaires [PhotoReportage]

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 01:00
AAMRAN - Esprit de solidarité, il faut y croire l’Association des Anciens Militaires et Retraités de l’Armée Nationale (AAMRAN) en a fait...
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Adoption d’enfants : 830 demandes de Kafala en attente à Alger

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:38

830 dossiers de demandes de Kafala (recueil légal) d’enfants orphelins ou assistés sont en attente au niveau de la wilaya d’Alger, a indiqué mardi la vice-présidente de l’Assemblée populaire de la Wilaya d’Alger (APW) chargée des affaires sociales, culturelles et religieuses.

« 830 demandes Kafala déposées par des familles n’ayant pas eu le privilège d’avoir des enfants au niveau de la Direction de l’action sociale (DAS) sont en attente depuis 2011 malgré la hausse du nombre d’enfants assistés en manque de chaleur familiale », a déclaré à l’APS Mme Farida Djabali en marge d’une visite des membres de la Commission des affaires sociales de l’APW d’Alger à un nombre de Centres de l’enfance assistée et de personnes âgées.

« Le problème ne vient pas des services de la DAS mais de l’absence d’une actualisation du dispositif de la Kafala pour faciliter les procédures devant permettre à ces enfants de profiter d’un foyer familial et leur insertion sociale », a-t-elle expliqué .

Dans cette optique, Mme Djabali a mis l’accent sur l’impératif de « mettre à jour » les lois où un vide juridique a été relevé, notamment en termes de définition de la durée d’accueil de l’enfant dans le Centre et de délai donné à la mère biologique pour décider de l’abandon ou non de son enfant, car souvent, a-t-elle dit, la mère laisse son bébé au centre sans officialisation de l’abandon pour permettre son +adoption+ par une autre famille ».

Elle a appelé, à ce propos, à mettre en place des mesures de protection visant à mettre l’enfant sans famille dans le cadre du recueil légal afin qu’il puisse vivre au sein d’une familial à travers laquelle est préservé son équilibre psychologique Par ailleurs, la présidente de Commission des affaires sociales et culturelle de l’APW d’Alger, Mme Kadri Ahlam a indiqué que la visite a été l’occasion de constater les lacunes dont souffrent ces Centres, dont « le manque de la ressource humaine (fonctionnaires et encadreurs), qui représente un obstacle pour une bonne prise en charge des pensionnaires ».

Relevant le peu d’attrait de ces structures en raison des salaires bas, elle a cité également, entre autre les lacunes constatées par la commission, le manque de véhicules d’urgence, l’humidité dans les chambres et le délabrement des salles de bain et salles d’eau nécessitant des travaux, notamment au Centre de Sidi Moussa, qui connait des travaux de restauration du pavillon pour malades mentaux. Le même constat a été fait sans nombre de pavillons et salles d’eau du Centre pour enfance assistée d’El Mohammadia en raison des fuites d’eaux, a-t-elle fait savoir. La directrice du Centre de personnes âgées de Sidi Moussa, Mme Balhi Naïma a déclaré, pour sa part, que cette structure prend en charge 101 pensionnaires (hommes et femmes) issus de différentes wilayas du pays dont 36 personnes atteintes de déficience mentale.

Le centre a bénéficié de subventions de la wilaya d’Alger et de la Direction de l’action sociale pour la réfection de certains pavillons et la cuisine, selon la responsable qui a ajouté que « l’état du centre nécessite des réfections d’urgence ».

Mme Balhi a estimé nécessaire de placer les personnes atteintes de déficience mentale dans des centres spécialisés pour alléger la pression. La directrice de SOS-village d’enfants de Ain Taya, Tahir Siham, a mis l’accent sur les efforts du personnel médical, des psychologues, des pouponnières et des éducatrices qui prennent en charge 33 enfants dont 12 enfants atteints de différents handicaps (3 mois-22 ans), ajoutant que ces enfants qui ne font pas l’objet de demandes de prise en charge en raison de leur état de santé difficile, sont placés dans le centre sur instruction du juge des mineurs conformément à des procédures précises.

Pour sa part, Mme Ghouilem Hayet, chargée du dossier de l’enfance assistée à la direction de l’action sociale d’Alger, a fait savoir qu’il y avait plusieurs ateliers de travail réunissant les partenaires du secteur de la Solidarité nationale et de la justice dans le domaine de l’actualisation des lois relatives à la prise en charge des enfants assistés, soulignant que les pouvoirs publics œuvraient au parachèvement de la promulgation de textes d’application issus de la loi 12-15, relative à la protection de l’enfant, datée du 15 juillet 2015.

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Zemali à la radio : l’OIT veut forcer la main à l’Algérie

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:34

Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale a pointé du doigt la Commission de l’application des normes de l’Organisation internationale de travail (OIT) l’accusant de faire pression sur l’Algérie sous couvert d’un agenda suspect pour malmener la stabilité pérenne face aux vagues de destructions des pays arabes depuis 2011. Zemali a assuré que l’Algérie n’a aucun différend avec l’OIT, qualifiant la coopération avec cette dernière d’idéale et de rappeler que « celle-ci a toujours considéré que l’Algérie est un modèle à suivre ». L’invité de la Chaine 1 de la Radio Nationale est longuement revenu sur le retrait de la délégation algérienne de la réunion de ladite commission à l’occasion du 107ème congrès de l’OIT tenu à Genève, expliquant que l’Algérie a proposé, il y a un an, la réforme de la Commission d’application des normes de la Conférence. Selon l’intervenant, l’Algérie propose une composition binaire – Syndicat/Patronat – alors que l’organigramme de l’OIT est fait de tripartites à tous les niveaux de ses structures où siègent des représentant de tous les partenaires sociaux : gouvernants-syndicats-patronat. Une composition, ajoutera-t-il, qui arroge le droit à cette Commission de juger les gouvernements et fait pressions sur les Etats selon le désidérata de certains membres dont les intérêts restent suspects. « L’Algérie a plaidé depuis 2011 pour une réforme objective de cette Commission », a-t-il rappelé tout en soulignant que la stabilité de notre pays a dérangé certains qui manipulent la Confédération internationale des syndicats en connivence avec des patrons à leurs escients et se permettent de classer l’Algérie  – dans son dernier rapport – parmi les pays ne respectant pas les libertés syndicales et ce, à la base d’une plainte de deux anciens syndicalistes en litige (pour des considération internes à leurs corporations respectives) et que la justice les a déboutés. Il s’agit, selon l’orateur, d’un membre du Snapap  écarté par son congrès et le deuxième s’est autoproclamé président du syndicat de l’électricité et de gaz dissout volontairement par ses fondateurs. La Commission a, explique le ministre, curieusement entendu et agréé la plainte de ces deux ex-syndicalistes, illégalement adhérés à la Confédération internationale des syndicats soulignant que l’Algérie a répondu avec un dossier – renforcé par les décisions de la justice – apte à même de réfuter les allégations des présumés plaignants. Le ministre de Travail s’est dit surpris qu’en réponse à ce dossier, la Commission a délégué une mission pour rencontrer et entendre les deux personnes en question. Mais, dira-t-il, nous avons signifié notre refus de prendre atteinte à la souveraineté des institutions algériennes et les décisions qui en découlent par n’importe quel autre Etat, Etablissement ou organisation. « Nous considérons notre souveraineté une ligne rouge et partant j’ai ordonné le retrait de nos représentants de cette réunion », a-t-il articulé, assurant que l’écho de ce retrait a été retentissant sur la réunion sachant que plusieurs Etats souffrent de l’injustice de cette Commission qui a offert tribune à un agitateur fédéré des syndicats marocains contre l’Algérie dont le pays n’est même pas signataire de traité 87 sur les libertés syndicale ratifié en octobre 1962 par l’Algérie.

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Audi : La nouvelle Audi A1 donne rendez-vous à Barcelone

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:32

La nouvelle génération de l’Audi A1 est au coin de la rue et se met au teasing pour annoncer sa prochaine présentation qui aura lieu à Barcelone, ville qui accueillera sa production.

Inauguré d’abord sur la troisième génération d’Audi TT, avant d’être greffé aux productions récentes de la marque aux Anneaux, le « Virtual Cockpit » sera également disponible sur la nouvelle Audi A1 et sert de support grâce au système MMI Touch pour annoncer sa présentation prochaine, avant de s’offrir un premier bain de foule au Mondial de Paris.

Produite à Barcelone, la nouvelle Audi A1 affichera des dimensions plus généreuses. La petite citadine allemande va donc offrir une meilleure habitabilité, un point qui fait défaut d’ailleurs sur l’actuelle génération.

Think digital – the all new #Audi #A1 with virtual cockpit and MMI touch display. #TheNewAudiA1 #EpicModeOn pic.twitter.com/n83opaq1JP

— AUDI AG (@Audi_Press) 11 juin 2018

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Le FBI arrête 74 personnes dans le monde pour des anarques par email

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 00:30
Le Figaro - L'agence américaine de renseignements a procédé à un grand coup de filet aux États-Unis sur trois continents. Plus de 14 millions...
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Maché automobile mondial : Après Proton, la Malaisie veut une nouvelle marque nationale

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:27

Le Premier ministre malaisien, ayant présidé Proton jusqu’en 2016, a évoqué la possibilité de relancer une nouvelle « voiture nationale », après l’entrée d’un groupe chinois au capital de Proton.

« Notre ambition est de démarrer une autre voiture nationale, peut-être avec l’aide de nos partenaires en Asie », a affirmé Mahathir Mohamad au cours d’une visite à Tokyo. « Nous voulons accéder au marché mondial », a
 t-il ajouté, regrettant que la marque Proton soit passée dans des mains étrangères.

Proton, né de l’ambition de Mahathir Mohamad de s’associer au décollage des « tigres asiatiques », a entamé la production de voitures particulières au début des années 1980 sur la base de modèles Mitsubishi Motors, et a brièvement exporté des véhicules en Europe occidentale au début des années 1990. La marque, aux modèles jugés peu imaginatifs et de piètre qualité, a fini par être cédée en 2012 au groupe malaisien DRB-HICOM qui n’a pas réussi à redresser la barre.

Face au recul des ventes et à un important endettement, Mahathir Mohamad a décidé de chercher l’an dernier un « partenaire étranger stratégique ». PSA avait alors fait part de son intérêt, mais c’est finalement Geely, propriétaire de Volvo, qui a acquis 49,9 % de Proton (DRB-HICOM restant détenteur des 50,1 % restants).

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Porsche : Ouverture de l’exposition « 70 ans de voitures de sport Porsche »

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:20

À l’occasion des 70 ans du constructeur de voitures de sport, le musée Porsche organise une exposition temporaire consacrée à la passion Porsche pour les voitures de sport : 70 years of Porsche sportscars.

La cérémonie d’ouverture qui s’est tenue vendredi dernier est incontestablement le moment fort de cette année riche en événements festifs, Wolfgang Porsche, président du Conseil de surveillance de Porsche AG, Oliver Blume, président du Directoire de Porsche AG, et Uwe Hück, vice-président du Conseil de surveillance de Porsche AG, ont ainsi pu retracer l’histoire de la marque depuis sa naissance : le 8 juin 1948, date à laquelle la Porsche 356/1 Roadster a été homologuée. Depuis lors, de nombreuses sportives Porsche ont vu le jour. Aujourd’hui, la marque fait figure de référence en matière de sportivité, de plaisir de conduire, d’innovation, de design et de fonctionnalité.

À travers de nombreuses pièces de collection et l’évocation des moments forts qui ont jalonné l’histoire de la marque, l’exposition revient sur la formidable contribution de Porsche au développement de la voiture de sport depuis 1948 et sur les innovations techniques majeures introduites par Porsche depuis 70 ans. De la légendaire Porsche 356/1 Roadster de 1948 au Taycan, la première sportive Porsche 100 % électrique, plus de 75 modèles d’exposition invitent le public à se plonger dans le passé et le futur de la marque.

Le parcours des visiteurs de l’exposition commence par la « toute première voiture de sport », la 356/1 Roadster, qui fête ses 70 ans cette année. Ce modèle unique fait de Porsche l’un des seuls constructeurs au monde à être encore en possession du tout premier modèle jamais construit par la marque.

Le sport automobile a toujours joué un rôle majeur pour Porsche. Tout au long de son histoire et aujourd’hui encore, la marque a développé et testé de nouvelles technologies sur des modèles de course qui figurent aujourd’hui au panthéon du sport automobile. Ce principe continue de façonner « le futur de la voiture de sport », comme en témoigne le Taycan, qui sera lancé sur le marché en 2019. Ce modèle, qui sera la première sportive Porsche entièrement électrique, bénéficiera de l’expérience accumulée avec la 919 Hybrid, victorieuse aux 24 Heures du Mans. Différents projets numériques seront également présentés, notamment la connectivité des voitures via Porsche Connect ou encore la protection des données personnelles à l’aide de la technologie blockchain (chaîne de blocs) dans les voitures de sport. L’exposition sera également ponctuée d’expériences interactives. Une application de réalité augmentée sera ainsi présentée sur le Taycan. Les visiteurs qui regardent la voiture avec des lunettes de réalité virtuelle pourront visualiser simultanément des informations complémentaires sur les technologies utilisées sur le Taycan.

L’année 2018 sera marquée par de nombreux événements organisés à l’échelle mondiale à l’occasion des 70 ans de Porsche. Ainsi, le 9 juin, Porsche a invité les amateurs de la marque à participer à l’événement « Sportscar Together Day », organisé sur tous les sites de son réseau de distribution à travers le monde.

D’autres événements festifs seront également organisés pour marquer l’anniversaire de la toute première sportive Porsche, notamment à l’occasion du « Festival of Speed » au circuit de Goodwood, en Angleterre (du 12 au 15 juillet), ou lors du célèbre rassemblement « Rennsport Reunion » en Californie (du 27 au 30 septembre). En guise de bouquet final, la fameuse « Sound Night » se tiendra pour la première fois à la Porsche Arena de Stuttgart, le 13 octobre prochain.

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BMW Group : Les brevets de la BMW Z4 en fuite

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 00:18

Quelques jours à peine après le premier teasing annonçant l’arrivée de la Z4, le nouveau modèle de BMW laisse découvrir ses lignes suite à une fuite de brevets de propriétés intellectuelles.

Long capot, porte-à-faux court, capote en toile et centre de gravité bas, le deux places sportif disposera d’un nouveau six-cylindres, une suspension sport abaissée avec amortisseurs à commande électronique, un essieu avant nouvellement développé, des roues en alliage léger M avec pneus mixtes, un système de freinage sport M et un différentiel à glissement limité….

La BMW Z4 sera présentée en avant-première mondiale à la prochaine réunion de Pebbel Beach au mois d’août, réunion qui a également été le lieu de la présentation du fabuleux Concept Z4 et dont la première mondiale face au public a été lors du Salon de Frankfurt, laissant donc présager une première mondiale au Mondial de Paris

Source photos : Autoweek.nl.

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Multiplication des points de vente de fruits et de pain à Nouakchott : L’informel engendre le désordre

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 00:00
Tawary - Le commerce déstructuré au niveau des différents quartiers de Nouakchott a pris de l'ampleur ces derniers temps et surtout en ce mois...
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