Trois semaines de compétition Footballistique à Tanmè qui s'est soldée par une finale ayant opposé ce dimanche 04 Août 2018 dans l'arrondissement de Togba l'équipe des étoiles brillantes à celle des winners. Un challenge de 90 mn environ, qui a laissé vainqueur l'équipe des étoiles brillantes au sort des tirs au but. Casim Marcos, Thalès Houédjissin, respectivement Chef Quartier de Tanmè et parrain du tournoi ont manifesté toute leur satisfaction à l'issue de la compétition.
La doléance de Zinsou Robert, initiateur du tournoi de foot dans l'arrondissement de Togba commune d'Abomey-Calavi et plus précisément à Tanmè Tankpè a reçu écho favorable auprès d'un jeune de la localité. Thalès Houédjissin, prônant la vision d'une jeunesse unie, a très vite sauté sur l'opportunité pour accompagner de tout son soutien les jeunes à accomplir ce rêve de l'unité dans l'action, seul gage du développement. C'est ainsi qu'au bout de trois semaines de compétition et dans une ferveur footballistique, dimanche dernier le tournoi a pris fin. Ceci sous les regards attentifs de l'autorité locale, Marcos Casim et un grand public de jeunes supporters des différentes équipes. Le Chef Quartier Marcos Casim, s'est fait le devoir de rappeler aux jeunes que c'est un moment de faire play, qui fera de tous les jeunes, gagnants de la compétition. Il ne manquera pas aussi, de louer le dinamysme et l'esprit volontariste du jeune Thalès Houédjissin parrain du tournoi, qu'il a appelé a toujours continuer de soutenir et d'accompagner les jeunes. Quantiques à ce dernier, le développement ne peut se faire sans les jeunes, les mettre ensemble pour la cause est un pari qu'il faut gagner. Il promet toujours oeuvrer aux côtés des jeunes tant qu'il sera de l'unité pour le développement. C'est bien sur ces mots de l'autorité locale et du parrain, que les deux équipes sont rentrées en possession des différents lots destinés aux gagnants. Ainsi l'équipe des étoiles brillantes partira avec le trophée, une enveloppe financière et bien d'autres lots. L'équipe des Winners se tire d'affaire avec une enveloppe financière, jet de maillots et bien d'autres lots. De part et d'autres rendez-vous est pris pour l'année prochaine.
Narcisse HESSOU
La question de l'emploi des jeunes, une préoccupation chère au gouvernement de la Rupture, à défaut d'être totalement résolu, trouve quelques panacées à travers les grands chantiers inscrits dans le Programme d'actions du gouvernement (PAG). Le lancement de ces chantiers depuis quelques mois offrent des opportunités d'emplois durables et temporaires à nombre de jeunes. Que ce soit dans le domaine des routes, des adductions d'eau potable et dans plusieurs autres domaines, des emplois sont créés. Selon les estimations, le nombre d'emplois générés dans le cadre de ces projets, va au-delà de 25 000. De quoi soulager une jeunesse désœuvrée et victime d'une gestion clanique et régionaliste du pouvoir ces dix dernières années. Cette volonté de lutter contre le chômage des jeunes s'est renforcée depuis quelques jours à travers le lancement dans certaines villes du pays, du projet d'Asphaltage. Un projet destiné à réhabiliter et étendre les voies urbaines dans 9 villes à savoir, Porto-Novo, Cotonou, Parakou, Abomey-Calavi, Natitingou, Bohicon, Abomey, Lokossa et Sèmè-Kpodji sur environs 620 km. Il est prévu également la modernisation des cités avec des équipements urbains, des mobiliers d'éclairage solaire dans toutes les rues, les avenues et des poubelles.
En d'autres termes, il s'agit de donner un visage attractif à ces villes.
Après le lancement officiel, le 24 juillet dernier, du projet d'Asphaltage par le ministre du cadre de vie et du développement durable, José Didier Tonato, c'est au tour des villes concernées de procéder à la remise des sites pour le lancement officiel de la première phase. « Nous allons améliorer le service urbain. Nous estimons qu'en le faisant, ce sont les conditions de vie des populations qui changeront », affirmait José Didier Tonato sur la télévision nationale, dans l'émission ‘'Bénin révélé''.
Pour lui, quand une ville est attractive, l'économie s'en ressent ».
Le 14 novembre 2017, le ministre d'Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, face aux députés à l'Assemblée nationale, avait annoncé que l'an 2018 sera celui des grands travaux du PAG. On peut alors affirmer sans risque de se tromper que le lancement des chantiers cette année répond à la manière méthodique et rigoureuse de la gestion pouvoir d'Etat qui caractérise le gouvernement de la Rupture, contrairement à la navigation à vue observée sous l'ancien régime, marquée par des éléphants blancs.
F. A. A.
Sauter un repas est le meilleur moyen de grossir. Au lieu de brûler son «carburant», les aliments, l’organisme, privé de nourriture, stocke les graisses autour des hanches et des cuisses, évidemment. Mieux vaut prendre quelque chose que ne pas manger du tout.
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100 g de chocolat, 8 tranches de pain (rassis de préférence), 1/4 de litre de lait, 1 œuf entier, 75 g de sucre, une noix de beurre
Dans une casserole, faites chauffer le lait et le chocolat cassé en morceaux. Lorsque le chocolat est fondu, fouettez la préparation pour bien la mélanger. Puis versez-la sur le mélange œuf + sucre que vous aurez préalablement préparé dans un saladier et mélangez le tout. Trempez-y vos tranches de pain. Dans une poêle, faites fondre le beurre. Lorsqu’il frémit, faites dorer les tranches de pain environ 3 minutes de chaque côté. En les retournant, vous pouvez les imbiber à nouveau avec le mélange chocolaté qui vous reste dans votre saladier. Les tranches seront ainsi plus moelleuses.
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250 g de beurre ramolli, 3 cuillères à soupe de sucre glace, 2 cuillères à soupe de maïzena, 1 cuillère à soupe de café soluble, 1 sachet de levure pâtissière, 1 pincée de sel, farine selon le mélange, des morceaux de chocolat noir
Mettre dans une jatte le beurre, le café soluble et le sucre glace, les travailler jusqu’à ce qu’ils forment un mélange crémeux, ajouter la maïzena, le sel, bien mélanger, ajouter la levure, incorporer la farine tamisée peu à peu et pétrir bien jusqu’à obtention d’une pâte molle et lisse. Mettre la pâte dans une poche à douille cannelée et coucher sur une plaque recouverte d’une feuille de papier sulfurisé des tourbillons, les décorer avec des morceaux de chocolat. Faire cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 12 minutes. Les conserver dans une boîte bien fermée.
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Trois soldats tchèques membres de l’opération Resolute Support (RS) déployée par l’Otan en Afghanistan ont été tués hier dans un attentat-suicide perpétré par un kamikaze à pied contre leur patrouille au nord de Kaboul, non loin de la grande base militaire de Bagram.
Un soldat américain a été blessé ainsi que deux soldats afghans dans la même attaque, a précisé le commandement de la force RS dans un communiqué, sans mentionner la nationalité des trois victimes décédées.
L’armée tchèque a ultérieurement précisé que les trois hommes appartenaient à ses forces après avoir informé les familles, et précisé que le kamikaze avait frappé «aux abords de la base de Bagram», la principale base de l’Otan à une cinquantaine de km au nord de Kaboul dans la province voisine de Parwan.
Les talibans ont revendiqué sur Twitter «une explosion contre les forces de l’envahisseur américain à Charikar ce matin qui a tué et blessé huit Américains», se rapportant possiblement à cet attentat. «L’attentat s’est produit près de Charikar dans la province de Parwan» a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel américain Martin O’Donnell, officier de presse de RS, ville distante de moins de 10 km de Bagram.
«Trois membres de Resolute Support ont été tués par un kamikaze au cours d’une patrouille conjointe avec les forces afghanes dans l’est de l’Afghanistan», avait d’abord annoncé RS dans son communiqué – la capitale afghane est située dans la moité est du pays.
Le gouverneur de la province de Parwan a ajouté que l’attentat s’est produit «vers 6H00 ce matin près de la ville de Charikar».
«Un kamikaze à pied a visé un convoi des forces américaines à Charikar» a indiqué à l’AFP Wahida Shahkar, porte-parole du gouverneur provincial.
Dans un communiqué, l’armée tchèque a déclaré que «trois soldats tchèques, le sergent-chef M. M. (1982), le caporal K. B. (1990) et le caporal P.S. (1993) ont subi des blessures mortelles, à la suite d’une explosion», ajoutant que «les familles des trois soldats ont été informées». Leur mort porte à treize le nombre de soldats tchèques tués en Afghanistan.
Les responsables de l’Otan avaient expliqué «reconnaître que le membre de RS blessé est Américain», mais rappelé que «Resolute Support a pour politique de ne jamais publier la nationalité des victimes avant qu’elle ne soit rendue publique par les autorités nationales concernées».
Mi-juillet, les forces américaines avaient perdu deux hommes en une semaine, portant à quatre le nombre de militaires américains tués en Afghanistan cette année.
En 2017, onze militaires américains avaient été tués. L’opération de l’Otan qui a pris la succession de la Force internationale d’assistance à l’Afghanistan (ISAF) compte actuellement quelque 16 000 hommes dans le pays, principalement pour une mission d’assistance et de formation des forces afghanes. A eux seuls, les Américains ont déployé 13 000 hommes dont 2 000 environ sont affectés à des missions de combat au nom de la lutte contre le terrorisme.
Le commandant de RS, le général américain John Nicholson, cité dans le communiqué, rappelle que 41 nations participent à cette force.
Le contexte est particulièrement tendu en Afghanistan cet été avec une forte activité militaire, afghane et américaine, dans l’est du pays, dans la province du Nangarhar à la frontière pakistanaise et dans le nord-ouest dans la province de Faryab, proche de l’Iran, où l’armée afghane est harcelée par les talibans.
Simultanément, le groupe terroriste Daesh multiplie les attentats contre des «cibles molles» en ville, à Kaboul et Jalalabad (est) notamment, alors qu’il subit de lourds revers militaires.
Vendredi, Daesh a revendiqué un double attentat-suicide à l’heure de la prière dans une mosquée chiite de Gardez, dans l’est, qui a fait au moins 35 morts et plus de 90 blessés.
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Après 37 ans au pouvoir de Robert Mugabe, le Zimbabwe rêvait d’un avenir meilleur mais avec l’élection controversée de son ex-bras droit Emmerson Mnangagwa et la répression de l’opposition, beaucoup ont l’impression d’être revenus au point de départ.
«Je veux m’enfuir», assure Christine, une responsable de magasin à Harare.
«C’est vraiment dur d’avoir ses amis, ses proches touchés par balle alors qu’ils sont simplement en train de s’occuper de leurs affaires», explique-t-elle à l’AFP.
Mercredi, l’armée et la police ont maté à Harare une manifestation de l’opposition qui dénonçait des fraudes lors des premières élections de l’ère post-Mugabe. Au moins six personnes ont été tuées, rappelant douloureusement les pratiques du temps de Mugabe.
«Les mêmes soldats qui ont fait tomber Mugabe et que nous avons acclamés sont maintenant envoyés pour tuer les gens après qu’on a voté», s’indigne Douglas Kumire, dont le frère fait partie des victimes.
Emmerson Mnangagwa – qui a succédé à Robert Mugabe à la suite d’un coup de force de l’armée – avait pourtant promis des élections justes et pacifiques pour ce double scrutin présidentiel et législatif du 30 juillet.
Il a été élu dès le premier tour avec 50,8% des suffrages, contre Nelson Chamisa (44,3%) qui a crié à la triche.
«Quand on a fait tomber Mugabe, on était heureux, on pensait qu’on aurait un avenir meilleur», explique Rhodes, un chauffeur de 42 ans.
Mais «on ne sait plus si on a un avenir ici parce qu’on a peur. En tant que père, je ne vois pas d’avenir pour mes enfants si les gens s’entretuent ainsi», ajoute cet homme originaire du Malawi, qui habite désormais à Harare.
Les gens sont «déçus et pessimistes», poursuit un homme d’affaires, Emmanuel Masvikeni, 46 ans. «On est au point mort», constate-t-il en sortant de la messe dimanche à Harare.
Christine raconte avoir vu vendredi soir des civils battus par les militaires à Chitungwiza, une ville dortoir au sud de la capitale. «Je ne sais même pas pourquoi ils frappaient ces gens. Ils n’ont rien fait de mal. On a peur de sortir», ajoute-t-elle.
Une passante ne se dit pas surprise outre mesure. «Je n’ai jamais pensé que ce genre de chose allait cesser une fois Mugabe parti. Non», lance-t-elle sous couvert de l’anonymat. Emmerson Mnangagwa, 75 ans, fut le fidèle exécuteur des basses besognes répressives de l’ancien régime, dont il fut ministre et vice-président, avant d’être limogé en novembre.
En tant que chef de la sécurité nationale sous Mugabe, il a dirigé en 1983 la répression dans les provinces dissidentes du Matabeleland (ouest) et des Midlands (centre), qui ont fait environ 20.000 morts. Il «est très dangereux. Au moins Mugabe faisait les choses de façon cachée», ajoute Christine.
«Pourquoi frapper les gens alors que vous avez gagné ?», se demande-t-elle.
«Quand il est arrivé au pouvoir, les gens savaient qu’on changeait le chauffeur du bus, mais pas le bus.»
Dans une librairie indépendante, la propriétaire Maryann s’inquiète pour l’avenir, en montrant une liasse de billets d’obligation tout neufs.
Le pays s’est doté en 2016 d’une nouvelle monnaie sous la forme de «billets d’obligation» pour tenter d’enrayer la fuite vers l’étranger du dollar américain, utilisé pour les transactions après l’abandon en 2009 de la monnaie zimbabwéenne.
Théoriquement, cette nouvelle monnaie est à parité avec le dollar, mais en réalité elle s’échange à un tiers du billet vert.
«Ils m’ont donné de nouveaux billets d’obligation aujourd’hui à la banque.
Ce n’est pas bon signe qu’ils les impriment», constate Maryann, alors que le pays se débat depuis près de deux décennies avec une crise économique qui a plongé 90% de la population au chômage.
«C’est la raison pour laquelle les jeunes ont manifesté», estime Christine.
«Ils n’ont obéi à aucun ordre, ils sont juste amers».
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Après la proclamation des résultats de l'examen du Brevet d'études du premier cycle (Bepc) session de juillet 2018, certains établissements ont eu le taux malheureux de 0% de réussite. C'est le cas des complexes scolaires ''La Puissance'', ''Jennifer Nicolas'' et du Collège d'enseignement général de ''Gbaou'' dans le département de la Donga. Des résultats qui inquiètent et amènent à s'interroger sur la qualité des enseignants et témoignent une fois encore de la volonté du chef de l'Etat à les évaluer afin d'identifier leurs besoins en matière de renforcement des capacités.
F. A. A.
Une ligne à haute tension alimentant trois provinces du nord de l’Irak a été la cible de huit attaques terroristes en deux mois, a indiqué hier le ministère de l’Electricité, sur fond de crise sociale suscitée notamment par les pénuries de courant.
Vendredi, le ministère a ainsi dû une nouvelle fois réparer la ligne haute tension Kirkouk-Diyala (400 kV) après «des actes de sabotage terroristes (…) qui ont entraîné la coupure de la ligne» et plongé dans le noir des zones des provinces de Salaheddine, de Kirkouk et de Ninive. La situation est, désormais, revenue à la normale pour les habitants, a indiqué hier à l’AFP une source au sein du ministère.
Mais, ces nouveaux dégâts constituent «la huitième attaque visant cette ligne en deux mois», selon le ministère. L’approvisionnement en électricité est une question cruciale en Irak où, en l’absence de solution radicale depuis des années, les coupures d’électricité sont chroniques. Début juillet, au cœur de l’été avec des températures tutoyant les 50 degrés, la pénurie a provoqué de nouvelles manifestations dans le pays et même coûté son poste au ministre en charge.
Baghdad a déclaré en décembre sa «victoire» contre le groupe terroriste Daesh qui a un temps tenu près d’un tiers du pays ainsi que de larges pans de la Syrie.
Mais des cellules clandestines se maintiennent dans le pays, notamment dans la région montagneuse de Kirkouk.
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Depuis hier se tiennent à Oran, au niveau de l’esplanade de Sidi M’hamed, les journées culturelles du Sud.
Ces journées sont placées sous le thème «Notre patrimoine… notre identité» et inscrites dans le cadre du programme estival de l’Onci, durant lesquelles les organisateurs proposent une pléiade d’artistes et artisans venant des wilayas de Béchar et de Ouargla, qui «apportent avec eux la magie et la beauté de notre Grand Sud, ainsi qu’une panoplie d’art : expositions artisanales, kheïmas traditionnelles et soirées artistiques».
Plusieurs expositions artisanales et traditionnelles offriront aux visiteurs une multitude de métiers d’art fait main et symbolisant le Grand Sud. Le tout entouré d’un décor typique composé de tentes sahariennes «berçant des mœurs, des coutumes et des traditions qui jaillissent du patrimoine de la région du Sud».
L’on peut ainsi avoir le choix entre l’art de la poterie, des objets traditionnels de la région du Sud, d’autres antiques à base de sable, de l’artisanat de l’argent, des sculptures sur bois, de la maroquinerie, de la broderie et tissage traditionnels, ainsi que des instruments de musique traditionnels.
La musique sera également présente avec des soirées animées par les troupes en provenance de Ouargla avec «Zin Kadeh» et «Nass El Waha». Béchar sera également de la fête avec deux troupes musicales «Sidi Blel diwane Béchar» et «Djil Essaoura Ighli».
Touggourt et Kenadsa apporteront leur touche avec respectivement deux troupes musicales «El Wahat li fen el mahalli» (Art local) et «Djil Ediwane el Kendoussi».
Ces journées culturelles du Sud se tiennent jusqu’au 18 août 2018.
Amel Bentolba
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L’édition 2018 du Festival national du raï s’est clôturée en apothéose avec une sécurité assurée, une myriade de chanteurs pour tous les goûts malgré la menace qui planait autour de son annulation.
Ayant levé son rideau dans la soirée du mercredi dernier sous une sécurité très renforcée de la police, la 10e édition s’est achevée dans la soirée du samedi dans une ambiance délirante à l’instar des soirées précédentes.
Le public a occulté le risque de voir le festival annulé sous la pression, et s’est dévoué à ses chanteurs préférés en les ovationnant avec de stridents youyous. Si des raïmans de l’envergure de Cheb Khaled, Houari Dauphin, Cheb Mami, Zahouania, Kader japonais, etc. n’étaient pas de la partie dans cette édition, il n’en demeure pas moins que d’autres chanteurs de renommée ont occupé la scène pour faire vivre des soirées d’enfer au public.
Pour la clôture, se sont produits Gana El Maghnaoui, Cheb Adoula qui, malgré son handicap moteur, a retenu le souffle de l’assistance avec des tubes d’autres chanteurs. Yasmine Amari a su mixer le raï et les chansons en français pour leur offrir un genre à son empreinte, suivie de Hocine Nedjma, Kadda Belahouel, Mohamed El Abassi, Cheb Mahfoud…
Quant à Abbès Marhoum, lui, a ressuscité feu Zargui, un pionnier du raï de Sidi-Bel-Abbès et le sentimental feu Hasni d’Oran, en surprenant le public avec leurs chansons qui ont beaucoup ému les nostalgiques.
Bref, la soirée s’est achevée dans la joie et un bonheur partagé avec les chanteurs.
Le wali qui a rehaussé de sa présence cette édition, n’a pas caché sa satisfaction quant à la réussite d’un tel événement culturel. Il a déclaré : «Cette édition à peine achevée, que nous devons déjà préparer la prochaine pour donner au Festival national du raï une grande dimension. Les grandes stars du raï seront invitées.»
Le festival du raï est une manifestation culturelle pour préserver le patrimoine culturel authentique. Il permettra aussi aux jeunes étoiles montantes de confirmer leur talent pour se faire une place parmi les artistes de renom.
Le jeune Bousmaha Mohamed, commissaire du Festival national du raï, pour sa première fois, a mené d’une main de maître cette 10e édition malgré les contraintes financières, l’appel au boycott sur les réseaux sociaux et la tentative d’avortement de sa tenue. Il a su jongler avec le budget et la disponibilité des chanteurs pour faire de cette édition une réussite.
A. M.
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Les artistes Samira Brahmia et Akli D ont entamé jeudi soir une petite tournée à travers cinq villes du pays, à la faveur d’un spectacle, animé à Alger, ancré dans la chanson algérienne et résolument folk et rock. Organisé par l’Office national des droits d’auteur et droits voisins (Onda), ce concert, tenu au Théâtre de verdure Lâadi-Flici, est le premier d’une petite tournée programmée à Constantine, Béjaïa, Oran et Tizi-Ouzou. Accompagnée, entre autres, de musiciens de renommée internationale, Karim Ziad à la batterie et Khlif Misallaoua à la guitare, la chanteuse à la voix puissante a enchanté son public, peu nombreux mais composé de fans de la chanteuse, par son interprétation cristalline et sa présence sur scène. Laylaha Ila Allah, Mariama (hommage à la diva sud-africaine Myriam Makeba), Haramtou bik nouâassi, sont autant de titres très attendus par les fans de la chanteuse et qui ont été présentés sous de nouveaux arrangements.
Samira Brahmia a également rendu hommage au combat quotidien de la femme algérienne pour ses droits en interprétant un de ses premiers succès Fabuleux destin, avant de gratifier son auditoire d’une reprise purement rock, Wahran Wahran.
Elle a aussi proposé au public de redécouvrir sa dernière chanson Pays de poussière, un texte poignant dédié à la condition des réfugiés et au drame du déplacement des populations, qui figure dans son prochain album. En première partie de soirée, le chanteur Akli D qui a proposé au public de découvrir son univers musical en plus de ses compositions, revisite des classiques de grands interprètes de la chanson kabyle, avec des arrangements et de nouvelles mélodies folk, rock, pop et parfois même reggae. Le chanteur, qui accompagne Samira Brahmia en tournée, a fait voyager son public à travers ses inspirations musicales et son répertoire avec des titres comme Idurar, Arroah, ou encore Azul.
Cette tournée s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme élaboré depuis le début de la saison estivale dans plusieurs villes du pays à l’image de M’sila, Mostaganem, Constantine, Saïda, ou encore Bouira.
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Pour 6 personnes. Temps de préparation : 20 min
Temps de cuisson : 1 heure 30 min
Cuisses de lapin : 6 ; romarin : 3 branches ; oignon : 1 ; botte persil plat : 3 branches ; gousses d’ail : 2 ; huile : 4 c. à soupe ; sel, poivre
Pelez les oignons et coupez-les en 2. Lavez, séchez, effeuillez et ciselez le persil. Effeuillez le romarin. Pelez et hachez l’ail. Faites chauffer l’huile dans une cocotte. Mettez-y les cuisses de lapin à dorer de tous les côtés. Ajoutez le romarin et l’ail. Salez et poivrez. Baissez le feu au minimum. Versez un verre d’eau, couvrez. Faites cuire 1 heure 30 min à petit feu en rajoutant un peu d’eau en cours de cuisson et en mélangeant régulièrement. 30 min avant la fin de la cuisson, ajoutez les oignons dans la cocotte. Quand le temps de cuisson est écoulé, retirez du feu et laissez tiédir. Puis effilochez le lapin et répartissez-le dans les assiettes. Ajoutez les oignons et arrosez de jus de cuisson. Parsemez de persil et servez.
Note : Un peu longue à préparer, je vous l’accorde,mais cette recette vaut vraiment le coup !
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La désignation de Djamel Belmadi à la tête du staff technique des Verts, est perçu par certains comme une nouvelle chance qui se profile au profit des joueurs qui étaient marginalisés par les deux précédents staffs conduits respectivement par le technicien espagnol Lucas Alcaraz et Rabah Madjer.
Pour nombre d’observateurs, la venue de Djamel Belmadi sonne come une aubaine pour certains éléments mis à l’écart dernièrement, notamment par Madjer dont les choix tactiques et les changements effectués sur l’effectif des Guerriers du désert ont suscité polémique.
Si le technicien espagnol n’a pas fait beaucoup de ménage dans son effectif, Madjer a, quant à lui, écarté plusieurs joueurs qui étaient presque titulaires en sélection, à l’image de Boudebouz, Taïder, Ghezzal, Benzia et Henni.
Le joueur qui aurait poussé un ouf de soulagement, ne serait autre que Saphir Taïder qui en veut certainement à son coach (Madjer) pour ne pas l’avoir incorporé lors des joutes amicales disputées face à la Tanzanie et l’Iran.
Outre Taïder, Sofiane Henni serait lui-aussi content après le départ de l’ancien joueur de FC Porto, lui qui souhaite s’accaparer d’une place de titulaire en équipe nationale.
Idem pour le pensionnaire de Bétis Séville, Boudebouz qui n’a pas caché sa joie après la nomination de Belmadi. D’ailleurs, il n’a pas tardé pour adresser un petit message à son nouvel entraîneur lui souhaitant “Bonne chance coach”. Ce dernier lui a répondu:”Merci Ryad”.
Sur la liste élargie qu’annoncera Belmadi, il serait fort probable de voir les noms des joueurs qui souhaitent avoir une nouvelle chance de briller en équipe place, notamment Ghezzal, Fares, Benzia et Ounas.
Et ce sans oublier M’bolhi et Feghouli qui ont poliment décliné la convocation de Rabah Madjer, qui avait cédé face à la pression des fans des Verts qui ont réclamé leur rappel en sélection.
Samir Hamza / Traduit par: Moussa. K.
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Rappelons-nous, avant de boucler une année 2017 de façon plutôt morose, l’économie nationale avait pourtant réussi un premier trimestre qui avait de quoi augurer une bien meilleure performance que le à peine plus du demi-point de fin d’année dernière.
Un mauvais finish auquel a succédé, au premier trimestre de cette année, un très léger mieux certes, avec un taux de croissance de 1,3%, mais pas de quoi appréhender la suite d’un bon œil, tant les incertitudes se sont accumulées ces derniers mois.
Petit indicateur : au premier trimestre 2018, l’activité commerciale, un secteur qui pèse dans le pays, a connu une baisse, selon l’opinion des détaillants et grossistes sondés par une enquête de l’Office national des statistiques (ONS), notamment chez ceux des machines et matériel d’équipement et de la droguerie, quincaillerie, appareils électroménagers et parfumerie. Un tout petit indicateur qui reflète l’état d’esprit des opérateurs économiques algériens en général qui, pourtant, avaient de quoi espérer une entame d’année d’un tout autre acabit, comme le leur promettaient les prévisions des autorités du pays qui, il faut le dire, n’ont pas été très regardantes sur les dépenses publiques pour couper définitivement avec les austères deux années précédentes.
Avec le 1,3% de croissance enregistré au bout du premier trimestre 2018, l’on se retrouve donc loin du compte, surtout lorsque l’on se rappelle que durant le même trimestre en 2017, et malgré les investissements budgétaires de moindre envergure, le taux de croissance frisait la tendance mondiale en accrochant les 3,4%. La «faute» incombe, pour le plongeon du premier trimestre 2018, en tout premier lieu à la locomotive de l’économie nationale. Les hydrocarbures ont, en effet, connu une baisse du taux de croissance de 2% durant la période considérée, pour demeurer dans la spirale des trois derniers trimestres de 2017, lorsque ce taux de croissance était respectivement de -2,2%, -6,1 % et surtout le dernier trimestre lorsqu’il avait atteint -9,0%.
Un coup d’œil sur l’état des comptes nationaux durant les trois premiers mois de cette année s’avère très révélateur sur la situation globale de la croissance.
Selon les chiffres publiés par l’ONS, il en ressort que le premier trimestre 2018 a été, donc, caractérisé par une baisse de la croissance dans le secteur des hydrocarbures de 2,0% alors qu’il avait enregistré une forte croissance au premier trimestre 2017. La croissance hors hydrocarbures enregistrée entre janvier et mars 2018 demeure presque comparable à celle de la même période en 2017 (2,0% au 1er trimestre 2018 contre 2,5%, au 1er trimestre 2017).
Cette croissance est de nouveau expliquée par celle de l’agriculture et celle des secteurs du bâtiment-travaux publics et hydraulique (BTPH y compris services et travaux publics pétroliers) et de l’industrie qui connaissent respectivement des taux d’accroissement de 4,2%, 4,7%, et 4,1%.
Le PIB en valeur courante a décliné durant le premier trimestre 2018 de 5,3 % par rapport à la même période en 2017. La croissance hors hydrocarbures, (2%) par rapport au 1er trimestre 2017, le doit surtout à l’agriculture et la pêche, le bâtiment, travaux publics et hydraulique (BTPH, y compris services et travaux publics pétroliers), et certaines branches de l’industrie.
En dehors de la «défaillance» des hydrocarbures et de leur impact sur la croissance durant le premier trimestre de l’année, il faut relever la passe difficile que traversent nombre de filières du secteur industriel. Elles sont, en effet, cinq filières à avoir influé sur le taux de croissance global pas insignifiant mais presque. Les bons points, ils sont à chercher dans les filières des matériaux de construction (+12,1%), l’eau et l’énergie (+8,2%), l’industrie agroalimentaire (+6,1%), de la chimie, plastique et caoutchouc (+3%) et le bois, papier et liège (+1,8%). Des performances qui ont à peine de quoi occulter la difficile réalité des opérateurs dans les mines et carrières (-10,2%), les industries sidérurgique, métallique, mécanique et électrique (-7,4%), les industries diverses (-6,9%), les textiles (-1,1%) et les cuirs et chaussures (-1,1%).
Des performances qui tranchent avec l’optimisme des pouvoirs publics d’en finir avec l’austérité et de la politique induite dans les dépenses budgétaires. Des autorités qui ne manquent pas de contrer le pessimisme, notamment celui des institutions internationales, avec des discours que beaucoup n’hésitent pas à qualifier de «en complet décalage» avec la réalité économique. En tous les cas, à l’allure prise par l’économie nationale et ses chiffres qui ne sont en aucune commune mesure conformes à une économie en principe émergente comme la nôtre, il y a matière à craindre pour ce second semestre et, partant, les années qui viennent.
Azedine Maktour
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Des mesures draconiennes ont été prises par la Direction des services agricoles et l’inspection vétérinaire de la wilaya de Bouira pour les points de vente du mouton de l’Aïd. Selon l’inspection vétérinaire, ces mesures ont été prises à titre préventif pour éviter tout risque de contamination du mouton de l’Aïd même si pour le moment, la fièvre aphteuse n’a touché que le bovin.
Ainsi, entre autres mesures prises, il y a d’abord l’interdiction de la vente anarchique du mouton de l’Aïd. En effet, contrairement aux années précédentes où les éleveurs vendaient leurs bêtes partout et sans aucun carnet de santé, surtout aux abords des routes nationales et à la sortie des villes, cette année, l’inspection vétérinaire a autorisé seulement 21 points de vente, répartis au niveau des 12 daïras de la wilaya.
Sur place au niveau de ses points de vente agréés, les maquignons et autres éleveurs sont tenus d’avoir des carnets de vaccination de leurs cheptels, ou s’il s’agit d’une marchandise venue d’une autre wilaya, des documents signés par un vétérinaire, attestant la bonne santé du bêtes ainsi que la wilaya d’origine.
En sus de toutes ces mesures, l’inspection vétérinaire de la wilaya de Bouira a mis à la disposition de ces vendeurs, des équipes de vétérinaires travaillant pour le compte des communes ou dépendant de la DSA, prêtes à intervenir à chaque fois pour vérifier la marchandise et délivrer les documents nécessaires concernant la bonne santé du cheptel proposé à la vente.
En somme, une batterie de mesures a été déployée pour éviter toute atteinte à la santé publique et barrer la route aux personnes sans scrupules qui exploitent pareilles occasions pour écouler les bêtes malades ou ayant une santé douteuse, en visant les citoyens aux conditions sociales vulnérables et qui sont souvent appâtés par les prix.
Rappelons que le marché régional aux bestiaux de Bouira a été fermé depuis le 12 juillet dernier, par décision du wali suite à l’apparition des cas avérés de la fièvre aphteuse qui a touché plusieurs régions de la wilaya, causant l’abattage de plus de 24 vaches et veaux, spécialement dans les régions de Aïn Bessem et M’chédallah dans la commune d’Aghbalou.
Y. Y.
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