Un congrès des musulmans de France sera organisé à la mi-novembre à Paris, a-t-on appris lundi des principaux concernés.
« Dans la perspective d’organiser le culte musulman par eux-mêmes et pour eux-mêmes, le Conseil français du culte musulman (CFCM) et les représentants des fédérations musulmanes de France ont décidé d’un commun accord de la tenue d’un Congrès des musulmans de France à la mi-novembre à Paris », a indiqué un communiqué signés par plusieurs représentants du culte musulman en France, qui ne donne pas de date précise.
Il s’agit de la Confédération islamique Milli Görüs (CIMG France), la Fédération française des associations islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles (FFAIACA), la Fédération Invitation et Mission pour la foi et la pratique, la Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris (FNGMP), la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF), les Musulmans de France, le Rassemblement des musulmans de France (RMF), l’Union des mosquées de France (UMF) et la Mosquée de Saint-Denis de la Réunion (AISD).
Cette mobilisation des représentants du culte musulman intervient quelques jours après la publication du rapport de l’Institut Montaigne, élaboré par Hakim Karaoui, qui établit un diagnostic sur l’islam en France et présente au président Emmanuel Macron des propositions pour l’organisation du culte musulman.
Ce rapport a été rejeté dans le fond et dans la forme par la majorité des représentants du culte, dont notamment le CFCM et la Grande mosquée de Paris.
Un colloque a été organisé vendredi au Sénat par le CFCM et les sénateurs Nathalie Goulet et André Reichardt au cours duquel il a été souligné que le culte musulman doit être organisé par les musulmans et non pas l’Etat français.
Le document de l’Institut Montaigne, ont estimé les participants à ce colloque, qu’il « aborde l’islam à travers l’islamisme pour ne mettre en relief que les aspects négatifs des comportements des uns et des autres dont l’islam ne saurait être cautionner », le considérant comme une « insulte » à Michel de Montaigne (1533-1592), philosophe de la Renaissance.
Le rapport de Karoui, auteur déjà de deux documents « Un islam français est possible », publié en septembre 2016 et « Nouveau monde arabe, nouvelle ‘politique arabe’ pour la France », publié en août 2017, préconise l’instauration d’un certain « Tracfin » pour contrôler les flux financiers, les collectes de fonds et les dons dont bénéficient les représentations du culte musulman, notamment en matière de financement de la gestion des mosquées, et l’instauration d’une taxe halal, dont le chiffre d’affaires du marché en France est estimé à 6 milliards d’euros.
Le président du CFCM, Ahmet Ogras, a relevé que les personnes qui interviennent le plus sur l’islam en France « souffrent soit d’une incompétence, soit d’un manque d’objectivité, soit d’une absence de légitimité ».
« Nous avons besoin de vrais experts, reconnus effectivement dans leurs domaines, capables de travailler avec des experts d’autres domaines, afin de dresser et proposer de vrais solutions », a-t-il affirmé, rappelant qu' »il ne suffit pas d’avoir des origines musulmanes pour disposer de la légitimité de parler au nom des musulmans.
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Des stations de traitement des lixiviats (liquides produits par la décomposition des déchets) seront « bientôt » réalisées au profit de 33 wilayas du pays, a annoncé, lundi à Blida, la ministre de l’Environnement et des Energies Renouvelables, Fatma Zohra Zerouati.
« Le cahier des charges relatifs à ces projets est parachevé, et un avis d’appel d’offres à leur sujet, sera lancé dans les porchaison jours », a indiqué Mme Zerouati , dans une déclaration à la presse, en marge d’une visite de travail.
Ces nouvelles stations, dont Blida sera bénéficiaire, permettront le traitement des liquides résultants des déchets, dans la perspective de leur réutilisation, a-t-elle expliqué.
Aussi, la ministre a fait part d’une orientation future vers la révision de la gestion des décharges publiques et des Centres d’enfouissement technique des déchets(CET), afin d’éviter leur saturation dans un délai cours. Un problème posé dans la wilaya de Blida, dont les responsables ont été contraints de prendre des mesures urgentes pour y faire face, à travers notamment la création de mini- décharges.
« Le changement du mode de gestion des décharges publiques est devenu une nécessité, afin d’éviter leur saturation dans un délai ne dépassant pas cinq ans, au lieu de dix ans ou plus. La gestion des déchets doit s’appuyer sur une politique basée sur des techniques modernes », a estimé Mme Zerouati.
La ministre de l’Environnement et des Energies Renouvelables a, également, affirmé l’importance du tri sélectif des déchets dans la facilitation de leur valorisation et recyclage, et partant de la diminution de leur volume d’une part, et leur contribution dans la création de nouvelles sources de revenus, d’autre part.
Dans une première étape, « cette opération ciblera les établissements éducatifs, les universités, et les casernes militaires, avant d’être généralisée aux cités d’habitation », a-t-elle précisé.
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Des individus non encore identifiés ont déversé au bord de la voie à Massi et à Zoukou dans la commune de Zogbodomey, des produits impropres à la consommation. Selon le maire, Daniel Towèdjè, plus de 2 tonnes de produits congelés communément appelés « poulets morgues » sont déversés aux environs de 5 heures du matin selon les renseignements à lui fournis par la police.
Face au danger que présentent ces produits pour la santé des populations, l'autorité communale informe avoir mobilisé les ‘'crieurs publics'' pour une séance de sensibilisation instantanée. Daniel Towèdjè entend également ratisser avec son équipe, les zones concernées, pour récupérer et incinérer ces poulets impropres à la consommation, qui seraient déjà disséminés dans des domiciles voire sur les étalages au marché.
Un appel a été lancé, afin que tout individu ayant consommé ce type de produits congelés se présente dans les meilleurs délais dans un centre de santé assermenté, pour des dispositions médicales, apprend-on de source médicale.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Onze (11) décès causés par la rage ont été enregistrés depuis janvier 2018 en Algérie, a annoncé lundi à Alger, une responsable à la direction de la prévention, au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Samia Hammadi.
« Onze (11) cas de décès causés par la rage ont été enregistrés depuis le mois de janvier 2018, alors que la moyenne annuelle se situe entre 15 et 20 cas de décès par cette maladie », a précisé la sous directrice des maladies prévalantes et de l’alerte sanitaire, à la direction de la prévention, au ministère, lors d’une journée de formation au profit des journalistes sur la rage, à la veille de la journée mondiale de lutte contre la rage, célébrée le 28 septembre de chaque année.
« Près de 120.000 morsures (personnes mordues) par des animaux, sont enregistrés annuellement », a-t-elle ajouté.
La même responsable a expliqué que la rage est une maladie « infectieuse d’origine virale » qui est « toujours mortelle une fois que les symptômes cliniques apparaissent », précisant que dans la plupart des cas, le virus de la rage est transmis à l’homme par la salive d’un animal infecté, domestique ou sauvage, notamment le chien.
Elle a souligné que « des vaccins efficaces » sont disponible dans notre pays contre cette maladie, expliquant que la vaccination permet de prévenir l’apparition de la rage et donc d’éviter le décès, si la vaccination est pratiquée dans les heures suivant la morsure ou une griffure par un animal susceptible d’être enragé.
Dans ce contexte, Mme Hammadi a exposé l’approche multisectorielle dans la lutte contre la rage, notamment les moyens de prévention et de prise en charge, citant les unités anti-rabiques qui sont des centres de prise en charge et de suivi médical des personnes victimes de morsures, en insistant sur l’importance de promouvoir la coordination intersectorielle », rappelant l’instruction interministérielle de prise en charge, publiée en 2015.
« L’implication de tous les acteurs, notamment, les médias et les associations pour garantir l’efficacité de la sensibilisation et de l’information sur les risques de cette maladie, et sur les moyens de prévention pour atteindre l’objectif escompté, à savoir « zéro cas de rage » (Mme. Hammadi)
Mme Hammadi a indiqué que la journée mondiale de lutte contre la rage inscrite cette année sous le thème » la rage: transmettez le message, sauvez des vies », constitue pour le ministère de la Santé l’occasion d’informer et de sensibiliser la population sur la prévention face au risque rabique, en l’invitant à faire vacciner les animaux de compagnie contre la rage et d’éviter d’approcher et de toucher un animal inconnu, errant ou sauvage.
Pour leur part, les professeurs et médecins qui ont encadré cette formation, ont souligné dans leurs interventions, notamment, la nécessité de connaitre les premiers soins d’urgence à effectuer après toute morsure ou griffure par un animal inconnu ou suspect.
Il s’agit de laver immédiatement et abondamment la plaie sous un jet d’eau à forte pression pendant au moins 15 minutes et au savon puis à l’eau de javel et à bénéficier d’une consultation médicale en urgence dans une structure de santé.
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Les fonds Fadec affectés et non affectés sont suspendus à la mairie de Houéyogbé. C'est la décision du ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale, Barnabé Dassigli à l'endroit du préfet du département du Mono, Sedzro Zinsou. Dans son message, l'autorité ministérielle informe les élus de la mairie de Houéyogbé ainsi que le Receveur percepteur de la commune, de sa décision de suspension, jusqu'à nouvel ordre des fonds FADEC affectés et non affectés.
Par un courrier en date du 11 Septembre dernier, le préfet Sedzro Zinsou a fait des injonctions à Cyriaque Domingo, maire de Houéyogbé, aux fins de « suspendre toutes opérations d'engagements, de mandements et de paiements sur ressources Fadec ». Une décision que le maire n'a pas partagée avec les autres conseillers communaux et l'a inscrite en divers lors de la session de ce lundi 24 septembre. Une situation qui n'a pas été du goût des conseillers qui ont exigé et obtenu une suspension de la session ainsi que le report du conseil.
Avec cette décision du ministère de la décentralisation, la commune de Houéyogbé se trouve ainsi privée des fonds Fadec affectés constitués des ressources que les ministères sectoriels transfèrent aux communes pour des œuvres dans les secteurs de l'éducation maternelle et du primaire, de la santé, de l'agriculture et de l'eau. Il en est de même des fonds Fadec non affectés qui regroupent une subvention de l'Etat et les contributions des partenaires techniques et financiers tels que l'Union Européenne, la KFW, le FENU, le Royaume du Danemark et la Suisse.
F. Aubin AHEHEHINNOU
La forêt de Ben Aknoun (Alger) est un espace familial de loisirs « privilégié », ayant enregistré plus de 600.000 visiteurs entre mai et août 2018, a indiqué lundi le directeur général de l’office des parcs, des sports et des loisirs (OPLA) de la wilaya d’Alger, Lyes Gamgani.
Dans une déclaration à l’APS, M. Gamgani a indiqué que la forêt de Ben Aknoun qui s’étend sur une superficie de 12 hectares est devenue depuis 2017 un espace de loisirs pour nombre de citoyens de la wilaya d’Alger et autres, en quête de détente loin des tracas de la vie quotidienne. Il a précisé dans ce sens que le nombre de visiteurs avait atteint plus de 600.000 durant l’été 2018 et que la forêt accueillait 5000 visiteurs par jour, notamment les week-end.
Pour sa part, le responsable de la forêt de Ben Aknoun, Rachid Kechad, a fait savoir que le mois de Ramadhan avait connu une affluence record des familles qui s’y réunissaient durant le Ftour et le Shour.
M. Kechad a dit que 22 agents de sécurité étaient mobilisés au niveau de cet espace, travaillant selon le système des permanences (jour et nuit), en vue d’assurer la sécurité des familles, faisant remarquer que l’accès à la forêt était autorisé toute la journée à titre gracieux pour tout le monde.
La forêt de Ben Aknoun est devenue également le lieu privilégié des sportifs de différentes disciplines, a souligné le responsable, ajoutant que certains d’entre eux ont confié qu’ils préféraient pratiquer le sport dans cet espace, plutôt qu’à Bouchaoui, en raison de la sécurité et de la propreté.
La forêt dispose également d’aires de jeux gratuits pour les enfants, de fast-food, outre un théâtre en plein air, des stades et une piste de course.
Pour de nombreux visiteurs, la forêt de Ben Aknoun est un espace familial privilégié pour la détente, en raison de la sécurité et de l’hygiène.
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Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a reçu lundi à Alger son homologue azerbaïdjanais Parviz Shahbazov, avec lequel il a abordé l’état des relations de coopération bilatérale et les perspectives de son développement dans le domaine de l’énergie, notamment dans le secteur des hydrocarbures, a indiqué un communiqué du ministère.
Les deux parties ont passé en revue l’état des relations de coopération entre l’Algérie et l’Azerbaïdjan, qualifiées de « bonnes et d’amicales » par les deux parties, ainsi que des perspectives de leur développement dans le domaine de l’énergie et plus particulièrement dans le secteur des hydrocarbures, ajoute la même source.
Ainsi, les deux parties ont insisté sur la nécessité d’explorer des opportunités d’investissement dans les deux pays.
A ce titre, un groupe mixte d’experts sera constitué pour identifier des projets concrets à développer conjointement et un Mémorandum d’entente sera signé entre les deux pays à l’issue de ces discussions, précise le communiqué.
Les ministres ont notamment abordé les relations entre la compagnie pétrolière et gazière « Sonatrach » et le groupe azéri « Socar » mais également les opportunités d’étendre la coopération dans le domaine des industries des hydrocarbures.
Les deux parties ont aussi évoqué la nécessité d’échanger les expériences pour mieux investir dans les énergies renouvelables mais encore pour que les revenus en hydrocarbures servent davantage à diversifier leurs économies et les rendre moins dépendantes des ressources énergétiques d’origine fossile.
Par ailleurs, les deux ministres ont échangé sur les conclusions de la réunion ministérielle de monitoring OPEP et non OPEP tenue dimanche à Alger.
A ce propos, le ministre azéri a tenu à « remercier et à féliciter l’Algérie pour l’accueil et l’organisation de cet important événement ».
Dans ce sens, les deux parties ont évoqué l’importance de la concertation et l’échange des points de vue entre les membres des pays OPEP et les pays non OPEP.
A ce titre, M. Guitouni a déclaré qu’il est dans « l’intérêt des producteurs, de l’industrie pétrolière et des consommateurs de capitaliser les effets positifs de la coopération OPEP et non OPEP afin d’équilibrer les marchés pétroliers ».
Il a enfin insisté sur les voies et les moyens de pérenniser cette coopération et de maintenir les bases d’un dialogue permanent en 2019 et au-delà, a-t-il conclu.
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Un livrable sur la stratégie d’innovation industrielle a été élaboré à l’issue du projet de jumelage institutionnel entre l’Algérie et l’UE a indiqué lundi à Alger le Secrétaire général du ministère de l’Industrie et des Mines (MIM), Kheireddine Medjoubi.
Le document comprend les axes principaux de la stratégie, l’aspect de la gouvernance et les mesures incitatives à prévoir en faveur de l’innovation industrielle.
Parmi les actions lancées suite au projet de jumelage avec un consortium européen (France- Espagne-Finlande) qui a duré 24 mois et intitulé « Appui au Ministère de l’Industrie et des Mines dans sa stratégie d’innovation industrielle », une enquête nationale sur l’état de l’innovation dans les entreprises industrielles afin d’évaluer leurs potentialités en matière de compétitivité et de développement industriel. Une fois validée, les données de cette enquête seront exploitées par un système d’information aux standards internationaux.
« L’enquête est en cours », a précisé le même responsable, « Nous voyons que les passerelles avec les universités et les centres de recherche se mettent en place, les entreprises publiques et privées commencent à donner plus d’importance à l’innovation et l’érigent comme socle de compétitivité », a ajouté le SG du MIM à propos des premiers éléments de l’enquête, sans préciser l’échéance de la publication de ses résultats.
Autre action issue du jumelage, le lancement du pôle de compétitivité agroalimentaire au niveau de la wilaya de Blida.
Interrogé à ce propos, M. Medjoubi a expliqué qu’il existe d’autres pôles qui activent à travers le pays, citant les pôles mécanique et pharmaceutique à Constantine et le pôle électronique de Sétif. « Nous avons également le secteur de la plasturgie qui est sur la même voie à Blida et à Setif, il s’agit maintenant de les encadrer sur l’aspect juridique », a-t-il fait observer.
« Le projet de jumelage Algerie-UE a permis de rassembler l’ensemble des acteurs du système national d’innovation dans un cadre de dialogue de concertation et d’échange », a-t-il affirmé, estimant que le rôle de la stratégie d’innovation industrielle sera d’accentuer « la synergie » entre les universités, les centres de recherche et les centres techniques et le monde industriel.
Quant aux secteurs concernés par ce jumelage,M. Medjoubi a expliqué que l’ensemble des secteurs de l’activité industrielle bénéficient de cette coopération.
Par ailleurs, le même responsable a fait savoir qu’il subsiste d’autres étapes telles que la préparation du secteur industriel et minier à l’ère de l’industrie 4.0, l’appui au système d’information statistique du secteur et la formation dans le domaine des technologies de l’information et de la communication.
« Ce projet revêt une importance indéniable et devrait contribuer à développer l’innovation comme outil de compétitivité des entreprises sur le marché national et international », a-t-il souligné, estimant que l’innovation demeure un facteur indissociable des objectifs de compétitivité recherchés par les entreprises algériennes dans une conjoncture particulière marquée par une forte concurrence sur les marchés internationaux.
Les évolutions de l’environnement économique et technologique international, a-t-il poursuivi, « nous poussent à œuvrer au renforcement de notre potentiel productif et à l’orienter vers les secteurs à forte valeur ajoutée où l’innovation devrait en constituer le socle ».
Pour sa part, le directeur de la coopération avec l’UE et les institutions européennes auprès du ministère des Affaires étrangères, Ali Mokrani, a noté « l’importance accordée à l’instrument de jumelage » en tant qu’outil « par excellence » de transfert d’expertises et de bonnes pratiques.
« Il est vrai que le jumelage qui est une forme de coopération qui nécessite un long temps d’attente avant son engagement, a pour mérite une fois lancé, d’être un moyen d’échange et de contact entre experts et institutions contractantes », a estimé M. Mokrani, renouvelant son appel à l’UE et ses Etats membres pour « une plus forte mobilisation » des administrations partenaires et des experts en vu d’un montage rapide des jumelages institutionnels dont les dix jumelages « en instance ».
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Le Dr Wilfried Gandji, chirurgien thoracique et cardiovasculaire, a réalisé au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga (Cnhu-Hkm) de Cotonou, la première intervention chirurgicale à cœur fermé. Une première dans l'histoire des interventions chirurgicales au Bénin et au Cnhu-Hkm, et qui consiste désormais à réaliser une intervention chirurgicale sans ouvrir le cœur. Elle a été réalisée sur une fille âgée de 6 ans en vue de ‘'fermer le canal artériel''.
Selon la maman de la patiente, la fille souffrait depuis l'âge de 4 ans d'un problème de cœur et son rythme cardiaque n'est pas normal. « On m'a dit qu'on devrait l'évacuer et cela allait coûter 18 millions de francs CFA environ », informe-t-elle. Très fière de la réussite de l'intervention, elle a ajouté que ce qui a été dépensé n'atteint pas 1 million de francs CFA.
Un résultat qui dénote des nombreuses actions entreprises par le gouvernement du chef de l'Etat Patrice Talon aux fins d'équiper le bloc qui existait déjà mais manquait d'équipements, indique le médecin traitant.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Les députés ont adopté ce lundi 24 septembre 2018, le budget du parlement exercice 2019. D'un montant de 17, 9 milliards de francs CFA, ce budget a été adopté à l'unanimité des députés présents et représentés contre 12 abstentions.
Au terme du vote, le président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji, a mis fin aux travaux de la 4ème session extraordinaire de l'année 2018.
F. A. A.
Le ministre qatari de l’énergie et de l’industrie, Mohamed Ben Salah Essada, a affirmé lundi au second jour de sa visite à Jijel que cette wilaya possède des atouts naturels rassemblant verdure et mer lui augurant d’un avenir prometteur pour le secteur touristique.
Le ministre qatari qui était accompagné du wali de Jijel, Bachir Far et de l’ambassadeur du Qatar en Algérie Hassane Ibrahim El Maliki s’est rendu par autocar de la ville de Jijel jusqu’à El Aouana après avoir visité le port de Boudis.
Le ministre qui s’est dirigé ensuite par bateau d’El Aouaba vers la commune de Ziama Mansouria, située à l’extrême Ouest de la wilaya, a exprimé à la presse son émerveillement devant les atouts naturels de la région rassemblant mer verdure de vastes forêts le long de la corniche et des massifs d’alentours.
M. Ben Salah Essada a salué les efforts déployés dans le domaine de la préservation de l’environnement et de cette diversité biologique. Dans la forêt de Taza à Ziama Mansouria. Il a suivi des explications sur la biodiversité de cette région qui, est-il indiqué, renferme plus de 3.000 espèces faunistiques et florales dont le singe de Barbarie et la sitelle de Kabylie qui vit à Jijel, au Babor (Sétif) ainsi qu’en Turqui et France.
Le ministre honoré sur ce même site naturel par les autorités locales a qualifié la wilaya de Jijel de « réserve naturelle fabuleuse séparée de quelques mètres de la mer ».
Le ministre qui avait visité dimanche en compagnie du ministre algérien de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, le complexe sidérurgique de Bellara à El Milia, a réitéré la fierté de son pays par ce projet mixte pionnier entre le Qatar et l’Algérie le qualifiant de « modèle à imiter en matière de coopération fraternelle entre les deux pays » lui espérant « succès et prospérité ».
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Deuxième plus gros exportateur mondial de fruits et légumes, les Pays-Bas vont accompagner l’Algérie dans le stockage et l’exportation des produits agricoles, a indiqué lundi à Alger, l’ambassadeur du Royaume des Pays-Bas, Robert Van Embden.
S’exprimant lors d’une conférence de presse en prévision de la 17e édition du salon de l’élevage et de l’équipement agricole (Sipsa-Sima) prévu du 8 au 11 octobre au palais des expositions (Alger) , et dont les Pays-Bas a été choisi pays invité d’honneur, M. Van Embden, a fait part d’un projet en partenariat avec le ministère du Commerce pour accompagner les opérateurs algériens désireux de placer leur produits sur les marchés extérieurs.
Il a annoncé à cette occasion, un forum Algéro-Néerlandais sur le stockage, la préservation et l’exportation des produits agricoles, prévu à l’occasion du salon dans le cadre de la participation du Conseil d’Affaires Algéro-Néerlandais à cet évènement, rappelant que le conseil a été agrée en septembre 2017.
L’ambassadeur qui a mis en avant le savoir-faire et l’expérience néerlandaise dans le secteur agricole et agroalimentaire, a affirmé que son pays, en tant que principal exportateur mondial de produits agricoles avec 91,7 milliards d’euro en 2017, et parmi les principaux exportateurs d’équipements agricoles et de semences et génisses avec 9,1 milliards d’euros à la même année, constitue un apport pour le développement de l’Agriculture en Algérie en terme d’expertise et de transfert de technologie et du savoir-faire.
Le diplomate néerlandais a évoqué dans ce sens le partenariat agricole de son pays avec l’Algérie en énumérant de multiples projets en cours de réalisation.
Il a évoqué la construction de deux (2) étables à Guelma d’une capacité allant de 15 à 60 vaches. Le projet géré par un groupe néerlandais assure une formation de deux ans aux éleveurs de cette wilaya ainsi qu’aux responsables du groupe Giplait.
« Le choix de ces fermes correspond au modèle de production algérien qui est un modèle familiale. », a-t-il expliqué.
Il a également évoqué des projets à Biskra, Ouargla et El Oued toujours dans le domaine de la formation, selon la spécificité de chaque wilaya.
A Biskra par exemple l’assistance consiste à développer les cultures maraichères et la construction de serre de types néerlandaises tout en permettant d’économiser l’eau et augmenter la production de 30% dans cette wilaya aride.
A El Oued, la formation des jeunes agriculteurs et étudiants agronomes porte sur la fertilisation des terres et le renforcement de l’irrigation goutte à goutte.
Il a évoqué par ailleurs un autre projet dans le renforcement du contrôle phytosanitaire pour le diagnostic rapide des semences importées. Un domaine qu’il considère très important d’autant que l’Algérie importe 90% de ses semences.
« Ce projet est destiné aux inspecteurs de contrôle et aux cadre des ministère du Commerce et de l’Agriculture », a-t-il indiqué.
L’ambassadeur a enfin assuré le soutien de son pays à la politique du gouvernement qui consiste à diversifier l’ économique nationale.
Il a affirmé que son pays participe cette année à ce salon professionnel avec une vingtaine d’entreprises .
Pour sa part, le président de Sipsa et président du Cercle de réflexion Filaha Innove (CRFI) , Amine Bensemmane, a tenu à préciser que le choix des Pays-Bas en tant « invité d’honneur » du salon, n’est pas fortuit.
Il a fait savoir que ce pays très en avance dans le secteur agricole et un partenaire de l’Algérie et l’un de ses principaux fournisseurs de semences de pommes de terre.
« L’agriculture néerlandaise est une des fleurons de l’Agriculture et de l’agro-industrie européenne notamment à l’export ainsi qu’en expertise de la logistique.
« De nombreux projets communs de coopération avec l’Algérie sont en cours de développement dans les filières de l’horticulture et des productions agricoles sous serre », a-t-il fait valoir.
Concernant la 18e édition du Sipsa Sima, qui se tiendra cette année sous le thème « pour une agriculture intelligente, face au défi d’une sécurité alimentaire et sanitaire durable, il a affirmé qu’elle sera consacrée aux recommandations issues des assises nationales de l’Agriculture, priorité nationale du gouvernement de l’organisation interprofessionnelle des filières.
« En adoptant cette thématique, le salon Sipsa poursuit sa contribution dans l’édification des stratégies les plus adaptées pour augmenter durablement la productivité et la résilience des cultures et œuvres dans la continuité de la consolidation des bases de notre sécurité alimentaire », a-t-il conclu.
Selon les organisateurs, cet évènement de quatre jours sera ponctué par des rencontres B To B destinées ? favoriser les échanges entre les investisseurs porteurs de projets, ainsi que des forums et conférences sur les questions liées au monde agricole.
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Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja a mis l’accent, lundi à Alger, sur l’impératif de « développer les moyens de lutte contre l’extrémisme en fonction des nouvelles donnes » pour mieux préserver l’unité religieuse, indique un communiqué de l’APN.
M. Bouhadja qui recevait en audience une délégation de la Ligue islamique mondiale (LIM), conduite par son Secrétaire général, Mohamed Ben Abdelkarim Al-Aissi, en présence du président du Haut conseil islamique (HCI), Bouabdallah Ghlamallah, a souligné « la nécessité de développer les moyens de lutte contre l’extrémisme en fonction des nouvelles donnes, afin de préserver l’unité religieuse », précisant que « les principes de la politique étrangère de l’Algérie reposent sur la paix, la stabilité et la non-ingérence dans les affaires internes des pays ainsi que le règlement des conflits par voies pacifiques et politiques, ce qui la qualifie pour entretenir des relations de confiance et de coopération avec les peuples et les pays », ajoute le communiqué.
Les relations bilatérales qualifiées de « fraternelles » étaient au centre de cette rencontre où les deux parties ont mis l’accent sur « le développement de ces relations dans divers domaines, tout en mettant en avant l’échange positif des vues sur diverses questions, notamment celles relatives à la mise en exergue des véritables valeurs de l’islam et la lutte contre l’extrémisme qui menace la stabilité de la nation musulmane ».
Par la même, M. Bouhadja a passé en revue la formation politique de l’Assemblée, « notamment après les réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lesquelles ont consacré de nouveaux acquis en faveur des droits de la femme algérienne » qui joue un rôle important au sein de la société, évoquant, en outre, « l’un des plus piliers les plus importants de l’identité musulmane, à savoir l’Islam en tant que religion de l’Etat, et l’Arabe en tant que langue du Coran, et première langue officielle après l’officialisation, récemment, de la langue amazighe en reconnaissance de l’amazighité du peuple algérien, dans le but de constituer un rempart contre toutes les ambitions visant à déstabiliser le peuple algérien en créant récemment l’Académie de la langue amazighe ».
Pour sa part, Mohamed Al-Aissi s’est félicité « des relations historiques séculaires » entre l’Algérie et l’Arabie Saoudite, lesquelles demeurent « prometteuses », qualifiant le peuple algérien d' »humain » lorsqu’il s’agit de faire primer le Bien ».
Il a « salué », en outre, les efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika dans « la préservation de l’unité du peuple algérien à travers les deux politiques de la Concorde civile et de la Réconciliation nationale ».
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l’Association nationale des retraités de l’Armée nationale populaire (ANP), a appelé, lundi, les protestataires qui observent un sit-in à Reghaïa (à l’est d’Alger), dont entre autres d’anciens militaires de l’activité et contractuels, à faire prévaloir le dialogue pour le règlement de leurs problèmes.
Dans une déclaration à l’APS, le président de l’Association, Tamer M. Ghodbane a appelé les protestataires à « faire prévaloir la sagesse et le dialogue », plaidant pour « l’ouverture des canaux du dialogue et de la communication permanents avec cette catégorie », qui a enclenché, depuis près d’une semaine, un mouvement de protestation, suivi par des centaines de retraités et également de radiés de l’ANP.
Ce mouvement de protestation, formé de catégories hétérogènes, dont d’anciens militaires de l’activité, d’anciens contractuels, d’invalides, de radiés, de rappelés et d’appelés du contingent maintenus, porte des revendications, à l’instar de l’augmentation de la pension ainsi que la prise en charge médicale et sociale.
Faisant remarquer que « parmi ces protestataires, figurent des radiés de l’ANP » M. Ghodbane a affiché la disposition de l’organisation à contribuer à la résolution des problèmes de cette catégorie, indiquant que la majorité des retraités protestataires « sont sortis suite à des informations fallacieuses selon lesquelles l’organisation ne leur serait d’aucune aide ».
Le Commandement de l’ANP « avait pris toutes les dispositions pour la prise en charge des préoccupations des retraités de l’ANP depuis 2013, selon une source proche du dossier qui précise, dans ce cadre, que plusieurs réunions ont été tenues avec les invalides et que 100.000 dossiers ont été réglés », ajoutant que les portes de dialogue « demeurent ouvertes » devant les retraités de l’ANP, les invalides et les ayants droit.
La même source a fait savoir que les radiés de l’ANP pour « des raisons disciplinaires et judiciaires » et prenant part à ce mouvement n’étaient pas concernés par les revendications relatives à l’amélioration des conditions sociales et pensions de retraites.
Soulignant que ce mouvement a troublé l’ordre public et la circulation routière, la même source a indiqué que les autorités publiques ont pris en charge les revendications légitimes des retraités et invalides de l’ANP, précisant néanmoins que certaines revendications étaient « inacceptables et à caractère rédhibitoire ».
Ce mouvement de protestation, enclenché depuis une semaine, a perturbé la circulation routière dans la région est de la capitale, suite notamment au rassemblement observé au niveau de Haouch El-Makhfi (wilaya de Boumerdès).
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Les représentants de l'Assemblée Nationale au sein des Commissions Communales d'Actualisation (CCA) de la Lépi sont connus. La liste des représentants de la majorité parlementaire a été complétée à celle de la minorité afin de libérer le Cos-Lépi dans l'attente depuis un moment. Ainsi, la liste des 154 CCA des 77 communes du Bénin a été finalisée. Ceci vient relancer la poursuite du processus d'actualisation de la Lépi qui semble être bloquée par la non désignation des représentants de l'Assemblée nationale au sein des CCA.
VOTE DE LA LISTE DES CCA/COS-LEPI
C C A proposés par la majorité parlementaire
1- Zè : GNANHOUE B. Martin
2- Bembèrèkè : IBRAHIM MOHAMED Alidou
3- Lalo : ADEGOUTE Crépin
4- Djougou : BIAOU S. Kérékou
5- Bassila : AMADOU Moumouni Abdou Bassibou
6- Comè : ADANHOPE Bernard
7- Bopa : DJAMBA Hervé
8- Houéyogbé : HOUNKPE Koimi Janvier
9- Adjohoun : NAKOU Gérard
10 - Zagnanado : BOGNONKPE Philippe
11- Kpomassè : ANANI-FOLLY Antoine
12- Dassa Zoumè : AKPO Serge
13- Savalou : FALADE Thomas
14 - Ouèssè : YADELIN Jean
15- Savè : OLADJIDE Azaria
16- Djakotomey : MONLOUKOU Nestor
17- Dogbo : BALLO Martial
18- Lokossa : KODJOH Désiré
19 - Bohicon : HEKPAZO Alexis
20- Covè : TCHIKPE Sophie
21- Toffo : HOUNGNIBO Bienvenu
22 - Kalalé : KPAZIN Akim
23- Sakété : IDOHOU Djiman
24 - Cobly : TABDIENI Joseph
25 -Tori Bossito : HOUEMAVO H. Cyriaque
26 - Glazoué : DEDE A. Patience
27 - Kouandé : MAMA Ibrahim Djafarou
28 - Karimama : BIO MASSI Soulé
29 - Kétou : FALOLA Moïse Affolabi
30- Zakpota : AYOWA Ludovic
31 - Abomey : ADJAKIDJE Jonas
32 - So -Ava : GLESSOUGBE Apollinaire
33- Agbangnizou VOKOU Martial
34- Banikoara : TAKAGORE O.Daguiré
35- Natitingou : KOUAGOU Yanto
36- Parakou : SEKARO Soufianou
37 - Tchaourou : BAGOUDOU Mamadou Ouro
38- Allada : DONSI Cyprien
39 - Matéri : YOA Y. Mario
40 - Tanguiéta : IROTORI Bruno
41- Aguégués : HOUISA Y. André
42 - Copargo : AMADOU Djibril
43- Adjarra : AHOUANSE Lucien
44- Porto-Novo : IDOHOU Latifou
45- Sèmè Kpodji : HOUNHOVENOU Marcel
46 - Akpro- Missérété : KANHO Dossa Landry
47 - Ouaké : MALAWE Nouroudine
48 - Kérou : YAROU Sabi
49 - Bonou : BAHOUN Antoine
50- Dangbo : DOSSOU M. M. Romaric
51 -Avrankou : DASSI Gérard
52- Kand : MADOUGOU Fayçal
53 - Nikki : VIGNON L. Carlos
54 - Klouékanmè : AVE Rigobert
55 - Aplahoué : HOUETOGNON Sylvain
56 - Djidja : AGUENOUNON C. Basile
57 - Ifangni : LEYE Barthélémy
58 - Abomey Calavi : PRUDENCIO Justin Kuassi
59 - Grand-Popo : TCHADA Gilbert
60 - Pobè : GBADAMASSI Wassi
61 - Cotonou : FOLLY Laeticia
62 - Toviklin : DANHOUSSOU Vincent
63 - Ouidah : GBEDO Raymond
64 - Banté : ADAM Nassirou
65 - Gogounou : TRAORE Djibril
66 - Boucombé : TAYAN O. Lazare
67 - Toucoutoun : PONTY N'Kouei Michel
68 - Sinendé : KORA Assan
69 - Pèrèrè : BIO BATA BIO Nazaire
70 - Athiémé : TCHONI Jules
71- Ouinhi : FAWANOU Honoré
72 - Zogbodomey : ADJAGBENON Florent
73 - Adja-Ouèrè : HOUNKPATIN Paulin
74 - Malanville : KONDO Ali
75 - N'Dali : CHABI DOUAROU Maurice
76 - Ségbanan : BAGRI Isaac
77 - Péhunco : WOTTO Anselme
TABLEAU RECAPITULATIF DES REPRESENTANTS DE LA MINORITE PARLEMENTAIRE AU SEIN DES CCA/LEPI
Département de l'Alibori
1- SOUNON BOKE Soumaila, Banikoara
2- BELKI BAATBOU Soumanou, Gogounou
3- IMOROU Moustapha, Kandi
4- TABOU Talahatou, Karimama
5- MOUSSA Razackou, Malanville
6- INAZAN OROU Monra, Ségbana
Département de l'Atacora
7- N'DAH Bonaventure, Boukoumbé
8- SANHOUEKOUA M. Adriano, Cobly
9- KORA Abdoulaye, Kérou
10- OROU YERIMA Ulrich, Kouandé
11- NOUANTI Benoît, Matéri
12- SAGUI Ghislain Rigobert, Natitingou
13- OROU YO Bio, Pehunco
14- SIMBA CHABI Marcellin, Tanguiéta
15- SOUROU I. Pierre, Toucountouna
Département de l'Atlantique
16- KLINKPE Basile, Abomey-Calavi
17- TOSSOU Joachim, Allada
18- LANTEFO Epiphane, Kpomassè
19- ZOHOUN Ambroise, Ouidah
20- KAKESSOU Antoine, Sô-Ava
21- SONON Florent, Toffo
22- ZOUNDOKPE Jean Claude, Tori-Bossito
23- ADJANGBE Dominique, Zè
Département du Borgou
24- OUMONROU Abdoulaye, Bembéréké
25- ISSIFOU Boubacar, Kalalé
26- SALIFOU Aboudou Karim, N'Dali
27- SOULEY OROU SEKO Adam, Nikki
28- IDRISSOU AROUNA Alassane, Parakou
29- BABIO INOUSSA Issaou, Pèrèrè
30- KOTO Machoudou, Sinendé
31- MARE BIO Abdoulaye, Tchaourou
Département des Collines
32- KOKOKO Rafatou, Bantè
33- TAMEGNON Barthélemy, Dassa-Zoumè
34- OGA Katchédé Bonaventure, Glazoué
35- BIAOU Souradjou Wahab, Ouessè
36- AGBALLA Kossi Constant, Savalou
37- NASSIROU Raïmi, Savè
Département du Couffo
38- ATINKAN Séraphin, Aplahoué
39- DAAGAN Fidégnon, Djakotomey
40- SEWANOU Dodji, Dogbo-Tota
41- TOHOUENOU Simplice, Klouékanmè
42- FIOGBE Jean Stanislas, Lalo
43- DOKOUI Norbert, Toviklin
Département de la Donga
44- DAGONAH Samory, Bassila
45- MASSOLI A. Antonin, Copargo
46- ASSOUMANOU ISSIFOU A. Aziz, Djougou
47- TCHALA Aliassim, Ouaké
Département du Littoral
48- NAHUM Constant, Cotonou
Département du Mono
49- AVIDOHOUNDE Augustin, Athiémé
50- AKPE François, Bopa
51- AMEGBEDJI Azel François, Comè
52- ABALO Dossou Michel, Grand-Popo
53- SOUNOUVE Aubin, Houéyogbé
54- DOVONOU Fréjus, Lokossa
Département de l'Ouémé
55- HOUANSOU Valdor, Adjarra
56- VLAVONOU Agoumalo Raoul, Adjohoun
57- GANDE Guigonou Cyrille, Aguégués
58- NOUNAGNON Ayossi Adrien, Akpro-Missérété
59- KOITO Sévérin, Avrankou
60- LATIFOU Waliou, Bonou
61- DOSSOU Mahotondji Christophe, Dangbo
62- DASSI Djidjoho Hypolite, Porto-Novo
63- CAKPO Timothée, Sèmè-Kpodji
Département du Plateau
64- BANKOLE ADEGNIKA Joseph, Adja-Ouèrè
65- AKPA Rigobert, Ifangni
66- IDOGBAYI Félix, Kétou
67- FALEROUN Témitokpè Nicodème, Pobè
68- RAÏMI Abiodoun Mouminou, Sakété
Département du Zou
69- ADISSO Frédéric, Abomey
70- AGBODJAN Patrice Lassé Dothée, Agbangninzoun
71- AVONOMADEGBE Etienne, Bohicon
72- SOTONDE H. Marc, Covè
73- GNITON Marcellin, Djidja
74- GANTOUTOU Joseph, Ouinhi
75- MONLIGUI N. Luc, Zangnanado
76- VEGLO Guédjo, Za-Kpota
77- ATAKPA Jérôme, Zogbodomey
Plus de 90% de la population algérienne n’a jamais consommé d’alcool durant sa vie, selon les données de l’Organisation mondiale de la Santé publiées il y a deux jours dans un nouveau rapport sur la consommation d’alcool dans le monde.
Le rapport de l’OMS se base sur les données de l’année 2016,dans le détail, 90.1% des hommes n’ont jamais bu d’alcool de leur vie. Ce chiffre passe à 97% chez les femmes.
5.1% des hommes sont également définis comme anciens buveurs, contre 1.5% des femmes considérées comme anciennes buveuses. Dans l’ensemble, seulement 1.5% des femmes consomment de l’alcool en Algérie, contre 4.8% de consommateurs d’alcool chez les hommes.
La consommation globale d’alcool divisée par le nombre d’Algériens concernés a légèrement augmenté ces dernières années, passant de 0.7 litre par personne en 2010 à 0.9 litre par personne en 2016, dont 1.6 litre par homme et 0.2 litre par femme cette même année. Ces chiffres restent toutefois très en deçà de la moyenne de la région africaine, qui s’établit à 6.3 litre par personne.
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Le jury du Grand Prix Assia Djebar du roman, composé de sept membres, a été installé dimanche à Alger, indique un communiqué de l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP) qui finance ce prix littéraire.
Les universitaires Aicha Kassoul (présidente) et Hamid Bouhbib, la plasticienne Karima Mendil, les journalistes Boukhalfa Amazit et Youssef Saiah, le romancier et journaliste Hamid Abdelkader ainsi que le poète Achour Fenni ont été installés au siège de l’ANEP.
Cofinancé par l’ANEP et l’Enag, le prix- du nom de l`écrivain, historienne et cinéaste algérienne disparue en 2015, récompense les meilleures œuvres littéraires en langue arabe, amazighe et française.
Les lauréats de cette distinction littéraire dotée d’une valeur d’un (1) million de dinars pour chacune des trois langues, seront connus « fin décembre », avait annoncé l’ANEP.
Décerné pour la première fois au 20e Salon international du livre d’Alger (Sila, 2015), le prix avait été remporté en 2017 par Merzak Bektache pour son roman en Arabe « La pluie écrit ses mémoires », Mustapha Zaarouri pour « Dwagi i d assirem-iw (C’est mon espoir, en Tamazight).
Le « Boulevard de l’Abime », paru en Français, a été décerné à titre posthume à Nourredine Saadi, disparu peu avant la remise du prix.
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Le secrétaire général du Haut commissariat à l’amazighité (HCA) Si El Hachemi Assad a souligné, lundi à Ain Témouchent, que « la protection du patrimoine est la responsabilité de tous et non pas le monopole d’une instance ».
A l’APS en marge des travaux du colloque international sur le royaume de Massassyl et la rencontre de Siga 206 av JC, qui se poursuit à Ain Témouchent, M. Assad a déclaré « notre conviction dans la HCA est que la préservation du patrimoine est la responsabilité de tout un chacun et non pas d’une seule instance ».
« Le HCA adopte une stratégie visant à se rapprocher de plusieurs partenaires dont le Centre national d’archéologie et les instituts d’histoire du pays », a-t-il ajouté, citant à titre d’exemple la signature de conventions avec les universités d’El Oued et d’Annaba.
L’opération se poursuit dans le cadre la mobilisation pour servir le patrimoine matériel algérien, a-t-il affirmé.
Si El Hachemi Assad a expliqué que la valorisation du patrimoine exige sa protection suivant une stratégie et un plan précis partant de la restauration et la réservation un budget pour cela, qui relèvent de la compétence du ministère de la Culture.
Le secrétaire général du HCA a insisté, au passage, sur la nécessité de prendre des mesures pour protéger et relancer les sites archéologiques en attirant des délégations de touristes du pays et de l’étranger, ainsi que sur la prise de conscience du citoyen de l’importance de ces sites et la sensibilisation au niveau des écoles comme conditions pour valoriser le patrimoine matériel.
En outre, il a mis l’accent sur l’implication des associations versées dans la culture et le tourisme pour valoriser ce patrimoine et le promouvoir en réunissant les conditions pour attirer les visiteurs, en distribuant des dépliants, en diffusant des spots publicitaires et en confectionnant des affiches, soit la participation de tous.
Le colloque international sur le royaume de Massassyl et la rencontre de Siga 206 av JC se poursuit, à la troisième et dernière journée, avec des tables rondes auxquelles prennent part des étudiants de doctorat en histoire ancienne, encadrés par des universitaires, ainsi que la programmation d’une sortie au site du sanctuaire du roi Syphax.
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