À la Une : la cheffe de la diplomatie européenne avertit de ne pas tomber dans un « piège russe », les États-Unis ne retireront pas leurs forces d’Europe, aurait assuré l’envoyé de Donald Trump à la Pologne.
L’agence belge Flanders Investment & Trade a fait état d’un afflux record d’investissements étrangers en Flandre et notamment dans le secteur pharmaceutique, les États-Unis étant en tête.
L’Espagne a invité les ministres des Finances de l’Union européenne (UE) à une réunion informelle le 13 mars à Valence pour lancer un « laboratoire de compétitivité », a déclaré mardi le ministre de l’Économie, Carlos Cuerpo, lors d’une conférence de presse Ecofin.
L’administration Trump n’a pas l’intention de retirer ses forces d’Europe, a déclaré le président polonais Andrzej Duda après avoir rencontré mardi à Varsovie Keith Kellogg, l’envoyé spécial américain pour l’Ukraine et la Russie.
La Cour d’appel d’Aix-en-Provence a alerté sur le fait que limiter les droits de propriété sur les terrains où des antennes sont installées « constituerait incontestablement une entrave au principe de la libre concurrence ».
Kaja Kallas, la Haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères, a averti que la discussion européenne sur une éventuelle force de maintien de la paix en Ukraine risquait de tomber dans un « piège russe », dans une interview avec Euractiv.
Le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, a déclaré mardi à Riyad, après sa rencontre avec son homologue russe Sergueï Lavrov, que Washington cherchait une fin « juste et durable » au conflit en Ukraine, ouvrant à d’« extraordinaires possibilités » pour un partenariat russo-américain.
Bruxelles s’apprête à dévoiler un plan audacieux en six étapes pour protéger l’industrie lourde et revendiquer sa place dans les technologies propres, selon un projet consulté par Euractiv.
À quelques jours des élections fédérales allemandes de dimanche, le favori à la chancellerie, Friedrich Merz, a détaillé ses projets de restructuration du prochain gouvernement, si jamais il en prend la tête.
Ursula von der Leyen a pris de court les hauts diplomates de l'Union européenne (UE) en exprimant son souhait d'augmenter les dépenses européennes en matière de défense et en assouplissant les règles budgétaires du bloc.
Alors que l’Europe poursuit son réarmement, la Turquie a bloqué le transfert d’objectifs militaires classifiés de l’OTAN vers l’Union européenne (UE), selon des sources impliquées dans les discussions.
Alors que Bruxelles se montre prête à affaiblir les règles sur le développement durable, le gouvernement espagnol a mis en garde contre l’abaissement des exigences européennes en matière de rapports sur la durabilité.
Les points de vue européens seront pris en compte et l’Ukraine ne sera pas contrainte de conclure un accord, selon l’envoyé américain pour l’Ukraine et la Russie, Keith Kellogg.
À la Une : à Paris, les dirigeants européens se mettent au diapason pour défendre le continent, les États-Unis doivent fournir un « filet de sécurité » à l'Ukraine, soutient Keir Starmer, les logiciels espions ébranlent l'Italie, l’UE reste impassible.
Le gouvernement espagnol n'a pas l'intention de céder à la pression de Donald Trump pour porter les dépenses de défense du pays à 5 % du PIB, et prévoit de les augmenter à hauteur de 1,32 % du PIB en 2025, conformément à sa feuille de route initiale.
Les logiciels espions ébranlent l'Italie. La divulgation d'informations sensibles au sujet de journalistes, activistes et ONG ciblés par des outils de surveillance de fabrication israélienne provoque une vague de réactions politiques, de démentis du gouvernement et d’appels à une enquête de l’UE.
Après la réunion de crise sur la défense qui s’est tenue à Paris lundi, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a souligné l’importance du soutien des États-Unis et de l’Union européenne (UE) pour dissuader la Russie de toute nouvelle ingérence en Ukraine.
Si les dirigeants européens n’ont pas vraiment pris d’engagements concrets envers l’Ukraine lors de leur réunion à Paris lundi, tous ont confirmé leur volonté d’augmenter les dépenses de défense alors que les États-Unis menacent de retirer rapidement leur aide dans le conflit.
La Commission a rejeté l’accusation formulée par le vice-président américain JD Vance lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, selon laquelle l’UE entraverait la liberté d’expression.
La Commission européenne a proposé de restreindre la capacité des États de l’UE à subventionner les entreprises de technologies propres, une décision qui risque d’envenimer les tensions entre les petits pays et les grandes puissances, comme la France et l’Allemagne.
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