La 13ème édition d’EQUIP AUTO ALGERIA, aura lieu du 11 au 14 mars prochain au Palais des Expositions des Pins Maritimes, à Alger, font savoir les organisateurs de cet événement.
Fort de ses 12 éditions passées, Equip Auto Algeria est devenu laréférence régionale des professionnels de la sous-traitance automobile et de l’industrie de l’aftermarket, en s’imposant, au fil des ans, comme un véritable facilitateur de business et une vitrine pour y découvrir des offres et des nouveautés. Pendant 4 jours, l’industrie de la sous-traitance automobile et de l’aftermarket exposera aux 10.000 visiteurs professionnels attendus, l’ensemble de ses innovations, de ses produits et de son savoir-faire.
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Si les acquis d’Octobre 88 ont survécu à la déferlante de la violence terroriste durant la décennie noire, ils seront graduellement remis en cause, voire enterrés, depuis notamment l’arrivée d’Abdelaziz Bouteflika au pouvoir en 1999.
Trente ans se sont écoulés depuis les événements du 5 Octobre 1988. Violemment réprimé par pouvoir de l’époque, incarné par le parti unique (FLN) et l’armée, le soulèvement populaire d’Octobre 88, essentiellement mené par les jeunes, n’avait pas été vain. Au contraire, il aura été salutaire pour le pays, en ce sens qu’il l’avait libéré du joug du parti unique et donné lieu à des changements significatifs aussi bien au plan politique, qu’économique et social. Après ces événements douloureux, des réformes profondes seront engagées, avec l’arrivée de Mouloud Hamrouche à la tête gouvernement, sous, toujours, l’ère du président Chadli Bendjedid. Ces réformes ont porté essentiellement sur l’ouverture politique, syndicale et médiatique. Elles ont permis de poser les premiers jalons d’une Algérie démocratique. La révision constitutionnelle de 1989 avait ainsi permis l’avènement du multipartisme politique, du pluralisme syndical, l’ouverture médiatique, l’instauration des élections libres, mais aussi la promotion des libertés collectives et individuelles. Les Algériens avaient alors, réellement, cru à la naissance d’une véritable république démocratique, à telle enseigne que les problèmes de crise économique furent relégués au second plan. La période du gouvernement Hamrouche, entre 1989 et 1991, a été, en effet, une véritable bouffée d’oxygène pour le pays. Mais qu’en est-il trente ans après le
5 Octobre 88 ? Que reste-t-il des acquis arrachés de haute lutte par le peuple ? Si les acquis d’Octobre 88 ont survécu à la déferlante de la violence terroriste durant la décennie noire, ils seront graduellement remis en cause, voire enterrés, depuis notamment l’arrivée d’Abdelaziz Bouteflika au pouvoir en 1999. Les premières restrictions commenceront notamment en 2001 avec l’interdiction des marches dans la capitale, décrétée le 18 juin de la même année, soit quatre jours après la marche violemment réprimée du mouvement des “arouchs”, dans le sillage du “printemps noir” de la Kabylie, un soulèvement également réprimé dans le sang. La restriction des libertés ira crescendo. Les partis politiques, les syndicats et les médias n’échapperont pas aux tentations liberticides du pouvoir. En effet, en dehors des partis de la clientèle, ceux de l’opposition sont constamment confrontés aux interdictions. Les libertés politiques sont confisquées. Les élections, comme les processus électoraux, sont contrôlées par le régime qui se donne, à travers la fraude, les assemblées qu’il veut. L’alternance au pouvoir, un principe cardinal de la démocratie, est supprimée par Bouteflika pour pouvoir pérenniser son règne. Le retour à la limitation des mandats présidentiels ne change rien à la situation de déni démocratique, puisque le chef de l’État ne veut toujours pas lâcher le fauteuil, malgré son état de santé qui ne lui permet plus de gouverner. Outre la trituration de la Constitution à sa convenance, le pouvoir a resserré l’étau sur, également, les activités associatives et syndicales, à travers le vote de lois très sévères et limitatives des libertés. La majorité des organisations les plus représentatives éprouve les pires difficultés à s’émanciper. La presse indépendante est constamment sous la pression des sociétés étatiques d’impression mais elle est aussi et surtout souvent privée de la manne publicitaire encore et toujours monopolisée par l’État. Ces quelques exemples illustrent parfaitement la régression politique et le détournement des acquis d’Octobre 1988. Au plan de l’investissement économique, c’est le règne de l’arbitraire. Les clientèles ont toutes les facilités, le reste des entrepreneurs endure les pires blocages. Et, pour être encore édifié sur le détournement de la révolution d’Octobre, il n’y a qu’à voir ce qui se passe actuellement au Parlement où un conflit clanique bloque une institution. Une institution censée être l’émanation de la volonté populaire mais qui se soumet à l’autorité de l’Exécutif. On en est dans l’avant-Octobre 88.
Farid Abdeladim
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Deux (2) bombes de confection artisanale ont été détruites mercredi dans une opération de ratissage menée à Ain Defla, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique jeudi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
«Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’une opération de fouille et de ratissage, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit, le 3 octobre 2018, deux (2) bombes de confection artisanale à Ain Defla (1e Région militaire), précise la même source.
Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement de l’ANP en coordination avec les services de la Sureté nationale, «a arrêté, à Djanet (4e RM), dix (10) orpailleurs et saisi trois (3) véhicules tout-terrain, trois (3) groupes électrogènes, un (1) marteau piqueur et vingt (20) sacs de mélange de pierres et d’or brut, tandis que (4) détecteurs de métaux ont été saisis à Tamanrasset (6e RM)».
D’autre part, des Garde-frontières «ont saisi, à Tlemcen (2e RM), 23,9 kilogrammes de kif traité, alors que douze (12) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Tamanrasset, Mila et Tlemcen», rapporte le communiqué.
APS
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Les pluies diluviennes enregistrées, jeudi dans la wilaya de Guelma, ont fait déborder l’Oued Zenati et ont été à l’origine d’inondations dans certaines habitations se trouvant à proximité, sans faire de victimes, a indiqué la direction locale de la protection civile.
La même source a précisé que les équipes d’intervention de l’unité secondaire de la protection civile de cette commune (44 km à l’ouest de Guelma), sont intervenues sur les lieux en vue de pomper les eaux qui se sont infiltrées à l’intérieur de quelques habitations, où meubles, literie et équipements électroménagers sont été endommagés, soulignant que le niveau de l’oued a baissé par la suite et retrouvé un cours normal.
Selon le témoignage des citoyens habitant dans la commune d’Oued Zenati, le niveau de l’eau a commencé à monter dès les premières heures du matin, ce qui a fait sortir l’oued de son lit et provoqué des inondations aux alentours, touchant notamment les habitations précaires qui se trouvent non loin des cités du «20 Août» et celle des «mûriers».
A noter que l’Oued Zenati a été réhabilité il y a quelques années suite à plusieurs inondations, dont la plus récente date de 2011, causant la mort d’une famille de 3 personnes et nécessitant l’évacuation d’une vingtaine de personnes.
Dans le même contexte, la même source a révélé que 2 familles vivant dans les vestiaires du stade de la commune de Bordj Sebat (daïra d’Oued Zenati) ont été évacuées aujourd’hui, soulignant que l’eau qui s’y est infiltrée, occasionnant des dégâts matériels, été pompée. APS
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Le ministre du travail Mourad Zemali au micro de Chakib Benzaoui de la radio Chaine 3
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali a indiqué, jeudi à Alger, que les services de l’Inspection du travail ont enregistré, en 2017, près de 41.745 travailleurs n’ayant pas bénéficier de moyens de protection individuels et collectifs contre les risques professionnels, donnant lieu à l’établissement de 5.379 PV d’infraction communiqués aux juridictions compétentes.
L’Inspection du travail qui effectue des «contrôles périodiques» a enregistré en 2017 «41.745 travailleurs n’ayant pas bénéficier de moyens de protection individuels et collectifs contre les risques professionnels, donnant lieu à l’établissement de 5.379 PV d’infraction communiqués aux juridictions compétentes», a fait savoir le ministre en réponse à la question d’un membre du Conseil de la Nation, lors d’une séance plénière, sur les mesures de la prévention contre les risques professionnels.
Soulignant que la prévention contre les accidents du travail et les maladies professionnelles incombe, «dans tous les cas et en toutes circonstances», à l’employeur, M. Zemali a rappelé l’article 3 de la loi n 07-88 du 26 janvier 1988 relative à l’hygiène, la sécurité et la médecine du travail qui exige clairement de l’employeur de créer des conditions de travail adéquates, et un environnement sécurisé des risques professionnels.
Dans le but de renforcer le contrôle, l’Inspection du travail mène périodiquement «des enquêtes et des inspections approfondies» dans les domaines relatifs à la prévention contre les risques professionnels et la médecine du travail, a ajouté le ministre, citant à titre d’exemple, les opération d’inspection généralisées sur les dangers de l’électricité et les incendies, menées au niveau des établissements relevant des secteurs, de l’industrie, du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique en 2017.
Des visites ont été effectuées à plus de 2.501 entreprises exposées à ces risques et employant 173.853 travailleurs, dont 2.087 entreprises relevant du secteur privé et 282 au secteur public, ainsi que 132 entreprises privées étrangères.
M. Zemali a indiqué que les résultats ont donné lieu au recensement de «plus de 1758 accidents de travail et 95 maladies professionnelles, entrainant l’établissement de 3892 procès verbal, dont 367 de constat et 100 d’infraction».
Concernant la contribution des instances relevant du secteur, notamment en matière de formation et de sensibilisation à la prévention contre les risques et maladies professionnels, le ministre a cité l’Institut national de prévention des risques professionnels (INPRP) qui a mené en 2018 des opérations au profit de 3400 stagiaires des établissements de formation, en sus de sessions de formation au profit de 677 travailleurs de 30 entreprises.
Les services de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS) ont effectué, durant la période s’étalant de janvier 2016 à septembre 2018, 7225 visites de contrôle des conditions de travail dans des entreprises, à l’issue desquelles 69.000 recommandations ont été transmises aux employeurs concernant «les manquements enregistrés» dans l’application du régime en vigueur et plus de 15.000 autres inhérentes à «l’obligation de formation, d’enseignement et de sensibilisation» en matière de prévention contre les risques professionnels. APS
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ALGER – Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui a appelé jeudi, les associations nationales de lutte contre le cancer, à la nécessité de créer une fédération des associations arabes de lutte contre le cancer.
Donnant le coup d’envoi de la deuxième édition du salon national d’information sur le cancer, prévue jusqu’au samedi prochain, coïncidant avec la célébration du mois mondial de lutte contre le cancer du sein, M. Hasbellaoui a proposé aux associations algériennes d’œuvrer avec les associations arabes présentes au salon, en vue de réfléchir à la création d’une fédération des associations arabes de lutte contre le cancer, en vue de transmettre les préoccupations et les besoins du malade arabe aux organisations internationales.
Le ministre a indiqué que l’organisation mondiale de la santé (OMS) avait grand besoin de ce type de fédération aux niveaux continental et arabe, pour représenter les malades atteints de cancer, car les gouvernements ne peuvent pas lutter seuls contre cette maladie. Par ailleurs, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali a mis l’accent sur le rôle que peuvent jouer ces groupements aux niveaux continental et arabe, d’autant que « chaque pays peut en bénéficier ou faire bénéficier les autres, tout en assurant le bien-être du malade ».
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane a mis en avant, pour sa part, le rôle important de la presse dans la sensibilisation des citoyens aux risques du cancer, appelant à l’exploitation des réseaux sociaux pour transmettre le message et prévenir contre tout type de cancer notamment celui du sein. Prennent part à ce salon des associations de plusieurs pays, à savoir: la Tunisie, le Maroc, le Soudan, l’Égypte, la Jordanie et l’Irak. Une conférence scientifique intitulée « le progrès réalisé dans la mise en œuvre du plan de prise en charge du cancer 2015-2019 », sera organisée lors de ce salon, outre plusieurs interventions sur le mouvement associatif et l’échange d’expériences de certains pays arabes invités.
Le salon compte plusieurs espaces scientifiques relatifs à l’information, l’orientation et la promotion d’un mode de vie sain, le dépistage et le diagnostic précoce, outre des espaces pour les établissements directement liés à la prise en charge des malades atteints de cancer, dont les centres anti-cancer, l’Institut national de santé publique (INSP), le laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques et la pharmacie centrale des hôpitaux, outre d’autres partenaires.
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BÉCHAR – Le compositeur et guitariste de Raina Rai, Lotfi Attar, va ester en justice l’Office national des droits d’auteurs et droits voisins (ONDA) pour le « recouvrement » de ses droits d’auteur de compositeur de la musique du tube « Zina Diri Latay » et « Hagda », a-t-on appris auprès de l’artiste.
« Un collectif d’avocats s’est porté volontaire pour prendre en charge la défense de mes droits devant une juridiction compétente, pour que l’ONDA me verse mes droits et ce, au titre de la loi », a-t-il précisé lors d’un entretien téléphonique avec l’APS. « Zina Diri Latay, chant de femmes et qui relève du patrimoine culturel de la région de Sidi-Bel Abbes, dont j’ai créé la musique, est empruntée sans mon consentement pour des spots publicitaires, une fois pour une boisson gazeuse d’une multinationale très connue et une fois pour les besoins d’une publicité d’une marque d’huile, télédiffusés sur des chaines de télévision dans le pays« , a-t-il précisé.
« En 1993, j’ai procédé au dépôt d’un dossier auprès de l’ONDA ou je mentionne que les paroles de cette célèbre chanson sont du domaine public, tandis que la musique est de ma propre création, ce qui me permet l’accès à mes droits d’arrangements musicaux de cette chanson, que je n’ai pas perçus à ce jour. »
Le cas est le même pour la chanson « Hagda« , écrite par l’autre membre de Raina Rai, l’artiste Hachemi Djellouli et « dont la composition et les arrangements musicaux sont les miens« , signale Lotfi Attar, lors du même entretien. « Zina Diri Latay« , une chanson qui fait partie intégrante du patrimoine culturel national et dont des milliers d’Algériens et autres mélomanes étrangers ont eu à chantonner, est l’une des plus célèbres et populaires chansons de Raina-Rai, dont Lotfi Attar est l’un des co-fondateurs à Sidi-Bel Abbes, a-t-il rappelé.
« Je veux uniquement recouvrer mes droits de compositeur et d’arrangeur musical de ces chanson, et alerter l’opinion publique et les instances nationales concernées sur cette situation de non-droit », a souligné l’artiste. En l’absence d’une antenne locale de l’ONDA, l’APS n’a pu recueillir les explications de cet office au sujet des déclarations de Lotfi Attar. Lotfi Attar, communément connu sous le nom de Lotfi Raina Raï, est un guitariste, auteur-compositeur et chanteur, né le 14 mars 1952 à Sidi Bel Abbés, leader du groupe mythique Raina et fondateur du groupe Amarna.
En 1969, avec quelques amis, il crée le groupe Les Aigles Noirs sous la férule de Frih Tayeb, un grand musicien qui jouait de plusieurs instruments, qui interprétaient alors les chansons pop occidentales dans les mariages. Il y avait dans le groupe, entre autres, Kada Zina, qui est le premier chanteur du groupe en question, Lotfi Attar, le guitariste, très influencé par Carlos Santana et Jimi Hendrix, et les guitaristes de blues.
Quelques années après, Ils ont eu l’idée de reprendre une chanson fredonnée dans les mariages par les femmes à Sidi Bel Abbes en l’occurrence la célèbre « Ya Zina Diri Latay« , avec la contribution et l’apport des anciens membres des Aigles noirs, notamment Tarik Chikhi, Kadour Bouchentouf et Hachemi Djellouli. Ils créèrent en 1980 à Paris le légendaire groupe Raina Rai qui a permis de donner une nouvelle dimension musicale et parolière à la musique Rai, tant en Algérie qu’a l’étranger, et ce à travers différents concerts en Europe, au Canada et aux Etats-Unis, selon le même artiste.
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OUARGLA – Une nouvelle opération a été retenue pour la modernisation de la RN 53-A reliant les daïras de Hassi-Messaoud et El-Borma sur une distance de 85 km, a-t-on appris jeudi auprès de la Direction des Travaux publics de la wilaya d’Ouargla.
L’opération sera menée en quatre tranches, une de 22 km et les trois autres de 21km chacune, a-t-on précisé en précisant qu’une entreprise privée a été déjà retenue pour la réalisation de la première tranche dont les travaux devront démarrer dans le courant de ce mois. La même route nationale a vu le parachèvement dernièrement de la dernière tranche de 16km d’une opération similaire lancée en 2016 et ayant ciblé un linéaire de 43 km, selon la même source.
Ces opération font partie d’un programme initié par les pouvoirs publics pour la réhabilitation et la modernisation de cet « important » axe routier reliant les daïras de Hassi-Messaoud et El-Borma sur 328 km, signale-t-on à la DTP. Le volume de l’investissement consenti sur le budget de l’État (équipement) pour la concrétisation de ces opérations s’affiche à hauteur de 4,5 milliards DA, en plus d’autres financements dégagés par l’entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach pour la réhabilitation de certains tronçons de cet axe routier de la RN 53-A sur un linéaire total de 80km, fait-t-on savoir à la DTP d’Ouargla.
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Dans son allocution à l’occasion de la célébration du mois international « Octobre rose » pour la lutte contre le cancer du sein, M. Hasbellaoui a précisé qu’en dépit des acquis réalisés ayant contribué à l’amélioration des conditions pour les citoyens afin de bénéficier d’un traitement du cancer, « il reste encore beaucoup à faire pour atteindre tous les objectifs tracés dans le cadre du plan anti-cancer décidé par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika« .
A l’occasion de la deuxième édition du salon national d’information sur le cancer, M. Hasbellaoui a appelé tous les secteurs concernés et les différents acteurs à « doubler d’effort et à poursuivre l’opération de coordination et de concertation concernant tous les axes stratégiques inclus dans ce plan national anti-cacer 2015-2019« . Il a souligné qu' »Octobre rose » et le salon national anti-cancer étaient « une véritable opportunité » pour réaffirmer la volonté de mettre en place tous les moyens, mobiliser toutes les capacités et exploiter tous les moyens de traitement.
M. Hasbellaoui a rappelé, à ce titre, les acquis de l’État au titre du Plan national anti-cancer, notamment « l’amélioration des offres de traitement en matière de chimiothérapie et de radiothérapie », révélant que grâce aux efforts déployés, il a été procédé à la création de « 41 services et 77 unités de chimiothérapie à travers les différentes régions du pays, outre la mise en service de 37 accélérateurs dont 10 accélérateurs dans le secteur privé, en attendant la réception de 12 nouveaux autres accélérateurs avant la fin de l’année en cours ».
M. Hasbellaoui a annoncé la réception avant fin 2018, de centres anti-cancer « d’El Oued à Bechar et d’Adrar à Tizi-Ouzou« , soulignant la nécessité de saluer les efforts déployés par l’État pour garantir la disponibilité des médicaments, citant dans ce cadre toutes les affectations consacrées à l’approvisionnement des établissements sanitaires, des médicaments et des équipements nécessaires pour le traitement des malades atteints de cancer.
« Les dépenses consacrées aux médicaments destinés au traitement de cette maladie représentent 60% du total du chiffre d’affaires enregistré par la pharmacie centrale des hôpitaux. »
Concernant la prévention, le ministre a fait état de la mise en place d’un plan soutenu par des mécanismes juridiques et organisationnels de lutte contre les facteurs de risque, tels que le tabagisme, l’alcoolisme et la toxicomanie, outre la sensibilisation quant à la nécessité d’avoir une bonne hygiène de vie. Pour ce qui est de l’amélioration et du renforcement du système d’information sanitaire, le ministre a rappelé que son département avait mis en place des fichiers pour le cancer qui seront raccordés à un réseau national.
À cette occasion, un film documentaire sur les réalisations de l’Algérie durant les dix dernières années, en matière de lutte contre le cancer a été projeté. Ont pris part à l’ouverture du salon, les ministres de la Communication, Djamel Kaouane et du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, ainsi que des représentants d’associations de plusieurs pays et les ambassadeurs des pays arabes accrédités en Algérie.
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S’exprimant à l’issue de la sixième session des discussions relatives à l’accord-cadre sur le commerce et l’investissement (Tifa), M. Omari a déclaré que les responsables du Bureau du Représentant américain au commerce (Ustr) ont transmis à la délégation algérienne l’intérêt manifesté par les opérateurs américains à l’investissement dans ces deux secteurs à forte valeur ajoutée.
Pour rappel, ce dialogue sur le commerce et l’investissement a été mené du côté algérien par une délégation multisectorielle, conduite par le SG du ministère du Commerce, et du côté américain par le représentant adjoint au Commerce, Daniel Mullaney accompagné de responsables de l’Ustr et d’autres départements économiques, en présence des deux ambassadeurs, Madjid Bouguerra et John Desrocher. Lors de ces discussions à huis clos qui se sont étalées sur une journée au siège de l’USTR, la partie américaine a présenté une proposition de partenariat dans le domaine de la construction automobile et la production de pièces de rechange ainsi qu’en matière d’assistance technique concernant les normes de sécurité dans ce créneau de production, selon ce responsable.
M. Omari a indiqué que la partie américaine s’est enquise de la réglementation et des conditions régissant la mise en place des partenariats dans ce domaine, rappelant le souhait émis par le géant Ford de s’installer en Algérie. Le commerce électronique suscite également l’intérêt des opérateurs américains qui ont exprimé à l’occasion de ces discussions leur disponibilité à accompagner l’Algérie dans le lancement du e-commerce. Selon, M. Omari il y a un fort potentiel de partenariat dans ce domaine notamment en ce qui concerne la dématérialisation des transactions commerciales par la mise en place d’un système de registres électroniques.
L’expérience avérée des Américains dans ce domaine serait d’un grand apport en matière de contrôle et de gestion des transactions électroniques, a-t- il fait remarquer. Les deux parties ont également discuté d’une feuille de route pour faciliter l’échange d’informations et de données sur le commerce et l’investissement dans plusieurs secteurs stratégiques. Riche agenda de discussions Cet échange est rendu nécessaire par le besoin de faire connaître les efforts consentis en matière de législation économique et de l’amélioration du climat des affaires, dira-t-il en substance, citant en cela la loi sur la santé qui permet à présent de développer une industrie pharmaceutique ainsi que la loi sur le commerce électronique et la prochaine loi sur les hydrocarbures qui devrait doper l’investissement pétrogazier en Algérie.
Sur ce point, M. Omari a signalé que de ces discussions s’est dégagée une volonté commune de développer le partenariat énergétique en particulier dans les énergies fossiles et renouvelables. « Les Américains étaient très attentifs aux mesures prises pour développer certains secteurs prioritaires tels que l’énergie, l’Industrie, le tourisme et l’agriculture« , a-t-il indiqué . Et d’ajouter « Nous avons souligné la forte volonté des autorités publiques de diversifier l’économie en mettant en exergue les orientations données par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, lors du dernier Conseil des ministres pour la promotion des exportations hors hydrocarbures avec le concours des investisseurs locaux et des partenaires étrangers« .
Qualifiant l’agenda de ces discussions de « très riche« , Cherif Omari, a fait savoir que cette réunion a permis aussi d’évoquer les possibilités de partenariat dans le tourisme et l’artisanat, notamment que la partie américaine a affiché sa disponibilité à activer le système généralisé de préférence américain (SGP) pour les produits artisanaux algériens. Ce dispositif, rappelle-t-on, facilite aux pays bénéficiaires l’accès de leurs produits aux Etats Unis en franchise de droits de douane.
« Il y aussi beaucoup d’opportunités pour les exportateurs algériens dans les domaines de l’agroalimentaire, de l’agriculture, de l’industrie électronique et de l’électroménager« , a-t-il noté. A ce propos, les deux parties ont convenu de vulgariser davantage ce dispositif pour mobiliser des exportateurs potentiels dans l’agriculture. La délégation algérienne a invité l’Ustr de dépêcher des experts en Algérie pour expliquer et vulgariser le SGP. Capitalisant sur la semaine économique et culturelle de l’Algérie, organisé dernièrement à Washington, le ministère du Commerce envisage d’organiser une exposition multisectorielle dans une grande ville américaine.
C’est dans ce cadre de promotion des échanges que des missions d’hommes d’affaires américains sont prévues en Algérie pour prospecter des partenariats dans la production et la distribution avec la perspective de conquérir des marchés à l’échelle du continent africain. Le SG du ministère du Commerce a fait savoir, par ailleurs, que la délégation algérienne a saisi l’opportunité de ces discussions pour plaider pour le retrait de l’Algérie de la liste prioritaire de surveillance établie par l’Ustr.
Ce classement établi par le rapport « Special 301 » sur les pays qui protègent mal les droits de propriété intellectuelle « ne reflète pas les efforts consentis par les pouvoirs publics en la matière« , a affirmé M. Omari. « On les a invités à apprécier les efforts menés par l’Algérie pour éviter de nous inscrire à nouveau sur cette liste, il y a eu satisfaction de la partie américaine des mesures prises sur le plan règlementaire et aussi une reconnaissance des avancées réalisées dans ce domaine« , a-t-il déclaré.
La délégation algérienne a également expliqué le nouveau dispositif prévu par la loi de finances complémentaire portant sur l’instauration d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde en matière de commerce extérieur. La partie algérienne a précisé que ce droit qui vient de remplacer le système des licences d’importation a été rendu nécessaire par le besoin de préserver l’équilibre de la balance des paiements dans un contexte de baisse des recettes pétrolières, principal revenu du pays.
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ALGER – Plus de 20 nouveaux établissements scolaires des trois cycles de (primaire, moyen et secondaire) seront réceptionnés dans la wilaya d’Alger pour mettre un terme à la surcharge des écoles et éviter le recours au système de la triple vacation, a indiqué le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh.
Un total de 20 groupes scolaires (écoles primaires), deux (02) CEM et deux (02) lycées seront réceptionnés à Alger, en sus de 6 groupes scolaires, deux (02) CEM et deux (02) lycées dans les circonscriptions relevant des directions de l’éducation d’Alger Est et Alger Ouest, a précisé le wali d’Alger dans une déclaration à la presse au terme d’une visite d’inspection des projets de réalisation de structures scolaires dans les communes de Mahelma, Khraïcia (daïra de Draria), El Harrach, Rouiba et Bordj El Bahri. La récupération des structures scolaires autrefois occupées par des familles (bénéficiaires de logements sociaux) et leur transformation en classes a permis d' »assurer plus de 5.500 places pédagogiques au profit des élèves », a-t-il ajouté.
Concernant les projets en cours de réalisation en prévision de la prochaine rentrée scolaire 2018-2019, M. Zoukh a fait état de « 94 groupes scolaires (écoles primaires), 27 CEM et 14 lycées dont la majorité sera réalisée dans les nouvelles cités ». Une fois ces établissements éducatifs réalisés, les classes préfabriquées seront déplacées vers les camps d’été, a-t-il indiqué, précisant que le recours aux classes préfabriquées était provisoire pour régler le problème de surcharge au sein des établissements scolaires.
Par ailleurs, M. Zoukh a indiqué que 5.000 avaloirs ont été réalisés pour protéger la capitale des inondations, faisant état, dans ce cadre, de la réalisation d’avaloirs supplémentaires à l’avenir. Dans ce contexte, M. Zoukh a appelé les citoyens à préserver l’environnement et à ne pas jeter les déchets sur la route pour éviter l’obstruction des regards d’eau. Pour ce qui est du logement, le wali d’Alger a indiqué que les deuxième et troisième phases de la 24e opération de relogement se feront prochainement et que la date de l’opération sera fixée dimanche prochain au terme de la rencontre prévue entre le wali et la commission en charge de cette opération.
Concernant les bénéficiaires de logements sociaux qui procèdent à la location ou à la vente de ces biens, M. Zoukh a précisé que « leurs dossiers ont été présentés à la justice », révélant que « plus de 2.000 affaires ont été soumises à la justice pour fausses déclarations ».
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ALGER – Le général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP) a affirmé jeudi que l’armée continuera d’exiger de ses forces « d’avantage d’efforts » au regard des défis auxquels l’Algérie doit faire face, soulignant que « ses fils » doivent demeurer « la forteresse impénétrable »
« Nous sommes aussi satisfaits, à chaque inspection des éléments, des unités, des Régions et des Forces, que nous continuons d’exiger davantage d’efforts, au regard des défis qui se multiplient et qui s’accélèrent, car l’Algérie mérite, de la part de ses fils, là où ils se trouvent, qu’ils demeurent la forteresse impénétrable« , a-t-il déclaré au cinquième jours de sa visite en 4ème région militaire. Exprimant sa « sérénité« , le vice-ministre de la Défense nationale a affirmé également que « l’Armée nationale populaire, est la véritable héritière de l’Armée de libération nationale« .
« Il n’y a, dès lors, aucune crainte pour un pays dont les hommes de son armée sont imprégnés des valeurs de leur histoire nationale, et qui considèrent la valorisation de ses enseignements étant un phare qui éclaire et illumine leurs pas vers l’acquisition de plus de puissance et de force avec laquelle l’Algérie est toujours omnipotente et souveraine et dont l’unité populaire et territoriale est sauvegardée. »
Le général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah a estimé, à ce titre, que l’ANP ne se lassera « jamais » d’ancrer les fondements de ces principes et les nobles valeurs dans les esprits de ses fils, une ANP, a-t-il poursuivi, « d’autant plus fière de son histoire nationale et des valeurs de sa glorieuse révolution de libération, qu’elle demeurera le garant des missions qui lui ont été assignées avec détermination, persévérance, compétence et mérite, honorant, ainsi, le message des valeureux Chouhada, et sauvegardant éternellement l’acquis de souveraineté, de liberté et d’indépendance nationale de l’Algérie ».
Le Chef d’État-major de l’ANP a rappelé, dans ce contexte, que « toutes les conditions nécessaires de réussite ont été réunies » grâce à l' »appui indéfectible » accordé à l’ANP par le président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, Abdelaziz Bouteflika. « De même, tous les facteurs et les éléments de progrès professionnel ont été assurés, en termes d’équipement, de formation, de préparation et de sensibilisation« .
« Nous sommes parfaitement conscients, avec sérénité d’esprit, que tous les efforts fournis ces dernières années, sur plus d’un plan, ont fructueusement apporté une grande maturité professionnelle et un capital élevé d’expérience opérationnelle et de combat, mais essentiellement, une ultime conscience de la sensibilité des missions assignées et de l’impératif de leur parfait accomplissement. »
Le vice-ministre de la Défense nationale a consacré, par ailleurs, la cinquième journée de sa visite en 4ème région militaire à l’inspection de quelques unités de la région. Il a, également, tenu une rencontre de débriefing et d’évaluation avec les états-majors de la région et les responsables des différents services de sécurité. Gaïd Salaha avait, auparavant, supervisé des exercices tactiques démonstratifs de tirs réels « ASSIFA 2018 » au niveau des secteurs opérationnels Sud-Est Djanet et Nord-Est In Aménas, et tenu des réunions d’orientations avec les cadres et les personnels de la région.
Le général de Corps d’Armée accompagné du général-major Hacène Alaïmia, commandant de la 4e région militaire, a observé un moment de recueillement sur l’âme du valeureux Chahid « Chihani Bachir », dont le nom est porté par le siège du commandement de la région. « Il a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle de sa mémoire, et a récité la Fatiha sur son âme pure et sur celles de nos vaillants Chouhada, a ajouté la même source. Le général de Corps d’Armée a tenu, par ailleurs, une réunion de travail avec le commandement et l’État-major de la région, les commandants des unités et les responsables des différents services de sécurité.
Il a prononcé, à l’occasion, une allocution d’orientation dans laquelle il a rappelé l’importance vitale que revêt cette région, ainsi que le rôle capital joué par ses unités mobilisées le long de la bande frontalière de la zone de compétence, dans la sécurisation du pays contre toutes les menaces et tous les fléaux. Le Chef d’État-major de l’ANP a suivi, par la suite, un exposé global sur la situation générale de la région présenté par le commandant de la région, outre des présentations données par les différents commandements et les directeurs régionaux. Il a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur « la nécessité de redoubler les efforts afin de garantir une intégrale et permanente sécurisation de nos frontières nationales contre tout danger et toute menace« , a-t-on ajouté.
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LAGHOUAT – Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a mis l’accent, jeudi à Aflou (Laghouat), sur la nécessité pour les historiens et spécialistes d’œuvrer à soutenir les différents aspects de la recherche historique de manière « précise et continue ».
S’exprimant lors d’une rencontre régionale à l’occasion de la commémoration du 62ème anniversaire de la bataille de Chouabir, le ministre a indiqué que cette recherche sur l’Histoire est de nature à « contribuer à l’unité et la cohésion, et à renforcer la fierté nationale« . Il a pour cela appelé les responsables du secteur à élargir le programme d’action en vigueur pour préserver l’Histoire et la léguer aux jeunes générations, en leur inculquant les principes et idéaux de Novembre, à travers la tenue de séminaires, conférences et journées d’études sur l’Histoire.
Présentant « l’âpre » bataille de Chouabir comme un haut fait d’armes de la Révolution, le ministre des Moudjahidine a affirmé que les travaux de cette conférence seront édités dans une publication qui inspirera le thème de films documentaires et qui sera distribuée dans les musées de wilayas, les centres culturels, les établissements scolaires et les universités. M. Zitouni a fait savoir, dans le même sillage, que son département ministériel, qui compte 43 musées de wilaya, a réalisé à ce jour 16.000 heures d’enregistrements de témoignages, 32 films documentaires, en plus de la distribution de toutes ses publications réalisées depuis 1962 aux universités, centres culturels et bibliothèques communales.
Il a fait part aussi de la finalisation du recensement précis de l’ensemble des cimetières de Chouhada, des centres de torture et des centres de commandement durant la guerre de libération, ainsi que des stèles commémoratives à travers le territoire national.
Auparavant, le ministre a présidé une cérémonie de recueillement au pied de la stèle commémorative de la bataille de Chouabir, située entre les communes d’El-Ghicha et d’Aflou (wilaya de Laghouat), en présence aussi de moudjahidine et de responsables de la wilaya voisine d’El-Bayadh. La conférence régionale intitulée « les grandes batailles de la Wilaya 5- la bataille de Chouabir comme modèle« , a été marquée par la présentation de communications sur différents aspects de cette bataille.
Dans la commune d’El-Ghicha, M. Zitouni s’est rendu au cimetière des martyrs et a donné le coup d’envoi d’opérations de restauration des cimetières de Chouhada d’El-Ghicha, Enfous, Targuellel et Sidi-Makhlouf, avant de visiter une exposition itinérante de documents d’Histoire. Au terme de sa visite dans la wilaya, le ministre des Moudjahidine a visité un centre de tortures durant la guerre de libération nationale, avant de baptiser un jardin public au nom de la bataille de Chouabir, et de présider une cérémonie de remise de titres d’aides à l’habitat rural à leurs bénéficiaires.
La bataille de Chouabir, qui a été qualifiée de « Mère des batailles« , a eu lieu le 3 octobre 1956 dans la zone de Chouabir entre les communes d’El-Ghicha et Aflou, au Nord-ouest du Djebel El-Gaâda (wilaya de Laghouat), et a engagé quatre compagnies de l’Armée de libération nationale. Elle a fait, selon des sources historiques, pas moins de 40 Chahids (martyrs), parmi les moudjahidine et des habitants sans défense de la région. L’âpreté des combats ont fait 1.375 morts et près de 500 blessés dans les rangs des forces coloniales françaises, en plus de la destruction de plus de 90 véhicules militaires, selon les mêmes sources.
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ALGER – Le coordonnateur résident du Système des Nations-unies (SNU), Eric Overvest, a félicité, jeudi à Alger, l’Algérie pour ses efforts en matière de système de santé et de couverture sanitaire, réitérant l’appui « indéfectible » de son organisation pour l’aider à relever les défis.
« Nous félicitons l’Algérie pour ses très nombreux acquis en matière de système de santé, de couverture sanitaire universelle, de réduction de la mortalité infantile, de la mortalité maternelle, de réduction voire l’éradication de certaines maladies contrôlables par la vaccination », a-t-il déclaré, à l’occasion du Salon d’information sur le cancer (SICAN 2018) et la célébration d' »Octobre Rose« . Il a dans ce cadre, réitéré l’appui « indéfectible » de son organisation pour accompagner l’Algérie à poursuivre ces efforts et relever les défis, estimant qu’à travers la mise en place de son Plan national cancer, l’Algérie s’est engagée dans cette lutte et mis tous les moyens humains et matériels pour relever le défi.
Ces efforts doivent être, toutefois, soutenus, a déclaré M. Overvest, pour maintenir les acquis et relever les nouveaux défis en matière de maladies non transmissibles notamment devant l’amélioration de l’espérance de vie avec une population de personnes âgées de plus en plus grandissante, période à laquelle se multiplient l’apparition des maladies non transmissibles, a-t-il dit. Le représentant du SNU en Algérie a en outre, fait remarquer que le « fardeau mondial » des maladies non transmissibles (MNT) constitue un « défi majeur » pour la santé publique et le développement dans le monde.
« L’ampleur des souffrances humaines causées par les MNT est inacceptable car certaines de ces maladies peuvent être évitées« , a-t-il indiqué, rappelant que les dirigeants mondiaux ont décidé, lors de la 3ème réunion de Haut niveau de l’ONU sur les MNT tenue à New York en septembre dernier, d’assumer personnellement la responsabilité des efforts déployés par leurs pays respectifs pour prévenir et traiter les MNT. De son côté, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Algérie, Dr Bla François Nguessan a estimé que l’Algérie se voit confrontée, depuis quelques années, à la progression des MNT notamment le cancer, malgré les « progrès considérables » accomplis notamment en matière de couverture sanitaire universelle, et l’éradication d’un certain nombre de pathologies à protection vaccinale.
Il a souligné que le Plan national cancer dont dispose l’Algérie depuis 2015 a permis « des avancées considérables » en matière de dépistage et de prise en charge, mais « beaucoup reste à faire pour vaincre le cancer dont la lutte ne dépend pas seulement du secteur de la santé« . M. Nguessan a fait remarquer, à ce propos, que « l’investissement dans la lutte contre les facteurs de risque des MNT est un investissement sûr, et permet de sauver des vies en dépensant moins« .
Évoquant le cancer du sein, le même responsable a fait savoir que l’OMS encourage la mise en place de programmes complets de lutte contre ce type de maladie dans le cadre des plans nationaux de lutte contre le cancer, précisant néanmoins, que le dépistage par mammographies « est très coûteux et n’est envisageable que dans des pays disposant d’un bonne infrastructure médicale et qui ont les moyens de mettre en place un programme à long terme comme en est le cas de l’Algérie« , a-t-il dit.
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ALGER – Le ministre des Relations avec le parlement, Mahdjoub Bedda, a indiqué, jeudi à Alger, que son département avait pour mission la coordination de l’action entre le gouvernement et les deux chambres du Parlement afin de concrétiser la stabilité des institutions, et que le Gouvernement poursuit « de près » l’évolution de la situation à l’Assemblée populaire nationale (APN).
Dans une déclaration à la presse au terme des travaux de la séance plénière du Conseil de la Nation, le ministre a précisé que la mission de son ministère consistait en « la coordination de l’action entre les deux instances exécutives et législatives dans le cadre des lois de la République et de la Constitution, en vue de concrétiser la stabilité des institutions ». Déclarant que la question de retrait de confiance au président de l’APN, M. Said Bouhadja, « revient aux députés », M. Bedda a ajouté que le Gouvernement « suit de près la situation, d’autant que le Parlement, qui représente le pouvoir législatif, est son partenaire ».
Concernant l’éventualité du report de l’examen, au Parement, du projet de loi de Finances 2019 (PLF 2019), en raison du gel des activités de l’APN, le ministre a qualifié cette question de « précoce », ajoutant « nous nous sommes qu’en début d’octobre ».
Pour rappel, les présidents des cinq groupes parlementaires, représentant la majorité au sein de l’APN, à savoir, le parti du Front de Libération nationale (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND), le Mouvement populaire algérien (MPA), Tajamoue Amel El Djazair (TAJ), ainsi que des indépendants, avaient remis récemment une motion au président de l’APN, comprenant « le retrait de confiance au président de l’Assemblée et la demande de sa démission avec le gel de toutes les activités des structures de l’APN, jusqu’à satisfaction de leur revendication ».
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Prévue pour se tenir ce jeudi 04 octobre 2018 à 14h, l'audience du dossier ‘'Nouvelle tribune/Haac démarré à 14h30, a été suspendue. A son arrivée, le juge en charge du dossier, Bayo Dassoundo a annoncé que le délibéré est prorogé au Mercredi 10 Octobre prochain à 14h. Il faudra attendre encore quelque jours pour connaître l'issue de l'affaire qui oppose l'organe de régulation des médias au quotidien ‘'La Nouvelle tribune''.
F. A. A.
Le chef de la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants à la DGSN, le commissaire divisionnaire Djamel Guessoum a démenti les rumeurs selon lesquelles des officiers et de hauts responsables de la Police seraient impliqués dans le trafic de drogue en Algérie, notamment dans l’affaire des 701 kg de cocaïne saisis au port d’Oran en juin dernier.
Le commissaire divisionnaire Djamel Guessoum a indiqué que les services de sécurité sont parvenus à découvrir l’implication de certains agents de police, de gendarmerie et des douanes qui auraient aidé des réseaux de trafic de drogue à échapper au contrôle, soulignant que le gain facile et l’argent sont en général les plus importants motifs, affirmant que la loi sera appliquée contre toute personne impliquée dans ce genre d’affaires.
Lors de son passage sur le plateau de l’Invité de la rédaction de la Chaîne 3, le chef de la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants à la DGSN a précisé que tout le monde est égal devant la loi, affirmant qu’il n’y ait aucune distinction entre un agent affilié ou à une quelconque institution lorsqu’il s’agit d’une affaire de drogue ou autre. Par ailleurs, il a insisté sur le fait que nul n’échapperait à la sanction s’il était impliqué dans une affaire liée au trafic de drogue.
A cet effet, il a fait savoir que les services compétents font des enquêtes sur la base des signes d’enrichissement soudain et rapide et d’autres données.
Par ailleurs, Guessoum a avoué une prolifération du phénomène de trafic et de consommation de drogue en Algérie; qui est devenu d’un pays de transit à un pays de consommation. Pour lui, plusieurs facteurs auraient favorisé la propagation de ce phénomène, entre autres la position géographique, sachant que le pays est situé à proximité des pays du Sahel où le trafic de drogue devient monnaie courante.
L’interlocuteur a indiqué en outre une baisse des quantités du cannabis saisies au cours de ces deux dernières années par rapport à celles de 2012, contrairement aux autres types de drogue, dont “la cocaïne” et “l’héroïne” et les stupéfiants interceptés qui sont en hausse.
Djamel Guessoum a nié toute implication des pharmacies dans les réseaux de trafic de stupéfiants, affirmant que le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO) ait été le premier à tirer la sonnette d’alarme à cet effet.
Il a également révélé que la quantité du cannabis interceptée est passée de 65.000 tonnes en 2012 à 6 tonnes en 2017, ajoutant que les services de police ont saisi ces six dernières années 250 tonnes de cannabis, 3.6 millions de stupéfiants, 12 kg de cocaïne sans compter ,bien entendu, les 701 kg saisis au port d’Oran dans le cadre de l’affaire dite communément “Kamel le boucher”.
Samira Belaâmeri / Traduit par: Moussa. K.
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