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Afrique

Explosion d’une bonbonne de gaz butane: trois enfants subsahariens tués à Oran

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:51

Tois migrants subsahariens – des enfants – ont trouvé la mort, hier à l’aube, dans l’explosiond’une bonbonne de gaz butane au quartier El-Hassi à Oran. Les malheureuses victimes ontsuccombé aux multiples brûlures causées par l’incendie provoqué par l’explosion

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Nécessité de réhabiliter les immeubles OPGI

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:44
Tout un chacun aura remarqué l’état de délabrement des immeubles relevant de l’OPGI. En effet, plusieurs immeubles nécessitent une réhabilitation notamment au niveau des anciennes cités où l’aspect extérieur est devenu hideux sans occulter l’hygiène des caves qui sont inondées d’eaux usées en sus de la mauvaise étanchéité des terrasses dont les locataires des derniers étages en subissent les affres des ruissellements et des infiltrations d’eau.

«Il y a belle lurette que les travaux d’étanchéité et d’assainissement des vides sanitaires n’ont pas été effectués», témoignent des résidents à travers les cités concernées.. Des lenteurs dans le lancement des travaux qui incitent les locataires des cités construites durant les années 1990, à se poser des questions voire à s’interroger sur la destination exacte prise par la taxe d’habitation imposée par l’Etat dans le but d’assurer tous les travaux d’aménagement nécessaires dans les cités gérées par cet Office. «Depuis trois années sinon plus, nous avons à maintes reprises sollicité l’OPGI pour les travaux de ravalement des façades, de l’assainissement des vides sanitaires envahies par les eaux usées et les travaux d’étanchéité mais à ce jour nous n’avons rien vu venir», affirment des citoyens de la cité de la nouvelle ville Adda Benada qui nous ont exposé leur cas. Et ce, tout en nous déclarant que durant les périodes pluviales plusieurs habitations situées aux derniers étages sont envahies par les pluies à cause de l’usure des étanchéités des terrasses aménagées depuis la construction dans les années 1990, soit près de trente années après et qui n’ont depuis jamais été refaites. «Selon les informations que nous avons recueillies, une somme conséquente a été octroyée par l’Etat pour des travaux de réfection et d’entretien de tous les immeubles gérés par l’OPGI, c’est la raison pour laquelle nous sommes dans notre droit de nous interroger sur le sort réservé à cette enveloppe », l’anonymat nous a révélé :« Effectivement, l’ Office a été sollicité pour ces travaux mais vous connaissez les lenteurs procédurales, allant des avis d’appels d’offres au choix des entreprises à retenir», explique ce responsable avant de être lancées mais je tiens à vous informer que l’OPGI n’est qu’un maître d’ouvrage délégué et le principal maître d’ouvrage c’est la wilaya. Il tenait également à rassurer que toutes les opérations décidées par l’Etat, seront lancées «une fois les procédures seront réglées».

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La CCLS prête pour réceptionner plus de 800.000 quintaux

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:41
Le coup d’envoi de la campagne moisson- battage de l’année 2018 a été donné, hier, officiellement par le chef de l’exécutif de la wilaya au niveau de l’exploitation agricole Ould Kadi dans la localité de Ameria. Il a été retardé en raison des conditions climatiques défavorables marquées par les pluies et l’humidité alors qu’il faut au moins une température supérieure à 30 °.

Selon la direction des services agricoles (DAS) d’Ain Témouchent, la superficie à moissonner est estimée à 166 000 hectares de toutes les variétés céréalières. Il est attendu un pic de production à, la barre de 2 000 000 quintaux grâce à l’excellente pluviométrie enregistrée supérieure à 422 mm au moment propice du développement de la végétation céréalière. Concernant le stockage de cette production, les deux coopératives céréalières CCLS d’Ain Témouchent et de Hamam Bouhadjar sont chargées pour la réception de cette importante quantité.22 points de collecte sont réquisitionnés. Pour la CCLS d’Ain Témouchent, sa capacité d’accueil est estimée à 400 000 quintaux mais ses solos ne pourront contenir la totalité de la production. Ainsi, elle est obligée de recourir à la location de docks silos dans la ville de Sig d’une capacité de 300 000 quintaux a déclaré au journal son directeur Mr Mehdi Mohamed. Selon ce responsable de la CCLS d’Ain Témouchent, son entreprise a mobilisé 35 moissonneuses batteuses de très bon état parmi l’arsenal de 632 moissonneuses des deux secteurs privé et public engagés au niveau de la wilaya. Concernant, la fenaison, elle a commencé le 23 mai dernier malgré les conditions climatiques.

Il est également pour la moisson de l’orge, la quantité réceptionnée est de 15 000 quintaux. Et conformément aux instructions gouvernementales, les céréaliculteurs seront payés dans un délai ne dépassant pas 72 heures. Les prix fixés pour le quintal durant cette campagne sont les suivants : blé dur ; 4500 DA, blé tendre ; 3500 DA, orge ; 2500 DA, avoine 1800 DA ; pois chiche ;10 000 DA et lentilles ; 8 000 DA. De son coté le directeur de la CCLS de Hammam Bouhadjar Mr Zenasni a ajouté dans ce contexte. Sa coopérative a réquisitionné autres silos auprès des particuliers conformément à l’instruction de la direction générale de tutelle pour accueillir une production prévisionnelle de 400 000 quintaux. Actuellement, une quantité de 110 000 quintaux dont 75 000 qx d’orge et 35 000qx de blé dur sont réceptionnés dans les silos. Le nombre de point de collecte est passé à 9 alors qu’il était 5 précédemment. Mr Zenasni a affirmé que cette production réceptionnée ne contient pas de mélange entre variétés céréalières. Une facture de 4.8 milliards a été dépensée pour payer ses clients céréaliculteurs. Encore une fois, le manque de docks silos dans cette wilaya à vocation agricole reste le point noir.

Madame le wali a donné instruction pour le recours à location de structures pour réceptionner toute la production céréalière. Pour palier à ce déficit en matière de stockage, la CCLS a lancé les projets des deux docks silos d’une capacité de 100 000 quintaux pour chacun d’eux, malheureusement ils sont en cours de réalisation dans les localités agricoles Ain Kihel et Ain Arba connaissent un retard conséquent. Contrairement aux précédentes campagnes, la production céréalière est transportée à l’état naturel en vrac à bord des camions et des remorques c- a- d sans y recourir aux sacs.

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On consomme les dernières calories, on fait les dernières emplettes: Clap de fin sur le Ramadhan 2018!

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:39

Par Walid Ait Said,

Les établissements de santé publique et surtout les cabinets des médecins privés sont pris d’assaut afin d’obtenir le fameux sésame qui leur permettra de s’offrir ce tant convoité pont de l’Aïd, à savoir un certificat d’arrêt de travail…

Ça sent la fin du Ramadhan! Après un mois des plus animés, une certaine morosité s’installe sur Alger et ses environs. La capitale commence, en effet, à se vider de ses habitants. Avant même la nuit du doute, certains ont choisi de s’offrir un long week-end de l’Aïd, en allant à la campagne. Depuis dimanche dernier, les établissements de santé publique et surtout les cabinets des médecins privés sont pris d’assaut afin d’obtenir le fameux sésame qui leur permettra de s’offrir ce pont de l’Aïd, à savoir un certificat d’arrêt de travail. «Ils sont tous tombés malades à la veille de l’Aïd», plaisante un médecin qui affirme que son cabinet est envahi par des patients qui le «harcèlent» pour ce qu’ils appellent affectueusement «maladie». Après avoir réussi leur coup, c’est donc direction le «bled!» Ce qui se fait ressentir dans les ruelles d’Alger et sa banlieue qui se sont soudainement vidées alors qu’elles grouillaient de monde la veille. «Je n’arrive pas à y croire, le Ramadhan est fini avant l’heure…», s’inquiète Zohir, un jeune qui ne trouvait pas ses amis habituels pour jouer aux dominos.

Cette ambiance de fin de Ramadhan se fait aussi sentir au niveau de la circulation, qui est plus fluide, mais pas seulement sur les…routes! Au niveau des magasins, la bousculade habituelle pour «s’arracher» les dernières provisions de la journée. «On peut enfin respirer un peu…», confie Abdou, caissier dans une supérette de la capitale. Il faut dire que même ceux qui sont restés à Alger n’en peuvent plus! La fatigue a pris le dessus. Les batteries sont à plat! Leurs corps commencent à leur faire payer l’excès de nourriture et le manque de sommeil. «Je n’en peux plus, je suis épuisé. Je dois me reposer. Les achats de l’Aïd sont terminés, les enfants ont eu leur dose de sortie et moi celle de sahrate » avec les amis, donc je n’ai plus aucune raison de sortir», fait savoir Samir, un père de famille qui s’est visiblement fait une raison. Si Samir et les hommes se permettent le repos du guerrier, ce n’est pas le cas de nos guerrières qui, elles, continuent le combat en préparant les gâteaux de l’Aïd El Fitr.

Ces derniers font d’ailleurs partie des signes de la fin du mois du jeûne. Les femmes commencent généralement à les préparer à la dernière semaine du mois sacré. Leur odeur prévient donc de la fin qui approche. «Je n’en peux plus, j’ai commencé ces gâteaux le week-end dernier. Il me reste encore jusqu’à demain (hier, Ndlr) pour les finir. Heureusement que je ne suis plus obligée de faire la chorba, mon mari et mes enfants ont déclaré forfait par rapport à ce plat typique du Ramadhan», soutient de son côté Lamia, une mère de trois enfants qui attend impatiemment la fin de son calvaire, que semble être le Ramadhan. Les chorbas sont donc presque terminées, les boureks les suivent de près. Car, comme la famille de Lamia, beaucoup n’arrivent plus à voir ce plat sur leurs tables. «La vue de la chorba me coupe l’appétit…», atteste Manel, à qui le Ramadhan n’a laissé que les os. Les feuilletons du Ramadhan et les émissions qui vont avec, suivent le même rythme que la chorba et le boureks, puisqu’ils sont en train de baisser rideau les uns après les autres… C’est donc le clap de fin sur le Ramadhan 2018. On n’attend que les «chouyoukh» pour l’officialiser…

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Le chiffre a été révélé la ministre de l’environnement à Mila: « 2000 décharges sauvages éradiquées en Algérie »

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:33

Par Zakaria Zemri,

Le secteur de l’environnement et du recyclage constitue «une alternative au pétrole, tout comme l’agriculture, le tourisme et l’industrie».

C’est lors d’une rencontre avec la société civile que Fatma-Zohra Zerouati a poussé les opérateurs économiques à investir dans le secteur du recyclage et de l’environnement. La rencontre s’est tenue lundi dernier à la maison de l’environnement de la wilaya de Mila. «Le rôle du secteur de l’environnement ne se limite pas aux inspections, mais inclut la création d’investissements multiples», a-t-elle déclaré. Investissements qui peuvent constituer «une alternative au pétrole, tout comme l’agriculture, le tourisme et l’industrie», a-t-elle ajouté. Et à raison. Une partie des tonnes de déchets que l’Algérie produit tous les jours est tout à fait recyclable, et ne pas le faire constitue une perte sèche pour l’économie, que ce soit financière ou en termes d’emploi.

Une expérience dans la récupération, le tri et le recyclage pourrait même s’exporter, d’où le fait que ce secteur pourrait représenter une alternative. De l’énergie pourrait même être produite avec comme base les déchets collectés, ce qui pourrait enrichir le mix énergétique de l’Algérie ou des autres pays. Énergie tout à fait renouvelable, voire inépuisable, au vu du flot constant de déchets produits quotidiennement. La ministre de l’Environnement, Zerouati, a assuré que l’environnement fait partie des priorités du gouvernement, en rappelant que le pays avait ratifié toutes les conventions internationales sur la protection de l’environnement. De plus, la ministre assure que plus de deux milliards de dollars on été mobilisés pour orienter le pays vers un développement durable entre 2000 et 2015, sans donner plus de précisions sur l’utilisation de ces fonds. Elle a toutefois avoué qu’il existait des dysfonctionnements dans ce secteur en Algérie, mais que l’État «a porté au plus haut niveau le souci de protection et préservation de l’environnement».

En outre, la première responsable du secteur a affirmé que des décrets exécutifs seront promulgués pour faciliter le développement des activités de recyclage des déchets. Elle a souligné les efforts du gouvernement dans le secteur, notamment avec l’éradication de plus de 2000 décharges sauvages, avec en sus bien souvent une requalification des lieux soit en décharge contrôlée, soit autre chose. Deux décharges sauvages ont été fermées dans la wilaya de Mila, à savoir celles de Tadjenanet et Chelghoum Laïd. Zerouati a annoncé le début des travaux de fermeture de celle sauvage d’El Kerma, qui se trouve dans la wilaya d’Oran et qui est la plus grande de l’ouest du pays. Son éradication va nécessiter 1,5 milliard de dinars. Revenant à la wilaya de Mila, cette dernière semble être sous les feux des projecteurs pour ce qui est de l’environnement. En plus des projets déjà cités, la ministre a visité une unité privée de recyclage de plastique, une unité de recyclage de roues et a annoncé la relance des projets de stations d’épuration des eaux usées en vue de protéger l’environnement et les plans d’eau, dont le barrage de Béni Haroun.

Enfin, la ministre a tenu à rappeler le rôle des maisons de l’environnement dans la sensibilisation à la cause environnementale, et à souligner le travail du ministère de l’Environnement et de l’Agence nationale des déchets qui ne ménagent aucun effort afin de «parvenir d’ici 2030 à transformer l’industrie des déchets en réalité effective et un processus économique concret». Louables efforts dont les résultats sont attendus fermement, tant l’environnement a souffert en Algérie des décennies durant.

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Mort tragique d’un capitaine de navire dans un accident routier

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/13/2018 - 12:33
Alwiam - Un capitaine de navire et son proche ont trouvé la mort dans un terrible accident survenu au PK 165 entre Nouakchott et Nouadhibou,...
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Redevances des commerçants à l’APC d’Oran: des millions de dinars dans la nature

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:28

Par Wahib Aït Ouakli,

Dans leur machination, les bénéficiaires proposent les espaces en question à la sous-location aux tarifs non négociables fixés à pas moins de 30 000 DA/ mois.

L’APC d’Oran vient de traduire devant les tribunaux pas moins d’une cinquantaine de commerçants. Ces derniers, locataires des stands du marché de tissu de M’dina Djedida n’ont pas honoré leurs redevances depuis plus de 12 années. Ladite mesure prise a été motivée suite à la sourde oreille affichée par les commerçants bafouant, de bout en bout, toutes les propositions du règlement à l’amiable leur ayant été formulées, auparavant, par les responsables municipaux. Pis encore, les mis en cause, ne capitulant toujours pas, n’ont, à plusieurs reprises, pas jugé utile de répondre favorablement aux mises en demeure leur ayant été expédiées, à plus d’un titre, par la même municipalité les sommant de payer les frais des loyers des locaux qu’ils occupent.

Le marché de tissu de M’dina Djedida constitue l’antre de tous les coups bas et de la tricherie commerciale. Des pseudos commerçants, ont bénéficié des locaux commerciaux dudit quartier. Ils n’ont jamais jugé utile d’ouvrir les portes des biens leur ayant été concédés aux factures dérisoires de 2000 DA/ mois. S’ingéniant dans leur machination, ils n’ont rien trouvé de mieux à faire que de proposer à des tierces personnes les espaces en question à la sous-location aux tarifs non négociables fixés à pas moins de 300 000 DA/ mois. Cela se passe alors que les caisses communales sont quasiment vides. Si ces charognards se sucrent sur le dos de la municipalité, celle-ci est figée dans sa gestion classique en dépêchant chaque soir ses agents de nettoiement aux fins de stériliser, aux frais de l’Etat, les rebuts laissés sur place par des commerçants peu soucieux de la question environnementale. Chez les élus locaux, le consensus est commun en ayant évoqué le rasage du dudit centre commercial populaire pour mettre en place une nouvelle structure avec étages. Et les finances donc?

Les débats ont été houleux lors de la dernière rencontre municipale. D’une part, les partisans de la démolition pressent le pas pour passer à l’action, d’autre part, ils plaident pour le recouvrement, d’abord, des redevances détenues par ces mauvais payeurs avant de songer à la mise en place d’une nouvelle structure.
La question n’est pas un simple fait à prendre en compte des suites d’une simple réunion de l’exécutif municipal. Idem pour le changement à opérer dans le marché géré par des forces occultes le transformant en une véritable bourse de Wall Street locale. Sinon quelle est cette institution, hormis les forces de l’ordre, pouvant s’aventurer dans les très exiguës rues et ruelles de M’dina Djedida pour sommer les marchands de quitter les lieux sous prétexte du renouvellement dudit marché? Le cas du marché de la rue des Aurès (ex-la Bastille) est édifiant. A plusieurs reprises, l’on est allé jusqu’à dire que ce géant lieu commerçant du centre-ville est délocalisé vers la cave du quartier d’Yghmouracen, ex-Saint-Pierre. Sur le papier, toutes les mesures ont été prises. Concrètement, le suivi et la mise en oeuvre des décisions avalisées sont, dans la majeure partie, enfouies dans les fins fonds des bureaux de responsables concernés.

La dernière réunion de l’exécutif communal a été riche en révélations dévoilant les échecs répétés provoqués essentiellement par la gestion hasardeuse des affaires de la cité. Il s’agit très précisément de l’argent qui tarde à renflouer les caisses communales. D’où d’ailleurs l’ouverture des débats sur les 10 «commandements» sur la rentabilisation des biens de cette riche commune algérienne. Aucun ne paye à commencer par la société Optimum Télécom Algérie qui, selon les responsables de la trésorière, «n’a rien casqué depuis 7 ans, alors qu’elle avait un contrat de 11 ans. Idem pour la Seor, cette entreprise chargée de la gestion déléguée de l’eau. La Seor est redevable de 11 milliards. Les factures impayées par les Epic Ermeso, Oran Propreté et Oran Vert sont de l’ordre de 40 milliards de centimes chacune. Les commerçants de Souk El Gsab continuent à ouvrir les rideaux alors qu’ils sont, eux aussi, endettés en ne payant aucun sou depuis 2001.
L’enjeu est de taille. L’APC est actuellement déficitaire d’au moins 89 milliards de centimes. Le budget accordé à l’APC d’Oran est en total déphasage avec la réalité. «Il est décidément temps de gagner de l’argent, sinon nous aurons du mal à payer les salaires des communaux», a expliqué le maire d’Oran, Noureddine Boukhatem.

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Constantine – Fruits, légumes, poulet, sardine…: Flambée des prix à la veille de l’Aïd El-Fitr

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:23

Par A. El Abci,

Les prix de pratiquement tous les produits, fruits et légumes, poulet et même la sardine ont affiché des hausses allant jusqu’au double, pour certains d’entre eux, au marché Boumezzou, à l’instar de la pomme de terre qui, de 35 dinars le kg au début du mois de Ramadhan, a grimpé hier jusqu’à 70 dinars.

Il en est de même de la tomate et de la salade qui ont augmenté dans des proportions quasi similaires, soit de 80 et 100 dinars le kg durant les premières semaines, à 150 et 160 dinars à trois jours des fêtes de l’Aïd.

Ces hausses ahurissantes ont touché jusqu’à la sardine, qui, boudée de tradition par les consommateurs durant le mois de piété, a vu son prix descendre à 300 dinars, reprend du poil de la bête et affiche désormais 450 à 500 le kg. En tout cas, les autres légumes comme le poivron, l’oignon et courgette ont connu des augmentations de trente à quarante dinars, à l’exemple de cette dernière, dont le prix était dans les environs de 100 dinars le kg il y a quelques jours, et est monté hier à 140 dinars le kg. Les petits pois et les haricots verts, dont c’est la fin de saison, son cédés à 150 et 180 dinars le kg, demeurant ainsi hors de portée des ménages à revenu modeste. Les fruits ne sont pas en reste par rapport à cette envolée générale des prix. Ainsi et pour ce qui concerne les fraises, dont c’est la pleine saison, et dont les prix ont chuté jusqu’à 100 et même 80 dinars, elles ont repris l’ascenseur et trônent sur les cimes de 180 et 200 dinars le kg. Les nèfles ont été également saisies par la même fièvre, affichant 160 et 200 dinars le kg, pour la qualité dite supérieure, contre 120 et 140 quelques jours auparavant. Les prix des viandes restent très élevés pour la plupart des clients dudit marché, qui avouent se rabattre sur le poulet. Malheureusement, ce dernier ne fait pas exception et a grimpé de 340 à pas moins de 400 dinars le kg. Bien sûr, ce n’est pas le phénomène de l’augmentation générale des prix qui étonne à l’approche de l’Aïd El-Fitr, mais c’est surtout le taux démesuré de celle-ci qui suscite des interrogations.

Les commerçants expliquent ces prix élevés par la loi de la demande et de l’offre, le mauvais temps et les difficultés d’accès aux champs pour les récoltes. Arguments qui ne semblent pas convaincre le client qui, lui, parle plutôt de cupidité des commerçants et de leur propension à le déplumer à l’occasion des fêtes. Les responsables de la direction du Commerce déclarent que leurs interventions se limitent au contrôle de la qualité des produits et à leur étiquetage, notamment, et que les prix sont libres et ne sont pas de leur compétence.

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Aïn Defla: 1 mort et 35 blessés sur les routes

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:18

Par Bencherki Otsmane,

Dans le cadre de la lutte contre les différentes infractions routières qui malheureusement continuent à faire des victimes parmi les usagers de la route, les brigades de circulation relevant du service de wilaya de la sécurité publique d’Aïn Defla ont établi 2.085 contraventions au cours du mois de mai contre les chauffards irrespectueux du code de la route.

Selon un bilan dressé par la sûreté de wilaya sur ce nombre de contraventions, 99 relèvent des délits routiers et 226 concernent les retraits de permis de conduire.

Le responsable de la cellule de communication et des relations publiques de la sûreté de wilaya indique que ces opérations de répression sont menées en parallèle avec des actions de sensibilisation, en collaboration avec les partenaires sociaux à l’effet d’inciter les usagers de la route, conducteurs et piétons, à faire preuve d’une culture routière saine et responsable, basée sur le respect strict du code de la route. Ceci constitue le seul moyen de réduire dans une grande proportion les violences routières qui ne cessent d’endeuiller des familles entières. Faut-il souligner que la wilaya d’Aïn Defla occupe la 3e place à l’échelle nationale en ce qui concerne les accidents mortels. A ce sujet, le service de wilaya de la sécurité publique a comptabilisé, durant le mois de mai 2018, 29 accidents survenus au niveau du tissu urbain de la wilaya ayant entraîné le décès d’une personne et causé des blessures à 35 autres, contre 28 accidents en avril de la même année.

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Constantine – Session ordinaire de l’APC Zighoud Youcef: Les dossiers de l’habitat rural et la circulation reportés

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:15

Par A. Mallem,

  L’Assemblée populaire communale (APC) de Zighoud Youcef a tenu, hier, sa 5ème session, avec un ordre du jour chargé duquel ont émergé les dossiers de l’Habitat, du plan de transport et circulation et des nouvelles taxes publicitaires. Aussi, et mis à part l’examen des comptes administratifs et des questions diverses, celles qui ont retenu l’attention des élus, au cours de cette session, ont été, incontestablement, l’habitat rural, à cause de sa complexité et sa sensibilité, et le dossier du nouveau plan de la circulation, qu’il faut élaborer du fait que le plan actuel est dépassé par le temps.

Malheureusement, les élus présents n’ont pas, vraiment, délibéré sur ces questions qui ont été, toutes, reportées à des dates ultérieures, chacun pour des raisons, tout à fait techniques. Les élus n’ont pu qu’entendre les explications fournies, à l’appui des décisions de report. Pour le premier dossier, portant sur la question de l’habitat rural, les élus ont été informés que 190 lots sont convoités par plus de 2.700 candidats. « Il a été malheureusement, reporté à une session ultérieure qui aura un caractère extraordinaire et se tiendrait, sûrement, dans les 15 jours à venir car, le wali insiste beaucoup sur le règlement de ce problème et presse les organes élus de le régler rapidement », nous ont indiqué des membres de l’APC que nous avons contactés, hier, au sortir de la région.

Ces derniers ont signalé que les dossiers des candidats ne sont pas encore totalement défrichés et préparés à l’étude pour la simple raison que la majorité manque de pièces administratives prévues par les règlements. Ce dossier demande, donc, une préparation formelle complète avant d’être présenté à la délibération de l’assemblée, ont ajouté nos interlocuteurs, en prenant un air désabusé. Le second point important qui figurait à l’ordre du jour et celui relatif à un nouveau plan de transport et de circulation, celui en vigueur datant d’il y a 10 ans et pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Ce dossier qui nécessite une élaboration technique, voire scientifique en requérant le concours d’organes spécialisés, a été confié à l’exécutif pour le prendre en main et le régler, dans des délais raisonnables.

Enfin, le troisième point concerne les taxes communales sur les panneaux publicitaires. Une fois, encore, les élus ont appris que les propositions avancées dans ce dossier nécessitent d’être actualisées, suivant les instructions des services concernés de la wilaya. Car les taxes proposées s’appuient sur une nomenclature obsolète datant de 2002. Aussi, ces services ont renvoyé le dossier, à l’APC, avec la recommandation de se référer à la nouvelle nomenclature qui a été établie, ces dernières années, par le secteur concerné des Finances.

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Constantine – Ouverture partielle du parc citadin le 5 juillet

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:14

Par A. Mallem,

  Intervenant lors d’une récente rencontre à la radio locale, M. Saidoune Abdessamie, wali de Constantine, a déclaré que la plus grande partie du parc citadin du Bardo sera ouverte au public au début du mois de juillet prochain, probablement le 5 juillet, et il fonctionnera de jour comme de nuit. Des responsables locaux nous ont indiqué que le chef de l’exécutif de la wilaya, qui a fini par prendre une telle décision, aurait en fait répondu aux appels incessants des citoyens qui demandent l’ouverture urgente d’espaces de détente et de loisirs pour leur permettre de supporter les journées infernales de l’été.

Dans sa déclaration, le wali a indiqué que cette nouvelle réalisation sera dotée d’équipements adéquats, dont un parking d’une capacité de 2.000 véhicules et des terrains de jeux psychopédagogiques et de loisirs pour les enfants. La grande partie qui sera ouverte au public est réalisée à hauteur de 90%, a ajouté le wali. Mais dans une autre partie du parc, les travaux sont à l’arrêt et ils ne reprendront qu’à la fin du chantier de confortement du pont Salah Bey, puisque les travaux en question ont été lancés au pied de cet ouvrage géant. «La première partie du projet vient d’atteindre 90% de taux de réalisation, alors pourquoi ne pas l’ouvrir et la mettre à la disposition du public», dira précisément M. Saidoune. Et d’ajouter que «pour le fonctionnement nocturne du parc, nous avons pris toutes les dispositions pour revoir son équipement dans le domaine de l’éclairage public. Nous avons lancé également l’aménagement de deux terrains de jeu ainsi que l’aménagement du parking situé à l’entrée. Mais, pour cette question, nous allons aménager uniquement, dans une première étape, une première tranche pour 500 véhicules».

A ce propos, il est utile de rappeler que le chantier de ce parc de détente et de loisirs aménagé sur les rives de l’oued Rummel et dont le maître de l’ouvrage est la direction de l’Urbanisme et de la Construction (DUC) est scindé en deux parties. La première, et la plus grande, se trouve sur la rive gauche de l’oued et c’est elle qui va être ouverte au public. Ajoutons aussi que sur cette partie, le chantier ne s’est pas arrêté mais qu’il a fonctionné au ralenti depuis l’affaissement qui s’est produit sur la partie nord du terrain, juste au pied du pont de Sidi-Rached. Et la seconde est située sur la rive droite où se trouvent les galeries souterraines de drainage des eaux du même nom. Et cette partie ne peut pas être ouverte tant que se déroulent à cet endroit les travaux de confortement du pilier soutenant le grand pont dont l’équilibre est menacé par les eaux en question.

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Constantine – Incendie dans un entrepôt de matériaux de construction

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:11

Par A. El Abci,

  Un incendie s’est déclaré, dans la matinée d’hier, dans un entrepôt de matériaux de construction et de peinture, situé à la cité ‘Zouaghi Slimane’.

Selon le communiqué de la direction de wilaya de la protection civile, les pompiers sont intervenus à 8h55 et ce, après avoir été alertés de la déclaration d’un incendie dans un entrepôt abritant des matériaux de construction divers et des bidons de peinture.

Questionné sur les dégâts occasionnés par cet incendie, le chargé de communication de la protection civile, le lieutenant Nourredine Tafer, fera savoir qu’il n’y a pas de victimes. Quant à l’évaluation des dégâts matériels, elle est toujours en cours. Précisant que le feu a été maîtrisé et est totalement éteint.

Et d’indiquer que d’importants moyens, en hommes et en matériel, ont été mobilisés, à savoir pas moins de 38 sapeurs-pompiers ainsi que 7 véhicules d’intervention et de lutte contre les incendies.

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FLN: Ould Abbès veut étendre la purge du BP

Algérie 360 - Wed, 06/13/2018 - 12:05

Le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) a annoncé, dans un communiqué paru avant-hier, la « reprisedes activités de garde d’urgences […] de 16h à 18h dans toutes les structures hospitalières universitaires du pays à compter du mercredi 13 juin 2018 ».

La reprise des gardes ne concerne que les gardes d’urgences uniquement et « non del’activité même face aux intimidations », aprécisé le Camra dans son communiqué.La décision est, selon le collectif « unsigne de bonne volonté en réponse à lapromesse de dialogue affirmée par leministre de la Santé lors de ses interventionsmédiatiques », et un moyen de « trouverune issue favorable et rapide à cettecrise qui n’a que trop duré et dont nospatients et la famille médicale sont lespremières victimes ».

 » La situation dramatique dontsouffrent quotidiennement nos hôpitaux et quin’ira qu’en s’accentuant à l’approche de la saison estivale, devant lafatigue et l’exaspération de nos aînésmobilisés durant tout le mois sacré et àquelques jours de l’Aid el-fitr », justifientencore les résidents.Les résidents en sciences médicales quisont en grève depuis près de sept moismaintiennent toutefois leur position quantà leurs revendications.

« Nous ne renonçons pas à nos revendications et demeurons plus que jamais mobilisés et solidaires afin de défendre les intérêts de tous les résidents et en particulier ceux de nosconsoeurs etconfrères de première année et candidats à l’examen du DEMS, dont les échéances particulières constituent une préoccupation permanente », ont-ils pré

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Les sept sages optent pour la transparence, le contradictoire et la célérité

24 Heures au Bénin - Wed, 06/13/2018 - 11:15

Le secrétaire générale de la Cour constitutionnelle, Gilles Badet, à travers une conférence, ce mardi 13 juin 2018, a informé les médias de la tenue de la première assemblée générale des conseillers de la Haute juridiction, le lundi 11 juin 2018. Il a profité de l'occasion pour dévoiler les nouvelles dispositions prises pour la transparence dans l'étude des dossiers.
La nouvelle mandature de la Cour constitutionnelle s'est inscrit dans les réformes au sein de l'institution. Au cours de leur première assemblée générale, les sages ont jugé bon d'apporter quelques modifications dans la procédure de traitement des saisines au niveau de la Cour. « La présente conférence de presse vise à vous rendre compte des décisions majeures prises lors de cette assemblée générale et qui vont sans doute modifier l'image, la crédibilité et la légitimité de la Cour, de même que la qualité, l'efficacité et l'accessibilité de ses décisions », a expliqué M. Badet. La première innovation est intervenue sur le projet de modification du règlement intérieur de l'institution. Une proposition faite par le président Joseph Djogbénou et approuvée par les autres membres. Il s'agit d'apporter les innovations sur le règlement des problèmes liés au fonctionnement de la Cour. Il sera question pour le président de résoudre les problèmes de transparence, de contradictoire et de célérité.

La transparence et la contradiction

Il est important de mettre fin à la perception péjorative de la Cour perçue par les populations comme une juridiction secrète qui fait les choses en vase close. Face à ces préjugés qui n'apportent guère une image de confiance à l'institution, Joseph Djogbénou a proposé de rendre désormais publiques les procédures devant la Haute juridiction. Cette proposition approuvée par les autres membres offre l'opportunité au public de prendre part aux audiences de la Cour. Les séances de mise en état qui se dérouleront sous la direction d'un juge rapporteur qui fait un rapport pour la plénière des délibérations permettront au public d'avoir une autre perception du fonctionnement de la l'institution. Toutefois, les plénières seront tenues à huis clos. Et ce, pour garder le secret de délibération.
L'autre innovation est la contradiction où Cour offre aux mis en cause, lors des audiences de mise en état, d'exposer leurs arguments en présence de la partie civile. Les parties en présence de leurs avocats pourront ainsi se défendre sur les faits. La célérité est aussi l'une des innovations introduites par la Cour Djogbénou. Il sera question d'avoir un chronogramme de travail devant permettre de traiter les dossiers de saisine avec une certaine rapidité. Dans cette optique, les mardi ou vendredi, il y aura les audiences de mise en état avec la participation du public et tous les jeudi, les plénières de délibération.
Les 176 dossiers en instance seront vidés suivant une programmation hebdomadaire.

Giscard AMOUSSOU

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