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Maroc: un député français dénonce la répression des mobilisations sociales

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 00:35

Le député de la « France insoumise », Eric Coquerel, a alerté le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, sur la répression par le gouvernement marocain des mobilisations sociales.

Dans une question écrite au MAE français, publiée mardi sur le Journal Officiel, le député a rappelé que suite aux manifestations d’ampleur au Maroc depuis 2016, les habitants de la province de l’ex-ville minière Jerada se sont mobilisés suite à la mort de deux personnes ayant essayé d’extraire du charbon clandestinement dans un puits désaffecté, faisant observer que l’Etat marocain a répondu à ces manifestations, qui soulignent l’urgence sociale des habitants, par la répression.

« Plus de 40 prisonniers de cette région viennent ainsi s’ajouter aux plus de 500 détenus politiques d’opinion du ‘Hirak du Rif’ (mouvement de contestation populaire du Rif) dont des journalistes », a précisé ce député du mouvement de Jean-Luc Mélenchon, soulignant que leurs conditions de détention sont « alarmantes ».

Il a déploré que lors des différentes rencontres entre le roi du Maroc Mohammed VI et le président Emmanuel Macron, ce sujet « n’a pourtant jamais été abordé », qualifiant la déclaration du président Macron du 14 juin 2017 d’ »incompréhensible ».

En effet, le chef d’Etat français, interpellé sur la vague de répression, a déclaré lors d’une visite privée au Maroc qu’il n’y a pas de raison de craindre une volonté de répression quelle qu’elle soit ».

« Cette position est d’autant plus incompréhensible que les grenades lacrymogènes utilisées contre les manifestants étaient de fabrication française », a répliqué le député, demandant, au nom du rapport d’amitié et d’estime entre les deux pays, d’interpeller « directement » un partenaire « lorsqu’il ne respecte manifestement pas nos principes, partagés, de démocratie sociale ».

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Cristiano Ronaldo au PSG, Cavani lâche l’incroyable scoop

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 00:35

Ce mardi, la Gazzetta dello Sport lâchait une véritable bombe en affirmant que le Paris Saint-Germain était prêt à s’acquitter de la somme de 300ME pour s’attacher les services de Cristiano Ronaldo au mercato.

En plus de verser cette énorme indemnité de transfert au Real Madrid, les dirigeants franciliens seraient tentés d’accéder aux demandes de CR7, qui réclame un salaire de 45ME annuels. Une piste qui semble doucement prendre du poids, d’autant que certains joueurs du PSG considéreraient comme acquise la venue du Portugais. C’est le média italien Premium Sport qui révèle l’information.

Actuellement en Russie pour disputer la Coupe monde avec l’Uruguay, Edinson Cavani aurait lâché auprès de ses partenaires de la Celeste une phrase qui en dit long sur l’avancée de ce dossier: « Espérons que Cristiano Ronaldo nous fasse gagner » aurait lancé l’ancien attaquant de Naples à certains de ses coéquipiers uruguayens. Une confidence surprenante de la part du Matador, d’autant qu’une arrivée de Cristiano Ronaldo pourrait clairement entrainer son départ du Paris Saint-Germain au mercato rapporte Foot01.com.

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Bio Tchané prône un partenariat positif entre les acteurs

24 Heures au Bénin - Wed, 06/20/2018 - 00:33

C'est ce mardi 19 juin 2018 qu'a lieu l'ouverture officielle de la Conférence Internationale des Ministres de la Santé et des TIC sur la Sécurité des Soins en Afrique (CIMSA). Cette conférence qui se déroule à Cotonou du 17 au 22 juin 2018, a été lancée par le Ministre d'État chargé du Plan et du Développement, M. Abdoulaye Bio Tchané, représentant le Chef de l'État, S.E.M. Patrice Talon.

C'est en présence du ministre de la santé, M. Benjamin Hounkpatin, et celle de l'Economie Numérique et de la Communication Mme Aurélie Adam Soulé Zoumarou que le Ministre d'Etat chargé du plan a procédé à l'ouverture de cette conférence. Selon le ministre Abdoulaye Tchané « La problématique de la qualité des soins, de la sécurité des patients et de la gestion des risques en milieu de soins devient aujourd'hui un enjeu majeur de santé publique. Cette dernière ne peut être améliorée que lorsque les individus malades, les prestataires de soins de santé, y compris les universitaires et chercheurs travaillent avec les gouvernements dans le cadre d'un partenariat positif ». Il souligne qu'il n'est pas non plus possible qu'en cette ère de grande transformation qu'on se démarque des technologies qui offrent une rapidité de services. « Comment peut-on se priver des technologies du numérique, dont la capacité à simplifier les procédures, à comprimer le temps, à supprimer les distances, à faciliter tout simplement la vie n'a pas d'égale ? », a-t-il ajouté. Tout en exprimant la joie du gouvernement d'accueillir cette conférence, Abdoulaye Bio Tchané, souhaite plein succès aux travaux de la deuxième édition de la CIMSA.
Le Ministre de la Santé Benjamin Hounkpatin a quant à lui, fait le rappel des acquis de la première conférence tenue en 2012. Il a aussi présenté les résultats attendus au cours de cette rencontre. « Je souhaite que nos travaux soient porteurs d'engagements prononcés en faveur de la e-santé pour une meilleure sécurité des patients et du numérique », a-t-il souligné.
La Ministre de l'Economie Numérique et de la Communication Aurélie Adam Soulé Zoumarou a présenté l'état des lieux de l'apport des TICs dans le domaine de la santé dans les pays africains. Tout en énumérant les défis qui se posent aux États africains dans l'intégration des TICs dans ce domaine, elle confie que le Bénin entend relever ces défis. « Le Bénin est prêt à relever ces défis et bien d'autres, avec pour ambition de se transformer en une plateforme de services numériques de l'Afrique de l'Ouest pour l'accélération de la croissance et l'inclusion sociale d'ici 2021 », dira-t-elle.
Plusieurs dont M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur Général de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Dr Matshidiso R. Moeti, Directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique et de M. Siaka Coulibaly, Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies et Représentant Résident du PNUD au Bénin ont assisté à la cérémonie d'ouverture de la conférence.
Giscard AMOUSSOU

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Enseignement de l’histoire de la Révolution algérienne: 3 manuels scolaires remis au ministère de l’Education

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 00:29

 Trois manuels scolaires sur la Révolution du 1er Novembre 1954 et la résistance nationale contre l’occupation française conçus par le ministère des Moudjahidine ont été remis au ministère de l’Education nationale pour leur utilisation dans les trois paliers d’enseignement, a annoncé, mardi à Mascara, Tayeb Zitouni.

« Le ministère des Moudjahidine a conçu trois manuels scolaires sur la Révolution du 1er Novembre 1954 et la résistance nationale contre l’occupation française. Ces ouvrages ont été remis au ministère de l’Education nationale pour être utilisés dans les trois paliers d’enseignement », a indiqué le ministre à l’ouverture d’une conférence sur « Ahmed Zabana fierté des martyrs sur l’autel des sacrifices pour la liberté », organisée par le Centre national des études et des recherches sur le mouvement national et la Révolution du 1er novembre 1954.

Le ministre des Moudjahidine, qui a présidé les cérémonies marquant le 62ème anniversaire de l’exécution du chahid Ahmed Zabana, a indiqué que 32 documentaires sur des événements et des personnalités historiques de la Révolution algérienne ont été produits et remis aux médias nationaux audiovisuels en vue de leur diffusion.

Par ailleurs, Tayeb Zitouni a rappelé les actions menées par son département ministériel pour améliorer la prise en charge des moudjahidine et ayants-droit, citant en exemple notamment la numérisation du fichier national des moudjahidine et des ayants-droit, la réduction du nombre de documents constituant les différents dossiers et l’établissement de documents au niveau des directions de wilaya des moudjahidine.

Cette conférence historique a été marquée par des interventions sur la vie du chahid Ahmed Zabana suivies par la projection d’un documentaire sur son parcours dans le mouvement national jusqu’à son exécution par guillotine, le 19 juin 1956, dans la sinistre prison de Serkadji, à Alger.

Ahmed Zabana est né en 1926 dans la commune de Zahana, à Mascara. Il a adhéré, dans les années 40, au mouvement des Scouts musulmans algériens (SMA) avant de rallier les rangs du MTLD puis arrêté en 1950.

A sa sortie de prison, il a pris part avec les chouhada Benabdelmalek Ramdane et Larbi Ben M’hidi à la préparation du déclenchement de la guerre de libération à Sig et Zahana, relevant de la wilaya de Mascara. Blessé le 8 novembre 1954, lors de la bataille de Ghar Boudjlida, dans la commune d’El Gaâda (Mascara), il a été arrêté et emprisonné.

Le martyr Zabana a été le premier condamné à mort guillotiné le 19 juin 1956 à la prison de Serkadji d’Alger.

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Louh en visite à la République d’Azerbaïdjan du 20 au 23 juin

Algérie 360 - Wed, 06/20/2018 - 00:29

Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh effectue, du 20 au 23 juin, une visite à la République d’Azerbaïdjan accompagné d’une importante délégation, sur invitation de son homologue azerbaïdjanais, Fikrat Mammadov, a indiqué lundi un communiqué du ministère.

Cette visite s’inscrit dans le cadre des visites de concertation mutuelle entre l’Algérie et l’Azerbaïdjan, selon la même source qui rappelle la dernière visite effectuée par M. Mammadov en Algérie en avril 2017, laquelle a été sanctionnée par la signature d’un mémorandum d’entente en matière de coopération entre les ministères de la Justice des deux pays.

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Serbien-Coach Mladen Krstajic: «Wir wissen alles über die Schweiz»

Blick.ch - Wed, 06/20/2018 - 00:25

Mladen Krstajic über die Schwierigkeit, in Serbien Nationaltrainer zu sein, über die Schweizer Mentalität, über Multikulti und über die Chancen der Serben im Schlüsselspiel am Freitag gegen unsere Nati.

BLICK: Mladen Krstajic, wie kompliziert ist es, serbischer Nationaltrainer zu sein?
Mladen Krstajic: Ganz, ganz schwierige Frage … Ich kann nur sagen: Ich bin sehr stolz, Trainer meines Landes zu sein. Es ist ein schönes Gefühl, diese Position der Verantwortung innezuhaben. Es ist vor allem dann sehr schön, wenn es gut läuft. Dann ist es gut für alle. Wenn nicht, muss ich den Kopf hinhalten. Aber es ist schon irgendwie die heisse Kartoffel, die man nimmt.

Von aussen hat man das Gefühl, Serbien habe sieben Millionen Nationaltrainer.
Stimmt. Da muss man für jeden Einzelnen kämpfen. Wir sind ein sportliches Land. Fussball, Volleyball, Handball, Basketball. Aber einer ist verantwortlich. Und die Fans erwarten viel. Ich brauche kein Alibi. Aber man muss sich schon vor Augen halten, dass wir acht Jahre nicht mehr dabei waren. Da muss man schön auf dem Boden bleiben.

Ihr Vorgänger Slavoljub Muslin, der das Team an die WM geführt hat, musste gehen, weil er sich nicht dreinreden lassen wollte. Ist das so, dass es Versuche gibt, den Nationaltrainer zu beeinflussen?
Nationaltrainer in Serbien zu sein, ist nicht einfach. Ich bin ein noch junger Trainer. Ich habe als Assistent von Muslin gearbeitet. Vor mir steht eine Riesenaufgabe: Unser Land gut zu repräsentieren.

In der Zeit nach dem Krieg störten viele kriminelle Elemente den serbischen Fussball. Gibt es die heute noch?
Ich denke nicht. Ich war damals ein junger Spieler, der sich nicht mit solchen Dingen beschäftigte. Ich habe mich darauf konzentriert, zu trainieren und zu spielen. (Der Pressechef schreitet ein und sagt, es sei nicht am Trainer, über dieses Thema zu sprechen.)

Also zurück zur WM. Polemik gabs vor allem wegen Lazio-Star Milinkovic-Savic, den Ihr Vorgänger Muslin nicht berücksichtigt hat. Sie hingegen schon.
Er ist ein guter Spieler, hat die Zukunft vor sich.

Lazio soll 150 Millionen für ihn wollen ...
(Wieder schreitet der Pressechef ein.) Ich bin Nationaltrainer. Da rede ich nicht über den Klub eines Spielers. Dass Muslin ihn nicht aufgeboten hat, war seine Sache.

War ein Comeback von Miralem Sulejmani in der Nationalmannschaft nie ein Thema? Er hat bei YB zuletzt sehr stark gespielt!
Er ist ein guter Spieler und ein guter Junge. Für mich ist grundsätzlich jeder mit einem serbischen Pass ein Thema.

Das Spiel gegen die Schweiz – es hat bei uns viele Spieler mit albanischem Hintergrund …
(Der Pressechef spitzt die Ohren, aber Krstajic kommt ihn zuvor.) ... das ist wieder Politik. Ich rede nicht über Politik.

Sie halten diese politische Komponente also nicht für wichtig?
Ich komme aus einem Multikulti-Land, aus Bosnien. Mein Vater ist Montenegriner, meine Mutter Serbin. Ich bin ein internationaler Typ. Bei mir zählt die Nationalität nicht. Was für mich zählt, ist, dass die Schweiz eine sehr gute Mannschaft hat.

Und eine extrem multikulturelle Mannschaft.
Genau. Das ist gut für die Schweiz. Ich respektiere jeden Spieler, egal aus welchem Land er kommt.

In der Schweiz ist das ein Thema. Vor allem nach dem Spielabbruch gegen Albanien, als der Bruder von Granit Xhaka die gross­serbische Fahne herunterholte.
Das ist hinter mir. Ich schaue immer nach vorne.

In Ihrem Team hat es zwei «Schweizer», Prijovic und Veljkovic. Der eine wurde in St. Gallen, der andere in Basel geboren.
Dann ist es das Problem der Schweiz, wieso sie sie nicht geholt und für die Nationalmannschaft aufgeboten hat. Ivan Rakitic ist auch so ein Fall.

Kann Ihnen das für das Spiel gegen die Schweiz helfen, dass diese Spieler die Schweizer Mentalität gut kennen?
Sicher kann das helfen. Aber auch ich kenne aus meiner Zeit in Deutschland die Mentalität der Schweizer sehr gut. Ich weiss, was Disziplin bedeutet.

Wie stark haben Sie die neun Jahre in Deutschland geprägt?
Ich habe sehr viel erlebt in Deutschland. Die Kultur mitbekommen. Wir bräuchten einige Stunden, um all das Gute, was ich aus Deutschland mitgenommen habe, zu schildern. Es war eine schöne Zeit für mich und meine Familie.

Bei einer BLICK-Strassenumfrage in Belgrad war viel Skepsis Ihrer Mannschaft und Ihnen gegenüber spürbar, weil sie wenig Erfahrung als Cheftrainer haben.
Na und? Das spielt für mich keine Rolle. Zidane hatte auch keine Erfahrung. Ich habe Spieler mit Erfahrung und einen Staff mit Erfahrung.

Sie haben kurz vor der WM den Captain gewechselt. Branislav Ivanovic die Binde weggenommen und sie Aleksandar Kolarov gegeben. Warum?
Haben Sie die serbischen Zeitungen gelesen?

Ja.
Da habe ich es gesagt.

Eben. Sie haben nichts gesagt.
Genau. Und das bleibt auch so. Auch Ihnen gegenüber. Das bleibt intern. Es gibt kein Problem mit Ivanovic.

Also nochmals: Warum?
Darum!

Wie stufen Sie Ihren nächsten Gegner die Schweiz ein?
Ganz stark! Kompakt und mit viel Erfahrung. Die Schweiz war bei den letzten drei Endrunden an WM und EM dabei. 27 Punkte in der Qualifikation sind beachtlich! Und auch der Trainer ist sehr gut.

Auch wir haben unsere Probleme. Spieler, die im Klub nicht oft spielen.
Jeder Trainer hat Probleme. Das ist unser Leben.

Und wir haben ein Stürmerproblem.
Es gibt viele Vereine, die ohne echten Stürmer spielen. Manchester City zum Beispiel, der englische Meister.

Was ist für Sie wichtig im Leben?
Gesundheit und Charakter. Das man sich in die Augen schauen kann. Ich will niemanden belügen. Ich sage meinem Gegenüber immer in die Augen, was ich denke.

Sie führen auch eine Schnapsbrennerei. Das ist doch eher aussergewöhnlich.
Ich mache viele Dinge. Ich habe vor acht Jahren mit einem guten Freund begonnen zu brennen. Ich bin auch ein Bauer. Die Natur ist etwas ganz Besonderes für mich. Wenn ich in der Natur bin, bin ich ganz entspannt, locker.

Sie bauen auch andere Dinge an auf ihrem Bauernhof?
Vieles. Das mache ich mit meiner Frau, meinen Kindern und meiner Familie zusammen. Wir sind ein Team, die Krstajics. Da versuche ich eine gute Atmosphäre zu kreieren. Wie auch in meinem Job.

Ist Ihnen das gelungen?
Fakt ist: Wir sind eine Einheit. Es gibt keinen Streit. Und die Vorbereitung lief störungsfrei und ohne Skandale ab. Das ist in der serbischen Mannschaft früher auch schon anders gewesen. Eine gute Atmosphäre ist das A und O an einem Turnier wie diesem. Das war auch ein wesentlicher Grund für den Sieg gegen Costa Rica.

Als Spieler haben Sie nicht nur gute Erinnerungen an Weltmeisterschaften …
Nein. Da war 2006 dieses 0:6 gegen Argentinien in Gelsenkirchen. Aus dieser gewaltigen Niederlage habe ich vieles mitgenommen.

Das war ein historisches Spiel. Das erste WM-Spiel eines gewissen Lionel Messi.
Genau. Der ist in der zweiten Halbzeit reingekommen. Da wurde es noch schlimmer.

Wissen Sie noch, gegen wen Sie Ihr erstes Tor in der Nationalmannschaft geschossen haben?
Uff, schwierige Frage. So viele waren das nicht… Zwei, drei. Eines gegen die Schweiz.

Genau.
Ah, da haben wir in Basel 2:1 haben gewonnen. Aber das ist Vergangenheit. Ich schaue immer nach vorne. Wen Sie über meine Karriere reden wollen, dann fragen Sie die Fans. Für mich ist dieses Buch geschlossen.

Und am Freitag geht es gegen die Schweiz.
Über die wir alles wissen. Im Spiel gegen Brasilien haben wir die letzten Details bestätigt erhalten.

Das Interview wurde im April geführt und mit Äusserungen von Krstajic am serbischen TV nach dem 1:0 gegen Costa Rica aktualisiert.

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Persönlich:
Krastajic kommt 1974 im damaligen Jugoslawien in Zenica als Sohn einer Serbin und eines Montenegriners auf die Welt. Zenica gehört heute zu Bosnien. Er spielt bei Partizan Belgrad, bevor er für neun Saisons in die Bundesliga wechselt. Zuerst zu Werder Bremen, dann zu Schalke. 2004 holt er mit Werder das Double. Krstajic kehrt zu Partizan zurück, wird Sportdirektor des Klubs und Präsident des bosnischen Erstligisten FK Radnik Bijeljina, den er immer noch führt. Danach wird er Assistent von Nati-Coach Slavoljub Muslin, beerbt diesen nach der erfolgreichen WM-Qualifkation, weil sich Muslin weigert zu versprechen, die Talente Milinkovic-Savic, Veljkovic und Radonjic einzusetzen.

 

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Berlin et Paris veulent un budget pour la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Wed, 06/20/2018 - 00:22

La ténacité d’Emmanuel Macron a fini par payer. Angela Merkel a enfin accepté, mardi, lors du sommet franco-allemand de Meseberg (nord de Berlin) d’approfondir la zone euro comme le propose depuis un an le Président de la République, une perspective qu’elle rejetait, ou plus exactement freinait, il y a quelques mois encore de peur de créer une « union de transferts » entre le nord et le sud. Bien sûr, la chancelière n’a pas donné son feu vert à toutes les propositions du chef de l’État français : ainsi, le parlement de la zone euro et le ministre des finances européen passent à la trappe. Mais elle s’est ralliée, et c’est le plus important, au principe d’un budget propre aux dix-neuf pays qui ont adopté la monnaie unique et est enfin prête à achever l’Union bancaire. La dynamique franco-allemande est donc enfin relancée, l’Allemagne reconnaissant que l’inachèvement de la zone euro menace son existence même en cas de nouvelle crise, ce qui nuira à ses intérêts vitaux.

Méfiance allemande

Le sommet de mardi, auquel a été convié le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, afin de montrer qu’il ne s’agit pas de scinder l’Union en deux, a largement été préparé par les ministres des finances allemand, le social-démocrate Olaf Scholz, et français, l’ex LR Bruno Le Maire, qui ont négocié d’arrache-pied. Comme d’habitude, les Français proposaient et les Allemands refusaient, soupçonnant leur partenaire de vouloir faire main basse sur « le bon argent allemand ». Il a fallu des centaines d’heures de palabres pour qu’ils admettent enfin qu’il ne s’agissait pas de « faire payer l’Allemagne », un fantasme en vogue outre-Rhin, mais simplement d’assurer la pérennité de l’euro. Une résistance d’autant plus curieuse que l’accord de Grande Coalition (GroKo) signé entre le SPD et la CDU-CSU prévoyait bien d’achever la construction monétaire européenne, comme l’a reconnu la chancelière lors de la conférence de presse finale : « tout ce qui a été convenu aujourd’hui est dans le contrat de coalition ». Mais le négociateur SPD de l’accord de coalition, Martin Schulz, s’est retiré du jeu politique, et son successeur, Olaf Scholz, n’est absolument pas familier des questions européennes et, surtout, il a gardé auprès de lui les faucons qui entouraient son prédécesseur, l’intraitable Wolfgang Schäuble.

Un budget pour les Dix-neuf

Alors que la Commission, dans son projet de « cadre financier pluriannuel » (CFP) 2021-2027, avait simplement proposé d’affecter à la zone euro au sein du budget communautaire une ligne budgétaire de 30 milliards d’euros sur 7 ans, ce qui donnait un droit de regard aux 9 pays non membres de la monnaie unique, le couple franco-allemand exige un budget propre à la zone euro : les recettes et les dépenses seraient décidées à 19 même si elles seront exécutées par la Commission qui a l’habitude de ce travail.

Ce budget serait destiné à investir dans « l’innovation et le capital humain » et pourrait « financer des nouveaux investissements et venir en substitution des dépenses nationales », comme l’écrit la « feuille de route franco-allemande pour la zone euro » rendue publique hier soir. Il pourrait aussi jouer le rôle de « stabilisation macroéconomique », soit par le biais d’une « suspension temporaire de la contribution au budget de la zone euro pour les pays touchés par un choc significatif », soit en alimentant un « fonds européen de stabilisation du chômage » qui pourrait faire des prêts aux systèmes nationaux afin que l’État touché par une augmentation brutale du chômage ne perde pas ses capacités de manœuvre. Dans les deux cas, l’État qui aura bénéficié de cette aide d’urgence devra ensuite la rembourser.

Ce budget, qui devrait voir le jour en 2021, pourrait être alimenté par la taxe sur les transactions financières (TTF) « sur le modèle français » (qui taxe les achats d’actions uniquement), par le futur impôt qui frappera les géants du numérique, par une partie de l’impôt sur les sociétés et par la fameuse ligne budgétaire de 30 milliards d’euros prévus par la Commission. Si aucun chiffre n’a été avancé, ce budget ne devrait pas dépasser les 100 milliards sur 7 ans, ce qui reste largement insuffisant. Mais un pas symboliquement important aura déjà été franchi.

Un Mécanisme européen de stabilité renforcé

En cas de crise grave, le couple franco-allemand propose un système à deux paliers. D’une part, si un pays de la zone euro est confronté à un simple problème d’accès aux marchés alors que ses comptes sont en bon ordre, ce qui a été le cas de l’Irlande ou de l’Espagne, lors de la crise de la zone euro, il aura accès à une « ligne de crédit de précaution » qui sera créée au sein du Mécanisme européen de stabilité (MES, doté d’une capacité d’emprunt de 700 milliards). Une telle ligne existe au sein du FMI et elle est censée permettre à un pays de faire face à un coup de vent violent et à rassurer les marchés.

En revanche, si le pays est au bord de la faillite parce qu’il a un déficit excessif ou une dette importante, il pourrait, comme aujourd’hui, faire appel au MES que Berlin et Paris proposent d’intégrer dans les traités européens (pour l’instant, c’est un accord intergouvernemental ad hoc), ce qui permettra au Parlement européen de le contrôler. L’État qui fera appel aux prêts du MES serait soumis à un programme d’austérité destiné à le ramener à l’équilibre comme aujourd’hui, mais le MES aura un rôle moteur dans sa conception. Pour l’instant, c’est la Commission qui est à la manœuvre, mais elle n’a pas vraiment convaincu les États de sa capacité à gérer efficacement le redressement d’un pays… La volonté allemande de le renommer « Fonds monétaire européen », sur le modèle du FMI, est abandonné : on se dirige plutôt vers « Fonds européen de stabilité » ou quelque chose d’approchant. Il n’est plus question d’une restructuration automatique des dettes, mais simplement d’analyser leur soutenabilité et d’inclure dans les futurs emprunts d’Etats des clauses d’action collective permettant aux créanciers d’arriver plus facilement à un accord de restructuration.

Achever l’Uniion bancaire

Le couple franco-allemand propose de donner au MES un nouveau rôle dans le cadre de l’Union bancaire, celui de « backstop » ou de « filet de sécurité ». En effet, le « fonds de résolution unique » (FRU), alimenté par les contributions des banques, peut se révéler insuffisant en cas de faillit d’une banque systémique. Dans ce cas, il pourra faire appel au MES dans la limite des fonds du FRU : actuellement de 20 milliards d’euros, ils atteindront 55 milliards en 2024, date proposée d’entrée en vigueur de cette fonction de backstop, soit en tout 110 milliards. Comme à terme le FRU disposera de 70 milliards d’euros, ce seront 140 milliards qui pourront être mobilisés pour sauver les banques. Pour donner un ordre de comparaison, aux États-Unis, le « backstop » géré par la SEC (qui mélange deux fonctions totalement séparées dans l’Union, celles de fonds de garantie des dépôts et de fonds de résolution unique) se monte à 100 milliards de dollars. Si le MES est sollicité, le secteur bancaire sera ensuite mis à contribution pour rembourser les sommes mobilisées dans les trois ans, cinq ans au maximum.

Le mécanisme est encore vague et suscite encore de nombreuses questions : ainsi, l’Allemagne insiste pour que son Bundestag donne son feu vert à chaque utilisation du backstop, comme c’est le cas pour toute activation du MES. Une exigence qui freinera son automaticité, alors même que l’argent public allemand n’est pas mobilisé. Surtout, cela donnera un droit de véto au seul Bundestag, ce qui pose un réel problème démocratique… La France demande donc que le Bundestag donne son accord une fois pour toutes pour l’utilisation du MES comme backstop. On comprend mieux pourquoi l’Allemagne persiste à refuser un parlement de l’eurozone : pour elle, le Bundestag joue déjà ce rôle…

Le dernier pan de l’Union bancaire reste encore en jachère, celui de la « garantie européenne des dépôts bancaires » à laquelle les caisses d’épargne allemandes s’opposent avec virulence (et leurs liens avec le monde politique sont incestueux). Pour l’instant, les fonds de garantie sont uniquement nationaux et l’Allemagne pose comme préalable à une mutualisation une quasi-élimination des risques bancaires, ce qui revient à la renvoyer sine die. Mais elle accepte au moins de commencer des négociations politiques sur le sujet après le conseil européen de juin.

Reste maintenant à Berlin et à Paris à convaincre leurs dix-sept partenaires qu’ils retrouveront les 28 et 29 juin lors du Conseil européen de Bruxelles. Les Pays-Bas ou la Finlande risquent de trouver que cela va trop loin, alors que l’Italie, l’Espagne, la Grèce ou le Portugal jugeront que seule une petite partie du chemin a été parcourue. C’est sans doute la force du compromis franco-allemand : même s’il ne satisfait personne, chacun peut s’y retrouver en partie.

Photo: AFP

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Sommet de l’Union Africaine à Nouakchott : les préparatifs vont bon train

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 06/20/2018 - 00:00
Les Mauritanies - La capitale mauritanienne, Nouakchott est fin prêt à accueillir le 31e sommet de l’Union Africaine (UA), considéré...
Categories: Afrique

Um Himmels Willen! Bistum wegen Papst-Besuch vor Konkurs

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:34

BERN - Der eintägige Besuch von Papst Franziskus in Genf kostet viel Geld. Dem zuständigen Bistum droht gar der Konkurs.

Die 41'000 Tickets für die morgige Papstmesse in Genf waren begehrt. Damit in den Palexpo-Hallen beim Flughafen alles glatt läuft, wurden extra fünf Grossbildschirme und eine Beschallungsanlage installiert. So können alle Gläubigen den Worten von Papst Franziskus (81) folgen. Die 41'000 Stühle liessen die Organisatoren aus Paris ankarren.   

Besonders teuer sind aber die Sicherheitsmassnahmen. Das Bistum Lausanne, Genf und Freiburg musste 50 Sicherheitsportale mieten, das ist ein grösseres Dispositiv als am Flughafen Genf. Hinzu kommen die Logistikkosten.

Das Bistum rechnet mit Kosten von insgesamt weit über 2 Millionen Franken. Ein riesiger Betrag für ein Bistum, der quasi das Jahresbudget (auch zwei Millionen Franken) sprengt. Zudem verfügt man nur über Eigenmittel von rund 300'000 Franken.

Keine Finanzspritze vom reichen Vatikan

Auch wenn der Vatikan im Geld schwimmt, wird der päpstliche Schweiz-Besuch mit keinem Rappen aus Rom gesponsert. Auch für die Messe dürfen keine Eintrittsgebühren erhoben werden. Nicht einmal eine Kollekte erlaubt der Heilige Stuhl. Dem Bistum droht darum der Konkurs.

Auf der Webseite des Bistums wird die Rechnung gemacht. Eingangs heisst es zwar: «Die Teilnahme an dieser Eucharistiefeier ist natürlich gratis.» Dann wird aufgelistet: «Ihre Teilnahme verursacht jedoch Kosten: 10 Fr. für die Sicherheit, 16 Fr. für die Infrastruktur, 5 Fr. für die Liveübertragung, 2 Fr. für den Ticketservice, 2 Fr. für den Strom, 7 Fr. für die Logistik usw.» Zählt man alles zusammen, kommt man bei 41'000 Besuchern auf Kosten von mehr als zwei Millionen Franken. 

Die Diözese hat deshalb eine öffentliche Bettelaktion gestartet. «Die einzige Lösung, um das Loch zu stopfen, sind Spenden», sagt Finanzchef Jean-Baptiste Henry de Diesbach.

18’000 Einzahlungsscheine gedruckt und in Pfarreien verteilt

Bistums-Bischof Charles Morerod hat daher die Pfarreien seiner Diözese um Spenden gebeten. Die Diözese druckte 18'000 Einzahlungsscheine. 3000 wurden bisher an Pfarreien verteilt, die darum gebeten hatten. Ziel: Die Priester sollen an die Grosszügigkeit ihrer Gläubigen appellieren und ihnen die Einzahlungsscheine verteilen. 

Die Situation ist absurd. «Die katholische Kirche in der Schweiz ist im Grunde nicht arm», sagt de Diesbach. «Das Geld zirkuliert aber oft ausserhalb der Bistümer.» Schon eine Spende von 10'000 Franken pro Kirchgemeinde würde ausreichen, um die Kosten zu decken. «Aber nicht alle können sich so einen Betrag leisten», sagt de Diesbach der Zeitung «La Liberté». Aktuell ist man beim Bistum mit letzten Vorbereitungen beschäftigt. Für Auskünfte über das Finanzloch fehlt die Zeit.

Immerhin: Auch die Bischöfe der anderen fünf Bistümer der Schweiz haben den Bettelbrief aus Freiburg in ihren Pfarreien gestreut. Wie viel bisher zusammengekommen ist? Unklar.

Einnahmen von 1 Milliarde Franken – aber nicht für das Bistum

Tatsache ist: Die katholischen Kirchgemeinden und Landeskirchen in der Schweiz nehmen unabhängig von den Bischöfen jährlich rund eine Milliarde Franken ein. Das Geld bleibt aber dort, wo es herkommt.

Ein Kirchenmann bringt die Diskrepanz auf den Punkt: «Skandalös. Diese Milliarde wird in den Gemeinden und Landeskirchen verbraucht, die haben nicht mal zwei Promille für den Papst übrig.»

Man scheint an Defizite gewohnt: Der letzte Papstbesuch in der Schweiz 2004 in Bern verursachte ein Defizit von 900'000 Franken. Eine ziemlich unchristliche Summe.

 

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«Wurden geschlagen und getreten»: So kam es zum Tribünen-Fight bei Fury vs. Seferi

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:34

Sie blätterten richtig viel Kohle für die Tickets zu einem Boxkampf hin. Dann schlugen sie selber zu – und flogen raus, bevor das Spektakel vorbei war.

Für böse Zungen war der Fall klar: Die Prügelei, die während des Fights in Manchester zwischen Tyson Fury und Sefer Seferi in der 2. Runde auf den Zuschauerrängen ausbrach, war härter als das, was die beiden Boxer im Ring zeigten.

Sie war auf jeden Fall so spektakulär, dass die Kontrahenten mitten im Kampf kurz unterbrachen und ihre Köpfe in Richtung des Tumults wendeten.

Für einen Teil der Prügler war der Box-Abend danach vorbei: Die Brüder Craig und Karl Gallagher wurden mit ihren Freundinnen als vermeintliche Unruhestifter identifiziert und rausgeschmissen, wie die «Manchester Evening News» berichten.

Ein Irrtum, meinen die beiden. Sie hätten 1000 Pfund (rund 1300 Franken) für die Plätze im vorderen Bereich der Arena bezahlt und den Kampf sehen wollen – bis sie eben nichts mehr sehen konnten.

«Die Frontreihen waren voll mit Leuten, die nicht dort hätten sein sollen», sagt Karl Gallagher. «Sie haben die Sicht all jenen versperrt, die viel Geld dafür hingeblättert hatten.»

Sich beklagt – und dann verprügelt worden

Die Gallaghers hätten die Ordner darauf aufmerksam gemacht. Ohne Erfolg. «Sie haben nichts unternommen.»

Kurz darauf habe er einen Schlag kassiert. «Plötzlich haben mich fünf oder sechs Leute ange griffen, wir wurden geschlagen und getreten. Drei oder vier sind auf meinen Bruder los­gegangen.»

Es habe Minuten gedauert, bis die Sicherheitsleute eingeschritten seien. «Und dann sind wir rausgeflogen. Obwohl wir und uns nur verteidigt haben.»

Bei den Veranstaltern klingt das anders. «Wir können zwar nicht mit Sicherheit sagen, wie der Kampf angefangen hat.» Aber man habe gesehen, wie Karls Bruder Craig zugeschlagen habe. «Das hat andere Zuschauer angestachelt, ebenfalls mitzuprügeln.»

Selbstverteidigung hin oder her, eine Chance, das Geld zurückzubekommen, gebe es nicht. Die Gallaghers sind sauer. Und reihen sich damit in der Gruppe derjenigen Boxfans ein, die sich nach dem wenig inspirierten Kampf und Seferis Aufgabe nach vier Runden verschaukelt fühlten. (eg)

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Baumeister und Suva spannen zusammen: Kurze Hosen für Bauarbeiter

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:33

BERN - In der Nähe von Strassen müssen Bauarbeiter bis dato lange Hosen tragen. Weil das im Sommer schnell ungemütlich werden kann, fordern der Schweizer Baumeisterverband und die Suva lockerere Regeln.

Jetzt wird es richtig heiss! Doch die Freude vieler Schweizerinnen und Schweizer an der Badi- und Glace-Saison teilen nicht alle. Dazu gehören die rund 25'000 Büezer, die unter der sengenden Sonne auf und neben der Strasse arbeiten. Denn während unsereins im Sommer einfach kurze Hosen trägt und die Beine hoffentlich fleissig mit Sonnencreme einschmiert, dürfen sie das nicht.

Jedenfalls, wenn es nach dem Schweizerischen Verband der Strassen- und Verkehrsfachleute (VSS) geht. Dessen Norm schreibt vor, dass Bauarbeiter im Strassenbereich immer lange Hosen tragen müssen, damit sie von vorbeifahrenden Fahrzeugen gesehen werden.

Auf den Strassenbaustellen ist also Schwitzen angesagt. Dem Schweizer Baumeisterverband (SBV) passt das nicht. Er wehrt sich für seine Angestellten. «Die Bauarbeiter sollen Eigenverantwortung übernehmen können, was sie zum Schaffen tragen», fordert SBV-Direktor Benedikt Koch (46).

Baumeister Hand in Hand mit der Unfallversicherung

Dafür hat Koch einen überraschenden Partner gefunden: Die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva). Die nämlich sagt, die langen Hosen seien teilweise mehr Risiko als Schutz. Denn bei extremen Temperaturen und starkem Sonnenschein könnten «lange Hosen, vor allem, wenn sie eng an der Haut anliegen, zu Gefässerweiterungen und zu Kreislaufproblemen führen».

Arbeiter würden daher im Sommer zu leichten Versionen greifen. Was im wahrsten Sinne des Wortes brandgefährlich ist, wie die Suva warnt. Denn diese Hosen hätten einen viel höheren Anteil an synthetischen Fasern, «was dazu führt, dass sie leichter brennbar sind».

Auch wenn lange Hosen besser vor Unfällen und anderen Risiken schützen: Bei bestimmten Arbeiten habe die Brennbarkeit Vorrang. «Der Unternehmer muss die Möglichkeit haben, hier selbst abwägen zu können», findet die Versicherung. Doch das kann er wegen der VSS-Vorschriften nicht.

Die Handhabe der EU als Vorbild

Baumeister und Suva fordern daher in einem gemeinsamen Brief an den VSS, dass die Schweiz der EU folgt. Dort dürfen Bauarbeiter in der Nähe von Strassen, auf denen maximal 60 km/h gefahren wird, die langen Hosen gegen kurze tauschen.

Der VSS bestätigt den Erhalt des Antrags und will am 5. Juli antworten. Das ärgert SBV-Koch: «Wir fordern die Anpassung der Norm seit rund drei Jahren. Da habe ich gar kein Verständnis, dass der VSS jetzt nochmals die Sommermonate verstreichen lassen will, bevor er sich dem Thema widmet», poltert er. Die Branche brauche jetzt eine Lösung. «Wenn man den Bauarbeitern erst im Herbst sagt, dass sie mit kurzen Hosen zur Arbeit kommen dürfen, nützt das herzlich wenig.»

VSS-Direktor Christian Schärer (59) weist die Vorwürfe entschieden zurück: «Fakt ist, dass es der Baumeisterverband während der Erarbeitung der Norm mehrmals verpasst hat, uns seine geschätzte Meinung zukommen zu lassen.» Weder seien die Baumeister zu den Sitzungen gekommen, noch hätten sie sich in der Vernehmlassung geäussert.

Die Chancen stehen schlecht

Den Antrag will man prüfen, doch das Resultat ist vorhersehbar: «Der VSS will keine Norm herausgeben, die eine Gesundheitsgefahr beinhalten könnte», so Schärer.

Die Arbeiter müssen also weiterschwitzen. Dabei ist selbst die Gewerkschaft für mehr Beinfreiheit, wie Nico Lutz (48), Sektorleiter Bau der Gewerkschaft Unia, sagt. Lange Hosen seien nur sinnvoll, wenn sie die Risiken wirklich auch erfordern. Allerdings: «Wenn man Arbeiten ausführt, bei denen die langen Hosen Feuer fangen können, ist es wahrscheinlich nicht sehr schlau, einfach kurze Hosen anzuziehen. Denn dann verbrennt man sich auch die Beine.»

Doch die Hosenlänge sei ohnehin nur ein Scheingefecht. Wichtiger sei, die Arbeit im Sommer besser zu organisieren. Das heisst, die Arbeitszeiten in die Morgenstunden zu verlegen und für Schatten, Wasser und Pausen zu sorgen. «Wenn man bei 35 Grad im Schatten nicht mehr mit langen Hosen arbeiten kann, sollte die Arbeit zum Schutz der Arbeiter grundsätzlich niedergelegt werden», so Lutz. Das fordere die Unia jedes Jahr, doch der Baumeisterverband stelle sich immer quer.

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Francesca T. (†59) hortete Kleider im Wert von 100’000 Franken: Sozialamt untersucht Shopping-Touren auf Staatskasse

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:33

BERN - Francesca T.* (†59) bezog Sozialhilfe, lebte in einer 3,5-Zimmer-Wohnung und kaufte Kleider im Wert von 100'000 Franken. Niemand stoppte ihr Treiben. Auch nicht das Amt. Nun wollen die Verantwortlichen untersuchen, wie es dazu kommen konnte.

Ihr Fall sorgt für Kopfschütteln. Die Italienerin Francesca T.* (†59) lebte in Bern über Jahre von der Sozialhilfe. Trotzdem konnte sie sich Kleider, Schuhe und Schmuck im Wert von 100'000 Franken leisten.

Nachdem T. am 17. April verstarb, entdeckte man die teuren Outfits in ihrer 3½-Zimmer-Wohnung. Viele davon neu und originalverpackt (BLICK berichtete). Offensichtlich litt die Frau an Shopping-Sucht. Recherchen zeigen: Fast täglich kaufte sie in der Berner Altstadt ein.

Genaue Prüfung

Jetzt will das Sozialamt der Stadt Bern den Fall aufklären. Leiter Felix Wolffers (61) sagt: «Aufgrund der Berichterstattung im BLICK habe ich mich entschieden, den Sachverhalt vertieft durch das Sozialrevisorat überprüfen zu lassen.» Ein Bericht soll noch diese Woche vorliegen.

Der Fall beinhaltet viele offene Fragen: Wie kann jemand Sozialhilfe beziehen, sich gleichzeitig aber derart teure Sachen leisten? Wie lange dauerte der Missbrauch? Weshalb wurde T. nicht besser kontrolliert? Und: Warum wurde ihr ohne Hausbesuch im letzten August eine grössere 3½-Zimmer-Wohnung bewilligt? Wie konnte die Italienerin regelmässig für längere Zeit verreisen? Gab die Sozialhilfeempfängerin dem Amt korrekt und rechtzeitig Auskunft über ihre finanziellen Verhältnisse? Verschwieg sie bewusst Einkünfte?

«Über die Resultate wird öffentlich informiert»

Wollfers dazu: «Gestützt auf den Bericht des Sozialrevisorats werden Abklärungen und Massnahmen geprüft. Erst dann können mögliche Konsequenzen beschlossen werden.» Transparenz ist ihm wichtig: «Es ist vorgesehen, über die Resultate der Abklärung in allgemeiner Form öffentlich Auskunft zu geben.»

Den Steuerzahler interessiert vor allem eines: Was kann getan werden, damit es nicht zu Missbräuchen kommt. Braucht es mehr, stärkere und regelmässigere Kontrollen und Hausbesuche bei Sozialhilfeempfängern? Bevor Wolffers Stellung zum konkreten Fall nimmt, will er den Bericht abwarten. Doch Kontrollen sind ihm wichtig: «Sie fördern das Vertrauen der Öffentlichkeit. Die Sozialdienste haben diese in den letzten Jahren stark ausgebaut.»

Eine Herkulesaufgabe in der Praxis

Der Bernern Amtsleiter ist ein Mann vom Fach. Er präsidiert auch die Schweizerische Konferenz für Sozialhilfe (SKOS) und sieht allgemeine Schwierigkeiten im System. Der Verbandschef weiss: «Es gibt neue Probleme. Ausgesteuerte Personen ab 55 Jahren sind die am stärksten wachsende Gruppe der Sozialhilfe.» Für ihn ist deshalb klar: «Es braucht mehr Stellen für ältere Arbeitslose und auch Personen mit gesundheitlichen Leiden.»

Wolffers spricht eine zweite Herausforderung an: «Viele Personen, die früher eine IV-Rente erhalten haben, sind heute auf den Sozialdiensten.» Dort werden die Personen beraten, finanziell unterstützt und wieder in den Arbeitsmarkt integriert. Was einfach klingt, ist in der Praxis oft eine Herkulesaufgabe. Die Hälfte der Sozialhilfeempfänger hat keinen Lehrabschluss.

Massiver Druck: 100 Fälle pro Sozialarbeiter

Allein in Bern sind 100 Fälle pro Sozialarbeiter die Norm. Doch das ist kein Extremfall: «Auch in anderen Kantonen und vielen Gemeinden gibt es ähnliche Vorgaben», sagt Wolffers. Gerade Regionen mit günstigem Wohnraum werden gerne zum Mekka für Sozialhilfeempfänger. Für einzelne Orte ist das ein ernstes Problem.

SKOS-Präsident Wolffers spricht Klartext: «Es braucht deshalb Reformen bei der Finanzierung der Sozialhilfe.» Er ergänzt: «Wichtig ist vor allem eine Entlastung der Gemeinden und eine faire Verteilung der Kosten.» Ein Fall, in dem eine Frau ihre Shopping-Touren mit Hilfe der Staatskasse finanziert, ärgert nicht nur den Steuerzahler, sondern auch Betroffene, die jeden Rappen zweimal umdrehen müssen.

* Name von der Redaktion geändert

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Jetzt redet Jastina Doreen Riederer (20) über die Missen-Misere: «Aufgeben ist nicht mein Ding»

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:32

Die neue Miss, Jastina Doreen Riederer (20), hat es wahrlich nicht leicht. Nach vielen Turbulenzen schmiss letzte Woche auch noch Missen-Chefin Angela Fuchs (44) das Handtuch. Jetzt nimmt Anita Buri (39) das Miss-Küken unter die Fittiche.

BLICK: Wie geht es Ihnen nach diesen turbulenten Monaten als Miss Schweiz?
Jastina Doreen Riederer: Mir geht es gut, danke. Klar gab es da spezielle Momente. Die schönen überwiegen und auf die fokussiere ich mich.

Schon mal die Idee gehabt, den Bettel hinzuschmeissen?
Nein. Aufgeben ist nicht mein Ding. Aus den Steinen, die mir in den Weg gelegt werden, baue ich mir eine Brücke und laufe weiter. Es gibt sehr viele Menschen im Hintergrund, die mich täglich unterstützen, ein grosses Dankeschön dafür.

Würden Sie sich nochmals zur Wahl anmelden?
Auf jeden Fall! Das ist eine einmalige Chance, man erlebt als Miss Schweiz so viel Tolles.

Worauf blicken Sie mit Freude zurück?
Natürlich auf die Wahlnacht. Das waren unbeschreibliche Emotionen, die ich mein ganzes Leben nicht mehr vergessen werde. Ich hatte die Chance, durch die Stiftung «Wunderlampe» Anthony kennenzulernen. Er ist seit Geburt im Rollstuhl. Es hat mich tief berührt, wie positiv er mit seinem Schicksal umgeht.

Was würden Sie lieber ungeschehen oder anders machen? 
Nichts, was meine Arbeit als Miss Schweiz betrifft. Aber mir wurden die Worte im Mund umgedreht und ich wurde als Lügnerin dargestellt. Dermassen unter Druck gesetzt, musste ich private Sachen preisgeben. Es ist schade, wenn man eine Frau auf Brüste reduziert. 

Anita Buri ist Ihre Missen-Mami, wie ist das? 
Super! Es könnte keine bessere geben. Anita war selber Miss Schweiz und weiss genau, wie das läuft. Ich freue mich riesig auf diese Zusammenarbeit.

Sie kommen auch privat gut miteinander aus, gibt es gar ein Freundschafts-Tattoo? 
Würde ich mir jedes Mal ein Tattoo stechen lassen mit jemandem, den ich mag, dann wäre ich bereits voll tätowiert.

Was haben Sie für Pläne fürs restliche Missen-Jahr? 
Die Miss Schweiz Organisation wird sich nun neu orientieren. Anita zeigt volles Engagement und wird mich gut betreuen. Ich freue mich auf weitere interessante Aufträge. Ganz besonders möchte ich Kinder und Jugendliche gegen Mobbing sensibilisieren und besuche diese Woche das erste Mal eine Primarschule.

Wie sieht es mit Buchungen aus? 
Für mich läuft es weiter wie bisher und ich gehe meinen Terminen nach. Bis jetzt war ich hauptsächlich für Partner der Miss-Organisation unterwegs, zum Beispiel an der Uhrenmesse in Basel für Jowissa oder die Stiftung «Wunderlampe». Für Bauknecht war ich tagelang als Moderatorin im Einsatz, am Wochenende bei einem Polo-Turnier. Hinzu kommen diverse Termine für Autogrammstunden oder Interviews.

Bei der Miss-America-Wahl gibt es keinen Badekleider-Durchgang mehr. Was halten Sie davon? 
Ich habe nichts gegen den Bikini-Durchgang, schliesslich ist und bleibt es ein Schönheitswettbewerb. Bereits in den 1960er-Jahren durften sich die Frauen im Bikini zeigen, also warum 2018 plötzlich nicht mehr? Aber natürlich geht es nicht um Schönheit allein. Ich hätte mir gewünscht, dass ich nach der Wahl nicht nur optisch beurteilt werde. 

Nehmen Sie an der Miss-Universe-Wahl teil? 
Das ist noch nicht entschieden, aber ich wäre stolz, die Schweiz zu repräsentieren. Vielleicht gelingt es mir ja, dort mehr Punkte rauszuholen als unsere Musiker beim Eurovision Song Contest (lacht).

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Mauritanie : sortie d’une nouvelle promotion de la garde nationale

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 06/19/2018 - 23:15
Sahara Medias - Sortie ce mardi à Rosso d’une nouvelle promotion de la garde nationale, la 99ème forte de 283, en présence du ministre de...
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Paris gèle les fonds français de Hani Ramadan

24heures.ch - Tue, 06/19/2018 - 23:00
Le prédicateur genevois ne posséderait aucun avoir outre-Jura. Néanmoins, il figure parmi 17 personnes suspectées d’être liées au terrorisme et dont les fonds sont bloqués.
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Gina-Lisa ist kaum wiederzuerkennen: «Ich fing an, mich vor mir selbst zu ekeln»

Blick.ch - Tue, 06/19/2018 - 22:44

Gina-Lisa Lohfink überrascht auf aktuellen Bildern mit ihrem Aussehen: Hat sich die Schlagersängerin erneut unters Messer gelegt? Sie selbst findet sich gut so, wie sie ist, und verrät, dass dies lange nicht so war.

Dicke Lippen, straffes Gesicht: Gina-Lisa Lohfink (31) sieht auf aktuellen Fotos ganz anders aus. Fans spekulieren, ob sich das ehemalige Model, das nun als Schlagersängerin durchstarten will, erneut unters Messer legte. Auf Bildern, die kürzlich von ihr bei einem Event auf Mallorca geschossen wurden, ist sie kaum wiederzuerkennen. 

Lohfink findet es daneben, dass Fotografen mit den unvorteilhaften Schnappschüssen Geld machen. Gegenüber RTL sagt sie: «Ja, ich finde das ganz schlimm, wenn die Fotografen einfach losfotografieren und sich keine Mühe geben. Die denken dann, die schlechten Bilder bringen mehr Geld.»

«Ich will nicht mehr die Gina sein wie die auf diesen schlimmen Fotos»

Dass sie sich optisch verändert hat, ist ganz nach ihrem Geschmack – und habe einen guten Grund. Sie wollte mit ihrem neuen, künstlichen Look ihre Vergangenheit hinter sich lassen: «Die einen finden das Natürliche schöner, andere das Extreme. Ich finde mich besser jetzt. Ich habe mich auf jeden Fall für mich selbst verändert.»

Und weiter: «Es ist mir auch viel Negatives passiert, und da habe ich angefangen, mich vor mir selbst zu ekeln. Vor meinem Körper, vor den Bildern, vor den Videos, was da war – ich fand es grausam, das zu sehen.» Sie habe sich selbst gesagt: «Ich will nicht mehr die Gina sein wie die auf diesen schlimmen Fotos oder Videos.» (kad) 

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Les USA verrouillent leur système financier devant les "corrompus" africains

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 06/19/2018 - 22:30
Saharamédias - Les Etats Unis d’Amérique ont réaffirmé leur détermination à poursuivre leur lutte contre toutes les personnes impliquées...
Categories: Afrique

Un joueur remporte 41,7 millions de francs

24heures.ch - Tue, 06/19/2018 - 22:21
Lors du prochain tirage de l'Euro Millions vendredi soir, 20 millions de francs seront en jeu.
Categories: Swiss News

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