Le président de la Fédération algérienne des consommateurs (FAC), Zaki Hariz, accuse les agences de voyages organisant la Omra (petit pèlerinage) de publicité mensongère. Zaki Hariz, qui s’exprimait hier à l’occasion d’une conférence de presse organisée à l’hôtel Jardy de Bab Ezzouar, a estimé que «le dumping des prix qu’elles pratiquent, facturant des Omra à 120 000 DZD (environ 1 000 USD) pour certains en proposant dans leurs publicités des séjours de rêve, près de la Mecque, alors que dans la réalité, les pèlerins, personnes vulnérables pour la plupart, se retrouvent dans des structures qui n’offrent aucune commodité». «Le billet d’avion à lui seul coûte 85 000 DZD (plus de 700 USD). Je ne vois pas comment ils peuvent offrir aux pèlerins des prises en charge dans des hôtels étoilés !» s’est-il exclamé. Et de dénoncer l’inertie de l’Office national du Hadj et de la Omra qui, a-t-il indiqué, perçoit 2 500 DZD par hadji afin de bien assurer sa mission de suivi des agences organisant les pèlerinages. Dans ce contexte, il convient de signaler que 400 000 Algériens vont effectuer une Omra dont 80 000 durant le seul mois de Ramadhan.
L. H.
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Dans le cadre d'une élection présidentielle, il est judicieux de traiter le département de l'Atacora comme deux entités géopolitiques distinctes. Il y a l'Atacora-Est composée des communes de Kouandé, Ouassa et Péhunco. Cette zone, essentiellement bariba, répond à des codes et des symboles propres à toute la région bariba du septentrion. En face, il y a l'Atacora-Ouest rassemblant les communes montagneuse de Natitingou, Toukountouna, Tanguiéta, Matéri et Boukoumbé.
Malgré la très grande balkanisation ethno-linguistique qui caractérise cette région, les populations ici sont globalement considérées comme _"les gens de Kérékou"_. Ce type d'étiquetage, bien que facile, n'a jamais été mis en difficulté pendant toute la longue carrière politique du général Mathieu Kérékou.
Les rapports sociaux entre ces deux Atacora est loin d'être simple malgré les apparences ; Ceux de l'Est, pour des raisons liées à l'histoire, nourrissant un complexe de supériorité vis-à-vis de ceux de l'ouest appelées indistinctement _"somba"_. Et dans cette perception, le mot _"somba"_, ne désignant plus spécifiquement le locuteur _"ditamari"_, prend une consonance profondément péjorative. Si le long règne du général Mathieu Kérékou a rendu illisible cette ligne de césure, la perspective de son départ en 2006 posait un défi pour son successeur. Il s'agissait en effet de pouvoir flatter l'orgueil des bariba de l'Atacora - ouest qui prirent pendant longtemps pour un paradoxe, le fait de se faire diriger par le _"somba"_ Kérékou. Mais, il s'agit aussi dans le même temps de rassurer l'Atacora-ouest.
Un exercice que réussit Yayi qui, plaçant très ouvertement l'épicentre de sa candidature en milieu bariba, savait trouver les éléments de pénétration dans les autres groupes ethniques du septentrion. Et c'est dans l'Atacora-ouest que le rôle des églises évangéliques dans la conquête du pouvoir par Yayi se fera le plus visible.
Car, à l'origine de la mobilisation politique en faveur du président de la Banque ouest africaine de développement, dans l'Atacora, étaient les frères David et Michel Nahouan. L'aîné, David, était cadre des postes et le jeune frère, Michel, pendant cette épopée, était installé à Natitingou où il dirigeait l'agence pour le tourisme dans l'Atacora, après avoir longtemps servi comme journaliste à la station régionale de l'office de radiodiffusion et télévision du Bénin, à Parakou.
Ils avaient une parfaite connaissance du milieu évangélique, leur père ayant été très longuement le président national de l'église évangélique des Assemblées de Dieu du Bénin. Il faut préciser ici que l'Atacora-ouest fut la première porte d'entrée de cette communauté évangélique sur le territoire béninois, après avoir essaimé le Burkina - Faso. C'est donc une congrégation solidement installée dans cette partie du Bénin. Michel devint très vite l'éclaireur de Yayi dans la zone, alertant régulièrement sur les fêtes d'église à ne pas rater, les pasteurs à saluer, les leaders locaux de la communauté à entourer de soins et de prévenance.
Ainsi, Paulin Dossa, Albert mon frère aîné, Macaire Johnson et moi étions régulièrement sur les chemins escarpés de l'Atacora, sous la conduite de Michel Nahouan. Lorsque son programme le lui permettait, Yayi était physiquement présent. Je me rappelle encore ce voyage éprouvant que nous fîmes jusqu'à Boukoumbé, à l'occasion d'une fête de l'église locale des Assemblées de Dieu. Ce jour-là, nous faillîmes finir au fond d'un dangereux ravin où étaient perceptibles nombre d'épaves de voitures et même de camion. La route, en ce temps n'était pas bitumée et les pneus usées de la vieille _"Opel Vectra"_ de Paulin Dossa dans laquelle nous étions entassés, commença à patiner, en dérivant vers le vertigineux ravin. Ce fut un mémorable moment de frayeur dont nous reparlâmes longtemps après.
Yayi voulut profiter de son séjour à Boukoumbé ce jour-là pour faire une visite surprise à Cyr Kouagou alors directeur général de la communauté électrique du Bénin à Lomé et dont le nom circulait dans la région comme prétendant au fauteuil présidentiel. Ce fut en vain que nous tambourinâmes sur le lourd portail métallique de sa grosse résidence. Il n'était pas rentré pour le week-end, contrairement à ses habitudes. Yayi avait raté ce coup qu'il maîtrisait pourtant très bien.
L'église était la seule porte par laquelle nous pouvions rentrer dans cette partie du département de l'Atacora où tout semblait respirer Kérékou. Certes, le parti IPD de Théophile Nata s'alignait déjà tacitement derrière Yayi, à travers l'activisme de Francis da Silva. Adolphe Biaou, président de l'UNSD, nous témoignait beaucoup de sympathie chaque fois qu'il nous recevait dans son orphelinat, au nord de Natitingou, mais aucune structure politique n'osait encore ouvertement s'afficher derrière Yayi dans cette région du pays.
Les choses, bien entendu, évoluèrent plus tard avec le calendrier électoral et les clarifications se firent au sein du personnel politique du département qui pencha très largement en faveur de Yayi. Les points de résistance furent, à Kouandé, le magistrat Amouda Razaki, à Cobly, Domitien N'ouémou, à Boukoumbé, Cyr Kouagou, à Matéri, Barthélémy kassa qui était directeur de campagne de Daniel Tawéma, et toujours à Matéri, le ministre de l'artisanat et du tourisme Antoine Dayori qui se porta également candidat.
En face, les têtes de pont les plus visibles du yayisme furent, à Kouandé, l'ancien directeur général de la Sonapra, Abdoulaye Toko, à Péhunco, le maire Victor Dangnon, à Leroy, le maire, madame Dafia et à l'ouest du département, la fratrie Nahouan, Emmanuel Tiando, le général de police Nda, l'ancien directeur général de la caisse autonome d'amortissement, Pedro Ibrahim, Théophile Nata, Adolphe Biaou, Éric Ndah à Boukoumbé et j'en oublie.
En ce mercredi, sixième jour de campagne électorale, l'Atacora-ouest vibra comme s'il recevait à nouveau le fils du terroir, le général Mathieu Kérékou. Ce fut une célébration hystérique et presque mystique du yayisme naissant. Malgré le retard considérable que nous accusions parfois, les populations attendaient, sous le soleil, ventre vide. Ce fut par exemple le cas à Toukountouna où les populations attendirent jusqu'au crépuscule pour un meeting prévu pour 9h du matin et malgré les manœuvres de démobilisation entreprises par certains élus locaux.
Je me rappelle également du long atermoiement que nous eûmes avant le meeting de Matéri. Des informations très rassurantes faisaient état de risque d'agression sur notre candidat. C'était en effet chez deux candidats rivaux, Antoine Dayori et Daniel Tawéma coaché par le député Fard - Alafia, Barthélémy Kassa. Pendant un moment, l'annulation du meeting fut envisagé. Mais finalement, un dispositif sécuritaire fut mis en place de toutes pièces par le général Nda pour l'entrée dans Matéri. À notre grande surprise, la mobilisation était maximale malgré les messages contradictoires que recevait la foule.
Quand nous retournâmes au stade municipal de Natitingou pour le grand meeting, il faisait déjà nuit. Mais, les populations rassemblées depuis 14h attendaient avec abnégation. Le meeting hélas sera écourté. Des bruits de présence des huissiers commis pour constater la violation de l'heure règlementaire de campagne obligea Yayi à tout arrêter à quelques minutes de minuit. Le cortège repartit aussitôt de Natitingou. Il passera la nuit dans la zone bariba où il enchaînera une série de meeting demain jeudi.
Quant à moi, je passai la nuit à Natitingou avec Macaire Johnson. Nous n'avions pas d'autres solutions. Demain, nous devons faire un aller-retour sur Cotonou avec les supports vidéos et les photos de 4 jours de campagne. Nous avons prévu partir de Natitingou au petit matin, de manière à pouvoir reprendre aussitôt le chemin du nord, une fois que nous aurons déposer les supports au Novotel.
(✋À demain)
*Tibo*
A Digi24 hírtelevízió közölte, hogy Európa szinten, az elmúlt öt hónapban, Romániában nőtt legnagyobb mértékben az üzemanyag literenkénti ára. Míg január elsején 5 lej 16 banit fizettünk a benzin literéért, május második felében ugyanazért a termékért 5 lej 72 banit számoltak fel. A hírtelevízió becslései szerint ez Európa szinten a legdrasztikusabb, közel 12 százalékos áremelkedés. A gázolaj esetében majdnem 11 százalékos növekedést jegyeztek.
Le tribunal criminel de Ghardaïa a prononcé hier, en pourvoi de cassation, l’acquittement en faveur de Me Nourredine Ahmine, avocat près la cour de Laghouat et militant des droits de l’homme, poursuivi au motif «d’outrage à corps constitué» et de «fausses déclarations». Le tribunal a maintenu ainsi le premier verdict prononcé par le tribunal de première instance de Ghardaia, devant une pléiade d’avocats, juristes et militants des droits de l’homme. Dans une déclaration à l’APS, Me Seif El Islam Cherbal, secrétaire général de la Ligue algérienne des droits de l’homme, a indiqué que la présence d’un grand nombre d’avocats et de juristes à cette audience vise en particulier à «soutenir la profession d’avocat et à défendre le droit à la liberté d’expression et l’exercice de la fonction de la défense». Me Noureddine Ahmine a été poursuivi pour outrage à corps constitué et présentation de fausses preuves, lors du traitement judiciaire d’une précédente affaire concernant un crime commis lors des événements de Ghardaïa. Lors de ce deuxième procès, le représentant du ministère public a requis l’application de la loi, tandis que le panel de la défense, composé d’une vingtaine de bâtonniers et avocats, a plaidé d’un non-lieu, en expliquant que l’avocat «n’a fait que son travail, sans plus». Une délégation du parti FFS, composée de secrétaires nationaux, ex-députés et militants des droits de l’homme, a assisté au procès qui s’est déroulé dans de bonnes conditions, a-t-on constaté.
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Über die Hypothekenbörse Moneypark Mortgage Exchange (MEx) können institutionelle Anleger in den Immobilienmarkt investieren, Hausbesitzer erhalten eine neue Finanzierungsmöglichkeit.
Neues Angebot für Hypothekarnehmer und Investoren: Moneypark gibt am Dienstag die Lancierung der Mortgage Exchange (MEx) bekannt. Über diese Hypothekenbörse können institutionelle Anleger in den Immobilienmarkt investieren, Hausbesitzer erhalten eine neue Finanzierungsmöglichkeit. «Ich denke, hier kann mit Fug und Recht von einer Revolution im Schweizer Banken- und Anlagemarkt gesprochen werden», schreibt Stefan Heitmann, Gründer und CEO von Moneypark, in einer Mitteilung.
Gemäss seinen Angaben ist MEx die erste Hypobörse für selbstgenutzte Liegenschaften in der Schweiz. In einem ersten Schritt bündelt der Anbieter rein virtuell, einzelne Hypothekarfinanzierungen zu zwei 10-jährigen Portfolios. Die Laufzeiten beginnen im September respektive Oktober 2018.
Auswahl soll breiter werdenDie Zielrendite liege zwischen 1 und 1,5 Prozent. Die Zielgrösse für beide Portfolios liegt bei jeweils mindestens 15 bis 20 Millionen Franken. Die Minimalinvestition beträgt 10 Millionen Franken. Die Zeichnungsfrist läuft ab sofort. Laut Heitmann sind künftig regelmässige Emissionen geplant.
In einem zweiten Schritt bietet Moneypark über MEx Hypotheken an Privatkunden an. Für Hypothekarnehmer soll mit der neuen Plattform die Auswahl an Hypothekenanbietern noch breiter, transparenter und kompetitiver werden.
Malgré l’air diplomatique froid entre le Maroc et l’Algérie pour des questions de géopolitique, le commerce entre les deux pays est en bonne forme et se maintient sur une courbe ascendante. Le pays a importé plus de 700 millions de dollars de marchandises depuis l’Algérie. Il se place en 7e position sur la liste des destinataires des produits algériens derrière l’Union européenne, les pays de l’Ocde, et la Tunisie. Par rapport au premier trimestre 2017, le commerce extérieur avec le Maroc a augmenté de 59,83%. De manière générale, les échanges commerciaux sortants avec les pays du Maghreb arabe sont en hausse d’environ 40%.Ce rapport vient confirmer les récentes prévisions de la Banque africaine de développement (BAD) qui classe l’Algérie au 4e rang des pays les plus riches d’Afrique avec un PIB attendu de 170 milliards de dollars.
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Kelemen Hunor közölte a Krónikával, hogy a szövetség nem kívánja a kormányra lépéshez kihasználni a Szociáldemokrata Párt belső válságát. Az elmúlt időszakban több PSD-s képviselő átiratkozott a Victor Ponta volt kormányfő Pro Románia nevű pártjába. Így a kormánykoalíció elvesztette többségét a képviselőházban és már csak az RMDSZ és a nemzeti kisebbségek támogatásával tud elfogadtatni törvénytervezeteket. Kelemen Hunor tehát leszögezte: az RMDSZ nem lép kormányra, és nem fűzi szorosabbra a viszonyát a PSD-vel, hanem megmarad a parlamenti együttműködés. Szeptemberig pedig eldöntik, hogy folytatják vagy sem – mondta a politikus.
Az osztrák kormány új terveket jelentett be tegnap, amelyek szerint csökkenti a szociális alapjuttatásokat azoknál a külföldieknél, akik nem tudnak jól németül, és a nagycsaládosok alapjuttatásait is megnyirbálja. Sebastian Kurz osztrák kancellár elmondta, hogy így akarják megakadályozni, hogy az osztrák szociális rendszer ösztönözze a bevándorlást az országba. A javaslat különbséget tesz azok között, akik már Ausztriában élnek és azok között, akik újonnan érkeznek az országba. A havonta járó összeg továbbra is 863 euró lesz, de körülbelül háromszáz euróval kevesebbet kapnak majd azok, akik nem teljesítenek bizonyos előfeltételeket, például nem tudnak középfokon németül, vagy haladó szinten nem beszélnek angolul.
Credit: Bigstock
By WAM
CAIRO, May 29 2018 (WAM)
Every year, on 31 May, the World Health Organization (WHO) and partners mark World No Tobacco Day, highlighting the health and other risks associated with tobacco use, and advocating for effective policies to reduce tobacco consumption. This year, World No Tobacco Day focuses on tobacco and heart disease. The campaign’s slogan is “Tobacco breaks hearts. Choose health, not tobacco”.
"In 2015, nearly 1.4 million deaths in the Region were caused by cardiovascular disease. It has been estimated that in the next decade, deaths from cardiovascular disease, which in the Eastern Mediterranean Region is mostly attributable to ischaemic heart disease, will increase more significantly than in any other region of the world except Africa."
Dr Jaouad Mahjour, Acting WHO Regional Director for the Eastern Mediterranean
Tobacco use is one of the leading causes of premature death and disability worldwide. It is also a key risk factor for the development of coronary heart disease, stroke and peripheral vascular disease. “In most countries in WHO’s Eastern Mediterranean Region, cardiovascular disease is the leading cause of death and disease”, says Dr Jaouad Mahjour, Acting WHO Regional Director for the Eastern Mediterranean. “In 2015, nearly 1.4 million deaths in the Region were caused by cardiovascular disease. It has been estimated that in the next decade, deaths from cardiovascular disease, which in the Eastern Mediterranean Region is mostly attributable to ischaemic heart disease, will increase more significantly than in any other region of the world except Africa.”
Large sections of the public do not realize that tobacco is the leading cause of cardiovascular disease. Thus, on World No Tobacco Day this year, WHO aims to increase public awareness on the link between tobacco, exposure to secondhand smoke and cardiovascular disease. “Tobacco use in the Region has risen among men, women, boys and girls”, notes Dr Mahjour. “In some countries of the Region, 52 percent of men and 22 percent of women use tobacco. The rates among youth are particularly worrying; they can reach 42 percent among boys and 31 percent among girls. This includes shisha which is more popular among youth than cigarettes.”
On the eve of World No Tobacco Day 2018, WHO encourages: cardiovascular communities and specialists to take charge, educate and lead, to limit tobacco use and so contain this cardiovascular disease epidemic at national and regional levels; the public at large to make every effort to reduce the risks to their heart health by quitting tobacco, avoiding its use and exposure to secondhand smoke; governments to take all possible action to control tobacco use and raise public awareness of the link between tobacco use and heart disease; and countries and civil society to scale up prevention and control of cardiovascular disease by intensifying action on the six MPOWER measures in line with the WHO Framework Convention on Tobacco Control and so reduce demand for tobacco. The six MPOWER measures are: monitor tobacco use and prevention policies; protect people from tobacco smoke; offer help to quit; warn about the dangers; enforce bans on tobacco advertising, promotion and sponsorship; and raise taxes on tobacco.
“Tobacco in all its forms contains dangerous chemicals”, says Dr Mahjour. “The only proven strategy to keep the heart and blood vessels safe is to quit, avoid initiation and exposure to secondhand smoke”. Shisha, smokeless tobacco and electronic cigarettes cause acute adverse health effects, such as heart attacks, stroke, high blood pressure, heart failure, arrhythmia and other cardiovascular events. Secondhand smoke causes serious acute or chronic cardiovascular disease. In infants, secondhand smoke causes sudden death and in pregnant women, it leads to low birth weight and congenital heart defects in fetuses.
WAM/Tariq alfaham
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BERN - Die Zeichen stehen auf Ja: Am Dienstag kommt das Gesetz für die Lohngleichheit zwischen Mann und Frau abermals in den Ständerat. CVP-Frau Brigitte Häberli hofft, dass ihre Parteikollegen sie diesmal nicht im Regen stehen lassen.
Sie sorgten in der letzten Session für einen Bundeshaus-Eklat: Die Herrenrunde im Ständerat, angeführt von CVP-Mann Konrad Graber (59) mit argumentativer Unterstützung von Parteikollege Pirmin Bischof (59).
Was war geschehen? Das Stöckli sagte zuerst mit 19 zu 25 Stimmen Ja zum Gesetz für Lohngleichheit zwischen Mann und Frau. Doch dies nur, um es kurzum zurück in die Kommission, also in die Gesetzeswerkstatt, zu schicken.
Dieser Rückweisungsantrag aus der Feder des Luzerner Ständerats Graber kam für die Frauen im Rat, unter anderem Parteikollegin Brigitte Häberli-Koller (59), völlig überraschend.
Häberli-Koller, desavouiert von den eigenen Parteifreunden, schwieg konsterniert. Dafür polterte die Basler SP-Ständerätin Anita Fetz (61), ihre Stöckli-Kollegen würden gerade «Politik der übelsten Sorte» betreiben. Die Rückweisung sei eine reine Verzögerungstaktik.
CVP-Häberli: «Dieser Vorschlag ist sehr zumutbar»Und dann gabs Kritik von oben: CVP-Parteipräsident Gerhard Pfister (55) nahm sich Graber und Bischof zur Brust. Auch CVP-Bundesrätin Doris Leuthard (55) soll erbost gewesen sein über das Verhalten ihrer Ständeräte. Sie finde es «peinlich, dass sich das Parlament so schwer damit tut», sagte sie in der «NZZ am Sonntag».
Mittlerweile hat die zuständige Kommission wieder über dem Gesetz gebrütet – und kommt zum Schluss: Wir ändern nix! «Die Kommission hält an ihrem Vorschlag fest, den sie dem Ständerat bereits in der Frühjahrssession unterbreitet hat», schreibt sie in einer Mitteilung. Der Vorschlag sieht vor, dass Arbeitgeber, die mehr als 100 Personen beschäftigen, alle vier Jahre eine Lohngleichheitskontrolle durchführen müssen.
«Ich bin zuversichtlich, dass sich die Herren jetzt überwinden und Ja sagen – nachdem das Gesetz diese Extrapirouette gedreht hat», sagt Häberli-Koller. «Dieser Gesetzesvorschlag ist sehr zumutbar. Er bedeutet ein paar Stunden Aufwand alle vier Jahre. Und hat ein Unternehmen einmal belegt, dass bei ihm Männer und Frauen gleich verdienen, muss er es nie mehr analysieren lassen.»
Diese Fassung sei gegenüber dem bundesrätlichen Vorschlag schon sehr moderat, betont Häberli-Koller. Tatsächlich hätten ursprünglich schon Unternehmen ab 50 Mitarbeiter die Prüfung machen müssen.
CVP-Graber wird Ja sagen - ist aber unglücklichJetzt stehen die Chancen gut, dass das Stöckli am Dienstag abermals Ja sagt. Rückweisungs-Mann Graber wird sich zuerst in der Zwischenabstimmung der Stimme enthalten, wie er ankündigt. Dann aber, wenn es ums Eingemachte geht, Ja sagen.
«Obwohl ich nicht glücklich bin mit dieser Variante. Ein Gesetz, das nur 0,45 Prozent der Unternehmen betrifft, macht wenig Sinn», sagt er. Dass rund 50 Prozent aller Arbeitnehmer bei diesen arbeitet, ist in seinen Augen zweitrangig.
CVP-Bischof ist jetzt glücklich mit dem GesetzUnd Bischof? Der wird ebenfalls Ja sagen. Er hatte das Gesetz zurückgewiesen, weil die öffentliche Hand nicht von der Lohnanalyse betroffen gewesen wäre. Jetzt beantragte die Kommission «ein weiteres Mal einstimmig, den öffentlichen Sektor vermehrt in die Pflicht zu nehmen».
«Jetzt bin ich sehr zufrieden und werde das Gesetz annehmen», sagt Bischof. Er habe als Anwalt schliesslich rund 600 Frauen vertreten, die als Krankenschwestern, Hebammen, Physiotherapeutinnen «systematisch» schlechter bezahlt worden seien als die männlichen Kollegen.
Im Nationalrat wird es die Lohngleichheit schwer habenNimmt das Gleichstellungsgesetz die Stöckli-Hürde, wird sich die grosse Parlamentskammer der Lohngleichheit annehmen. Und dort wird die Vorlage von SP-Bundesrätin Simonetta Sommaruaga (58) angesichts der Mitte-rechts-Mehrheit wohl noch weiter abgeschwächt werden.
BADEN AG - In der Nacht auf Auffahrt leistete sich Casino-CEO Detlef Brose einen Suff-Eklat in der hauseigenen Disko. Jetzt passierte der nächste Fauxpas: Beim Versand des Casino-Magazins «Fullhouse» wurden sensible Daten vertauscht.
Im Grand Casino Baden AG geht es drunter und drüber. Erst leistete sich Casino-CEO Detlef Brose in der Nacht auf Auffahrt ein wildes Handgemenge mit einem Gast in der hauseigenen Diskothek (BLICK berichtetet), jetzt folgt schon der nächste Fauxpas.
Beim Versand des Casino-Gästemagazins «Fullhouse» (Auflage: 11'500 Stück) ist den Betreibern ein pikanter Fehler passiert: fremde Daten landeten in fremden Briefkästen. Ein Casino-Gast sagt zu BLICK: «Ich hatte plötzlich das Magazin von einem anderen Spieler in der Post. Da waren auch Angaben und Nutzerdaten dabei, die definitiv nicht in fremde Hände gehören.»
Kostenschwerer FauxpasBeim Casino ist das Problem bekannt. Beat Lehmann, Bereichsleiter Marketing des Grand Casino Baden, bestätigt, dass bei der internen Erstellung der Briefe Namen und Adressen vertauscht wurden. Er sagt zu BLICK: «Die einzelnen Briefe waren somit mit einer falschen Adresse versehen, was dazu geführt hat, dass die Mailings von der Post nicht zugestellt werden konnten.»
Das Ergebnis: Seit Tagen kommen die Magazine peu à peu zurück ins Casino – oder landen eben doch bei falschen Empfängern im Briefkasten.
Das Wirrwarr um Spielerdaten geht ordentlich ins Geld. Das gesamte Mailing wird diese Woche neu verschickt. Kostenpunkt der Post-Panne: 30'000 Franken.