250 g de farine, 125 g de beurre + 15 g pour les moules, 125 g de sucre en poudre, 1 œuf, du sucre glace, 1/2 cuil. à café de sel, 100 g de confiture, au choix (réservez un peu de farine pour le plan de travail)
Préparation:
-Mettez la farine, le sel, le beurre coupé en morceaux et le sucre dans le bol d’un robot. Mixez à grande vitesse jusqu’à obtention d’un mélange sableux.
-Ajoutez l’œuf en mixant encore jusqu’à obtention d’une boule de pâte que vous mettrez au frais pendant 30 minutes, enveloppée dans du film alimentaire.
-Allumez le four thermostat 7 (210°).
-Étalez la pâte sur le plan de travail fariné.
-Découpez-la à l’aide d’un emporte- pièces.
-Avec un emporte-pièces plus petit, faites un trou au milieu de la moitié des morceaux de pâte à sablés.
-Disposez tous les sablés sur la plaque du four couverte de papier sulfurisé.
-Faites-les cuire pendant 10 minutes.
-Laissez-les refroidir. Tartinez les sablés entiers de confitures et posez dessus ceux troués.
-Saupoudrez de sucre glace.
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Les candidats au baccalauréat 2018 plancheront dans quelques semaines.
Les candidats ont déjà commencé à retirer leurs convocations depuis, le jeudi 7 juin dernier.
Dans un communiqué, le directeur de l'Office du baccalauréat, Alphonse da Silva, explique quelques points de l'organisation et des dispositions prises pour que cet examen national se déroule dans les meilleures conditions.
« Cette année, le taux général de candidature est moins élevé. L'année dernière, nous avions eu plus de 115 000 candidats. Cette année, nous aurons 108 000 candidats », a déclaré le directeur de l'Office du Bac. Selon lui, cette baisse s'explique d'une part par le fort taux d'admission qu'il y a eu l'année passée et d'autre part, par le fait que les candidats, leurs parents et les enseignants respectent effectivement les consignes qui sont données pour que les candidats qui ne sont pas bien préparés, ne se présentent pas au baccalauréat pour un pèlerinage ou un échec. « Lorsque vous allez au baccalauréat, c'est pour réussir. Donc les candidats et leurs parents en ont pris conscience », a-t-il martelé.
Parlant des mesures prises pour que cet examen se passe dans les meilleures conditions, le directeur a annoncé que de nouveaux centres ont été ouverts à savoir les centres de Boukoumbé et d'Agouagon. Aussi, il y a-t-il une collaboration entre les trois ordres d'enseignement notamment ceux du secondaire qui sont à plus de 75 % les acteurs intervenant dans le Bac, les inspecteurs, sans oublier les enseignants du supérieur et du primaire qui interviennent respectivement en tant que superviseurs et dans le secrétariat. « Nous sommes en bonne relation et avec eux, nous discutons de l'amélioration des conditions dans lesquelles se déroule cet examen », a-t-il expliqué. Il a mentionné qu'il est à la phase de tirage des épreuves issues du tri. Ces épreuves qui tiendront compte de l'ambiance nationale sans dégrader la qualité de ces dernières. « Les candidats auront des épreuves à leur portée et le candidat moyen devrait réussir », a-t-il affirmé.
Abordant les réformes pour garantir la sécurité complète de l'examen du Bac, Alphonse da Silva a avoué que depuis quelques années, il n'y a plus de fraudes, de fuite de sujets parce que les précautions qui sont prises en amont sont très méticuleuses. « Je reste convaincu que la préparation du baccalauréat béninois est un travail fait dans la plus grande sécurité. C'est pourquoi, ce Bac est toujours convoité dans la sous-région », a-t-il ajouté.
Les candidats notamment ceux du public, ont subi trois mois de grève et ont connu une année scolaire secouée. Les compositions étaient normalement prévues pour le 18 juin et reportées pour le 16 juillet. A cet effet, le directeur rassure les candidats en ces termes « (...) nous tenons compte de ces situations pour mettre les candidats dans des conditions physiques et psychologiques optimales pour leur réussite. Les épreuves ne sont donc pas choisies au sort mathématiquement ». M
da Silva remercie tous ses collaborateurs et les exhorte à plus d'abnégation pour vaincre tout ce qui pourra constituer une barrière tendant à hypothéquer la réussite des candidats.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale a pointé du doigt la Commission de l’application des normes de l’Organisation internationale de travail (OIT) l’accusant de faire pression sur l’Algérie sous couvert d’un agenda suspect pour malmener la stabilité pérenne face aux vagues de destructions des pays arabes depuis 2011.
M. Zemali a assuré que l’Algérie n’a aucun différend avec l’OIT, qualifiant la coopération avec cette dernière d’idéale et de rappeler que « celle-ci a toujours considéré que l’Algérie est un modèle à suivre ».
L’invité de la Chaine 1 de la Radio Nationale est longuement revenu sur le retrait de la délégation algérienne de la réunion de ladite commission à l’occasion du 107ème congrès de l’OIT tenu à Genève, expliquant que l’Algérie a proposé, il y a un an, la réforme de la Commission d’application des normes de la Conférence. Selon l’intervenant, l’Algérie propose une composition binaire – Syndicat/Patronat – alors que l’organigramme de l’OIT est fait de tripartites à tous les niveaux de ses structures où siègent des représentant de tous les partenaires sociaux : gouvernants-syndicats-patronat.
Une composition, ajoutera-t-il, qui arroge le droit à cette Commission de juger les gouvernements et fait pressions sur les Etats selon le désidérata de certains membres dont les intérêts restent suspects. « L’Algérie a plaidé depuis 2011 pour une réforme objective de cette Commission », a-t-il rappelé tout en soulignant que la stabilité de notre pays a dérangé certains qui manipulent la Confédération internationale des syndicats en connivence avec des patrons à leurs escients et se permettent de classer l’Algérie – dans son dernier rapport – parmi les pays ne respectant pas les libertés syndicales et ce, à la base d’une plainte de deux anciens syndicalistes en litige (pour des considération internes à leurs corporations respectives) et que la justice les a déboutés.
Il s’agit, selon l’orateur, d’un membre du Snapap écarté par son congrès et le deuxième s’est autoproclamé président du syndicat de l’électricité et de gaz dissout volontairement par ses fondateurs.
La Commission a, explique le ministre, curieusement entendu et agréé la plainte de ces deux ex-syndicalistes, illégalement adhérés à la Confédération internationale des syndicats soulignant que l’Algérie a répondu avec un dossier – renforcé par les décisions de la justice – apte à même de réfuter les allégations des présumés plaignants.
Le ministre de Travail s’est dit surpris qu’en réponse à ce dossier, la Commission a délégué une mission pour rencontrer et entendre les deux personnes en question. Mais, dira-t-il, nous avons signifié notre refus de prendre atteinte à la souveraineté des institutions algériennes et les décisions qui en découlent par n’importe quel autre Etat, Etablissement ou organisation.
« Nous considérons notre souveraineté une ligne rouge et partant j’ai ordonné le retrait de nos représentants de cette réunion », a-t-il articulé, assurant que l’écho de ce retrait a été retentissant sur la réunion sachant que plusieurs Etats souffrent de l’injustice de cette Commission qui a offert tribune à un agitateur fédéré des syndicats marocains contre l’Algérie dont le pays n’est même pas signataire de traité 87 sur les libertés syndicale ratifié en octobre 1962 par l’Algérie.
« Curieusement, 6 pays seulement – sur 23 présents – ont voté pour la condamnation de l’Algérie ce qui renseigne, on ne peut plus clair sur le caractère de complotite flagrant qui a trahit les instigateurs et leur démarche », conclut le ministre.
L’Algérie, rappelle-t-il, a adhéré à l’OIT juste après son indépendance avec la ferme conviction que le militantisme syndicale était un bras de la glorieuse révolution. Il a ajouté que l’Algérie a ratifié, outre le traité 87 sur les libertés syndicales, 60 traités dont huit fondamentaux que bon nombre de pays ont refusé d’y émarger.
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« La production nationale doit respecter les standards internationaux, un préalable indispensable à toute opération d’exportation », a déclaré, mardi à Sidi Bel Abbes, le ministre du commerce, Said Djellab, qui effectue une visite de travail dans cette wilaya.
Faisant allusion, sans doute, à la récente affaire de refoulement de marchandises algériennes à l’étranger, M. Djellab veut encourager et surtout inciter les entreprises exportatrices à faire preuve de plus de professionnalisme, pour réussir leurs opérations de commerce extérieur.
Le choix des entreprises, inscrites dans le programme de visite du ministre du Commerce qui comprend 4 entreprises, publiques et privées, tournées vers l’exportation (2 entreprises de production de matériel hydraulique et de composants électriques, une société agroalimentaire et une exploitation agricole), témoigne de la nouvelle démarche des pouvoirs publics qui incitent les opérateurs économiques à exporter leurs produits hors hydrocarbures.
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L’émission L’invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne recevait, mercredi, un spécialiste des questions internationale, venu décortiquer les résultats attendus de la récente rencontre entre les dirigeants Nord Coréen et Américain à Singapour.
Pour l’ancien ministre et analyste politique, Mohamed Laïchoubi, il s’agit là d’un évènement « surprenant pour certains », marquant le début d’un long processus duquel émerge un enjeu stratégique du « nouveau monde qui se dessine ».
Même si, dit-il, Kim Jung Un et Donald Trump sont des personnalités politiques « assez particulières », ce dernier, en particulier, présenté par les médias comme un personnage « fantaisiste et sans vision », n’en ébranle pas moins les intérêts stratégiques Européens et Asiatiques.
De l’enjeu de la rencontre entre les deux hommes, M. Laïchoubi estime qu’elle a permis à Trump de se présenter auprès de son électorat comme celui qui a obtenu de la Corée du Nord un « premier pas fondamental », que n’auront pu réaliser ses prédécesseurs.
Commentant le communiqué sanctionnant la rencontre de Singapour, l’intervenant y décèle que d’importantes étapes relatives à des questions de principe y « ont été certainement arrêtées ».
Il n’empêche, observe-t-il, que le dossier des relations entre la Corée du Nord et les USA est complexe en ce sens, ajoute-t-il, que la présence militaire de ces derniers dans la région dérange la Chine, laquelle entend éviter tout affrontement pour pourvoir « dans une relative quiétude » développer ses capacités stratégiques.
L’intervenant souligne, par ailleurs, que le « ghotta » de la création de richesse, réunissant la Chine, le Japon, l’Inde, la Russie et la Corée du Sud se trouve situé dans cette partie du monde, sur laquelle Washington entend peser par sa présence.
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L’Assemblée générale de l’ONU vote, mercredi, sur un projet de résolution condamnant Israël pour les massacres entrepris contre la population du ghetto de Gaza, un texte auquel les USA entendent comme à leur habitude s’opposer.
Après que Washington ait bloqué une résolution relative à cette question au Conseil de sécurité, les pays Arabes se sont alors tournés vers l’Assemblée générale pour obtenir une condamnation de l’occupant de la Palestine.
Le texte demande l’adoption de mesures destinées à protéger les civils Palestiniens, après que 129 parmi eux aient été froidement tués à Gaza par des tirs à balles réelles effectués par des snippers israéliens.
L’Assemblée de 193 pays votera un texte présenté conjointement par l’Algérie et la Turquie au nom de la Ligue Arabe et l’Organisation de la coopération islamique.
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Les familles Algériennes pourront passer leurs vacances dans des hôtels publics et privés « à des prix abordables », grâce à des « remises de 20 à 30% » qui leur seront consenties, a annoncé, mardi, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat.
En marge d’une cérémonie de signature de deux conventions permettant aux travailleurs d’accéder aux prestations d’établissement hôteliers publics et privés à des prix abordables, M. Abdelkader Benmessaoud a expliqué que cette initiative vise à « encourager le tourisme local au profit des nationaux.
M. Benmessaoud a précisé que ces deux conventions seront opérationnelles « tout au long de l’année et pas seulement durant la saison estivale ».
La première convention, signée par le président du groupe public Hôtellerie, tourisme et thermalisme (HTT), Lazhar Bounafaâ, le Secrétaire national chargé des relations générales à l’UGTA Ahmed Guettiche, permettra à des milliers de familles de bénéficier de prestations à prix réduits.
La deuxième convention, signée par le président du groupe public HTT et le représentant de la Fédération nationale des hôteliers comptant 1.900 établissements hôteliers privés permettra d’impliquer le secteur privé dans la nouvelle dynamique que connait le secteur du Tourisme à travers la promotion du tourisme local.
A cette occasion, le ministre a fait savoir que « 60 établissements hôteliers entreront en service durant cette saison estivale au niveau des villes côtières permettant ainsi de renforcer les capacité d’accueil. Il s’est, par ailleurs, félicité des importants investissements dans le domaine du Tourisme dans les régions côtières et sahariennes ainsi que dans les zones thermales.
M. Benmessaoud a invité la communauté Algérienne à l’étranger à venir participer à cette démarche et « contribuer à la relance du tourisme local », exhortant tous les acteurs et les professionnels à hisser la qualité des services et à faire montre de professionnalisme en termes d’accueil des touristes.
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Par Wahida Bahri,
Outre le jeûne, le mois de Ramadhan est aussi cette occasion pour ancrer les préceptes religieux de l’islam.
Leïlat El Qadri ou nuit du Destin, a été comme chaque 27ème jour du mois de Ramadhan, un repère pour cimenter les liens religieux et sociaux. Ces rites et coutumes que la population annabie s’emploie à perpétuer, témoignent de son attachement au référent religieux.
Cette année, la veillée religieuse de Leïlat El Qadrii ne pouvait pas passer inaperçue dans la ville d’Abou Marouane Echarif, Sidi Brahim Ben Taoumi, Ahmed El Bouni et les autres. Synonyme de revivification des traditions sociales et religieuses, la célébration de cette nuit dénote de la sacralité de l’évènement et de la portée
socio religieuse de la commémoration d’évènements sociaux, sans enfreindre les habitudes et les règles religieuses. C’est cet attachement aux traditions et aux valeurs religieuses, que la population annabie a, une fois de plus mis à profit Leïlat El Qadri pour renforcer les aspects de solidarité et d’entraide, d’ancrer les préceptes de l’islam parmi les générations futures. Ces générations à qui on se doit d’ancrer les valeurs religieuses et enraciner l’appartenance à l’islam. Un processus qui passe par leur apprentissage du Saint Coran, à travers des concours organisés par les organes en charge d’encourager son apprentissage.
Un apprentissage qui, faut-il le noter, attire de plus en plus de jeunes, avides d’apprendre et de réciter couramment les mots de Dieu.
Ainsi, devenue une tradition pour les Annabis, les lauréats du concours d’apprentissage du Coran, ont été honorés, en grande pompe. Coïncidant avec Leïlat El Qadri, la cérémonie a transformé le Cours de la révolution, en un théâtre grandeur nature, permettant à un plus grand nombre de personnes d’assister à la cérémonie de commémoration des lauréats, mais surtout, les inviter à partager la veillée de la nuit du Destin. La soirée a été marquée par la présence des autorités locales, militaires, civiles et religieuses de la wilaya de Annaba. Des officiels qui se sont fondus au sein d’une population qui, dans une ambiance aussi émotionnelle qu’émouvante, témoigne de la portée spirituelle et sociale de l’événement. La foule drainée par l’organisation de la célébration de l’événement en plein air, a fait de Annaba l’invité de marque de Leïlat El Qadri. C’est pour dire que, si l’ambiance et l’atmosphère ramadhanesques d’antan se sont quelque peu estompées, sous les affres de la vie et du temps, la veillée de Leïlat El Qadri, a gardé la même ferveur car, elle est la fête de la révélation du Saint Coran. Et sa perpétuation dans le temps et dans l’espace par les populations annabies, toutes autant que leurs concitoyens à travers le pays et le Monde arabe, témoigne de leur attachement au référent religieux de l’islam.
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L’édition 2018 du festival de Timgad sera organisée avec un nouveau commissaire et cet évènement sera «national par excellence», a affirmé, dimanche soir à Batna, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi. L’Artiste Youcef Boukhentach, enfant de la région des Aurès, a été officiellement nommé commissaire du festival après de larges consultations dans les milieux artistiques, a indiqué le ministre, qui présidait en compagnie du wali Abdelkhalek Sayouda une cérémonie de distribution des clés de 2 840 logements de différentes formules à la Maison de la culture «Mohamed Laid Al Khalifa». «Nous avons voulu donner la chance à une grande figure artistique, qui a son poids et jouit d’un large respect, et nous le soutiendrons surtout que sa nomination a été bien accueillie dans la capitale des Aurès», a indiqué Azzedine Mihoubi, jugeant nécessaire de donner «un nouveau souffle au festival de Timgad ainsi qu’au festival de Djemila à Sétif».
La 40ème édition du festival de Timgad sera «nationale par excellence» et l’occasion y sera donnée au plus grand nombre possible de voix algériennes, a-t-il assuré, estimant que le rôle du secteur de la culture est d’encourager les talents algériens et favoriser leur évolution. «Cela ne signifie pas que le festival se recroquevillera sur le national car nous allons chercher des formules pour une participation internationale étudiée», a ajouté le ministre, affirmant: «Nous ne voulons pas que 80% du budget du festival aillent à la participation internationale et 20% à la participation nationale car il faut donner davantage de chances aux voix algériennes».
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La communauté chrétienne en Algérie est aux anges. C’est le cas de le dire puisque trois églises qui étaient fermées à Oran, ont été autorisées à rouvrir leurs portes. On croit savoir en effet que le wali d’Oran a en effet signé un décret ordonnant la réouverture de ces trois lieux de culte. Les dirigeants des églises ont été informés de cet ordre reçu également par les agents de sécurité qui ont procédé à l’enlèvement des sceaux qui avaient été placés sur les portes des locaux des trois édifices religieux. Ainsi, les églises de Aïn Türck (30 km à l’ouest d’Oran), d’Oran et d’El Ayaïda (à 35 km à l’est d’Oran) avaient été fermées en novembre 2017 et février 2018. En réalité, cette opération n’a rien de bien particulier puisque la liberté de culte est garantie par la Constitution algérienne.
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Le chanteur britannique Robbie Williams chantera demain à la cérémonie d’ouverture du Mondial-2018 en Russie, un «rêve d’enfant», a-t-il commenté lundi dernier. L’ancien membre du groupe Take That, fan de football, est «très heureux et impatient de retourner en Russie pour cette performance unique». «J’ai fait beaucoup de choses dans ma carrière, et faire l’ouverture de la Coupe du monde de la FIFA devant 80 000 fans de football dans le stade et des millions dans le monde entier est un rêve d’enfant», a déclaré l’interprète notamment de «Angels», «She’s the One» ou «It’s Only Us» dans un communiqué, promettant un «spectacle inoubliable».
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Par Aomar Mohellebi,
La direction de la culture de Tizi Ouzou a, depuis quelques années, opté pour ce choix judicieux qui consiste à honorer les artistes et les hommes de culture «avant qu’il ne soit trop tard».
La soirée ramadhanesque de samedi à dimanche derniers a été exceptionnelle puisque la grande salle de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a abrité un hommage émouvant au grand chanteur kabyle Rachid Mesbahi, auteur et interprète de plusieurs chansons ayant marqué à vie plusieurs générationsn, dont la mythique «Farredj ya rabbi faredj». Rachid Mesbahi qui a fait son apparition sur cette scène de la ville de son enfance était extrêmement content suite à cet hommage qui arrive au bon moment. Car l’on avait tendance à ne rendre hommage à nos artistes qu’une fois décédés ou au «mieux» une fois que leur état de santé s’était détérioré. Mais la direction de la culture de Tizi Ouzou a, depuis quelques années, opté pour ce choix judicieux qui consiste à honorer les artistes et les hommes de culture «avant qu’il ne soit trop tard».
C’est donc un Rachid Mesbahi aux anges qui était apparu sur scène samedi dernier, en présence d’une pléiade de célèbres chanteurs kabyles dont Ouazib Mohand Améziane, Taleb Tahar, Saïd Khazem… La soirée à laquelle ont pris part plusieurs responsables locaux, à l’instar du secrétaire général de la wilaya, du président de l’APC de Tizi Ouzou, Ouahab Aït Menguellet ainsi que de la directrice de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, Nabila Gouméziane, a vu d’abord plusieurs chanteurs se produire en première partie en interprétant l’une des chansons fétiches composées et chantées par Rachid Mesbahi. Après quoi, ce dernier, sous les youyous et les applaudissements, est monté une seconde fois sur scène pour chanter cette fois-ci. Accompagné d’un orchestre professionnel et d’une belle chorale composée de trois jeunes filles aux voix angéliques, Rachid Mesbahi a fait voyager l’assistance dans le temps et l’espace. Ses plus belles chansons ont été de la partie, mais par intermittence, cette vedette a interprété une ou plusieurs chansons d’artistes mythiques avec lesquels il a travaillé pendant des années et partagé des moments d’amitiés inoubliables.
Des chanteurs légendaires comme Dahmane El Harrachi, Slimane Azem, El Hasnaoui, Matoub Lounès et Akli Yahiatène. Lors de cette soirée d’hommage, Rachid Mesbahi a interprété six chansons de Dahmane El Harrachi, en maniant sa voix de telle sorte que la ressemblance soit frappante. Rachid Mesbahi, en prenant la parole entre deux chansons, n’a pas oublié de rappeler à quel point il adule l’artiste Dahmane El Harrachi, avec lequel il a travaillé pendant longtemps dans le même orchestre. «El Bahdja», «Ya rayah» et tant d’autres succès de Dahmane El Harrachi ont été revisités par Rachid Mesbahi qui a également chanté deux chansons de Slimane Azem et l’éternelle «Sani sani atruhed» d’El Hasnaoui. Avant que le public n’insiste longuement pour que Rachid Mesbahi interprète une chanson de Matoub Lounès. Quand il entend le nom du Rebelle, Rachid Mesbahi est gagné par l’émotion. Il ne sait quoi répondre. Après quelques secondes de silence, il répond à plusieurs jeunes qui scandaient le nom de Matoub Lounès:
«Si ça ne tenait qu’à moi, j’aurais ramené Matoub Lounès lui-même ici pour qu’il vous chante en personne. Nous aimons tous Matoub bien qu’il soit décédé.» «Non, il n’est pas mort», répliquent en choeur et spontanément les spectateurs. Rachid Mesbahi interprète alors à sa manière et avec son cachet particulier la chanson de Lounès, «Slaâvits ayavahri». La salle s’enflamme. Pour rappel, Rachid Mesbahi a participé, en tant que musicien dans de nombreux albums enregistrés par Matoub Lounès. On retrouve sa touche inimitable au mandole, particulièrement dans les albums chaâbi, de Matoub, en 1991 intitulés «Izriw» et «Regard sur l’histoire d’un pays damné». La soirée dédiée à Rachid Mesbahi s’est poursuivie ainsi jusqu’à 1 heure du matin. Celui-ci a bien sûr interprété ses meilleures chanson comme: «Ayemma aâzizen», «Ayafroukh huz afriwen», «Asa fellak dh assaâdi»… L’un des moments les plus forts de cette soirée a été celui où Rachid Mesbahi a interprété en duo avec sa petite-fille l’un de ses plus célèbres titres:
«Dhkem idelaâmriw.» Des cadeaux ont été remis à Rachid Mesbahi par les organisateurs avant que le rideau ne tombe sur cette émouvante soirée où la ville de Tizi Ouzou, qui a aussi donné d’autres artistes de renom dont Sami El Djazairi. Il y a lieu de rappeler que Rachid Mesbahi est né durant la Seconde Guerre mondiale en 1942, au quartier appelé communément la haute ville de Tizi Ouzou, précisément au lieudit Houmt El Djemaâ. Très jeune, Rachid Mesbahi faisait de petits métiers dont celui de cireur dans les rues et les venelles de la ville pour aider un tant soit peu son père, afin de subvenir aux besoins de la famille, sans pour autant négliger sa véritable passion qu’était la musique où chaque soir, il grattait les cordes d’une guitare de fortune fabriquée à partir d’une boîte de lubrifiant en métal et d’un manche en bois. Avec le temps, Rachid Mesbahi a fini par manier aisément presque tous les instruments de musique pour devenir par la suite un virtuose du mandole. Adolescent, il quitta définitivement son pays afin de s’installer à Paris pour enfin devenir un musicien incontournable pour tous les interprètes de la chanson algérienne dans l’Hexagone.
Le mandole fut et restera toujours son instrument de prédilection afin d’accompagner des sommités du chaâbi et de la chanson kabyle, à l’image de Dahmane El Harrachi, Matoub Lounès, Akli Yahiatène, Allaoua Zerrouki et tant d’autres. Entre-temps il compose et interprète ses propres oeuvres qui resteront gravées dans les annales de la chanson kabyle.
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Par O Hind,
Compositeur, pianiste et chanteur, Antonio Maiello était accompagné d’une dizaine de musiciens issus de différents horizons géographiques et culturels…
Dans le cadre du programme «La Route de la soie et du savoir» l’Institut culturel italien d’Alger avec la collaboration du ministère de la Culture et l’Oref a convié le public dimanche soir à un très beau concert «Antonio Maiello et les amis du monde» à la Salle Ibn Zeydoun. Compositeur, pianiste et chanteur, Antonio Maiello était accompagné de l’ensemble «Les amis du monde», composé d’artistes de différents horizons géographiques et culturels, pour représenter la richesse de la diversité musicale méditerranéenne. De la musique maghrébine se mélangeait savamment à des airs lyriques du répertoire italien, dans un mélange qui touche au blues et au jazz.
En effet la salle Ibn Zeydoun était constituée d’une dizaine d’artistes et de musiciens entre Algériens et autres étrangers, chacun donnait le meilleur de lui-même dans une symbiose parfaite avec le reste de l’accord rythmique. Pour se faire une idée sur la large palette musicale qui s’est jouée hier soir, notons que cette formation exceptionnelle englobait la participation de musiciens de plusieurs nationalités. On citera au piano Antonio Maeillo, au chant jacqueline Maria Ferry, et au saxophone Alessandro Tomei, tous les trois venus d’Italie, aux percussions Lotfi Saoua de Tunisie, aux violons Ahmed Bouifrou, Sarah Saïdi, Mouna Bennamani d’ Algérie, à la violoncelle Hichem Chergui d’Algérie, à la flûte Massine Bouchakour d’ Algérie, à la guitare Yanis Hamchaoui d’ Algérie, à la basse Moussa Oukazi d’ Algérie et enfin au oud (luth) Riadh Boualem d’Algérie aussi.
Dans une atmosphère reposante, le groupe alternait des morceaux apaisants, méditatifs et d’autres plus entraînants, rehaussés parfois par la voix rock de la chanteuse italienne et la participation bien épicée tantôt d’un bendir ou d’une flûte et autres instrument bien de chez nous.
Le public était invité à suivre le tempo et prendre part à la magie de ce concert qui s’est terminé en beauté après nous avoir fait voyager dans les cimes merveilleuses de la Méditerranée et ses volutes sensorielles. Antonio Maiello pour info, a commencé la musique en entamant une carrière solo au début des années 70 avant de rencontrer Marcello Cirilo et de former le duo qui fera le tour de l’Italie: Antonio & Marcello.
En plus de la musique, Maiello s’intéresse au théâtre et à la peinture. Afin de fusionner ses passions, il met en place deux opérettes qu’il dirigera. Fondateur de l’Orchestre symphonique de la musique populaire méditerranéenne, il revient à ses premiers amours depuis les années 2000.
La palette donnée à entendre en tout cas dimanche soir était hautement colorée, ce qui n’était pas pour déplaire au public qui était reparti ravi et bien surpris après avoir goûté à de belles émotions consenties grâce à cette musique universelle qui rassemble.
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Par référence aux rochers qui bordent ses deux rives, le Djebel Tarik, communément appelé le détroit de Gibraltar, doit son nom à Tarik Ibn Ziad qui accompagné d’une armée de seulement 12.000 hommes, a fait la conquête de l’Espagne qui était en 711 sous le règne du roi Wisigoth Rodrigue. La lutte, comme toutes celles qui l’ont précédée dans l’histoire des conquêtes, fut certes ardue mais fructueuse si bien que l’Espagne ne tarda pas à devenir musulmane. Il y eut alors de nombreuses conversions à l’Islam, par conviction religieuse, sinon par considération économique en ces temps difficiles du début du 8e siècle.
Une vie dans le respect de la diversité ethnique
Fidèles à leurs traditions légendaires, les musulmans gouvernent dans le respect de la vie des autochtones, ceci d’abord sous la dynastie des Omeyyades dont Abderrahmane 1er fonda l’émirat de Cordoue (756-1031), érigé en califat en 929, puis sous celle des Abbassides de 751 à 1258, l’Andalousie a connu pendant huit siècles des moments de gloire immense en servant de pont entre la civilisation orientale et la civilisation occidentale. Une preuve que la population dans sa diversité a vécu en harmonie avec l’environnement, c’est le processus de développement urbain qui s’est poursuivi des siècles durant dans le même style moyen-oriental qui a beaucoup inspiré, bien après la chute de l’Andalousie, bien des pays occidentaux soucieux de rehausser l’esthétique des grands édifices d’utilité publique.
A titre d’exemple, Cordoue, citée ci-dessus comme une fondation omeyyade, fut la plus peuplée et la plus marquée par les mouvements intellectuels. Avec ses nombreuses mosquées (plus de 1 000), elle était devenue la capitale musulmane bien qu’elle ait été dominée par les Byzantins. C’est la ville qui mérite l’appellation de pont entre l’Orient et l’Occident. Abderrahmane 1er y fit construire la mosquée la plus célèbre connue sous le nom de mosquée de Cordoue, 30 ans après l’occupation, pour servir de symbole de pouvoir et de religion arabo-musulmane. Inspirée de l’architecture syrienne par une prédominance des tours, elle fut mise en valeur par le fils d’Abdelkader, Hicham, sous l’autorité duquel 600.000 manuscrits ont vu le jour dans ce berceau de l’Islam.
Dans le royaume de Taïfa, une autre ville non négligeable, Tolède qui devient un centre de convergence des savants des 3 religions monothéistes, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais de meilleur exemple d’unité dans la plus grande diversité ethnique. Et parmi les royaumes de Taïfa, de petits Etats arabes de l’Espagne médiévale s’étaient formés après la disparition de Cordoue (1031). Nous ouvrons cette parenthèse pour dire que cette division de l’Andalousie en une multitude de petits Etats est un signe avant- coureur d’une chute certaine. On n’avait pas compris, et jusqu’à aujourd’hui les pays musulmans refusent de le comprendre, que la division est un facteur de disparition certaine.
Par exemple, Cordoue avait été reprise par les ennemis avant de réapparaître dans le giron de l’Islam en 1236. Il y eut ensuite l’apparition de Séville comme ville royaume la plus importante. C’est un calife almohade qui décida de la transformer en 2e capitale après Marrakech. Mais cette ville fut reconquise en 1248, bien que de nombreux savants aient contribué à sa grandeur comme nouvelle terre d’accueil. Parmi toutes ces villes capitales de petits royaumes, Grenade occupa une grande place pour ses débats théologiques et son merveilleux édifice érigé par un souverain nasride, l’Alhambra, restée célèbre et gravée dans les mémoires.
Mais paraît-il, dans ce climat de division, l’Alhambra a été beaucoup plus l’œuvre des Andalous que des Arabes. Quant à Marbelva dont la chute se situe en 1411, elle fut perdue parce qu’on y avait privilégié le politique et la tyrannie. Bouabdil qui en avait été le sultan s’était senti déchu. On a même dit qu’il avait pleuré comme une femme pour s’être senti incapable de la garder sous son autorité. Cela avait été vécu comme une humiliation.
Des villes à vocation culturelle et scientifique
Parmi elles, celle qui a retenu l’attention des historiens, c’est Tolède devenue un espace de rencontre des savants des trois religions monothéistes, à l’image de Cordoue, appelée centre de rayonnement culturel, grâce à des savants de la trempe de Zyriab pour ses réalisations remarquables dans le domaine musical. Ibn Rochd s’y était établi comme précurseur de la philosophie laïque, en tant que père du syllogisme et de l’idjtihad. Le grand penseur considérait que pour que l’Islam prenne de l’envergure, il fallait concilier la raison et la foi.
Arkoun disait que la pratique de la religion devait s’accompagner du discours scientifique ou philosophique, pour se valoriser et entraîner la communauté musulmane dans le processus d’évolution vers le progrès et l’esprit inventif, dominants dans les œuvres d’Ibn Arabi et d’Ibn Khaldoun, de familles andalouses. A Tolède comme à Cordoue, on assista à des découvertes ainsi qu’à l’expansion de l’astronomie, de la médecine. Grenade a été un lieu de rayonnement des arts comme la calligraphie, les motifs géométriques, les arabesques.
On avait commencé à réaliser de grands progrès en ophtalmologie. Avec Ibn Sina, pour la première fois au monde, on avait commencé le traitement de la cataracte. Les œuvres des philosophes grecs avaient été traduites du grec vers la langue arabe. Tout avait été réuni pour permettre à la langue arabe de s’épanouir. Jusqu’à nos jours, la langue espagnole a été enrichie par 5.000 mots d’origine arabe. Ce qui a beaucoup influencé les Espagnols dans leurs musiques, danses et manière de penser. La renaissance de l’Espagne n’aurait pas été possible sans Cordoue.
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L’ambassade d’Algérie en France a fait savoir que le problème rencontré par les ressortissants algériens lors de la transcription de leurs mariages au service d’état civil français vient de trouver une issue favorable.
“Il est porté à la connaissance des ressortissants ayant rencontré des difficultés à transcrire leurs mariages au service d’état civil français, en raison de leurs actes de naissance portant la numérotation «bis», que ce problème vient de trouver une issue favorable suite aux démarches diplomatiques entreprises auprès des autorités françaises”, a indiqué l’ambassade d’Algérie en France dans un communiqué, avant de préciser que “ce problème ne sera pas retenu à l’avenir et les cas en instance seront progressivement régularisés”.
“En effet, poursuit le même communiqué, il appartient aux ressortissants ayant engagé une action en justice sur cette question d’attendre que les décisions soient prononcées”.
“Les ressortissants dont les dossiers restent en phase administrative, sont invités à saisir de nouveau le bureau des transcriptions pour le Maghreb de la Sous-direction de l’état civil et de la nationalité sis 11, rue de la Maison Blanche 44941 Nantes CEDEX 9”, a annoncé la même source.
Echoroukonline
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