L'atelier de validation du nouveau code de la route du Bénin se déroule depuis ce lundi 24 septembre 2018 à l'hôtel Bel Azur de Grand Popo. Cet atelier vise à conformer le l'avant-projet aux nouvelles exigences de l'heure avant sa transmission à l'Assemblée nationale.
L'avant-projet du nouveau code de la route au Bénin en étude depuis ce lundi à Grand-Popo sous le contrôle des spécialistes du secteur. Cette rencontre marque le début du processus d'actualisation des textes règlementant l'usage des voies routières ouvertes à la circulation publique au Bénin. Il s'agit d'une initiative du Centre National de Sécurité Routière (CNSR), en partenariat avec l'Ong de solidarité internationale Handicap International. Plusieurs acteurs de la route sont conviés pour étudier de fond en comble l'avant projet du nouveau code de la route du Bénin. Il s'agit des acteurs du CNSR, de la direction des transports terrestres, de l'ANaTT, de la police républicaine, des assureurs, des organisations non gouvernementales travaillant dans le domaine de la sécurité routière et du réseau des partenaires de la sécurité routière.
Plusieurs ateliers seront constitués pour statuer et amender le document avant sa transmission aux politiques.
Le Directeur Général du CNSR invite les participants à cet atelier à plus d'assiduité et de précision dans la transcription des idées. Aubin Adoukonou leur suggère de tenir compte de l'évolution technologique, des réalités sociologiques et du contexte actuel où le gouvernement est dans la phase active de construction et de modernisation de ses infrastructures routières. Il appelle à ce que les objectifs visés au cours de cet atelier soient atteints tout en insistant sur la gestion rationnelle du temps. M. Adoukonou souhaite que l'avant-projet soit validé et transmis au ministre de la Justice et celui des Transports afin que l'Assemblée Nationale joue sa partition.
Les travaux de cet atelier de validation du nouveau code de la route du Bénin vont durer trois jours.
G.A.
Lancé ce mardi 25 septembre 2018, l'atelier de renforcement des capacités des femmes du commerce transfrontalier corridor Abidjan-Lagos s'est ouvert à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin. Une rencontre qui permettra aux participantes de maîtriser les normes en matière administrative.
" Les formalités administratives (police et douane) de la traversée des frontières terrestres : cas de Kraké ". Tel est le thème qui a réuni les commerçantes du corridor Abidjan-Lagos. Les échanges au cours de cette rencontre visent à expliquer aux femmes spécialisées dans le commerce transfrontalier de ce corridor l'importance des formalités administratives. Il s'agit en réalité des formalités administratives nécessaires auxquelles elles doivent se conformer et les droits qui sont les leurs dans le cadre de l'exercice de leur commerce en Afrique de l'Ouest.
Cet atelier se déroule en présence du Ministre de l'industrie et du commerce, Serge Mahouwèdo Ahissou, du Secrétaire Exécutif de l'Alliance Borderless, Justin B. Bayili et du Premier Vice-président de la Ccib, Souley Maman Yacoubou.
Cette rencontre est bien salutaire au regard des difficultés auxquelles sont confrontées au quotidien les commerçantes. Il s'agit entre autres, de la méconnaissance des règles régissant le commerce transfrontalier.
Ce cadre d'intégration permettra aux femmes de jouer leur partition selon les exigences relatives à cette thématique sur les normes Cedeao.
G.A.
Le rythme le plus important pour l’enfant est, sans conteste, le circadien, veille-sommeil, qui dure 24 heures. Pour connaître les besoins spécifiques en sommeil de votre enfant, notez l’heure de son réveil spontané le matin, pendant les vacances. En calculant combien de temps il a dormi, vous connaîtrez son temps idéal de sommeil. L’état de veille est le meilleur reflet de la qualité du sommeil. Si votre enfant n’est pas fatigué, pas somnolent durant la journée, s’il ne présente pas de troubles comportementaux ou scolaires inexpliqués, c’est que son sommeil est suffisant en qualité et en quantité.
D’une façon générale, jusqu’à 12 ans, un enfant a impérativement besoin de dormir 10 à 12 heures, pour sa croissance et son équilibre. L’en priver l’expose à des troubles sérieux : instabilité, agitation, anxiété, problèmes d’acquisition des connaissances. Le sommeil permet à l’enfant de se construire et de grandir. Non seulement l’hormone de croissance est sécrétée au cours du sommeil, mais elle favorise aussi la mise en ordre et le classement des informations ainsi que le renforcement des circuits réflexes. L’enfant doit sortir du sommeil comme «nettoyé» et «refait à neuf».
The post Parents: Votre enfant dort-il suffisamment ? appeared first on .
200 g de sucre semoule, 1 œuf, 1 jaune d’œuf, 1 c. à soupe de zeste de citron, 3 c. à soupe de jus de citron, 425 g de farine, 1/2 c. à café de levure en poudre, 150 g de beurre, 1/2 c. à café de sel
Préchauffez le four à th.6 (180° C). Battez le beurre ramolli avec le sucre puis, lorsqu’il est fondu, avec l’œuf entier et le jaune, le zeste et le jus de citron. Lorsque la préparation est bien amalgamée et légère, incorporez-y la farine tamisée avec le sel et la levure. Prélevez de petits morceaux de pâte et roulez-les entre les paumes des mains en petites boules de 2,5 cm de diamètre environ. Disposez-les sur une tôle beurrée, à 6 cm d’intervalle. Trempez la base d’un gobelet dans du beurre fondu puis dans du sucre semoule et pressez sur chacune des boules pour les aplatir en petites galettes de 1 cm d’épaisseur. Enfournez pendant 12 à 15 minutes.
The post Croquants au citron appeared first on .
La réalisation de la nouvelle aérogare d’Alger est presque achevée. « À l’intérieur de l’aérogare, les travaux sont terminés », informe la direction de l’aéroport. « Nous allons entamer la simulation de vols dans dix à 15 jours pour tester l’aérogare dans les conditions réelles d’exploitation », explique la même source, qui ajoute, « Les tests techniques concernant les équipements de l’aérogare ont été menés avec succès ».
La date de l’inauguration officielle de la nouvelle aérogare internationale n’est pas encore officiellement fixée. « Nous travaillons pour finir les travaux et effectuer les essais nécessaires. Pour la date d’inauguration, c’est aux pouvoirs publics de la fixer », précise la direction de l’aéroport.
The post Simulation de vols bientôt dans la nouvelle aérogare de la capitale appeared first on .
4 beaux bulbes de fenouil, citron, 1 œuf entier, farine, lait, sel
Nettoyez 4 beaux bulbes de fenouil et coupez-les verticalement en tranches de 1/2 cm d’épaisseur, en les plongeant au fur et à mesure dans de l’eau froide citronnée. Préparez une pâte à frire avec 1 œuf entier et de la farine, mouillez de lait en quantité suffisante pour avoir une pâte nappante, salez. Laissez reposer la pâte durant au moins 30 min. Égouttez et essuyez soigneusement les tranches de fenouil, plongez-les dans la pâte et faites-les bien dorer à grande friture.
The post Beignets de fenouil appeared first on .
Le délégué national aux risques majeurs du ministère de l’Intérieur accuse les services météo de ne pas émettre des bulletins météorologiques spéciaux pour alerter sur des intempéries à venir. C’est le cas, récemment, pour les inondations dans la ville de Constantine, dit-il, où aucun BMS n’a été émis.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Visiblement le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales pense que les services météo ne sont pas aussi efficaces qu’ils ne devraient être. Le département de Noureddine Bedoui n’arrive pas à anticiper pour prendre des mesures adéquates pour la gestion des événements de catastrophes naturelles car il ne dispose pas d’alertes météorologiques à temps. Pis, selon le délégué national aux risques majeurs du ministère de l’Intérieur qui s’est exprimé hier sur les ondes de la Radio nationale Chaîne 3, ses services n’émettent parfois aucun BMS avant la survenue d’un événement catastrophique comme c’était le cas lors des inondations qu’ont vécues plusieurs villes du pays récemment. «Parfois les BMS n’arrivent pas au moment voulu. A Constantine, il n’y pas eu de BMS pour prévenir la population qu’un événement violent allait bientôt survenir. C’était la même chose pour Aïn El Kebira en juillet, Chéréa et Tébessa. Parfois les BMS n’arrivent pas à temps et au bon moment, et parfois le contenu n’est pas assez précis comme on le voudrait. On donne des informations vagues et elles ne concernent pas toutes les wilayas», accuse M. Tahar Millizi.
Selon lui, il y a des endroits où il n’y a pas du tout de BMS et dans lesquels le département de l’Intérieur recours aux radios locales pour informer et alerter les populations. M. Tahar Millizi a indiqué, cependant, que le département de l’Intérieur travaille avec les services météo pour prendre en charge cette situation. Par ailleurs, l’invité de la rédaction a souligné «que nous n’avons pas encore une cartographie des zones inondables. Celles-ci, dit-il, sont en train d’être élaborées par les secteurs concernés notamment le Craag et le ministère des Ressources en eaux». M. Mellizi a aussi annoncé la tenue d’une conférence nationale les 22 et 23 octobre prochain pour faire une évaluation sur l’application des textes réglementaires de la loi 04/20 relative à la prévention des risques majeurs et la gestion des catastrophes. Cette conférence permettra aussi à l’Algérie d’adapter sa réglementation aux standards internationaux. Par ailleurs, le ministère de l’Intérieur qui est en train de faire une évaluation sur les dégâts engendrés par les dernières inondations dans 24 wilayas a alloué une enveloppe de 25 milliards de dinars pour la réparation des infrastructures publiques endommagées.
S. A.
The post Anticipation des inondations et intempéries: L’Intérieur accuse les services météo appeared first on .
Les dernières déclarations de Bernard Bajolet semblent avoir mis les autorités françaises dans un certain embarras. C’est ce que laissent, en partie, transparaître les propos tenus hier par l’ambassadeur de France en Algérie.
Abla chérif – Alger (Le Soir) – Après un silence de quelques jours, le chef de la représentation française en Algérie a donc réagi aux sorties médiatiques de l’un de ses prédécesseurs à Alger, Bernard Bajolet, auteur d’un ouvrage dans lequel il se livre à des révélations sur la manière dont est assurée la gouvernance dans notre pays, et de propos au vitriol dans une récente interview accordée au Figaro. Xavier Driencourt s’est exprimé à l’occasion de la mise en place du groupe d’amitié algéro-français à l’APN faisant savoir que les déclarations de l’ancien ambassadeur de France en Algérie «ne peuvent engager que sa personne et n’engagent en aucun cas le gouvernement, le président et l’administration française», avant d’ajouter que «les relations algéro-françaises ont besoin d’un apaisement ». Il poursuit : «Bernard Bajolet a occupé, il y a plus de dix ans les fonctions qui sont les miennes aujourd’hui. Il sait combien ces fonctions sont importantes, délicates et compliquées.
Le rôle d’un ambassadeur français à Alger, ce n’est pas de remettre de l’huile sur le feu, fût-ce de l’huile d’olive. C’est, au contraire, de rapprocher, de raccommoder quand il le faut, de faire de la dentelle. Et quand on fait de la dentelle parfois, on se pique avec une épingle. Il faut éviter de se piquer avec une épingle, il faut éviter les piqûres d’épingles et je pense que nous sommes là, pas seulement moi, mais les parlementaires et moi, nous sommes là pour éviter les piqûres». L’Elysée ne s’est pas exprimée officiellement sur la crise induite, entre autres, par les déclarations de celui qui fut aussi patron de la DGSE, la tâche de clarification ayant été à l’évidence laissée au représentant du Quai d’Orsay sur place. Ses propos se veulent en premier lieu une mise au point à toutes les lectures selon lesquelles les autorités officielles françaises se trouveraient directement impliquées dans les «charges» de Bajolet à l’encontre du président Bouteflika et du régime algérien dans sa globalité.
A Alger, comme à Paris, de nombreux médias ont axé leur commentaires sur le fait que de telles révélations, publiées à une période délicate surtout, ne pouvaient qu’avoir reçu le feu vert de l’Elysée compte tenu des hauts postes de responsabilité que son auteur avait assumé. Elles sont surtout survenues au moment où Alger a pris la décision de retirer la protection policière dont bénéficiaient toutes les représentations françaises appliquant la réciprocité à Paris qui en avait fait de même quelques jours plus tôt. Le geste incompris avait alors été perçu comme un signe de tension entre les capitales qui se sont abstenues de toutes explications officielles, et surtout publiques, sur le sujet. Le déballage médiatique de Bernar Bajolet n’a fait lui qu’envenimer une situation déjà très tendue et également marquée par les restrictions sévères en matière d’octroi du visa français. Après la publication d’un livre Le soleil ne se lève plus à l’est dans lequel il procède à des révélations qui ont provoqué la colère d’Alger, l’ancien ambassadeur a accordé une interview (au Figaro) dans laquelle il évoque l’impossibilité d’une avancée dans les relations algéro-françaises en raison de la crise politique qui sévit en Algérie.
Le président Bouteflika a quant à lui été décrit comme étant dans un état de santé grave en des termes politiquement incorrects. Ce fait n’est que la suite d’une succession d’impairs et d’incidents que les dirigeants algériens ont eu du mal à digérer et dans lesquels s’ajoutent ceux commis par le représentant officiel de l’Etat français en Algérie. Ce dernier s’était distingué par des propos jugés également incorrects envers les Algériens et de hauts cadres du pays pratiquement traités de harragas. Des mises au point publiques lui ont été adressées par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Jusqu’à l’heure, les autorités algériennes ne se sont pas exprimées officiellement sur la série d’incidents diplomatiques. Les questions de fond seront réglées de vive voix en octobre lors de la réunion de haut niveau qui doit se tenir à Paris dans le cadre de la Comefa (Comité mixte économique algérofrançais).
A. C.
The post Après la déclaration de Bernard Bajolet: L’embarras de Paris appeared first on .
L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, John P. Desrocher, a pris part hier à Oran, au niveau de l’université d’Oran 1, à la cérémonie de célébration de l’ouverture de l’American corner d’Oran créé depuis près de 10 ans.
Il s’agit d’un centre culturel qui entre dans le cadre du programme de l’American corner, un département inauguré à travers le monde il y a de cela plus 10 ans. Depuis 2000, les États-Unis ont lancé plus de 400 American corner dans 60 pays à travers le monde. L’American corner d’Oran a été inauguré par l’ambassadeur des Etats-Unis Robert Stephen Ford le 16 juin 2008. Si au départ ils n’étaient que 50 adhérents à Oran, aujourd’hui, l’on compte près de 7 000. Il s’agit d’une bibliothèque qui traite de la culture, la civilisation et la littérature américaines.
Situé dans la bibliothèque centrale de l’Institut national des sciences médicales (Inesm), le lieu dispose de plus de 2 000 titres en anglais, des ouvrages de référence, des dictionnaires et des encyclopédies qui peuvent être utilisés pendant la visite l’American Corner d’Oran, tandis que d’autres livres peuvent être empruntés pour une période de deux semaines. Prenant la parole, l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, s’est dit ravi qu’il y ait eu l’ouverture de ce département ici à Oran, depuis maintenant 10 ans. «Cela témoigne d’une expérience formidable, je voudrais vraiment remercier ceux d’entre vous qui utilisent les services du département américain». M. John P. Desrocher s’est dit conscient de la portée de ce succès qui n’en serait pas là sans la contribution de tous. «C’est vraiment grâce à vos contributions dans le partage de vos idées et vos expériences que le département a pu exister, avec l’apport de toute cette énergie».
Amel Bentolba
The post Visite de l’ambassadeur des Etats-Unis en Algérie: Célébration du 10e anniversaire de l’American Corner Oran appeared first on .
Samsung Electronics co., Ltd. vient d’annoncer le lancement du Galaxy A7, le dernier né de la gamme Galaxy A. Avec son triple appareil photo arrière puissant, son design épuré et ses fonctions de tous les jours, le Galaxy A7 innovant est l’appareil idéal pour vous guider partout où la vie vous mène.
« Samsung s’engage à fournir une innovation significative à tous les consommateurs de la famille Galaxy, peu importe qui ils sont ou où ils se trouvent dans le monde », a déclaré DJ Koh, président et chef de la division Communications IT et mobiles chez Samsung Electronics. « C’est pourquoi nous sommes ravis d’introduire de nouvelles fonctionnalités innovantes dans la série A avec le Galaxy A7, un appareil pratique, mais puissant, conçu pour vous aider à rendre votre quotidien à la fois pratique et extraordinaire. »
Prenez des photos et partagez vos expériences avec la puissante triple caméra du Galaxy A7.
Prenez des selfies clairs et nettes à tout moment de la journée et ne vous souciez plus de la recherche de l’éclairage idéal, avec la caméra frontale de 24MP du Galaxy A7 et le flash LED ajustable. Prenez des selfies à effet bokeh avec la fonctionnalité Selfie Focus et imitez l’éclairage de studio professionnel avec le mode Pro Lighting. Ajoutez une touche personnelle et exprimez-vous avec les emoji AR et les filtres flatteurs.
Doté d’un écran Super AMOLED premium de 6,0 pouces, le Galaxy A7 vous permet de découvrir et de partager le monde tel que vous le voyez. En outre, l’Infinity Display de Samsung tire le meilleur parti d’une visualisation ininterrompue et immersive.
Le Galaxy A7 prend également en charge la technologie sonore immersive Dolby Atmos®[2], qui donne vie au divertissement grâce à l’audio en mouvement qui circule tout autour de vous. En matière de style, le Galaxy A7 ne fait aucun compromis. Grâce à son design en verre de qualité supérieure, à son capteur d’empreinte digitale latéral pour plus de commodité et à ses courbes homogènes, il est à la fois pratique et confortable. Disponible en quatre couleurs élégantes pour s’adapter à votre style personnel – bleu, noir, or et rose[3] -, il n’a jamais été aussi facile de vous exprimer avec le Galaxy A7.
Conçu pour rendre la vie plus pratique, le Galaxy A7 est livré avec Bixby[4], Samsung Pay[5] et Samsung Health.
Le Galaxy A7 sera disponible sur certains marchés européens et asiatiques à partir de cet automne et s’étendra à d’autres marchés dans un avenir proche.
Le 11 octobre 2018, Samsung Electronics accueillera un nouveau membre dans la famille Galaxy. Pour célébrer le lancement du prochain appareil, l’entreprise organise un événement Samsung A Galaxy le 11 octobre 2018 à 17h00 (MYT).
Pour plus d’informations sur le Galaxy A7, veuillez visiter http://www.samsungmobilepress.com, news.samsung.com/galaxy ouwww.samsung.com/galaxy
Spécifications du produit Galaxy A7 :
[1]19 catégories disponibles: Nourriture, Portraits, Fleurs, Scènes d’intérieur, Animaux, Paysages, Verdure, Arbres, Ciel, Montagnes, Plages, Levers et couchers de soleil, Rivières, Scènes de rue, Scènes de nuit, Cascades, Neige, Oiseaux, Texte [2]Son Dolby Atmos pris en charge uniquement sur les écouteurs [3]Les couleurs disponibles peuvent varier selon les pays [4]La voix Bixby n’est pas disponible sur le Galaxy A7. La disponibilité des services Bixby peut varier selon les marchés. [5] La disponibilité de Samsung Pay peut varier selon les pays, les appareils, les fonctionnalités, les émetteurs de cartes et les commerçants.
The post Élargissez votre monde avec le Galaxy A7 appeared first on .
Alors que la ministre de l’Education a mis fin au problème du «seuil des programmes» lors de l’examen du bac, certains inspecteurs dictent aux enseignants la nécessité d’informer les élèves sur les leçons à ne pas réviser pour le bac.
The post Et l’instruction de la ministre ? appeared first on .
Sofiane Khedaïria est un gardien qui a évolué en France avant de venir briller au sein de l’ESS où il a remporté des titres. Avec son fort tempérament, il s’est retrouvé dans un bras de fer musclé avec le président sétifien, Hacène Hammar. Et en décembre 2017, on le retrouve à la JSMB. Cette saison, il a opté pour l’USMBA où il est en concurrence avec Nadjib Ghoul. Il a ainsi l’occasion de s’imposer de nouveau parmi l’élite. L’opportunité aussi de montrer qu’il est toujours l’un des meilleurs.
Le Soir d’Algérie : Après Béjaïa, vous voilà à Sidi-Bel-Abbès pour quel challenge personnel ?
Sofiane Khedaïria : Pour plus d’ambitions, vu que Bel-Abbès est le dernier vainqueur de la coupe d’Algérie. Ensuite, il y a un coach M. Bouakaz qui me voulait. A partir de là, je n’ai pas trop réfléchi et je me suis dit, je vais tenter ma chance à Bel-Abbès.
Mais le début de saison de l’USMBA est catastrophique vu que l’équipe est avant-dernière avec 4 points et un match retard.
Comment vous l’expliquez ? Difficile à expliquer. La préparation d’avant-saison a été bonne avec des matchs amicaux que nous avions bien négociés et remportés, mais, il est vrai que les rencontres officielles sont différentes.
Vous qui connaissez le vestiaire, vous êtes optimiste pour la suite du championnat ?
Oui, je suis optimiste, mais après, il faut qu’on se réveille et qu’on évite les erreurs de débutants commises.
Mais ce sera dur avec des rencontres serrées et des adversaires coriaces ?
C’est un championnat difficile avec des équipes qui reviennent bien comme l’O Médéa, la JSK que l’on n’attendait pas si haut, ainsi que l’ES Sétif.
Justement, l’ESS, votre ancien club est toujours en course en Champions’league africaine. Vous suivez toujours le parcours de «l’aigle noir» ?
Oui, bien sûr, je suis toujours les résultats de l’ESS.
Est-ce que vous ne regrettez pas de ne plus porter le maillot sétifien, ce qui vous aurait permis de participer à la compétition continentale ?
Ce n’est pas de ma faute si je ne suis pas resté à Sétif, c’est à cause du président Hammar que j’ai quitté. Il y a eu un gros conflit entre nous et même si cela n’a pas été très médiatisé, je me suis déjà exprimé à ce sujet. Je lui en veux toujours, mais la roue tourne.
En ce qui vous concerne, vous aviez brillé au point d’être retenu en sélection. Puis il y eut une baisse de régime. Comment vous l’expliquez ?
En football, tout va très vite. C’est vrai que j’étais en haut, puis j’ai dégringolé jusqu’à Béjaïa. Je dois dire que je ne suis pas jugé comme tous les autres gardiens en Algérie. On ne me juge pas sur mes performances ou les buts que j’ai encaissés.
Parce qu’on vous a souvent reproché votre caractère difficile aussi ?
Disons que je suis quelqu’un qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, et puis il faut dire que la presse a tendance à exagérer parfois.
Vous êtes en France, et Belmadi n’a convoqué que des joueurs évoluant à l’étranger en affirmant que notre championnat est faible. Qu’en pensez-vous ?
Belmadi a raison. Notre championnat est faible par rapport à la Ligue 1 française. je dirais que même la Ligue 2 en France est supérieure à notre compétition nationale.
M’Bolhi est-il toujours n°1 incontestable des gardiens algériens pour vous ?
Oui, sans aucun doute. Sur ce plan-là, il n’y a rien à dire. C’est le meilleur.
Y a-t-il un gardien en Algérie qui pourrait le concurrencer sérieusement ?
Je n’ai pas eu ma chance, autrement j’aurais peut-être pu le concurrencer (rires).
Il n’est pas trop tard vu que vous n’avez que 29 ans ?
Oui, il n’est pas trop tard, mais ce que je regrette, c’est que j’ai travaillé très dur pour arriver en équipe nationale et je n’ai pas joué, alors que d’autres y ont évolué sans consentir autant d’efforts. Mais bon, c’est comme cela et je dis que Raïs est le n°1 actuel, c’est tout.
Lors de la prochaine journée, l’USMBA accueille le CABBA qui vient d’infliger à la JSS sa première défaite à Béchar depuis plus de 3 ans ?
On va affronter une équipe du CABBA très solide. Mais il ne faut pas se décourager, malgré notre classement actuel, on a de très bons joueurs. Bien que la mayonnaise n’a pas encore pris complètement, mais cela va venir et ça ira mieux.
L’USMBA joue le haut du tableau ou le maintien ?
Il ne faut surtout pas s’enflammer. Il faut savoir être humble et jouer le milieu du tableau, ce serait déjà pas mal.
Pianic, le milieu de la Juventus a déclaré que le foot c’est fou.
Oui, c’est vraiment fou, vu que moi-même j’ai assisté à des situations hallucinantes en football.
Un exemple de situation folle ?
J’ai vu des joueurs qui n’arrivaient même pas à mettre un pied devant l’autre et qui sont devenus de grandes stars dans notre foot national.
Des noms peut-être ?
Non, pas de noms.
Propos recueillis par Hassan Boukacem
The post Sofiane Khedaïria (Gardien de but de l’USM Bel-Abbès): «J’ai quitté l’ESS à cause de Hammar» appeared first on .
Brésil, Russie et États-Unis d’un côté, Italie, Pologne et Serbie de l’autre : le tirage au sort de la troisième phase du Mondial de volley a abouti à des groupes d’inégale valeur sur le papier, hier à Turin. Les Brésiliens, champions olympiques, sont la référence mondiale depuis près de vingt ans, les Russes sont favoris pour l’or depuis leur succès dans la Ligue des nations en juillet et les États-Unis sont les seuls à avoir gagné leurs huit premiers matchs du tournoi. Dans l’autre groupe, c’est l’Italie, organisatrice, qui se détache nettement comme favori face à des Polonais tenants du titre mais rescapés de justesse du deuxième tour et des Serbes un peu moins cotés que les cinq autres prétendants au titre. Les deux premiers de chaque poule s’affronteront samedi dans des demi-finales croisées. La finale aura lieu dimanche.
Start (tous les matchs se déroulent à Turin)
Mercredi 26 septembre
(15h) Brésil-Russie
(19h15) Italie-Serbie
Jeudi 27 septembre
(15h) Etats-Unis-Russie
(18h30) Pologne-Serbie
vendredi 28 septembre
(15h) Brésil-Etats-Unis
(19h15) Italie-Pologne
The post Volley-ball / Tirage au sort de la 3e phase du Mondial-2018: Le Brésil, la Russie et les États-Unis dans le même groupe appeared first on .
En rachetant la totalité des 49% des parts détenue par l’Espagnol Villar Mir, Haddad voulait devenir actionnaire majoritaire de Fertial. Ajoutées à ses 17%, les parts de Villar Mir permettront à l’ETRHB Haddad d’avoir 66% des actions, contre 34% pour l’entreprise publique Asmidal.
Un transfert qui devait se faire hier, lors d’une assemblée générale des actionnaires de Fertial. Contre toute attente, l’entreprise publique Asmidal a fait échoué cette tentative de rachat par Ali Haddad, en refusant de prendre part à cette assemblée.
Sur les réseaux sociaux, ce boycott signé Asmidal est interprété tel une prise de position officielle quant à cette tentative de rachat par le groupe Haddad.
The post Quand l’Etat met fin aux ambitions de Ali Haddad appeared first on .
Le choc de mercredi entre Liverpool et Chelsea sera le point d’orgue du troisième tour de la Coupe de la Ligue, même si les deux équipes feront largement tourner avant leur rendez-vous de la 7e journée de Premier League trois jours plus tard. L’affrontement entre «Reds» et «Blues» en milieu de semaine ne sera donc que le lever de rideau du choc en championnat alors que Liverpool est toujours leader invincible, avec seulement deux points d’avance sur Chelsea (3e). Manchester City, détenteur de la Coupe de Ligue, ne devrait pas être dérangé par Oxford (D3) ce soir. José Mourinho retrouvera lui une vieille connaissance, alors que Manchester United va affronter Derby (D2), désormais dirigé par son ancien joueur à Chelsea, Frank Lampard. «J’ai hâte de le voir, a réagi l’ancien milieu vedette des Blues à propos de son ancien entraîneur. D’un point de vue personnel, c’est un manager qui a eu une influence énorme sur ma carrière à deux reprises, mais surtout la première fois. Je le respecte énormément pour ça. Ce sera sympa de le voir et de se mesurer à l’une de ses équipes.» Ce sera compliqué pour Tottenham qui reçoit un autre pensionnaire de l’élite, Watford, dans un match délocalisé à Milton Keynes en raison de l’indisponibilité de Wembley et du retard des travaux à White Hart Lane.
Start
Aujourd’hui (19h45)
Burton (D3)-Burnley
Oxford (D3)-Manchester City
Millwall (D2)-Fulham
Bournemouth-Blackburn (D2)
Wolverhampton-Leicester
(20h) Manchester United-Derby County
(D2)
(20h) West Bromwich (D2)-Crystal Palace
Mercredi 26 septembre (19h45)
Arsenal-Brentford (D2)
West Ham-Macclesfield (D4)
Liverpool-Chelsea
(20h) Tottenham-Watford
Mardi 2 octobre(19h45)
Everton-Southampton
The post Coupe de la ligue anglaise (3e tour): Liverpool-Chelsea en affiche appeared first on .
Le gouvernement a annulé, ce samedi 22 septembre 2018, le décret N° 2018-341 du 25 juillet 2018 relatif à la contribution sur la consommation des services de communication électronique fournis par les réseaux ouverts au public. Après cette décision et le retour sur les anciens tarifs, les citoyens béninois se prononcent sur la démarche du président Patrice Talon.
La décision d'abrogation du décret sur la taxation internet prise par le gouvernement avec les acteurs du secteur vient alléger la peine des utilisateurs des réseaux sociaux, qui depuis le lundi 19 septembre 2018, se plaignent de l'entrée en vigueur d'un plan tarifaire exorbitant.
« J'apprécie la promptitude avec laquelle le Chef de l'Etat a vite résolu cette affaire. Pour moi, c'est qu'il n'allait même pas entendre nos cris. Quand j'ai appris qu'il y a une rencontre avec les opérateurs GSM pour discuter du sujet, moi je n'ai pas cru. Mais je me suis rendu compte que c'était vrai. Merci à Patrice Talon d'être à l'écoute de son peuple », a affirmé Geoffroy Béhanzin, gérant d'un cyber café à Cotonou.
« J'ai été très émue de constater le retour sur les anciens tarifs des opérateurs GSM. C'est à travers les réseaux sociaux que je fais la promotion de mes articles à vendre. Et cela me rapporte beaucoup plus. Je ne peux que remercier le président Patrice Talon », a signalé Josiane Houngbo, commerçante de friperie à Cotonou.
Japhet Akotonou, étudiant en comptabilité, soutient que : « L'abrogation du décret sur la taxation internet est une bonne chose dans la mesure où le gouvernement encourt un grand risque compte tenu de la sécurité et la sûreté de l'Etat, puisque les Béninois se tournent vers l'application VPN. De plus, les opérateurs GSM vont perdre leurs chiffres d'affaires ».
« Pour qu'un pays émerge, il faut que l'internet soit accessible à tout le monde, car ce secteur est primordial. Au Bénin, nous n'avons pas encore une bonne connexion internet et l'Etat a bien fait de revenir sur sa décision en annulant ce décret. Ça rend l'internet accessible à toute la population et facilite la communication », a confié Bedel Adjakotan, agent commercial d'un opérateur GSM.
Pour le géographe Hervé Tognité, le gouvernement a fait preuve de leadership. « Il a pris ses responsabilités en rencontrant tôt les opérateurs GSM pour annuler le décret. Le gouvernement Talon pouvait rester muet et foncer dur malgré tout ce que ça pourrait leur coûté », a-t-il déclaré. Toutefois, ce dernier déplore le fait que tous les contours de ce décret n'ont pas été analysés par le gouvernement avant sa mise en application. « Il n'y a pas eu une analyse pure avant la sortie de ce décret puisque le ministre de l'économie, lors d'une conférence, avait soutenu cette décision. Il fait partie du gouvernement et je suppose que c'est au nom du gouvernement qu'il a parlé », a-t-il ajouté.
Selon Elysée Kpakpo, étudiant en transport et logistique, c'est déjà un pas pour l'Etat qui pensait bien faire en activant cette loi sur les taxes internet. « Ce qui m'intriguait dans le projet de développement du président Talon, on pouvait bien lire qu'il avait prévu promouvoir la télécommunication, rendre ce secteur plus vivant. Les réseaux sociaux constituent un moteur pour cette communication dont nous parlons. Rendre l'internet plus cher s'avère à tuer la communication en réseaux car force est de constater que la masse a cessé ses activités journalières », a-t-il déploré. Pour cet étudiant, les agences de communication ont certainement perdu dans cette affaire et l'abrogation de ce décret prouve que l'Etat est à l'écoute de son peuple.
« L'initiative était déjà une méchanceté en soi, alors l'abrogation ne peut qu'être la bienvenue. Le gouvernement est tombé dans son propre filet. Il n'a plus d'autre choix que d'abroger ce décret. Vous constatez avec moi, actuellement nous avons une connexion de tortue. Qu'est-ce qu'il veut au juste et à la fin ? », a souligné l'informaticien Mohamed Souberou.
Un citoyen qui a requis l'anonymat déplore les raisons qui ont amené le gouvernement à prendre ce décret. « Moi, j'ai plutôt mal. Mal parce que je constate que les décisions qui sont prises ne sont pas pensées. D'abord, quand on voit les motifs, l'essence même qui a suscité la prise d'un tel décret c'est à vrai dire anti-démocratique. Mieux encore en quelques jours, on décide de revenir sur sa parole. Quand on lance les décisions et qu'on constate que ce n'est pas possible d'avancer, on décide de faire un retour en arrière. C'est vraiment dommage ! ».
Pour Landry Kpossa, le gouvernement a bien fait de revenir sur sa décision. « L'internet est un outil de travail indispensable, mieux les réseaux sociaux permettent de faire des affaires. Nous ne pouvons que remercie le Chef de l'Etat. Mais dorénavant, je convie le gouvernement à prendre des décisions qui arrangeraient tout le monde ».
Le décret querellé avait fixé à 5% du prix hors taxe du service pour tous les services SMS et internet et à 5 FCFA hors taxe par mégaoctet dans le cas de l'accès à internet utilisé pour fournir un service par contournement (plateforme OTT) ou un contournement (plateforme OTT) ou une plateforme de réseau social.
Ce décret entré en vigueur le lundi 19 septembre 2018, a été abrogé par le gouvernement à la suite d'une rencontre du chef de l'État avec les membres du gouvernement, les opérateurs GSM et l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste (ARCEP).
Un comité sera mis en place pour définir entre autres les mesures appropriées aux fins de mettre en cohérence le système de tarification du secteur avec les nouveaux usages et technologies numériques.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)