Le Groupe Ecobank confirme aujourd'hui son engagement à soutenir l'élimination du paludisme avec le lancement de l'initiative "Zéro palu, les entreprises s'engagent", en partenariat l'organisation à but non lucratif de communication stratégique et de plaidoyer, Speak Up Africa, basée à Dakar et le Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme, hébergé à Genève par les Nations Unies.
Ce nouveau programme vise à encourager l'engagement du secteur privé dans la lutte contre le paludisme en Afrique. Il vient soutenir le mouvement panafricain « Zéro Palu ! Je m'engage » lancé il y a deux ans aujourd'hui par les chefs d'État africains lors du 31e sommet de l'Union africaine à Nouakchott et mené depuis par l'Union africaine et le Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme.
À travers tous les pays d'Afrique touchés par le paludisme, à commencer par le Bénin, le Burkina Faso et le Sénégal, cette collaboration encouragera les décideurs à accroitre les financements et à mettre en place des réponses plus fortes et plus ciblées en matière d'élimination de la maladie. L'objectif de cette initiative est triple :
• Faciliter la mobilisation de ressources nationales pour un financement durable des programmes de contrôle et d'élimination du paludisme ;
• Engager la contribution des entreprises et des chefs d'entreprise dans la lutte contre le paludisme ;
• Développer ou créer des plateformes de collaboration grâce aux réseaux et aux partenaires de Ecobank.
« Sur le long terme, l'élimination du paludisme permettra d'accroitre la prospérité dans toute l'Afrique, en favorisant une main-d'œuvre en meilleure santé qui pourra stimuler la croissance économique. Le groupe Ecobank se réjouit de travailler conjointement avec Speak Up Africa, le Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme et l'Union africaine dans le cadre de cette initiative "Zéro palu, les entreprises s'engagent", et de pouvoir servir de plateforme pour une action coordonnée contre cette maladie traitable et évitable », déclare Paul-Harry Aithnard, Directeur Exécutif Régional pour la région UEMOA de Ecobank.
Initialement lancée au Sénégal en 2014, la campagne « Zéro Palu ! Je m'Engage » s'adresse aux dirigeants politiques, au secteur privé et aux communautés pour qu'ils prennent des mesures de protection contre le paludisme. La nouvelle initiative continuera d'avancer cette mission. À ce jour, 15 pays du continent ont lancé leur campagne nationale « Zéro Palu ! Je m'engage ».
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime à plus de 10 milliards de dollars les investissements nécessaires pour la mise en œuvre des stratégies nationales de lutte contre le paludisme dans 30 pays africains au cours des trois prochaines années. Toutefois, malgré les efforts déployés par les gouvernements, le financement de la lutte contre le paludisme reste un défi. 2 milliards de dollars supplémentaires par an sont nécessaires pour protéger toutes les populations exposées au paludisme, d'où l'importance d'engager le secteur privé.
« Pour que nous puissions en finir avec le paludisme à l'horizon de la génération actuelle, il est crucial d'accroître les financements de la lutte contre cette maladie, et ainsi protéger toutes les personnes à risque. Le groupe Ecobank montre la voie à suivre avec l'initiative « Zéro palu, les entreprises s'engagent » et présente au secteur privé dans son ensemble une occasion unique de se joindre à la lutte. Accroître l'engagement et les contributions du secteur privé, c'est mobiliser des individus et des ressources pour débarrasser le continent africain du paludisme une fois pour toutes », souligne le docteur Abdourahmane Diallo, Président-directeur-général du Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme.
Le paludisme reste l'une des maladies les plus meurtrières sur le continent, responsable de plus de 400 000 décès rien qu'en 2018. Le paludisme cause des dégâts sanitaires au sein des communautés africaines, mais aussi des dégâts économiques en limitant la croissance et en aggravant la pauvreté de la population active.
S.E. Amira Elfadil Mohammed Elfadil, Commissaire aux affaires sociales de l'Union africaine ajoute : « Nous sommes particulièrement fiers de faire partie du mouvement ‘‘Zéro Palu ! Je m'Engage''. Cette nouvelle initiative est une étape clé dans l'engagement du secteur privé africain en pleine croissance. La lutte contre le paludisme reste l'un des plus grands défis de notre continent, mais nos populations ont fait preuve d'une détermination incroyable pour en finir avec la souffrance et avancer contre cette maladie mortelle mais évitable. Nous espérons que d'autres organisations se joindront à notre mouvement pour soutenir cette noble cause. »
Bien que les investissements dans la lutte contre le paludisme aient contribué à sauver 7 millions de vies et à prévenir plus d'un milliard de cas de paludisme depuis l'an 2000, la pandémie COVID-19 menace désormais ces gains durement acquis. L'OMS estime dans son pire scénario que le nouveau virus pourrait doubler le nombre de décès dus au paludisme en 2020.
« Tout le monde a un rôle à jouer dans l'élimination du paludisme, c'est ce qu'incarne la campagne ‘'Zéro Palu ! Je m'engage''. La participation du secteur privé à la lutte contre le paludisme et à son élimination est essentielle. Le groupe Ecobank est un leader bien placé pour réunir autour de la table davantage de partenaires et de ressources. Ensemble, en créant un solide réseau d'action, nous pouvons faire de l'élimination du paludisme une priorité politique. Nous appelons les entreprises à nous rejoindre dans notre mission pour libérer les communautés du fardeau du paludisme », conclut Yacine Djibo, Directrice exécutive de Speak Up Africa.
À propos de Ecobank Transnational Incorporated
Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI') (www.Ecobank.com) est la société mère du Groupe Ecobank, le premier groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 15.000 personnes au service d'environ 20 millions de clients dans les secteurs de la banque des particuliers, la banque commerciale et la banque de grande clientèle dans 33 pays Africains. Le Groupe possède un agrément bancaire en France et dispose de bureaux de représentation à Addis Abeba en Ethiopie, à Johannesburg en Afrique du Sud, à Beijing en Chine, à Londres au Royaume-Uni et à Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires notamment les comptes bancaires et de dépôt, la gestion de trésorerie, le conseil, les opérations du trading, la négociation des valeurs et la gestion de patrimoine. ETI est cotée en bourse sur plusieurs marchés boursiers à savoir London Stock Exchange à Londres, Nigerian Stock Exchange à Lagos, Ghana Stock Exchange à Accra et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan.
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À propos de Speak Up Africa
Basé à Dakar, au Sénégal, Speak Up Africa est une agence de communication stratégique et de plaidoyer qui se consacre à catalyser le leadership, pour permettre des changements de politiques et accroître la sensibilisation au développement durable en Afrique – particulièrement sur les sujets liés à l'assainissement, la vaccination, le paludisme et les maladies tropicales négligées (MTN).
Pour plus d'informations sur Speak Up Africa :
− Site web : https://www.speakupafrica.org/fr/
− Twitter : https://twitter.com/speakupafrica1
− Facebook : https://fr-fr.facebook.com/SpeakUpAfrica/
− Instagram : https://www.instagram.com/speakupafrica/?hl=fr
À propos de l'Union africaine
L'Union africaine (UA) est une entité qui agit à l'échelle du continent africain et regroupe 55 États membres, tous pays d'Afrique. Elle a été officiellement lancée en 2002 pour succéder à l'Organisation de l'unité africaine (OUA, 1963-1999). Le Département des affaires sociales a pour mission de promouvoir les politiques de l'UA en matière de santé, de main-d'œuvre, d'emploi, de migration, de développement social, de lutte contre le trafic de stupéfiants, de prévention du crime, de sports et de culture. Afin d'atteindre les objectifs de la vision panafricaine d'une Afrique intégrée, prospère et en paix, l'Agenda 2063 a été élaboré comme cadre stratégique pour une transformation socioéconomique et intégrative de l'Afrique à long terme. L'Agenda 2063 appelle à davantage de collaboration et de soutien aux initiatives africaines pour réaliser les aspirations des peuples africains.
Pour plus d'informations sur l'Union africaine :
− Site web : https://au.int/
− Facebook : @AfricanUnionCommission
− Twitter : @_AfricanUnion ; @AmiraDSA
À propos du Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme
Le Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme est la plus grande plate-forme mondiale de coordination de l'action contre le paludisme. Fondé en 1998 sous le nom de Partenariat Roll Back Malaria (RBM), il mobilise des ressources, engage les partenaires à l'action et dégage un consensus entre eux. Le Partenariat rassemble plus de 500 partenaires, dont des pays impaludés, leurs partenaires bilatéraux et multilatéraux de développement, des acteurs du secteur privé, des organisations non gouvernementales, des organisations communautaires, des fondations, des instituts de recherche et des établissements d'enseignement supérieur. Le Secrétariat du Partenariat RBM est hébergé par le Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) à Genève, en Suisse.
− Site web : endmalaria.org
− Facebook : @RBMPartnership
− Twitter : @endmalaria
Le gouvernement béninois a pris toutes les dispositions sanitaires pour la tenue des examens de fin d'année afin de limiter la propagation du Covid-19. A travers un message publié sur sa page Facebook, ce jeudi 02 juillet 2020, le Chef de l'Etat invite les candidats au respect des consignes officielles et leur souhaite une bonne chance.
« L'un de nos grands défis, au début du mandat, était de ne plus avoir d'année blanche et de mettre tout en œuvre afin de garantir aussi bien à nos apprenants, qu'aux enseignants et aux parents d'élèves, des années académiques paisibles », a écrit Patrice Talon.
Selon le Chef de l'Etat, c'est chose possible depuis quelques années grâce à la contribution de tous les acteurs. La crise sanitaire actuelle liée à la Covid-19 poursuit-il ne doit, en aucun cas, nous empêcher de tenir le pari d'une année académique 2019-2020 réussie.
Heureux de ce que, depuis quelques semaines, se tiennent les examens de fin d'année, le président de la République a invité les candidats au calme, à la sérénité et au respect des consignes officielles. Il souhaite au nom du Gouvernement, plein succès, et bonne chance aux candidats.
A.A.A
L'ex maire de la ville de Ouidah, Sévérin Adjovi a été jugé par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Condamné à 07 ans de prison et plusieurs millions d'amende, plusieurs chefs d'accusation pèseraient encore sur lui.
Séverin Adjovi doit des impôts suite à un redressement fiscal effectué en 2007. L'ancien maire de Ouidah aurait engagé une procédure de contestation au tribunal qui a duré jusqu'en 2013, et a perdu tous les procès.
Il aurait écrit aux services des impôts pour signaler la cessation de ses activités alors que la loi prévoit des formalités avant la cessation (paiement des arriérés d'impôts, bilan de clôture, etc.). Ce qu'il n'aurait pas fait alors qu'il continuait d'encaisser des dividendes chez TELECEL.
F. A. A.
En Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020, le gouvernement a adopté plusieurs décrets.
Il s'agit des décrets portant transmission à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, du projet de loi portant autorisation de ratification de la convention portant création de l'Alliance pour le Biodigesteur en Afrique de l'Ouest et du Centre (AB/AOC), adopté à Ouagadougou, le 4 octobre 2018 ; du décret portant nomination des membres du Conseil d'administration de la Caisse nationale de Sécurité sociale ; du décret portant attributions, organisation et fonctionnement du ministère des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle.
F. A. A.
Au détour du Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020, le ministre de la communication et de la poste, Alain Orounla, porte parole du gouvernement s'est prononcé sur la supposée tentative de coup d'Etat manqué de la nuit du 25 au 26 juin dernier.
Dans ses explications, le porte-parole du gouvernement a confirmé l'arrestation d'une dizaine de personnes, qui ont été présentées à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A l'en croire, ces personnes ont été arrêtées pour avoir commis des actes jugés contraires à la paix. Quant à leur implication dans une tentative de coup d'Etat, il dit ne rien y savoir. Selon Alain Orounla, « il appartient au magazine qui a donné cette information de préciser ses sources » afin que l'on puisse situer les responsabilités sur les tenants de cette information. Il est encore trop tôt de lier l'arrestation de ces hommes à une quelconque tentative de coup d'Etat, a expliqué Alain Orounla qui indique laisser la justice aller au bout de l'examen du dossier, afin que chacun soit situé sur les faits reprochés aux personnes arrêtées.
F. A. A.
Le Groupe MTN a annoncé la nomination de nouveaux Directeurs Généraux à la tête de MTN Bénin et MTN Cameroun. (Lire le Communiqué du Groupe)
COMMUNIQUÉ
Dans une interview accordée à la presse, l'entraîneur des Ecureuils du Bénin, Michel Dussuyer a donné son avis par rapport au report de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2021), en janvier 2022.
Pour le sélectionneur des Ecureuils, cette décision n'est pas surprenante en soi puisqu'elle avait déjà été évoquée il y a quelques semaines. A l'en croire, la Confédération africaine de football (CAF) a fait clairement savoir que la CAN se jouerait au Cameroun soit en janvier 2021, soit en janvier 2022. Et à partir du moment où la Fifa a posé comme préalable que seules l'Euro, et l'Uefa auraient le droit de jouer en septembre sur la plage Fifa qui est prévu, et que la CAF n'y aura pas accès, le risque était plus grand de ne pas pouvoir finir les éliminatoires avant une phase finale en janvier, a expliqué Michel Dussuyer. « Cette décision me parait plus sage et raisonnable même si je la regrette, puisque ça nous fait attendre encore un an pour participer à une phase finale », a-t-il confié.
Selon l'entraineur des Ecureuils, le report des éliminatoires au mois d'octobre diffère aussi encore d'un mois supplémentaire ses retrouvailles avec les joueurs. Depuis novembre dernier, informe-t-il, ils n'ont pas eu l'occasion de se retrouver et ça fera bientôt un an que l'entretien et le contact régulier avec les joueurs, manque à tout le monde, lui-même en premier, ainsi que les joueurs qui, selon lui, aimeraient bien venir en sélection.
Pour le sélectionneur national, il s'agira de vite retrouver une cohésion. Il dit ne pas être inquiet par rapport à l'état d'esprit du groupe. « Ils sont capables de se remobiliser », a rassuré l'entraineur soulignant que ce sera des rendez-vous importants comme cela avait été dit, étant donné que les confrontations vont démarrer contre le Lesotho. Pour Michel Dussuyer, il s'agira d'être pleinement concentré sur le sujet. « Le laps de temps est court, forcément ce sera toujours la même chose, les joueurs vont arriver le dimanche soir ou lundi, il faudra enchaîner les deux matchs très vraisemblablement », a-t-il fait savoir indiquant qu'il faudra bien se préparer mentalement par rapport à ces deux prochains matchs de qualification.
F. A. A.
Les prix appliqués sur les intrants de coton au cours de la campagne cotonnière 2019-2020 ont été reconduits pour la campagne 2020-2021. Le gouvernement de convenance avec les acteurs de la filière coton a homologué ces prix en Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020.
Selon le compte rendu du Conseil des ministres, les familles professionnelles de l'Association interprofessionnelle du Coton (AIC) ont convenu de reconduire, au titre de la campagne 2020-2021, les prix de cession des intrants aux producteurs pratiqués au cours de la campagne écoulée. Il s'agit pour ces dernières, d'éviter que les fluctuations intervenues du fait de la pandémie de Covid-19 ne pèsent sur les producteurs. Les prix retenus se présentent comme suit :
Engrais toutes catégories confondues : 240 FCFA le kilogramme, soit douze mille (12 000) FCFA le sac de 50 kg ;
Insecticides coton : 3500 FCFA le flacon pour le traitement de demi- hectare (0,5 ha) ;
Herbicides totaux : 3500 FCFA/litre ;
Herbicides sélectifs : 5000 FCFA/litre.
Dans la même logique et malgré la tendance négative, les familles professionnelles de l'Association interprofessionnelle du Coton ont décidé de maintenir les prix d'achat du coton graine aux producteurs à leurs niveaux de la campagne précédente.
Coton-graine conventionnel du 1er choix : 265 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Coton-graine conventionnel du 2ème choix : 215 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Coton-graine biologique du 1er choix : 318 FCFA/ kg net à payer au producteur ;
Coton-graine biologique du 2ème choix : 258 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Fonctions critiques : 10 FCFA/kg de coton-graine.
Réserve stratégique : 5 FCFA/kg de coton-graine.
Le Conseil des ministres a par ailleurs été saisi de pratiques de mise en place sans contrôle de crédits par les institutions de micro finance au profit des conseils d'administration des coopératives ou de leurs unions. Ce qui crée des surendettements préjudiciables aux activités desdites coopératives et peut, à terme, compromettre leur viabilité, précise le communiqué final de la réunion des membres du gouvernement.
Après avoir homologué les prix, le Conseil des ministres a instruits les membres du gouvernement concernés par le dossier à l'effet de prendre des mesures visant à instituer un mécanisme de consultation de l'AIC par tout établissement financier, dans le cadre de l'octroi de crédits de campagnes agricoles aux producteurs de coton des Coopératives Villageoises de Producteurs de Coton (CVPC). Ils veilleront, en outre, à renforcer le contrôle des intrants aux frontières dans le but de décourager leur bradage organisé de plus en plus par certains responsables desdites coopératives, précise le Conseil des ministres.
F. A. A.
La direction générale de la SBEE par un communiqué en date du 1er juillet 2020 annonce la reprise de ses opérations de recouvrement sur toute l'étendue du territoire national.
La Société Béninoise d'Energie Électrique invite les clients qui détiendraient des factures impayées à la facturation de mars 2020 à se rapprocher des guichets et caisses pour leur règlement, afin d'éviter d'éventuelles mesures de correction.
La SBEE rassure de l'observance des mesures barrières dans les agences afin de limiter la propagation du Covid-19. Elle félicite ses clients qui malgré le ralentissement des activités économiques ont pu s'acquitter du paiement de leurs factures.
A.A.A
Le gouvernement réuni en session ordinaire du Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020 a décidé de la transmission à l'Assemblée nationale, pour examen et vote du projet de loi portant révision de la loi N° 2017-04 du 19 octobre 2017 relatif au Code des Marchés publics en République du Bénin.
Selon le Conseil des ministres, cette réforme se justifie par la volonté d'impulser une nouvelle dynamique à l'exécution des projets d'investissement du Programme d'Actions du Gouvernement ou de ceux portés par des partenaires privés.
‹‹ Elle vise à renforcer la modernisation de l'Administration publique en optimisant notamment les processus de passation des marchés publics avec un impact significatif sur l'amélioration du climat des affaires », précise le Conseil des ministres.
Par ladite réforme, le gouvernement entend intégrer au code, des dispositions de la loi portant promotion des micros, petites et moyennes entreprises (MPME), dans le but de leur faciliter l'accès aux marchés publics, précise le Conseil des ministres.
Il s'agit dans le cadre de la nouvelle loi, de corriger des dispositions qui ne contribuent pas à l'amélioration de la compétitivité des offres mais, qui tendent à les complexifier ou à allonger les délais de passation des marchés.
Les principales modifications contenues dans le projet de loi concernent entre autres, la suppression de l'exigence de production de pièces administratives dans les dossiers de soumission. Celles-ci ne seront plus éliminatoires et la procédure de sélection mettra plutôt l'accent sur les critères techniques et les conditions financières ; à charge pour les administrations fiscale et sociale de déclencher des contrôles à tout moment, sur la base d'informations collectées.
Elle vise la réorganisation de certains processus et l'introduction de dispositions visant la digitalisation afin de réduire les délais des procédures de passation des marchés publics de deux mois au moins.
Ces modifications concernent aussi la clarification et l'alignement des principales méthodes de passation sur les bonnes pratiques recommandées au plan international et par les directives de l'UEMOA ; l'introduction dans la loi, de nouvelles techniques d'achat en vue d'optimiser les processus et d'accélérer l'exécution des projets ; et la révision des dispositions qui contribuent à amplifier les coûts d'accès aux marchés publics.
Il est proposé dans le cadre de cette loi, la suppression des frais d'acquisition des dossiers d'appel d'offres ainsi que celle de la garantie d'offres pour les MPME.
Pour ce qui concerne les autres soumissionnaires, il est prévu la réduction du taux plafond de 3% à 1% du montant prévisionnel du marché et la fixation, au profit des MPME, d'un taux de 20% d'avance sur les marchés publics non soumis à obligation de cautionnement ; la revue des règles d'approbation de marchés des personnes morales de droit public, afin d'assurer une plus grande responsabilisation des organes de gestion, tout en excluant formellement les présidents de conseils d'administration de la fonction de Personne responsable des marchés publics ou d'approbateur desdits marchés ; la clarification à propos des opérations exclues du champ d'application du code des marchés publics. Il est prévu aussi l'introduction, dans la loi, du principe de fixation d'un seuil de dispense des procédures classiques de passation des marchés publics ; l'allègement du code des marchés publics, de certaines dispositions relevant du domaine réglementaire ou d'autres textes de loi, comme la loi portant cadre juridique du partenariat public-privé en République du Bénin.
En adoptant ce décret, le Conseil a instruit les ministres concernés par le dossier, de veiller à son aboutissement puis d'assurer l'application judicieuse de la loi qui en découlera.
F. A. A.
Le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement béninois, Alain Orounla, s'est prononcé ce mercredi 1er juillet 2020 sur la tentative de coup d'État déjouée annoncée par Jeune Afrique.
Selon le porte-parole du gouvernement Alain Orounla, « il appartient au magazine qui a donné cette information de préciser ses sources ». A en croire le ministre, il y a effectivement des compatriotes qui ont été déférés « devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme pour avoir posé des actes contraires à la paix, des actes susceptibles de revêtir la qualification d'acte terroriste ».
Jeune Afrique a signalé « une nouvelle tentative de déstabilisation qui aurait été déjouée au Bénin dans la nuit du 25 au 26 juin ». Le magazine a également précisé « qu'une quinzaine de militaires, parmi lesquels le garde du corps du fils de l'ancien président Mathieu Kérékou, le colonel Montan Kérékou, ont été arrêtés avant d'être présentés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) et mis sous mandat de dépôt.
La CRIET souligne Alain Orounla va nous situer dans les jours à venir.
L'opération de libération des espaces publics entamée depuis la semaine dernière se poursuit dans la zone de Fidjrossè-plage. Les habitations, les hangars et autres constructions situés le long de l'océan sont détruits dans le cadre du « Projet Route des pêches », rebaptisé « Projet de développement de la zone à vocation touristique Cotonou-Ouidah ».
Démolition des bars, paillotes et bungalow à Fidjrossè Plage. Le déguerpissement qui se fait ''cas par cas'' ne concerne pas encore les autochtones, qui sont pour la plupart des pêcheurs installés sur le long de l'océan depuis des années. Elle a débuté par la destruction des paillotes et bungalows. Les gérants des bars sont également concernés par l'opération de déguerpissement.
« Parmi les propriétaires des bars, il y a aussi des gens qui payaient des redevances à la mairie. Si nous venons les casser maintenant, c'est injuste. Donc on les laisse de façon provisoire et il y aura une étude particulière pour eux », a expliqué une source de la préfecture.
A l'en croire, l'Etat a prévu un cahier des charges pour ceux qui veulent vraiment construire le long de la route des pêches. Ils devront se conformer à un modèle. Les occupants actuels seront maintenus à leur emplacement s'ils remplissent les conditions.
Selon les propriétaires de bars et de restaurants rencontrés sur les lieux « tous ceux qui sont ici savent qu'ils doivent partir ». Ils ont été informés depuis longtemps de la nécessité de libérer ces espaces.
En ce qui concerne les autochtones, « l'Etat va aménager un endroit pour eux avant de les déguerpir ». L'objectif de cette opération de déguerpissement est d'assainir la zone afin de mettre en exécution le plan de développement touristique.
Aménagement d'infrastructures touristiques adéquates
Dans le cadre du « Projet Route des pêches », le gouvernement a retenu la création de zones d'aménagement concerté dans le périmètre afin d'assurer l'adéquation des constructions environnantes avec la vocation du site. Le but est de construire, d'aménager des infrastructures touristiques adéquates répondant aux normes universelles le long du Littoral à partir de Fidjrossè dans la municipalité de Cotonou, à environ deux kilomètres de l'Hôtel Casa Del Papa dans la commune de Ouidah. Ce qui permettra un développement harmonieux de la zone.
En conseil des ministres le mercredi 29 avril 2020, le gouvernement béninois a approuvé la rectification des coordonnées géographiques de la zone concernée par le « Projet Route des pêches ». Les modifications apportées au projet favorisent et soulagent les populations riveraines. Il s'agit entre autres de la redéfinition du périmètre concerné, le dégel des restrictions induites par le classement de la zone sur certaines propriétés manifestement sans intérêt pour le projet et la préservation des agglomérations et zones de forte densité de population.
Les modifications concernent également des mesures d'aménagement spécifique et des mesures de remembrement.
Akpédjé A. AYOSSO
Quelques images
Les prix appliqués sur les intrants de coton au cours de la campagne cotonnière 2019-2020 ont été reconduits pour la campagne 2020-2021. Le gouvernement et les acteurs de la filière coton ont homologué ces prix en Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020.
Selon le compte rendu du Conseil des ministres, les familles professionnelles de l'Association interprofessionnelle du Coton (AIC) ont convenu de reconduire, au titre de la campagne 2020-2021, les prix de cession des intrants aux producteurs pratiqués au cours de la campagne écoulée. Il s'agit pour ces dernières, d'éviter que les fluctuations intervenues du fait de la pandémie de Covid-19 ne pèsent sur les producteurs. Les prix retenus se présentent comme suit :
Engrais toutes catégories confondues : 240 FCFA le kilogramme, soit douze mille (12 000) FCFA le sac de 50 kg ;
Insecticides coton : 3500 FCFA le flacon pour le traitement de demi- hectare (0,5 ha) ;
Herbicides totaux : 3500 FCFA/litre ;
Herbicides sélectifs : 5000 FCFA/litre.
Dans la même logique et malgré la tendance négative, les familles professionnelles de l'Association interprofessionnelle du Coton ont décidé de maintenir les prix d'achat du coton graine aux producteurs à leurs niveaux de la campagne précédente.
Coton-graine conventionnel du 1er choix : 265 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Coton-graine conventionnel du 2ème choix : 215 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Coton-graine biologique du 1er choix : 318 FCFA/ kg net à payer au producteur ;
Coton-graine biologique du 2ème choix : 258 FCFA/kg net à payer au producteur ;
Fonctions critiques : 10 FCFA/kg de coton-graine.
Réserve stratégique : 5 FCFA/kg de coton-graine.
Le Conseil des ministres a par ailleurs été saisi de pratiques de mise en place sans contrôle de crédits par les institutions de micro finance au profit des conseils d'administration des coopératives ou de leurs unions. Ce qui crée des surendettements préjudiciables aux activités desdites coopératives et peut, à terme, compromettre leur viabilité, précise le communiqué final de la réunion des membres du gouvernement.
Après avoir homologué les prix, le Conseil des ministres a instruits les membres du gouvernement concernés par le dossier à l'effet de prendre des mesures visant à instituer un mécanisme de consultation de l'AIC par tout établissement financier, dans le cadre de l'octroi de crédits de campagnes agricoles aux producteurs de coton des Coopératives Villageoises de Producteurs de Coton (CVPC). Ils veilleront, en outre, à renforcer le contrôle des intrants aux frontières dans le but de décourager leur bradage organisé de plus en plus par certains responsables desdites coopératives, précise le Conseil des ministres.
F. A. A.
Le gouvernement du président Patrice Talon a salué l'engagement des professionnels des médias dans la lutte contre la Covid-19 à travers un message publié sur son site ce mercredi 1er juillet 2020.
Pour le gouvernement béninois, les professionnels des médias sont des acteurs de premier rang. Grâce à ces derniers les informations sur la gestion de la pandémie, les mesures prises et les actions quotidiennes menées parviennent aux populations. Le gouvernement et l'ensemble du peuple béninois témoignent à leur endroit leur reconnaissance.
Touché depuis mars 2020 par la pandémie de la Covid-19, le Bénin fait partie des pays africains ayant un taux d'infection relativement bas. « Cet état de chose est la résultante d'une part de la pertinence de la stratégie de riposte mise en place par le gouvernement, mais également dû à l'efficacité des campagnes de sensibilisation et d'information déployées avec la contribution des professionnels des médias, et autres spécialistes en communication, secteur public et privé confondus », notifie le gouvernement.
Il ajoute que « les professionnels des médias et autres acteurs de la communication au Bénin ne ménagent aucun effort pour informer, éduquer, sensibiliser les populations à travers tous les canaux disponibles (radio, tv, presse écrite, web ).
Le gouvernement invite les professionnels des médias à continuer davantage à jouer avec professionnalisme et dans le respect des mesures officielles, leur partition.
A la date du lundi 29 juin 2020, le Bénin compte un total de 1199 cas confirmés à l'infection au Covid-19, 845 personnes sous traitement, 333 guéries et 21 décès.
A.A.A
Dans le cadre de la généralisation du projet Assurance pour le Renforcement du Capital humain (ARCH), le gouvernement a acquis 5000 lecteurs de cartes électroniques. L'annonce a été faite en Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020.
Selon le Conseil des ministres, la mise en œuvre de la phase pilote du projet ARCH a révélé la nécessité de procéder à l'identification des bénéficiaires par les moyens les plus appropriés, afin d'éviter des fraudes et autres irrégularités préjudiciables à sa pérennité. Selon le communiqué final de gouvernement, les cartes d'assurés distribuées étant électroniques, pour en assurer l'authentification univoque, il est indispensable de recourir à des lecteurs adaptés aux fonctionnalités prévues.
En vue de rendre ce matériel disponible dans tous les centres de santé publics, le Conseil a autorisé l'acquisition de 5.000 lecteurs.
Les ministres assurant la conduite de l'opération de généralisation du projet ARCH, ont été instruits à l'effet d'accomplir toutes les diligences à cette fin.
F. A. A.
En Conseil des ministres ce mercredi 1er juillet 2020, le gouvernement a décidé de la transmission à l'Assemblée nationale pour examen et vote, du projet de loi portant conditions de création, mission, organisation et fonctionnement des organisations interprofessionnelles agricoles en République du Bénin.
Selon le compte rendu du Conseil des ministres, les enjeux associés à ce projet de loi sont relatifs à la gestion concertée des intérêts des différentes familles professionnelles, au financement des organisations interprofessionnelles agricoles et au rôle régulateur que devra jouer l'Etat. Le vote de cette loi selon le gouvernement, consacrera la gestion interprofessionnelle comme modèle d'organisation collective au sein des filières. « Il en découlera la possibilité de mieux prendre en charge la contribution à l'élaboration des politiques, la gestion des relations entre les familles professionnelles, ainsi que la définition et la conduite d'actions collectives visant l'amélioration des performances des filières », précise le Conseil des ministres.
Pour le gouvernement, il s'agit notamment d'assurer une meilleure organisation de la compétitivité, de la gestion des parts de marchés, de l'innovation, de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
L'absence d'une loi sur les organisations interprofessionnelles agricoles constitue un frein à l'exploitation optimale des opportunités nées de la libéralisation et du désengagement de l'Etat des activités industrielles et commerciales.
Le projet de loi transmis au parlement vise donc à combler ce vide en offrant un cadre légal général et cohérent auxdites organisations afin de permettre de mener à bien leurs activités à travers leur reconnaissance par l'Etat.
F. A. A.
Me Maxime Bankolé a été condamné par le juge du tribunal d'Abomey-Calavi dans une affaire domaniale.
Incarcéré le 2 juin 2020, l'huissier Maxime Bankolé écope de 48 mois d'emprisonnement ferme pour complicité d'escroquerie et vente de parcelle à plusieurs acquéreurs. Il a été condamné dans un dossier qui l'oppose à un Chinois.
Cinq avocats ont assuré la défense de l'huissier Maxime Bankolé. Ils envisagent faire appel du jugement rendu par le tribunal.
Me Maxime Bankolé est l'un des huissiers les plus célèbres dans la gestion des affaires domaniales au Bénin.
A.A.A
Les sapeurs-pompiers sont intervenus la semaine écoulée plusieurs fois sur le terrain pour divers sinistres.
Au total, 232 sorties ont été effectuées pour des cas d'accidents, incendies, sauvetage et autres sinistres. Sur ces différentes interventions, 20 décès ont été enregistrés. L'un des accidents ayant enregistré le plus de décès est celui lié à un véhicule SAMU sur l'axe Cotonou - Porto-Novo. Le conducteur ayant perdu le contrôle a renversé deux motocyclistes occasionnant 03 morts, a confié le commandant du groupement Amoussou sur les ondes de Frissons radio.
F. A. A.
La Caisse des Dépôts de Consignations du Bénin a un nouveau directeur financier. Il a nom Monsieur Hontongnon Paulin Hazoume. Il est nommé ce mercredi 1er juillet 2020 en Conseil des ministres après avis conforme de la Commission de Surveillance.
A.A.A
Les villes du Bénin notamment Cotonou et Abomey-Calavi sont inondées suite aux dernières pluies diluviennes. Ces inondations sont liées à l'absence de curage des ouvrages de drainage existants, au sous-dimensionnement ou à l'inexistence de collecteurs dans ces zones et non au projet Asphaltage.
Selon une note de l'Agence du cadre de vie pour le développement des territoires (Acvdt), « le projet Asphaltage n'a pas aggravé le phénomène de l'inondation dans les zones sujettes ces derniers jours à l'inondation ».
L'inondation est en partie liée aux pluies exceptionnelles (250 mm de pluie en 15 jours contre 74 mm pour la même période en 2019) et surtout à l'absence de curage des ouvrages de drainage existants, au sous-dimensionnement ou à l'inexistence de collecteurs dans certaines zones. C'est le cas de la zone de Zogbadjè, située dans le périmètre du site de IITA « où l'inondation est due à un bassin de rétention sous- dimensionné qui déborde au profit des averses exceptionnelles de ces derniers jours ».
Dans la ville de Cotonou, notamment la rue menant de SOBEBRA au carrefour Ciné Concorde, les caniveaux sont hors d'usage et inopérantes. Aussi, la rue menant du carrefour Agontinkon vers le quartier Ste Rita, la zone de PTT Gbégamey, les quartiers en lisière du lac Nokoué ou de la lagune de Cotonou sont-elles des zones critiques et vulnérables à l'inondation.
A en croire l'Agence du cadre de vie pour le développement des territoires, ces zones seront assainies grâce à la phase B du projet Asphaltage et au programme d'assainissement pluvial dont le démarrage des travaux est imminent.
En cette saison pluvieuse, il est noté de difficultés de sorties d'eau de certaines habitations du fait de l'aménagement réalisé par le projet Asphaltage. « Il s'agit des habitations en contre-bas par rapport au niveau de la voirie réalisée.
Ces situations qui ne sont pas du fait d'une erreur de conception sont liées à des contraintes techniques (nécessité de caler le niveau de la voirie hors d'eau, nécessité de se raccorder sur des caniveaux existants etc) », explique l'Acvdt. Il est prévu à cet effet, un accompagnement technique pour aider les riverains concernés à mettre en œuvre des solutions adaptées à chaque situation au cas par cas.
Programme d'Assainissement Pluvial
Dans le but de réduire le phénomène d'inondation, le gouvernement de Patrice Talon a également prévu le Programme d'Assainissement Pluvial. A Cotonou, le programme concerne la construction de 54 km d'ouvrages de drainage d'eau pluvial sur plus de 70% du territoire de Cotonou (200 Milliards de F CFA d'investissement).
Le Programme d'Assainissement Pluvial prend également en compte 8 villes secondaires (100 km de collecteurs, 243 milliards d'investissement).
A travers le projet asphaltage, près de 200 km de voirie aménagées et plus de 420 km de caniveaux ont été construits pour la phase A. La mise en œuvre du projet a permis d'améliorer les conditions de mobilité dans les villes bénéficiaires.
A.A.A