Dans un entretien accordé à la presse, le bâtonnier Jacques Migan a rassuré de la possibilité des partis de l'opposition, les Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) notamment, de la possibilité pour elles, d'avoir un candidat pour la présidentielle de 2021. A la date de ce jour, c'est un parti qui a 07 maires, et qui peut parrainer quelqu'un, a confié l'avocat.
Il a par ailleurs rassuré que les FCBE peuvent également avoir des parrains des députés de la mouvance présidentielle. Ces députés selon lui, sont des députés du peuple, ils sont les représentants de la nation. « Ils ne sont pas la propriété de leurs partis politiques », et en tant que représentant de la nation, ils sont libres de parrainer le candidat de leur choix, a-t-il expliqué. Pour l'homme de droit, la polémique selon laquelle un candidat qui n'est pas de la mouvance ne peut compétir pour les élections présidentielles de 2021 n'a pas sa raison d'être. Il suffit tout simplement de rencontrer les députés », a-t-il rassuré.
Selon le bâtonnier, même si la consigne doit provenir des responsables des partis Bloc Républicain (BR) et Union Progressiste (UP), le député en tant qu'élu du peuple est libre de son choix. « Les représentants de la nation, les élus de la nation ne sont pas les élus de leurs partis, ils sont les élus de la nation. Un député est un député de la nation, un maire est un maire de la nation », a insisté Jacques Migan.
Pour lui, il faudra que les candidats aient un programme ou un projet de société bien déterminé et bien défini qu'ils présenteront à ceux là qui pourraient éventuellement les parrainer. « Il ne faudrait pas dramatiser les choses, tout est ouvert », a précisé Jacques Migan soulignant qu'en tant que candidat, si l'on remplit les conditions prévues par l'article 44 de la constitution, et les articles 132, et 138 du Code électoral, de même que les conditions sur la nationalité, l'état de santé, la dignité etc, la question du parrainage ne pose aucun problème. « C'est possible pour quelqu'un qui n'est pas de la mouvance d'obtenir le parrainage des élus de mouvance », a-t-il rassuré.
Jacques Migan a par ailleurs précisé que « le parrainage ne suppose pas que l'on serait appeler à battre campagne pour celui que l'on parraine ». « Parrainer, entre dans les prérogatives régaliennes de représentants de la nation, je peux par exemple être de la mouvance et parrainer quelqu'un à partir de son projet de société qui me conviendrait s'il se confirme que le parti n'a pas de directives, soutenir ou ne pas soutenir », a-t-il expliqué.
A l'en croire, le parrainage est un contrat entre le candidat et son parrain, et ce n'est pas quelque chose qu'il faut divulguer. Ce que l'on recherche après tout, c'est que le représentant du peuple qui constitue le député, ou le maire au niveau de la commune puisse apporter si leur caution, leur soutien, qui ne va pas au-delà de soutien de parrainage.
F. A. A.
L'édition 2021 de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2021) ne pourra plus avoir lieu du 09 janvier au 06 février 2020 comme prévue. Elle a été décalée d'un an au terme d'une réunion par visioconférence du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF), consacrée à l'impact de la Covid-19 sur le football africain. La CAN sera donc en 2022.
Comme la CAN, le CHAN 2020 a été également reporté. Prévu pour cette année 2020, ce n'est qu'en 2021 qu'il sera joué.
Selon nos sources, plusieurs autres décisions ont été prises au cours de cette rencontre, et seront officiellement annoncées par le président de la CAF, Ahmad, à l'occasion d'une conférence de presse ce jour.
F. A. A.
Une ouverture des frontières aériennes et terrestres entre les pays de la Communauté des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est annoncée pour le mois de juillet. Les vols entre pays Afrique et le reste du monde répondront également.
Un retour à la normalité est envisagé au sein des États Membres de la CEDEAO. Il est prévu pour le 1er juillet, l'ouverture des frontières terrestres entre pays CEDEAO. Elle sera en fonction de l'évolution de la pandémie du Covid-19 au sein des pays membres de la CEDEAO et des autres pays du monde et fera l'objet d'une évaluation périodique.
La reprise totale des vols va se dérouler en trois grandes phases. Dans un premier temps, il sera question de l'ouverture des frontières aériennes et vols entre pays CEDEAO dès le 15 Juillet et ensuite l'ouverture des frontières aériennes et vols entre pays de l'Afrique le 22 juillet.
L'étape suivante sera l'ouverture des frontières aériennes et vols entre l'Afrique et le reste du monde. Elle est fixée au 1er août 2020.
A.A.A
La cour du collège d'enseignement général ‘'la verdure'' sis dans la commune d'Abomey-Calavi a servi de cadre ce mardi 30 juin 2020 à la remise de don de masques lavables en tissu aux apprenants de l'arrondissement de Ouèdo. C'est un geste de la société Colas-Afrique soutenu par le maire de la commune d'Abomey-Calavi en vue de lutter contre la pandémie du Coronavirus.
Paul Tonon
Colas-Afrique mets la main à la pâte. En faisant ce don, la filiale du groupe Bouygues entend contribuer aux efforts du Gouvernement dans le cadre de la riposte contre la pandémie du Coronavirus. Cette donation de Colas-Afrique est composée de plusieurs milliers de masques lavables en tissu aux apprenants de l'arrondissement de Ouèdo. Ainsi, 2500 masques reviennent au CEG ‘'la verdure ''de Ouèdo, 750 à l'Ecole Primaire Publique de Ouèdo, 250 masques à l'Ecole Primaire Publique de Sakomé, 150 à l'arrondissement de Ouèdo et enfin 250 masques à la mairie d'Abomey-Calavi. « La lutte contre la Covid 19 est une question de responsabilité individuelle et collective, dans la mesure où chaque citoyen doit constituer un rempart contre la propagation de ce virus, ceci, dans le respect scrupuleux des mesures barrières retenues par l'Etat béninois qui ne ménage aucun effort face à cette lutte. Nous pensons que c'est dans cette logique que s'inscrit l'action louable et salutaire de Colas-Afrique qui a choisi de faire un don substantiel de masques à nos candidats aux différents examens et même à d'autres acteurs du collège » a dit à l'entame la directrice du CEG ‘'la verdure ''Victoire Akodo Koundé. Elle en a profité pour remercier la société Colas-Afrique qui n'est pas à son premier geste vis-à-vis de son établissement. Il y a de cela quelques mois, cette entreprise avait déjà offert au CEG ‘'la verdure'' 500m³ de sable de remblai pour huit salles de classes actuellement en construction. A ce geste appréciable s'ajoute la dotation de deux barrières métalliques de sécurité puis de panneaux de signalisation de passage pour garantir la sécurité des apprenants lors de leur traversée de la route. Très contente du don de Colas-Afrique à son collège, Jocelyne Fanou, la représentante des élèves du CEG ‘'la verdure ''a promis au nom de ses camarades de faire bon usage de ce précieux cadeau en ces temps où sévit le Coronavirus. Selon Jacques Okoumassoun représentant du chef d'agence de Colas-Afrique, leur société entend s'inscrire dans la dynamique de quête permanente d'un mieux-être pour les populations d'une part et contribuera à soutenir les efforts du conseil communal dans sa lutte contre la pandémie de Covid 19 d'autre part. « Les derniers chiffres en date du 28 juin porte la barre des cas confirmés de contamination à mille cent quatre-vingt-sept dont huit cent quarante-cinq sous traitement, trois cent vingt cas guéris et dix-neuf décès. Ces chiffres nous interpellent et nous rappellent que le combat est loin d'être gagné. Je ne saurais donc présider cette cérémonie de donation importante sans reprendre à mon compte, du haut de cette tribune, l'appel du Gouvernement à respecter individuellement et collectivement les mesures barrières au nombre desquelles se trouve le port systématique de masque de protection. Je remercie Colas-Afrique et ses responsables pour leur don qui participe d'une solidarité agissante au profit de la communauté » a déclaré le maire de la commune d'Abomey-Calavi Angelo Evariste Ahouandjinou avant de remettre symboliquement quelques exemplaires de masque de protection aux collégiens présents à la cérémonie.
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La Conférence des Leaders Chrétiens ou Christian Leaders Fellowship (CLF) amène le changement pour le christianisme dans l'ère post-corona.
"Retournons à la Bible" voix de la Réforme Chrétienne
"La Conférence Mondiale en Ligne" (Online World Conference) s'est tenue du jeudi 25 au samedi 27 juin 2020 avec pour thème "REVENEZ''
A cause de la propagation mondiale du Covid-19, la société et l'économie ont été confrontées à de grandes difficultés, et toute notre vie a changé. D'autant plus que les rassemblements religieux étaient restreints et que l'accès à l'église était difficile, la communauté chrétienne a été confrontée également à une crise.
Aujourd'hui, le monde Chrétien a besoin de nouveaux changements tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, depuis les méthodes d'adoration jusqu'aux problèmes des dénominations et des doctrines. Au centre de ce changement se trouve la Conférence des Leaders Chrétiens (CLF -Christian Leaders Fellowship-), une organisation pastorale chrétienne mondiale.
La Conférence des Leaders Chrétiens (CLF) a diagnostiqué que les problèmes que le christianisme rencontre dans la société moderne sont causés par l'éloignement des hommes de la Parole de Dieu, la Bible.
■ La revendication du changement Chrétien
En 1517, Martin Luther a ouvert la porte à la Réforme Chrétienne, en insistant sur : "l'Ecriture seule, la foi seule, la grâce seule". Il a tiré la sonnette d'alarme contre l'injustice et la corruption du catholicisme romain, l'omniscience et la perversion, et a crié au retour à la Parole de Dieu, la Bible.
De nombreux Chrétiens craignent que la société Chrétienne moderne ne soit pas si différente de la réalité de l'époque où Luther a appelé à la Réforme. Avec le déclin et le vieillissement de la population Chrétienne, le nombre d'églises diminue de jour en jour, et beaucoup de gens tournent le dos au Christianisme.
Le fait que les chrétiens soient tombés dans une religion dédiée au culte formel et au soulagement personnel est également critiqué, parce que les pasteurs n'enseignent ni la foi correcte ni la vie de foi. Tout comme l'église, qui au Moyen-Âge interdisait la lecture de la Bible aux laïcs et vendait les indulgences, la réalité de l'église d'aujourd'hui qui n'enseigne pas la Bible avec exactitude apporte l'ignorance aux chrétiens.
Les chrétiens modernes, qui n'ont pas appris la Bible convenablement, n'ont pas d'autre choix que de quitter l'église ou d'être entraînés dans les deux sens par la fausse religion qui prétend être chrétienne. Tout comme Luther a appelé à une réforme fondée sur la Bible, il est temps pour nous de revenir à la Bible une fois de plus.
■ L'objectif de la Conférence des Leaders Chrétiens, "Retournons à la Bible
"La Bible comme le centre, revenons au véritable évangile et à la foi correcte"
La Conférence des Leaders Chrétiens (CLF) est une organisation pastorale Chrétienne mondiale et multidénominationnelle établie par des pasteurs du monde entier pour s'unir à la Bible et prêcher le véritable évangile. Depuis son lancement à New York, aux États-Unis, en mars 2017, environ 360 000 pasteurs du monde entier ont rejoint la CLF en trois ans et six mois, et le témoignage de leur changement spirituel renouvelle le monde Chrétien.
Au-delà de la langue et de la race, des associations religieuses et des confessions, les pasteurs de la Conférence des Leaders Chrétiens (CLF), qui ont établi la Bible, la Parole de Dieu dans leur cœur, échangent constamment et prennent l'initiative de sauver les âmes pécheresses en prêchant l'évangile du Christ partout dans le monde.
La Conférence des Leaders Chrétiens (CLF) se poursuit régulièrement dans plus de 80 pays chaque année, y compris des conférences internationales telles que la "Conférence Mondiale de la CLF de New York", la "Conférence de la CLF de Hong Kong, Asie" et la "Convention Mondiale de Corée", ou de conférences continentales. Elle ouvre ainsi un lieu d'échange et d'unité pastorale.
■ Pasteur Ock-Soo PARK, Fondateur de la CLF, Ouvre de Nouveaux Horizons dans les Missions Monde.
Le Pasteur Ock Soo PARK, fondateur de la CLF, fondateur de la Mission de la Bonne Nouvelle, est un pasteur actif dans le monde.
En mai dernier, le « Séminaire Biblique en Ligne » dirigé par le Pasteur Ock Soo PARK, avait donné un bon exemple avec le changement de mode du culte occasionné par la pandémie du Covid-19, ce qui a été relayé dans 94 pays et a conquis le cœur des chrétiens du monde entier.
Il y a un décalage horaire à Kiribati, une petite nation insulaire du Pacifique Sud, à New York, au Kenya en Afrique et en Espagne du côté de l'Europe, mais avec la Télévision, la radio, les ordinateurs et les smartphones, pères, fils, grand-mères et petits-enfants se sont réunis pour ouvrir la Bible ensemble.
Beaucoup de ceux qui ont écouté l'évangile à travers ces séminaires bibliques en ligne, parlent d'une seule voix en disant que bien qu'ils aient des difficultés avec Covid-19, ils ont retrouvé de l'espoir dans leur cœur.
■ Conférence mondiale CLF en ligne
Le jeudi 25 juin, la Conférence Chrétienne en ligne (Christian Leaders Fellowship ou Conférence des Leaders Chrétiens) s'est tenue pendant trois (03) jours pour les dirigeants Chrétiens du monde entier.
La « Conférence Mondiale de la CLF » tenue chaque année en Mars à New York a été reprogrammée pour être faite en ligne à cause de la pandémie du Covid-19, et des dirigeants Chrétiens de 90 pays du monde entier y ont assisté malgré le Covid-19.
Le thème de la conférence est « REVENEZ ».
Sur le thème de l'évènement, "Un retour "dans lequel tous les Chrétiens et les dirigeants Chrétiens du monde appellent à nouveau le nom de Dieu, " un retour "qui insuffle une nouvelle vie de l'évangile aux familles et aux églises, et à tous dans la société. Un « retour » dans la raison de l'existence d'une véritable église qui apporte les bénédictions de Dieu à tous ; explique un responsable du bureau d'une filiale de la CLF.
En plus des communications du pasteur Ock Soo PARK le principal conférencier, ce programme a été préparée avec divers modules de cours sur les problèmes des dirigeants Chrétiens et la vision d'une nouvelle mission.
Le programme principal de la conférence en ligne peut être regardé gratuitement sur les pages « CLF WCA » de YouTube et « CLF WCA » de Facebook et traduit simultanément en six langues dont le coréen, l'anglais, le français, l'espagnol, le russe et le chinois. Pour plus d'informations, contactez le site Internet de CLF (www.clf.ac) ou appelez la Branche de la CLF au Bénin (+229 9750 7448).
Témoignage d'un participant :
« Bonsoir je suis le pasteur AHYI Gabriel du Ministère Evangélique Amour de Dieu résidant à Comè.
Je rends grâce à Dieu pour la conférence mondiale de la CLF. Durant ces trois (03) jours, j'ai été éclairé en ce qui concerne le péché et le pardon des péchés. Je me culpabilisais et continuais à demander pardon à Dieu pour mes péchés. Mais au cours de ces trois jours, j'ai compris que Christ a effacé nos péchés une fois pour toute à travers l'œuvre qu'il a accompli à la croix. Je rends grâce à Dieu pour la vie de son serviteur le Pasteur PARK, qu'il ne cesse d'utiliser pour éclairer le monde entier. »
A travers un communiqué publié sur le site officiel du gouvernement, l'exécutif béninois a exprimé sa reconnaissance et celle du peuple béninois à l'armée et de la police républicaine, principales forces de défense et de sécurité, garantes de la protection des biens et des personnes au Bénin pour leurs efforts dans la riposte à la pandémie du Coronavirus.
Selon ce communiqué, ces différentes forces ont joué un rôle prépondérant dans la mise en œuvre de la stratégie de riposte contre le Coronavirus à savoir, contrôler, sensibiliser et veiller à l'application des consignes officielles mais également de réprimer les éventuels contrevenants. De même, pour ce qui concerne la mise en place ou de la levée du cordon sanitaire, des contrôles aux différentes frontières, des contrôles relatifs au port du masque, du respect de la distanciation, du respect des consignes officielles en tous lieux (plages, villes, campagnes, bars, lieux de culte, commerces, etc,), les forces de défense et de sécurité se sont évertuées à assurer avec abnégation, rigueur et professionnalisme les missions à elles confiées, a félicité le gouvernement.
Tout en leur témoignant la reconnaissance de tout le peuple béninois, il les a rassurées de son soutien indéfectible dans l'exécution des missions délicates qui leurs sont confiées.
F. A. A.
Pour avoir violé une mineure de 15 ans le sieur Apollinaire G a été condamné ce lundi 29 juin 2020 à 5 ans de réclusion criminelle par le tribunal de Cotonou statuant en matière criminelle.
Selon ‘'La Voix de la Justice'', les faits remontent en 2017 au quartier Akpakpa Enagnon à Cotonou. La nommée H. R. T, âgée de 15 ans, « chargée par sa mère de vendre du fromage et de l'akassa dans son quartier, a été attirée par le nommé Apollinaire ». L'accusé après avoir promis le mariage à la mineure a réussi à avoir des rapports sexuels avec elle sans son consentement.
Au cours de l'audience à huis clos, Apollinaire G n'a pas nié les faits qui lui sont reprochés. Plaidant coupable, le conseil de l'accusé a demandé la requalification des faits de viol sur mineure en atteinte sexuelle sur mineure de 15 ans. Il a également plaidé pour que son client soit condamné au temps passé en détention.
Me Taïrou Mouniratou, avocate de la partie civile, a demandé au tribunal de retenir l'accusé dans les liens d'accusation de viol sur mineure. Elle ne s'est pas constituée partie civile. Le ministère public a requis une peine de 5 ans de réclusion criminelle.
Dans son verdict, le Tribunal de Cotonou a condamné l'accusé 05 ans de réclusion criminelle et aux frais. Il retourne en prison pour purger sa peine.
A.A.A
L'ancien international français d'origine béninoise, Sydney Govou a été élu conseiller municipal de Saint-Didier-au-Mont-d'O en France.
18e sur la liste de la nouvelle maire Marie-Hélène Mathieu, l'ancien joueur de l'OL va siéger au sein du Conseil municipal de la commune de Saint-Didier-au-Mont-d'Or, dans la métropole lyonnaise. Plusieurs autres anciens sportifs ont été également élus.
Sydney Govou âgé de 40 ans a évolué au poste de milieu offensif ou d'ailier au FC Limonest. Il passe l'essentiel de sa carrière professionnelle à l'Olympique lyonnais, avec lequel il remporte le championnat de France à sept reprises de 2002 à 2008. Le footballeur remporte la Coupe des confédérations en 2003 et participe à la Coupe du monde de 2006 avec la France.
Devant les députés ce lundi 29 juin 2020, le ministre de l'Economie et des Finances, Romuald Wadagni a apporté des clarifications sur l'endettement du Bénin. C'était à l'occasion du débat d'orientation budgétaire (Dob) sur les orientations économiques et budgétaires du projet de loi de finances (Plf) gestion 2021, conformément aux dispositions de l'article 59 de la loi organique N° 2013-14 du 27 septembre 2013 relative aux lois de finances.
Au cours du débat, les députés de la 8è législature ont fait part de leurs inquiétudes relatives à l'endettement du pays. Selon le ministre Romuald Wadagni, « par rapport au débat sur la dette, il faut toujours se poser ces deux questions : à quoi ça sert et quelle est la qualité de la dette ? ».
« Depuis 2016, il y a un fait que nous essayons de respecter. C'est-à-dire que sur 100% de dépenses, on s'assure que ce que nous dépensons pour faire fonctionner l'État, payer les salaires, payer les pensions, faire fonctionner les institutions ne dépasse pas la moitié du budget mais que l'autre moitié soit consacrée à l'investissement », a expliqué l'argentier national.
D'après Romuald Wadagni, globalement quand l'Etat dépense 100 FCFA au moins 50 vont à la création de richesses, à de l'investissement et le montant de la dette en nominal est inférieur aux taux d'investissement. « Ça veut dire que quelque part, nous ne prenons pas de la dette pour payer les salaires, ou faire des dépenses générales », a-t-il déclaré.
Sur la qualité de la dette, il souligne que le Bénin en 2018 a été le premier pays à faire l'opération de reprofilage.
Selon l'argentier national, « il faut raisonner en termes de net ». « Ce n'est pas le montant qu'on regarde, le Bénin vient de lever encore 10 milliards, 50 milliards... Quelle est l'évolution nette parce que bien souvent, nous faisons des opérations pour améliorer la qualité de notre portefeuille de dettes. Nous allons chercher de l'argent moins cher pour rembourser les dettes qui sont là et qui sont chères », soutient le ministre de l'Economie et des Finances.
A un moment donné, poursuit-il, nous avons révisé le PIB, le paramètre qui évalue combien de volume de richesse est produit au plan national, donc avec la nouvelle méthode, on a revu tous les calculs. « En 2015, on avait à peu près 6700 milliards de PIB. En 2019, nous sommes arrivés à 8400 milliards de PIB. Ça veut dire que sur 4 ans, on a créé 1700 milliards de plus de richesse », informe-t-il.
Le ministre souligne que : « s'il y a crise, nous allons prendre dans la dette pour régler les dépenses de l'État au besoin parce que n'oublions pas que derrière les chiffres, il y a des hommes et nous avons à cœur de veiller à ce qu'un épanouissement de la population soit assuré. On a eu trois années pour vraiment ajuster et on était bien lancé pour mettre l'accent sur le social››. ‹‹ Malgré le contrecoup de la Covid19, vous avez vu les mesures que nous avons annoncées, il y a deux semaines (74 milliards). Nous avons encore d'autres mesures qui vont venir parce qu'à la fin, c'est le bien-être des populations que vous représentez qui compte », a conclu Romuald Wadagni devant les députés.
A.A.A
Malgré la crise du Coronavirus qui secoue le monde, et la fermeture des frontières nigérianes, l'économie béninoise se porte bien. Après Standard &Poor'S, l'agence Bloomflied vient d'en donner la confirmation avec la notation A-stable.
Le ministère de l'économie et des finances, à travers un communiqué ce lundi 29 juin 2020 a porté l'information à la connaissance du public. Cette performance de l'économie est le résultat des réformes engagées par le gouvernement du président Patrice Talon. Selon Bloomfield, le dynamisme de l'économie béninoise et l'accélération de la croissance du Produit intérieur brut (Pib) à +6,9%, ainsi que la bonne gestion par le gouvernement de la crise du Covid-19, confirment la solidité de l'économie béninoise au plan international et régional.
F. A. A.
Deuil au sein du parti Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE). Le coordonnateur du parti pour la 5è circonscription électorale Luc Sinzogan a rendu l'âme ce lundi 29 juin 2020 au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou.
M. Sinzogan qui a pris part au dialogue politique national en tant que rapporteur et représentant de l'opposition au sein du Présidium est décédé des suites d'une courte maladie.
Le Bénin compte désormais une vingtaine de décès du coronavirus selon le point fait par les autorités sanitaires. A la date du lundi 29 juin 2020, le Bénin a un total de 1199 cas confirmés à l'infection au Covid-19, 845 personnes sous traitement, 333 guéries et 21 décès.
A.A.A
A quelques mois des élections présidentielles de 2021, certaines personnalités n'ont pas caché leurs ambitions de siéger dans le fauteuil présidentiel. Au moins 05 potentiels candidats ont déjà clairement exprimé leur ambition de succéder à l'actuel locataire de la Marina.
Parmi les prétendants au fauteuil du Palais de la Marina, il y a Simon Narcisse Tomètin, Benoît Illassa, Rogatien Alapini. Ces trois personnalités via des publications sur leurs pages Facebook, ont exprimé leurs ambitions de briguer la magistrature suprême en 2021. Mais avant eux, Ferdinand Lawson et Bertin Coovi avaient déclaré également leurs candidatures à cette élection.
En dehors de ceux-ci, le constitutionnaliste Joël Aïvo, ancien directeur de la Faculté de droit et de sciences politiques de l'Université d'Abomey-Calavi multiplie depuis un moment les contacts avec les populations dans certaines régions du pays.
Des sources concordantes renseignent que c'est sur lui que les partis opposés au régime du président Patrice Talon comptent porter leur choix.
A toutes ces candidatures, s'ajoute celle de Laurent Gnacadja. L'ex maire de Glazoué serait entrain de fédérer les énergies autour de sa candidature.
A noter que jusqu'à cette date le président sortant Patrice Talon n'a pas encore dit son mot quant à sa participation ou non à cette élection. Le chef de l'Etat garde toujours le suspens. « J'aviserai », répond-il à chaque fois que la question lui est posée.
F. A. A.
Le président de l'Assemblée nationale était sur le plateau de la Télévision nationale dans la soirée de ce lundi 29 juin 2020 pour une émission spéciale consacrée à sa première année de présidence du parlement béninois. Durant les échanges avec les journalistes, Louis Vlavonou a donné son avis sur les lois votées, la configuration actuelle de la classe politique, et les élections législatives de 2019.
« Je suis absolument fier et très fier même de présider cette huitième législature », a déclaré Louis Vlavonou. Pour lui, le fait que deux partis politiques se retrouvent aux dernières élections législatives est une situation qui n'était pas prévue. A en croire le président de l'Assemblée, au moment où les parlementaires mettaient en chantier ces différentes lois, si tous les acteurs de la septième législature avaient prévu qu'il y aurait eu deux partis, on n'aurait pas voté ces lois, a-t-il expliqué. Ce qui selon lui, voudra dire que « ce n'était pas prémédité, ce n'était pas des lois qui allaient contre les intérêts de quelqu'un ». « Et tout le monde était d'accord qu'il fallait réformer la classe politique et le système partisan », a-t-il ajouté.
Louis Vlavonou a souligné que ce n'était pas « une préméditation soit de l'exécutif ou soit des députés eux-mêmes qui pensaient qu'il y aurait deux partis politiques aux élections législatives ». Maintenant que nous sommes face à cette situation, qu'est ce qu'il fallait faire ?, s'est-il interrogé indiquant que le pays avait le choix entre deux cas. « Tomber dans un plan qu'on pourrait dire « Scénario Wahala », ou alors un plan où on va dire c'est « Alafia », a-t-il confié. A l'en croire, « le ‘'Wahala'' conduisait nécessairement à un vide juridique et institutionnel. Pas d'Assemblée puisqu'on nous disait, il faut revenir à l'ancien, il faut dissoudre etc. », ce qu'il fallait à tout prix éviter.
« Tout ceux qui crient que ce sont des élections exclusives avaient voté ces différentes lois », a rappelé Louis Vlavonou ajoutant que c'est un seul député qui s'était abstenu à l'époque. Pour lui, « tout le monde était d'accord que c'était une nécessité ». « Sans parlement, que deviendrait notre pays ? », s'est interrogé le président de l'Assemblée nationale précisant qu'il fallait quand même un parlement « même si ce n'est pas le parlement qu'aurait souhaité avoir tout le monde ».
M. Vlavonou dit préférer que les institutions de l'Etat fonctionnent. « Sans fonctionnement des institutions de l'État, c'est la porte ouverte à toutes les dérives », a-t-il indiqué.
Les violences survenues lors de ces élections selon lui, sont « des violences suscitées et organisées ». « C'est différent d'une violence qui est l'objet d'une révolte, d'une révolution. Il faut bien faire la nuance. Il ne s'agissait pas d'une révolution », a précisé le président du parlement béninois.
Reconnaissance de la communauté internationale
Face à la crise née de ces élections, le premier défi relevé par le parlement qu'il préside était de faire en sorte que ce parlement soit reconnu par les grandes chancelleries internationales, et qu'il soit accepté des instances internationales. « C'est grâce à nos actions que nous avons reçu presque toutes les chancelleries ici dans cette même salle. Nous avons reçu disons toutes les confessions religieuses pour nous encourager. Nous avons reçu les sages et notables, les chefferies traditionnelles. Ils sont tous venus nous encourager », s'est réjoui Louis Vlavonou. « Ce n'est pas la huitième législature qui a voté le code électoral qui nous a conduit aux élections législatives décriées. Mais plutôt la législature à laquelle ont siégé ceux qui parlent d'exclusion aujourd'hui. C'est vrai qu'ils n'étaient pas majoritaires mais ils pouvaient s'abstenir de voter », a-t-il clarifié.
Selon le président de l'Assemblée nationale, le Nonce apostolique, les ambassadeurs du Japon, et de la Chine près le Bénin ne l'aurait pas invité, si cette législature posait problème. Pour lui, il s'agit d'une « reconnaissance du Scénario Alafia », car nul n'aurait voulu que le pays tombe dans la violence.
Selon le président Louis Vlavonou, lorsque le peuple gagne à travers les lois votées, on n'a plus rien à reprocher, sauf ceux qui ont des intérêts égoïstes à défendre.
Aujourd'hui, poursuit-il, le peuple est content, les parents d'élèves sont contents de voir les enfants aller à l'école, de voir les examens se dérouler à bonne date. Des faits qui dénotent de la teneur des lois votées par le parlement qu'il préside, et témoignent de ce qu'ils sont « sur la bonne voie ».
Selon Louis Vlavonou, il y a des paramètres qui ne trompent pas. « Si l'Assemblée fonctionne, la qualité des lois que l'Assemblée vote. Deuxième chose, l'application sur le terrain », a-t-il expliqué s'interrogeant sur la participation de ces lois au développement du pays. « Si vous avez ces paramètres, vous êtes sûr que vous êtes sur la bonne voie », a indiqué Louis Vlavonou.
Pour lui, lorsqu'on prend les lois qui sont votées, on peut voir que ce sont des lois qui portent le pays vers le développement et la stabilité politique ; vers le développement des infrastructures sociocommunautaires et apaisent le pays.
Dan le cadre de cet anniversaire, Louis Vlavonou a organisé une messe d'action de grâce à Porto-Novo ce dimanche 28 juin 2020.
F. A. A.
Amnesty International dans un rapport publié le 22 juin dernier a affirmé sans preuve que le journaliste Omar Radi a été espionné par l'État marocain. Le 26 juin dernier, les autorités marocaines ont réfuté catégoriquement, ces allégations infondées et demandé à l'ONG des preuves dans une réponse officielle détaillée.
Amnesty International doit fournir dans les plus brefs délais les preuves ‘'de piratage par les autorités du royaume du téléphone d'Omar Radi'', un journaliste et militant des droits humains marocain.
Selon une enquête d'Amesty international, le Maroc a piraté le téléphone du journaliste Omar Radi avec un logiciel espion, ‘'Pegasus'' développé et commercialisé par NSO Group, une société israélienne.
L'organisation non gouvernementale a notifié dans son rapport que les échanges vocaux, messages texte, navigation internet, mails, du journaliste ont été surveillés par l'Etat marocain.
« Les éléments mis au jour par Amnesty International indiquent que le gouvernement marocain est resté un client actif de l'entreprise et qu'il a pu continuer d'utiliser la technologie de celle-ci pour suivre, intimider et réduire au silence des militant(e)s, des journalistes et ses détracteurs », peut-on lire dans le rapport d'Amesty international.
L'Ong dans son rapport n'a pu certifier que le Maroc utilise cette technologie. A la page 5, Amesty international utilisant le conditionnel pour avancer ses arguments notifie : « Il ressort des attaques qui ont ciblé par le passé des défenseurs des droits humains au Maroc et qui ont été examinés par Amnesty International que des outils de NSO Group ont pu servir à mener des attaques par injection réseau (…) l'hypothèse selon laquelle les outils d'injection réseau de NSO Group auraient été utilisés, apparaît de plus en plus solide ».
L'Organisation en octobre 2019 avait publié un premier rapport intitulé : « Maroc, des défenseurs des droits humains ciblés par un logiciel espion de NSO Group ». Dans ce rapport, elle affirme toujours en employant le conditionnel que le téléphone de l'historien Maati Mounjib aurait fait l'objet d'un programme malveillant exécuté à partir de début 2018 jusqu'au début 2019.
Entre 2017 et 2018, Amnesty International affirme avoir reçu des messages SMS contenant des liens malveillants associés à NSO Group”. Or elle soutient aussi que le Maroc est en possession du logiciel depuis 2018.
Aucune preuve de l'implication des services de sécurité marocains
Dans son rapport, Amnesty International n'apporte aucune preuve de l'implication des services de sécurité marocains dans l'utilisation de cette technologie. NSO Group n'a « ni infirmé ni réfuté l'affirmation selon laquelle les autorités marocaines auraient utilisé la technologie développée » lorsque l'organisation lui a demandé de réagir aux révélations de son rapport sur Omar Radi.
Amnesty International a entamé ses recherches sur NSO Group depuis août 2016 à travers Citizen Lab, qui dans un rapport relève « les activités de la société israélienne à laquelle les Emirats Arabes Unis, l'Arabie Saoudite, le Mexique et le Panama auraient alors fait appel pour “espionner” leurs dissidents ».
L'organisation cherchait depuis peu à mettre fin au système de surveillance de NSO Group. En mai 2019, elle a annoncé le dépôt d'un recours devant un tribunal du district de Tel Aviv pour que les activités de la société israélienne soient contrôlées. Des militants d'Amnesty International accusent NSO Groupe d'avoir ciblé au moins 24 journalistes dans le monde avec son logiciel Pegasus notamment aux Emirats Arabes Unis, en Arabie Saoudite ou encore au Mexique.
Le bras de fer entre Amnesty International et NSO Group dure donc depuis des années.
Le journaliste Omar Radi qui a acquis une notoriété en mars dernier à la suite de sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis pour avoir critiqué un juge sur Twitter serait-il utilisé par Amnesty International dans sa guerre contre la société israélienne NSO Group ?
Dans tous les cas, l'organisation est sommée de fournir dans les plus brefs délais, les preuves de ses allégations.
A.A.A.
Triste constat à Cotonou en cette saison pluvieuse. Des quartiers de la ville se retrouvent sous les eaux de pluies.
Les quartiers Agla, Fidjrossè, Sainte-,Rita, Zogbo, Fifadji, Djidjè etc sont inondés. Les dernières pluies ont rendu les voies impraticables. Il est désormais difficile pour les usagers de circuler dans la ville de Cotonou.
Le problème de l'inondation dans les villes du Bénin demeure un défi à relever par les autorités municipales.
Cependant on oublie que depuis 1916 que les premières inondations ont été enregistrées au Bénin, aucune mesure n'est prise. Chaque génération préfère filer la patate chaude à la nouvelle ainsi de suite.
Votre journal publie quelques images des inondations à Cotonou en 1916
Lancé au Bénin depuis le 15 juin 2020 Wiki Loves Earth, littéralement « Wiki aime la Terre », donne la possibilité aux amoureux du huitième art de photographier la Terre.
C'est un concours photographique international se tenant annuellement en mai, dont l'objectif est de mettre en valeur le patrimoine naturel. Les participations au concours se font par pays, organisées en général par les associations Wikimédia locales. Au Bénin, c'est l'association Wikimédia Bénin qui l'a lancée à travers un webinaire depuis le 15 juin 2020.
L'objectif principal c'est d'encourager la valorisation des zones naturelles protégées à travers des projets Wikimédia (principalement l'encyclopédie Wikipédia et sa médiathèque Wikimedia Commons). Il s'agit de prendre entre autres des photos de parcs nationaux, des réserves et jardins zoologiques, de la faune, de la flore, des montagnes, des fleuves, des lacs, des grottes du Bénin afin de les rendre visibles dans Wikipédia.
Pour cette neuvième édition avec plus de 32 pays participant dont le Bénin est à sa deuxième édition, les compétiteurs Béninois ont déjà suivi trois sessions en ligne qui leur a permis de mieux comprendre comment participer au concours. Ils savent désormais importer des photographies des zones naturelles prises par les participants eux-mêmes quelle que soit la date de prise de vue à condition qu'elles soient placées sous une licence libre.
Les prix à gagner
Sur le plan national
Les lauréats du prix au niveau du Bénin remporteront les dotations suivantes :
Un chèque-cadeau d'une valeur de 100.000 FCFA ;
Un chèque-cadeau d'une valeur de 80.000 FCFA ;
Un chèque-cadeau d'une valeur de 50.000 FCFA ;
Prix spécial
Les dix gagnants recevront chacun une affiche de leur photo avec le logo officiel du concours. les dix meilleures photos seront également exposées sur nos canaux digitaux
Sur le plan international
En septembre 2020, le jury international choisira les meilleures photos (de toutes les photos du concours) parmi lesquelles 10 photos Béninoises feront partie de la liste. Le gagnant de la première place Amazon pour la même valeur. Les autres prix internationaux étant des bons d'achat Amazon.
En raison de la situation liée à la pandémie du COVID 19, toutes nos activités sont en ligne en respect des mesures barrières et recommandations du gouvernement.
Fouillez vos appareils photos, vos smartphones, vos téléphones portables, vos clés usb ou vos disque durs etc..., pour participer au concours Wiki Loves Earth 2020 Bénin jusqu'au 31 juillet 2020 et gagner plusieurs lots.
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