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Updated: 1 day 23 hours ago

Skikda: Un réseau national de trafic d’armes et de drogue démantelé

Sun, 07/22/2018 - 17:15

Par R.N.

Un réseau de trafic d’armes, de munition et de drogue activant au niveau national a été démantelé à Skikda par le groupement territorial de la Gendarmerie nationale, a-t-on appris vendredi auprès de ce corps constitué. La même source a précisé que suite à des renseignements parvenus aux services de la Gendarmerie évoquant des activités suspectes d’un groupe d’individus, une enquête a été déclenchée, signalant que les investigations ont permis d’identifier les six personnes de ce réseau, âgées entre 26 et 48 ans. Les investigations approfondies ont également permis d’identifier la nature des activités à laquelle ces membres de réseau s’adonnaient, a poursuivi la source, soulignant que trois membres de ce réseau ont été appréhendés suite à une souricière.

Passés aux aveux, les personnes arrêtées ont dénoncé leurs complices et, munis d’une autorisation d’extension de compétences, les enquêteurs ont appréhendé, dans les wilayas limitrophes de Skikda, le reste des membres de ce réseau, a-t-on noté. Cette opération a également permis la saisie de quatre (4) fusils de chasse, une quantité de cartouches, prés de 1kg de kif, 25 millions de DA, deux véhicules touristiques et un tracteur, a encore détaillé la même source.

Présentées vendredi devant le procureur de la République prés le tribunal de Skikda, les six personnes ont été écrouées pour association de malfaiteurs, commercialisation de kif et détention d’armes et de munitions de catégorie 5 sans autorisation.

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Taux d’échec important en première année : L’université algérienne patine

Sun, 07/22/2018 - 17:12

On constate que plus de la moitié des universitaires échoue à ses examens de passage en deuxième année.

Le secteur de l’enseignement supérieur en Algérie fait face à des défaillances de taille. Le constat qui en ressort n’est pas des plus glorieux. Ces manquements se traduisent aujourd’hui par un taux d’échec conséquent des étudiants en première année universitaire, toutes spécialités confondues. Si l’on se réfère aux chiffres donnés par des sources officielles et même officieuses, on constate que plus de la moitié des universitaires échoue à leurs examens de passage en deuxième année. Une situation inquiétante dans la mesure où ce nombre ne cesse de croître avec le temps. Durant l’année 2015 déjà, les universités du pays ont recensé un bon nombre d’élèves ayant raté ses première année, soit un taux estimé à 50%. Tandis que l’année 2016 a vu ce même nombre augmenter. Les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur avaient fait état d’un taux d’échec variant entre 50 et 60%, selon les filières. Pour l’année universitaire 2017-2018, les statistiques communiquées par l’Union générale estudiantine libre (Ugel) sont encore plus préoccupantes. Les experts en la matière imputent cette situation au fait que l’orientation de l’élève ayant obtenu son baccalauréat correspond rarement aux notes qu’il a obtenues lors de son examen de passage à l’université. Certains des cadres du ministère de l’Enseignement supérieur avaient d’ailleurs suggéré la prise en compte, pour l’inscription des bacheliers à telle ou telle spécialité, des notes obtenues dans les matières essentielles. En ce qui concerne le reste des raisons, les mêmes spécialistes expliquent que la langue y est aussi pour beaucoup dans ces échecs.
Et pour cause, il faut tenir compte du fait que la scolarité des élèves algériens se fait généralement en langue arabe, et ce, du palier primaire à celui du secondaire, et que l’enseignement des filières scientifiques à l’université se fait en français. Cela tend d’après eux à déstabiliser beaucoup d’étudiants. Sur ce point-là, il est important de faire remarquer que cela ne peut constituer une cause majeure, étant donné que pratiquement le même taux d’échec est évalué du côté des étudiants en sciences humaines.
Des enseignants à l’université ont quant à eux soutenu que l’un des facteurs qui est la cause de la recrudescence de ce taux d’échec est lié à la moyenne obtenue au bac. Ils indiquent qu’en général, les étudiants qui redoublent leur première année ont eu leur bac avec une mention «passable».
Par ailleurs, notons que pour d’autres, les origines de ce constat proviendraient plutôt des méthodes d’enseignement des profs au lycée et des enseignants à l’université, qui sont bien distinctes. On parle également de l’inadéquation des programmes du secondaire et ceux de l’université.
Outre des raisons pédagogiques, il a été signalé récemment, que le taux d’absentéisme enregistré ces derniers temps au niveau de ces structures universitaires bat des records.
Ainsi, face à toutes ces suppositions, de nombreux spécialistes ont appelé les autorités compétentes à établir une étude permettant de «déterminer les réels facteurs» qui entrent en jeu dans la croissance du taux d’échec dans les universités algériennes. Rappelons que les universités du pays s’apprêtent à accueillir pas moins de 400 000 nouveaux étudiants en septembre prochain.

Par Massiva ZEHRAOUI

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Sept Palestiniens arrêtés par les forces israéliennes à El-Qods occupée

Sun, 07/22/2018 - 17:07

EL-QODS OCCUPEE – Sept Palestiniens ont été arrêtés dimanche par la police de l’occupation israélienne à El-Qods occupée, a rapporté l’agence de presse palestinienne WAFA.

Ils ont été placés au niveau des centres de détention et d’interrogatoire qui se trouvent dans la ville Sainte.

29 autres Palestiniens de différentes régions de la Cisjordanie occupée, ont été arrêtés par l’occupant israélien la semaine écoulée.

Ils s’ajoutent aux 3533 Palestiniens des territoires occupés arrêtés au cours du premier semestre de 2018 par les forces de l’occupation israélienne, selon l’agence WAFA.

Le bilan des institutions palestiniennes des prisonniers et des droits de l’Homme arrêté au 30 juin dernier, fait état de 449 personnes arrêtées uniquement durant le mois de juin dernier.

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Deux blessés et d’importants dégâts matériels: Violente explosion de gaz à Canastel

Sun, 07/22/2018 - 17:07

Par Houari Barti.

Une terrible explosion de gaz est survenue, hier matin, au rez-de-chaussée d’un immeuble de 5 étages, à la Cité des ‘1430 logements’ de Canastel, à l’est de la ville d’Oran, provoquant, selon la protection civile, «deux blessés dont une vieille dame âgée de 86 ans, gravement atteinte à la tête et des dégâts matériels considérables». La déflagration, entendue à plusieurs kilomètres à la ronde, «a été signalée à 5h02 du matin aux services de la protection civile», lesquels ont mobilisé pour l’intervention, «une trentaine d’agents, 4 camions et 4 ambulances», a indiqué, hier, le lieutenant Bahlouli, chargé de la communication à la direction de la protection Civile sur les ondes de la radio locale ‘El Bahia’. Le même responsable a fait état d’un bilan «de 2 blessés, une femme de 86 ans, gravement atteinte, à la tête et une autre âgée de 60 ans blessée à l’épaule et de dégâts matériels considérables.» La même source a précisé que l’explosion est survenue dans un appartement inoccupé. Mais selon les habitants de l’immeuble «l’appartement en question est bel et bien occupé et que deux hommes, évacués avec les autres blessés vers l’EHU du 1er Novembre, y étaient au moment de l’explosion».

Le rez-de-chaussée du bloc F3, îlot 5 de ladite cité offrait, hier, un désolant spectacle témoignant de la violence extrême de la déflagration. Le bas de l’immeuble a été carrément éventré, de bout en bout, par l’explosion qui a soufflé l’ensemble des parois des trois appartements situés au rez-de-chaussée. Autre indice témoignant de la violence du sinistre, les «barreaudages» des fenêtres ont été propulsés à plusieurs dizaines de mètres. La cage d’escalier ainsi que les appartements du 1er et du 2ème étage ont également subi des dégâts très importants. Plusieurs murs et autres portes et fenêtres n’ont pas résisté à la déflagration. Certains appartements de ces deux étages ont dû être évacués de leurs occupants, vu l’importance des dégâts. Le wali d’Oran, M. Mouloud Cherifi, qui s’est déplacé sur les lieux du drame «a assuré les sinistrés du soutien total des autorités locales dans cette épreuve», ont affirmé les habitants de la cité, dont les occupants rappelle-t-on, sont des relogés du vieux bâtis du quartier d’El Hamri.

Aux environs de midi, des jeunes de la cité travaillaient d’arrache-pied pour enlever les déblais du rez-de-chaussée pour permettre aux agents de Sonelgaz de rétablir l’alimentation électrique dont les installations ont été endommagées par l’explosion. Les habitants du quartier ont tout de même, exprimé leur regret que «tout ce beau monde qui s’agitait, ici, au moment de l’arrivée du wali, dont des responsables de la commune et de l’OPGI, a déserté les lieux dès que le chef de l’exécutif est parti». «On nous a laissé seuls pour nettoyer les lieux. Seuls les agents de Sonelgaz sont restés pour rétablir l’électricité», ont-ils témoigné.

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Baisse du déficit commercial de près de 48% au 1er semestre 2018

Sun, 07/22/2018 - 15:05

ALGER – Le déficit commercial de l’Algérie s’est chiffré à 2,956 milliards de dollars au 1er semestre 2018, contre un déficit de 5,657 milliards de dollars durant la même période de 2017, soit un recul du déficit de 47,75%, a appris dimanche l’APS auprès des Douanes.

Entre janvier et fin juin 2018, les exportations ont augmenté à 19,828 milliards de dollars (mds usd) contre 17,616 mds usd sur la même période de 2017, soit une hausse de 2,21 mds usd (+12,56%), précise le Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS).

Pour les importations, elles ont très légèrement baissé à 22,784 mds usd contre 23,273 mds usd à la même période de l’année écoulée, soit une diminution de 489 millions de dollars (-2,1%).

Les exportations ont assuré la couverture des importations à hauteur de 87% contre 76% à la même période de l’année précédente.

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Or, argent, pierres précieuses, métaux de base, minéraux industriels… »Un énorme potentiel laissé en jachère »

Sun, 07/22/2018 - 15:01

Même le ministère de l’Industrie et des Mines reconnaît que le secteur est resté très peu productif par rapport au potentiel que recèle le pays.

De l’avis de certains spécialistes, le constat sur le secteur des mines est clair, connu et convenu : la production demeure marginale, et des régions comme Ouenza, Boukhadra, Boucaïd, Zaccar, El-Abed, Timezrit, El-Kouif et Kenadsa, riches en ressources minérales, ont été explorées mais pas suffisamment pour y hisser la croissance minière. Même le ministère de l’Industrie et des Mines reconnaît que le secteur est resté très peu productif par rapport au potentiel que recèle le pays.
Il essaye, toutefois, de se faire le promoteur d’une politique de développement minier, en estimant qu’un important effort de prospection a été consenti durant ces 30 dernières années, qui aura permis de développer l’infrastructure géologique de base et d’évaluer un grand nombre de gîtes et indices dont certains offrent de réelles perspectives d’investissement pour leur exploitation. C’est sur cette base, dit-il, que l’État a décidé de promouvoir et de mettre en valeur ce potentiel.
Des formules de partenariat sont proposées à l’investissement étranger, associées à des mesures incitatives aussi bien dans le cadre de l’exploration que dans l’exploitation minière.
L’Agence nationale de développement de l’investissement (Andi) donne, elle, sur la base des informations géologiques compilées, mises en ligne sur son site internet, un aperçu du potentiel minier. Elle explique ainsi que les nombreux travaux menés jusque-là ont permis d’inventorier les ressources minérales : métaux précieux (or, argent), pierres précieuses et semi-précieuses (diamant, topaze, béryl…), métaux de base (zinc, plomb, cuivre), éléments du groupe de platine – PGE — (platine, palladium, iridium, ruthénium, rhodium, osmium…), métaux rares (wolfram, étain, tantale, niobium, béryllium…), minéraux industriels (phosphate, baryte, bentonite diatomite, magnésite, perlite, pouzzolane, pierres ornementales, talc, gypse, sables siliceux…).
L’Agence souligne également que les travaux de recherche minière réalisés pour le compte de l’État, ont conduit à la mise en évidence de plusieurs gîtes appréciables comme en attestent les chiffres suivants : 2 milliards de tonnes de phosphate, 3 milliards de tonnes de minerai de fer, plus d’un milliard de tonnes de sel, plus de 100 millions de tonnes de plomb et de zinc, plus de 100 tonnes d’or, 24 millions de tonnes de wolfram, 1,4 million de tonnes de manganèse, 6,3 millions de tonnes de célestine, 22 millions de tonnes de barytine, 6,5 millions de tonnes de kieselguhr, 7 millions de tonnes de feldspath…
Plusieurs découvertes minières effectuées jusqu’ici ont fait l’objet d’appels d’offres lancés par l’Agence des activités minières (Anam) depuis les années 2000. Cela procure peut-être un sentiment de satisfaction ! Certains gisements (carbonate de calcium, phosphate, barytine, or, bentonite, feldspath, kieselguhr…) sont en cours de développement par les
entreprises du secteur afin de réduire les importations, alors
que d’autres (plomb-zinc, or, wolfram-étain, pierres semi-précieuses, gypse, carbonate de calcium, sable siliceux…) attendent d’être mis en compétition par voie d’appel d’offres en vue de leur mise en valeur.
Par ailleurs, l’analyse géologique et géodynamique des différents ensembles géologiques et structuraux inventoriés sur le territoire national a montré que les phénomènes métallo-géniques induits peuvent générer des concentrations minérales de différentes typologies de minéralisation. Ce type de phénomène a donné lieu à des gisements importants, ailleurs dans le monde.

Youcef Salami

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Nouvelle note de la coface consacrée à l’Algérie: “Risque de contestation sociale élevé”

Sun, 07/22/2018 - 14:54

Le financement non conventionnel mis en place en septembre de l’année dernière pourrait conduire, estime l’assureur-crédit français, “à une hausse du niveau général des prix”.

La période de faible croissance que traverse l’Algérie commence à avoir des répercussions sur le plan social, ce qui conduit le gouvernement à poursuivre sa politique généreuse de transferts sociaux au détriment de la consolidation budgétaire, estime la compagnie française d’assurances pour le commerce extérieur (Coface), dans une mise à jour publiée récemment.
Le document évoque “un risque de contestation sociale élevé”. Dans son appréciation, l’assureur-crédit français constate qu’après un ralentissement marqué en 2017, “la hausse des prix du pétrole de 20% a permis à l’économie algérienne de reprendre de l’allant depuis le début de l’année”.
Les recettes d’exportations d’hydrocarbures ont augmenté de 19,5% en glissement annuel au cours du 1er trimestre. Cependant, les volumes exportés ont enregistré une baisse de 3% lors de la même période, rappelant le manque d’investissement dans le secteur pétrolier au cours des dernières années. “La hausse de la production gazière devrait, cependant, compenser une plus faible progression de la production de pétrole”, nuance l’assureur-crédit français, pour qui la hausse des dépenses budgétaires devrait continuer d’être le principal moteur de l’activité. “Alors que l’investissement public devrait rester dynamique (construction des logements AADL, modernisation du port d’Annaba), la baisse des importations en biens d’équipement reflète un affaiblissement de l’investissement privé”, analyse la Coface, qui maintient le classement de l’Algérie dans la catégorie C concernant le risque pays.
Cette catégorie concerne les pays dont les perspectives économiques et financières présentent des incertitudes.
Pour la Coface, “le recul de l’inflation observé en début d’année 2018 devrait être temporaire, les restrictions d’importations restant nombreuses”. Le financement non conventionnel mis en place en septembre pourrait conduire, estime l’assureur-crédit français, “à une hausse du niveau général des prix qui serait renforcé par la mise en place des nouvelles barrières tarifaires venant remplacer les interdictions d’importer”. L’amélioration de la conjoncture pétrolière, prévoit la Coface, “devrait bénéficier aux comptes publics algériens sans pour autant que cela entraîne une contraction du déficit en 2018”.
L’assureur-crédit français note que les mesures de contrôle des importations combinées à une hausse des recettes d’exportation ont permis une contraction du déficit commercial de plus de 80% en glissement annuel durant le 1er trimestre 2018. “La baisse des factures d’importation est principalement imputable à une baisse des achats de biens d’équipement de 16% et des biens de consommation non alimentaire de 12%. Les importations de biens alimentaires n’ont que faiblement diminué”, précise le document, indiquant que les réserves de change continuent de s’éroder, mais à un rythme moins rapide. “Les IDE en direction de l’Algérie devraient, néanmoins, s’accroître. Le gouvernement vise, en effet, à augmenter l’attractivité du secteur pétrolier en proposant une nouvelle loi d’investissement et Sonatrach a signé différents accords allant dans ce sens”, ajoute la Coface. Sur le plan politique, la Coface évoque une certaine instabilité. “Les remaniements gouvernementaux se sont succédé en 2017, le dernier en date étant le limogeage d’Abdelmadjid Tebboune au profit d’Ahmed Ouyahia, Premier ministre pour la quatrième fois sous l’ère du président Bouteflika”, note l’assureur-crédit.
L’organisme français indique que “la classe politique se prépare également à l’échéance présidentielle de 2019”, ajoutant que “le président Bouteflika, en fonction depuis 1999, n’a pas encore annoncé sa candidature”.

Meziane Rabhi.

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Vos enfants voyagent gratuitement avec Emirates

Sun, 07/22/2018 - 14:49

La compagnie aérienne Emirates lance une offre exceptionnelle destinée aux familles voyageant au départ d’Alger vers Dubaï, en Classe Economique, pour une période limitée en réservant du 18 juillet au 8 août 2018, pour des voyages allant du 18 juillet au 20 décembre 2018*.

Grâce à cette offre, les familles pourront profiter d’un billet gratuit pour jusqu’à deux enfants âgés de 2 à 11 ans, voyageant avec deux adultes. Cette offre familiale est proposée à 140 600 DA pour deux adultes voyageant avec un enfant et à 163 100 DA pour deux adultes voyageant avec deux enfants.

Du 15 juillet au 15 septembre 2018, les enfants de moins de 18 ans pourront également profiter d’une exemption de visa pour les voyages à destinations de Dubaï.

Les clients pourront également profiter d’une gamme de produits et services répondant aux besoins des familles afin de rendre leur voyage d’autant plus confortable et pratique grâce aux comptoirs d’enregistrement réservés aux familles, l’usage gratuit de poussettes à l’aéroport international de Dubaï, l’embarquement prioritaire sur l’ensemble des aéroports, des repas et jeux ainsi qu’un divertissement à bord dédiés aux enfants ,incluant une collection de films Disney, les dernières émissions TV pour enfants et des dessins animés populaires.

De plus, jusqu’au 31 août, les clients pourront profiter de réductions spéciales sur plus de 250 restaurants et hôtels restaurants de classe mondiale à Dubaï grâce à Mon Pass Emirates. Des offres exclusives sont également disponibles sur une sélection de loisirs, incluant de passionnants parcs à thèmes et de luxueux spas à travers la ville. Pour plus d’informations sur les offres de Mon Pass Emirates, visitez www.emirates.com/dz

En plus des produits et du confort à bord, les voyageurs d’Emirates profiteront d’un service de renommée mondiale et l’hospitalité d’un personnel de bord multinational tout en faisant l’expérience de délicieux mets gastronomiques en utilisant des ingrédients frais, accompagnés d’une large sélection boissons.

Plus d’informations sur cette offre sont disponibles au niveau des agences de voyages agréées par Emirates ou au 098 3299 298 ou sur le site www.emirates.com/dz

Emirates opère une liaison quotidienne entre Dubaï et Alger. Le vol EK757 décolle depuis Dubaï tous les jours à 8:45 et atterrit à Alger à 12:55. Le vol retour EK758 décolle d’Alger à 16:05 pour arriver à Dubaï à 1:25, le lendemain.

*Offre soumise à conditions.

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Opération humanitaire conjointe de Paris et Moscou: La France prend acte de la réalité syrienne

Sun, 07/22/2018 - 14:25

La France a obtenu des «garanties» de la Russie que le régime ne ferait pas obstruction à l’acheminement, comme il le fait régulièrement avec les convois de l’ONU, et que toute «récupération politique» et tout «détournement» du matériel seraient évités, selon Paris.

France et la Russie ont effectué dans la nuit de vendredi à samedi une opération humanitaire conjointe vers la Syrie, à destination d’une enclave rebelle reprise par le régime en avril, un première dans le conflit qui ravage le pays depuis 2011. Un gros porteur Antonov 124 de l’armée russe, chargé de 44 tonnes de matériel médical et biens de première nécessité fournis par la France, a rallié la base russe de Hmeinim, dans l’ouest de la Syrie, depuis l’aéroport de Châteauroux (centre de la France), a annoncé le ministère russe de la Défense dans un communiqué. Cette opération humanitaire conjointe est une première en Syrie entre la Russie, qui a changé la donne en volant militairement au secours du président Bachar al-Assad en 2015, et un pays occidental.

Les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine ont mis l’accent samedi sur les «aspects humanitaires dans le règlement du conflit syrien, y compris la mise en oeuvre de l’initiative franco-russe», lors d’une conversation téléphonique, selon un compte rendu du Kremlin. L’aide, destinée à la Ghouta orientale, près de Damas, doit être distribuée par le Croissant Rouge syrien sous la supervision du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha) des Nations unies. La France a obtenu des «garanties» de la Russie que le régime ne ferait pas obstruction à l’acheminement, comme il le fait régulièrement avec les convois de l’ONU, et que toute «récupération politique» et tout «détournement» du matériel seraient évités, selon Paris. En quelques heures, équipements médicaux, tentes, kits de cuisine et couvertures – certaines palettes portant la mention «Centre de crise» du ministère français des Affaires étrangères – ont été embarqués dans le ventre béant du cargo à Châteauroux L’aide, fournie par la France, s’élève à 400 000 euros, la Russie ayant assuré le transport, a précisé le Quai d’Orsay. Le matériel médical (antiobiotiques, matériel de réanimation, perfusions, compresses..) est destiné à 500 blessés lourds et 15 000 blessés légers, la Ghouta orientale ayant subi un déluge de feu du régime en mars-avril avant de capituler au bout de cinq ans de siège.

Après Alep, Homs et la Ghouta, Bachar al-Assad poursuit sa reconquête sur le terrain face aux rebelles et jihadistes avec l’aide de la Russie, mais aussi de l’Iran et du Hezbollah libanais. Pour François Heisbourg, président de l’IISS (International Institute for Strategic Studies) de Londres, la France «prend acte avec cette opération du fait que Bachar et la Russie ont gagné militairement». «C’est quelque part la reconnaissance d’un état de fait», dit-il. Paris se défend de son côté de valider d’une quelconque manière une «pax russia» en Syrie. «Ce n’est pas un coup politique, c’est une opération humanitaire», insiste-t-on au Quai d’Orsay. «Nos exigences à l’égard de la Russie et notre vision de la solution politique ne changent pas», mais «si nous voulons une solution politique, il faut des mesures de confiance», ajoute-t-on. Emmanuel Macron tente depuis des mois d’impliquer les Occidentaux dans la recherche d’une solution politique sous l’égide de l’ONU. Mais le processus patine, Bachar al-Assad étant d’autant moins enclin à négocier qu’il avance militairement. L’octroi d’une aide dans des zones sous contrôle de Damas pourrait aussi poser question. «On ne peut être contre l’assistance humanitaire mais la France, en travaillant avec la Russie et le Croissant-Rouge Syrien, prend des risques considérables», a twitté Michel Duclos, ex-ambassadeur de France en Syrie. «Quels mécanismes garantissent que cette aide ne sera pas détournée ou exploitée politiquement par Assad?», s’interroge le diplomate, conseiller spécial de l’Institut Montaigne à Paris. Emmanuel Macron a annoncé en avril un programme d’urgence de 50 millions d’euros pour la syrie, qui s’adresse à tous, selon Paris. «En matière humanitaire, nous n’avons jamais décidé qui étaient les bons Syriens, qui étaient les mauvais Syriens», observe-t-on au Quai d’Orsay.

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BOMARE COMPANY passe à la version 2015 de la norme ISO 9001

Sun, 07/22/2018 - 14:15

BOMARE COMPANY premier opérateur algérien à exporter ses produits électroniques ‘’Stream System’’ vers le marché européen, a le plaisir d’annoncer l’obtention, en juillet 2018, de la certification ISO 9001 dans sa toute dernière version 2015, devenant ainsi parmi les premières entreprises dans le domaine de l’industrie électroniques en Algérie à obtenir la certification ISO 9001 v2015.

En plus de l’expérience et des compétences acquises dans le domaine de l’industrie électronique depuis 17 ans d’activité, la certification ISO 9001 v2015 apporte des changements profonds quant à la manière par laquelle une entreprise est en mesure de gérer ses activités pour être qualifiée d’une entreprise de qualité. Elle intègre l’analyse de risque, la prise en compte de l’environnement externe et place la satisfaction continue des clients et toutes les parties intéressées au cœur de sa stratégie.

Visiblement très satisfait, M. ALI BOUMEDIENE, Directeur Exécutif de l’entreprise, s’est réjoui : « Cette consécration est le fruit de l’engagement de BOMARE COMPANY et tous ses employés à mettre à niveau son organisation et ses produits aux normes internationales, elle consolide et récompense la démarche qualité engagée qui a fait le succès de BOMARE COMPANY non seulement en Algérie, mais aussi en Europe.

BOMARE COMPANY confirme son objectif de satisfaire l’ensemble de sa clientèle, ses partenaires et ses fournisseurs grâce à une offre de qualité adaptée à toutes les exigences, un système de management qui répond aux normes internationales les plus rigoureuses et une gestion opérationnelle efficace ».

Rappelant que les produits de BOMARE COMPANY sous la marque commerciale Stream System sont labélisés BASSMA AL DJAYZIRIA (taux d’intégration supérieur à 40%), certifiés CE « Conformité Européenne » et RoHS « La Directive européenne RoHS qui vise à limiter l’utilisation des substances dangereuses » respectant ainsi l’environnement dans lequel nous vivons. Ces produits et services sont disponibles sur le marché algérien et européen (Espagne, Portugal, Italie…).

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Le patron de l’UGTA dénonce un réel complot contre l’Algérie: « Le FMI est un sous-traitant du chaos »

Sun, 07/22/2018 - 13:52

Sidi Said ne se fait pas de doute: le seul et unique but de «ces agressions» emballées sous forme de rapports est de torpiller notre paix sociale acquise au prix du sang et des larmes.

Le secrétaire général de l’Ugta, Abdelmadjid Sidi Saïd, s’extrait des polémiques internes qui agitent le microcosme politique et braque la torche sur le vrai danger qui guette le pays. «Le FMI s’est découvert depuis ces derniers temps une nouvelle spécialité qui consiste à publier des rapports très négatifs sur l’Algérie. Les experts de cette institution ne veulent pas que le lait, que le pain, que l’eau soient subventionnés, ils refusent que l’Algérie distribue encore des logements sociaux, assure la gratuité des soins et d’autres transferts sociaux», affirme le secrétaire général de l’Ugta avant de trancher courroucé: «Il est de notre devoir en tant que syndicalistes de dire haut et fort que le FMI n’a absolument aucun pouvoir sur la politique économique et sociale de l’Algérie.» Le secrétaire général de l’Ugta s’exprimait à l’occasion du deuxième congrès de la Fédération nationale des banquiers et des assurances qui s’est déroulé hier, à l’Institut national d’études et de recherches syndicales à El-Achour (Alger).

Le ministre des Finances Abderrahmane Raouya, le président de l’Union algérienne des sociétés d’assurance et de réassurance, Brahim Djamel Kassali, le président-directeur général de la Société algérienne des assurances Nacer Saïs, des P-DG de banques, le président-directeur général de Amnal, des secrétaires généraux de fédérations ont pris part à ce congrès. Abdelmadjid Sidi Saïd répondait ainsi au dernier rapport du FMI publié le 16 juillet dernier, sur l’état de l’économie algérienne, car l’institution de Bretton Woods a prévu un avenir sombre à l’Algérie, mettant en cause le financement non conventionnel adopté par le gouvernement. Tellement sombre, qu’à lire ce rapport on y voit s’élever des poussières de chaos sur le pays. L’ogre FMI est-il de retour? Non rétorque Sidi Saïd qui ajoute sous un tonnerre d’applaudissements que «la seule et unique personne qui dicte la politique sociale du pays a pour nom, Abdelaziz Bouteflika». Pour Sidi Saïd, «ces agressions qui nous viennent d’un mauvais professeur» emballées sous forme de sombres rapports ressassés et servis depuis la chute des prix du baril en 2014, ne sont en réalité qu’un alibi qui habille de «respectabilité» un désir inassouvi d’ingérence. «Le FMI veut agir au nom des autres pour déstabiliser l’Algérie. En d’autres termes, il sous-traite le chaos», assène le syndicaliste qui se définit en «soldat de la République»prenant à témoin une assistance attentive avant de rassurer que «les rapports du FMI n’auront aucune incidence sur le moral des citoyens ni l’économie du pays».

Le patron de la Centrale syndicale ne se fait aucun doute: à travers cette «littérature négative» du FMI, il y a un complot qui se trame contre l’Algérie. C’est une opération de déstabilisation par une atteinte à la paix sociale et à la stabilité sociale. «On ne touche pas à notre souveraineté nationale, fruit de 1,5 million de martyrs et fruit des martyrs du devoir national. Ces analyses qui s’apparentent à des attaques frontales contre notre pays ont des connotations de stabilisatrices», insiste Sidi Saïd, mais explique-t-il «l’Algérie a la dimension et les moyens de dépasser toutes les crises et c’est ce qui ne plaît pas à certains cercles». Ce n’est pas la première fois que le patron de la Centrale syndicale monte au créneau pour dénoncer des partis pris d’institutions et d’organismes internationaux. On l’a vu avec quelle audace il a porté l’estocade aux rapports négatifs de la Banque mondiale, du FMI et aux accusations portées par des ONG contre l’Algérie sur le dossier des migrants. La dernière sortie en date remonte à avril dernier quand, dans un communiqué cosigné avec le président du FCE, Ali Haddad, ils ont mis le holà aux ingérences et pressions des responsables de l’Union européenne.
Avant d’ajuster son tir, le SG de l’Ugta a fait un long flash-back sur la paix sociale durement arrachée par les Algériens et surtout sur la nouvelle orientation de l’action syndicale depuis ces 20 dernières années en Algérie. «Nous n’avons pas de complexe à nous faire, car en matière de grève et d’agitation, l’Ugta peut se prévaloir d’un master II, mais cela ne mène jamais loin.» Il a en effet le mérite d’adapter sa stratégie et de saisir les enjeux. Après une guerre civile qui a coûté 200.000 morts, le défi d’aujourd’hui consiste à consolider la stabilité sociale, qui n’est pas seulement au plan sécuritaire. Elle est également au plan social. De ce point de vue, l’Ugta apparaît comme un acteur incontournable pour avoir arraché des acquis sociaux indéniables pour les travailleurs.

Par Brahim TAKHEROUBT.

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Oran: attention à la contrefaçon!

Sun, 07/22/2018 - 12:57

Le marché local est inondé de produits contrefaits de grandes marques. Et pour cause, ce commerce génère de gros bénéfices.
La contrefaçon touche même les pièces de rechange de véhicules. Ce week-end, quelque 3 968 pièces de rechange de véhicules, dont certaines contrefaites et sans factures, ont été saisies à Es-Senia, où elles étaient entreposées dans un garage. Le propriétaire du garage changeait la marque commerciale de pièces détachées importées d’Asie par deux autres mondialement connues. Pour ce faire, il utilisait divers équipements et moyens de falsification dont un ordinateur, une imprimante et les logos des deux marques mondiales. Cette quantité de pièces, représentant une valeur de 5 millions DA.

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Tébessa: Saisie de produits pharmaceutiques

Sun, 07/22/2018 - 12:51

Par A. C.

Les éléments de la brigade économique et financière relevant de la sûreté de la wilaya de Tébessa viennent d’ouvrir une enquête, suite à la saisie de produits pharmaceutiques et compléments nutritifs ou des additifs et arômes écoulés en dehors des pharmacies. Les policiers, en coordination avec les représentants de la direction du commerce et ceux de la DSP, avaient procédé au contrôle de 4 pharmacies et l’opération s’est soldée par la récupération de 804 comprimés, des fortifiants ainsi que des médicaments d’alimentation complémentaire.

Un gérant d’une officine a été auditionné. Selon la police, l’enquête en cours aura à identifier les responsabilités de chacun avant l’inculpation des mis en cause de non-respect de la réglementation régissant la distribution de produits pharmaceutiques.

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Constantine – Entreprises de wilaya et communales: La survie en question

Sun, 07/22/2018 - 12:47

Par A. Z.

  Décidément, l’administration locale émet des doutes sur la probité des entreprises de wilaya et communales, estimant dans ce sillage qu’il existe probablement une pléthore d’entreprises qu’il faudrait immanquablement réduire à sa juste proportion. C’est la commission des finances et de l’économie de l’APW qui a émis des réserves, lors d’une récente session, à propos de ces entreprises de wilaya et communales, considérées comme budgétivores et sans grande efficacité sur le terrain. Une somme de 25,6 milliards de centimes du budget supplémentaire a été placée sur le chapitre des différentes aides attribuées aux communes et à ces entreprises de wilaya et communales. Soit 55% du budget global consacrés à l’équipement. Trop, vraiment trop, considère le rapport de la commission, qui estime qu’il faut aller vers un audit profond de ces entreprises, au nombre de 28 au total, d’une part, afin de cerner les prérogatives réelles des unes et des autres, pas toujours très claires, et d’autre part, déterminer le niveau de rendement de chacune d’entre elles. Il est impossible de continuer à soutenir financièrement ces entreprises, considèrent encore les termes du rapport en question. Voilà le fin mot de l’expertise. On doit fatalement aller vers l’élimination des entreprises non rentables ou qui ont des chevauchements de prérogatives avec d’autres sur le même terrain, souligne-t-on clairement. Seules les entreprises capables de participer au développement local et de créer une plus-value resteront en activité, souligne le rapport de la commission spécialisée. Les gérants de ces entreprises doivent se creuser les méninges à propos des moyens de leurs financements propres, car ils doivent dès à présent se préparer à cette échéance qui les mettrait à l’épreuve de la compétitivité. De deux choses l’une, soit assurer leur survie financière ou disparaître. Sans état d’âme pour les travailleurs qu’on a recrutés par vagues dans un cadre social.

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Affaire El Boucher: De nouvelles révélations

Sun, 07/22/2018 - 12:46

Selon la chaîne Ennahar, l’associé de Kamel El Boucher a été entendu par la justice, suite à l’histoire des 701 kg de cocaïne.

Messaoud N déclare avoir connu Kamel Chikhi en 2000, et que sept ans après, il devient son associés dans l’importation de viande a partir de l’Inde et du Brésil, et dans l’immobilier.

Messaoud N, raconte que Kamel Chikhi l’avait appeler pour lui dire qu’une grande de quantité de drogue a été retrouvée dans la viande. A son arrivée au bureau, Messaoud N, retrouve Kamel Chikhi en pleurs déclarant ignorer la provenance de cette drogue.

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Un projet vieux de 10 ans: L’appel des souscripteurs aux 89 logements LSP

Sun, 07/22/2018 - 12:45

Par Mokhtaria Bensaâd.

Plus de dix ans après le dépôt de leurs dossiers de logement chez un promoteur immobilier, les souscripteurs au projet des 89 logements LSP, prévu au POS 50 à Bir El Djir, attendent toujours la remise des clés.

Malgré les mises en demeure adressées au promoteur, pour le retard accusé dans la réalisation du projet et les plaintes auprès des services concernés, la situation n’a pas évolué et le projet est encore en chantier. Selon la représentante du collectif des souscripteurs aux 89 logements, «la seule explication que le promoteur a avancé, justifiant ce retard, est le non versement des premières tranches du coût des logements. Chose qui n’est pas vraie étant donné que les futurs acquéreurs ont réglé le prix de leurs logement, à raison de 70%».

Selon les documents concernant ce projet remis à notre rédaction, la livraison des 89 logements était prévue, fin 2011. Pour les souscripteurs, depuis cette date le projet traîne sans aucune possibilité de s’inscrire dans d’autres formules de logements telle que AADL ou LPA, du moment que l’aide au logement de 700.000 DA, prévue par l’Etat a été dégagée. Dans une longue lettre adressée aux autorités locales expliquant la situation, le collectif des souscripteurs aux 89 logements souligne que le promoteur n’a pas eu à payer des pénalités de retard exigées par la loi. La représentante du collectif a expliqué que «les logements sont, actuellement, en chantier, sans carrelage, sans électricité, sans eau, sans VRD. Il manque les finitions pour qu’ils soient habitables». Comme dernier recours, les futurs acquéreurs adressent un énième appel aux Autorités locales pour prendre les mesures qui s’imposent et inciter le promoteur à achever le projet.

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Investissement : Le département d’Etat évoque  » des opportunités considérables  » en Algérie

Sun, 07/22/2018 - 12:42
L’Algérie représente une destination attractive pour les investisseurs américains, a indiqué jeudi le département d’Etat, qui évoque  » des opportunités considérables  » dans pratiquement tous les secteurs économiques. Dans son rapport 2018 sur le climat d’investissement dans le monde, le département d’Etat relève que l’Algérie est  » un marché lucratif « , offrant un potentiel important pour les compagnies américaines en matière d’investissement. Citant des représentants du secteur privé américain opérant en Algérie, le rapport souligne que  » plusieurs secteurs offrent potentiellement des opportunités considérables de croissance à long terme pour les entreprises américaines « .  » De nombreuses entreprises ont signalé avoir enregistré des bénéfices annuels à deux chiffres « , précise le rapport qui indique qu’il existe des opportunités dans pratiquement tous les secteurs de l’économie algérienne. Pour les investissements importants  » les secteurs ciblés ( ) comprennent l’agriculture, le tourisme, les technologies de l’information et de la communication, l’industrie, l’énergie (fossile et renouvelable), la construction et la santé « , énumère ce rapport qui évoque un  » investissement hautement gratifiant  » couplé à  » un environnement politique et sécuritaire stable » favorable aux affaires. Le département de Mike Pompeo, rappelle à ce titre le programme de diversification de l’économie, mis en oeuvre par le gouvernement pour doper la croissance dans le sillage de la baisse des cours de pétrole avec un focus sur l’investissement direct étranger.  » Le gouvernement algérien poursuit son objectif de diversification de l’économie en mettant l’accent sur les moyens d’attirer les investissements directs étrangers pour stimuler l’emploi et substituer les importations par une augmentation de la production locale « , constate le département d’Etat, mettant en avant le nouveau code de l’investissement qui a institué des  » exonérations fiscales lucratives  » ainsi que d’autres incitations à l’investissement. Cependant le rapport note que les entreprises américaines doivent surmonter certains défis comme la concurrence des prix de la part des entreprises  françaises, turques et chinoises. Les grandes entreprises s’accommodent de la règle 51/49  Si le département d’Etat soutient que la règle dite « 51/49 », régissant l’investissement étranger, « pose des défis » aux investisseurs américains, il constate que cette mesure  » entrave  » en particulier l’accès des PME au marché algérien car ces petites et moyennes entreprises ne disposent pas de ressources humaines et financières qui leur permettent de répondre aux exigences de l’investissement. A l’opposé, les grandes compagnies qui créent de l’emploi et disposent d’un savoir-faire et d’équipements trouvent  » des moyens créatifs  » pour investir dans le cadre de cette mesure, extirpée du code de l’investissement en 2016. Le rapport relève que le gouvernement et plusieurs investisseurs étrangers sont d’accord sur le fait que l’institution  » de mesures adaptées peut atténuer l’effet  » de cette disposition en permettant au partenaire étranger d’assurer le management de la joint-venture et même en devenir le plus grand actionnaire. Se référant aux explications apportées par le gouvernement à ce sujet, le document rappelle que l’institution de cette mesure a été motivée par le besoin « d’empêcher la fuite des capitaux, protéger les entreprises algériennes et fournir aux compagnies étrangères une expertise locale ».  » Il y a peu de lois restreignant l’investissement étranger  » en Algérie, relève-t-il. Au chapitre des facilitations à l’investissement, le document note que le portail d’information en ligne dédié à la création d’entreprises (www.jecreemonentreprise.dz) « est clair, bien conçu, permet une navigation rapide « et répertorie un maximum de neuf étapes impliquant sept agences pour créer une entreprise. Citant le dernier rapport de Doing Business, le rapport note que l’Algérie a enregistré une amélioration dans deux indicateurs mesurés par ce classement à savoir la facilité de raccordement à l’électricité et l’obtention de permis de construire. Au plan financier, les banques en Algérie affichent une solide santé financière malgré la baisse des liquidités. Les actifs non performants du secteur bancaire avoisinent un taux de 5%, qui représente la norme pour les marchés émergents. En parallèle, le marché financier, adéquatement réglementé, fonctionne efficacement malgré sa petite taille, précise le rapport qui rappelle l’objectif de l’Algérie d’atteindre une capitalisation boursière de 7,8 milliards de dollars dans les cinq prochaines années. Concernant le transfert de dividendes soulevé par quelques entreprises américaines, le rapport affirme qu’Il  » y a peu de restrictions légales à la conversion, au transfert et au rapatriement des fonds « . Il explique que certaines difficultés constatées  » résultent plutôt des procédures que de limites imposées par la loi « . Saïd B.

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Fruits et légumes: Vague de fraîcheur sur les prix

Sun, 07/22/2018 - 12:42

Par Yazid Alilat.

En dépit d’une température qui tutoie allègrement les 40 °C dans plusieurs régions du pays, un vent de fraîcheur balaie les prix des fruits et légumes depuis le début de ce mois de juillet. L’arrivée sur le marché des produits agricoles de saison n’est pas étrangère à cette baisse sensible des prix des fruits et légumes.

Dans les marchés de Blida, qui concentre les produits des quatre marchés de gros de la région centre (Attatba, Boufarik, Bougara et Les Eucalyptus), les ménagères ont en effet constaté une décrue significative des prix, notamment de la tomate (50-60 DA/kg), dont la tomate industrielle, revendue en moyenne entre 30 et 35 DA/kg. Les poivrons sont à 100 DA/kg alors que les carottes, navet et aubergine sont à moins de 70 DA/kg. La baisse la plus significative est celle des haricots blancs, vendus parfois à moins de 200 DA/kg, alors qu’en moyenne, leur prix ne descend pas au delà des 250 DA/kg.

Au mois de ramadhan dernier, les haricots blancs s’étaient vendus à plus de 300 DA/kg. Même tendance baissière pour les autres types de haricots, dont celui dit ‘’grini », une variété de haricots rouge et blanc, vendue entre 150 et 180 DA/kg, alors que le haricot vert est cédé aux alentours des 120 DA/kg. La pomme de terre reste, quant à elle, scotchée autour des 40-50 DA le kg, mais le consommateur a le choix entre plusieurs variétés, celles d’Oued Souf ou des zones de production des régions ouest (Mascara, Mostaganem, Aïn Defla…).

Quant aux viandes, elles restent dans la moyenne annuelle, avec 1.500-1.600 DA/kg pour la viande ovine ou bovine, alors que les prix du poulet font du ‘’yoyo » en raison du taux de mortalité des élevages durant la saison chaude. La décrue des prix des légumes est également constatée pour les fruits, avec une chute du prix de la pastèque à 25 DA/kg, alors que certains marchands vendent ce fruit à raison de 150 DA/pièce. La pêche est à 160 DA/kg, le brugnon et la nectarine à moins de 160 DA/kg et avec les premiers arrivages de raisin, le gros noir est vendu à 160 DA/kg. La pomme locale, assez bonne, juteuse et bien charnue est vendue cependant entre 220 et 250 DA/kg, le même prix que la poire, qui commence à entrer dans les marchés.

Le melon reste, quant à lui, assez cher, entre 70 et 100 DA/kg, pour des raisons que les marchands se gardent d’évoquer, se contentant de dire que les prix sont excessifs au marché de gros. La décrue des prix des principaux produits agricoles frais avait commencé vers la mi-juin, qui avait coïncidé avec la fin du mois de ramadhan et les premières récoltes des produits de saison. En attendant les statistiques du mois de juin, l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel avait été de 4,4% jusqu’à mai 2018, avait indiqué dans son dernier bilan sur l’inflation l’Office national des statistiques (ONS).

Dans ses projections, le gouvernement prévoit dans la loi de finances 2018 une inflation moyenne de 5,5%, soit une hausse généralisée des prix, et, surtout, un des effets directs du recours au financement non conventionnel, une trop grande masse fiduciaire en circulation sans contrepartie. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont enregistré, selon l’ONS, une hausse de 3,7%, dont les prix des produits agricoles frais, qui ont augmenté de 6,4%. Globalement et durant le mois de mai dernier, il y a eu des hausses assez remarquables pour les légumes (+15,1%), les fruits (+9,6%) et la viande blanche (+6,8%). Par contre, certains produits alimentaires frais ont affiché des variations négatives, principalement les œufs (-5,2%) et le poisson (-8,3%).

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Développement agricole national : Complémentarité économique et sociale

Sun, 07/22/2018 - 12:32
Dossier préparé par Ammar Zitouni. Cette  complémentarité  est la conséquence  structurelle  la plus évidente  qui correspond à la description visant le progrès et la croissance  qui sont deux principes  inséparables nécessaires  et irréductibles l’un à l’autre  et qui coexistent  partout dans les économies modernes afin d’évoluer ensemble  avec beaucoup  de relations  et de connections entre eux, c’est-à-dire  un champ sectoriel, où principalement pour le cas de l’économie nationale, l’industrie  et l’agriculture  ne doivent pas être isolées  l’une de l’autre : l’industrie devra ainsi se mettre à consommer  une grande partie  de la production agricole. D’autre part, l’agriculture  devra utiliser une portion importante de biens industriels car ne l’oublions pas  l’autoconsommation  absorbe la plus grande partie  de la production  agricole. Peu d’insertion dans le circuit économique Cependant,  il est relevé que les investissements d’exploitation des terres agricoles, des terres arables restent faibles  d’où le constat  de plusieurs analyses  et autres expertises qui répondent que l’agriculture algérienne  s’insère très peu  dans le circuit économique. C’est aussi un secteur marqué  du fait  de l’inexistence de très peu d’activités  de production tournées  vers une économie de marché composée  de cultures suffisantes pour le marché local  et pour l’exportation à grande échelle. Une activité de production capable d’accumulation  du capital, d’utilisation  de techniques modernes et de faire dans  l’investissement pour soulever ce secteur retardataire pour diverses raisons notamment la sécheresse  et le vieillissement  des fellahs mais aussi l’abandon  des exploitations agricoles par leurs bénéficiaires au profit de personnes qui n’ont rien de commun avec la terre. Développent agricole et  rural au cœur des priorités de l’Etat A cela s’ajoute aussi la décennie noire durant laquelle le secteur de l’agriculture a énormément pâti de la crise qu’a traversée l’Algérie deux décennies  en arrière, les difficultés financières ayant contraint l’Etat à se désengager  de l’activité agricole  sans qu’une alternative suffisante ne soit mise  en place. Des difficultés  exacerbées par les affres du terrorisme  abject  et les souffrances  engendrées  par la tragédie nationale, dont la  désertion des campagnes, le  Président Abdelaziz Bouteflika dans son programme politique a placé le développement agricole  et le développement  rural au cœur  des priorités de l’Etat. Ainsi à partir  de 2000, un plan national  de développement  agricole a été lancé et visant  à encadrer  le renouveau agricole  et à relancer  le secteur en encourageant  les fellahs  et en mettant à contribution  les initiatives privées  à travers  la mise en valeur  des terres  et l’investissement.  Cet  intérêt du Président Abdelaziz Bouteflika  pour la campagne  et ses populations s’est traduit par l’allégement  des charges sur les exploitations agricoles  collectives, la mobilisation  du soutien  et des mesures incitatives en faveur  de l’activité agricole  dans les différentes régions et à la plupart  des créneaux, de l’élevage et à la céréaliculture en passant par la conservation  des forêts ainsi que la redynamisation de l’activité halieutique. Plan de redressement adéquat Face à  ce tracé, face à  ces problèmes, lacunes et  autres difficultés  empêchant  la transformation et la modernisation du système agricole, l’action du ministère de l’Agriculture s’est fixée un développement  des activités  agricoles productives  visant tout d’abord à conforter  la sécurité alimentaire du pays, diversifier l’économie nationale  et réduire  le déséquilibre  de la balance commerciale  des principaux produits de base Dans cette perspective  on  note l’extension des superficies  irriguées d’un million d’hectares qui seront issus  de la valorisation    et la consolidation  du potentiel existant sur une superficie  de 261 500 hectares, la création de nouveaux périmètres de  concessions agricoles  avec la mise en valeur effective de 370 000 hectares  et la création  de nouveaux grands  périmètres  d’irrigation  totalisant une superficie de 331 000 hectares, la poursuite du développement  agricole  de l’agriculture saharienne, par la création  de nouveaux périmètres  de mise en valeur ,  la résorption de la jachère qui doit porter  à terme  sur une superficie  de 576 000 hectares  qui seront consacrés  aux légumes fourragers, le développement  et le recours  aux semences  à haut  potentiel productif. Le développement de l’industrie agroalimentaire  visant à valoriser  les productions agricoles, notamment  pour certaines  spéculations  ayant connu  une croissance  avérée  (maraîchage  dont la pomme de terre et l’oignon, viandes blanches et rouges…) et de promouvoir l’exportation  des produits agricoles bénéficiant  d’avantage  comparatifs .  Il s’agit  en fait  d’un plan ayant comme objectifs principaux le développement de filières stratégiques susceptibles de rentabilité  financière suite à la baisse  drastique  des ressources financières du pays pour cause  de la crise que traverse le marché pétrolier mondial  et ainsi s’ouvrir sur le nouveau modèle de croissance économique à partir du secteur de l’agriculture. A ce sujet, le recours à l’investissement privé  national, dans le cadre du partenariat  public-privé et privé-privé se fixe l’émergence d’exploitations agricoles  à taille critique comme locomotive  de la croissance agricole. Un développement plus soutenu  des filières stratégiques  (céréales, lait, fourrages, viandes, légumes secs) et surtout la substitution    aux importations massives  de certains produits agricoles et alimentaires. Dans ce dernier secteur, il  s’agit beaucoup plus de construction de filières agricoles  et agroalimentaires  dédiées  à l’exportation et permettant ainsi de diversifier  les ressources financières extérieures du pays. En phase avec le nouveau modèle de croissance économique Dans cet esprit, le nouveau modèle de croissance du secteur agricole se fixe  cinq idées-forces qui en constituent la matrice : l’investissement privé comme moteur de la croissance agricole- l’intégration  pour une meilleure construction des chaînes de valeur- l’innovation comme clé de la modernisation  et du développement agricole  et la pêche-  l’irrigation  pour un accroissement  soutenu de la productivité et enfin l’inclusion  comme garantie d’une participation effective. Mettre en place des jalons clairs A présent, il s’agit comme l’a souligné le Président Abdelaziz Bouteflika  dans son message adressé aux Assises nationales de l’agriculture, le 23 avril dernier  de mettre en place des jalons clairs  pour favoriser l’investissement  dans le domaine de l’agriculture. Ce qui nécessite  encore d’avantage d’effort  afin de parvenir à garantir la sécurité alimentaire du pays  et à augmenter l’apport de l’agriculture  à la croissance nationale  et à la diversification  de l’économie.  A ce propos, le chef de l’Etat a rappelé :  » Les  résultats  enregistrés par le secteur de l’agriculture  sont louables compte tenu des difficultés et des entraves entourant  cette activité. En effet, l’agriculture demeure largement tributaire de la pluviométrie en dépit de l’effort  consenti par l’Etat  pour la construction de barrages, et ce, parce que notre pays  est confronté aux changements climatiques  et que l’activité agricole nécessite le recours à grande échelle aux techniques modernes en matière d’irrigation et d’économie d’eau.  Par ailleurs, l’économie agricole souffre d’une faible structuration qui expose son activité fondamentale  à la spéculation. Un problème qui doit interpeller et le secteur et ses acteurs pour accorder davantage d’intérêt  à leurs cadres, notamment aux chambres et associations professionnelles afin de préserver leurs intérêts et permettre à notre société de bénéficier de l’effort des agriculteurs  et du fruit de leur labeur. A ces lacunes, s’ajoutent le désintérêt  des jeunes pour l’activité agricole  et le recours  insuffisant aux moyens techniques garantis  par l’Etat « .  Le chef de l’Etat ajoute en interpelant les jeunes à s’impliquer dans l’activité agricole.  » Oui, nous notons avec inquiétude le phénomène  du vieillissement dans le milieu agricole, et c’est pourquoi nous exhortons  nos jeunes à s’intéresser  davantage  à cette activité lucrative pour les agriculteurs et capitale pour  nous tous, en tant que peuple et en tant que pays. A ce propos, j’appelle l’ensemble  des  concernés  dans l’Etat à promouvoir  la formation dans le domaine de l’agriculture et ses filières  dans les différents cycles de notre système universitaire  et de formation « . A. Z.

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Investissements, banques, législation… »L’économie algérienne sous la loupe du Département d’État US »

Sun, 07/22/2018 - 12:25

La situation économique en Algérie, vue des USA, estdiversement appréciée. Si leFMI, dans son dernier rapport,curieusement passé à l’as parles autorités officielles,critique sévèrement les choixdu gouvernement, notammentle recours à la planche àbillets, le Département d’étatnuance, quant à lui, leconstat…

Le Département juge en effet que le pays représente « une destination attractive pour les investisseurs américains,avec des opportunités considérables ». Dans son rapport 2018 sur le climat d’investissement dans le monde, le Département d’État relève que l’Algérie est « un marché lucratif », offrant un potentielimportant pour les compagnies américaines en matière d’investissement.

Citant des représentants du secteur privéaméricain opérant en Algérie, le rapportsouligne que « plusieurs secteurs offrentpotentiellement des opportunités considérables de croissance à long terme pour lesentreprises américaines ». »De nombreuses entreprises ont signalé avoir enregistré des bénéfices annuels àdeux chiffres », précise le rapport quiindique qu’il existe des opportunités danspratiquement tous les secteurs de l’économiealgérienne.

Pour les investissementsimportants « les secteurs ciblés comprennentl’agriculture, le tourisme, les technologiesde l’information et de la communication, l’industrie, l’énergie (fossile et renouvelable), la construction et la santé »,énumère ce rapport qui évoque un « investissement hautement gratifiant couplé à unenvironnement politique et sécuritaire stable »favorable aux affaires.Le Département d’État rappelle, à ce titre, le programme de diversification de l’économie mis en oeuvre par le gouvernementpour doper la croissance afin de faire face àla baisse drastique des cours de pétrole et zoome sur l’investissement direct étranger.

« Le gouvernement algérien poursuit sonobjectif de diversification de l’économie en mettant l’accent sur les moyens d’attirer lesinvestissements directs étrangers pourstimuler l’emploi et substituer les importations par uneaugmentation de la productionlocale »,constate le Département d’État, mettant en avant le nouveau code de l’investissement qui a institué des « exonérations fiscales lucratives » ainsi que d’autres incitations à l’investissement.

Si le Département d’État soutient que la règle dite « 51/49 », régissant l’investissement étranger, « pose des défis » aux investisseurs américains, il constate que cette mesure « entrave » enparticulier l’accès des PME au marché algérien car ces petites et moyennes entreprises ne disposent pas de ressources humaines et financières qui leur permettent de répondre aux exigences del’investissement. A l’opposé, les grandes compagnies qui créent de l’emploi et disposent d’un savoir-faire et d’équipements t r o u v e n t « des moyens créatifs » pour investir dans le cadre de cette mesure, extirpée du code de l’investissement en 2016.

Le rapport relève que le gouvernement et plusieurs investisseurs étrangers sont d’accordsur le fait que l’institution « de mesures adaptées peut atténuer l’effet » de cette disposition en permettant au partenaire étranger d’assurer le management de la joint-venture et même en devenir le plus grand actionnaire.Se référant aux explications apportées par le gouvernement à ce sujet, le document rappelle quel’institution de cette mesure a été motivée par lebesoin « d’empêcher la fuite des capitaux, protéger les entreprises algériennes et fournir aux compagnies étrangères une expertiselocale ». Au plan financier, les banques en Algérie affichent une solide santé financière malgré la baisse des liquidités. Les actifs nonperformants du secteur bancaire avoisinent un taux de 5 %, qui représente la norme pour les marchés émergents.

En parallèle, le marché financier, adéquatement réglementé, fonctionne efficacement malgré sa petite taille, précise le rapport qui rappelle l’objectif de l’Algérie d’atteindre une capitalisation boursière de 7,8 milliards de dollars dans les cinq prochaines années. En parallèle aux potentialités du marchéalgérien, le rapport pointe également lesobstacles auxquels sont confrontés les investisseurs étrangers qui veulent bien, « prendre le risqueAlgérie » et avance toute une litanie, à commencer par les Douanes. « Lesentreprises américaines doivent surmonterles problèmes douaniers, une bureaucratie enracinée, des difficultés de transferts monétaires, des restrictions sur le taux de change, et la rude concurrence des autrespartenaires internationaux, en particulier de la Chine, de la Turquie et de la France ». Le rapport souligne également.

« L’adoption par l’Algérie d’une politiquede substitution des importations (qui) afortement limité le commerce extérieur, avec comme conséquences des pénuries d’approvisionnement et des hausses deprix ». Le rapport a rappelé, à ce propos, les différentes décisions relatives à la restriction des importations depuis 2017, dont les licences d’importation,mises en place puis annulées, pour certains produits, et la liste des 851 produits interdits à l’importation adoptée en janvier 2018.

Par Riad El Hadi.

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Categories: Afrique

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