Cela devait être « le der des ders ». Srebrenica est le seul crime reconnu de nature génocidaire dans l'ensemble des guerres yougoslaves. Depuis, le droit international n'en finit pas de reculer face à l'égoïsme des États et le génocide se banalise. Entretien avec Jean-Daniel Ruch, ancien conseiller diplomatique de Carla Del Ponte.
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- Articles / Une - Diaporama - En premier, Bosnie-Herzégovine, Serbie, Défense, police et justice, Relations internationales, Srebrenica, Criminels de guerre, Une - DiaporamaVisée par une motion de censure initiée par un eurodéputé d’extrême droite, Ursula von der Leyen est parvenue à retourner le débat. Elle dénonce une « embuscade de l’extrême droite pro-Poutine » et présente le vote comme opposant démocratie et illibéralisme.
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Credit: Dark_Eni/iStock by Getty Images
By Todd Schneider, Hany Abdel-Latif, Pedro Maciel and Henry Quach
WASHINGTON DC, Jul 10 2025 (IPS)
Seychelles—a nation of 115 islands in the Indian Ocean—today enjoys a comparatively high degree of economic stability. Inflation is below 2 percent, real GDP has largely recovered from the pandemic, public debt is on course to reach the government’s target of less than 50 percent of GDP before 2030, and per capita income is the highest in Sub-Saharan Africa.
But this stands in stark contrast to the country’s fortunes twenty years ago when it faced an economic crisis. What’s behind this turnaround?
From times of crisis
In the mid-2000s, Seychelles faced significant macroeconomic challenges stemming from expansionary fiscal policies and a rigid state-led economy. Large fiscal deficits were driven by high public spending on capital projects, subsidies, transfers to state enterprises and high debt service payments, while government revenues were constrained by significant tax concessions to foreign investors in the growing tourism sector.
An expansionary monetary policy within a fixed exchange rate framework and extensive exchange controls led to external imbalances and depletion of foreign reserves.
By 2008, gross public debt exceeded 192 percent of GDP and reserves had dwindled to just 2 weeks of import cover. The global financial crisis exacerbated these vulnerabilities, and the crisis came to a head in mid-2008 when the Seychelles authorities missed payments on the nation’s private foreign debt and Standard & Poor’s downgraded Seychelles to selective default.
Changing course
In response to this crisis, the government launched a comprehensive reform program with support from the IMF and other development partners. Key actions included abolishing all exchange restrictions and floating the rupee, consolidating public finances, reforming state enterprises, and abolishing indirect product subsidies in favor of a targeted social safety net.
Paris Club creditors agreed to a debt stock reduction. These measures quickly yielded positive outcomes: inflation fell, foreign reserves were restored to over 3 months of import cover, and public debt declined to below 70 percent of GDP within five years.
This turnaround rebuilt investor confidence, and the restoration of macroeconomic stability allowed policymakers room to shift from crisis management to macro-structural reforms in support of sustainable growth.
Resilience and commitment tested
The COVID-19 pandemic, which caused a sudden collapse in global tourism, was another tremendous shock. But its years of macroeconomic stability enabled Seychelles to face this new challenge from a position of strength.
Confronted with an economic contraction of nearly 12 percent in 2020, the government implemented timely fiscal and monetary measures to support households and businesses, utilized emergency financing from the IMF, and moved quickly to resume tourism.
As tourism rebounded in 2021 and 2022, economic growth surged to nearly 13 percent in 2022, helping to regain lost ground. Foreign exchange reserves were maintained above 3 months of import cover, and the exchange rate was allowed to move to facilitate adjustment.
Key to managing the effects of the pandemic and the international commodity shock that followed were the fiscal and foreign exchange buffers built up in prior years and a commitment to macro fiscal discipline demonstrated by the government.
Staying on course
Given highly volatile global economic and financial conditions, Seychelles’ hard-won macroeconomic stability will likely be put to the test again. Environmental pressures limit scope to expand tourism, while vulnerability to external shocks argues for continued strong fiscal discipline and external buffers.
To ensure continued economic growth and resilience, vital investments in infrastructure will be necessary, together with deeper development of human capital, more efficient public services, and financial sector deepening and inclusion.
Concerted efforts are also needed to strengthen the social safety net and address critical social ills that hamper productivity and economic development. Some of these areas fall within the reform agenda under the current IMF-supported Extended Fund Facility and Resilience and Sustainability Facility, but others will require new policy commitments.
Seychelles’ economic record highlights the importance of sound macroeconomic management and institutional strengthening in achieving and sustaining economic prosperity. Its journey offers valuable lessons for other small economies aiming at building resilience in an increasingly uncertain global landscape.
Todd Schneider is IMF mission chief to Seychelles and an advisor in the IMF’s African Department, where Hany Abdel-Latif is an economist, Pedro Maciel is a senior economist, and Henry Quach is a research analyst.
The IMF Executive Board recently completed the fourth review of Seychelles’ economic performance under the Extended Fund Facility (EFF) and Resilience and Sustainability Facility (RSF).
IPS UN Bureau
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L'Atlantique, le Couffo et le Mono sont en tête du classement par taux de réussite au Baccalauréat, session unique de juin 2025.
Le taux national de réussite au Bac 2025 au Bénin s'élève à 73,02 %. Les résultats révèlent de fortes disparités selon les départements.
Le département de l'Atlantique arrive en tête cette année avec un taux impressionnant de 78,13 %. Il est suivi de près par le Couffo, qui affiche 77,95 % de réussite, et le Mono avec 76,00 %.
Juste derrière, le Zou s'en sort avec 75,38 %, suivi du Littoral (73,47 %) et des Collines (73,30 %). Ces six départements passent tous la barre des 73 %, la moyenne nationale.
CLASSEMENT DES DEPARTEMENTS PAR TAUX DE REUSSITE
Les réquisitions du ministère public près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) sont tombées ce mercredi 9 juillet 2025 lors de la deuxième journée depuis la reprise du procès de l'affaire détournement présumé de deniers publics à la SRTB, ex-ORTB. Les peines requises par le parquet contre les accusés pour des délits, entre autres de blanchiment de capitaux, d'associations de malfaiteurs et de recel, de détournement de deniers publics, varient entre quatre (4) et quinze (15) ans de réclusion.
Les peines de prison risquent d'être lourdes pour les neuf coaccusés poursuivis dans ce dossier de présumé détournement. Les accusés sont poursuivis par le parquet spécial pour des faits de « détournement de deniers publics, d'association de malfaiteurs, de blanchiment de capitaux, de complicité de détournement de deniers publics et de recel de détournement de deniers publics ». Parmi les accusés figure l'ancienne Directrice de la station régionale de l'ex-ORTB Parakou, le Directeur Financier, le chef service achats matériel, des agents comptables de cette structure publique.
L'audience a été exceptionnellement suspendue en janvier 2024 pour des mesures d'instructions complémentaires à la suite des contradictions notées dans les déclarations des accusés. Ces mesures d'instructions complémentaires concernent la vérification et la production des copies des chèques prétendument déposés par le chef de service comptabilité sur les comptes Ecobank, BOA et Orabank de l'ORTB Parakou entre juin 2017 et août 2019. Il s'agit le cas échéant de vérifier si les chèques ont été récupérés par lui auprès des clients de l'ORTB.
À l'ouverture de l'audience ce mercredi 9 juillet 2025, la Cour a procédé à l'enquête patrimoniale des accusés et à la lecture des rapports médicaux-psychiatriques. De l'enquête patrimoniale , il faut noter que tous les accusés disposent entre autres des parcelles, des véhicules ainsi que des maisons construites à hauteur de plusieurs millions de FCFA. Par la suite, la cour a fait lecture des rapports d'expertise psychologiques des prévenus.
De la lecture de ces rapports, il apparaît que les accusés ne présentent pas d'anomalies mentales, ni des caractères de dangerosité. Ils disposent de toutes leurs facultés mentales et sont compatibles à des mesures carcérales.
Après les débats autour des biens des neuf accusés ce mercredi matin, les juges ont procédé à la lecture des rapports psychiatriques. Ces rapports sont tous favorables aux accusés. Suite à une suspension, l'audience a repris autour de 12 heures 40 minutes. C'est le représentant de l'Agent judiciaire de l'État (AJE) qui indique à la Cour qu'il compte se baser sur le rapport de l'inspection générale des finances (IGF)
La SRTB réclame plus de 475 millions FCFA aux accusés
Après l'AJE, c'est les avocats de l'ex-ORTB devenu SRTB qui ont fait leur demande. L'avocate, Me Akpovo a annoncé que la SRTB se constitue partie civile et demande de les condamner solidairement à payer plus de 475 millions FCFA pour toutes causes de préjudices subis. L'Agent judiciaire de l'État, représentant l'État béninois s'est associé à la demande pécuniaire des conseils de la SRTB.
4 à 15 ans de réclusion criminelle requise
Après les demandes de la partie civile, le deuxième substitut du procureur spécial près la CRIET, représentant le ministère public a fait savoir que l'ex-directrice générale de l'antenne régionale de l'ex-ORTB Parakou ainsi que l'ex-directeur financier n'ont pas reconnu les infractions mises à leur charge. Mais, il a déclaré que sept coaccusés ont reconnu une partie des faits.
Ensuite, le Ministère Public a procédé à un rappel des faits. Il a souligné que les faits de malversations ont été révélés au grand public suite à une mission de l'inspection générale des finances (IGF) sur la gestion de cette structure publique entre 2016 et 2020 et a expliqué les manœuvres utilisées par les prévenus. Selon ses explications, les accusés se sont mis d'accord pour asseoir leur mode opératoire, qui consistait à ce que les recettes de Cotonou soient déposées sur des comptes bancaires à Parakou. Ce qui aurait permis de détourner plusieurs centaines de millions FCFA.
Le ministère public a souligné dans ses réquisitions que le rapport de l'IGF a relevé un certain nombre d'irrégularités dont le non-respect des procédures d'acquisition et des opérations bancaires suspectes. À en croire le magistrat, l'ex-directrice régionale de l'ex-ORTB Parakou et son premier responsable auraient participé.
Le parquet spécial de la CRIET a demandé de retenir dans les liens de prévention des faits de détournement de deniers publics, de blanchiment de capitaux et d'associations de malfaiteurs les accusés : Dangou-Zato, Codjia, Gildacio, Essotinma, Tchoukpa, Atinkpahoun et un certain Abel. Il a aussi demandé de retenir pour complicité de détournement de deniers publics, blanchiment de capitaux et d'associations de malfaiteurs l'accusé Elpidio. Le procureur a également demandé de retenir l'accusé Quenum Saka dans les liens de la prévention des faits de recel de détournement de deniers publics et de blanchiment de capitaux.
Pour ces faits, le procureur a requis cinq (5) ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes fermes contre l'ancienne Directrice de la station régionale de l'ex-ORTB Parakou. Quinze (15) ans de réclusion criminelle et 10 millions d'amendes fermes ont été requis contre le Directeur Financier, l'accusé Codjia. Contre Quenum Gildacio, ex-agent comptable de l'Ortb Parakou dix (10) ans de réclusion criminelle et dix (10) millions FCFA d'amendes fermes ont été requis.
Le ministère public a requis contre les accusés Tchoukpa, Essotinma cinq ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes fermed chacun. Contre les accusés Elpidio, Dah Dagbénon, Atinkpahoun et Saka Quenum, le ministère public a requis 4 ans de réclusion criminelle et 5 millions FCFA d'amendes chacun. Le parquet spécial de la CRIET a demandé à la Cour de recevoir la constitution de partie civile de la SRTB et de l'Agent judiciaire de l'État et de les condamner solidairement à payer plus de 475 millions FCFA pour toute cause de préjudices subis, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Les plaidoiries des avocats de la défense sont toujours en cours