Selon Onzemondial.com, le club londonien aurait déjà déterminé ce montant : 110 millions d’euros. Sous contrat avec Chelsea jusqu’en 2021, N’Golo aurait tapé dans l’œil de trois clubs européens : le Barça, le Real Madrid, et le Paris Saint-Germain. Des clubs aux moyens tout sauf limités, qui pourraient donc faire une bonne affaire dès cet été.
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En tant que membre de la FFF, Jean-Michel Aulas était en Russie pour accompagner l’équipe de France jusqu’à son sacre en Coupe du monde. Pour le président de l’Olympique Lyonnais, c’était aussi l’occasion de soutenir ses anciens et actuels joueurs comme Nabil Fekir, qui a parfaitement rempli son rôle de remplaçant. En effet, le milieu offensif a répondu présent à chaque entrée en jeu. De quoi rendre fier son supérieur qui lui a rendu hommage dans les colonnes de Paris Match, avec un petit rappel sur son choix en faveur des Bleus au lieu de l’Algérie: «Nabil Fekir, c’est le mélange du travail, de l’altruisme et d’un pied gauche exceptionnel. Le joueur s’est fait lui-même, toujours soucieux de ses proches, de sa famille. En pleine compétition, à Istra, ce chef de clan me demande des nouvelles : son frère Yassin a signé son premier contrat chez nous. (…) Il aurait pu opter pour la sélection nationale algérienne. Il est aujourd’hui au plus haut niveau avec les Bleus », a souligné Aulas, qui avait incité son joueur à rejoindre la sélection française en 2015 rapporte Foot01.com.
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Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja, a appelé samedi au Caire (Egypte) l’Organisation des nations unies (ONU) à assumer ses responsabilités historiques et légales pour protéger le peuple palestinien sans défense de la barbarie de l’armée israélienne.
« Le terrible massacre commis par l’occupant israélien contre des manifestants palestiniens sans défense qui militent dans la bande de Gaza pour leur droit au retour dans leur pays et terre fait preuve encore une fois de la barbarie israélienne et la poursuite par l’occupant des pratiques d’agression contre les civiles palestiniens en faisant fi à la communauté internationale et au processus de
Ainsi s’est exprimé M. Bouhadja dans une allocution lors d’une réunion d’urgence de la 28e session extraordinaire de l’Union parlementaire arabe (UPA) consacrée au débat de la souffrance du peuple palestinien à Gaza et de tous les territoires palestiniens occupés. Il a appelé, à ce propos, les Nations Unies à « assumer ses responsabilités historiques et légales pour la protection du peuple palestinien d’une entité qui utilise le terrorisme d’État et recourt à toutes formes de génocide et de crimes contre l’humanité d’autant qu’elle menace la vie, la dignité et l’identité du citoyen palestinien« .
Le président de l’APN a réaffirmé l’importance de renforcer et d’ancrer « la dimension populaire » dans le processus de l’action commune arabe et d’élaborer une vision unifiée devant représenter les positions et aspirations des peuples envers les grandes questions à leur tête celle palestinienne qui est centrale et essentielle pour la nation arabe et tous les peuples épris de liberté. Le même responsable a appelé les représentants des pays arabes à exprimer « verbalement et avec des actions« , leur solidarité totale avec le peuple palestinien, ainsi que leur soutien et leur contribution à l’édification de ses capacités et l’unité de ses rangs afin qu’il puisse poursuivre son combat légitime.
Il a souligné par ailleurs la nécessité pour les parlementaires, que ce soit dans un cadre bilatérale ou multilatérale de multiplier les efforts politiques et les actions de solidarité avec la Palestine et pour protéger le peuple palestinien de la barbarie israélienne afin qu’il puisse établir son État souverain. Il a également appelé les palestiniens à la nécessité d’unir leurs rangs, de mettre de côté leurs divergences, et à poursuivre la lutte jusqu’à l’établissement d’un Etat palestinien indépendant, insistant sur le fait que la question palestinienne « demeure toujours une cause centrale et figure parmi les principales priorités« .
À cette occasion M.Bouhadja a rappelé ce que représente la question palestinienne pour le peuple algérien, qui est fidèle à ces convictions concernant la liberté et son soutien aux questions justes à travers le monde, soulignant que la Palestine restera sa question centrale, avec une unanimité auprès de toutes les catégories de la société civile algérienne et auprès de toute la classe politique. Il a mis l’accent par ailleurs sur la position de l’Algérie constante et sa solidarité avec les frères palestiniens en faveur de l’établissement d’un État palestinienavec Al-Qods comme capitale, afin de contribuer au renforcement de la sécurité et de la paix dans le monde.
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Un dossier visant à classer patrimoine culturel national les vieux ksours de M’doukal, situés à 130km de la ville de Batna est en cours d’élaboration au niveau de la direction de la culture de la wilaya.
Le dossier sera élevé à la commission nationale des biens culturels avant la fin de l’année en cours, a ajouté le directeur du secteur Omar Kebour, indiquant que des visites de terrain vers ces ksours ont été organisées au profit des spécialistes pour effectuer des relevés.
Les services concernés de la direction de la culture attendent à ce que ce village soit considéré, après sa classification, secteur sauvegardé au regard de son importance architecturale, archéologique, historique et touristique, ses nombreuses zaouïas et les nombreux savants qui en sont originaires dont Salah ibn Mohamed Zouaoui qui a enseigné au Caire et à Médine jusqu’à sa mort en l’an 839 de l’hégire, le chikh Abdelkader ibn Belyouz mort à Damas en 1936 et le défunt moudjahid, médecin et écrivain Dr Ahmed Aroua.
Les Ksours de M’doukal, un monument touristique vieux de 19 siècles, demeurent animés à ce jour et plusieurs de leurs habitations sont occupés de même que leur vieilles mosquée où les cinq prières quotidiennes sont toujours officiées. En avril 2015, une commission ministérielle avait inspecté le site en prévision du projet de sa protection. En marge de la manifestation « ‘M’doukal, patrimoine national » organisée alors par l’association des amis du Medghassène et celle de la culture et du patrimoine historique de M’doukal, cette visite avait été considérée comme un premier pas vers la classification de ce monument archéologique.
Carrefour de plusieurs civilisation, la cité fut d’abord numide d’où son appellation qui signifie en amazighe « les amis ». Sous les romains, son nom sera Aqua Viva. Les ksours construits en terre compactée à côté d’un oasis luxuriant appartiennent à l’architecture typiquement islamique. Selon des spécialistes en archéologie, M’doukal comprend trois camps romains à djebel Mechib, Naïmia et à 800 mètres du chef-lieu actuel de la commune. En 1969, les ksours furent victimes de grandes crues qui furent derrière la décision de construction du nouveau village.
La cité compte trois importantes mosquées: El Atik bâtie au 6ème siècle de l’hégire, Sidi Mohamed El Hadj et El Djamaa (qui accueille la prière du vendredi). Plusieurs zaouïas y existaient dont celles de Sidi Abdelhafidh, de Sidi Megalati, de Sidi Attallah et de Sidi Ali ibn Aïssa. En dépit de la dégradation de plusieurs de ses habitations et quartiers, les ksours de M’doukal conservent une bonne partie de leur authenticité que le visiteur saura apprécier particulièrement lorsqu’il suit un guide avisé au fait de l’histoire plusieurs fois séculaires de la cité.
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L’enquête est toujours en cours et est menée par les éléments de la brigade de recherche, apprend-on de source autorisée qui ajoute que suite à des informations ayant parvenues au commandement de la compagnie de gendarmerie nationale de la ville de Tiaret et faisant part de l’existence d’armes à feu de 5eme catégorie au niveau de la localité de « Cherrita » à 1 km de la commune de Dahmouni, située à 17 km du chef-lieu de wilaya.
Le commandement de la gendarmerie nationale a mobilisé les éléments de la brigade de recherche ainsi que les éléments d’intervention rapide, lesquels bien appuyés par une équipe cynotechnique avec des chiens dressés pour le flair et la détection d’armes à feu et qui se sont déplacés à la dite localité où ils ont ciblé les domiciles de deux personnes suspectes et après des recherches bien intensifiées, les gendarmes ont découvert un véritable lot d’armes:3 fusils de chasse de fabrication artisanale et des munitions soit des capsules bourrées ainsi que 20 grammes de baroud vert et au total 60 cartouches ainsi que 117 capsules dont 92 vides, tout a signaler que les deux personnes ne possèdent aucune autorisation de port d’armes.
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Aujourd’hui, 22 juillet 2018, comme chaque année, la police algérienne célèbre sa journée nationale, une journée qui sera fêtée cette année de la police, sans El-Hamel, l’ancien patron de la DGSN, limogé. Une fête qui aura un gout amer pour les gradés limogés et gout de soupire sans doute pour certains subalternes longtemps étouffés par les ordres et l’arrogance de l’ancien premier flic présidentiable ! Pour la première fois dans les annales de l’histoire de la police algérienne, les hommes en tenues bleus vont souffler la fin d’une anarchie et de ‘’Benamis’’ qui ont tyrannisé cette institution. Une journée sans les cadres photos de Général sur les murs des sièges des suretés urbaines. Une journée sans le ‘’Chikour’’ d’Oran, l’ancien patron de la police d’Oran, Nouasri, limogé sur fond de scandale et sans le premier détective de la police Djilali Boudalia, le chef des RG limogé et sans les premiers des wilayas de Tipaza, Tlemcen et Alger. Une journée spéciale, pour une police à sa tête le moudjahid, le colonel El-Habiri , qui va inaugurer le lancement d’une réforme profonde dans le corps de la police, pour insuffler un nouveau dynamisme à cette institution et donner des responsabilités aux jeunes cadres de la tunique bleue. Une journée qui va se fêter cette année par la joie et l’ambiance de remise de grades et de médailles et qui s’achève au lendemain par un vaste mouvement dans le corps de la police qui va toucher tous les chefs de sûretés de wilayas et chefs de sûretés urbaines et les cadres de la police qui ont dépassé trois ans dans la wilaya. Une autre page sera tournée après ce 22 juillet 2018, pour qu’enfin cette institution continuera sa mission avec un sang neuf, une nouvelle génération de jeunes cadres diplômés et professionnels.Il y’a 56 ans, alors que l’Algérie encore grisée par la joie de l’indépendance, une centaine de cadres venus de Tunisie et du Maroc et une trentaine de commissaires de police formés par le FLN à l’Académie de police du Caire constituent un certain 22 juillet 1962, le premier noyau de la Sûreté nationale. Comme toutes les autres polices du monde, la police algérienne veille à garantir la paix et la sécurité publiques, protéger les personnes et les biens et veiller à l’application des lois. A partir de 1970 des Sûretés de wilaya furent créées et constituées de différents services afin d’opter dans une nouvelle politique de modernisation et de renforcement des structures de formation et de recyclage du personnel en fonction et l’acquisition des équipements modernes. Dès 1973 la femme fait son entrée à la police, et depuis, cette institution est en train de se développer et s’ouvrir sur le monde et adapter les nouvelles technologies et s’armer de professionnalisme.
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Le secrétaire général de l’ONU, Antoio Guterres, a exprimé samedi sa profonde préoccupation au lendemain des bombardements meurtriers menés par les forces de l’occupation à Ghaza, invitant « Israël à la retenue pour éviter d’enflammer la situation ».
S’exprimant dans un communiqué, le SG de l’ONU a souligné qu' »il est impératif que toutes les parties s’éloignent urgemment du risque d’un nouveau conflit dévastateur » et a insisté à ce que « Israël doit montrer de la retenue pour éviter d’enflammer la situation ».
Vendredi, quatre palestiniens ont été tués lors des bombardements intenses menés par l’aviation de l’occupation israélienne dans l’enclave palestinienne, a indiqué le ministère de la Santé. Cette unième agression des forces de l’occupation survient au moment où de nouvelles manifestations ont eu lieu à la barrière de sécurité séparant Israël de Ghaza pour protester contre le blocus imposé à ce territoire palestinien.
« J’encourage toutes les parties à travailler avec l’ONU, notamment mon coordinateur spécial (Nickolay Mladenov), pour trouver une issue à cette situation dangereuse. Toute nouvelle escalade met en danger les vies de Palestiniens et d’Israéliens, aggrave la catastrophe humanitaire à Ghaza et sape les efforts actuels pour améliorer les conditions de vie et aider à un retour de l’Autorité palestinienne à Ghaza. »
Selon des diplomates de l’ONU, une réunion mensuelle sur le Proche-Orient est à l’agenda mardi prochain du Conseil de sécurité de l’ONU, qui sera présidée par la Suède.
Depuis le 30 mars, des Palestiniens manifestent régulièrement dans le secteur frontalier pour dénoncer le blocus israélien imposé à Ghaza et exiger le retour des réfugiés palestiniens chassés ou qui ont fui de leurs terres en 1948. Au moins 149 Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne et plus de 13.000 autres blessés par balles depuis cette date.
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Les cas de fraude des professionnels de santé dans le cadre du tiers-payant et de la carte Chifa sont « extrêmement limités », a affirmé samedi le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO), qui appelle les pharmaciens à accomplir leur activité dans « le respect de la réglementation » en vigueur.
« Le pharmacien d’officine n’est pas le seul intervenant dans le système du tiers payant et les cas de fraude des professionnels de santé restent extrêmement limités, et s’il en existe, les pharmaciens d’officine, ainsi que leur syndicat, le SNAPO, s’en disculpent et s’en désolidarisent », précise l’organisation syndicale dans un communiqué, appelant tous les pharmaciens algériens « à continuer à exercer dans le respect de la réglementation. »
« L’assuré social reste l’unique responsable de l’usage de sa carte Chifa, et le pharmacien d’officine est un professionnel de santé, seul dispensateur du traitement, qui respecte ses engagements conventionnels, et continuera à prendre en charge ses patients avec humanité, et avec toute sa conscience professionnelle. »
Le SNAPO qui dit avoir « malheureusement noté que certaines déclarations portent préjudice à l’image du pharmacien et de la profession », souligne que « plus de 11.000 pharmaciens sont conventionnés avec la CNAS et la CASNOS, et que c’est grâce à leurs efforts et à leur engagement, que plus de 39 millions d’Algériens bénéficient du tiers payant et de leurs médicaments, dont les malades chroniques, retraités, et leurs ayants droit ».
Il explique, à cet effet, que « face à la pénurie des médicaments et aux revenus financiers insuffisants de la majorité des assurés sociaux, qui souvent, sont dans l’incapacité de s’acquitter des frais engendrés par le tiers payant, le tarif de référence, le payement des 20% du taux d’assurance non pris en charge par la sécurité sociale, ou le payement des médicaments non remboursables, le citoyen prie le pharmacien de lui remettre l’intégralité de ses médicaments tout en lui confiant sa carte Chifa en attendant qu’il procède au payement de ses dettes ».
Le syndicat relève, dans ce sens, que ces dettes « mettent le pharmacien dans une situation encore plus délicate, car la situation économique de l’officine ne fait que se dégrader, suite à l’érosion des marges, et à l’augmentation des charges engendrées par le tiers payant » Le SNAPO soutient que le système Chifa a réussi grâce à « l’engagement sans réserve » des pharmaciens algériens, qui ont de plus, adhéré pleinement à la politique nationale consistant à « encourager le médicament générique, et à la promotion du médicament et fabrication nationale ».
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Vendredi passé, le corps sans vie d’un jeune noyé a été repêché par les gardes-côtes de la commune de Sidi Lakhdar à quelques miles de la plage de Petit-Port, a-t-on appris de sources concordantes.
En effet, il s’agit d’un jeune originaire de la wilaya de Mascara et que selon la même source a été porté disparu depuis une semaine. La dépouille mortelle de la victime a été évacuée par les agents de la protection civile vers la morgue de l’hôpital de Sidi Lakhdar.
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L’opération des soldes d’été a débuté ce samedi au niveau des centres commerciaux et locaux d’Alger et s’étalera jusqu’au 31 aout prochain, a-t-on constaté.
A Alger Centre, notamment à Hassiba Ben Bouali et Didouche Mourad, Ardis et le centre commercial de Bab-ezzouar un grand nombre d’affiches de réduction allant jusqu’à 50% de différentes tailles et couleurs décorent les vitrines, particulièrement des locaux spécialisés dans la vente de vêtements et de chaussures, pour attirer l’attention des clients. Concernant ces affiches, plusieurs clients approchés par l’APS croient qu’il s’agit de « publicité mensongère » annoncée chaque saison de vente promotionnelle.
Une des clientes rencontrée dans un centre commercial a indiqué que les prix des vêtements de marques étrangères « n’ont pas changé« , se demandant sur quelle base des rabais allant entre 20 et 50% ont été définis. Par ailleurs, les journalistes de l’APS ont constaté que plusieurs commerces n’affichaient pas la mention « Soldes » sur leur vitrines mais plutôt des affiches de réductions allant de 20% à 80%. D’autres affiches mentionnent des prix attractifs mais une fois dans le magasin, impossible de trouver les produits indiqués.
Le représentant de la Direction du commerce de la wilaya d’Alger, Dehar Layachi a précisé que la Direction du commerce de la wilaya d’Alger a accordé des autorisations aux commerçants et opérateurs économiques au niveau de la capitale pour pratiquer la vente au rabais ou la vente promotionnelle, affirmant que l’opération se poursuivra durant la période des soldes pour délivrer davantage d’autorisations afin de « permettre aux propriétaires de magasins de déposer leurs dossiers par voie électronique et bénéficier d’une autorisation en vue de lancer la vente promotionnelle ».
Il a ajouté que les demandes des commerçants sont réceptionnées par voie électronique pour les ventes règlementées (soldes et liquidation de stocks), et ce dans le cadre de la facilitation des procédures administratives, soulignant que la wilaya d’Alger a été choisie par le ministère de Commerce en tant que wilaya pilote pour l’opération de numérisation de ces procédures qui ont été appliquées durant la période de soldes de la dernière saison estivale 2017.
Les soldes ont pour objectif, selon l’intervenant, de « donner aux commerçants l’opportunité de promouvoir leurs activités et au consommateur l’occasion d’acheter différentes marchandises à des prix réduits, d’inculquer cette culture et d’en faire une habitude et un comportement commercial enraciné chez les opérateurs économiques ».
M. Dehar a, par ailleurs, indiqué que l’opération s’effectue en application des dispositions du décret exécutif du 18 juin 2006 fixant les conditions et modalités de vente au rabais, vente promotionnelle, liquidation de stocks, en magasins d’usines et vente au déballage, outre conformément à une décision établie par les services concernés de la wilaya. Il a précisé, en outre, que la décision prévoit des dispositions concernant les conditions que doit respecter le commerçant notamment l’obtention d’une autorisation lui permettant de faire la promotion de sa marchandise.
Elle prévoit également des dispositions claires concernant les peines infligées aux commerçants contrevenants, si ces derniers sont interceptés par les agents de contrôle et de répression des fraudes de la direction du commerce. Les ventes concernent les articles achetés par le commerçant depuis au moins trois mois, avant le début de la période des soldes, a-t-il indiqué, ajoutant que les soldes sont facultatifs pour le commerçant et non pas obligatoires. Selon la même source, plus de 800 agents de contrôle et de répression des fraudes sont réparties dans 13 circonscriptions administratives et 57 communes de la wilaya tout au long de cette opération.
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Battu par Reims (2-4) samedi dernier, Lille a remporté son deuxième match de préparation contre le FC Porto (2-1) ce vendredi à Faro (Portugal).
Xeka (63e) et Mothiba (87e) ont marqué pour les Lillois tandis qu’Hernani (71e) a égalisé pour les Dragons comme l’indique Maxifoot. Du côté de nos internationaux, Brahimi a joué l’intégralité de la première période tandis que Benzia a été remplacé à la 65e minute de jeu
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Le nombre de laboratoires de contrôle pour assurer la qualité des produits consommant moins d’énergie demeure insignifiant alors que le contrôle est incontournable pour « crédibiliser » le Programme national de l’efficacité énergétique, affirme le Directeur général de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue), Mohamed Salah Bouzriba.
« J’insiste sur l’instauration d’un contrôle de l’efficacité énergétique pour s’assurer de la qualité des produits consommant moins d’énergie. Le contrôle est primordial pour crédibiliser le Programme de l’efficacité énergétique. Sinon, c’est un recul pour ce programme. »
A ce propos, il regrette le nombre insignifiant des laboratoires de contrôle en Algérie pour s’assurer des normes de performance des équipements en matière d’efficacité énergétique. Il cite ainsi le laboratoire de contrôle de la qualité et de la conformité (Ecolab, sis à Boumerdes) et le laboratoire dont dispose l’Institut algérien de la normalisation (IANOR).
« Ce sont, malheureusement, les seuls laboratoires qui existent et qui ne contrôlent, pour le moment, que les lampes économiques LED », précise le même responsable Souhaitant que les opérateurs privés investissent dans la création de laboratoires de contrôle, il relève, toutefois, que « c’est à l’Etat de s’y mettre d’abord ».
Sur ce point, il évoque le Laboratoire national d’essais industriels (LNE) qui devait entrer en activité en 2015 mais qui n’a toujours pas vu le jour jusqu’à l’heure actuelle. Ce retard est dû à plusieurs facteurs notamment ceux relatifs à l’acquisition des équipements et à la budgétisation du laboratoire. Deux appels d’offre avaient été lancés pour l’acquisition de la première partie des équipements, estimée à 480 millions de DA, mais qui avaient été déclarés infructueux pour absence de concurrence dans les offres reçues.
Afin d’illustrer l’importance de ce laboratoire pour assurer le contrôle, M. Bouzriba cite certains fabricants de lampes qui classent faussement leurs produits dans la classe A (moins énergivores), « car ils savent pertinemment qu’il n’y a aucun contrôle ». Pourtant, la loi actuelle relative à la maîtrise de l’énergie prévoit, dans une de ses dispositions, le contrôle d’efficacité énergétique qui permet de constater et de certifier la conformité aux normes relatives au rendement énergétique des équipements, matériels et appareils.
Ce contrôle, précise ce texte législatif, « est assuré par des organismes et/ou des laboratoires compétents, chargés de la certification et de l’homologation et agréés par les ministères concernés ». Mais selon des experts, l’absence de procédures de contrôle est une lacune qui entrave l’application de ce dispositif. En effet, expliquent-ils, « n’importe quel importateur ou fabricant peut mentionner ce qu’il veut sur l’étiquette sans pouvoir être démenti. Et le mauvais produit finira ainsi par chasser le bon.
D’où l’importance de mettre en place un instrument de contrôle des normes sur l’étiquetage, qui permettrait d’éviter l’ouverture aux abus de toutes sortes de pratiques de la part d’entreprises peu scrupuleuses ».
Vers la révision de la loi sur la maîtrise de l’énergie
Interrogé sur le projet de révision de la loi actuelle sur la maîtrise de l’énergie et les motifs de cette révision, M. Bouzriba fait savoir que la première mouture de ce nouveau texte est finalisée et qu’elle sera transmise aux différents ministères. Expliquant les motifs de cette révision, le premier responsable de l’Aprue relève l’importance de l’instauration d’un contrôle de l’efficacité énergétique dans les différents secteurs, ajoutant qu’il s’agit aussi de donner à l’Aprue le rôle qui lui revient de droit.
« Il faut attribuer à l’APRUE les moyens nécessaires pour qu’elle puisse se déployer sur tout le territoire national à travers des annexes et des agences et pouvoir être la plus proche possible des citoyens. »
Ce sont là, selon lui, les grandes modifications apportées à la loi en vigueur sur la maîtrise de l’énergie « pour la rendre plus opérationnelle et plus en adéquation avec le nouveau contexte économique qui nous dicte l’impératif de l’accélération du processus de l’efficacité énergétique. » « Nous ne sommes plus au stade de la démonstration et du volontarisme. Maintenant, il faut mettre les bouchées doubles et lancer des programmes d’envergure et mesurer l’impact des actions de l’économie d’énergie », insiste le Directeur général de l’APRUE.
Pour rappel, le Programme de la promotion de l’efficacité énergétique, datant de 2015, consiste, principalement, à l’amélioration de l’isolation thermique des bâtiments, le développement du chauffe-eau solaires, la généralisation de l’utilisation des lampes à basse consommation (LED), la substitution de la totalité du parc de lampes à mercure par des lampes à sodium, la promotion du GPL/c et du GN/c, la promotion de la cogénération, la réalisation de projets de climatisation au solaire et le dessalement des eaux saumâtres.
Il devrait permettre de réaliser un gain financier de 42 milliards de dollars à l’horizon 2030 avec une réduction de 9% de la consommation globale d’énergie à l’horizon 2030, soit une économie de 63 millions de tonnes équivalent pétrole (Tep). En outre, la mise en oeuvre de ce programme devrait conduire, notamment, à l’isolation thermique de 100.000 logements/an ainsi qu’à la conversion au GPL de plus d’un (1) million de véhicules particuliers et de plus de 20.000 autobus, en même temps que seront créés plus de 180.000 emplois.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazgui, a mis l’accent, samedi à Laghouat, sur la « nécessité d’assainir le foncier agricole » pour créer un « développement véritable, homogène et durable » dans le secteur agricole.
« Il appartient de redoubler d’efforts pour assainir le foncier agricole. Un large dispositif réglementaire liés à ce volet existe« , a indiqué le ministre, à l’issue d’un exposé sur la situation du secteur dans la wilaya de Laghouat.
« Une décision interministérielle vient d’être promulguée pour prendre en charge les questions entravant la maitrise du foncier agricole. Il n’est pas possible d’assurer l’agriculteur, ni la production, ni d’arrêter une stratégie à long terme, sans une maitrise du foncier. »
M. Bouazghi a ajouté, dans le même contexte, que « l’Etat a accordé la priorité voulue à l’agriculture, notamment à la faveur de la loi de finances de l’exercice 2018 », précisant qu’une superficie globale de 50.000 hectares a été attribuée aux postulants et investisseurs dans le cadre de l’accession à la propriété foncière agricole. Le ministre a relevé que la wilaya de Laghouat se place à la 28ème position à l’échelle nationale en termes de production agricole, d’une valeur globale de 56 milliards DA, réalisée par plus de 28.451 travailleurs recensés par le secteur de l’agriculture.
Selon les explications fournies à la délégation ministérielle, la wilaya de Laghouat assure une production de 291.989 quintaux de céréales, dont 120.000 QX de blés dur et tendre, le reste d’orge, en hausse croissante, sachant que la moisson céréalière de 1999 ne dépassait pas les 42.000 QX. La wilaya produit également près de 264.000 QX de viandes rouges et une production annuelle de 24 millions de litres de lait.
Cette wilaya s’est vue accorder, au titre des deux derniers programmes quinquennaux de développement, 19 projets de développement, d’un montant d’investissement de 5,8 milliards DA, destinés notamment à l’électrification, l’ouverture de pistes agricoles et le développement de la production.
Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazgui, poursuit sa visite en inspectant une série de projets et d’installations relevant de son secteur à travers les communes de Sebgueg, Aflou, Oued-Morra et Tadjemout.
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C’est une pluie de sanctions qui s’abat sur les médecins résidents depuis la reprise des activités hospitalières.
En plus de l’absence totale d’offre de dialogue, les résidents font face à une hiérarchie bien décidée à leur faire payer les huit mois de grève. Face à cette situation, des médecins résidents ont pris une initiative inédite : ils se sont mis à solliciter l’aide des passants à l’entrée des CHU pour protester contre le non-versement de leurs salaires.
Nawal Imès – Alger (Le Soir) – C’est une démarche des plus inédites qu’ont entreprise des médecins résidents. Privés de salaire alors qu’ils ont repris les activités hospitalières depuis déjà un mois, ils ont tout simplement sollicité la charité des passants.
Pancartes à la main, portant leurs blouses, des médecins résidents au niveau du CHU Mustapha-Pacha se sont tout simplement mis à solliciter la charité. Sur les écriteaux brandis, les résidents expliquent que sans salaires depuis huit mois, ils sont réduits à demander l’aumône. «Un deux trois, viva la précarité», écrit un résident alors qu’un autre n’a pas hésité à écrire : «Aidez les médecins à subvenir à leurs besoins.» Il s’agit là d’une action fort symbolique.
Le Camra écrivait jeudi sur son compte officiel de Facebook qu’«à près d’un mois de gel de la grève, avec reprise de toutes les activités de soins, les ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur ne respectent pas la promesse d’ouverture de dialogue. Pis, certaines directions générales dépassent leurs prérogatives de gestionnaires pour décider de ne pas verser le salaire actuel des médecins qui travaillent, à l’image du CHU Mustapha-Pacha à son huitième mois de gel de salaire. La tutelle semble explorer les nouvelles possibilités de mépris du corps médical».
Depuis qu’ils ont décidé de geler leur mouvement de grève, les médecins résidents n’ont reçu aucune offre de la part du ministère de la Santé. Pire encore, leur reprise s’est faite dans la douleur. Dans certains services, les chefs de service ont tout simplement refusé leur retour. Ceux qui ne l’ont pas fait ont tout simplement réservé un accueil glacial aux résidents. Ces derniers sont confinés dans des tâches subalternes. Certains chefs de service ont même restreint leurs mouvements, leur interdisant l’accès à certains locaux.
Les gestionnaires des hôpitaux ne sont pas restés non plus neutres. Ils sont nombreux à maintenir le gel des salaires des résidents en dépit de la reprise des activités.
La semaine dernière, le Camra avait réagi en appelant les résidents à se rassembler au sein du CHU Mustapha pour dire leur incompréhension et protester contre les mesures qui s’abattent sur les résidents en l’absence de tout contact avec la tutelle.
N. I.
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Une adolescente a trouvé la mort et deux autres personnes d’une même famille ont été blessées dans un accident de la route, survenu samedi dans la commune d’El Banoud, à l’extrême sud de la wilaya d’El Bayadh.
L’accident s’est produit, dans la matinée, aux environs de 10 heures, à une distance de 25 km de la commune d’El Banoud, sur la route menant vers la wilaya d’Adrar, suite au dérapage d’un véhicule touristique de son chemin et son renversement.
L’accident a causé la mort de l’adolescente, âgée de 14 ans, alors que deux passagers du véhicule, un homme de 50 ans et une jeune femme de 18 ans ont été blessés, précise les services locaux de la protection civile.
La dépouille de la victime a été transférée à la morgue de l’hôpital de Labiodh Sidi Cheikh alors que les deux blessés ont été soignés au niveau de la polyclinique d’El Banoud. Les services de sécurité compétents ont ouvert une enquête sur les circonstances sur cet accident.
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A l’instar des autres wilayas du pays, Oran est également concernée par les portes ouvertes qui ont lieu du 17 au 26 juillet 2018, et organisées par la caisse nationale de la sécurité sociale qui aspire à sensibiliser sur l’utilisation de la carte chifa. Hier, M. Meslem Lotfi, directeur de la Cnas a fait savoir qu’une centaine de pharmaciens ont été destinataires de mises en demeure, alors que près de 7 000 cartes chifa ont été mises sur la liste noire.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – C’est lors d’un point de presse que l’intervenant s’est offusqué de certaines déclarations de personnes qui prétendent que si la Cnas procède à des retraits de cartes chifa c’est uniquement en raison d’austérité. «Ce n’est pas vrai les dépenses des remboursements sont en augmentation et en aucun cas, les remboursements ne sont tributaires d’une quelconque austérité». Il assure qu’il n’y a pas une limite de remboursement.
Tout en énumérant les méthodes de fraude à la carte chifa, pour certains une même carte sert pour plusieurs personnes qui bénéficient de médicaments au nom d’un seul assuré sans que ce dernier souffre des maladies nécessitant ces médicaments.
D’autres se font arnaquer en laissant plus d’une semaine leur carte chifa qui est alors utilisée par un pharmacien indélicat qui fait sortir des médicaments en inscrivant les références de la carte chifa en question laissée par son propriétaire, ceci avec la complicité de certains médecins et parfois même reconnaît M.Meslem avec la complicité d’agents de la Cnas.
Autant de fraudes liées à la carte chifa où la Cnas signale qu’en 2017, les assurés concernés par ce phénomène de fraude étaient au nombre de 84 000, tandis que le nombre des cartes Chifa mise sur la liste noire, dont certaines de manière définitive et d’autres non, est de 7 721 cartes.
L’intervenant annoncera par la suite un chiffre effarant de la somme réclamée suite à ces fraudes et qui s’élève à 326 millions de da (soit près de 32 milliards de centimes). L’argent récupéré sur cette somme n’a atteint que 15 millions de da. «Certains suivent un échéancier de remboursement, alors que d’autres sont devant la justice», dira le directeur. En 2018, le nombre d’assurés sociaux concernés par la fraude à la carte chifa est de 8 700, quant aux cartes chifa mises sur liste noire durant ces six premiers mois, elles sont de l’ordre de 3 789. Le montant indu réclamé est de 2 millions de da et les services de la Cnas ont récupéré 7 millions de da (est incluse une partie du reliquat de 2017).
L’un des maillons concernés par cette fraude : les pharmaciens, l’on saura qu’en 2017, il y a eu 100 pharmacies concernées par des mises en demeure. A ce sujet M. Meslem Lotfi dira, «Nous ne blâmons pas les pharmaciens, ils sont 700 avec qui nous travaillons et ils sont sérieux et travaillent correctement, quelques-uns sont toutefois concernés par des problèmes liés au phénomène de fraude à la carte chifa et quand cela le nécessite, nous recourons à la justice car il s’agit de l’argent de l’Etat, c’est l’argent public.» Il indiquera toutefois, qu’avant de recourir à la justice, la Cnas passe par des étapes de suspension de convention, des mises en demeure et bien évidemment, l’on réclame les remboursements à ces pharmacies.
Pour les services de la Cnas, nul n’est censé ignorer les lois et c’est là une occasion à travers ces portes ouvertes afin justement d’informer et de sensibiliser les uns et les autres sur l’utilisation juste et légale de la carte chifa mais aussi des conséquences encourues en cas de fraude.
A. B.
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