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Union européenne

Les mesures contre la pandémie ont évité 3,1 millions de décès en Europe

Euractiv.fr - Wed, 06/10/2020 - 09:18
Le confinement et les autres « interventions non pharmaceutiques » ont efficacement contribué à la réduction de la transmission du coronavirus en Europe. Plus de 3 millions de vies auraient ainsi été sauvées, selon une étude. Un article d’Euroefe.
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L’Amérique latine devient le nouvel épicentre de la pandémie

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 11:36
L'Amérique latine, qui compte désormais plus d’un million de personnes atteintes du COVID-19, est devenue le nouvel épicentre de la pandémie au cours des dernières semaines. Le mois prochain sera crucial pour ralentir la progression de l'épidémie dans cette région.
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En mal de procureurs indépendants, Malte freine la création du Parquet européen

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 11:31
Il ne manque plus qu’eux pour boucler l’équipe du nouveau Parquet européen… Mais la petite île peine à trouver des candidats. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
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L’économie française devrait mettre au moins deux ans à se relever de la pandémie

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 11:11
Après sa mise à l’arrêt pendant le confinement et son redémarrage progressif, l’économie française va mettre du temps à se remettre de la pandémie, prévient la Banque de France, qui anticipe une chute record d’environ 10 % du PIB cette année.
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Les agriculteurs bulgares priés de se taire sur les erreurs de financement de l’UE

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 10:40
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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La PAC a échoué à stopper le déclin de la biodiversité des terres agricoles

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 10:09
La politique agricole commune n’a pas réussi à freiner l’érosion de la biodiversité dans les exploitations, conclut un audit de la Cour des comptes européenne publié le 5 juin. Un article de notre partenaire le Journal de l’environnement.
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L’UE prépare une base de données biométriques pour les contrôles aux frontières Schengen

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 09:45
L’Union européenne prépare une vaste base de données qui compilera, à partir de 2022, les empreintes digitales et les portraits de plus de 400 millions de personnes, afin de contrôler les entrées dans l’espace Schengen et les sorties.
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Les eurodéputés exigent la condamnation des brutalités policières en Europe

Euractiv.fr - Tue, 06/09/2020 - 09:45
Un groupe de 118 eurodéputés a demandé à la Commission européenne de condamner les brutalités policières au sein de l'UE et de convoquer un sommet antiraciste. Il réclame aussi l’adoption d’une loi anti-discrimination bloquée au Conseil depuis 12 ans.
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La Grèce prolonge le confinement des camps de migrants

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 11:54
La Grèce a prolongé de deux semaines le confinement imposé aux camps de migrants surpeuplés pour juguler la propagation du coronavirus. Par ailleurs, le pays prépare une reprise du tourisme, essentiel pour son économie. Un article de notre partenaire Ouest-France.
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L’UE veut renforcer la lutte contre les abus sexuels à l’encontre des enfants

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 11:27
L’UE va dévoiler des mesures destinées à combattre les abus sexuels à l'encontre des enfants après que la demande de contenus illégaux impliquant des mineurs a fortement augmenté sur internet, a annoncé la commissaire européenne aux affaires intérieures, Ylva Johansson.
Categories: Union européenne

L’UE rouvrira ses frontières extérieures dès le mois de juillet

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 11:27
Les frontières intérieures de l’UE seront toutes rouvertes d’ici à la fin du mois de juin et les restrictions de déplacements en dehors de l’Europe seront levées à partir de juillet, selon la commissaire aux affaires intérieures, Ylva Johansson.
Categories: Union européenne

Le Premier ministre espagnol exhorte les jeunes à la prudence face au risque d’une deuxième vague

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 11:02
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
Categories: Union européenne

L’UE et le Royaume-Uni soutiennent la distribution de vaccins dans les pays en développement

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 09:19
Lors du sommet mondial sur la vaccination organisé le 4 juin, des acteurs des secteurs privé et public ont promis de débloquer plus de 7,5 milliards de dollars pour financer des vaccins contre les maladies infectieuses dans les pays pauvres.
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Prenons la mer pour faire renaître l’Europe !

Euractiv.fr - Mon, 06/08/2020 - 09:10
Sans frontières, riche de ses écosystèmes et de perspectives de développement, l’océan est un bien commun de l’Humanité. Mais le réchauffement climatique, les pollutions et nos activités le mettent sous pression. Pour l’UE, l’enjeu est-il vraiment une priorité ?
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Coronavirus: la BCE administre un traitement de cheval à la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Sun, 06/07/2020 - 20:27

Face à une récession qui n’a atteint une telle ampleur que lors des deux guerres mondiales, la Banque centrale européenne (BCE) est déterminée à faire tout ce qui est nécessaire pour amortir le choc de la crise du coronavirus. Jeudi 4 juin, elle a décidé d’augmenter de 600 milliards d’euros son «programme d’urgence face à la pandémie»(PEPP selon son acronyme anglais) de rachat de dettes privées et publiques et de le prolonger d’au moins six mois, jusqu’en juin 2021.

Cette somme s’ajoute donc aux 750 milliards d’euros annoncés le 19 mars et aux 300 milliards décidés les semaines précédentes. L’institut d’émission va ainsi injecter dans le système financier 1650 milliards d’euros, ce qui va permettre aux Etats de continuer à s’endetter à moindre coût et aux entreprises de trouver de l’argent frais.

Une récession de guerre

Les prévisions économiques catastrophiques que la BCE a publiées jeudi justifient cet interventionnisme sans précédent. La «chute brutale de l’activité économique, du fait de la pandémie de coronavirus et des mesures prises pour la contenir» entraînera, selon la présidente de l’Institut d’émission Christine Lagarde, une récession de -8,7% du PIB en 2020, avant un rebond de +5,2% en 2021 et de +3,3% en 2022. La Commission européenne, elle, espérait encore le 6 mai que le recul de l’activité serait contenu à -7,7 % et que le rebond atteindrait 6,3%.

Le pire est qu’il s’agit encore d’estimations à la louche comme le reconnaît Christine Lagarde, un scénario encore plus noir étant plus que probable. Pour elle, tant la contraction que la reprise «dépendront de la durée et de l’efficacité» des mesures de confinement, des politiques de relance et de soutien de l’emploi, ainsi que de «l’impact durable» sur la demande.

Une prudence confirmée par les faits : alors que la Commission tablait sur récession de -8,2% pour la France, Paris a annoncé en début de semaine qu’elle s’établirait au moins à -11% du PIB (équivalente à celle de 1942 dans une France occupée par l’Allemagne nazie…). Si l’on ajoute à ces chiffres les prévisions d’inflation qui ne dépassera pas 0,3% en 2020 et 0,8% en 2021, loin de l’objectif des 2%, la BCE n’a effectivement guère d’autres choix que de déployer tous les moyens à sa disposition.

120 milliards d’euros par mois

Depuis trois mois, Francfort (siège de la BCE) rachète donc sur le marché, dans le seul cadre du PEPP, 4 milliards d’euros de dettes par jour, soit 120 milliards par mois. En comparaison, au plus fort du «quantitative easing» (QE, assouplissement quantitatif), un programme déployé entre mars 2015 et décembre 2018 afin de contrer la menace déflationniste (il a été ranimé en novembre 2019), les rachats n’ont jamais dépassé 80 milliards par mois.

Si la BCE maintient ce rythme, la limite des 1 350 milliards sera atteinte non pas en juin 2021, mais en février : autrement dit, cela laisse ouverte la possibilité d’une nouvelle augmentation du plan pandémie de 500 milliards d’euros… La couleur avait d’ailleurs été annoncée par Christine Lagarde le 19 mars : «Il n’y a pas de limite à notre engagement envers l’euro.»

A terme, la BCE va avoir dans ses coffres l’équivalent de 40% du PIB de la zone euro. En effet, elle détenait déjà, avant le début de la crise du coronavirus, 2 600 milliards d’euros de dettes (dont 2 200 de dettes publiques) acquises dans le cadre du QE. Un bilan proprement stupéfiant qui montre la gravité des chocs successifs subis depuis 2015 par la zone euro.

Soulager la BCE

Cet interventionnisme de la Banque centrale est en partie justifié par l’absence de politique budgétaire européenne : avec un budget limité à environ 1% du PIB communautaire, l’Union n’a pas vraiment les moyens de venir en aide aux économies les plus touchées par les mesures de confinement. En maintenant artificiellement des taux bas, Francfort permet à ces derniers de pouvoir s’endetter à bon compte pour réparer les dégâts, ce qui n’est pas particulièrement sain. Mais l’arrêt de la Cour constitutionnelle allemande du 5 mai qui a menacé de déclarer inconstitutionnelle la politique monétaire de la BCE, a contraint Berlin a changé son fusil d’épaule : jusque-là réticente à toute solidarité financière, Angela Merkel, la chancelière allemande, a accepté, le 13 mai, le principe d’une dette commune afin de mutualiser en partie les dépenses de relance des économies.

Dans la foulée, la Commission a proposé, le 27 mai, de créer un «fonds de relance» doté de 750 milliards d’euros qui seront réunis en empruntant sur les marchés, un somme qui sera ensuite redistribuée aux Etats à raison de 500 milliards en subventions et 250 en prêts. Si ce fonds, qui s’ajoutera aux 540 milliards d’euros de prêts que les institutions européennes ont dégagés pour aider les pays les plus touchés, est adopté par les Vingt-Sept, cela soulagera d’autant la BCE et convaincra peut-être les juges constitutionnels allemands de ne pas déclarer son action illégale au risque d’accroître un peu plus le marasme.

Photo Michael Probst. AP

Categories: Union européenne

Et si le Royaume-Uni était toujours membre de l'UE?

Coulisses de Bruxelles - Sun, 06/07/2020 - 20:24

«We want to keep our money !» «Pas une livre pour Bruxelles !»«Pas d’argent britannique pour les fainéants du sud !» «Non aux Etats-Unis d’Europe !» La presse populaire britannique, du Sun au Telegraph en passant par le Mirror, se déchaîne depuis que la Commission européenne a dévoilé, le 27 mai, son projet de «fonds de relance». Il faut dire qu’il ne propose rien de moins que de mutualiser une partie de la dette engendrée par les dépenses de reconstruction de l’après-coronavirus, et de mettre en place une politique industrielle dirigiste ! L’horreur vue de l’autre côté du Channel.

La presse de qualité n’est pas en reste : The Economist dénonce cette fédéralisation rampante de l’Union, ce «moment hamiltonien» ne reposant sur aucune base démocratique. Le Financial Times, lui, épingle cette Union qui se veut plus grosse que le bœuf : que la zone euro, qui ne peut que disparaître comme il l’affirme depuis vingt ans, s’endette, c’est son affaire, mais pas question que le Royaume-Uni se retrouve embarqué dans cette galère.

Le fait que le pays pourrait recevoir environ 80 milliards d’euros n’émeut personne. Le Premier ministre britannique fait immédiatement savoir que ce fonds de relance constitue une «red line» et qu’il posera son véto à cette folie qui va engager son pays dans le long terme, cette dette européenne s’étalant jusqu’à trente ans. Il sait qu’il va coaliser autour de lui au moins l’Autriche, le Danemark, la Finlande, les Pays-Bas, la Suède, la Tchéquie et les Baltes.

Un plan mort-né

Evidemment, il s’agit d’une simple politique-fiction, d’un «what if», le Brexit ayant eu lieu le 31 janvier. Mais personne ne doute un instant à Bruxelles que si le Royaume-Uni était encore membre, le fonds de relance serait mort-né. La Commission n’aurait même sans doute jamais osé le proposer, sachant que cela aurait été dépenser de l’énergie en pure perte. Car, pour les Britanniques, l’Union ne doit surtout pas être plus qu’une zone de libre-échange, et que le meilleur gagne.

«Du temps du déclin de son influence dans l’Union, il est clair que le Royaume-Uni aurait bloqué comme l’a fait David Cameron en 2013 pour obtenir une baisse du budget, nuance un diplomate européen. Sous Margaret Thatcher ou Tony Blair, en revanche, il aurait sans doute élaboré une contre-proposition pour vider de son contenu le projet de fonds de relance, comme il l’a fait avec l’agenda de Lisbonne de 2000. C’était une bonne idée que l’Union devienne l’économie la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici 2010, mais il s’est opposé à tout instrument de contrainte. Là, ils auraient proposé que l’on fasse de la «méthode ouverte de coordination» des plans de relance nationaux, c’est-à-dire que l’on s’inspire volontairement de ce qui se fait ailleurs. Et bien sûr pas d’emprunt européen.»

Capacité de sabotage

Autant dire que la capacité de sabotage du Royaume-Uni apparaît au grand jour quatre mois après son départ grâce, si l’on peut dire, à la crise du coronavirus. Ce qui était inimaginable avec lui devient possible sans lui. Certes, il y a toujours des eurosceptiques dans l’Union, mais il faut reconnaître que le Brexit a considérablement modifié l’équilibre entre les 19 pays de la zone euro et les huit hors zone euro. Avec Londres, la principale place financière de l’Union, l’équilibre économique était d’environ un tiers contre deux tiers, ce qui impliquait que la zone euro devait toujours tenir compte des intérêts du reste de l’Union.

Ce n’est plus le cas, les non-membres de la zone euro ne pesant plus que 15 % du PIB de l’Union. Désormais, le centre de gravité est clairement dans la zone euro et le sera encore plus si le fonds de relance qui établit un lien entre coordination des politiques économiques et financement est adopté : les pays hors zone euro devront s’aligner s’ils veulent obtenir de l’argent frais.

Dernier point : ce saut dans l’intégration communautaire va rendre encore plus difficile la future relation entre Londres et le continent. En effet, le fonds de relance met en place une stratégie industrielle qui a vocation à transformer en profondeur le marché intérieur afin de l’adapter au pacte vert et à la révolution numérique. «Si on réussit notre coup, l’économie européenne va rebondir fortement et s’intégrer comme jamais», explique un diplomate de haut niveau.

Or, les Brexiters qui, pariant sur la porosité du système européen, espéraient garder un pied dehors, un pied dedans, en seront pour leurs frais : l’Union va devenir un bloc avec lequel il deviendra impossible de transiger. D’autant que l’Union aura d’autres chats à fouetter dans les années qui viennent que de chercher un compromis avec un pays tiers qui croit être le centre du monde. Le Brexit est décidément la meilleure chose qui soit arrivée à l’Union, même si cela risque d’être une catastrophe pour le Royaume-Uni.

Photo Yara Nardi. Reuters

Categories: Union européenne

Centrales thermiques : une inertie au coût élevé

Euractiv.fr - Fri, 06/05/2020 - 11:41
Les centrales à charbon et à gaz devront fermer 10 à 30 ans avant leur longévité habituelle de 35 à 40 ans afin de respecter les objectifs climatiques, révèle une étude. Un article de notre partenaire, le Journal de l’environnement.
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Le spectre de nouveaux retards plane sur les aides PAC

Euractiv.fr - Fri, 06/05/2020 - 11:41
Le confinement a retardé les déclarations des agriculteurs, ce qui pourrait affecter le calendrier de versement, craint l’administration. Les chambres d’agriculture se veulent rassurantes. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
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Les manifestations contre les discriminations relancent le débat sur le colonialisme en Belgique

Euractiv.fr - Fri, 06/05/2020 - 10:59
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
Categories: Union européenne

Les interprètes européens laissés pour compte face à la pandémie

Euractiv.fr - Fri, 06/05/2020 - 10:01
L’annulation des réunions en raison du COVID-19 a porté un coup dur aux 1200 interprètes free-lance qui travaillent pour les institutions européennes.En l'absence de compensation, ils dénoncent l'absence de solidarité de l'UE à leur égard.
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