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Afrique

Germain Cadja Dodo suspendu à la tête de l'arrondissement de Godomey

24 Heures au Bénin - Mon, 07/02/2018 - 14:04

Ils sont 30 conseillers à valider la suspension du chef d'arrondissement de Godomey, Germain Cadja Dodo. C'est à la suite d'un conseil extraordinaire convoqué par le maire de la commune d'Abomey-Calavi Georges Bada, ce jour que les conseillers ont décidé de son sort.
Germain Cadja Dodo n'est donc plus chef arrondissement de Godomey. C'est ce qu'a décidé le conseil communal ce lundi 3 juillet 2018. En attendant la suite du processus pour voir le sort qui lui sera réservé après cette suspension, il faut dire que ça fait 15 ans qu'il dirige cet arrondissement.
Il faut dire que des faits de mauvaise gestion ont été à la base de cette décision.

C

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Les Mourabitoune Juniors étrillés par les lionceaux

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 13:50
Rim Sport - Les Mourabitoune juniors, ont été cruellement atomisés, ce vendredi 29 juin 2018, à Dakar, par les Lionceaux du Sénégal 0 à 4,en...
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UPR-D.Nouadhibou : Rude concurrence pour détrôner un poids lourd

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 13:12
Nordinfo - La campagne d’implantation avait commencé depuis près de deux mois et ses résultats ont donné de fous chiffres au niveau national....
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Mauritanie, la pacte d’Aziz avec le diable djihadiste

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 12:33
Mondafrique - Lors de l’attaque terroriste contre le quartier général de la force militaire du G5 Sahel dans la ville de Sévaré au Mali, les...
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Mauritanie: Me Mignard interpelle Macron sur le sort d'un sénateur emprisonné

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 11:54
RFI - L'avocat français Jean-Pierre Mignard a interpellé le président Emmanuel Macron sur le sort du sénateur mauritanien Mohamed Ould Ghadda....
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221.752 candidats répartis dans 764 centres

24 Heures au Bénin - Mon, 07/02/2018 - 11:42

L'examen du Certificat d'Etudes Primaires (CEP), a démarré, ce lundi 02 juillet 2018, sur toute l'étendue du territoire national. Selon les statistiques officielles, ils sont au total 221.752 candidats inscrits dont 103.976 filles et 117.776 garçons répartis dans 764 centres de composition.
Un effectif qui est en baisse comparativement à l'année précédente, où les candidats étaient au nombre de 241.798.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Or Noir : Le prix du pétrole américain au plus haut depuis 2014

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 11:14
Emporté par un « parfait concours de circonstances » mêlant tensions géopolitiques, panne électrique et problèmes d’infrastructures, le prix du pétrole américain a bondi mercredi à son plus haut niveau depuis 2014 malgré les coups de boutoir de Donald Trump contre cette hausse. Le baril de WTI, la référence américaine, est monté mercredi jusqu’à 73,06 dollars (+3,6%) sur le New York Stock Exchange, soit son plus haut niveau en séance depuis novembre 2014. A Londres aussi les prix grimpaient, le baril de Brent montant jusqu’à 78,16 dollars (+2,4%). Au moment même où les Américains se préparent à remplir leur réservoir d’essence pour les vacances d’été, un rapport officiel a fait état d’une chute des stocks de brut aux Etats-Unis de 9,9 millions de barils au cours de la semaine se terminant le 22 juin. Les raffineries fonctionnent à une cadence extrêmement élevée (à 97,5% de leurs capacités), ce qui implique une très forte demande en or noir. Et le pays n’a jamais autant exporté de brut (3 millions de barils par jour). Dans le même temps, les investisseurs redoutent que l’offre d’or noir sur le marché mondial ne diminue en raison de perturbations sur divers points de la planète, constituant selon James Williams de WTRG Economics « un parfait concours de circonstances » pour la montée du prix des barils. Cette flambée intervient alors même que le président américain a plusieurs fois déploré au cours des derniers mois le niveau élevé des cours du pétrole et accusé dans des tweets l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) d’y participer. Pour redresser les cours, qui avaient dégringolé à moins de 30 dollars le baril début 2016, le cartel avait en effet décidé fin 2016 de limiter sa production. Canada, Venezuela, Libye, Iran Pour les raffineries américaines, le problème le plus pressant vient du Canada, où une mine de sables bitumineux exploitée par Syncrude dans l’ouest du pays et pouvant produire jusqu’à 350.000 barils par jour a été interrompue la semaine dernière en raison d’une panne électrique. Aucune date de redémarrage n’a encore été fixée. Dans le même temps aux Etats-Unis, la production est déjà à un niveau record (10,9 millions de barils par jour) et « peut difficilement augmenter plus pour l’instant en raison des goulots d’étranglement dans le bassin permien », une zone à cheval entre le Texas et le Nouveau-Mexique, souligne John Kilduff du fonds Again Capital. Les producteurs américains ont multiplié les puits de forage ces dernières années dans cette région où le pétrole de schiste est abondant mais les infrastructures de transport n’ont pas suivi. « Les entreprises sont obligées de freiner leur activité car les barils y sont simplement coincés », note M. Kilduff. La production a aussi fortement décliné ces derniers mois au Venezuela, au fur et à mesure que le pays s’enfonçait dans une crise économique. Et en Libye, des autorités politiques rivales ont engagé un bras de fer autour du contrôle des terminaux pétroliers. L’administration Trump a jeté de l’huile sur le feu en demandant mardi à tous les pays important du pétrole iranien d’arrêter leurs achats auprès de Téhéran d’ici le 4 novembre s’ils voulaient éviter les sanctions américaines. De l’avis de plusieurs analystes, un arrêt total des exportations iraniennes est peu probable mais le ton plus agressif a surpris. « L’Europe était déjà vue comme politiquement trop timide pour protéger ses entreprises de sanctions américaines potentielles », remarque Olivier Jakob de Petromatrix. La Chine, premier importateur mondial, pourrait faire fi des menaces de M. Trump mais l’Inde, troisième importateur, est « la question principale pour le marché », remarque-t-il. L’Opep et dix autres pays se sont bien engagés samedi dernier à respecter les quotas de production qu’ils s’étaient fixés fin 2016, ce qui dans les faits correspondrait à une hausse d’un million de barils par jour. Et l’Arabie saoudite, chef de file du cartel, a fait savoir qu’elle augmenterait dès juillet sa production à 11 millions de barils par jour, un record. Mais la position « intransigeante » de Washington à l’encontre de Téhéran « va forcément conduire à une chute du pétrole iranien sur le marché mondial que les autres pays, malgré tous leurs efforts, peuvent difficilement compenser », souligne John Kilduff. L’Opep ne convainc pas Moins d’une semaine après une réunion de l’Opep, les risques de perturbation de la production de pétrole se multiplient à travers le monde et les analystes craignent que le cartel ne puisse tenir sa promesse d’augmenter ses extractions. Signe de la méfiance des marchés, alors que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses dix partenaires ont assuré que leur production totale augmenterait, les prix du brut ont nettement augmenté depuis le début de la semaine, de près de 4% pour le Brent européen et de plus de 6% pour le WTI américain. Les 25 pays associés, qui représentent plus de 50% de la production mondiale de brut, ont décidé de ne plus compter leurs objectifs de production par pays, afin que les contrées pouvant augmenter leur débit compensent les pertes involontaires d’autres membres. Mais pour plusieurs acteurs du marchés, les quelques pays qui peuvent vraiment augmenter leurs extractions avant la fin de l’année ne pèsent pas assez pour contre-balancer les éventuelles perturbations de la production. Barils libyens disparus  « Seuls l’Arabie saoudite, le Koweït, les Emirats arabes unis, l’Irak et la Russie ont la capacité d’augmenter de façon significative, ce qui va probablement être compensé par les baisses de production du Venezuela et d’autres membres de l’Opep », ont ainsi estimé les analystes de Morgan Stanley, qui misent donc sur une stabilisation des prix. Plus pessimiste, les analystes de BNP Paribas jugent pour leur part que « malgré la décision de l’Opep et de ses partenaires, en comptant le nombre de barils qui seront probablement perdus en Libye, ainsi qu’en Iran avec les sanctions américaines, les prix devraient encore grimper sur les six prochains mois ». Importante source de revenus de la Libye, la région productrice du nord-est est la cible de conflits armés entre le gouvernement d’union nationale reconnu par la communauté internationale et les autorités parallèles de l’Est, ce qui empêche une partie des exportations du pays. « Il faut commencer à accepter que les 400.000 barils de pétrole libyen qui ont disparu du marché mi-juin ne réapparaîtront pas de sitôt », a noté Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB. Epine iranienne  Mais l’Iran, troisième producteur de l’Opep et rival politique de l’Arabie saoudite, est un problème particulièrement épineux pour l’Organisation. « Les Saoudiens ont cherché à mettre une limite à la hausse des prix à court terme, non seulement pour faire plaisir à M. Trump, mais également car ils pensent honnêtement que le marché va devoir se passer du brut iranien, ce qu’ils ne pourront jamais admettre publiquement », ont écrit les analystes de Energy Aspects. Mardi, moins de quatre jours après que ses alliés saoudiens aient affirmé que le géant pétrolier national Saudi Aramco allait reprendre de plus belle sa production en juillet, Washington a refroidi le marché du pétrole en menaçant de sanctions tout pays recevant du brut iranien à partir de novembre. « Les capacités saoudiennes ne sont pas sans limites et les pertes de l’offre iranienne se feront sentir au quatrième trimestre au plus tard, sauf si les productions libyennes ou nigériennes sont affectées d’ici là », ont prévenu les analystes de Energy Aspects. Farida B.

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États-Unis : L’inflation a atteint en mai un sommet en 6 ans

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 11:13
L’inflation sur un an en mai aux Etats-Unis a atteint un sommet en six ans, s’installant autour de la cible de la banque centrale (Fed), ce qui devrait conforter celle-ci dans son intention de poursuivre une hausse des taux d’intérêt graduelle. Sur le mois, l’indice des prix basé sur les dépenses de consommation, mesure préférée de la Réserve fédérale américaine pour observer l’évolution des prix, a augmenté de 0,2%, comme s’y attendaient les analystes, portant la progression à + 2,3% sur un an, a dévoilé le département du Commerce vendredi. L’inflation est ainsi passée pour la première fois depuis mars 2012 au-dessus de la barre des 2% l’an, où elle stagnait depuis deux mois. Si la hausse des prix de l’énergie a aidé, l’inflation annuelle sous-jacente –sans les secteurs volatils de l’alimentation et de l’énergie– a elle aussi atteint un sommet en six ans à 2%, touchant également l’objectif de la Fed. Sur le mois, les prix hors énergie ont augmenté de 0,2%. Cette progressive remontée de l’inflation devrait convaincre les membres de la Fed de poursuivre un resserrement graduel de ses taux directeurs. La Réserve fédérale a relevé les taux deux fois cette année et deux autres hausses de 25 points de base sont a priori attendues d’ici la fin de l’année alors qu’ils se situent actuellement entre 1,75% et 2%. « Avec cette inflation qui montre de la résilience autour de la cible de 2% de la Fed, nous continuons à anticiper un total de quatre relèvements des taux en 2018 à moins que la politique commerciale ne gâche ces plans », souligne Gregory Daco d’Oxford Economics. La prochaine réunion monétaire de la Fed est prévue les 31 juillet et 1er août. Pour autant, les analystes s’attendent plutôt à une hausse en septembre. Consommation décevante  Le département du commerce a également publié vendredi l’évolution des dépenses et revenus des ménages. Ceux-ci ont augmenté en mai davantage (+0,4%) que les dépenses de consommation qui ont été décevantes, selon l’indice PCE publié vendredi. La progression des dépenses des ménages a ralenti à 0,2% en mai après avoir fait un bond de 0,6% et 0,5% en mars et avril. Les analystes s’attendaient à une consommation plus dynamique (+0,4%).  Mais pour Gregory Daco d’Oxford Economics, la progression de la consommation au deuxième trimestre va être solide et remonter autour de 2,8%, au lieu de 0,9% au premier trimestre, ce qui va tirer la croissance du PIB d’avril à juin. En mai, ce sont les ventes de biens durables qui ont ralenti (-0,1%), tirées vers le bas par des ventes automobiles plus faibles. « Une partie de la mollesse des ventes reflète une chute des ventes automobiles et des dépenses moindres dans les services d’utilité publique », comme l’électricité, ont estimé les analystes de Capital Economics. Les dépenses dans les services ont, eux, augmenté de 0,2% comme en avril tandis que les revenus des ménages ont accéléré comme prévu de 0,4% en mai après +0,2% en avril (révisé en baisse). Le dynamisme du marché de l’emploi semble pousser les salaires à la hausse, a également noté Michael Pearce, de Capital Economics, soulignant que le taux d’épargne a ainsi pu remonter un peu à 3,2%. Le revenu disponible après impôt a enfin augmenté de 0,4%, sa plus forte hausse depuis janvier. La croissance révisée en baisse à 2%  La croissance économique des Etats-Unis a été révisée en baisse au premier trimestre, décevant les attentes des analystes, selon l’estimation finale du département du Commerce publiée. Le Produit intérieur Brut (PIB) américain n’a finalement progressé que de 2% en rythme annuel pendant cette période, au lieu de 2,2%, selon l’estimation précédente.  Les analystes s’attendaient à ce que cette évaluation soit confirmée. Pour le deuxième trimestre, les économistes prévoient un bond de l’expansion grâce aux réductions d’impôts de l’administration Trump. La première estimation en sera publiée le 27 juillet. De janvier à mars, la consommation, locomotive traditionnelle de la première économie mondiale, a affiché une médiocre progression de 0,9%. C’est le rythme le plus faible depuis le milieu de 2013. Les exportations, cheval de bataille de l’administration Trump, ont finalement progressé moins que prévu (+3,6% au lieu de +4,2% précédemment estimé), la déception des ventes de marchandises (+3,4% au lieu de +5,4%) n’étant pas compensée par de meilleurs contrats dans les services. Alourdissant le solde des échanges, les importations ont en outre progressé plus rapidement (+3,2% au lieu de +2,8%). La reconstitution des stocks a été moins solide qu’anticipé. Au rang des bonnes nouvelles, les investissements non-résidentiels des entreprises ont grimpé plus que prévu (+10,4%) avec une progression des revenus des droits de propriété intellectuelle (+13,2%). Les dépenses du gouvernement ont apporté aussi une contribution positive augmentant de 1,3%. Signe de l’installation d’une inflation un peu plus soutenue, l’indice des prix PCE, hors énergie et alimentation, a progressé de 2,3% au premier trimestre, sur un an.  Cet indice trimestriel est le plus élevé en sept ans, alors que l’inflation est obstinément restée toutes ces années sous la barre des 2% l’an souhaitée par la banque centrale américaine (Fed). Davantage que sur les chiffres du premier trimestre qui sont déjà anciens, l’intérêt des économistes se focalise sur les résultats du deuxième trimestre qui s’achève cette semaine. Le secrétaire au Trésor de Donald Trump, Steven Mnuchin, un des architectes de la réforme fiscale destinée à doper la croissance, a assuré mercredi qu' »un très bon chiffre se profilait ». Il a repris à son compte la prévision de la Fed d’Atlanta qui tablait mercredi sur un bond de la croissance de 4,7% en rythme annuel au deuxième trimestre. Mustapha S.

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Souk Ahras : Elaboration d’une carte déterminant les potentialités des communes pour la création de micro-entreprises

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 11:12
Une carte visant à déterminer les  potentialités des 26 communes que compte la wilaya frontalière de Souk  Ahras pour la création de micro-entreprises est en cours d’élaboration,  a-t-on appris du responsable de la communication de l’antenne  locale de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ). A ce propos, Mohamed Amine Sassi a indiqué à l’APS que cette carte, initiée en coordination avec l’antenne du Forum des chefs d’entreprises  (FCE), a été adressée aux présidents des assemblées populaires communales  (APC) de la wilaya de Souk Ahras afin d’identifier les possibilités dont  dispose chaque commune en vue de créer des petites et des moyennes  entreprises génératrices de richesses, de postes d’emploi, bénéfiques à  l’économie locale. Les préoccupations exprimées par certains présidents d’APC se sont  principalement focalisées sur le secteur agricole, notamment l’élevage de  vaches laitières, l’apiculture, l’agriculture sous serres, les industries  agroalimentaires et de transformation, la production d’aliments pour bétail  et des engrais organiques, la plantation d’arbres fruitiers, en sus du  secteur touristique d’autant que, a-t-on précisé, les communes de Khmissa, M’daourouch et Tiffech abritent bon nombre de sites archéologiques. L’artisanat traditionnel comme la tapisserie, la poterie et la confection  de friandises traditionnelles fait également partie des sujets soulevés par  plusieurs communes qui aspirent à développer de petites et moyennes  entreprises, surtout après l’aménagement, par les autorités de la wilaya,  de nombreuses zones d’activités susceptibles d’accueillir ces entreprises.  Outre ces métiers, pas moins de 16 communes de la wilaya abritent des  sites archéologiques datant de la période romaine à l’instar de Madaure,  Khmissa et Tiffech, au moment où la région Nord de la wilaya se caractérise  par l’élevage des vaches laitières et la plantation d’arbres fruitiers sur  une superficie de 4400 hectares. Quant à la région Sud, elle est davantage caractérisée par l’élevage ovin,  la production de céréales avec une superficie agricole de l’ordre de 253  606 ha, la production de viandes rouges estimées à 62 183 q par an, de  viandes blanches à hauteur de 21 727 q par an, le miel à raison de 28 149 q ainsi que 65 millions de litres de lait par an, a-t-on détaillé. La même source a également fait savoir que la wilaya de Souk Ahras, à  vocation agricole et touristique par excellence, et qui recense 95 500  vaches, 136 106 chèvres et 366 000 ovins, offre aux jeunes des communes  frontalières des opportunités idoines pour la création de petites et  moyennes entreprises agricoles. Pour rappel, des unités de production de plateaux d’alvéoles pour £ufs ont  été créées dans la wilaya de Souk Ahras dans le cadre de l’Agence nationale  de soutien à l’emploi de jeunes, ainsi que des unités de préparation des  déchets au recyclage, notamment en procédant au broyage et à la granulation  du plastique. De leur côté, les services de la wilaya estiment que les potentialités  naturelles dont dispose Souk Ahras constituent un pilier fort générateur de  centaines de micro-entreprises pour faire de cette région une destination  touristique pour l’Algérie et un terrain fertile pour les investisseurs qui  veulent exploiter ses espaces et ranimer son patrimoine. Il s’agit à ce titre, d’exploiter les régions montagneuses et le tourisme  vert pour développer la wilaya et élever le niveau de vie de la population,  en profitant de toutes les possibilités offertes par la région à travers  son réseau routier et son emplacement non loin de l’aéroport international  et du port d’Annaba (situé à seulement 97 km), outre sa proximité avec la frontière tunisienne, à savoir 40 km par la commune de Haddada et 65 km par  la commune de Lafouidh. Hamid M.

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Mauritanie : l'Union africaine se penche sur des dossiers brûlants à Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 11:11
Le Point Afrique - Les dirigeants de l'Union africaine (UA) se sont retrouvés pour un sommet axé sur le renforcement de l'intégration...
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Industrie : Yousfi appelle les investisseurs à profiter des potentialités de Ghardaïa

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 11:07
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, a appelé samedi à Ghardaïa les opérateurs économiques à profiter des énormes potentialités dont regorge la région et à saisir les opportunités d’investissement pour participer au développement économique. S’exprimant au cours d’une visite de travail dans la wilaya, le ministre a invité les responsables locaux à déployer davantage d’efforts pour encourager et attirer les investisseurs afin de créer la richesse et générer des emplois dans la région. Yousfi a plaidé, à ce titre, pour la lutte contre toute forme de bureaucratie entravant l’investissement et la facilitation, en numérisant les dossiers d’investissement. « Des facilitations afin d’assurer un environnement économique favorable à l’investissement productif et de garantir une croissance saine et pérenne dans le secteur industriel ont été mises en place par les pouvoirs publics », a-t-il souligné. La wilaya dispose de deux zones industrielles de 230 hectares (Guerrara et Bounoura ) qui ont connu une opération de réhabilitation et d’extension, ainsi que huit (8) zones d’activités totalisant 247 ha, dont quatre ont bénéficié d’une opération de réhabilitation et d’extension pour mobiliser de nouvelles assiettes foncières. En visitant à Berriane une entreprise spécialisée dans le recyclage et la fabrication de batteries pour véhicules, M. Yousfi a mis l’accent sur l’importance de promouvoir les investissements dans le recyclage et la récupération, selon les standards internationaux, avant d’inviter le propriétaire de l’usine à réaliser des batteries pour l’énergie solaire. Toujours à Berriane, au niveau d’une minoterie, le ministre s’est félicité de la reprise de l’investissement dans cette région « industrieuse » qui ambitionne de devenir une plate-forme logistique industrielle, après la période douloureuse qu’elle a connue. Le ministre de l’Industrie et des Mines a également visité la nouvelle zone industrielle de Berriane « Madagh » (plus de 16 hectares) qui s’apprête à accueillir des investisseurs. Sur site, il a écouté un exposé du directeur de l’Industrie de la wilaya qui a fait savoir que sur 830 hectares dédiés à l’investissement industriel, 165 ha ont été récupérés car non exploités. Poursuivant sa visite d’une journée dans la wilaya de Ghardaia, le ministre de l’Industrie et des Mines doit inspecter la zone industrielle de Bounoura avant de visiter le siège de l’association de gestion de la zone en question. Actuellement, le tissu industriel de la wilaya de Ghardaïa dispose de plus de 5.300 entreprises, dont 3.800 micro- entreprises (moins de trois personnes) et 500 moyennes entreprises occupant une population de 18.000 travailleurs. Salim D.

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En visite de travail à Béjaia, Zalène rassure: « Le projet de la pénétrante sera concrétisé »

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 11:01

Par Arezki Slimani.

Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zalène s’est montré rassurant quant à l’achèvement du projet de la pénétrante de Béjaïa sans pour autant avancer une quelconque date quant à sa réception définitive.

«il n’y a aucun problème de financement, le projet de la pénétrante autoroutière de Béjaïa sera mené au bout», a indiqué hier le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zalène, en visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Béjaïa. «Toutes les entraves ont été levées, à commencer par le paiement de l’entreprise en charge du projet et ce, jusqu’à la dernière situation présentée au mois d’avril» a ajouté Zalène, précisant que «le taux d’avancement dans la réalisation du projet a atteint les 75%».
La délégation ministérielle, qui a marqué une halte à Sidi-Aich au niveau du tunnel de la pénétrante autoroutière, a constaté un taux d’avancement du projet à hauteur de 60%.
Le ministre des Travaux publics a profité de l’occasion pour appeler les élus locaux et nationaux à s’impliquer dans le cadre de la sensibilisation des citoyens qui bloquent l’achèvement du projet de la pénétrante autoroutière qui relie Béjaïa vers l’autoroute Est-Ouest, soulignant au passage, le cas du manque d’agrégats, dont les besoins du projet s’élèvent à 1,5 tonne par jour, alors qu’aujourd’hui il ne reçoit qu’une tonne par jour en raison du blocage de sa livraison par les citoyens, à partir de la carrière de Toudja.
Le taux d’avancement dans la réalisation du tunnel de Sidi Aïch est estimé à 57% actuellement.
Le ministre des Travaux publics a refusé d’avancer une date de réception de ce mégaprojet qui figure parmi les 13 autres projets du genre inscrits au niveau national, reconnaissant que partout, il y a des difficultés.
En marge de cette visite, le ministre a annoncé une bonne nouvelle pour les habitants d’Iftissen. Après avoir dégagé l’enveloppe financière pour réaliser l’ouvrage temporaire, reliant leur village à la Route nationale 26 à travers l’oued Soummam, le ministre a indiqué que l’«étude du projet pour réaliser l’ouvrage a titre définitif sera lancée ces jours-ci, puisqu’un montant financier vient d’être dégagé à cet effet». Mis en service la semaine dernière, l’échangeur des Quatre Chemins à l’entrée de la ville de Béjaïa, a été inauguré officiellement hier, tout comme d’ailleurs la nouvelle gare maritime. Dans sa déclaration, le ministre n’a pas omis de relever toute l’importance de ces deux projets pour l’économie d’une ville touristique comme Béjaïa.
Le ministre des Travaux publics s’est félicité de ces deux réalisations pour ce qu’elles peuvent apporter comme amélioration sur le plan de la fluidité de la circulation pour une région qui voit sa population se démultiplier durant toute la période estivale. Il va de soi que ces deux projets vont se répercuter positivement sur l’économie locale, notamment sur l’activité du port de Béjaïa qui se voit étouffée par les encombrements qui trouvent leur origine dans la saturation de l’infrastructure routière autant au niveau de la ville que sur les différentes Routes nationales.
L’achèvement de la pénétrante autoroutière ne manquera pas de renforcer cette amélioration. Une amélioration totale est attendue à travers aussi la concrétisation des projets de dédoublement de la voie ferrée, du tramway, du téléphérique de Gouraya et du dédoublement de la RN 26 et la RN 24. Il est ainsi pour l’extension du port et de l’aéroport… Autant de projets, bien évoqués souvent, restent à ce jour sans lancement ou en arrêt pour l’absence de financement sans avenir certain. On évoque souvent leur «gel» des suites de la récession économique que connaît le pays ces dernières années.

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Le ministre du tourisme donne le top départ de la saison estivale 2018 :Un été sans imagination

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:58

Une bonne saison estivale pour la destination Algérie cette année est-elle possible? Cette saison sera-t-elle porteuse avec l’afflux des touristes étrangers?

La saison estivale a débuté officiellement avant-hier. Elle s’annonce doucement, mais sûrement. Un démarrage tardif qui démontre, selon les observateurs, l’absence d’un plan stratégique et une préparation sérieuse. Le département du tourisme connaîtra-t-il une réelle relance lors de cette saison estivale 2018? Rien n’est sur pour l’instant! Le ministre du Tourisme, face à son premier examen, démontre une assurance et une confiance en ce qui concerne la relance du tourisme sur l’ensemble du territoire national.
Pour une meilleure saison estivale, il semble que l’Etat est déterminé à parachever tous les projets touristiques et à séduire le plus grand nombre de touristes. A ce stade, une bonne saison estivale pour la «destination Algérie», cette année s’avère un grand défi à relever.
Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a réaffirmé, encore une fois, que le gouvernement est déterminé à parachever tous les projets d’investissement relevant de son secteur, à réhabiliter et à moderniser les établissements hôteliers publics pour répondre aux demandes des clients.
Présidant le coup d’envoi de la saison estivale 2018 au complexe touristique de Sidi Fredj, le ministre a annoncé la réception prochaine de 60 à 70 nouveaux hôtels d’une capacité globale de plus de 7000 lits. Dans ce même contexte, le premier responsable du secteur, a souligné que l’opération de réhabilitation des hôtels se poursuivait toujours en dépit d’un écart dans le taux de réalisation, précisant que ce problème sera pris en charge à travers la mise en place d’une commission nationale de suivi de la réalisation des projets hôteliers. Concernant la gratuité des plages, qui est devenue un grand problème pour les estivants, ces derniers se faisant arnaquer et parfois même agresser, le ministre a mis l’accent sur «l’impératif d’appliquer la loi sur la gratuité des plages», faisant état de l’octroi de contrats de concession en faveur de plusieurs hôtels pour exploiter certaines plages. D’autre part, le ministre a mis en avant la promotion du tourisme dans le pays, rappelant dans ce cadre, la grande stratégie adoptée par le secteur pour relancer le tourisme en Algérie. Pour lui, «le secteur oeuvre à l’amélioration du service public et à la promotion du niveau d’encadrement et des conditions d’accueil des touristes tout en en assurant une meilleure prestation de service avec des prix concurrentiels».
Pour promouvoir son secteur, le premier responsable du tourisme a fait état de la signature d’une convention-cadre entre l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta) et le groupe Hôtellerie, tourisme et thermalisme (HTT) à l’effet de permettre aux travailleurs de passer leurs vacances et bénéficier de prix exceptionnels à travers des réductions jusqu’à 30 et 40%.
Dans ce même cadre, il a rappelé les efforts déployés par la Commission nationale de préparation de la saison estivale afin de fournir les moyens humains et matériels au profit des touristes, il a ajouté que «cette commission s’attelle actuellement à la préparation de la saison du tourisme saharien qui débutera en octobre prochain».
Par ailleurs, on note, que le ministre a procédé à l’inauguration d’une exposition sur l’artisanat qui représente le patrimoine national, effectuant, en outre, une visite d’inspection à la plage bleue de Sidi Fredj afin de s’enquérir des conditions actuelles d’accueil des touristes. Le tourisme est d’une importance capitale parce qu’il en va de l’avenir de notre économie. Connaîtra-t-il un essor spectaculaire cette année? L’avenir nous le dira…

Par Ilhem TERKI 

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Des touristes australiens à la casbah d’Alger

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:52

C’est le pari réussi par une agence de voyages basée à Batna, Timgad Voyages qui a organisé le séjour d’une vingtaine de touristes australiens venus visiter la casbah d’Alger. L’ambition de ce voyagiste qui, comme bon nombre d’autres agences, investit beaucoup dans les séjours en Tunisie, où il achemine jusqu’à une vingtaine de bus par voyage vers différentes destinations, serait d’élargir son horizon en offrant une gamme de séjours autrement plus culturelle. A ce titre, le festival de Timgad qui constitue une opportunité de premier plan devrait contribuer à conforter cette stratégie dont on espère qu’elle sera suivie par un certain nombre d’autres agences.

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L’avertissement de Gaïd Salah

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:49

Par Zouhir Mebarki.

«Le dessein abject que le colonisateur n’a pu atteindre sur la terre d’Algérie, ne peut et ne pourra être atteint par quiconque, ceci est un serment ferme et immuable, hérité par les enfants de l’Algérie libre et loyaux au message de Novembre et à sa Glorieuse Révolution, génération après génération, alors il n’est nulle crainte pour l’Algérie ou pour son futur, peu importe la grandeur des défis et l’ampleur des enjeux, l’Algérie se tiendra toujours au-dessus» a déclaré le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-major de l’Armée nationale populaire (ANP) lors de sa visite, samedi dernier, à l’Académie militaire de Cherchell.

Son intervention était retransmise, en direct par visioconférence, à l’ensemble de nos militaires des six Régions militaires. Ce passage de son allocution, par son importance, mérite que l’on s’y attarde. D’abord on comprend que notre pays est toujours convoité par des forces extérieures. Lorsque Gaïd Salah avertit que ce «que le colonisateur n’a pu atteindre (en Algérie), ne peut et ne pourra être atteint par quiconque», il fait part d’une menace encore présente et qui pourrait persister. D’une menace lourde puisqu’il n’écarte pas «la grandeur des défis et l’ampleur des enjeux». «Peu importe, ajoute-t-il, l’Algérie se tiendra toujours au-dessus», grâce à ses enfants d’aujourd’hui et de demain qui sont liés par le serment fait à leurs aînés de Novembre qui ont libéré le pays. Un serment au message de Novembre «ferme et immuable…génération après génération». Quand on sait le niveau atteint par notre institution militaire, personne ne peut douter de la fiabilité des renseignements en sa possession. Dès lors, un tel message (car il s’agit bien d’un message) envoyé par le général de corps d’armée Gaïd Salah prend tout son poids de gravité, de détermination et d’avertissements. Aussitôt que l’on mesure pleinement l’importance de cette prise de parole, tous les Algériens, sans exception, et à plus forte raison les hommes et les femmes politiques, toutes obédiences confondues, du pays ainsi que l’ensemble de la société civile doivent se mobiliser, se rassembler, s’unifier et se préparer à se dresser comme un seul homme si d’aventure «quiconque» s’aventurerait à tenter le même «dessein abject que le colonisateur n’a pu atteindre». Il nous faut apprendre à taire les querelles politiciennes lorsque le danger risque de nous emporter tous ensemble. Les plus responsables d’entre nous doivent appeler à la raison les plus inconscients. La «main de l’étranger» n’est pas une simple vue de l’esprit. C’est une réalité amère. Sinon comment expliquer que de tous les pays décolonisés dans les années 1960, l’Algérie est le seul pays à être ciblé sans relâche depuis 56 ans par ceux que l’on appelle les «nostalgérie».

Pour être plus clair, par les nostalgiques de «l’Algérie de papa». Certes, nous avons la chance aujourd’hui d’être protégés par la plus forte armée de la région, et c’est à elle que s’est adressé le général Gaïd Salah, mais nous nous devons de lui faciliter la tâche. Comment? en opposant les innombrables réalisations à tous ceux qui s’échinent à nous donner de l’Algérie, les images les plus négatives. Leur démontrer que même si nous sommes 42 millions, nous restons unis comme un seul homme. Pour qu’ils cessent de croire pouvoir nous faire le coup de la Libye ou de la Syrie!

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Le Président de la République inaugure une rue au centre de la capitale portant le nom du combattant africain Nelson Mandela

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/02/2018 - 10:47
AMI - Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, a inauguré, lundi matin en compagnie du président...
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Electricité : La capacité de production nationale devrait atteindre 60.000 MW d’ici 2030

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:44
La capacité de production électrique de l’Algérie devra s’établir à 60.000 Méga watts (MW) à l’horizon 2030, avec une part de 37% issus de sources renouvelables, alors que la production effective atteindra 150 Térawatts/heure (TWh), a indiqué samedi à Alger un expert des questions énergétiques. Ainsi, l’ancien directeur de production à la Sonatrach, M Abdelmadjid Remili, a indiqué que durant la période allant de 2000 à 2016, la capacité de production électrique de l’Algérie est passé de 5.900 MW à 17.000 MW alors que la production électrique réelle est passée de 25 Twh à 70,6 Twh. Le spécialiste s’est ainsi exprimé lors des travaux du 5ème colloque du Club Energy de l’Association des ingénieurs d’Etat diplômés de l’Institut algérien du pétrole (AIED-IAP) pour thème la « problématique de la sécurité énergétique pour l’Algérie à l’horizon 2030 et au-delà », rencontre qui s’est déroulée en présence du P-dg de Sonelgaz Mohamed Arkab. Le même spécialiste a également rappelé qu’en 2016, la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique du pays ne dépassait pas 0,5 %, et malgré de nombreux efforts consentis dans le sens de son développement. De ce fait, M. Remili a fait observer que l’Algérie fait face à une forte demande en énergie électrique qui nécessite un besoin nouveau en capacité de production de l’ordre de 2.000 MW/an jusqu’en 2024.  Il a estimé que cette augmentation devrait être réalisée à travers l’aboutissement des projets d’installation de centrales thermiques et grâce au lancement du programme des énergies renouvelables. Pour sa part, l’ancien vice-président de l’activité commerciale de Sonactrach et fondateur des journées techniques et scientifiques de la même compagnie, M. Chawki Rahal, a estimé que l’Algérie est confrontée à plusieurs défis qu’elle devra affronter pour réussir sa transition énergétique et garantir sa sécurité en la matière, voire, son indépendance énergétique à moyen et long terme. Il a, dans ce sens, cité le poids important de la rente pétrolière dans l’économie nationale, la rendant vulnérable aux variations du marché pétrolier. Ceci conjugué à l’évolution de l’état et l’épuisement naturel des réserves conventionnelles en hydrocarbures dont le renouvellement n’est pas totalement assuré par de nouvelles découvertes de taille suffisante. Il a également mentionné le défi de la complexité technique et financière nécessaire pour développer et produire les hydrocarbures non conventionnels, et ce, en plus de la nécessité de la prise en charge des aspects environnementaux et sociaux y afférents. Il a aussi évoqué l’accroissement soutenu de l’ordre de 8%  de la consommation énergétique nationale satisfaite actuellement à hauteur de 99,5%, conjugué à l’évolution de la population qui passera d’environ 41 à 49 millions d’habitants à l’horizon 2030 et à 57 millions d’habitants à l’horizon 2050. En outre, le positionnement de l’Algérie comme pays à fort stress hydrique et à faible et aléatoire pluviométrie ayant engendré le développement de systèmes de dessalement d’eau de mer fortement énergétivore, a également été cité comme défi avec lequel l’Algérie doit compter en vue d’assurer sa sécurité énergétique. Pour atteindre cette sécurité énergétique, différents membres du club Energy de l’AIED-IAP ont préconisé le passage vers un nouveau modèle de consommation énergétique basé sur l’économie d’énergie et intégrant une forte portion d’énergies renouvelables, notant que le programme de transition énergétique est « plus que stratégique  » pour atteindre cet objectif. Néanmoins, a-t-il été mentionné, ce programme doit comporter, en plus des 22.000 MW de capacité en énergies renouvelables, un programme encore plus audacieux en matière d’économie d’énergie. Le relèvement des tarifs d’électricité conventionnelle a de même été évoqué comme solution à même de pousser les ménages à réfléchir à la transition vers la consommation d’électricité d’origine solaire notamment, avec l’installation de panneaux photovoltaiques au niveau de leurs propres domiciles. Kenza H.

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Soudani signe à Nottingham Forest

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:41

R. S.

L’attaquant international algérien du Dinamo Zagreb (Div.1 croate de football) Hilal Soudani s’est engagé pour trois ans en faveur de Nottingham Forest (Championship), a annoncé le club anglais vendredi sur son site officiel.

«Nottingham Forest est ravi d’annoncer que l’attaquant international algérien Hillal Soudani a accepté de rejoindre le club. Il rejoint l’équipe dirigée par Aitor Karanka et signera un contrat de trois ans à partir d’aujourd’hui», a indiqué la même source sans préciser le montant du transfert, mais selon la presse locale, le montant de la transaction est estimé à 3 millions d’euros. L’ancien joueur de l’ASO Chlef (Ligue 2/Algérie) va retrouver à Nottingham Forrest, son compatriote et coéquipier en sélection nationale Adlène Guedioura. Soudani (30 ans) a terminé en tête du classement des buteurs du championnat croate de football pour la saison 2017-2018 avec 17 réalisations. Il avait rejoint le Dinamo Zagreb en 2013 en provenance de Vitoria Guimaraes (Div. 1/Portugal) pour un contrat de quatre ans, qu’il a prolongé en 2017 pour trois saisons supplémentaires.

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Mondial-2018 : Ronaldo repart avec Messi et l’Uruguay rejoint les Bleus en quart

Algérie 360 - Mon, 07/02/2018 - 10:40
Après Messi, Cristiano Ronaldo succombe aussi! Dans un samedi fatal aux stars, l’attaquant du Portugal n’a pu  empêcher l’élimination des champions d’Europe en huitièmes du Mondial-2018  devant l’Uruguay d’Edinson Cavani (2-1), auteur d’un doublé synonyme de quart  contre la France… avant de sortir blessé. En l’espace d’une soirée, les cinq Ballons d’Or de Lionel Messi et les cinq  autres de Ronaldo sont repartis à la maison. Avec justice: sans inspiration  malgré une égalisation de Pepe (55e), les Portugais ne méritaient sans doute  pas mieux, étouffés à Sotchi par la défense de fer de la Celeste et écoeurés  par les contres assassins de Luis Suarez et de Cavani (7e, 62e). « C’est un jour spécial et il faut savourer », a réagi « Edi » Cavani après le  match. « Mes buts, ce sont de belles choses qui resteront, cela met de la joie  dans les yeux de tes équipiers. C’est la plus belle chose que tu gardes », a  ajouté l’attaquant du Paris SG, avant de féliciter les Bleus pour leur  qualification et leurs futures retrouvailles. Comme un basculement de génération… Le jour où le Français Kylian Mbappé  (19 ans) a crevé l’écran en éliminant l’Argentine (4-3), les trentenaires CR7  et Messi ont perdu à la fois leurs rêves de titre planétaire et beaucoup  d’arguments en vue d’un éventuel sixième Ballon d’Or l’hiver prochain. Voilà donc les champions d’Europe portugais renvoyés chez eux, après les  vice-champions du monde argentins, après les champions du monde allemands. Et  voilà l’Uruguay en quarts du Mondial, avec l’insolente jeunesse française sur  la route du vieux et madré sélectionneur Oscar Tabarez vendredi à Nijni  Novgorod (16h00 françaises). Tabarez (71 ans) avait prévenu vendredi que gagner un match ennuyeux ne  l’ennuyait guère. Son équipe a été impressionnante défensivement, mis à part un  mauvais marquage sur le but de la tête de Pepe. Et cela promet un sacré  casse-tête offensif pour le sélectionneur français Didier Deschamps. Barbelés En début de Mondial, Ronaldo avait fait du stade olympique de Sotchi son  jardin avec un triplé contre l’Espagne (3-3). Mais cette fois, la pelouse  semblait hérissée de ronces, d’épines et de barbelés pour CR7. Pour prendre l’avantage, la Celeste a profité d’un improbable une-deux  Suarez-Cavani à cinquante mètres de distance, avec le Matador du PSG à la  finition en reprenant le ballon du visage après une course effrénée (7e)    Puis, après l’égalisation portugaise, Rodrigo Bentancur a mené un contre,  Luis Suarez a laissé filer le ballon et Cavani, ouvrant bien son pied, a trouvé  le petit filet opposé (62e) pour son 3e but dans ce Mondial. Aussitôt après ces deux coups de poignard, l’Uruguay a resserré ses lignes,  repoussé les ballons aériens et montré un engagement de tous les instants. De  quoi décourager petit à petit les Portugais, maîtres du ballon sans en faire  grand-chose. Fin de match frustrante Ronaldo a eu quelques tentatives (6e, 13e, 32e) sans parvenir à trouver une  bonne position de frappe. D’ailleurs, statistique rare, l’attaquant du Real  Madrid n’a touché aucun ballon dans la surface adverse en première période! Et dans une fin de match frustrante, il a écopé d’un carton jaune pour  protestation qui l’aurait de toute façon privé d’un éventuel quart. Au final, le plus beau geste du quintuple Ballon d’Or aura été de  raccompagner vers le bord du terrain Cavani qui boitait, victime d’une blessure  au mollet gauche (74e) qui entretient la chance proverbiale de Deschamps…  Sera-t-il là en quarts face aux Bleus ? « J’espère que oui, on va mettre  toute l’envie possible pour continuer avec toute l’équipe et être sur le  terrain », a répondu l’avant-centre uruguayen. Pour Ronaldo, regard noir au coup de sifflet final, c’est un nouvel échec  en Coupe du monde (demi-finaliste en 2006, huitième de finaliste en 2010,  éliminé au premier tour en 2014). Et à 33 ans, difficile de l’imaginer être sacré dans quatre ans au Qatar,  même si l’insatiable Portugais assure vouloir jouer jusqu’à ses 40 ans. « Ce  n’est pas le moment du parler de l’avenir », a-t-il tranché samedi. Son sélectionneur, lui, s’est montré optimiste: « Je suis convaincu que  Cristiano a encore beaucoup à donner au football. En septembre une nouvelle  compétition débute, la Ligue des nations de l’UEFA, et j’espère qu’il sera avec  nous », a dit Fernando Santos.  Samedi soir, néanmoins, Cristiano Ronaldo faisait son âge. Programme d’aujourd’hui : Brésil – Mexique à 15 heures Belgique – Japon à 19 heures

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